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Citoyen de La République
Verzebel

Messages : 40
crédits : 672
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Info personnage
Race: Humaine
Vocation: Guerrier combattant
Alignement: Neutre Bon
Rang: C

Verzebel

Race : Humaine
Sexe : F
Âge : 25
Métier : Chevalier errant
Taille & poids : 1M83, 70 kg.
Alignement : Neutre Bon
Faction : République
Rang : C
Religion : Athéiste
Avatar : Celica - FE Echoes
Pouvoirs et objets
Spécialité : GUERRIER combattant
FORCE SURHUMAINE II (1500 crédits) -- Porter jusqu'à 400 kg. Créer des cratères plus ou moins importants au sol en frappant, détruire plusieurs types de bâtiments et barrières magiques de palier 2, briser des métaux résistants
VITESSE SURHUMAINE II (1500 crédits) - Vitesse et réactivité du personnage hors du commun, mouvements difficiles à anticiper pour un non-initié au combat physique
PROUESSE D'ARME (500 crédits) - Fine épéiste, Verzebel est experte en maniement d'armes et s'est entraînée pour pouvoir manier l'épée avec précision, que ce soit une rapière ou un gros bout de métal avec une poignée dessus. Par souci d'héroïsme, elle se limite à deux épées recourbées, une qu'elle porte sur le dos, l'autre à la hanche, se transformant en toupie d'acier au besoin.
Me reste 500 crédits, à dépenser prudemment.
FORCE SURHUMAINE II (1500 crédits) -- Porter jusqu'à 400 kg. Créer des cratères plus ou moins importants au sol en frappant, détruire plusieurs types de bâtiments et barrières magiques de palier 2, briser des métaux résistants
VITESSE SURHUMAINE II (1500 crédits) - Vitesse et réactivité du personnage hors du commun, mouvements difficiles à anticiper pour un non-initié au combat physique
PROUESSE D'ARME (500 crédits) - Fine épéiste, Verzebel est experte en maniement d'armes et s'est entraînée pour pouvoir manier l'épée avec précision, que ce soit une rapière ou un gros bout de métal avec une poignée dessus. Par souci d'héroïsme, elle se limite à deux épées recourbées, une qu'elle porte sur le dos, l'autre à la hanche, se transformant en toupie d'acier au besoin.
Me reste 500 crédits, à dépenser prudemment.
Description physique et mentale
Chevalière errante et bonne samaritaine, Verzebel est une idéaliste dans un monde qui ne l'est définitivement pas. Déterminée à sauver son prochain et à défendre veuve et orphelin, elle oeuvre sans cesse à rendre le monde autour d'elle un tout petit peu meilleur, avec l'ambition d'atteindre et changer les hautes sphères derrière la guerre et les misères accablant le continent. Cachant ses petits défauts et excentricités du mieux qu'elle peut, se voyant presque sainte, Verzebel pourrait très bien faire du monde un meilleur endroit, plus sain et sage. Ou alors mourir comme beaucoup d'autres de son calibre, une énième victime à la tombe anonyme. Si on lui demande, elle sait ce qu'elle préfère comme réponse.
Mais étudions un peu plus ce qui la fait tiquer avant, moui ?
Verzebel est une personne avec le coeur sur la main, aussi honnête et ouverte aux gens qu'humainement possible. Pleine d'empathie avec les autres, elle s'est donnée un seul but en général dans la vie : répandre le bien un peu partout autour d'elle. Le "bien" dans toute sa simplicité, en sauvant les gens, en résolvant des problèmes pour eux ou tout simplement en vainquant quelqu'un qui commet des troubles dans le quartier. Une chevalière errante qui fixe le problème d'un village anonyme puis marche vers le suivant, en quête de toujours plus de gens à aider. Pas pour l'argent ni pour la gloire -quoi qu'elle acceptera bien quelques pièces pour se payer un logis temporaire ou de la nourriture-, mais simplement.. parce qu'aider des gens lui est important. Et si l'on peut, bien sûr, déjà se demander quel sombre secret se terre derrière cette petite bouille innocente, il n'en est vraiment rien du tout de volontaire. Verzebel aime aider les gens.
C'est plus qu'une simple affaire de plaisir, encore que ça lui procure énormément une sensation chaleureuse quand elle apporte son aide à quelqu'un dans le besoin : Verzebel n'aime juste pas voir les gens souffrir et à été éduquée dans un milieu affectueux où son empathie était récompensée et où les gens appréciaient ses efforts, permettant à cette qualité d'éclore à son âge adulte. C'est tout simplement quelque chose de bien, pour elle. Et même si jamais elle devait se mettre en danger ou être rejetée, si même aucune récompense ne l'attendait, elle le ferait quand même, simplement car c'est la bonne chose à faire. Et quelque part, elle espère que son exemple sera suivi : que, en voyant comment elle oeuvre pour aider les gens, d'autres marcheront dans ses pas pour répandre un peu plus de bien autour d'eux, jusqu'a ce que tout le continent paraisse beaucoup plus joli qu'il ne l'est maintenant.
C'est un rêve "naïf" mais ça reste un rêve auquel elle s'accroche, peu importe ce que le monde fera pour tenter de l'en dissuader. Si on lui demandait, la rousse se dirait optimiste plutôt que naïve. Elle est parfaitement consciente du danger autour d'elle et de la cruauté des autres mais confiante dans sa capacité à changer les choses pour le mieux, là où quelqu'un de naif n'a juste aucune idée de ce qui l'attend. Voyant et combattant régulièrement des personnes cruelles et insensibles, elle sait très bien que ses idéaux ne sont pas partagés par chacun, mais agit quand même, simplement parce que, que ce soit une personne ou mille qui répand du bien, ça en fait déjà plus que zéro, pas vrai ?
Verzebel agit toujours donc de façon très idéaliste mais pragmatique, quelques fois. Comme dit plus haut, elle acceptera des récompenses utiles à sa survie comme de l'or ou de la nourriture et elle acceptera toute aide pour gagner. Se battre à plusieurs contre un ne la gêne pas, frapper par derrière aussi, et sa seule reluctance est le meurtre en soit : la rousse ne tue pas les gens et veut que les choses soient équitables pour eux. Elle peut blesser pour neutraliser mais elle ne tue pas, peu désireuse qu'elle est de se salir les mains. Et puis, elle se veut un peu amie des enfants : quelqu'un pour les protéger du monde, les rassurer et les sauver. Pourrait t-elle vraiment les tenir dans ses bras avec des mains ensanglantées ? Elle ne pense pas, non.
Contente de ses idées d'espoirs et d'amitié, Verzebel agit donc de façon nette et polie avec tout le monde, aussi rude ou bizarre qu'ils puissent être ou leur position au totem hiérarchique. Pleine d'humour, elle put faire quelques piques à vos dépends mais n'est jamais méchante. Elle surveille son language autour des enfants, évite soigneusement les gros mots et en emploie quelques uns à l'air savant, histoire de paraître plus maligne et digne de confiance. Elle s'inspire de ses romans de chevaliers lus à l'orphelinat pour cette parti, de ceux qui traitent de courageux chevaliers, de perfides dragons et de sournois sorciers. Elle déniera si on lui demande après, craintive qu'on ne la voit comme une hurluberlue chassant des moulins à vents, mais sa source d'admiration est claire.
Elle aime toujours les lire après, c'est son hobby, elle qui en à peu sinon : elle vagabonde trop souvent pour autre chose.
De la manipulation ? Un peu. Mais sa politesse est réelle tout comme sa capacité à supporter les insultes, vicieuses qu'elles puissent être à son égard. C'est un trait de caractère un peu subconscient de sa part : elle aime plaire. Elle aime faire plaisir aux gens. Mais surtout, et encore, elle déteste se montrer sous des traits moins "idéal" pour elle. De son point de vue, jurer ou hurler, ce n'est pas quelque chose d'héroïque, non ? Donc elle fait un effort conscient pour se garder droite et polie. Pour cause, elle est solitaire dans ses voyages car elle craint qu'un allié à long-terme ne la voit sous un jour moins prospère des fois. Comme quand elle se fait mordre le pied par un insecte. Ou quand elle lave mal son armure. Ou quand il fait froid et que le feu ne s'allume pas.
Toujours droite, toujours polie, toujours une héroïne à admirer, sans des petits défauts à la faire jeter au fond d'une poubelle.
C'est pour ça que les efforts de Verzebel pour être appréciée de tous peuvent paraître exagérés, presque maniaques, pour se distinguer comme polie et sympathique. Faire des erreurs ou se tromper l'agace profondément et elle n'aime pas du tout être gênée ou avoir tort en conséquences, car qui voudrait donc d'une messie imparfaite ? La rousse ne sait même pas à quel point elle peut paraître complexée par ceci. Et elle tend à éviter les questions sur son passé. Parce que son enfance à été assez idéale comme ça et aussi par souci de droit à la vie privée. Droit qu'elle bafouera encore si jamais c'est vous qu'elle veut aider. Si les intentions de Verzebel sont louables, elle à des tendances à vouloir contrôler les autres ou les "protéger" et n'hésitera pas à vérifier des choses sur eux au besoin.
En autre défaut, Verzebel est très complexée sur ses parents. Oui, Dahlia fut une mère idéale et l'orphelinat un endroit très aimant mais la rousse reste presque obsédée avec ses parents, s'imaginant en eux des héros qui ont eut besoin de l'emmener à un orphelinat avant un combat aussi long que serré contre le Mal. Si elle est sortie de l'orphelinat, c'est pour aider les gens mais aussi car elle pensait avoir assez attendue : clairement, pour elle, ils sont en danger. Et il faut donc les aider. Toute sa façade de calme et de politesse se brise plus facilement quand la conversation va sur ses parents, d'ailleurs. Et son obsession avec le fait d'être appréciée vient de leur abandon, elle qui ne veut plus jamais être laissée quelque part, toute seule. Mais aussi, elle veut simplement des réponses : vivre avec ses parents réels ne l'intéresse pas, elle qui perçoit Dahlia comme sa vraie mère, mais elle veut savoir le pourquoi du comment de son abandon.
La vision d'orphelins ou même d'enfants abusés la remplit particulièrement de rage : pour elle, un parent ne devrait jamais abandonner ou blesser son enfant, peu importe ce qui se passe. Et elle prendra le temps qu'il faut pour leur trouver une nouvelle maison, même si elle ne se voit pas mère elle-même. Le travail est trop dangereux et sa maturité, elle le sait, trop basse.
Car, dernièrement, Verzebel est très colérique sous ses traits sages. Nourrie par sa rancoeur cachée envers ses parents et par les injustices du monde, avec un supplément calorique de frustration refoulée quand aux insultes ou actions des autres, la rousse agit toujours de façon incroyablement simple quand on y prête attention, utilisant de sa force et de sa vitesse pour battre l'ennemi mais négligeant la magie, les sens ou autres arts ésotériques du monde. Sa méthode A est la force et sa méthode B plus de force. Et elle est consciente de ce défaut : c'est bien pour ça qu'elle aime avoir des compagnons pour l'assister dans des missions. Mais elle en tire là, quand une situation ne se résout pas si facilement, qu'elle n'a simplement pas été assez forte/assez rapide et entraîne son corps encore plus en conséquences.
Pour elle, il faut du cran, de l'endurance, de la ruse, mais surtout de la tenacité. Ainsi, elle néglige un peu sa magie, aussi par crainte de ne pas être tout à fait à la hauteur des héros de ses livres. Des chevaliers avec des spectres magiques... vous en voyez ?
Jusqu'ici, elle se garde contrôlée, mais qui sait sur qui elle se passera les nerfs, elle qui se sent bouillir toujours un peu plus, sans jamais avoir personne à qui parler.
...
Verzebel est une très belle jeune femme à la taille plutôt remarquable pour une humaine normale : son un mètre quatre-vingt-trois de haut lui donne un peu plus de carrure pour jouer aux chevaliers. Et si ses contours sont avantageux, avec de longues jambes et une fine taille, c'est sa musculature qui peut surprendre les gens de près : sans être un titan de puissance (pour l''instant) avec des biceps grands comme le torse d'un homme, la forme physique de la rousse se remarque facilement sur ses bras, aptes à soulever des masses de plus de trois-cent kilos, et ses jambes, adaptées à la marche ou à la course. L'on remarquera même quelques abdos, visible de loin ou de près.
En contraste, elle à un visage très poupin, semblable à celui de son enfance : de rondes joues entourent des lèvres souvent étirées en un sourire agréable, avec un petit nez fin et des grands yeux de couleur marron, surplombés de sourcils tout aussi fins. Un air gentil au visage en permanence, elle s'est entraînée pour toujours avoir un petit sourire quand on l'interpelle, afin de mettre les gens en confiance.
Sa marque de fierté ? Ses cheveux à la couleur du feu, descendant vers le bas de ses épaules, auquel elle prend régulièrement soin : c'est sa "marque de fabrique" en soit, en tant que chevalière à la crinière de flammes et aussi le dernier héritage de ses parents. Que ce soit sa mère ou son père, elle à l'espoir de les identifier à leur cheveux. Du coup, si elle fait en général attention à son hygiène, elle se coiffe les cheveux du mieux qu'il peut, les gardant long en dépit du danger que cela représente au combat, dans l'espoir que ses propres parents, aussi, puissent l'identifier par ses cheveux.
Il lui faut au moins deux heures pour tout coiffer !
Elle s'orne même le front d'une tiare dorée, un souvenir d'un de ses voyages. Elle s'efforce d'avoir toujours une petite marque de ses aventures précédentes sur elle, afin de s'en rappeler pour toujours. C'est d'ailleurs un signe de son manque d'expérience qu'elle à encore cette unique tiare, mais elle compte très bien rajouter à sa panoplie.
En tant que vêtements, elle porte souvent une armure de métal banale, avec un plastron gris sur le torse, un col haut de métal et des protections sur les bras, quoi que les mains sont laissées à l'air libre, seulement couvertes par des gants blancs quand il fait vraiment froid. Après tout, si elle venait à toucher quelqu'un, ce serait un peu froid si c'était seulement avec des gantelets d'acier, non ? Pour ses jambes, elle les couvre d'un long pantalon noir, par souci de mobilité, avec des parties en métal sur la partie basse de la jambe, du talon au genou, avec des chaussures blanches conventionnelles. Pour rendre le tout plus sympathique, Verzebel se le décore d'une longue cape blanche, qu'elle n'a pas encore frappée d'un seau... parce qu'elle ne sait pas coudre encore. A ce niveau du moins.
Elle n'enlève que peu l'armure (sauf pour la nettoyer hein) mais quand ça se fait, elle porte un peu tout ce qu'elle trouve: robes, vestes et pantalons, tout lui convient, mais elle aime laisser les épaules et les bras nus.
En terme de prestance, Verzebel est toujours droite comme un I, les mains croisées derrière le dos ou les bras croisés, toujours un peu "rigide" dans ces expressions. Souci général de paraître recommendable : quel chevalier irait donc se pencher sur un mur, par exemple ? Et puis ça met bien sa grande taille en valeur elle se dit.
Mais étudions un peu plus ce qui la fait tiquer avant, moui ?
Verzebel est une personne avec le coeur sur la main, aussi honnête et ouverte aux gens qu'humainement possible. Pleine d'empathie avec les autres, elle s'est donnée un seul but en général dans la vie : répandre le bien un peu partout autour d'elle. Le "bien" dans toute sa simplicité, en sauvant les gens, en résolvant des problèmes pour eux ou tout simplement en vainquant quelqu'un qui commet des troubles dans le quartier. Une chevalière errante qui fixe le problème d'un village anonyme puis marche vers le suivant, en quête de toujours plus de gens à aider. Pas pour l'argent ni pour la gloire -quoi qu'elle acceptera bien quelques pièces pour se payer un logis temporaire ou de la nourriture-, mais simplement.. parce qu'aider des gens lui est important. Et si l'on peut, bien sûr, déjà se demander quel sombre secret se terre derrière cette petite bouille innocente, il n'en est vraiment rien du tout de volontaire. Verzebel aime aider les gens.
C'est plus qu'une simple affaire de plaisir, encore que ça lui procure énormément une sensation chaleureuse quand elle apporte son aide à quelqu'un dans le besoin : Verzebel n'aime juste pas voir les gens souffrir et à été éduquée dans un milieu affectueux où son empathie était récompensée et où les gens appréciaient ses efforts, permettant à cette qualité d'éclore à son âge adulte. C'est tout simplement quelque chose de bien, pour elle. Et même si jamais elle devait se mettre en danger ou être rejetée, si même aucune récompense ne l'attendait, elle le ferait quand même, simplement car c'est la bonne chose à faire. Et quelque part, elle espère que son exemple sera suivi : que, en voyant comment elle oeuvre pour aider les gens, d'autres marcheront dans ses pas pour répandre un peu plus de bien autour d'eux, jusqu'a ce que tout le continent paraisse beaucoup plus joli qu'il ne l'est maintenant.
C'est un rêve "naïf" mais ça reste un rêve auquel elle s'accroche, peu importe ce que le monde fera pour tenter de l'en dissuader. Si on lui demandait, la rousse se dirait optimiste plutôt que naïve. Elle est parfaitement consciente du danger autour d'elle et de la cruauté des autres mais confiante dans sa capacité à changer les choses pour le mieux, là où quelqu'un de naif n'a juste aucune idée de ce qui l'attend. Voyant et combattant régulièrement des personnes cruelles et insensibles, elle sait très bien que ses idéaux ne sont pas partagés par chacun, mais agit quand même, simplement parce que, que ce soit une personne ou mille qui répand du bien, ça en fait déjà plus que zéro, pas vrai ?
Verzebel agit toujours donc de façon très idéaliste mais pragmatique, quelques fois. Comme dit plus haut, elle acceptera des récompenses utiles à sa survie comme de l'or ou de la nourriture et elle acceptera toute aide pour gagner. Se battre à plusieurs contre un ne la gêne pas, frapper par derrière aussi, et sa seule reluctance est le meurtre en soit : la rousse ne tue pas les gens et veut que les choses soient équitables pour eux. Elle peut blesser pour neutraliser mais elle ne tue pas, peu désireuse qu'elle est de se salir les mains. Et puis, elle se veut un peu amie des enfants : quelqu'un pour les protéger du monde, les rassurer et les sauver. Pourrait t-elle vraiment les tenir dans ses bras avec des mains ensanglantées ? Elle ne pense pas, non.
Contente de ses idées d'espoirs et d'amitié, Verzebel agit donc de façon nette et polie avec tout le monde, aussi rude ou bizarre qu'ils puissent être ou leur position au totem hiérarchique. Pleine d'humour, elle put faire quelques piques à vos dépends mais n'est jamais méchante. Elle surveille son language autour des enfants, évite soigneusement les gros mots et en emploie quelques uns à l'air savant, histoire de paraître plus maligne et digne de confiance. Elle s'inspire de ses romans de chevaliers lus à l'orphelinat pour cette parti, de ceux qui traitent de courageux chevaliers, de perfides dragons et de sournois sorciers. Elle déniera si on lui demande après, craintive qu'on ne la voit comme une hurluberlue chassant des moulins à vents, mais sa source d'admiration est claire.
Elle aime toujours les lire après, c'est son hobby, elle qui en à peu sinon : elle vagabonde trop souvent pour autre chose.
De la manipulation ? Un peu. Mais sa politesse est réelle tout comme sa capacité à supporter les insultes, vicieuses qu'elles puissent être à son égard. C'est un trait de caractère un peu subconscient de sa part : elle aime plaire. Elle aime faire plaisir aux gens. Mais surtout, et encore, elle déteste se montrer sous des traits moins "idéal" pour elle. De son point de vue, jurer ou hurler, ce n'est pas quelque chose d'héroïque, non ? Donc elle fait un effort conscient pour se garder droite et polie. Pour cause, elle est solitaire dans ses voyages car elle craint qu'un allié à long-terme ne la voit sous un jour moins prospère des fois. Comme quand elle se fait mordre le pied par un insecte. Ou quand elle lave mal son armure. Ou quand il fait froid et que le feu ne s'allume pas.
Toujours droite, toujours polie, toujours une héroïne à admirer, sans des petits défauts à la faire jeter au fond d'une poubelle.
C'est pour ça que les efforts de Verzebel pour être appréciée de tous peuvent paraître exagérés, presque maniaques, pour se distinguer comme polie et sympathique. Faire des erreurs ou se tromper l'agace profondément et elle n'aime pas du tout être gênée ou avoir tort en conséquences, car qui voudrait donc d'une messie imparfaite ? La rousse ne sait même pas à quel point elle peut paraître complexée par ceci. Et elle tend à éviter les questions sur son passé. Parce que son enfance à été assez idéale comme ça et aussi par souci de droit à la vie privée. Droit qu'elle bafouera encore si jamais c'est vous qu'elle veut aider. Si les intentions de Verzebel sont louables, elle à des tendances à vouloir contrôler les autres ou les "protéger" et n'hésitera pas à vérifier des choses sur eux au besoin.
En autre défaut, Verzebel est très complexée sur ses parents. Oui, Dahlia fut une mère idéale et l'orphelinat un endroit très aimant mais la rousse reste presque obsédée avec ses parents, s'imaginant en eux des héros qui ont eut besoin de l'emmener à un orphelinat avant un combat aussi long que serré contre le Mal. Si elle est sortie de l'orphelinat, c'est pour aider les gens mais aussi car elle pensait avoir assez attendue : clairement, pour elle, ils sont en danger. Et il faut donc les aider. Toute sa façade de calme et de politesse se brise plus facilement quand la conversation va sur ses parents, d'ailleurs. Et son obsession avec le fait d'être appréciée vient de leur abandon, elle qui ne veut plus jamais être laissée quelque part, toute seule. Mais aussi, elle veut simplement des réponses : vivre avec ses parents réels ne l'intéresse pas, elle qui perçoit Dahlia comme sa vraie mère, mais elle veut savoir le pourquoi du comment de son abandon.
La vision d'orphelins ou même d'enfants abusés la remplit particulièrement de rage : pour elle, un parent ne devrait jamais abandonner ou blesser son enfant, peu importe ce qui se passe. Et elle prendra le temps qu'il faut pour leur trouver une nouvelle maison, même si elle ne se voit pas mère elle-même. Le travail est trop dangereux et sa maturité, elle le sait, trop basse.
Car, dernièrement, Verzebel est très colérique sous ses traits sages. Nourrie par sa rancoeur cachée envers ses parents et par les injustices du monde, avec un supplément calorique de frustration refoulée quand aux insultes ou actions des autres, la rousse agit toujours de façon incroyablement simple quand on y prête attention, utilisant de sa force et de sa vitesse pour battre l'ennemi mais négligeant la magie, les sens ou autres arts ésotériques du monde. Sa méthode A est la force et sa méthode B plus de force. Et elle est consciente de ce défaut : c'est bien pour ça qu'elle aime avoir des compagnons pour l'assister dans des missions. Mais elle en tire là, quand une situation ne se résout pas si facilement, qu'elle n'a simplement pas été assez forte/assez rapide et entraîne son corps encore plus en conséquences.
Pour elle, il faut du cran, de l'endurance, de la ruse, mais surtout de la tenacité. Ainsi, elle néglige un peu sa magie, aussi par crainte de ne pas être tout à fait à la hauteur des héros de ses livres. Des chevaliers avec des spectres magiques... vous en voyez ?
Jusqu'ici, elle se garde contrôlée, mais qui sait sur qui elle se passera les nerfs, elle qui se sent bouillir toujours un peu plus, sans jamais avoir personne à qui parler.
...
Verzebel est une très belle jeune femme à la taille plutôt remarquable pour une humaine normale : son un mètre quatre-vingt-trois de haut lui donne un peu plus de carrure pour jouer aux chevaliers. Et si ses contours sont avantageux, avec de longues jambes et une fine taille, c'est sa musculature qui peut surprendre les gens de près : sans être un titan de puissance (pour l''instant) avec des biceps grands comme le torse d'un homme, la forme physique de la rousse se remarque facilement sur ses bras, aptes à soulever des masses de plus de trois-cent kilos, et ses jambes, adaptées à la marche ou à la course. L'on remarquera même quelques abdos, visible de loin ou de près.
En contraste, elle à un visage très poupin, semblable à celui de son enfance : de rondes joues entourent des lèvres souvent étirées en un sourire agréable, avec un petit nez fin et des grands yeux de couleur marron, surplombés de sourcils tout aussi fins. Un air gentil au visage en permanence, elle s'est entraînée pour toujours avoir un petit sourire quand on l'interpelle, afin de mettre les gens en confiance.
Sa marque de fierté ? Ses cheveux à la couleur du feu, descendant vers le bas de ses épaules, auquel elle prend régulièrement soin : c'est sa "marque de fabrique" en soit, en tant que chevalière à la crinière de flammes et aussi le dernier héritage de ses parents. Que ce soit sa mère ou son père, elle à l'espoir de les identifier à leur cheveux. Du coup, si elle fait en général attention à son hygiène, elle se coiffe les cheveux du mieux qu'il peut, les gardant long en dépit du danger que cela représente au combat, dans l'espoir que ses propres parents, aussi, puissent l'identifier par ses cheveux.
Il lui faut au moins deux heures pour tout coiffer !
Elle s'orne même le front d'une tiare dorée, un souvenir d'un de ses voyages. Elle s'efforce d'avoir toujours une petite marque de ses aventures précédentes sur elle, afin de s'en rappeler pour toujours. C'est d'ailleurs un signe de son manque d'expérience qu'elle à encore cette unique tiare, mais elle compte très bien rajouter à sa panoplie.
En tant que vêtements, elle porte souvent une armure de métal banale, avec un plastron gris sur le torse, un col haut de métal et des protections sur les bras, quoi que les mains sont laissées à l'air libre, seulement couvertes par des gants blancs quand il fait vraiment froid. Après tout, si elle venait à toucher quelqu'un, ce serait un peu froid si c'était seulement avec des gantelets d'acier, non ? Pour ses jambes, elle les couvre d'un long pantalon noir, par souci de mobilité, avec des parties en métal sur la partie basse de la jambe, du talon au genou, avec des chaussures blanches conventionnelles. Pour rendre le tout plus sympathique, Verzebel se le décore d'une longue cape blanche, qu'elle n'a pas encore frappée d'un seau... parce qu'elle ne sait pas coudre encore. A ce niveau du moins.
Elle n'enlève que peu l'armure (sauf pour la nettoyer hein) mais quand ça se fait, elle porte un peu tout ce qu'elle trouve: robes, vestes et pantalons, tout lui convient, mais elle aime laisser les épaules et les bras nus.
En terme de prestance, Verzebel est toujours droite comme un I, les mains croisées derrière le dos ou les bras croisés, toujours un peu "rigide" dans ces expressions. Souci général de paraître recommendable : quel chevalier irait donc se pencher sur un mur, par exemple ? Et puis ça met bien sa grande taille en valeur elle se dit.
Histoire ou test-rp
L'HISTOIRE N'EST PAS À FAIRE SI VOUS JOUEZ UN PRÉDÉFINI. SEUL UN TEST-RP SERA DEMANDÉ (VOIR LES RÈGLES SUR LES PRÉDEF).
Histoire (à faire pour les personnages qui ne sont pas des prédéfinis)
L'histoire de Verzebel commence comme beaucoup d'autres en ce bas monde : orpheline laissée derrière par des parents morts ou négligents, engloutis par un monde en train de s'effriter à vitesse grand V, destinée à être l'une de ces petites victimes oubliées du continent. Mais comme beaucoup de ces âmes perdues, Verzebel trouva une source d'inspiration, un destin unique, qui lui permit de se hisser tout au sommet sans succomber comme beaucoup avant ou après elle. Mais elle ne fut pas ramassée au hasard par une vieille sorcière en manque d'amour propre. Ou par des ninjas assassins. Son père n'avait pas eu des folies lubriques pour un serpent ou un crocodile et elle n'était pas la dernière née de l'Empereur Tensai, envoyée hors de la cour pour sa sûreté. Non, Verzebel n'était qu'une humaine. Une qui avait eu la chance d'être déposée ou ramenée à l'Orphelinat "Les enfants du destin". Place à l'histoire riche, malheureusement pas à aborder dans cette fiche en particulier, étroitement liée avec sa directrice, la fae de sang pure Dahlia.
Sa maman, en soit.. Pas de sang, comme elle comprit quand même vite, mais sa maman qui l'avait choyée, qui lui apprenait à lire, à écrire, à dessiner et qui, et surtout, semblait toujours si intéressée et gentille envers tout le monde. Elle était dans les premiers souvenirs de Verzebel : l'éminence de l'orphelinat, comblant d'amour les poupins qui y entraient. Il serait fâcheux de parler trop d'elle quand ce n'est pas là sa fiche mais son influence fut très claire sur Verzebel, qui grandit dans un environnement propice, aux murs protecteurs pour repousser la guerre et la méchanceté de dehors. Elle s'attacha très vite à l'endroit et à sa maîtresse : grandissante, et tenant à peine sur ses deux jambes, Verzebel aimait bien marcher ou ramper derrière la fae quand cette dernière passait parmi ses enfants, observant comment elle faisait pour tous les aider, un à la fois, et comment ils étaient tous si contents de voir leurs petits problèmes résolus.
Très tôt dans sa jeune vie, Verzebel se dit une chose : elle ferait comme Dahlia un jour.
Elle commença tôt. Au sein de l'orphelinat, on voyait des adultes sérieux, en uniforme et avec des bouquins sévères, marcher avec une petite fille rousse derrière eux, piétinant derrière leurs grandes enjambées d'adulte comme un petit caneton, avec les livres les plus légers dans les bras. La journée, elle aidait les enfants plus jeunes, comme Alana ou alors allait "ranger" les jouets ou résolvait les disputes, petite sentinelle haute de trois pommes, attendant dans un coin avec les bras croisés qu'un problème n'arrive. Chaque sourire, chaque remerciement lui était du baume au coeur.
Une à deux fois par mois, elle suivait sa maman quand elle emmenait le groupe d'enfants dehors, pour fouiller dans les poches de gens, afin d'aider sa maison. C'était pédagogique et puis ça lui enseignait bien quelque chose : il y avait un grand monde dehors, au-delà des murs de l'orphelinat. Un où Alana avait disparue, ayant quittée l'orphelinat tôt. La rousse était un peu triste mais comprenait, espérant seulement qu'Alana était heureuse là où elle était.
Son rêve avait été de vivre et de mourir en cet orphelinat, en tant que tutrice ou garde, mais Verzebel réalisa vite fait, par les cours et par ses sorties, que tout allait très vite dans le monde dehors. Elle ne pouvait donc décemment pas ignorer cette souffrance hors de ses murs, n'est-ce pas ? Il y avait beaucoup de jeunes enfants qui n'étaient pas chanceux comme elle dehors. Et elle pouvait rendre leurs vies un peu mieux en intervenant comme les chevaliers de ses romans qu'elle lisait, bravant dès fois l'heure du dodo (!) pour lire, s'imaginant sa propre suite à l'histoire quand il faisait trop sombre pour qu'elle puisse lire les pages. C'était inspirant, ces chevaliers qui trouvent la gloire et l'amour en aidant des gens, que pour elle. Elle n'était pas dupe après tout : Verzebel se savait délaissée. Abandonnée par sa chair et son sang. Et quoi que l'amour de Dahlia était tel un soleil, Verzebel restait persuadée qu'au moins deux personnes en ce bas monde pensait tout le contraire.
Se réfugiant dans des histoires de couple de chevaliers dans la panade, déposant leur doux enfant à un orphelinat avant d'affronter le Reike, Verzebel se laissa grandir, observant le mouvement d'amis de Dahlia. Comme Neera, la mage de foudre, qui allait et venait au fur des années. Par moments, Verzebel osait lui demander comment le monde allait, dehors. Et en déduisit que son éducation d'orpheline ne pourrait pas tenir le coup. Il fallait qu'elle apprenne à se battre. Et dans un autre temps ou univers, elle aurait recherchée Neera comme tutrice. Mais la rousse se voyait plus chevalier : une femme à l'épée, à la force et à la résistance physique titanesque, encaissant toute la fureur embrasée d'un dragon avant de le décapiter d'un simple mouvement du poignet. Neera l'atomiserait à distance. Puissant ! Mais pas la puissance convoitée par Verzebel.
Se séparer de l'orphelinat à 18 ans fut difficile mais pas autant qu'imaginé. Dahlia était une fae, à la longue espérance de vie, beaucoup plus longue que celle de sa fille. Et tant que Dahlia vivait, alors l'orphelinat aussi. Donc, il tiendra : des belles années de Verzebel jusqu'aux jours où ses cheveux de feu seront devenues cheveux d'argent et qu'un dernier râle s'échappera de ses lèvres sèches. Ainsi, elle partit avec la ferme intention d'y revenir -avant d'être toute fripée elle espérait - pour... voir le monde, un peu. Et s'entraîner auprès de mentors. Le choc du monde, le vrai, fut sévère au début : au revoir murs protecteurs et gentille protectrice. Bonjour, violence et mensonges.
Les gens étaient suspicieux de recevoir son aide, comme si elle allait à tout moment les braquer ou fuir avec leur chariot enfoncé dans la boue. En à peine quelques jours, sa bourse entière fut volée, la forçant à "improviser" et vivre sous des ponts. Et pour chaque bon samaritain qui lui offrait justement la main hors du pont, il y en avait au moins trois qui voulait le peu de pièces d'or qu'elle avait pu retrouvée. Mais elle n'en tint pas rigueur : Verzebel savait qu'ils étaient désespérés et que sa quête serait hardie. Ainsi, elle continua, entraînant son corps à force de marcher et de se battre pour sa survie. Sa vraie déception fut qu'elle trouva finalement très peu de mentors, tous réclamant de la monnaie pour leurs services. Mais même là, son optimisme luisit: oui, y avait quand même "très peu". Ergo, il y avait une. Très tôt même.
Marceline, une magicienne, comme Neera, à la moralité proche de Verzebel et au chariot un peu étrange. La jeune femme passa du temps avec elle, stricte élève apprenant de sa maîtresse vagabonde. Si elle apprit à se battre à mains nues, elle reçue également des cours de magie. Ou du moins, comment canaliser son mana. Fidèle à elle-même, Verzebel apprit à le déverser dans ses muscles pour améliorer sa force et sa rapidité : ce n'était peut-être pas le but de sa mentor, mais ça restait là son objectif que de devenir une chevalière puissante et rapide. Avec Marceline autour, Verzebel put se consacrer à l'art de l'épée pleinement, apprenant à manier des grosses masses de métal aussi bien que de feintes rapières.
En soit elle avait peut-être été mauvaise élève, elle qui avait simplement continuée son apprentissage de chevalier au lieu de pratiquer la magie... N'empêche qu'elle était contente d'avoir un léger contrôle de sa magie et un peu de sûreté: la gentillesse de Marceline, en un monde si compliqué, était du baume du coeur. Et alors qu'elles se séparèrent, Verzebel voulant faire cavalière seule, la rousse vit son optimisme un peu revigoré, l'aidant à supporter la ribambelle de petit boulots nécessaire pour cotiser de quoi s'acheter une banale armure et quelques épées, entraînant sa lame et ses talents au combat au fur et à mesure des quelques années, loin à l'est de la République.
Sa cape blanche, elle s'acheta simplement du linge pour. Pratique, hein ? Sa panoplie était toute prête.
Ce qui n'allait pas être de trop, dans un monde comme le leur.
Histoire (à faire pour les personnages qui ne sont pas des prédéfinis)
L'histoire de Verzebel commence comme beaucoup d'autres en ce bas monde : orpheline laissée derrière par des parents morts ou négligents, engloutis par un monde en train de s'effriter à vitesse grand V, destinée à être l'une de ces petites victimes oubliées du continent. Mais comme beaucoup de ces âmes perdues, Verzebel trouva une source d'inspiration, un destin unique, qui lui permit de se hisser tout au sommet sans succomber comme beaucoup avant ou après elle. Mais elle ne fut pas ramassée au hasard par une vieille sorcière en manque d'amour propre. Ou par des ninjas assassins. Son père n'avait pas eu des folies lubriques pour un serpent ou un crocodile et elle n'était pas la dernière née de l'Empereur Tensai, envoyée hors de la cour pour sa sûreté. Non, Verzebel n'était qu'une humaine. Une qui avait eu la chance d'être déposée ou ramenée à l'Orphelinat "Les enfants du destin". Place à l'histoire riche, malheureusement pas à aborder dans cette fiche en particulier, étroitement liée avec sa directrice, la fae de sang pure Dahlia.
Sa maman, en soit.. Pas de sang, comme elle comprit quand même vite, mais sa maman qui l'avait choyée, qui lui apprenait à lire, à écrire, à dessiner et qui, et surtout, semblait toujours si intéressée et gentille envers tout le monde. Elle était dans les premiers souvenirs de Verzebel : l'éminence de l'orphelinat, comblant d'amour les poupins qui y entraient. Il serait fâcheux de parler trop d'elle quand ce n'est pas là sa fiche mais son influence fut très claire sur Verzebel, qui grandit dans un environnement propice, aux murs protecteurs pour repousser la guerre et la méchanceté de dehors. Elle s'attacha très vite à l'endroit et à sa maîtresse : grandissante, et tenant à peine sur ses deux jambes, Verzebel aimait bien marcher ou ramper derrière la fae quand cette dernière passait parmi ses enfants, observant comment elle faisait pour tous les aider, un à la fois, et comment ils étaient tous si contents de voir leurs petits problèmes résolus.
Très tôt dans sa jeune vie, Verzebel se dit une chose : elle ferait comme Dahlia un jour.
Elle commença tôt. Au sein de l'orphelinat, on voyait des adultes sérieux, en uniforme et avec des bouquins sévères, marcher avec une petite fille rousse derrière eux, piétinant derrière leurs grandes enjambées d'adulte comme un petit caneton, avec les livres les plus légers dans les bras. La journée, elle aidait les enfants plus jeunes, comme Alana ou alors allait "ranger" les jouets ou résolvait les disputes, petite sentinelle haute de trois pommes, attendant dans un coin avec les bras croisés qu'un problème n'arrive. Chaque sourire, chaque remerciement lui était du baume au coeur.
Une à deux fois par mois, elle suivait sa maman quand elle emmenait le groupe d'enfants dehors, pour fouiller dans les poches de gens, afin d'aider sa maison. C'était pédagogique et puis ça lui enseignait bien quelque chose : il y avait un grand monde dehors, au-delà des murs de l'orphelinat. Un où Alana avait disparue, ayant quittée l'orphelinat tôt. La rousse était un peu triste mais comprenait, espérant seulement qu'Alana était heureuse là où elle était.
Son rêve avait été de vivre et de mourir en cet orphelinat, en tant que tutrice ou garde, mais Verzebel réalisa vite fait, par les cours et par ses sorties, que tout allait très vite dans le monde dehors. Elle ne pouvait donc décemment pas ignorer cette souffrance hors de ses murs, n'est-ce pas ? Il y avait beaucoup de jeunes enfants qui n'étaient pas chanceux comme elle dehors. Et elle pouvait rendre leurs vies un peu mieux en intervenant comme les chevaliers de ses romans qu'elle lisait, bravant dès fois l'heure du dodo (!) pour lire, s'imaginant sa propre suite à l'histoire quand il faisait trop sombre pour qu'elle puisse lire les pages. C'était inspirant, ces chevaliers qui trouvent la gloire et l'amour en aidant des gens, que pour elle. Elle n'était pas dupe après tout : Verzebel se savait délaissée. Abandonnée par sa chair et son sang. Et quoi que l'amour de Dahlia était tel un soleil, Verzebel restait persuadée qu'au moins deux personnes en ce bas monde pensait tout le contraire.
Se réfugiant dans des histoires de couple de chevaliers dans la panade, déposant leur doux enfant à un orphelinat avant d'affronter le Reike, Verzebel se laissa grandir, observant le mouvement d'amis de Dahlia. Comme Neera, la mage de foudre, qui allait et venait au fur des années. Par moments, Verzebel osait lui demander comment le monde allait, dehors. Et en déduisit que son éducation d'orpheline ne pourrait pas tenir le coup. Il fallait qu'elle apprenne à se battre. Et dans un autre temps ou univers, elle aurait recherchée Neera comme tutrice. Mais la rousse se voyait plus chevalier : une femme à l'épée, à la force et à la résistance physique titanesque, encaissant toute la fureur embrasée d'un dragon avant de le décapiter d'un simple mouvement du poignet. Neera l'atomiserait à distance. Puissant ! Mais pas la puissance convoitée par Verzebel.
Se séparer de l'orphelinat à 18 ans fut difficile mais pas autant qu'imaginé. Dahlia était une fae, à la longue espérance de vie, beaucoup plus longue que celle de sa fille. Et tant que Dahlia vivait, alors l'orphelinat aussi. Donc, il tiendra : des belles années de Verzebel jusqu'aux jours où ses cheveux de feu seront devenues cheveux d'argent et qu'un dernier râle s'échappera de ses lèvres sèches. Ainsi, elle partit avec la ferme intention d'y revenir -avant d'être toute fripée elle espérait - pour... voir le monde, un peu. Et s'entraîner auprès de mentors. Le choc du monde, le vrai, fut sévère au début : au revoir murs protecteurs et gentille protectrice. Bonjour, violence et mensonges.
Les gens étaient suspicieux de recevoir son aide, comme si elle allait à tout moment les braquer ou fuir avec leur chariot enfoncé dans la boue. En à peine quelques jours, sa bourse entière fut volée, la forçant à "improviser" et vivre sous des ponts. Et pour chaque bon samaritain qui lui offrait justement la main hors du pont, il y en avait au moins trois qui voulait le peu de pièces d'or qu'elle avait pu retrouvée. Mais elle n'en tint pas rigueur : Verzebel savait qu'ils étaient désespérés et que sa quête serait hardie. Ainsi, elle continua, entraînant son corps à force de marcher et de se battre pour sa survie. Sa vraie déception fut qu'elle trouva finalement très peu de mentors, tous réclamant de la monnaie pour leurs services. Mais même là, son optimisme luisit: oui, y avait quand même "très peu". Ergo, il y avait une. Très tôt même.
Marceline, une magicienne, comme Neera, à la moralité proche de Verzebel et au chariot un peu étrange. La jeune femme passa du temps avec elle, stricte élève apprenant de sa maîtresse vagabonde. Si elle apprit à se battre à mains nues, elle reçue également des cours de magie. Ou du moins, comment canaliser son mana. Fidèle à elle-même, Verzebel apprit à le déverser dans ses muscles pour améliorer sa force et sa rapidité : ce n'était peut-être pas le but de sa mentor, mais ça restait là son objectif que de devenir une chevalière puissante et rapide. Avec Marceline autour, Verzebel put se consacrer à l'art de l'épée pleinement, apprenant à manier des grosses masses de métal aussi bien que de feintes rapières.
En soit elle avait peut-être été mauvaise élève, elle qui avait simplement continuée son apprentissage de chevalier au lieu de pratiquer la magie... N'empêche qu'elle était contente d'avoir un léger contrôle de sa magie et un peu de sûreté: la gentillesse de Marceline, en un monde si compliqué, était du baume du coeur. Et alors qu'elles se séparèrent, Verzebel voulant faire cavalière seule, la rousse vit son optimisme un peu revigoré, l'aidant à supporter la ribambelle de petit boulots nécessaire pour cotiser de quoi s'acheter une banale armure et quelques épées, entraînant sa lame et ses talents au combat au fur et à mesure des quelques années, loin à l'est de la République.
Sa cape blanche, elle s'acheta simplement du linge pour. Pratique, hein ? Sa panoplie était toute prête.
Ce qui n'allait pas être de trop, dans un monde comme le leur.
Groupes d'intérêts
NOUVEL ORDRE: Verzebel est très contrariée avec le Nouvel Ordre. La liberté religieuse c'est cool, mais ils vénèrent les titans quoi ! De par leur vénération envers des sombres divinités, elle s'oppose à eux par principes.
LA REPUBLIQUE : Glorieuse mère patrie.. Verzebel se définit comme apolitique, c'est à dire qu'elle ne se soucie pas de tout ce qui touche aux lois du pays et tout , mais c'est sa patrie, c'est là qu'elle à grandit et que Dahlia vit. Dur pour elle que de l'ignorer, donc, et de ne pas vouloir la rendre meilleure en priorité subconsciente. Après, elle ne se soucie pas tant que ça de la nationalité des autres : un miséreux, peu importe sa nation, aura son aide, toujours. Mais elle sera sans doute peut-être juste un TOUT petit peu plus rapide.
LA PEGRE : Les vautours. Verzebel hait la pègre, déchiqueteurs de maisonnées et de pauvres gens. C'est un peu un ennemi automatique pour elle, et elle s'efforce de taper là où ça fait mal dès qu'elle peut sur eux, les laissant à leur sort aux mains des autorités après son passage. Bien sûr, seulement quand elle sait qu'ils sont dans le coin. Et c'est difficile de tuer vraiment un cafard d'un seul coup de pied. Mais elle se dit qu'elle permet à une famille de dormir un peu plus tranquillement après être passée.
L'ORPHELINAT : Verzebel pense très fort à la maison. Elle ne veut pas y retourner avant d'avoir fait quelques haut-faits après, mais informe quand même régulièrement sa maman véritable de ses derniers faits. Quand elle deviendra trop vieille ou blessée pour bouger, elle en fera un autre du même style.Mais si le mal venait à menacer sa vieille maison, elle reviendrait au galop.
La noblesse : Des vautours avec des plumes de poussière de diamants. Verzebel admire bien sûr les nobles philanthropes mais n'aime pas l'idée d'être élevé à un niveau divin par le contenu de sa bourse. Et n'aime pas comment les preux nobles semblent désireux d'écraser les autres juste pour ne pas se faire rattrapés. Ainsi, elle est toujours contente d'en coffrer un. Et, dans son monde idéal, voudrait que la noblesse soit méritée par les armes et la valeur.
LA REPUBLIQUE : Glorieuse mère patrie.. Verzebel se définit comme apolitique, c'est à dire qu'elle ne se soucie pas de tout ce qui touche aux lois du pays et tout , mais c'est sa patrie, c'est là qu'elle à grandit et que Dahlia vit. Dur pour elle que de l'ignorer, donc, et de ne pas vouloir la rendre meilleure en priorité subconsciente. Après, elle ne se soucie pas tant que ça de la nationalité des autres : un miséreux, peu importe sa nation, aura son aide, toujours. Mais elle sera sans doute peut-être juste un TOUT petit peu plus rapide.
LA PEGRE : Les vautours. Verzebel hait la pègre, déchiqueteurs de maisonnées et de pauvres gens. C'est un peu un ennemi automatique pour elle, et elle s'efforce de taper là où ça fait mal dès qu'elle peut sur eux, les laissant à leur sort aux mains des autorités après son passage. Bien sûr, seulement quand elle sait qu'ils sont dans le coin. Et c'est difficile de tuer vraiment un cafard d'un seul coup de pied. Mais elle se dit qu'elle permet à une famille de dormir un peu plus tranquillement après être passée.
L'ORPHELINAT : Verzebel pense très fort à la maison. Elle ne veut pas y retourner avant d'avoir fait quelques haut-faits après, mais informe quand même régulièrement sa maman véritable de ses derniers faits. Quand elle deviendra trop vieille ou blessée pour bouger, elle en fera un autre du même style.Mais si le mal venait à menacer sa vieille maison, elle reviendrait au galop.
La noblesse : Des vautours avec des plumes de poussière de diamants. Verzebel admire bien sûr les nobles philanthropes mais n'aime pas l'idée d'être élevé à un niveau divin par le contenu de sa bourse. Et n'aime pas comment les preux nobles semblent désireux d'écraser les autres juste pour ne pas se faire rattrapés. Ainsi, elle est toujours contente d'en coffrer un. Et, dans son monde idéal, voudrait que la noblesse soit méritée par les armes et la valeur.


derrière l'écran
Pseudo : BOLDED
Comment avez-vous connu le forum ? dc
Avis sur le forum je temi
Fréquence de connexion : vous savez je pense lol

Citoyen de La République
Verzebel

Messages : 40
crédits : 672
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Info personnage
Race: Humaine
Vocation: Guerrier combattant
Alignement: Neutre Bon
Rang: C

Mairesse de Courage
Koraki Exousia

Messages : 279
crédits : 1182
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Info personnage
Race: Hybride (Femme/Corbeau)
Vocation: Mage Noire
Alignement: Neutre Mauvais
Rang: A
Hellou, jeune demoiselle pleine de rêve et d'espoir.
La lecture de cette fiche à été comme un bol d'air frais ! Une petite orpheline toute mignonne, toute gentille, que j'imagine presque rêver en rose bonbon, cela faisait longtemps ^^
Tu vas te faire bouffer par la corruption républicaine.
Rien d'autre à ajouter à part : Bienvenue en République, ma chère !
La lecture de cette fiche à été comme un bol d'air frais ! Une petite orpheline toute mignonne, toute gentille, que j'imagine presque rêver en rose bonbon, cela faisait longtemps ^^
Rien d'autre à ajouter à part : Bienvenue en République, ma chère !



- Pouvoir de la Reine des Catins:
Marionnettiste Palier III
Nécromancie Palier I
Malédiction Palier I
Pétrification Palier I
Magie Elementaire de l'Ombre Palier II
Magie Elementaire Glace Palier II
Magie Elementaire Ombre-Givre Palier I
Soin élémentaire Palier I
Régénération Palier II
Vol Palier I
Métamorphose Palier I
Attaque Mentale Palier III
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