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Citoyen de La République
Nineveh de Basileïa

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crédits : 858
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Nineveh de Basileïa

Race : Elfe
Sexe : féminin
Âge : 521 ans
Métier : Médecin
Taille & poids : 1m77/65kg
Alignement : chaotique bon
Faction : République
Rang : C
Religion : athée
Avatar : Navka (par Hetza)
Pouvoirs et objets
4000 crédits dépensés pour le moment, plus que 0 en réserve.
Je suis mage de soutien.
Immunité : Poison/venin
Faiblesse : Psychique
Psychique :
Télékinésie :
Palier 1 (250 crédits) - Lever et contrôler des petits objets (couteaux, pierres, vases) ou des éléments basiques (ex : petites flammes, quantité limité d'eau) à proximité (~10 m), possibilité de les utiliser comme armes ou boucliers
Guérison des poisons, des maladies et des envoutements : (total 3750 crédits)
Palier 1 (250 crédits) - Soigne les maladies bénignes et les poisons/venins de faible intensité
Palier 2 (500 crédits) - Soigne les envoûtements de l'esprit (un filtre d'amour, un contrôle mental, etc.), les poisons handicapant et pouvant être dangereux, certaines maladies pouvant devenir graves
Palier 3 (1000 crédits) - Soigne les poisons pouvant être mortels ou gravement handicapants, les malédictions et envoûtements profonds, les maladies graves
Palier 4 (2000 crédits) - Plus rien ne vous résiste, incluant les maladies divines et extrêmement mortelles
Cosmétique : traces de brûlures sur le visage qui ont été noircies et lissées pour donner un effet granite, plutôt que cratère balafré. Yeux rouges suite à un traitement maison de l'argyrisme.
Je suis mage de soutien.
Immunité : Poison/venin
Faiblesse : Psychique
Psychique :
Télékinésie :
Palier 1 (250 crédits) - Lever et contrôler des petits objets (couteaux, pierres, vases) ou des éléments basiques (ex : petites flammes, quantité limité d'eau) à proximité (~10 m), possibilité de les utiliser comme armes ou boucliers
Guérison des poisons, des maladies et des envoutements : (total 3750 crédits)
Palier 1 (250 crédits) - Soigne les maladies bénignes et les poisons/venins de faible intensité
Palier 2 (500 crédits) - Soigne les envoûtements de l'esprit (un filtre d'amour, un contrôle mental, etc.), les poisons handicapant et pouvant être dangereux, certaines maladies pouvant devenir graves
Palier 3 (1000 crédits) - Soigne les poisons pouvant être mortels ou gravement handicapants, les malédictions et envoûtements profonds, les maladies graves
Palier 4 (2000 crédits) - Plus rien ne vous résiste, incluant les maladies divines et extrêmement mortelles
Cosmétique : traces de brûlures sur le visage qui ont été noircies et lissées pour donner un effet granite, plutôt que cratère balafré. Yeux rouges suite à un traitement maison de l'argyrisme.
Description physique et mentale
Nineveh est, à l’image d’un vieux château fort, la superposition de plusieurs époques et plusieurs mentalités, sur un seul plan physique.
Comme un édifice militaire, elle évoque le fond avant la forme.
Les dieux ont jugé bon de lui donner deux yeux qui voient toujours clair malgré les années, de l’affubler de bonnes oreilles et d’un nez digne des meilleurs limiers. Créée par une architecte soigneuse et un maître d’œuvre discipliné, Nineveh a des traits elfes : délicats, fins, harmonieux, avec un visage symétrique si on excepte les balafres. Un visage expressif, qui a tendance à gommer la tristesse et à exhiber la joie. La plupart du temps, ses cheveux forment des mèches rebelles qu’elle écarte d’un revers de main lorsqu’on lui parle. Blonde argentée aux yeux rouges, il émane une certaine chaleur de ces couleurs froides lorsqu’on lui attribue.
Tout dans son attitude dénote une certaine joie de vivre, un optimisme instinctif qui déteint sur les autres. Dans sa démarche légère, dont la foulée s’entend à peine, la manière dont elle évolue avec grâce dans son environnement et franchit les obstacles, toujours dans un rythme parfait. Cinq cents ans à s’entraîner en danse, en gymnastique et en escrime ont transformé le corps de Nineveh en une machine finement calibrée, avec une conscience aigüe de sa force et de ses limites. Des heures à réviser des traités d’anatomie l’ont amené à comprendre la merveille d’ingénierie que représente un être humain. Elle voit d’un œil expert la manière dont son corps svelte se meut, sa musculature finement dessinée qui transparaît tel un écorché lorsqu’elle doit fournir un effort physique, les mouvements de la mâchoire à l’heure du repas, quand elle détaille du regard les autres.
L’elfe sait qu’elle attire le regard, pour des raisons qui ne sont pas toujours les bonnes : rien ne remplacera jamais la partie gauche de son visage, partiellement brûlée suite à un accident d’enfance. Les balafres s’accumulent avec les années, à l’intérieur comme à l’extérieur.
Une machine ne sera toujours qu’à la hauteur de ses composants.
Alors, pourquoi vouloir perfectionner une machine quand elle n’atteindra jamais son plein potentiel, de par la nature défaillante de ses pièces détachées ?
Il en va de même pour la politique. Nineveh ne s’intéresse pas aux règles, ni même à l’exception : les joueurs l’intéressent plus. Comment les autres fonctionnent, ce qui les motive, ce qu’ils aiment faire. Elle pose des questions, elle s’intéresse à tout, dans une quête de mieux comprendre son environnement et la meilleure manière d’aider les autres. Pourquoi se plier aux lois quand on peut servir le bien public ? Celui qui sauve une vie n’enfreint aucune règle.
Ce qui importe réellement à Nineveh est la notion de justice. Très empathique, elle a souvent une vision assez naïve ou idéaliste du monde, qui paradoxalement, se heurte parfois à un cynisme résigné. Mieux vaut rire de ce que l’on ne contrôle pas, si le monde regorge de bouffons, c’est bien car il donne tous les jours matière à pleurer. Cela ne l’empêche pas de vouloir changer les choses à son échelle.
En fait, la boussole morale des individus tant à toujours pointer vers un objectif fixe : la famille, la gloire, le profit. Pour l’elfe, il s’agit de cette quête obstinée de détricoter les maladies des dieux, explorer la magie et pourquoi pas être une savante, même si le terme paraît bien orgueilleux pour une modeste docteur. Après tout, elle a hérité des savoirs des nombreux chirurgiens, médecins, barbiers et rebouteux qui ont accepté de partager leurs expériences, il est de son devoir de laisser une trace.
Plus secrètement, il y a quelque chose d’addictif, à résoudre les problèmes, à comprendre le fonctionnement d’un système, puis de découvrir toutes ses failles. Les débutants ont besoin d’outils pour les discerner, alors que les maîtres connaissent la moindre aspérité du sujet.
Au fond, Nineveh a grandi dans le souvenir des contes de chevaliers qui terrassent le dragon et délivrent la princesse. Malgré les années et les désillusions, elle préfère garder le sourire plutôt que de renoncer à la gentillesse dont elle fait preuve. Après tout, comment peut-on changer le monde si l’on refuse d’être l’exemple à suivre ?
Histoire ou test-rp
« Débute par le début. Non, pas le chapitre 1. Le livre le plus poussiéreux de la bibliothèque, celui écrit par les anciens, il y a 10 000 ans de cela. »
Celui qui raconte la création légendaire du premier vampire, par un vieux sorcier elfe. Parce que l’histoire, comme la médecine, comme toute autre science, n’est que la superposition des expériences et des savoirs. Un portfolio d’anomalies, d’incidents et de découvertes qu’on préserve laborieusement sur le parchemin.
Nineveh est fille de médecin, dont le père lui-même était médecin et ainsi de suite jusqu’à la nuit des temps. Aussi loin que de souvenir, les Basileïa ont été médecins. De toutes les variantes et de toutes les trempes : ses parents sont des chirurgiens qui ont cœur à rafistoler les soldats de Melorn. Son oncle est un apothicaire un peu alchimiste sur les bords, toujours dans les campagnes à dénicher des maladies qui n’existent plus que dans les coins les plus reculés du monde. Ses cousins sont des rebouteux de talent et sa tante, une professeur à l’université Magic.
Autant dire que Nineveh passe son enfance puis son adolescence dans une culture de l’excellence, de la discipline et de la passion au travail. On vit pour la prochaine mission, la médecine devient une fin en soi et pour être honnête, le salaire alimente des nécessités toujours plus grandes, au lieu de servir un luxe qu’on voudrait toujours.
Sauf qu’il y a un pépin dans la machine, une fois que Nineveh, dans la plus pure tradition familiale, accomplit un cursus à l’université la plus prestigieuse du monde. Celle que l’on surnomme « Basileïa seizième » en référence à tous ceux de sa lignée qui sont passés sur les bancs de l’école.
L’université Magic, c’est un peu ennuyeux quand même. C’est de la merde putain ! S’écriait son oncle après un verre de trop, quand elle lui avait demandé son avis sur l’université.
Après avoir défoncé pendant sept ans le cursus et être arrivée cinquième de promotion en médecine magique, la jeune docteur est à la fois soulagée et dubitative. Oui, elle a réussi là où beaucoup ont échoué. Après un bref calcul avec d’autres diplômés, ils arrivent à la conclusion qu’ils sont dans le top 0,5% de ce que le monde peut offrir. En un sens, ils sont l’élite, ils ont triomphé d’un immense péril. De l’autre, c’est tout ? Sept ans pour apprendre les secrets de la médecine ?
Il reste encore beaucoup à apprendre.
Une pleïade propose à la jeune elfe de devenir apprentie, puis au bout d’une dizaine d’années, de devenir professeur à l’université. Mais à quoi bon ?
Pour la docteur fraichement diplômée, cela n’aurait pas de sens. Elle n’aurait pas le toupet d’enseigner la médecine alors qu’elle n’était qu’une débutante. Durant les sept années passées sur les bancs de la fac, elle avait répondu à beaucoup de questions et chacune d’entre elles avait guidé sur d’autres interrogations.
Alors, Nineveh est allée en bas. Au propre, comme au figuré.
Dans les mines d’argents où tous souffrent d’argyrisme, y compris elle, qui a fini par voir sa peau devenir bleue. Devenue son propre sujet d’expérience, l’ancienne de l’université a fini par se soigner au but d’une année à voir l’argent imprégner son corps.
Dans le Sud, là où même les nomades des dunes craignent l’impitoyable désert. Pour apprendre la parcimonie, pour accomplir beaucoup avec peu, voire rien.
Dans les tréfonds de la société, dans les villages reculés de montagnes ou personne ne sait lire. Où en apprenant son statut de diplômée de l’université magic, on l’a traité en déesse vivante, parce qu’elle savait soigner et consigner par écrit les contrats entre villageois.
Être un dieu est une sensation désagréable pour Nineveh, si elle avait tant souhaité être une ombre terrifiante, elle serait devenue limier pour le Razkaal. De Shoumei à l’Empire, en passant par la République qu’elle sert bien plus que les deux autres, Nineveh fait un petit tour du monde.
Au bout de plusieurs décennies à aller partout pour perfectionner son art, à expérimenter elle avait le choix : retourner à Magic, ou aller voir son oncle, le fou furieux qui rentrait d’une expédition par-delà les frontières connues.
Ce serait le tonton un peu aliéné sur les bords.
Trop de théorie à Magic, pas assez d’action.
Zayanderud de Basileïa.
Comment le décrire ?
Pressenti pour démarrer un deuxième cursus à Magic après avoir été major de promo, a refusé au motif que les frais d’inscriptions étaient trop chers pour ce qu’il allait apprendre. Il préférait les arcanes noires, les arts obscurs, les expériences interdites.
Zayanderud est le genre de type qui ressent le besoin de commettre toutes les erreurs possibles afin de voir ce qu’il se passe. De démonter toutes les machines qu’il voit pour en comprendre le fonctionnement. Pas de chance pour le reste du monde : il est médecin.
Nineveh l’a suivi dans les colonies de pestiférés pour apprendre la persévérance face à une mort inévitable. Dans les bibliothèques pour se souvenir de ce qui a été oublié depuis longtemps. Créer, détruire, sauver, tout cela représentait des termes trop simples pour le savant fou qu’elle suivait. Il voulait annuler, déconstruire, inverser.
De toutes ces années où sa nièce joue le rôle d’assistante, il lui inculque une seule leçon, la plus importante : le monde civilisé est décevant. Les humains, les onis, toutes les races : ils savent qu’il y a des drames qui se produisent tous les jours, parfois ils sont les auteurs de ces tragédies. Pourtant ils continuent. Ils participent sciemment à cette comédie dégoûtante. Les médecins auront toujours du travail, mais à quel prix ?
La magie est pure, c’est une science transformée en outil. Les dieux, les mortels, ils s’amusent tous à tricoter des malédictions et c’est son travail que de détricoter ces saloperies.
Quel intérêt de faire partie du cycle des hommes, quand un autre le fera très bien à sa place ? La magie pure et dure, personne ne s’y intéresse réellement.
Fidèle à lui-même, Zayanderud demande à Nineveh de repartir de son côté : il n’a plus rien à lui apprendre qui ne compte réellement. Elle ne s'intéresse guère aux arcanes psychiques après tout.
Les aventures reprennent, entrecoupés d’épisodes d’enseignement où elle apprend à d’autres ce qu’elle a expérimenté sur le terrain.
Un beau jour, vient la guerre. Très aimablement résumée par son oncle, lorsqu’elle croise dans un hôpital de campagne.
« Si les dieux étaient aussi forts qu’ils le revendiquent, ce conflit ne serait pas nécessaire.
Et en effet, les titans sont vaincus.
Pour certains, l’heure est à la victoire. Mais pour Nineveh, c’est le moment de partir : se trouver un petit coin isolé, un temple reculé, une petite chapelle au milieu de rien, un endroit paisible où elle soignera des animaux et se perfectionnera encore et toujours.
Elle a eu sa dose de conflits humains pour le moment. Les mineurs qui toussent de l’argent, les guerres civiles, les malades envoyés en exil, tout cela commence à devenir lourd à force. L’elfe décide de partir pour un endroit plus tranquille, à l’écart de l’agitation du monde.
Mais une quête de savoir est un but constant, dont la nature est inconstante. Un soir sur le pas du monastère où elle s’est trouvée une place, se présente un agent de la république au service d’une certaine Elaena Vespera, de la garde de Justice.
Elle a besoin de ses talents.
Retour dans le monde des hommes.
Groupes d'intérêts
Nineveh n’aime pas particulièrement la politique. Que ça soit l’Empire ou la République, elle trouve tout cela fatigant et lunaire. Elle se méfie de ceux qui ne jurent que par une faction. Elle préfère les savants et les mercenaires, qui vivent pour l’art ou l’adrénaline. Ils ont tendance à être honnêtes.


derrière l'écran
Pseudo : Triarii
Comment avez-vous connu le forum ? Topsite (reroll de Vindicar Gracque)
Avis sur le forum : toujours aussi cool

Fréquence de connexion : régulière

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Coucou à toi et rebienvenue sur le forum 
Désolée pour le petit délai d'attente sur ta fiche, grosse semaine !
La bonne nouvelle, c'est que tout est cohérent et en ordre dans cette fiche ! ... Sauf les crédits xD
En effet, puisqu'il s'agit d'un reroll, tu n'as pas accès aux différents bonus. Il faudrait donc éditer pour débuter à 4000.
N'hésite pas à up lorsque ce sera fait ;p

Désolée pour le petit délai d'attente sur ta fiche, grosse semaine !
La bonne nouvelle, c'est que tout est cohérent et en ordre dans cette fiche ! ... Sauf les crédits xD
En effet, puisqu'il s'agit d'un reroll, tu n'as pas accès aux différents bonus. Il faudrait donc éditer pour débuter à 4000.
N'hésite pas à up lorsque ce sera fait ;p

Compte staff - Merci de ne pas me MP.

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