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Citoyen de La République
Sixte V. Amala

Messages : 5
crédits : 390
crédits : 390
Info personnage
Race: Elfe (mi ange)
Vocation: Guerrier assassin
Alignement: Chaotique Neutre
Rang: D

Sixte Vestoria Amala

Race : Ange x Elfe
Sexe : Femme
Âge : 304 ans
Métier : Messagère privée, mercenaire
Taille & poids : 160cm pour 50 kg
Alignement : Chaotique neutre
Faction : République
Rang : D
Religion : Athée (indécise pour être exacte)
Avatar : Yan/Yulia par Wlop
Pouvoirs et objets
Vocation : Guerrier Assassin
Régénération palier 1 -> 250 crédits
Absorption magique -> 1000 Crédits
Agilité et précision palier 1 & 2 -> 1500 crédits
Invisibilité palier 1 -> 250 crédits
Vue augmentée palier 1 -> 150 crédits
Ouïe augmentée palier 1 -> 150 crédits
Super vitesse palier 1 -> 500 crédits
Ce qui nous laisse un total de 3800.
Immunité : Poison / Venin
Faiblesse : Psychique
Objets : Une dague à double lame et une épée courbe.
Régénération palier 1 -> 250 crédits
Absorption magique -> 1000 Crédits
Agilité et précision palier 1 & 2 -> 1500 crédits
Invisibilité palier 1 -> 250 crédits
Vue augmentée palier 1 -> 150 crédits
Ouïe augmentée palier 1 -> 150 crédits
Super vitesse palier 1 -> 500 crédits
Ce qui nous laisse un total de 3800.
Immunité : Poison / Venin
Faiblesse : Psychique
Objets : Une dague à double lame et une épée courbe.
Description physique et mentale
Une inconnue parmi les inconnus, voilà à quoi Sixte aimerait ressembler et il faut admettre que sa petite taille lui permet de se fondre aisément dans la foule. Son gabarit mince, lui, l’aide à se déplacer avec facilité. Un véritable atout pour mener une vie comme la sienne même si il serait mentir que de dire qu’elle n’envie pas les formes généreuses des autres femmes qu’elle peut croiser. Une jalousie tout à fait présente mais dont elle refuserait assurément d’admettre l’existence si on lui posait la question. Le reste de son corps n’est qu’une étendue de muscles fuselés, fins et tendus comme la corde d’un arc, prêt à réagir au moindre signe annonciateur de malheur. Il est également habillé des horreurs du passé, des plaies que le temps n’a su effacer et que l’elfe s’échine à dissimuler avec habilité sous de larges capes aux couleurs sombres qu’elle n’abandonne que très rarement.
Quelle tristesse de vouloir passer inaperçue en possédant une chevelure comme la sienne. Parfois d’un blanc nacré quand le soleil reflète ses rayons dessus, parfois d’un gris plus foncé lorsqu’elle passe dans l’ombre, il est certain que d’aucun saurait s’en souvenir. Son visage quant à lui possède toute la candeur dont Sixte a été dépossédée il y a de cela de trop nombreuses années, son nez en trompette, ses pommettes hautes, ses lèvres dessinées, sont autant d’arguments qui incite les badauds à voir en elle douceur et complaisance, deux choses que l’elfe ne connaît guère et un art dont elle n’a pas fait l’usage depuis des temps immémoriaux. Ses yeux aussi peuvent intriguer mais ils ne sont rien de plus et rien de moins que deux perles d’un bleu profond, tirant sur un léger vert lorsque le temps se gâte.
Baratineuse - Provocatrice - Bornée - Désinvolte - Loyale - Courageuse - Débrouillarde - Méfiante - Fière - Déterminée - Patiente - Solitaire
Autrefois Sixte, connu sous le nom de Vestoria, aurait pu être qualifié de douce, de joviale, d’adorable même. Elle était une jeune elfe rayonnante et peut-être un peu naïve, persuadée que le monde ne lui tomberait jamais sur la tête. Elle était de ceux qui pensent que ça n’arrive qu’aux autres, capable de placer sa confiance entre les mains des plus impétueux, convaincu que le bon se cachait en tout un chacun. La vie, sa vie, lui avait prouvé le contraire et n’avait laissé derrière elle qu’une âme aussi torturée que tortueuse. Une étendue amère de colère et de douleur qui n’avait cessé de flétrir jour après jour, années après années, décennies après décennies, jusqu’à faire de Sixte la créature méfiante et solitaire qu’elle est aujourd’hui.
Loin d’être le monstre de cruauté que certains peuvent décrire, elle est une ombre. Elle va et vient où bon lui semble, là où ses commanditaires l’envoies et là où sa présence est requise. Mais elle ne s’attarde que rarement. Sixte ne fait jamais rien de moins ni de plus que ce qu’elle doit faire, elle le fait et c’est tout. Les remords et les regrets sont depuis longtemps ses compagnons de route et sa fierté bien trop pugnace pour qu’elle ne les laisse exister autrement que dans un recoin de son esprit. Sa carapace de solitude et de sarcasme, trop longuement portée, lui en à presque fait oublier qui elle était au départ. Il y a longtemps que Vestoria et Sixte ne sont plus une seule et même personne.
Quelle tristesse de vouloir passer inaperçue en possédant une chevelure comme la sienne. Parfois d’un blanc nacré quand le soleil reflète ses rayons dessus, parfois d’un gris plus foncé lorsqu’elle passe dans l’ombre, il est certain que d’aucun saurait s’en souvenir. Son visage quant à lui possède toute la candeur dont Sixte a été dépossédée il y a de cela de trop nombreuses années, son nez en trompette, ses pommettes hautes, ses lèvres dessinées, sont autant d’arguments qui incite les badauds à voir en elle douceur et complaisance, deux choses que l’elfe ne connaît guère et un art dont elle n’a pas fait l’usage depuis des temps immémoriaux. Ses yeux aussi peuvent intriguer mais ils ne sont rien de plus et rien de moins que deux perles d’un bleu profond, tirant sur un léger vert lorsque le temps se gâte.
Baratineuse - Provocatrice - Bornée - Désinvolte - Loyale - Courageuse - Débrouillarde - Méfiante - Fière - Déterminée - Patiente - Solitaire
Autrefois Sixte, connu sous le nom de Vestoria, aurait pu être qualifié de douce, de joviale, d’adorable même. Elle était une jeune elfe rayonnante et peut-être un peu naïve, persuadée que le monde ne lui tomberait jamais sur la tête. Elle était de ceux qui pensent que ça n’arrive qu’aux autres, capable de placer sa confiance entre les mains des plus impétueux, convaincu que le bon se cachait en tout un chacun. La vie, sa vie, lui avait prouvé le contraire et n’avait laissé derrière elle qu’une âme aussi torturée que tortueuse. Une étendue amère de colère et de douleur qui n’avait cessé de flétrir jour après jour, années après années, décennies après décennies, jusqu’à faire de Sixte la créature méfiante et solitaire qu’elle est aujourd’hui.
Loin d’être le monstre de cruauté que certains peuvent décrire, elle est une ombre. Elle va et vient où bon lui semble, là où ses commanditaires l’envoies et là où sa présence est requise. Mais elle ne s’attarde que rarement. Sixte ne fait jamais rien de moins ni de plus que ce qu’elle doit faire, elle le fait et c’est tout. Les remords et les regrets sont depuis longtemps ses compagnons de route et sa fierté bien trop pugnace pour qu’elle ne les laisse exister autrement que dans un recoin de son esprit. Sa carapace de solitude et de sarcasme, trop longuement portée, lui en à presque fait oublier qui elle était au départ. Il y a longtemps que Vestoria et Sixte ne sont plus une seule et même personne.
Histoire ou test-rp
Un siècle, une décennie, une année ou un jour. Tout cela ne faisait plus de différence pour Sixte. Le temps ne semblait pas avoir d’emprise sur elle, comme sur tous les autres de sa race qu’ils fussent de sang mêlé comme elle ou de sang pur. Elle avait autrefois écouté les anciens lui dire que la vieillesse viendrait bien assez tôt, que les elfes n’avaient pas tant de temps devant eux. Mais, elle, elle trouvait que le temps était bien trop long. Un siècle aurait suffi, deux était déjà trop. Trop de temps gâché, de malheurs passés, de guerre, de mort. Quelques joies avaient parsemés son existence mais il aurait été mentir de dire que le bonheur n’était pas simplement un laps de temps ridiculement court entre deux choses se passant mal. Parfois elle se demandait comme faisaient tous ces êtres à la vie affreusement longue, où puisaient-ils la force de continuer ? Elle enviait les humains ou les gobelins. Elle en avait côtoyé certains. Leurs vies passaient aussi vite qu’un claquement de doigt, un matin ils naissaient, le suivant ils dépérissaient déjà. Pour la majorité d’entre eux, ils ne verraient pas la moitié des horreurs qu’elle croiserait sur sa route. Pour les autres toutefois, elle avait de la peine. Une existence aussi courte réduite à la simple souffrance, c’était une sentence terrible. Mais c’était aussi une sentence rapide.
Juché sur le toit d’un haut bâtiment de Liberty, Sixte laissait ses jambes pendre dans le vide tout en parcourant du regard ce qui l’entourait. La nuit était déjà tombée depuis belle lurette et peu à peu les rues s’étaient vidées pour laisser place au clapotis d’une bruine désagréable qui faisait boucler les petits cheveux récalcitrant qui dépassaient de sa capuche. Au loin, elle aperçut une chandelle s’allumer puis une silhouette féminine se découpa dans l’ombre. L’elfe détourna le regard. Elle n’avait jamais aimé la ville et son vis-à-vis, qu’elle fut Reikoise ou Républicaine, ou même Shoumeirienne d’ailleurs. Si elle avait grossi les rangs de la république autrefois, c’était uniquement pour se protéger. A l'époque trouver asile était une question de survie et le peuple du Reike avait déjà prouvé son inimitié pour les anges qu’ils le soient purement ou partiellement en lui ôtant le peu qui faisait d’elle un demi-ange. Le Shoumei quant à lui était en perdition, et Sixte ne tenait aucunement à revivre ses déboires passés, retourner au point de départ n’était pas une option pas plus que retrouver une foi qui s’était évaporée depuis fort longtemps.
La pluie s’intensifia suffisamment pour obliger la jeune femme à descendre de son perchoir. Elle se laissa glisser le long d’une corniche, longea prudemment une gouttière, qui grinça de mécontentement sous son poids, et se laissa tomber sur un premier balcon dont elle enjamba la balustrade pour rejoindre celui en dessous. A cette heure si, il y avait rarement quelqu’un pour s’offusquer de sa présence et c’était tant mieux car elle put rejoindre l’ombre d’une ruelle exiguë en quelques cabrioles. Plus en aval son coursier l’attendait. C’était une belle bête qu’elle avait acheté au prix fort deux années auparavant. Borgne d’un œil, il était aussi mauvais et teigneux qu’elle l’avait suspecté quand elle était entrée dans sa stalle pour la première fois. Il avait rué dans les brancards en manquant de lui décocher un coup de sabot en pleine figure et avait fini par réussir à lui mordre le dos, lui laissant une marque cuisante pendant plus de deux semaines. Par chance, Seedra -baptisé en raison de sa capacité à vouloir mordre toute forme de vie qui passerait à moins d’un mètre de sa tête -, s’avérait être aussi courageux qu’acariâtre. Il ne lui avait jamais fait défaut malgré tous les kilomètres parcourus. Alors qu’elle s’approchait en silence du hongre dont la robe bai avait viré au noir à cause de la pluie il renâcla et se mit à piaffer d’impatience.
- Oui mon vieux, on va déguerpir.
Qu’il eut compris ou non, les oreilles de Seed s’agitèrent sur son crâne et le claquement de ses sabots se calma. Pour faire bonne mesure il ne s’empêcha pas d’envoyer un coup de dents à sa cavalière qui esquiva sans difficulté. Sixte souleva le rabat en cuir de ses sacoches de voyages et en tira un petit paquet ainsi qu’une enveloppe dont elle brisa le sceau avant de lire l’écriture manuscrite tout en rondeur.
- Eh bien voilà une course que j’aurais peut-être dû refuser finalement… Grommela-t-elle tout en remettant le paquet là où il était et fourrant la lettre dans sa poche. Seed frappa le sol du sabot. - On retourne dans le Reike. A Taisen. Elle s’exprima comme si l’hongre pouvait lui apporter une once de réconfort, à la place il s'ébroua suffisamment fort pour l’asperger de la tête au pied, visage compris, la laissant l’observer avec une moue dubitative.
Sixte n'émit pas d’autres objections, elle ressengla sa selle, descendit les étriers, détacha les rênes de l'anneau en fer et enfourcha son cheval. Elle vérifia que sa dague était bien accrochée à sa ceinture et que son épée était bien attachée à la selle de Seedra puis elle le talonna doucement. Le cheval ne se fit pas prier et descendit calmement la rue dans le silence de la nuit. Quand ils arrivèrent enfin aux portes de la ville, ils prirent le trot et Sixte laissa ses pensées vaquer. Retourner dans le Reike était toujours un véritable supplice, Taisen particulièrement. La simple idée d’y retourner la terrifiait en vérité, malgré la pluie elle pouvait sentir ses joues s’enflammer, son corps devenir moite et ses mains trembler. Ses souvenirs de ce jour-là étaient encore vagues et incertains pour ne pas dire caduques. Lorsque des flash lui revenaient, elle était incapable de dire si il s’agissait de souvenir ou de fabulation de son cerveau. La seule chose dont elle était certaine c’est que Vestoria y avait laissé sa peau et ses ailes pour laisser place à Sixte et des plaies béantes. Après ça, elle avait été mue par une peur atroce et une amnésie féroce qui l’avait enjointe à fuir la ville sans se retourner. Cela remontait maintenant à près d’un siècle, pour autant rien ne s’était jamais totalement effacé. Elle talonna une nouvelle fois les flancs du coursier qui prit un petit galop avant d’allonger ses foulées jusqu’à galoper à bride abattue. Sixte laissa la pluie lui fouetter le visage et le vent cingler et emporter les pensées qui débordaient sans discontinuer.
Juché sur le toit d’un haut bâtiment de Liberty, Sixte laissait ses jambes pendre dans le vide tout en parcourant du regard ce qui l’entourait. La nuit était déjà tombée depuis belle lurette et peu à peu les rues s’étaient vidées pour laisser place au clapotis d’une bruine désagréable qui faisait boucler les petits cheveux récalcitrant qui dépassaient de sa capuche. Au loin, elle aperçut une chandelle s’allumer puis une silhouette féminine se découpa dans l’ombre. L’elfe détourna le regard. Elle n’avait jamais aimé la ville et son vis-à-vis, qu’elle fut Reikoise ou Républicaine, ou même Shoumeirienne d’ailleurs. Si elle avait grossi les rangs de la république autrefois, c’était uniquement pour se protéger. A l'époque trouver asile était une question de survie et le peuple du Reike avait déjà prouvé son inimitié pour les anges qu’ils le soient purement ou partiellement en lui ôtant le peu qui faisait d’elle un demi-ange. Le Shoumei quant à lui était en perdition, et Sixte ne tenait aucunement à revivre ses déboires passés, retourner au point de départ n’était pas une option pas plus que retrouver une foi qui s’était évaporée depuis fort longtemps.
La pluie s’intensifia suffisamment pour obliger la jeune femme à descendre de son perchoir. Elle se laissa glisser le long d’une corniche, longea prudemment une gouttière, qui grinça de mécontentement sous son poids, et se laissa tomber sur un premier balcon dont elle enjamba la balustrade pour rejoindre celui en dessous. A cette heure si, il y avait rarement quelqu’un pour s’offusquer de sa présence et c’était tant mieux car elle put rejoindre l’ombre d’une ruelle exiguë en quelques cabrioles. Plus en aval son coursier l’attendait. C’était une belle bête qu’elle avait acheté au prix fort deux années auparavant. Borgne d’un œil, il était aussi mauvais et teigneux qu’elle l’avait suspecté quand elle était entrée dans sa stalle pour la première fois. Il avait rué dans les brancards en manquant de lui décocher un coup de sabot en pleine figure et avait fini par réussir à lui mordre le dos, lui laissant une marque cuisante pendant plus de deux semaines. Par chance, Seedra -baptisé en raison de sa capacité à vouloir mordre toute forme de vie qui passerait à moins d’un mètre de sa tête -, s’avérait être aussi courageux qu’acariâtre. Il ne lui avait jamais fait défaut malgré tous les kilomètres parcourus. Alors qu’elle s’approchait en silence du hongre dont la robe bai avait viré au noir à cause de la pluie il renâcla et se mit à piaffer d’impatience.
- Oui mon vieux, on va déguerpir.
Qu’il eut compris ou non, les oreilles de Seed s’agitèrent sur son crâne et le claquement de ses sabots se calma. Pour faire bonne mesure il ne s’empêcha pas d’envoyer un coup de dents à sa cavalière qui esquiva sans difficulté. Sixte souleva le rabat en cuir de ses sacoches de voyages et en tira un petit paquet ainsi qu’une enveloppe dont elle brisa le sceau avant de lire l’écriture manuscrite tout en rondeur.
- Eh bien voilà une course que j’aurais peut-être dû refuser finalement… Grommela-t-elle tout en remettant le paquet là où il était et fourrant la lettre dans sa poche. Seed frappa le sol du sabot. - On retourne dans le Reike. A Taisen. Elle s’exprima comme si l’hongre pouvait lui apporter une once de réconfort, à la place il s'ébroua suffisamment fort pour l’asperger de la tête au pied, visage compris, la laissant l’observer avec une moue dubitative.
Sixte n'émit pas d’autres objections, elle ressengla sa selle, descendit les étriers, détacha les rênes de l'anneau en fer et enfourcha son cheval. Elle vérifia que sa dague était bien accrochée à sa ceinture et que son épée était bien attachée à la selle de Seedra puis elle le talonna doucement. Le cheval ne se fit pas prier et descendit calmement la rue dans le silence de la nuit. Quand ils arrivèrent enfin aux portes de la ville, ils prirent le trot et Sixte laissa ses pensées vaquer. Retourner dans le Reike était toujours un véritable supplice, Taisen particulièrement. La simple idée d’y retourner la terrifiait en vérité, malgré la pluie elle pouvait sentir ses joues s’enflammer, son corps devenir moite et ses mains trembler. Ses souvenirs de ce jour-là étaient encore vagues et incertains pour ne pas dire caduques. Lorsque des flash lui revenaient, elle était incapable de dire si il s’agissait de souvenir ou de fabulation de son cerveau. La seule chose dont elle était certaine c’est que Vestoria y avait laissé sa peau et ses ailes pour laisser place à Sixte et des plaies béantes. Après ça, elle avait été mue par une peur atroce et une amnésie féroce qui l’avait enjointe à fuir la ville sans se retourner. Cela remontait maintenant à près d’un siècle, pour autant rien ne s’était jamais totalement effacé. Elle talonna une nouvelle fois les flancs du coursier qui prit un petit galop avant d’allonger ses foulées jusqu’à galoper à bride abattue. Sixte laissa la pluie lui fouetter le visage et le vent cingler et emporter les pensées qui débordaient sans discontinuer.
Groupes d'intérêts
Elevée dans le culte des divins, Sixte a eut à subir les déboires découlant de ses origines angélique. En grandissant elle a finit par exécrer les Titans au point de renier sa propre foi les tenants pour responsables de la vision des gens vis à vis de ceux de son espèce. Elle voue aussi une haine farouche au Reike dans sa totalité à cause de ce qu'une poignée d'entre eux lui ont fait subir. Loin d'être objective à ce sujet, c'est un débat qu'il vaut mieux ne pas aborder avec elle.
Lutte contre les titans
Culte des divins
Lutte contre les titans
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derrière l'écran
Pseudo : Little/Nishini
Comment avez-vous connu le forum ? Elyséa m'a menacé
Avis sur le forum : Il est joulie, complet et tout à fait sympathique mais je m'arrache les cheveux sur les annexes depuis des semaines alors une petite part de moi vous déteste

Fréquence de connexion : Quand j'ai envie eheheheh (mais j'ai tendance à être régulière ou prévenir en mp)

Citoyen de La République
Sixte V. Amala

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Citoyen du monde
Louise Aubépine

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