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Mirelys

Race : Drakyn
Sexe : Femme
Âge : 25 ans
Métier : Esclave
Taille & poids : 225cm & 180kg
Alignement : Neutre bon
Faction : Reike
Rang : E
Religion : Shierak
Avatar : Original
Pouvoirs, objets, autres
Pouvoirs :
Force surhumaine - Palier 2 (1500cr (-50%))
Immunités : Psychique
Faiblesses : Poison/venin
Vocation : Guerrière
Sous spécialisation : Combattante
Langue natale : Shierak qiya
Langue secondaire : Commun
Objets :
• Un parchemin attestant de son appartenance à la famille Leotoris, possédant une signature magique
• Longue hallebarde décorée de la maison Leotoris

Force surhumaine - Palier 2 (1500cr (-50%))
Immunités : Psychique
Faiblesses : Poison/venin
Vocation : Guerrière
Sous spécialisation : Combattante
Langue natale : Shierak qiya
Langue secondaire : Commun
Objets :
• Un parchemin attestant de son appartenance à la famille Leotoris, possédant une signature magique
• Longue hallebarde décorée de la maison Leotoris

Description physique et mentale
- J'appartiens à la maison Leotoris, bien sûr. Que puis-je faire pour vous?
Esclave d'une noble famille de Kyouji, dans l'Empire du Reike, pour sa plus grande joie. Son tatouage d'éternelle esclave plaqué au fer rouge se cache sur sa nuque, masqué par sa longue chevelure. Son corps entier porte les stigmates de son tumultueux passé aux mains de son ancien propriétaire. Pas moins d'une centaines de cicatrices marquent sa peau sur la totalité de son corps, avec des traces plus profondes dans le dos, caractéristiques de coups de fouet. Ses membres sont aussi bardés de lacérations, dans des blessures qui n'ont rien à voir avec une vie de guerrière, même pour un œil peu averti. Elle est une esclave très convenablement habillée bien que ses vêtements à peine renforcés d'une couche de cuir ne semblent pas dédiés au combat.
- Un millefeuille? Est-ce que cela est comestible?
Naïve et ignorante, il est facile de la tromper. Le monde est vaste et la guerrière n'en connais qu'une très infime partie, mal qui plus est. Ce qui la rends extrêmement curieuse vis-à-vis de son environnement, quitte à oublier ce qu'elle faisait pour une chose plus intéressante. Un comportement enfantin directement lié à ses séquelles psychologiques. Considérée par beaucoup comme une simple d'esprit, elle n'est cependant pas du genre à aller à l'encontre de sa morale et par extension de celle inculquée par la famille Leotoris. Elle se refuse à braver les interdits mais fera de son mieux si son sens moral lui dicte une conduite différente vis-à-vis des règles en vigueur.
- Je n'apprécie guère les actes de violence aveugles et nihilistes.
Ayant appris la valeur de la vie et de la rédemption de l'âme, la guerrière est devenue profondément pacifiste. Elle n'aime pas croiser le fer bien qu'elle le fera si aucune autre option n'est disponible. La grande importance qu'elle accorde à l'existence des autres l'empêche de ôter des vies, sauf dans le cas de la chasse ou des créatures sans âme. Bienfaitrice, elle ne perds jamais une occasion d'aider son prochain sans forcément demander quelque chose en retour. Et bien entendu, elle est la première à mettre sa vie en jeu quand il s'agit de protéger une personne du danger, ou de prendre le parti des causes perdues.
- Rien ne vaut la clarté des rayons lunaires ou la chaleur réconfortante du soleil.
Malgré sa joie de vivre et son optimisme, elle peine à échapper aux traumatismes de son passé. Son passif barbaresque, dont il ne reste que des souvenirs diffus, lui rappelle sans cesse qu'elle est coupable d'abandonnement et de lâcheté. Son passé d'esclave, emplit de souffrances, d'endroits exigus et sombres, d'objets de torture dont la seule vue est capable de lui donner des nausées. Elle lutte grâce à la force de son esprit, de sa croyance envers les cieux et les astres. La religion est l'une de ses plus grandes forces, aussi elle n'hésite pas à prier dès qu'elle rencontre des difficultés. Si elle peut aider quelqu'un par le biais de sa foi, elle le fera sans hésiter.
- Je ne m'effraie plus du regard des autres. Sauf peut être de mes semblables.
Haute de ses deux mètres et vingt-cinq centimètres de hauteur, elle possède la typique carrure d'une drakyn en bonne santé. Sa musculature est moindre cependant par rapport à l'époque où elle brigandait avec sa tribu, et ses précieuses cornes de dragon ont étés clairement coupées à un stade de sa vie. Elle craint le regard de ses congénères, elle qui est devenue esclave et a perdu sa fierté ainsi que son honneur. Comme on lui a fait croire qu'elle était une créature laide, elle peine à comprendre les éventuels compliments sur son physique et ne prends guère la peine de s'embellir. Sa chevelure mi-longue teintée en vert est constamment en bataille et ses vêtements sont rarement féminins.
- Pourriez-vous avoir l'amabilité de parler moins vite?
Sa voix rauque ne semble avoir aucune difficulté à s'exprimer avec douceur. Elle parle le commun de manière assez soutenue pour une barbare, et s'exprime parfaitement en Shierak qiya avec un accent qui rappelle les tribus les plus australes du désert. Elle ne connait aucune autre langue et peine encore à lire le commun tout en ne sachant guère l'écrire. Son éducation au sein des Leotoris n'a guère été suffisante, elle qui est pratiquement repartie depuis zéro après ses séquelles mentales. Ses propriétaires ont au moins fait en sorte qu'elle s'exprime convenablement et n'ait aucune difficulté à converser avec d'autres.
Esclave d'une noble famille de Kyouji, dans l'Empire du Reike, pour sa plus grande joie. Son tatouage d'éternelle esclave plaqué au fer rouge se cache sur sa nuque, masqué par sa longue chevelure. Son corps entier porte les stigmates de son tumultueux passé aux mains de son ancien propriétaire. Pas moins d'une centaines de cicatrices marquent sa peau sur la totalité de son corps, avec des traces plus profondes dans le dos, caractéristiques de coups de fouet. Ses membres sont aussi bardés de lacérations, dans des blessures qui n'ont rien à voir avec une vie de guerrière, même pour un œil peu averti. Elle est une esclave très convenablement habillée bien que ses vêtements à peine renforcés d'une couche de cuir ne semblent pas dédiés au combat.
- Un millefeuille? Est-ce que cela est comestible?
Naïve et ignorante, il est facile de la tromper. Le monde est vaste et la guerrière n'en connais qu'une très infime partie, mal qui plus est. Ce qui la rends extrêmement curieuse vis-à-vis de son environnement, quitte à oublier ce qu'elle faisait pour une chose plus intéressante. Un comportement enfantin directement lié à ses séquelles psychologiques. Considérée par beaucoup comme une simple d'esprit, elle n'est cependant pas du genre à aller à l'encontre de sa morale et par extension de celle inculquée par la famille Leotoris. Elle se refuse à braver les interdits mais fera de son mieux si son sens moral lui dicte une conduite différente vis-à-vis des règles en vigueur.
- Je n'apprécie guère les actes de violence aveugles et nihilistes.
Ayant appris la valeur de la vie et de la rédemption de l'âme, la guerrière est devenue profondément pacifiste. Elle n'aime pas croiser le fer bien qu'elle le fera si aucune autre option n'est disponible. La grande importance qu'elle accorde à l'existence des autres l'empêche de ôter des vies, sauf dans le cas de la chasse ou des créatures sans âme. Bienfaitrice, elle ne perds jamais une occasion d'aider son prochain sans forcément demander quelque chose en retour. Et bien entendu, elle est la première à mettre sa vie en jeu quand il s'agit de protéger une personne du danger, ou de prendre le parti des causes perdues.
- Rien ne vaut la clarté des rayons lunaires ou la chaleur réconfortante du soleil.
Malgré sa joie de vivre et son optimisme, elle peine à échapper aux traumatismes de son passé. Son passif barbaresque, dont il ne reste que des souvenirs diffus, lui rappelle sans cesse qu'elle est coupable d'abandonnement et de lâcheté. Son passé d'esclave, emplit de souffrances, d'endroits exigus et sombres, d'objets de torture dont la seule vue est capable de lui donner des nausées. Elle lutte grâce à la force de son esprit, de sa croyance envers les cieux et les astres. La religion est l'une de ses plus grandes forces, aussi elle n'hésite pas à prier dès qu'elle rencontre des difficultés. Si elle peut aider quelqu'un par le biais de sa foi, elle le fera sans hésiter.
- Je ne m'effraie plus du regard des autres. Sauf peut être de mes semblables.
Haute de ses deux mètres et vingt-cinq centimètres de hauteur, elle possède la typique carrure d'une drakyn en bonne santé. Sa musculature est moindre cependant par rapport à l'époque où elle brigandait avec sa tribu, et ses précieuses cornes de dragon ont étés clairement coupées à un stade de sa vie. Elle craint le regard de ses congénères, elle qui est devenue esclave et a perdu sa fierté ainsi que son honneur. Comme on lui a fait croire qu'elle était une créature laide, elle peine à comprendre les éventuels compliments sur son physique et ne prends guère la peine de s'embellir. Sa chevelure mi-longue teintée en vert est constamment en bataille et ses vêtements sont rarement féminins.
- Pourriez-vous avoir l'amabilité de parler moins vite?
Sa voix rauque ne semble avoir aucune difficulté à s'exprimer avec douceur. Elle parle le commun de manière assez soutenue pour une barbare, et s'exprime parfaitement en Shierak qiya avec un accent qui rappelle les tribus les plus australes du désert. Elle ne connait aucune autre langue et peine encore à lire le commun tout en ne sachant guère l'écrire. Son éducation au sein des Leotoris n'a guère été suffisante, elle qui est pratiquement repartie depuis zéro après ses séquelles mentales. Ses propriétaires ont au moins fait en sorte qu'elle s'exprime convenablement et n'ait aucune difficulté à converser avec d'autres.
Histoire
-50 // Le clan Aradhret est chassé du Reike après une énième guerre entre peuplades. La tribu erre sur de nombreux territoires et finit par s'installer durablement dans les terres du nord malgré un climat difficile et un environnement hostile.
- L'exode des perdants:
- Lorsque leurs terres désertiques furent dérobées après une multitude de rixes sanglantes entre clans barbares, seule l'exode offrait une chance de survie à la tribu Aradhret. Peuple fier uniquement composé de Drakyns, leur prédisposition à la violence faisaient d'eux de piètres alliés, souvent peu fiables ou bien trop agressifs. Le risque d'être anéanti l'emportant sur l'obstination guerrière, le clan avait fini par partir, s'improvisant nomade du jour au lendemain. Partit vers le nord, harcelés par des poursuivants opportunistes, il trouva refuge dans l'un des endroits les plus inhospitaliers du Sekai: les terres du nord. Un village construit à flanc de falaise, dans une des rares zones convenables à un semblant de vie. Nul ne se doutait à quel point ces lieux étaient hostiles, que ce refuge constituerait tôt ou tard leur perte.
-22 // Naissance d'Ystosh. Un tiers de la tribu a péri depuis l'exode, le clan se tourne vers le banditisme pour vivre.
- La barbarie avant la fierté:
- Chasser était aussi périlleux que nécessaire. Seule la chair pouvait permettre au clan de survivre, mais les créatures qui rôdaient dans cette contrée étaient vicieuses, nombreuses, mortelles. Rien que par les attaques de bêtes sauvages, un tiers de la tribu avait été perdu depuis la création du repaire. Néanmoins, aucun ne voulait partir de ces lieux: il s'agissait d'une mise à l'épreuve de leur force, de leur volonté guerrière. Il n'était plus question de se limiter à la poursuite risquée des monstres alentours, la découverte des sentiers de passage de différentes caravanes elfiques ou reikoises offrait de nouvelles opportunités aux Aradhret. Dérober les biens des autres, en particulier la nourriture devint vite la norme pour la tribu et ce au risque de dramatiques conséquences futures. Dans cette période naquit la jeune drakyn Ystosh, qui serait plus tard connue sous le nom d'Ystosh la lâche.
-12 // La tribu est réduite à une cinquantaine de personnes. Instauration de l'Hoskagon, un rituel obligeant les combattants à boire un breuvage divin avant d'aller au combat.
- Accalmie:
- Un semblant de paix pendant dix années, un répit accordé au village barbare. Les attaques de créatures moins fréquentes, un climat moins houleux, et surtout, l'apaisement entre le clan et les différentes factions locales. Grâce à des marchands âpres de négociations, un système de troc primitif fut mis en place. Les caravanes pouvaient ainsi bénéficier de la protection du clan pendant une partie de leur trajet, en échange de nourritures diverses. Le Reike ayant d'autres problèmes plus graves sur ses terres à résoudre, la tranquillité des Aradhret était garantie pendant un temps. Le problème de la nourriture restait présent, pas toujours suffisante pour nourrir tout le monde. Les shamans mirent en place l'Hoskagon, alias la Fierté. Un breuvage composé à base de plantes, d'ingrédients divers, dont l'ingestion provoquait une véritable frénésie guerrière, la répression des émotions comme la peur ou la pitié. Ainsi la chasse de créatures toujours plus dangereuses ne se solderaient que par d'héroïques victoires, éliminant le besoin de mendier la viande auprès des marchands.
-8 // Premier rituel initiatique d'Ystosh, la tribu promulgue l'exocannibalisme systématique pour s'approprier la force de leurs adversaires.
- Dans les ténèbres:
- L'heure de l'épreuve ultime sonnait. C'était comme si le Sekai tout entier rappelait à ces drakyns arrogants à quel point ces terres étaient mortelles, qu'elles ne devaient pas être foulées. De vaillants guerriers perdaient la vie en chassant, en protégeant le repaire, ou en se confrontant à l'intensification des patrouilles Reikoises sur les chemins marchands. Un début de famine guettait le clan, et nombreux furent ceux qui se tournaient vers les Astres pour trouver réponse à leurs craintes. La consommation répétée de l'Hoskagon rendait les guerriers fous, la pensée rationnelle s'évanouissait peu à peu pour ne laisser que la violence et la haine à l'état pur. Dans cette période trouble et au terme de son rituel initiatique, la jeune drakyn Ystosh devint une guerrière lorsqu'elle ôta la vie à sa première victime. Bien que violente et impitoyable, sa prédisposition à la fuite et à la lâcheté face au danger, même sous l'effet de l'Hoskagon, faisait d'elle la honte du clan et elle fut surnommée Ystosh la lâche. La tribu se perdit dans un cycle de violence sauvage, poussant le barbarisme à l'exocannibalisme. Dévorer le cœur ou le cerveau de ses adversaires pour en obtenir la force vitale, mais aussi contenter les estomacs grondants.
-5 // Des soldats du Reike détruisent le repaire du clan. Pratiquement tous périssent, drogués à l'Hoskagon. Les rares survivants fuient la contrée.
- Châtiment:
- C'était par un matin nuageux, froid, sombre. Cela avait commencé par une pluie de flèches, puis par des sorts magiques enflammés qui ne firent qu'une bouchée des maisonnettes barbares. Construit à flanc de falaise, le repaire encerclé n'offrait aucune autre possibilité aux Aradhret que l'affrontement. Les drakyns firent quelques dernières prières et s'élancèrent à la rencontre de leurs assaillants après avoir consommé leur ultime Hoskagon. Une trentaine de minutes plus tard, tout était fini. Les soldats reikois repartaient d'où ils étaient venus en bon ordre de marche, laissant les créatures inhospitalières de la région se charger des dépouilles barbares. Si pour le Reike le problème était réglé, des nouvelles rapportant des attaques commises par des drakyns isolés laissa supposer qu'il y avait des survivants. Aussi, des primes furent offertes pour la mise à mort ou la capture des sauvages restants, marquant le début de la cavale d'Ystosh la lâche.
-4 // Ystosh est capturée par des chasseurs de prime. Elle est jugée au Reike et condamnée à l'esclavage à vie. Début de nombreuses années de souffrances aux mains d'un riche noble.
- Netsach Ebed:
- Frappée par un projectile rond à la tête, la barbare avait fini par s'effondrer après un court combat. Les chasseurs mettaient ainsi un terme à plusieurs mois de cavale d'une des rares survivantes de la tribu Aradhret. Elle n'avait pas péri sous les épées des soldats Reikois, elle s'était enfuie comme une lâche par un passage dérobé dans la roche. Avec elle, quelques enfants, quelques mères, la plupart ayant perdu la vie face à à la faune locale au fil des semaines. Ystosh avait fini par se séparer des rares rescapés pour semer des chasseurs de prime, les abandonnant à leur sort jusqu'à son inévitable capture. Elle fut menée à Taisen, là où son jugement était aussi simple que prévisible: condamnée à l'esclavage à vie pour crimes de barbarie, de meurtre, et autres atrocités sauvages. Peu importait la méthode ou l'endroit, l'esclavage serait le premier et dernier métier de sa misérable existence.
Nul n'était cependant capable de faire obéir une drakyn convenablement, qui plus était aux origines aussi barbares. Elle fut un temps reléguée aux arènes, là où elle combattait telle une bête sauvage pour le plaisir sadique des spectateurs. Une existence sanglante qui aurait fini tôt ou tard par lui coûter la vie. Mais peut être la mort aurait-elle été préférable à cet achat par ce riche noble de Taisen, dont la fortune n'avait d'égale que sa cruauté. L'homme s'était mis en tête de faire de la barbare une esclave docile pour assouvir ses plus bas instincts. Il ne craignait guère l'illégalité, aussi il fit usage de toutes les méthodes à sa disposition pour réduire à néant la résistance de la criminelle: par les arcanes ou la magie, les manipulations mentales ou encore d'innombrables tortures physiques et psychologiques, il n'hésitait pas à recourir aux services de 'spécialistes' grassement payés pour parvenir à ses fins. Après trois longues années Ystosh n'était plus que l'ombre d'elle-même, ayant mentalement régressé plutôt que de devenir l'esclave docile qu'espérait son propriétaire. Malgré tout elle restait une sorte de trophée qu'il gardait chez lui précieusement, et ce jusqu'à sa mort.
An 1 // Physiquement et mentalement marquée par des années de torture, Ystosh est achetée par Kalhede Leotoris, patriarche d'une noble famille de Kyouji.
- La fin d'un calvaire:
- Un homme qui paraissait plus âgé que son véritable âge, drapé d'une tunique blanche qui lui donnait l'aspect d'un digne érudit. Peu bavard, ce noble chef de famille n'était pas un simple vieillard. Kalhede Leotoris, ancien Shekh-drivo qui agissaient sous l'autorité directe de la Reine, désormais à la retraite. Pourquoi avait-il acheté cette barbare qui marmonnait des choses incompréhensibles ? Peut être était-ce le prix dérisoire ou alors simplement par pitié: seule la mort attendait une drakyn en si piteux état. Quand bien même il paraissait inconscient pour certains d'accueillir dans l'enceinte de leur demeure une criminelle au passé barbare, les Leotoris étaient connus pour être des originaux. Il leur arrivait d'offrir des soins même aux étrangers, quitte à faire du troc s'ils n'avaient pas les moyens de payer. Ils estimaient qu'il n'y avait rien de plus précieux que la vie et qu'il fallait prendre soin de son corps pour mener une digne existence.
Aux mains de ces bienfaiteurs désintéressés, Ystosh débuta une longue rééducation aussi bien physique que psychique. Pour le couple âgé, l'esclave était une patiente et ils accordaient peu d'importance à son passé de criminelle. Si les plaies étaient facilement cicatrisées, les blessures de l'âme représentaient un défi que seule la drakyn pouvait surmonter. Une des choses que l'on avait ancré au fer rouge dans son esprit était son passif meurtrier, ainsi que sa lâcheté vis-à-vis des membres de sa tribu qu'elle avait abandonné à leur sort. Avec l'aide de Kalhede et Amisla, la barbare commença à prier pour le salut de son âme, cherchant à échapper à la noirceur du vide dans lequel elle était plongée depuis tant d'années. Au fil des saisons, le regard de la sauvage retrouvait des couleurs et elle voulait se rendre utile auprès des Leotoris non pas pour payer une quelconque dette mais par pur désir de reconnaissance. Le couple se faisant vieux, les tâches du quotidien étaient parfois pénibles. Aussi le dévouement d'une esclave de forte carrure était bienvenu même si elle était techniquement encore en convalescence.
An 3 // Après deux années de convalescence et de servitude, la drakyn pars dans l'inconnu du Sekai pour remplir sa mission à l'égard des Leotoris, mais aussi pour sa propre rédemption.
- L'esclave souriante:
- Malgré de tragiques évènements aussi bien pour Kyouji que pour le Sekai entier, rien ne pouvait entamer la loyauté de la barbare envers la famille Leotoris. Beaucoup disaient qu'elle était une drakyn simple d'esprit, mais la sauvage était contente de servir le couple, elle avait sa place à part entière dans la demeure. Elle avait abandonné son appellation d'origine, choisissant "Mirelys" du nom de la fleur mythique qui trônait sur le blason familial et qui était soi-disant capable de soigner tous les maux. La drakyn a grandement récupéré depuis ses sombres années bien qu'elle n'ait jamais totalement réussi à panser toutes ses blessures psychologiques. Loin de son passé de barbare sanguinaire, elle vit désormais dans l'optimiste espoir d'expier un jour la totalité de ses péchés par le biais de bonnes actions.
Devant la santé défaillante de Kalhede, la barbare se mets en tête de partir à la recherche de la fleur de légende pour soigner son maître. Amisla l'encourage dans son aventure, nourrissant l'espoir que la drakyn puisse refaire sa vie loin de Kyouji et du Reike. Le couple âgé peut toujours compter sur leurs six enfants pour venir s'occuper d'eux de temps à autre, si besoin est. L'esclave prends son envol avec quelques sous, une hallebarde ainsi qu'un parchemin doté d'une signature magique qui atteste de sa possession par la famille Leotoris. Emplie d'un optimisme naïf, elle a bien l'intention de remplir sa mission et de continuer à œuvrer pour le salut de son âme.
Groupes d'intérêts
SHIERAK: La religion fait partie des choses qui l'ont sauvée. Aussi elle est très croyante et prie régulièrement dès qu'elle en a la possibilité.
ESCLAVAGISME: Si on lui retirait son statut d'esclave, elle ne saurait sans doute plus quoi faire de sa vie. Cela fait partie de sa longue marche vers la rédemption.
ESCLAVAGISME: Si on lui retirait son statut d'esclave, elle ne saurait sans doute plus quoi faire de sa vie. Cela fait partie de sa longue marche vers la rédemption.


derrière l'écran
Pseudo : Yaya
Comment avez-vous connu le forum ? par la sainte providence des partenariats
Avis sur le forum : il est magnifique! Je l'ai parcouru dans tous les sens déjà xxxxx
Fréquence de connexion : Aussi souvent que le nombre de fois que j'ai perdu ma fiche ToT
Nota bene : J'espère que ma fiche vous plaira, j'attends vos retours (surtout si j'ai fais des bêtises)

Empereur-dragon du Reike
Tensai Ryssen*

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Info personnage
Race: Drakyn
Vocation: Guerrier combattant
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