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Citoyen du Reike
Marceline Cornebouc

Messages : 50
crédits : 2206
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nom du personnage

Race : Elfe
Sexe : Féminin
Âge : 215
Métier : alchimiste/marchande de produits alchimiques/négociante en informations itinérante
Taille & poids : 1m46 ; 57kg
Alignement : neutre bon
Faction : Reike
Rang : c
Religion : Athée
Avatar : oc – Athlynariss the Copper Dragon
Pouvoirs et objets
Vocation / Spécialité : mage / soutient
crédits de base : 4000
crédits de WOA ajustés : 1422
bonus d'ouverture : 1000
Pouvoirs hors vocation :
invocation d’objets : 1000
Pouvoirs dans la vocation :
télékinésie palier 3 : 250 + 500 + 1000 = 1750
télépathie palier 2 : 250 + 500 = 750
lecture de l'esprit palier 2 : 250 + 500 = 750
Cosmétiques:
Des cornes familiales lui poussent sur la tête
Ses yeux brillent en vert lors qu’elle est concentrée.
Immunité : poison / venin
Faiblesse : psychique
Objets et possessions
une grande roulotte tirée par deux chevaux :
![DC Ellie: L'alchimiste et informatrice itinérante Marceline Cornebouc [terminée] 7d29c010](https://i.servimg.com/u/f47/20/37/89/01/7d29c010.jpg)
un sac, des fioles vides et pleines, du matériel d’alchimie.
un hurdy gurdy, parce que la musique, c'est cool.
un poignard dans le fond de son sac.
Dix shurikens et deux kunais cachés dans des poches secrètes de ses vêtements
Potion intangibilité
Potion d’écoute des pensées : 1000
Potion Laminato
Potion rétrécissement
Total de crédits dépensés 5250
reste : 1172
crédits de base : 4000
crédits de WOA ajustés : 1422
bonus d'ouverture : 1000
Pouvoirs hors vocation :
invocation d’objets : 1000
Pouvoirs dans la vocation :
télékinésie palier 3 : 250 + 500 + 1000 = 1750
télépathie palier 2 : 250 + 500 = 750
lecture de l'esprit palier 2 : 250 + 500 = 750
Cosmétiques:
Des cornes familiales lui poussent sur la tête
Ses yeux brillent en vert lors qu’elle est concentrée.
Immunité : poison / venin
Faiblesse : psychique
Objets et possessions
une grande roulotte tirée par deux chevaux :
![DC Ellie: L'alchimiste et informatrice itinérante Marceline Cornebouc [terminée] 7d29c010](https://i.servimg.com/u/f47/20/37/89/01/7d29c010.jpg)
un sac, des fioles vides et pleines, du matériel d’alchimie.
un hurdy gurdy, parce que la musique, c'est cool.
un poignard dans le fond de son sac.
Dix shurikens et deux kunais cachés dans des poches secrètes de ses vêtements
Potion intangibilité
Potion d’écoute des pensées : 1000
Potion Laminato
Potion rétrécissement
Total de crédits dépensés 5250
reste : 1172
Description physique et mentale
Sage – bienveillante – pacifiste – ouverte d’esprit – observatrice – misandre
Marceline tentera toujours d’éviter de se battre. C’est son credo. Elle n’a pas beaucoup de choix, cela dit, car elle a très peur de se battre. Elle ose espérer cependant qu’elle saura se montrer courageuse pour se sortir du pétrin ou pour assister quelqu’un qui se ferait agresser. Elle est très reconnaissante à sa famille de l’avoir recueillie, aussi sait-elle que rien ne lui est dû, que tout à un prix. Elle se montre aussi très ouverte d’esprit, ne jugeant les gens et les choses qu’intérieurement. Ou plutôt, elle se dit qu’elle ne juge qu’intérieurement mais il lui arrive de se montrer hautaine envers les gens qu’elle juge mauvais ou toxiques, se disant qu’elle essaye de les « éduquer calmement ». Cela ne veut pas dire qu’elle se laisse faire et malgré une bienveillance notamment marchande envers les gens dans le besoin, elle sait marchander et ne se laissera pas avoir. Elle se montre d’ailleurs suffisamment observatrice pour exécuter admirablement son sous-métier de négociante en informations. D’aucuns pourrait la qualifier d’ailleurs de calculatrice et d’intéressée.Autrement, elle a un certain côté aventurier. Ses expéditions l’emmènent toujours plus loin, surtout au Nord. Elle aime voyager, autant que se poser et faire ses expériences. Sa curiosité et son ambition frôle la limite de la folie, parfois, et elle ne cesse de faire des expérience toujours plus dangereuses.
Depuis sa séance de torture, elle est devenue misandre, traumatisée qu’elle est par les symboles phalliques.
Marceline est une elfe noire aux cheveux bruns bouclés. La famille Cornebouc possède la particularité de se voir pousser des cornes ressemblant à des cornes de bouc sur leur tête, rappelant leur appartenance à la famille Cornebouc. Marceline aime porter des vêtement lui donnant un air ésotérique, aussi arrange-t-elle sa tenue et son allure pour passer pour une étrange shamane solitaire et mystérieuse mais très puissante. L’alchimiste est en effet très solitaire, n’ayant eu que quelques amis ici et là, mais aujourd’hui sa solitude lui pèse et elle aime faire de nouvelles rencontres, se rendre utile, être appréciée par les gens autour d’elle. C’est dans ce but qu’elle retourne régulièrement voir sa famille éloignée à Melorn.
Elle ne peut pas vraiment cacher qu’elle est reikoise, à cause de sa couleur de peau, de son allure, de sa roulotte ou encore de ses cornes rappelant son appartenance à son illustre famille, alors elle a choisi que son tatouage reikois se situerais sur le haut gauche de son cou, de la taille d’une paume.
Elle porte également beaucoup de bijoux, sur ses vêtements, ses mains et ses cornes, pour augmenter l'aspect ésotérique et parce qu'ils lui ont été offerts par sa famille.
Elle a une cicatrice de brûlure au tisonnier rouge sur le ventre, souvenir de la séance de torture.
elle portera toujours sur elle son sac, ses fioles, son matériel d’alchimie ; ainsi qu’un un poignard dissimulé dans son sac et d’autres petites armes pour se défendre au cas où.
Histoire ou test-rp
Loin, dans les terres du nord, recouverte déjà d’une fine couche de neige, une enfant avance. Elle affronte le blizzard à la force de ses petites jambes. Elle tient entre ses doigts emmitouflés dans d’épaisses moufles deux petites pierres bleues. Chacun de ses pas est lourd, s’enfonçant profondément dans la neige. Enfin elle atteint les portes d’une ville resplendissante,mais ne prend pas le temps de l’admirer. Elle court dans les rues grouillantes de vie jusqu’à une épaisse porte de bois ; elle l’ouvre et s’engouffre lentement à l’intérieur. Là, une grande femme aux muscles saillants l’accueillirent chaleureusement.
– te revoilà enfin, marceline. Je commençais à m’inquiéter. Je croyais que tu t’étais perdue avec cette tempête qui vient de se lever. Tes parents m’auraient tuée. As-tu trouvé ce que tu cherchais ?
La petite elfe à la peau noire et aux cheveux bruns bouclés montra fièrement les petites billes bleues avec un grand sourire. Elle ôta ensuite son grand manteau de fourrure et le mit à sécher près de l’entrée de la maisonnette, puis se précipita vers un bureau sur lequel trônait un ensemble d’appareils et d’ingrédients. Elle plaça les billes sur un appareil et le mit en fonctionnement.
– fais attention à toi, tout de même, lui dit la femme, inquiète.
– c’est juste une petite expérience, la rassura Marceline, ne t’inquiète pas.
Observant son expérience elle voulut corriger un petit quelque chose ; l’apprentie alchimiste approcha sa main et se prit un violent coup de jus qui la fit crier de douleur. La femme accourut vers elle et la prit dans ses bras mais l’enfant la rassura en lui disant qu’elle allait bien.
– tu devrais mettre des gants quand tu manipules tes trucs, là. Ou alors, tu devrais apprendre la télékinésie, comme ça tu n’aurais plus à y toucher.
Cette idée étant excellente, Marcelline apprit la télékinésie. Cela lui prit de nombreuse années mais le jeu en valait la chandelle. Et puis c’était super classe.
Un soir, quelques jours plus tard, la petite fille était assise dans la neige, à l’entrée de la ville, et tenait fermement dans ses petits bras, à l’intérieur de son manteau une gourde dont le bout dépassait. Elle regardait la forêt, belle et silencieuse. Elle rêvassait, s’imaginait comment allait se dérouler ce qui allait suivre… et puis ils apparurent. Les six membres de l’expédition dans le Grand Nord étaient enfin revenus. Marceline se précipita dans leur direction et se jeta dans leurs bras. Elle fut accueillie par tous les membres de la petite équipe sans exception.
– J’ai fait du thé, annonça-t-elle fièrement en sortant sa gourde de sous son manteau, ton préféré tante Bonnie !
Elle aurait bien fait le thé préféré de ses parents, mais elle n’y avait même pas pensé. L’apprentie alchimiste avait en effet un membre de l’expédition préféré, et ce n’ait pas un de ses parents. Ceux-ci avaient un elle-ne-savait-quoi qui la dérangeait. Une peur accompagnée d’un mal-être quand elle était en leur présence. La petite famille reprit sa marche en direction de la ville de Melorn.
Ils y restèrent quelques jours : le temps de se remettre de cette expédition, de remercier la famille pour son hospitalité et de dire au revoir à tout le monde, puis ils repartirent en direction d’Ikusa, la ville marchande du Reike, à bord de leurs roulottes familiales.
C’est à Ikusa que notre héroïne passa la majorité de son enfance. Bien-sûr elle revint Melorn de temps en temps, mais elle put rapidement participer aux expéditions de sa famille, aussi celle-ci n’avait plus besoin de baby-sitters pour elle. Des expéditions, cette famille en faisait souvent. Et pour cause, ils étaient alchimistes de génération en génération. Ce qu’ils allaient chercher aux confins du monde étaient des composés alchimique aussi précieux que de l’or et plus utile encore. À Ikusa, elle fit ses études pour devenir alchimiste, comme tous les membres de sa famille. Sa tante Bonibelle fut toujours le membre de sa famille préféré. C’était d’ailleurs elle qui lui avait donné le prénom de Marceline, en référence à sa conjointe morte lors d’une expédition quelques années avant la naissance de la Marceline que nous connaissons.
À propos de ses parents, la jeune alchimiste se rendit compte que quelque chose n’allait pas. Ils étaient hautains, arrogants, violents dans leurs propos. Ils considéraient Marceline comme l’héritière d’abord, et la personne ensuite. Toute cette toxicité, Marceline ne voulait pas la supporter. Elle se disputa de nombreuses fois avec ses parents et s’éloigna de plus en plus d’eux. Tout le contraire de sa relation avec Bonibelle, qui devint l’illustre Bonibelle Cornebouc, professeur à l’académie d’Ikusa, autrice de très nombreux parchemins et monographies sur l’alchimie, inventrice de nombreuses potions et sortilèges tous plus utiles et complexes les uns que les autres. C’est dans cet environnement que s’épanouit Marceline, toujours plus curieuse et émerveillée des travaux de sa tante.
La famille Cornebouc était originaire du sud du reike, il y a de cella des milliers d’années, bien avant la première guerre contre les titans, ce qui explique leur couleur de peau. Ils migrèrent vers Melorn à la suite de celle-ci, pour se réfugier dans le dernier bastion de civilisation du monde connu.
la légende racontée dans leur famille prétend que c’était une alchimiste, la matriarche Clélia, qui réussit à se doter de cornes par magie. Elle voulait des cornes de dragon, mais ses cornes ressemblaient plus à des cornes de bouc, et en même temps s’appeler Cornedragon c’était un peu se la péter alors elle choisit de changer son nom pour Cornebouc, qui avait en plus l’avantage de rappeler l’alchimie, déjà activité privilégiée par la famille. Certains membres de la famille la suivirent dans ces deux choix, d’avoir des cornes et de changer leur nom, si bien que rapidement les cornes poussaient dès l’enfance et sans l’aide d’aucune magie chez les membres de la famille.
Bien sûr, tous les membres de la famille ne suivirent pas la matriarche, et ceux qui ne suivirent pas le changement eurent leur propre lignée, qui devint rapidement rivale à la famille Cornebouc, car tout aussi impliqués dans l’alchimie.
Quand elle dut faire son service militaire, Marceline ne se montra pas très douée, aussi fut-elle soulagée de ne plus jamais avoir à tenir d’armes de sa vie quand ce fut fini.
Le jours des deux cent ans de Marcecline, Bonibelle, qui se faisait vieille, lui légua sa roulotte et Marceline ne modifia que légèrement celle-ci pour correspondre à son ambition : devenir alchimiste/marchande de produits alchimiques/négociante en informations itinérante.
Son rêve, elle l’a accompli, mais à quel prix ? Pendant longtemps elle a exercé son métier avec passion mais un jour elle a fait une terrible erreur : elle a révélé par pure bêtise aux autorités qu’elle était en possession d’une information confidentielle. Elle s’est fait torturer pour ça, pour qu’elle dise qui lui a vendu l’information. Elle a eu beaucoup de mal à s’en remettre, et aurait abandonné complètement son métier si elle n’avait pas eu l’aide de Rachelle, qui est devenue en l’aidant sa petite amie.
Revigorée par son amie, elle s’est mise à s’entraîner tous les jours aux arts martiaux qu’elle avait abandonnés jusqu’alors, pour pouvoir se défendre contre l’adversité.
Quand la guerre contre les titans arriva, elle a servi dans l’armée surtout en tant qu’alchimiste, fabriquant principalement des potions de mana et de soin, et moins en tant que soldate.
Quand Rachelle perdit la vue, Marceline a fait de prendre soin d’elle sa priorité.
– te revoilà enfin, marceline. Je commençais à m’inquiéter. Je croyais que tu t’étais perdue avec cette tempête qui vient de se lever. Tes parents m’auraient tuée. As-tu trouvé ce que tu cherchais ?
La petite elfe à la peau noire et aux cheveux bruns bouclés montra fièrement les petites billes bleues avec un grand sourire. Elle ôta ensuite son grand manteau de fourrure et le mit à sécher près de l’entrée de la maisonnette, puis se précipita vers un bureau sur lequel trônait un ensemble d’appareils et d’ingrédients. Elle plaça les billes sur un appareil et le mit en fonctionnement.
– fais attention à toi, tout de même, lui dit la femme, inquiète.
– c’est juste une petite expérience, la rassura Marceline, ne t’inquiète pas.
Observant son expérience elle voulut corriger un petit quelque chose ; l’apprentie alchimiste approcha sa main et se prit un violent coup de jus qui la fit crier de douleur. La femme accourut vers elle et la prit dans ses bras mais l’enfant la rassura en lui disant qu’elle allait bien.
– tu devrais mettre des gants quand tu manipules tes trucs, là. Ou alors, tu devrais apprendre la télékinésie, comme ça tu n’aurais plus à y toucher.
Cette idée étant excellente, Marcelline apprit la télékinésie. Cela lui prit de nombreuse années mais le jeu en valait la chandelle. Et puis c’était super classe.
Un soir, quelques jours plus tard, la petite fille était assise dans la neige, à l’entrée de la ville, et tenait fermement dans ses petits bras, à l’intérieur de son manteau une gourde dont le bout dépassait. Elle regardait la forêt, belle et silencieuse. Elle rêvassait, s’imaginait comment allait se dérouler ce qui allait suivre… et puis ils apparurent. Les six membres de l’expédition dans le Grand Nord étaient enfin revenus. Marceline se précipita dans leur direction et se jeta dans leurs bras. Elle fut accueillie par tous les membres de la petite équipe sans exception.
– J’ai fait du thé, annonça-t-elle fièrement en sortant sa gourde de sous son manteau, ton préféré tante Bonnie !
Elle aurait bien fait le thé préféré de ses parents, mais elle n’y avait même pas pensé. L’apprentie alchimiste avait en effet un membre de l’expédition préféré, et ce n’ait pas un de ses parents. Ceux-ci avaient un elle-ne-savait-quoi qui la dérangeait. Une peur accompagnée d’un mal-être quand elle était en leur présence. La petite famille reprit sa marche en direction de la ville de Melorn.
Ils y restèrent quelques jours : le temps de se remettre de cette expédition, de remercier la famille pour son hospitalité et de dire au revoir à tout le monde, puis ils repartirent en direction d’Ikusa, la ville marchande du Reike, à bord de leurs roulottes familiales.
C’est à Ikusa que notre héroïne passa la majorité de son enfance. Bien-sûr elle revint Melorn de temps en temps, mais elle put rapidement participer aux expéditions de sa famille, aussi celle-ci n’avait plus besoin de baby-sitters pour elle. Des expéditions, cette famille en faisait souvent. Et pour cause, ils étaient alchimistes de génération en génération. Ce qu’ils allaient chercher aux confins du monde étaient des composés alchimique aussi précieux que de l’or et plus utile encore. À Ikusa, elle fit ses études pour devenir alchimiste, comme tous les membres de sa famille. Sa tante Bonibelle fut toujours le membre de sa famille préféré. C’était d’ailleurs elle qui lui avait donné le prénom de Marceline, en référence à sa conjointe morte lors d’une expédition quelques années avant la naissance de la Marceline que nous connaissons.
À propos de ses parents, la jeune alchimiste se rendit compte que quelque chose n’allait pas. Ils étaient hautains, arrogants, violents dans leurs propos. Ils considéraient Marceline comme l’héritière d’abord, et la personne ensuite. Toute cette toxicité, Marceline ne voulait pas la supporter. Elle se disputa de nombreuses fois avec ses parents et s’éloigna de plus en plus d’eux. Tout le contraire de sa relation avec Bonibelle, qui devint l’illustre Bonibelle Cornebouc, professeur à l’académie d’Ikusa, autrice de très nombreux parchemins et monographies sur l’alchimie, inventrice de nombreuses potions et sortilèges tous plus utiles et complexes les uns que les autres. C’est dans cet environnement que s’épanouit Marceline, toujours plus curieuse et émerveillée des travaux de sa tante.
La famille Cornebouc était originaire du sud du reike, il y a de cella des milliers d’années, bien avant la première guerre contre les titans, ce qui explique leur couleur de peau. Ils migrèrent vers Melorn à la suite de celle-ci, pour se réfugier dans le dernier bastion de civilisation du monde connu.
la légende racontée dans leur famille prétend que c’était une alchimiste, la matriarche Clélia, qui réussit à se doter de cornes par magie. Elle voulait des cornes de dragon, mais ses cornes ressemblaient plus à des cornes de bouc, et en même temps s’appeler Cornedragon c’était un peu se la péter alors elle choisit de changer son nom pour Cornebouc, qui avait en plus l’avantage de rappeler l’alchimie, déjà activité privilégiée par la famille. Certains membres de la famille la suivirent dans ces deux choix, d’avoir des cornes et de changer leur nom, si bien que rapidement les cornes poussaient dès l’enfance et sans l’aide d’aucune magie chez les membres de la famille.
Bien sûr, tous les membres de la famille ne suivirent pas la matriarche, et ceux qui ne suivirent pas le changement eurent leur propre lignée, qui devint rapidement rivale à la famille Cornebouc, car tout aussi impliqués dans l’alchimie.
Quand elle dut faire son service militaire, Marceline ne se montra pas très douée, aussi fut-elle soulagée de ne plus jamais avoir à tenir d’armes de sa vie quand ce fut fini.
Le jours des deux cent ans de Marcecline, Bonibelle, qui se faisait vieille, lui légua sa roulotte et Marceline ne modifia que légèrement celle-ci pour correspondre à son ambition : devenir alchimiste/marchande de produits alchimiques/négociante en informations itinérante.
Son rêve, elle l’a accompli, mais à quel prix ? Pendant longtemps elle a exercé son métier avec passion mais un jour elle a fait une terrible erreur : elle a révélé par pure bêtise aux autorités qu’elle était en possession d’une information confidentielle. Elle s’est fait torturer pour ça, pour qu’elle dise qui lui a vendu l’information. Elle a eu beaucoup de mal à s’en remettre, et aurait abandonné complètement son métier si elle n’avait pas eu l’aide de Rachelle, qui est devenue en l’aidant sa petite amie.
Revigorée par son amie, elle s’est mise à s’entraîner tous les jours aux arts martiaux qu’elle avait abandonnés jusqu’alors, pour pouvoir se défendre contre l’adversité.
Quand la guerre contre les titans arriva, elle a servi dans l’armée surtout en tant qu’alchimiste, fabriquant principalement des potions de mana et de soin, et moins en tant que soldate.
Quand Rachelle perdit la vue, Marceline a fait de prendre soin d’elle sa priorité.
Groupes d'intérêts
–Melorn : Marceline a de la famille à Melorn qu’elle visite régulièrement. Elle aime beaucoup cette ville resplendissante et aime y rester longtemps.
–esclavage : Marceline est opposée à cette pratique, bien que son jugement soit plus modéré pour les crimes graves. Elle a accueilli les réformes d’Ayshara avec joie, ce qui la convainquit que celle-ci avait fait ses preuves et était une bonne impératrice. Son jugement n’a pas bougé depuis.
–esclavage : Marceline est opposée à cette pratique, bien que son jugement soit plus modéré pour les crimes graves. Elle a accueilli les réformes d’Ayshara avec joie, ce qui la convainquit que celle-ci avait fait ses preuves et était une bonne impératrice. Son jugement n’a pas bougé depuis.


derrière l'écran
Pseudo : AchlySnotra
Comment avez-vous connu le forum ? Je viens de WOA et j'ai connu celui-ci par top-sites
Avis sur le forum : je sens que je vais bien m'amuser
Fréquence de connexion : journalière

Citoyen du monde
Louise Aubépine

Messages : 351
crédits : 1825
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Marceline !
C'est avec grand plaisir que je te vois de nouveau fouler le sol du Sekai. En espérant que tes démons liés à la torture ne reviennent pas te hanter. Tu as toujours été bien plus courageuse que tu ne le penses et j'espère que tu sauras trouver en toi le courage de continuer d'avancer.
Tu es donc validée !
C'est avec grand plaisir que je te vois de nouveau fouler le sol du Sekai. En espérant que tes démons liés à la torture ne reviennent pas te hanter. Tu as toujours été bien plus courageuse que tu ne le penses et j'espère que tu sauras trouver en toi le courage de continuer d'avancer.
Tu es donc validée !
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