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Citoyen du Reike
Le Porte-Mort

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crédits : 4080
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Mordred de Boktor

Race : Humain
Sexe : Mâle
Âge : 29 ans
Métier : Forgeron
Taille & poids : 1,75m, 62kg
Alignement : Neutre Mauvais
Faction : Empire du Reike
Rang : C
Religion : Divinisme
Avatar : OC
Pouvoirs et objets
- Informations:
- Vocation : À définir
Spécialisation : À définir
[/i]
Immunité : Lumière
Faiblesse : Ombre
- Cosmétique:
Le Marteau de forge du Porte-Mort peut sembler dans un premier temps banal. Seuls les plus fins observateurs se rendront compte que l'outil semble osciller à certains moments, comme s'il respire. Le scrutateur aguerri comprendra lui que l'objet est vivant, habité par une partie de l'âme de Mordred, un spectre condamné à demeurer spectateur d'une vie qui ne lui appartient plus. En de rares occasions, souvent sous des coups de colère, le martel frémit grandement, un œil gorgée de sang apparaît et une partie de l'enveloppe du spectre arrive à s'en détacher sous la forme d'un smog sombre et épais qui ne quitte pas le bout de métal.
- Inventaire:
- Son marteau, un imposant sac-à-dos en cuir, plusieurs besaces, un nécessaire de forge, quelques bougies, une chaîne de trois mètres, une lanterne à capote et une bouteille d'huile, une gourde, un sac de couchage, une tente, quelques minerais et matériaux.
Description physique et mentale
Mordred est un jeune homme aux traits marqués, à la peau claire et aux yeux d'un noir profond qui brillent d'une lueur intense, luisant comme des pierres précieuses dans l'obscurité. Son corps est fin et élancé, témoignant de la grâce qui se dégage de chacun de ses mouvements.
Son visage a des traits durs, qui ajoutaient encore à sa prestance. Son minois est encadré par de longs cheveux noirs, qui tombent en cascade sur ses épaules et semblent flotter doucement au gré du vent. Une frange tombe négligemment sur son front, accentuant l'intensité de son regard, semblable à celui d'un faucon. Sa bouche est mince, ses lèvres légèrement pincées, donnant l'impression qu'il est constamment en train de réfléchir ou de s'adonner à une tâche difficile.
Quant à ses vêtements on pourrait croire qu'il ne s'en soucie guère aux premiers abords, demeurant trop absorbé par l'artisanat pour accorder de l'importance aux futilités extérieures. Cependant, cela ne signifie pas que son apparence est négligée ou indigne de ses origine nobliardes. Au contraire, sa stature est imposante, sa carrure solide, témoignant de l'endurance acquise à la forge.
Il est habituellement vêtu de cuir épais, orné de quelques plaques de métal, qui, bien que modestes, semblent être parfaitement fonctionnels, simple et rustique, témoignent de son goût pour les choses pieuses et pratiques. Ses bottes de cuir brun semblent vieilles et marquées par l'usage, mais elles semblent également avoir été soigneusement brossées pour enlever toute trace de poussière. Les manches de son haut se terminent juste en dessous de ses coudes, exposant ainsi ses bras musclés qui semblaient prêts à manier le fer de forge avec une agilité impressionnante.
Pourtant, sous cette apparence qui peut sembler banale, se cache une personnalité complexe et tourmentée. Mordred est un forgeron maniaque, obsédé par son art et la volonté de donner vie à ses armes. Il voue une véritable passion à son travail, cherchant toujours à atteindre le niveau de son Dieu Titan. Cette quête incessante peut le pousser à des comportements obsessionnels, jusqu'à l'isolement et la négligence de son propre bien-être. Sa psyché semble parfois être en proie à des forces sombres, qui le mettent en conflit avec lui-même et les autres. Il est un personnage énigmatique, dont les émotions et les pensées sont souvent dissimulées derrière une apparence calme et froide, mais qui peut être submergé par des accès de colère ou de passion.
Sous des dehors froids et austères, se cache pour autant un être passionné et tourmenté, empli de contradictions, dont la quête sacrée le conduit sur des chemins dangereux. Toute sa vie est vouée à la recherche de la beauté, du sublime, à travers la création d'objets qui seront autant de témoins de son talent. Sa solitude et sa souffrance sont le prix à payer pour atteindre son objectif ultime, celui de porter en ce monde des objets ayant une âme.
Ainsi, Mordred est un être unique, animé par des passions puissantes et des souffrances intenses, dont l'art était le miroir de l'âme en proie aux tourments. Il est un artiste inspiré, mais aussi un enfant blessé, cherchant dans la perfection de son art une forme de rédemption. Sa personnalité, comme sa forge, est une œuvre en constante évolution, un reflet de l'homme qu'il était et de l'artiste qu'il aspirait à devenir. Il est une figure complexe et fascinante, un être à la fois sombre et lumineux, qui laisse entrevoir sous sa coquille de fer une richesse intérieure insoupçonnée.
Son visage a des traits durs, qui ajoutaient encore à sa prestance. Son minois est encadré par de longs cheveux noirs, qui tombent en cascade sur ses épaules et semblent flotter doucement au gré du vent. Une frange tombe négligemment sur son front, accentuant l'intensité de son regard, semblable à celui d'un faucon. Sa bouche est mince, ses lèvres légèrement pincées, donnant l'impression qu'il est constamment en train de réfléchir ou de s'adonner à une tâche difficile.
Quant à ses vêtements on pourrait croire qu'il ne s'en soucie guère aux premiers abords, demeurant trop absorbé par l'artisanat pour accorder de l'importance aux futilités extérieures. Cependant, cela ne signifie pas que son apparence est négligée ou indigne de ses origine nobliardes. Au contraire, sa stature est imposante, sa carrure solide, témoignant de l'endurance acquise à la forge.
Il est habituellement vêtu de cuir épais, orné de quelques plaques de métal, qui, bien que modestes, semblent être parfaitement fonctionnels, simple et rustique, témoignent de son goût pour les choses pieuses et pratiques. Ses bottes de cuir brun semblent vieilles et marquées par l'usage, mais elles semblent également avoir été soigneusement brossées pour enlever toute trace de poussière. Les manches de son haut se terminent juste en dessous de ses coudes, exposant ainsi ses bras musclés qui semblaient prêts à manier le fer de forge avec une agilité impressionnante.
Pourtant, sous cette apparence qui peut sembler banale, se cache une personnalité complexe et tourmentée. Mordred est un forgeron maniaque, obsédé par son art et la volonté de donner vie à ses armes. Il voue une véritable passion à son travail, cherchant toujours à atteindre le niveau de son Dieu Titan. Cette quête incessante peut le pousser à des comportements obsessionnels, jusqu'à l'isolement et la négligence de son propre bien-être. Sa psyché semble parfois être en proie à des forces sombres, qui le mettent en conflit avec lui-même et les autres. Il est un personnage énigmatique, dont les émotions et les pensées sont souvent dissimulées derrière une apparence calme et froide, mais qui peut être submergé par des accès de colère ou de passion.
Sous des dehors froids et austères, se cache pour autant un être passionné et tourmenté, empli de contradictions, dont la quête sacrée le conduit sur des chemins dangereux. Toute sa vie est vouée à la recherche de la beauté, du sublime, à travers la création d'objets qui seront autant de témoins de son talent. Sa solitude et sa souffrance sont le prix à payer pour atteindre son objectif ultime, celui de porter en ce monde des objets ayant une âme.
Ainsi, Mordred est un être unique, animé par des passions puissantes et des souffrances intenses, dont l'art était le miroir de l'âme en proie aux tourments. Il est un artiste inspiré, mais aussi un enfant blessé, cherchant dans la perfection de son art une forme de rédemption. Sa personnalité, comme sa forge, est une œuvre en constante évolution, un reflet de l'homme qu'il était et de l'artiste qu'il aspirait à devenir. Il est une figure complexe et fascinante, un être à la fois sombre et lumineux, qui laisse entrevoir sous sa coquille de fer une richesse intérieure insoupçonnée.
Histoire
Oh Kazgoth, ô maître des flammes ardentes,
Toi qui manies le marteau comme une épée tranchante
Toi qui de ton enclume fais vibrer la Terre entière
Et des étincelles de ton feu créé la lumière
De ta main experte jaillissent les armes divines
De la matière brute, tu sculptes des œuvres qui fascinent
Le fer, le bronze, l'acier et l'or, tu les façonnent
Jaloux de ton ton savoir-faire, ton nom tes fervents entonnent
Dans ton antre sacrée, ta forge ardente et sublime,
Tu façonne des merveilles, des pièces uniques et dignes,
Chaque coup de marteau frappé avec délicatesse,
Fait naître sous tes mains des œuvres de noblesse.
De tes mains sortent les épées qui ont fait la gloire des rois
Les boucliers qui ont protégé les armées des grands exploits
Les lances qui ont transpercé les cœurs des ennemis impies
Les armures qui ont protégé les plus grands des héros dans leur vie
Ta forge est le cœur battant de notre monde,
Le foyer de la vie où naissent les armes les plus profondes
Et quand tu travailles, ô noble forgeron,
Les étoiles elles-mêmes brillent de l'éclat de tes créations
Tu es le gardien des secrets les plus précieux de notre temps
Le gardien de la vérité qui brûle en chaque artisan
Et chaque arme que tu crées est un témoignage vivant
De la passion qui brûle en toi, de ton art flamboyant
Ô forgeron, ta poésie est telle une mélodie,
Un écho de ta forge qui résonne en parfaite harmonie
Le chant des flammes et des marteaux, un hymne à la vie
Et pour cela, nous t'honorons, ô maître de la forge, pour l'infini.Ode à Kazgoth, Mordred de Boktor dit, le "Porte-Mort".
Introduction
Il est des artisans qui transcendent leur art, dont les créations ne sont pas simplement des objets utilitaires, mais de véritables œuvres d'art, des pièces uniques, des joyaux forgés dans la flamme de la passion et de la perfection. Mordred était un de ces artistes en devenir, un forgeron avec l'ambition d'avoir un nom qui franchit les frontières du Shoumei pour atteindre les contrées les plus lointaines.
Ses armes et armures étaient des chefs-d'œuvre, des témoignages de la maîtrise absolue de son art, des créations qui avaient une âme, une personnalité propre. Chaque jour, il jurait qu'un jour les rois et les seigneurs s'arracheraient ses créations et paieront des sommes considérables pour posséder une épée ou une armure estampillée du sceau de Mordred affublé du titre du "Porte-Mort".
Ce qui caractérise le génie de Mordred n'était pas seulement la qualité de ses créations mais bien son obsession pour la perfection, pour l'essence même de l'art de la forge. Mordred avait passé des années à étudier les secrets de ses prédécesseurs, à explorer les techniques les plus raffinées, à chercher la formule ultime pour donner vie à ses créations.
Et pourtant, derrière cette obsession se cachait un homme sombre, un être torturé, hanté par la tragédie qui avait marqué son adolescence. Mordred était un forgeron possédé, dont l'âme était en proie aux ténèbres et à la douleur, mais qui trouvait dans l'art de la forge un refuge, une catharsis, une façon de transcender sa souffrance.
C'est ainsi que Mordred se frayait un avenir grandiose, en créant des armes et armures qui transcendaient leur fonction utilitaire, qui seraient des œuvres d'art vivantes, des témoignages de la passion et de la perfection de leur créateur. Et c'est ainsi que nous entrons dans l'histoire du de Boktor, un forgeron tourmenté dont l'art est devenu une obsession, une quête pour donner vie à des créations qui ont une âme.
***
![Mordred, le Forgeron "Porte-Mort" [Terminé] 001](https://media.discordapp.net/attachments/1005503196355121314/1099990606329172008/001.png)
Chapitre 1 :
L'augure du titan charron.
![Mordred, le Forgeron "Porte-Mort" [Terminé] 001](https://media.discordapp.net/attachments/1005503196355121314/1099990606329172008/001.png)
Chapitre 1 :
L'augure du titan charron.
La naissance de Mordred fut marquée par le fracas des orages qui éclataient dans le ciel tourmenté de l'automne. Son premier cri résonna comme un écho à la fureur des éléments, comme s'il avait été béni par Kazgoth « le Forgeron ». Né dans le pourpre, son paternel, Atticus, était un benjamin de Boktor qui fut déchu par son aîné, Elias de Boktor, à la suite d'intrigues familiales qu'il délaissait par amour de l'artisanat, le laissant ainsi sans le sou. Fervent obligé des Divins et croyant de la bonne fortune, c'est naturellement qu'il pressenti que son fils serait un grand faiseur de fer, sa naissance ayant été annoncée par la découverte d'un éclat de métal scintillant dans les entrailles du domaine familial. Pour lui, cet enfant serait béni par les Divins et serait la clé de voûte de la reviviscence de la bonne auspice du nobliau déchu.
Mordred passa une enfance heureuse et studieuse, entouré de l'amour de ses parents et de la passion de son père pour la forge. Il apprit à marcher sur les braises et à manier les marteaux avant même de savoir parler. Très tôt, il se mit à aider son paternel à l'atelier, observant attentivement chaque geste, chaque coup de marteau, chaque étape du processus de fabrication. Il était fasciné par la transformation de la matière brute en objets beaux et fonctionnels, et il était convaincu que cet art était une véritable alchimie, capable de donner vie à des armes dignes des plus grands héros.
Peu sociable, sa seule camaraderie se trouvait être une jeune damoiselle de deux ans son aînée qui répondait au nom de Myriem. Admirateur de son aura, il en devenait presque sa poupée à force de la suivre dans ses badinages enfantins et ses manèges de princesse. Encore aujourd'hui, il se remémore l'éclat de son timbre de voix, jurant que sans elle il n'aurait jamais rattrapé son retard langagier.
Mordred grandit dans cette atmosphère créative et nourrissante, façonnant peu à peu son talent et sa personnalité. Il était perfectionniste dès son plus jeune âge, ne se contentant jamais de la médiocrité et cherchant toujours à se dépasser. Le patriarche l'encourageait alors à poursuivre son rêve, sachant que son fils était destiné à devenir un grand forgeron, rivalisant avec les plus grands maîtres-nains. Il était obsédé, et cette passion allait le suivre tout au long de sa vie, le poussant toujours plus loin dans la quête de la perfection.
***
![Mordred, le Forgeron "Porte-Mort" [Terminé] 002](https://media.discordapp.net/attachments/1005503196355121314/1099990318843179059/002.png)
Chapitre 2 :
"Même une braise peut se brûler."
![Mordred, le Forgeron "Porte-Mort" [Terminé] 002](https://media.discordapp.net/attachments/1005503196355121314/1099990318843179059/002.png)
Chapitre 2 :
"Même une braise peut se brûler."
Au plus profond de son être, l'enfant de Boktor était animé d'une passion inextinguible. Ce fanatisme, véritable feu ardent, consumait en lui tous les doutes et les hésitations. Elle l'habitait depuis sa plus tendre enfance et il savait qu'elle le guiderait vers les plus hautes sphères de son art.
C'est à la rencontre avec deux âmes voyageuses que l'ambition du damoiseau fut scellée. Dame Morgath et Lame Noire, une ombra sous son aile. En l'une de ces âmes Mordred y trouva une amourette immature, une passionnette d'adolescent en pleine fleur de l'âge qui se retrouvait à la merci de ses attraits sombres et somptueux qui ne pouvaient laisser indifférents les juvéniles pulsions du jeune de Boktor. En l'autre âme c'est une autre partie irraisonnable de Mordred qui se retrouvait enchantée, celle de son caprice occulte de nécromant en herbe. Si ces yeux ne cessaient de fureter sur la silhouette de l'Ombra, son attention demeurait elle bien ancrée sur le partage de savoirs que Dame Morgath lui accordait. Là, il s'instruisait aux fondements sur les concepts de vie et de mort, d'âme, d'esprit et de corps. Et si la Mage noire se révélait être un réel puit de savoir, déçu était-il d'apprendre que le commun des mortels ne pouvait guère manipuler à sa guise ces concepts là. Et pourtant, cela ne l'empêcha guère d'essayer...
Alors qu'il atteignait l'âge de l'adolescence, une tragédie terrible vint ainsi bouleverser son existence. Au cours d'une nuit sombre et maudite, alors qu'il se trouvait seul dans l'atelier familial, riche des enseignements de la Mage noire, le Porte-Mort en devenir fut saisi d'une inspiration folle. Il ressentit l'appel d'une force mystérieuse qu'il supposait provenir de Kazgoth, qui l'incita à forger un martel d'une rare perfection en usant de ses connaissances morbides fraîchement acquises. Il se mit aussitôt à l'ouvrage, le souffle court et le cœur battant, ignorant les heures qui s'écoulaient et le monde qui l'entourait.
Mais alors qu'il venait de terminer son œuvre, un éclair jaillit du ciel et frappa l'outil, la faisant s'embraser soudainement. La lumière intense et éblouissante émanant du métal déchira l'obscurité de la nuit, illuminant la pièce de façon surnaturelle. Mordred sentit alors une puissance nouvelle l'envahir, une force mystique qu'il ne parvenait pas à comprendre et qui ne faisait écho à aucune des paroles de Morganth. Et alors, comme un rappel, lumière fut de nouveau, cette fois-ci sous le tonnerre d'une explosion assourdissante et aveuglante.
Et alors que les fumées se dissipaient et tandis que le heurtoir continuait de crépiter, Mordred comprit avec horreur que sa propre âme fut déchirée en trois, une partie ayant été transférée dans la lame qu'il venait de concevoir et l'autre dans le marteau avec lequel il avait frappé le métal. Décontenancé, c'est sous la vue des deux globes oculaires qui germaient depuis le marteau et la lame que le jeune homme se connectait à cette vérité qui lui sautait aux yeux. Il était devenu prisonnier de ses propres chef-d'œuvres.
Perdu, désemparé, terrifié, il s'enfuyait alors de chez lui, abandonnant tout derrière lui si ce n'est son outil et cette épée qui signaient à eux deux son échec cinglant. Là, après deux jours de courses, il rejoignait alors la mage noire et son élève qui avaient quitté le village il y a de cela trois lunes. Se faisant une idée de ce qui avait pu se passer grâce à l'assistance de la mage, le damné comprit que ce n'était point en les accompagnant qu'il deviendrait celui qu'il se devait de devenir. Faisant grâce de la lame maudite qui trouvait un écho dans l'appellation de celle pour qui il était épris, il lui offrait ainsi une partie de sa personne comme signe de remerciement pour cette fille d'ombre qui avait su apporter un semblant de lumière dans sa déchéance, avant de s'en aller.
Désormais, Mordred voyageait sans but précis, fuyant les lieux habités, craignant de rencontrer d'autres êtres humains qui pourraient découvrir sa condition. Il était seul, avec pour unique compagnon le marteau qui était devenue une extension de son propre corps. Dans ces moments de solitude, il réfléchissait sur sa propre existence, essayant de comprendre les forces mystérieuses qui régissaient le monde et qui l'avaient conduit à une telle tragédie.
C'est ainsi que Mordred se retrouva à arpenter les routes, à la recherche de réponses à ses questions. Et c'est ainsi qu'il continua de vivre, empli d'une passion insatiable pour la forge et hanté par les mystères de la vie et de la mort.
***
![Mordred, le Forgeron "Porte-Mort" [Terminé] 004C](https://media.discordapp.net/attachments/1005503196355121314/1100019443477782528/004C.png)
Chapitre 3 :
"Battre la chair même."
![Mordred, le Forgeron "Porte-Mort" [Terminé] 004C](https://media.discordapp.net/attachments/1005503196355121314/1100019443477782528/004C.png)
Chapitre 3 :
"Battre la chair même."
Au fil des années et des voyages, le rejeton du Shoumei finit par se retrouvait seul, perdu dans l'immensité du désert, face à lui-même et à ses démons intérieurs. Il avait décidé de se reconnecter à sa passion, de retrouver le feu sacré qui brûlait en lui. Mais cela ne se fit pas sans sacrifice. Le désert était rude, les conditions de vie difficiles, et chaque jour qui passait lui apportait son lot de souffrances et de privations. Il avait dû apprendre à se nourrir des plantes les plus résistantes, à trouver de l'eau dans les endroits les plus inattendus.
Et malgré tout, Mordred s'accrochait à son rêve, se construisant peu à peu une nouvelle forge à même les steppes du Reike à partir de rien, façonnant chaque pierre et chaque minerai de métal minés de ses propres mains. Et tandis qu'il se reconnecté à sa passion, nuits après nuits il fut assailli par des ombres de démons qui le firent vaciller dans sa quête. Des voix sinistres semblaient lui murmurer des mots de doute et de désespoir, et les flammes de la forge semblaient danser à leur rythme.
Mais le Porte-Mort ne se laissait pas abattre. Il avait compris que la souffrance faisait partie intégrante de son art, que la quête de la perfection était un chemin semé d'embûches et de sacrifices. Il fit face à ses ires, repoussa leurs assauts et, grâce à sa force de caractère, parvint à retrouver la voie de sa passion.
C'est ainsi que l'artisan vêtu de blanc, fort de sa détermination et de son talent, réussit à forger des fers d'une qualité exceptionnelle. Les voyageurs et les marchands qui passaient par là remarquèrent les ouvrages qu'ils échangeant avec le jeune homme contre quelques denrées et matériaux, permettant au forgeron d'améliorer sans cesse l'acabit de ces ouvrages. C'est à cette époque de sa vie qu'il fut affublé du titre de "Porte-Mort", en référence au tranchant meurtrier de ses lames mais aussi à son attirail constitué d'une cape blanche et d'un crâne d'ovidé qu'il revêtait pour se protéger des rayons du grand astre et qui lui donner des airs d'ange malfaisant. Le conte du forgeron Porte-Mort ne tardait pas à être murmuré par delà les frontières de la région aride et d'aucuns se vantaient alors de posséder un trésor marqué par l'emblème squelettique du prodige forgeron.
Il avait vécu des années dans le désert, seul avec son art. Il avait appris à aimer cette solitude, à s'en imprégner, à laisser son esprit s'évader au-delà des dunes brûlantes. Il avait forgé des armes merveilleuses, des armures éblouissantes, des bijoux étonnants, qu'il avait vendus ou troqués contre de la nourriture, de l'eau, du matériel. Il avait survécu grâce à son ingéniosité, à son sens de l'observation, à son goût du risque.
Mais un jour, alors qu'il contemplait le soleil couchant, il eut la sensation qu'il était temps pour lui de partir. Il avait compris qu'il avait atteint les limites ici bas qu'il avait besoin de se confronter à d'autres cultures, d'autres savoirs, d'autres défis. Il avait entendu parler des nains de la montagne dont la réputation sur le maniement du fer n'avait guère d'égal. Savoir avoir à mûrir de réflexion il décida alors de les rejoindre dans leur hauts-lieux, convaincu qu'il pourrait y trouver l'inspiration et la reconnaissance qu'il cherchait.
Dans les profondeurs de la montagne, une cité naine se dressait fièrement, ses rues de pierre serpentant entre les rochers. C'était un lieu dur et aride, mais qui regorgeait de richesses inimaginables pour le commun des mortels dont il faisait parti. Les nains y vivaient en harmonie, perpétuant des traditions millénaires et des savoir-faire ancestraux, notamment dans l'art de la forge qui intéressait tant le petit de Boktor. Sans un sou en poche et avec pour seul bagage sa passion pour la forge, Mordred pénétrait alors les lieux avec sa fraîche et ardente envie de découvrir de nouvelles techniques et sa vision de l'art. Seulement, et il fallait s'y attendre, sa présence ne fut pas accueillie à bras ouverts. Les nains ne voyaient en lui qu'un jeune étranger, maniéré et capricieux, qui prétendait indirectement et inconsciemment en savoir plus qu'eux sur leur propre expertise. Ils le regardaient de haut, le toisant avec mépris et se moquant de son physique frêle. Mais le brun ne se laissait pas abattre, se montrant obstiné et opiniâtre il persévérait, même lorsque ses essais échouaient et que les nains le raillaient.
Un jour, alors qu'il avait trouvé refuge dans une vieille forge abandonnée, las de ne pas avoir réussi à se faire une place parmi les locaux, il se ravisa et se reconnectait à son idée folle, celle de donner vie au fer, et non pas dans un sens figuré. Pour les nains, créer une arme vivante, dotée d'une âme, d'une conscience et d'un libre-arbitre n'était que pur folie, et ils avaient beau lui dire que c'était impossible, que cela ne faisait pas partie des règles de leur art, ni même de celles de la vie, que Mordred ne les écoutait pas. Il était convaincu qu'il pouvait y arriver et qu'il devait le faire.
Il commença donc à travailler, avec une énergie et une ferveur qui surprenaient les nains. Il passait des heures à dessiner des plans, à concevoir des formes, à imaginer des mécanismes. Il se mit à forger le métal avec une telle passion que les flammes semblaient jaillir de ses yeux. Mordred avait mis tout son cœur et tout son génie dans la création de ce trésor animé. Il avait cherché à lui insuffler une âme, à lui donner une identité unique, à en faire une œuvre d'art qui surpasserait tout ce qu'il avait fait jusqu'alors. Mais une nouvelle fois, quelque chose avait mal tourné.
Lorsqu'il alluma le feu de la forge, il sentit une énergie étrange circuler dans l'air. Les flammes semblaient plus vives, plus incandescentes, plus agressives. Il commença à marteler le fer, à le plier, à le façonner avec une concentration extrême. Il avait l'impression que la hache prenait vie sous ses yeux, qu'elle se métamorphosait peu à peu en un être vivant, mais lorsque l'œuvre fut enfin achevée, quelque chose sautait aux yeux : un oeil, unique, singulier, gorgé de sang, venait d'apparaître. La hache et son œil ne bougeaient pas, si ce n'est que fébrilement, comme pris d'un souffle léger, comme pris d'un éclat de vie qui se dissipa rapidement telle une brise. Le forgeron de Boktor venait de créé un monstre inerte, une chose étrange, un assemblage de métal froid et mort qui se tortillait de lui-même comme si on avait donner des poumons à un être tout en l'empêchant de respirer.
Les nains de la cité avaient assisté à la scène, silencieux et effrayés. Ils avaient compris que le damoiseau nobliau avait voulu aller trop loin, qu'il avait cherché à défier les lois de la cosmologie. Ils le regardaient maintenant avec une inquiétude mêlée de compassion, se demandant comment ils pouvaient l'aider. Mordred, quant à lui, était désespéré. Il avait l'impression d'avoir perdu une partie de son âme à nouveau, d'avoir égaré sa raison de vivre, son art. Il se sentait vide, inutile, incapable de créer quoi que ce soit de nouveau, comme si le monde entier se moquait de lui, qu'il était condamné à vivre seul avec sa folie. C'est alors qu'un vieil artisan nain, nommé Grimbald, s'approcha de lui. Une main amicale sur son épaule, il lui sourit avec bienveillance, et lui dictant d'une voix douce :
"Arrête de t'lamenter, gamin. On est tous passés par là, des fois ça foire, des fois ça marche. C'est comme ça qu'on apprend, qu'on progresse, qu'on s'enrichit. T'es pas tout seul, t'es d'not' famille maintenant. On va t'redresser, t'redonner l'goût du boulot, t'refaire confiance, t'aider à réinventer ton art. Fais-nous confiance, on a l'expérience."
Comme un jeune enfant à l'écoute d'une mère nourricière, il fut touché par la gentillesse de Grimbald, sentant comme par magie une lueur d'espoir s'allumer en lui. Alors, il décida de suivre ses conseils, de travailler avec les nains, d'apprendre de leurs techniques, de partager leurs savoirs. Il comprit que l'art de la forge n'était pas un art solitaire, mais un art collectif, qui se nourrissait de l'expérience des autres, de la diversité des cultures, des échanges. Il comprit que son idée de créer des armes vivantes était une impasse. Il était temps de se reconnecter à la forge pure, de travailler avec humilité et patience, de chercher à perfectionner son art plutôt que de le révolutionner.
Il apprit à maîtriser le feu grâce à la magie des nains, qui lui révélèrent les secrets de la combustion, de la température, de l'oxydation. Il comprit que le feu était l'essence même de la forge, qu'il était la source de la vie, de la chaleur, de la lumière. Il se mit à l'écouter, à le respecter, à le craindre un peu. trois longues années il passa à travailler avec acharnement, à forger des armes magnifiques, des armures incroyables, des bijoux époustouflants, toujours sublimés de même estampille. Il devint un maître de la forge, respecté et admiré par tous, y compris par les nains les plus anciens. Il avait compris que la forge était avant tout un art du cœur, de la patience, de la persévérance, qui demandait du temps, de la réflexion, de l'humilité.
Il se mit à apprécier la vie à la montagne, à partager les joies et les peines des nains, à respecter leurs coutumes et leur culture. Il se lia d'amitié avec des forgerons, des mineurs, des commerçants, qui partageaient sa passion pour la forge. Et lorsqu'il cru avoir trouvé sa place dans le monde, sa raison de vivre, son art, ce sont les nains eux-mêmes qui ordonnaient à la jeune pousse à s'en aller. Dans un premier temps, le jeune fut surpris, voire même un peu contrarié, de cette décision. Après tout, il se sentait bien parmi les nains et avait même l'impression qu'il avait encore beaucoup à apprendre d'eux. Ce n'est que dans un second temps et après discussions qu'il comprit alors que leur intention était bonne, qu'ils cherchaient avant tout à lui offrir une chance de progresser, de se réaliser, de s'accomplir.
Avec dépit, il décida donc de suivre leur conseil, prit son sac de voyage, et se mit en route vers l'Empire de Reike qui serait selon les anciens la destination pour qui souhaiterait s'instruire sur les sujets ésotériques au sein de l'université de Drakstrang. Ils savaient que la quête ultime du génie forgeron ne connaîtrait point de limites, aussi, ils avaient espoir que l'infrastructure lui fournirait un cadre afin de contenir et apprivoiser son objectif occulte.
Le voyage fut long et pénible, mais Mordred n'en fut pas découragé. Il avait le cœur léger, l'esprit ouvert, avide de nouvelles découvertes. Il traversa des montagnes, des plaines, des forêts, des déserts, des rivières, des mers. Il rencontra des peuples étranges, des créatures fantastiques, des dangers inouïs. Comme toujours, il ne se laissa pas abattre. Il continuait à avancer, à chercher, à découvrir. Et lorsqu'il arriva enfin à l'Empire de Reike, il fut émerveillé. Il y trouva une civilisation raffinée, des artistes talentueux, des artisans renommés.
Il y rencontra des professeurs qui le formèrent avec rigueur et exigence. Ils lui apprirent à travailler des matériaux exotiques, des magies surprenantes, des formes inédites. Ils lui montrèrent comment intégrer de manière sécuritaire la magie dans ses créations, comment user son mana pour parfaire ses créations, comment parfaire ses chefs-d'œuvre avec un soupçon de fantasme. Aussi, en s'affiliant avec le Régiment Spécial des Animaux Fantastiques, le jeune de Boktor eu accès à des matériaux rares qui ont permis à son artisanat de s'épanouir, devenant progressivement obsédé par le potentiel des organes, des cuirs et autres parties du corps de ces créatures sur l'amélioration de ses œuvres. Faisant fit de toute morale et toute empathie envers les ressources animalières, certains collaborateurs du RSAF commencèrent alors à s'inquiéter du comportement du jeune arriviste comme avaient pu les faire ses amis nains il y a de cela quelques années. Zélé, Mordred demeurait cependant convaincu du bienfondé de son travail, raisonnant sur le fait que ses armes et armures étaient nécessaires pour protéger la souveraineté du Reike et que ces sacrifices étaient ainsi tout bonnement justifiés.
Pourtant, derrière cette vie, se cachait une douloureuse réalité. Les longues années passées dans le désert, dans la montagne et aujourd'hui dans la cité avaient laissé des marques profondes sur l'âme de Mordred. Les démons du désert ne l'avaient guère abandonné au même titre que ses ambitions cabalistiques. Et si ses échecs avaient laissé des cicatrices indélébiles dans son esprit, elles ne pouvaient l'empêcher de mûrir de nouveau l'idée de recommence. C'était là sa quête ultime, celle qui lui permettrait de transcender sa propre souffrance pour créer des armes divines qui incarneraient la quintessence de son âme tourmentée. Chaque jour, il travaillait sans relâche, cherchant toujours plus loin les matériaux les plus rares et les plus mystiques ainsi que les connaissances les plus profanes qui lui permettraient d'achever son objectif ultime et de s'approcher un peu plus de devenir l'égal de son Dieu Titan.
Et si aujourd'hui, après des années d'errance et de souffrance, l'héritier de Boktor se conforte sur la voie de devenir un jour un des meilleurs de ce monde, demeure ce même enfant envieux et avare qui ne se suffit point de simple réputation. Il reste un homme tourmenté, en quête perpétuelle de sens et de rédemption, portant en son âme déchirée la cicatrice d'une blessure qui ne guérira jamais tout à fait.
Groupes d'intérêts
Régiment Spécial des Animaux Fantastiques (RSAF) - Envieux de s'approprier la quintessence des matériaux que peut contenir son monde, c'est vers la RSAF et ses ressources animalières que le dévolu du de Boktor se tourna. Ici, il met la main sur tout ossements, peaux, organes, sangs, dentitions et autres matériels afin d'emmener ses œuvres à un niveau supérieur, au motif de pourvoir les forces armées du Reike avec le meilleur équipement possible et ainsi assurer la suprématie de l'Empire.
Université de Drakstrang - Par sa fonction et ses ambitions, c'est naturellement que Mordred rejoignit l'Université de Drakstrang suite à la recommandation de ses pairs nains. Là-bas, il est aussi bien un élève qu'un enseignant, puisant tous les savoirs ésotériques et occultes qui lui permettraient de devenir un meilleur forgeron tout en partageant son savoir en la matière.
Divinisme - Même s'il ne se considère point comme un pieu dévot, c'est envers Kazgoth « le Forgeron » que les prières du jeune de Boktor vont. Et si ses suppliques se veulent assidues et dévouées, il en reste qu'elles ne sont motivées que par des intérêts de rétributions. Mordred est un artisan qui se croit malin, sa perfidie l'amenant à espérer qu'en adorant le Titan Forgeron, celui-ci lui accorderait la grâce de dépasser le commun des mortels et d'accorder à ses créations un caractère sacré. Il n'aime pas le Dieu-Forgeron pour ce qu'il est, mais pour ce qu'il pourrait lui apporter, peut-être regretterait-il cette nocuité un jour.
Université de Drakstrang - Par sa fonction et ses ambitions, c'est naturellement que Mordred rejoignit l'Université de Drakstrang suite à la recommandation de ses pairs nains. Là-bas, il est aussi bien un élève qu'un enseignant, puisant tous les savoirs ésotériques et occultes qui lui permettraient de devenir un meilleur forgeron tout en partageant son savoir en la matière.
Divinisme - Même s'il ne se considère point comme un pieu dévot, c'est envers Kazgoth « le Forgeron » que les prières du jeune de Boktor vont. Et si ses suppliques se veulent assidues et dévouées, il en reste qu'elles ne sont motivées que par des intérêts de rétributions. Mordred est un artisan qui se croit malin, sa perfidie l'amenant à espérer qu'en adorant le Titan Forgeron, celui-ci lui accorderait la grâce de dépasser le commun des mortels et d'accorder à ses créations un caractère sacré. Il n'aime pas le Dieu-Forgeron pour ce qu'il est, mais pour ce qu'il pourrait lui apporter, peut-être regretterait-il cette nocuité un jour.


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Empereur-dragon du Reike
Tensai Ryssen

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crédits : 1906
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Info personnage
Race: Drakyn
Vocation: Guerrier combattant
Alignement: Chaotique Neutre
Rang: S
Bonjour et bienvenue,
J'ai lu ta présentation, j'aime beaucoup son contenu et l'ambiance de ton personnage.
Il y aura toutefois une incohérence temporelle à corriger. Il n'est pas possible qu'à seulement 23 ans, tu sois grimpé aussi haut, surtout en n'étant pas reikois d'origine.
Car il faudrait au préalable devenir citoyen reikois, passer un service militaire de cinq ans, gagner en notoriété (et pour qu'une arme soit reconnue dans un univers sans internet, 23 ans, ça me semble très très court pour réaliser tout ça)
Plusieurs solutions.
1 : Etre reikois de naissance et fils d'un légendaire forgeron où ses armes sont reconnues
2 : Etre bien plus âgé (donc une autre race et des centaines d'années, vivre au Reike depuis longtemps également)
Bon courage dans la réalisation de modifications.
J'ai lu ta présentation, j'aime beaucoup son contenu et l'ambiance de ton personnage.
Il y aura toutefois une incohérence temporelle à corriger. Il n'est pas possible qu'à seulement 23 ans, tu sois grimpé aussi haut, surtout en n'étant pas reikois d'origine.
Car il faudrait au préalable devenir citoyen reikois, passer un service militaire de cinq ans, gagner en notoriété (et pour qu'une arme soit reconnue dans un univers sans internet, 23 ans, ça me semble très très court pour réaliser tout ça)
Plusieurs solutions.
1 : Etre reikois de naissance et fils d'un légendaire forgeron où ses armes sont reconnues
2 : Etre bien plus âgé (donc une autre race et des centaines d'années, vivre au Reike depuis longtemps également)
Bon courage dans la réalisation de modifications.

![Mordred, le Forgeron "Porte-Mort" [Terminé] Mci0](https://zupimages.net/up/23/12/mci0.png)
Fight to raise your Empire or die. No Excuse.
One life. One honor. The Reike.
You know rules.

Citoyen du Reike
Le Porte-Mort

Messages : 37
crédits : 4080
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Bonjour et merci pour ta réponse !
En effet, c'est pertinent ! Dans ce cas, je préfère tout simplement ne pas commencer à un stade aussi avancé et conserver l'histoire telle qu'elle est actuellement conçue. J'abandonne donc l'idée de commencer Grand-Maître Forgeron, j'ai ajouté 6 années et j'atténue grandement la réussite actuelle rendant Mordred à l'état de simple forgeron qui travaille pour son avenir. Je ferai tout pour atteindre le rang et la réputation inRP en faisant ce qu'il faut pour ! J'ai donc édité pour que ça corresponde à cette nouvelle proposition, en espérant que ça vous convienne, autrement je reste disponible !
Merci !
En effet, c'est pertinent ! Dans ce cas, je préfère tout simplement ne pas commencer à un stade aussi avancé et conserver l'histoire telle qu'elle est actuellement conçue. J'abandonne donc l'idée de commencer Grand-Maître Forgeron, j'ai ajouté 6 années et j'atténue grandement la réussite actuelle rendant Mordred à l'état de simple forgeron qui travaille pour son avenir. Je ferai tout pour atteindre le rang et la réputation inRP en faisant ce qu'il faut pour ! J'ai donc édité pour que ça corresponde à cette nouvelle proposition, en espérant que ça vous convienne, autrement je reste disponible !
Merci !

![Mordred, le Forgeron "Porte-Mort" [Terminé] 1611](https://i.servimg.com/u/f61/20/49/62/17/1611.png)

Empereur-dragon du Reike
Tensai Ryssen

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