

Citoyen de La République
Halewyn G. Sampiero

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Fin Mai de l'an 3 ]
Foutue tempête... Grommelle pour la énième fois une silhouette trempée comme une soupe tandis qu'elle avance sous la pluie battante. Il fait nuit noire et le tonnerre soudain a fait paniquer sa monture qui, dans un galop effréné, la séparée de son groupe du moment avant de l'envoyer, cul par dessus tête, dans un torrent avant de disparaître le long du chemin pavé. Et iel l'a retrouvé les quatre fers en l'air dans un fossé, l'échine brisée par une chute bien méritée.
Après avoir ramassé ses fontes et vérifié que rien ne manque, l'individu se les met sur l'épaule avant de continuer sa lente progression sur le chemin pavé, cinglé par la pluie, les éclairs menaçant le ciel. Plus d'une fois, les éléments tentèrent de lui faire perdre pied, mais iel continua son chemin avec une résolution égale à son statut on ne peut plus pitoyable.
C'est alors qu'iel arriva à un portail à moitié arraché de sur ses gonds. Envahit par les ronces. Malheureusement, iel démon n'a pas le bonheur de l'entendre grincer. Le vent effroyable et l'eau qui lui emplit une oreille l'empêche de bien entendre. Et même le nom et le blason de la famille au dessus, iel n'en n'a cure en ce moment précis. Qui dit portail, dit manoir pas loin. Et même iel ne trouve que des gravats, iel pourra au moins s'abriter le long d'un mur à l'abrit du vent et se sécher correctement.
Par chance, la nyctalopie de l'étrange personnage l'empêche de se tordre la cheville dans les trous de pavés. Iel ne s'arrête pas non plus pour admirer l'architecture du manoir. Non, yeux baissés et dents serrés pour ne pas proférer de malédictions mal venues, iel démon s'obstineà se contenter d'avancer, la pluie lavant son front tuméfié au fur et à mesure. Et quand des marches se matérialisent au travers de ses cheveux détrempés, iel les gravit sans poser de question. Comme iel pousse la porte principale sans cogner. Ne s'arrêtant enfin que pour lever la tête, une coulisse de sang naissant déjà sur son front pour se perdre dans un sourcils.
-Il y a quelqu'un ? Appelle t'iel malgré l'évidence.
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La tempête bat avec force contre la cape d'Elisabeth. La pluie tombant avec un tel fracas qu'elle génère un brouhaha, couvrant tout le reste. Ayant empruntée un cheval, la doyenne se rend à quelques lieux de l'ancienne capitale. Benedictus et ses alentours se sont transformés en terres désolées après la guerre et seulement quelques âmes y vivent encore. Mais ce n'est pas pour le plaisir que la paladin s'y rend. Les terres de la capitale abritent aussi l'ancien domaine de sa famille. Une propriété que l'héritière a abandonnée au début de la guerre, trop occupée par les troubles en cours pour s'y rendre.
L'endroit maintenant ne doit plus être qu'une triste ruine de ce qu'il fut, pillard et autres bandits s'étant probablement occupé de piller l'endroit. Mais l'idée n'attriste pas spécialement Elisabeth. Certes sa maison était spacieuse, mais la famille du Pal ne s'est jamais démarquée par sa richesse, la demeure n'abrite que peu d'objets de valeur, à part une bibliothèque fournie et quelques tableaux d'ancêtres, ce ne sont pas des choses que l'on emporte lors de rapines.
En arrivant devant la bâtisse, Elisabeth peut constater qu'en effet le lieu ne ressemble plus à grand chose, le portail rouillé se trouve d'ailleurs entrouvert, probablement par le vent. Pourtant, malgré l'usure tout est là, la grande entrée aux portes gravé de l'écusson familial, la cour à l'ouest servant pour les entrainement, où quelques mannequins de bois sont toujours debout, et enfin à l'est le caveau familiale, toujours solidement scellé, impénétrable aux intrus par un puissant enchantement.
La vétéran, la mémoire encore vive de l'atmosphère d'antan pousse l'un des battants de la grande porte. Mais alors qu'elle s'attend à une entrée poussiéreuse, elle voit planté là devant les escalier quelqu'un. Avec l'obscurité, Elisabeth ne sait distinguer son visage et n'aperçoit que sa silhouette. Pourtant la guerrière ne panique pas pour autant, elle affiche plutôt une mine blasée en constatant que pile le jour où elle vient, un intrus pénètre encore chez elle.
Mais la noble ne tire pas son arme pour autant, cela serrait un peu extrême. Puis si ce n'est qu'un voleur de plus, ses mains seront des armes amplement suffisante pour maîtriser son invité surprise.
Alors abaissant sa capuche pour dévoiler son visage borgne, elle interpelle l'inconnu.
« Je ne sais pas qui vous êtes et je m'en fiche complètement, je suis la propriétaire des lieux. De préférence, je préfèrerais que vous preniez peur en me voyant et dégagiez sans demander votre reste. »
Pour l'instant la paladin n'est aucunement agressive dans son attitude, mais sa carrure et la lame à son dos sont déjà des avertissements suffisant quand à ce qu'elle est capable de faire.
L'endroit maintenant ne doit plus être qu'une triste ruine de ce qu'il fut, pillard et autres bandits s'étant probablement occupé de piller l'endroit. Mais l'idée n'attriste pas spécialement Elisabeth. Certes sa maison était spacieuse, mais la famille du Pal ne s'est jamais démarquée par sa richesse, la demeure n'abrite que peu d'objets de valeur, à part une bibliothèque fournie et quelques tableaux d'ancêtres, ce ne sont pas des choses que l'on emporte lors de rapines.
En arrivant devant la bâtisse, Elisabeth peut constater qu'en effet le lieu ne ressemble plus à grand chose, le portail rouillé se trouve d'ailleurs entrouvert, probablement par le vent. Pourtant, malgré l'usure tout est là, la grande entrée aux portes gravé de l'écusson familial, la cour à l'ouest servant pour les entrainement, où quelques mannequins de bois sont toujours debout, et enfin à l'est le caveau familiale, toujours solidement scellé, impénétrable aux intrus par un puissant enchantement.
La vétéran, la mémoire encore vive de l'atmosphère d'antan pousse l'un des battants de la grande porte. Mais alors qu'elle s'attend à une entrée poussiéreuse, elle voit planté là devant les escalier quelqu'un. Avec l'obscurité, Elisabeth ne sait distinguer son visage et n'aperçoit que sa silhouette. Pourtant la guerrière ne panique pas pour autant, elle affiche plutôt une mine blasée en constatant que pile le jour où elle vient, un intrus pénètre encore chez elle.
Mais la noble ne tire pas son arme pour autant, cela serrait un peu extrême. Puis si ce n'est qu'un voleur de plus, ses mains seront des armes amplement suffisante pour maîtriser son invité surprise.
Alors abaissant sa capuche pour dévoiler son visage borgne, elle interpelle l'inconnu.
« Je ne sais pas qui vous êtes et je m'en fiche complètement, je suis la propriétaire des lieux. De préférence, je préfèrerais que vous preniez peur en me voyant et dégagiez sans demander votre reste. »
Pour l'instant la paladin n'est aucunement agressive dans son attitude, mais sa carrure et la lame à son dos sont déjà des avertissements suffisant quand à ce qu'elle est capable de faire.

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Halewyn G. Sampiero

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Se tournant vers ;.entrée, deux minuscules globes bleus scintillent doucement dans les air, à la manière des chats tandis que l'intrus se tourne vers la paladine. Pas franchement amicale, mais pas hostile non plus. Halewyn se retient de rouler les yeux d'ennuis. Surtout pour ne pas perdre la guerrière des yeux. Borgne, vieille et moche... Enfin, c,est relatif. Elle sort du lot assurément et elle respire l'expérience.
. Si tu es réellement la propriétaire de ces lieux abandonnés, pardonne mon intrusion j'essayais justement d'appeler quelqu'un pour demander l'hospitalité au moins jusqu'à ce que la tempête ne finisse . Si tu ne l'es pas. Je te suggère fortement de me laisser tranquille et de passer ton chemin. Je suis trempée, blessée et fatiguée. Ce qui fait que je ne suis pas de la première patience aujourd'hui
En signe de paix, iel succube laisse tomber ses fontes qui tombent avec un bruit lourd aux sol, soulevant par le fait même un nuage de poussière. Halewyn a un léger geste de la main, ce qui fait allumer une bougie aux trois quart consumés près de la femme, pour que la mystérieuse intruse puisse la voir avant de garder ses mains parfaitement visibles en une posture neutre.
Les cheveux rouges tachés de boue et de feuille, une vilaine entaille au front qui tache la peau d'albâtre du même écarlate que les cheveux, coulant lentement dur l'arête du nez, mettant en valeur étrangement deux yeux noirs au khôl lavé par la pluie. La lourde redingote la tire manifestement vers le sol, un petit lac s'étendant lentement autour de ses pieds. Et pourtant, malgré son aspect pitoyable, l'être asexué fait une profonde révérence devant la guerrière lourdement armée avant de reprendre sa position d'origine.
Je me présente Halewyn Giovinetta Sampiero. Comme je l'ai dit, je cherche asile jusqu'à ce que la tempête se termine. Mon cheval est mort dans le caniveau et je n'ai qu'une vague idée de ou je puis être. Les lois de l,hospitalités ont elles si changé dans ce pays pour qu'on refuse un toit à une personne dans le besoin?
-
. Si tu es réellement la propriétaire de ces lieux abandonnés, pardonne mon intrusion j'essayais justement d'appeler quelqu'un pour demander l'hospitalité au moins jusqu'à ce que la tempête ne finisse . Si tu ne l'es pas. Je te suggère fortement de me laisser tranquille et de passer ton chemin. Je suis trempée, blessée et fatiguée. Ce qui fait que je ne suis pas de la première patience aujourd'hui
En signe de paix, iel succube laisse tomber ses fontes qui tombent avec un bruit lourd aux sol, soulevant par le fait même un nuage de poussière. Halewyn a un léger geste de la main, ce qui fait allumer une bougie aux trois quart consumés près de la femme, pour que la mystérieuse intruse puisse la voir avant de garder ses mains parfaitement visibles en une posture neutre.
Les cheveux rouges tachés de boue et de feuille, une vilaine entaille au front qui tache la peau d'albâtre du même écarlate que les cheveux, coulant lentement dur l'arête du nez, mettant en valeur étrangement deux yeux noirs au khôl lavé par la pluie. La lourde redingote la tire manifestement vers le sol, un petit lac s'étendant lentement autour de ses pieds. Et pourtant, malgré son aspect pitoyable, l'être asexué fait une profonde révérence devant la guerrière lourdement armée avant de reprendre sa position d'origine.
Je me présente Halewyn Giovinetta Sampiero. Comme je l'ai dit, je cherche asile jusqu'à ce que la tempête se termine. Mon cheval est mort dans le caniveau et je n'ai qu'une vague idée de ou je puis être. Les lois de l,hospitalités ont elles si changé dans ce pays pour qu'on refuse un toit à une personne dans le besoin?
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Invité
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Aux explications de l'inconnu, la doyenne ne peut qu'émettre un grand soupir. Il semble que celui-ci, ou celle-ci difficile à dire, est du genre fantasque à son attitude. Au final, peut-être qu'un bandit eu été plus rapide à gérer. Mais la noble n'est pas non plus le genre à se montrer mauvaise sans raisons. Il est vrai que la tempête est particulièrement violente dehors et elle se voit mal renvoyer le voyageur marcher sous l'orage. Et puis finalement que quelqu'un soit là ou pas, cela ne fait pas grande différence. De toutes manières, la noble n'est venu que pour récupérer quelques affaires et voir une dernière fois la demeure, qu'elle n'est pas prête de revoir de si tôt.
« Faites comme vous voulez. Mais ce n'est pas le grand confort ici. Evitez simplement de trop déranger les choses. Tout est déjà suffisamment délabré. »
En progressant dans l'entrée Elisabeth dépose son arme, son manteau mouillé et sèche du mieux qu'elle peut ses bottes. Sans guider davantage l'inconnue, elle entre alors dans une pièce adjacente en poussant une vielle porte grinçante. De là se dévoile ce qui fut une un salon. La vieille cheminé se trouve noire de suie, les fauteuils pourris, et les grandes bibliothèques contre les murs sont recouvertes de poussière.
Pourtant malgré l'état de la la pièce, la vieille femme se fige un instant, se remémorant avec un léger sourire les souvenirs de l'endroit. Dans le salon, elle appréciait se détendre devant le feu, faisant la lecture à ses fils ou en leur racontant les histoires de la famille. C'était un endroit chaleureux malgré, l'éducation militaire de la famille. Dans ce salon tout le monde pouvait laisser sa droiture et relâcher la pression pour profiter de moments humains.
Mais bien vite, l'héritière reprend ses esprits et se dirige sans attendre vers la bibliothèque. Parcourant de ses doigts les étagères, la guerrière fouille quelques seconde avant de trouver l'objet de sa convoitise.
Elle tire un épais livre relié, recouvert de poussières, les pages sont jaunis mais encore parfaitement lisibles. Soufflant sur la couverture se dévoile le titre imprimé dans le cuir "Guerre : Traité sur les savoirs du Pal". Un ouvrage que l'ancienne semble particulièrement soulagée de trouver.
« Faites comme vous voulez. Mais ce n'est pas le grand confort ici. Evitez simplement de trop déranger les choses. Tout est déjà suffisamment délabré. »
En progressant dans l'entrée Elisabeth dépose son arme, son manteau mouillé et sèche du mieux qu'elle peut ses bottes. Sans guider davantage l'inconnue, elle entre alors dans une pièce adjacente en poussant une vielle porte grinçante. De là se dévoile ce qui fut une un salon. La vieille cheminé se trouve noire de suie, les fauteuils pourris, et les grandes bibliothèques contre les murs sont recouvertes de poussière.
Pourtant malgré l'état de la la pièce, la vieille femme se fige un instant, se remémorant avec un léger sourire les souvenirs de l'endroit. Dans le salon, elle appréciait se détendre devant le feu, faisant la lecture à ses fils ou en leur racontant les histoires de la famille. C'était un endroit chaleureux malgré, l'éducation militaire de la famille. Dans ce salon tout le monde pouvait laisser sa droiture et relâcher la pression pour profiter de moments humains.
Mais bien vite, l'héritière reprend ses esprits et se dirige sans attendre vers la bibliothèque. Parcourant de ses doigts les étagères, la guerrière fouille quelques seconde avant de trouver l'objet de sa convoitise.
Elle tire un épais livre relié, recouvert de poussières, les pages sont jaunis mais encore parfaitement lisibles. Soufflant sur la couverture se dévoile le titre imprimé dans le cuir "Guerre : Traité sur les savoirs du Pal". Un ouvrage que l'ancienne semble particulièrement soulagée de trouver.

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Halewyn G. Sampiero

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Extirpant un mouchoir de fine baptiste de sa redingote et le posant sur son front, avant de fixer le tout avec un ruban èa cheveux, ce qui lui donne un air passablement ridicule, le visiteur impromptu reprend la parole
-Je vous en remercie grandement...
Eh bien, en voilà une dame cultivé et sociable. Elle a autant de verve et d'entregent qu'un tonneau... La curiosité a ses défauts cependant et, reprenant ses fontes, iel démon la suit jusquau salon... Ca aurait été pas mal si ca n'avait pas été abandonné. pense t'iel en parcourant les lieux du regard, avant que ses prunelles noires ne s'illuminent.
Derrière Elisabeth. il y a le bruit de buches qu'on met das la cheminée, Hale passe une tête rapide, histoire de sa voir si elle est bouchée, mais non, on voit encore le ciel en haut. Retraitant, iel allume alors des flammes pour se sécher, autant iel que son hôtesse empreinte de délicatesse.
Avec un soupir d'aise, iel enlèeve alors sa redingote, son attention attirée par un livre poussiéreux sur une table basse.
Anthologie du Mal... Genealogie et histoire.... Vous laissez trainer vos bouquins de magie? Ca me semble dangereux non?
-Je vous en remercie grandement...
Eh bien, en voilà une dame cultivé et sociable. Elle a autant de verve et d'entregent qu'un tonneau... La curiosité a ses défauts cependant et, reprenant ses fontes, iel démon la suit jusquau salon... Ca aurait été pas mal si ca n'avait pas été abandonné. pense t'iel en parcourant les lieux du regard, avant que ses prunelles noires ne s'illuminent.
Derrière Elisabeth. il y a le bruit de buches qu'on met das la cheminée, Hale passe une tête rapide, histoire de sa voir si elle est bouchée, mais non, on voit encore le ciel en haut. Retraitant, iel allume alors des flammes pour se sécher, autant iel que son hôtesse empreinte de délicatesse.
Avec un soupir d'aise, iel enlèeve alors sa redingote, son attention attirée par un livre poussiéreux sur une table basse.
Anthologie du Mal... Genealogie et histoire.... Vous laissez trainer vos bouquins de magie? Ca me semble dangereux non?
Invité
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Alors que l'invité allume le feu dans l'âtre, Elisabeth l'entend qui l'interpelle. Elle se tourne, constatant que le voyageur observe un ouvrage familiale. Elle voulu bien lui dire que ce n'est pas vraiment ses affaires et qu'elle n'est pas une guide touristique. Mais cela se trouve être une réaction un peu rude et de toute façon vu le temps dehors, les deux sont bloqués à l'intérieur jusqu'au lendemain alors autant ne pas faire en sorte de se détester.
« Du Pal. C'est le nom de ma famille et si vous réussissez à faire de la magie avec ce qu'il y a la dedans, alors vous devriez devenir professeur à Magic. »
S'approchant de son hôte la doyenne attrape le livre, afin de mieux l'examiner tenant toujours le précédant dans son autre main.
« Ah oui c'est celui-ci. Ca condense les 5000 ans d'histoire de ma maison, en suivant notre arbre généalogique. Mais il me semble que l'ouvrage s'arrête en -200. Mais cela reste une histoire résumée, les vies détaillés des membres de la famille sont consignés dans des ouvrages individuels, qui ne sont pas stockés ici. Il n'y a que des traités et des manuels dans ces étagères. »
Les archives de la famille sont peut-être le seul véritable trésor du domaine. La collection du salon a beau être impressionnante, ce n'est qu'un fragment de tout ce qui peut-être stockés dans la grande bibliothèque familiale. Car se sont bien des millénaires d'ouvrage qui ont été conservé entre ces murs. Ce qui est rassurant, c'est que l'endroit est parfaitement inaccessible pour des intrus et malgré les pillages lieu est normalement encore parfaitement intact. C'est d'ailleurs pour certaines de ces archives qu'Elisabeth a pris la peine de faire le voyage jusqu'à Benedictus.
« Je dois me rendre dans la bibliothèque, libre à vous de me suivre puisque je ne peux pas vous contraindre à rester ici et vous mettre un coup sur le crâne pour vous faire dormir serrait assez mal venu. Vous semblez du genre curieux alors veillez seulement à ne rien abimer. »
Sur ces mots la paladin quitte la pièce, se dirigeant maintenant sur l'un des versant du grand escalier de l'entrée. Devant celui-ci, elle pousse une zone du bois, qui s'enfonce comme une plaque de pression cachée. Un cliquetis retenti avant qu'une porte dérobé s'ouvre dans le corps de la structure. Là un grand escalier s'étend dans l'obscurité, trop loin pour qu'on puisse voir sa fin.
Une torche éteinte accroché au début du chemin, la doyenne l'empoigne et quelques étincelles avec son allume feu suffisent à embraser l'objet. Puis comme si ce fut une habitude la noble commence à descendre les marches.
C'est quelques minutes de trajets maintenant qui l'attende.
« Du Pal. C'est le nom de ma famille et si vous réussissez à faire de la magie avec ce qu'il y a la dedans, alors vous devriez devenir professeur à Magic. »
S'approchant de son hôte la doyenne attrape le livre, afin de mieux l'examiner tenant toujours le précédant dans son autre main.
« Ah oui c'est celui-ci. Ca condense les 5000 ans d'histoire de ma maison, en suivant notre arbre généalogique. Mais il me semble que l'ouvrage s'arrête en -200. Mais cela reste une histoire résumée, les vies détaillés des membres de la famille sont consignés dans des ouvrages individuels, qui ne sont pas stockés ici. Il n'y a que des traités et des manuels dans ces étagères. »
Les archives de la famille sont peut-être le seul véritable trésor du domaine. La collection du salon a beau être impressionnante, ce n'est qu'un fragment de tout ce qui peut-être stockés dans la grande bibliothèque familiale. Car se sont bien des millénaires d'ouvrage qui ont été conservé entre ces murs. Ce qui est rassurant, c'est que l'endroit est parfaitement inaccessible pour des intrus et malgré les pillages lieu est normalement encore parfaitement intact. C'est d'ailleurs pour certaines de ces archives qu'Elisabeth a pris la peine de faire le voyage jusqu'à Benedictus.
« Je dois me rendre dans la bibliothèque, libre à vous de me suivre puisque je ne peux pas vous contraindre à rester ici et vous mettre un coup sur le crâne pour vous faire dormir serrait assez mal venu. Vous semblez du genre curieux alors veillez seulement à ne rien abimer. »
Sur ces mots la paladin quitte la pièce, se dirigeant maintenant sur l'un des versant du grand escalier de l'entrée. Devant celui-ci, elle pousse une zone du bois, qui s'enfonce comme une plaque de pression cachée. Un cliquetis retenti avant qu'une porte dérobé s'ouvre dans le corps de la structure. Là un grand escalier s'étend dans l'obscurité, trop loin pour qu'on puisse voir sa fin.
Une torche éteinte accroché au début du chemin, la doyenne l'empoigne et quelques étincelles avec son allume feu suffisent à embraser l'objet. Puis comme si ce fut une habitude la noble commence à descendre les marches.
C'est quelques minutes de trajets maintenant qui l'attende.

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Halewyn G. Sampiero

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Bonbonbon... Iel sait bien qu'iel a l'air dun gamin, aussi ne se froissie t'iel pas de l'attitude matriarcale de l'humaine auprès de qui iel fait au moins deux fois son âge. Docilement, Halewyn ne fait que vérifier que ses fontes et son manteau sont encore bien à leur place avant de suivre la femme, mémorisant sur quoi elle pèse, la réaction du mur un peu plus loin et le long escalier ténébreux. Ca sent les pièeges et être un autre qu'iel, Halewyn aurait bien attendu à l'entrée.
Sa curiosité le perdra un jour. pense t'iel en suivant la guerrière. µıne de rien, elle empli l'étroit corridor. Et ils marchent, et ils marche, étonnamment sans un mot. Le démon est attentif cependant àa chaque détour. þarce que iel voit dans le noir, chaque embranchement, chaque pierre différente. Halewyn est née des ténèbres les plus pures et se sent presque comme che iel, aux pins blancs.
Au terme de l'épopée cependant, iel lève les yeux.. voyant bien au delà de la torche d'Elisabeth. Tout ces livres, ce savoir perdu... Il s'enterrerait bien quelques siècles ici. Et d'ailleurs, pendant qu'iel y pense, iel pourra bien revenir comme bon lui semble désormais.
Le souffle coupé, iel ne bouge plus, émerveillée.
Sa curiosité le perdra un jour. pense t'iel en suivant la guerrière. µıne de rien, elle empli l'étroit corridor. Et ils marchent, et ils marche, étonnamment sans un mot. Le démon est attentif cependant àa chaque détour. þarce que iel voit dans le noir, chaque embranchement, chaque pierre différente. Halewyn est née des ténèbres les plus pures et se sent presque comme che iel, aux pins blancs.
Au terme de l'épopée cependant, iel lève les yeux.. voyant bien au delà de la torche d'Elisabeth. Tout ces livres, ce savoir perdu... Il s'enterrerait bien quelques siècles ici. Et d'ailleurs, pendant qu'iel y pense, iel pourra bien revenir comme bon lui semble désormais.
Le souffle coupé, iel ne bouge plus, émerveillée.
Invité
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Les deux progressent sans échanger un mot. De toute façon, il n'y a pas grand-chose à dire. Ce n'est pas comme si Elisabeth reçoit son invité par plaisir, il n'est là que par le hasard des choses, alors de grandes conversations pleines de banalités ne sont pas nécessaires. Les couloirs sous la maison sont un véritable dédale. Pas que l'endroit fut conçu comme tel originellement, mais des millénaires à exploiter le lieu ont suffit pour créer cette architecture chaotique dans les souterrains. Cependant, la doyenne connait le chemin sans même besoin d'y réfléchir. Elle a parcourue ces couloirs un nombres incalculable de fois et chaque embranchement, chaque virage est imprimé dans ses jambes.
Après quelques temps, finalement le duo arrive devant une massive porte en pierre. Les deux battant sont solidement fermée et il semble que même un géant serrait bien incapable de les bouger. Plusieurs runes sont tracés autour d'un blason représentant, une épée, une lance, une hache et une masse. Des décorations témoignant qu'un enchantement scelle l'endroit.
Elisabeth passe sa mains contre la structure, elle y presse dans un ordre bien précis plusieurs zones, puis termine par faire pivoter une pierre dans le mur adjacent. Un grondement retenti et les battant s'ouvre dans un bruit de pierres raclant le sol.
Derrière une immense pièce plongée dans l'obscurité. Elisabeth éteint alors sa torche, le feu et le papier ne font pas bons ménages. Puis, dès qu'elle pose un pieds dans l'endroit, des myriade de luminaires viennent éclairer l'endroit. Plutôt que des torches, se sont des roches luminescentes qui sont serties dans les parois. La lumière est tel qu'on y voit aussi bien qu'en plein jour.
Maintenant éclairé, l'endroit révèle un nombre ahurissant d'étagères et la hauteur vertigineuse, remplis de livres, parchemins et autres documents. En observant la pièce, la noble ne peut s'empêcher de se sentir un peu mélancolique. C'est probablement la dernière fois qu'elle entre ici et une fois partie le lieu tombera dans l'oubli, toutes ces connaissances rendues inaccessibles.
C'est bien pour cela qu'elle se fiche que son invité ai vu les manipulations nécessaire à l'entrée, car il n'y aura de toutes façons bientôt plus personne pour s'en porter gardien. Conserver les archives sur plusieurs millénaire est un travail titanesque et cela demande de copier les documents un nombre incalculable de fois, afin de prévenir qu'ils ne tombent en poussières. D'ordinaire, les fils de la guerrière se serraient occupés des futurs restaurations, mais maintenant il n'y plus de pays, plus aucun scribe pour copier et encore moins d'héritiers pour reprendre le flambeau. Ce domaine est une ruine et malheureusement il le restera.
L'ancienne parcours alors les rayons, jetant des coups d'œil rapides aux différents étiquetages. "Topologies du Reike", "Stratégie et Coutumes des Anges", "Récits des Guerres Religieuses", "Manuel : Techniques Elfique à la lance". Les ouvrages sont si nombreux et différent qu'il serrait impossible en une vie humaine de tout consulter. Mais régulièrement l'on trouve sur des pupitres d'énormes codex, de presque l'envergure d'un enfant et d'une épaisseur monstrueuse. Ces livres sont des compilation de ce qui se trouvent dans les étagères et l'endroit en compte en tout une dizaine. Ils sont utilisés pour pouvoir consulter de manière exhaustives les savoirs accumulés et cela sans devoir y accorder plusieurs décennies. Ce sont ces grands ouvrages que Elisabeth récupère, les protégeant dans d'épais tissus et les chargeant sur un chariot, avec d'autres tome ou parchemins plus petits. Le temps de les réunir et de les remmener jusqu'à la surface, l'opération va prendre plusieurs heures.
C'est cependant pour eux qu'Elisabeth est venue, les ramener d'une traite jusqu'à Celestia seule est impossible, mais elle veut au moins les rapprocher dans un lieu sûr avant de les faire récupérer. Qu'au moins l'héritage de sa famille survive au mieux, et le Nouvel ordre est probablement le seul à pouvoir en faire bon usage.
Pendant ce temps là, la paladin ne prête pas grande attention à son invité. Celui-ci semblait intéressé par la lecture dans le salon, alors probablement qu'ici il n'allait pas être dépaysé.
Après quelques temps, finalement le duo arrive devant une massive porte en pierre. Les deux battant sont solidement fermée et il semble que même un géant serrait bien incapable de les bouger. Plusieurs runes sont tracés autour d'un blason représentant, une épée, une lance, une hache et une masse. Des décorations témoignant qu'un enchantement scelle l'endroit.
Elisabeth passe sa mains contre la structure, elle y presse dans un ordre bien précis plusieurs zones, puis termine par faire pivoter une pierre dans le mur adjacent. Un grondement retenti et les battant s'ouvre dans un bruit de pierres raclant le sol.
Derrière une immense pièce plongée dans l'obscurité. Elisabeth éteint alors sa torche, le feu et le papier ne font pas bons ménages. Puis, dès qu'elle pose un pieds dans l'endroit, des myriade de luminaires viennent éclairer l'endroit. Plutôt que des torches, se sont des roches luminescentes qui sont serties dans les parois. La lumière est tel qu'on y voit aussi bien qu'en plein jour.
Maintenant éclairé, l'endroit révèle un nombre ahurissant d'étagères et la hauteur vertigineuse, remplis de livres, parchemins et autres documents. En observant la pièce, la noble ne peut s'empêcher de se sentir un peu mélancolique. C'est probablement la dernière fois qu'elle entre ici et une fois partie le lieu tombera dans l'oubli, toutes ces connaissances rendues inaccessibles.
C'est bien pour cela qu'elle se fiche que son invité ai vu les manipulations nécessaire à l'entrée, car il n'y aura de toutes façons bientôt plus personne pour s'en porter gardien. Conserver les archives sur plusieurs millénaire est un travail titanesque et cela demande de copier les documents un nombre incalculable de fois, afin de prévenir qu'ils ne tombent en poussières. D'ordinaire, les fils de la guerrière se serraient occupés des futurs restaurations, mais maintenant il n'y plus de pays, plus aucun scribe pour copier et encore moins d'héritiers pour reprendre le flambeau. Ce domaine est une ruine et malheureusement il le restera.
L'ancienne parcours alors les rayons, jetant des coups d'œil rapides aux différents étiquetages. "Topologies du Reike", "Stratégie et Coutumes des Anges", "Récits des Guerres Religieuses", "Manuel : Techniques Elfique à la lance". Les ouvrages sont si nombreux et différent qu'il serrait impossible en une vie humaine de tout consulter. Mais régulièrement l'on trouve sur des pupitres d'énormes codex, de presque l'envergure d'un enfant et d'une épaisseur monstrueuse. Ces livres sont des compilation de ce qui se trouvent dans les étagères et l'endroit en compte en tout une dizaine. Ils sont utilisés pour pouvoir consulter de manière exhaustives les savoirs accumulés et cela sans devoir y accorder plusieurs décennies. Ce sont ces grands ouvrages que Elisabeth récupère, les protégeant dans d'épais tissus et les chargeant sur un chariot, avec d'autres tome ou parchemins plus petits. Le temps de les réunir et de les remmener jusqu'à la surface, l'opération va prendre plusieurs heures.
C'est cependant pour eux qu'Elisabeth est venue, les ramener d'une traite jusqu'à Celestia seule est impossible, mais elle veut au moins les rapprocher dans un lieu sûr avant de les faire récupérer. Qu'au moins l'héritage de sa famille survive au mieux, et le Nouvel ordre est probablement le seul à pouvoir en faire bon usage.
Pendant ce temps là, la paladin ne prête pas grande attention à son invité. Celui-ci semblait intéressé par la lecture dans le salon, alors probablement qu'ici il n'allait pas être dépaysé.

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Halewyn G. Sampiero

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Des livres.... des livres partout. Certains en un langage qu'Halewyn ne comprend pas... Se séparant d'Elisabeth, iel parcoure les rayonnages les plus près, se rendant compte qu,ils sont tous rangé avec une précision militaire. Iel en prend un au hasard, intitulé combat à l'éventail, danse mortelle ou art martial? Intrigué, iel succube le prend et le feuillette rapidement, l'intérêt dans ses grands yeux noirs.
Le bang d'un lourd volume déposé qelque part le tire de sa lecture. Et pendant un moment, dans l'ombre, iel observe Eisabeth à son officine. Elle embarque les livres les plus lourds et volumineux, ainsi qu'une pioche sélective. Et de toute sa personne émane une tristesse telle!!!! S'en est délicieux. Posant le volume qu'iel était en train de lire exactement èa sa place sur l'étagère, iel démon se porte a la hauteur de la guerrière pour retenir le lourd volume qu'elle vient de déposer, ce dernier étant sur le point de tomber au sol.
-Ca va? Demande t'iel simplement, en sachant parfaitement que ca ne va pas. Ceci est un moment douloureux pour l'humaine donc ce n'est pas le moment de futile bavardage. Ce grand énergumène, avec son mouchoir fixé sur le front à l'aide de son ruban èa cheveu n'est certe pas le plus crédible visuellement parlant, mais les yeux noirs brillent de compassion. Vous voulez vous poser un moment et en parler?
Le bang d'un lourd volume déposé qelque part le tire de sa lecture. Et pendant un moment, dans l'ombre, iel observe Eisabeth à son officine. Elle embarque les livres les plus lourds et volumineux, ainsi qu'une pioche sélective. Et de toute sa personne émane une tristesse telle!!!! S'en est délicieux. Posant le volume qu'iel était en train de lire exactement èa sa place sur l'étagère, iel démon se porte a la hauteur de la guerrière pour retenir le lourd volume qu'elle vient de déposer, ce dernier étant sur le point de tomber au sol.
-Ca va? Demande t'iel simplement, en sachant parfaitement que ca ne va pas. Ceci est un moment douloureux pour l'humaine donc ce n'est pas le moment de futile bavardage. Ce grand énergumène, avec son mouchoir fixé sur le front à l'aide de son ruban èa cheveu n'est certe pas le plus crédible visuellement parlant, mais les yeux noirs brillent de compassion. Vous voulez vous poser un moment et en parler?
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