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Citoyen de La République
Vanay Vyldrithe
Messages : 101
crédits : 26
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Info personnage
Race: Drakyn
Vocation: Guerrier assassin
Alignement: Chaotique Neutre
Rang: C
Ce sourire arrogant continuellement affiché me fatiguait plus qu’autre chose. Il y avait longtemps que je n’avais plus croisé une personne se pensant au-dessus de tout. Soi-disant plus forte et plus intelligente que les autres. Avec eux, ça ne sert à rien de discuter, ils sont tellement persuadés de tout savoir, tout connaître et d’avoir tout fait qu’ils sont bloqués dans une espèce de contemplation de leur propre nombril. Je n’ai clairement pas envie de perdre plus de temps que ça avec cet énergumène aux cheveux blonds.
Elle m’observe, veut me pousser à fauter pour lui donner une bonne raison de riposter… Mais Molly a raison, je dois garder mon calme, et ce n’est pas la première fois qu’elle me le dit…
- Sois déçue si ça t’amuse, prends-moi pour une girouette si ça t’arrange... Mais prends tes affaires et ne remets plus jamais les pieds ici.
Mes phalanges blanchissent sous mon poing serré. Elle peut bien m’avoir trouvé sympathique ou bien me prendre pour la pire des personnes dans ce monde, tout ça m’est bien égal. Je n’ai qu’une envie pour le moment, c’est qu’elle quitte les lieux, et rapidement.
- Ne cherche pas plus les emmerdes et…
Je n’ai pas le temps de finir ce que j’avais à dire que je sens l’air se refroidir directement dans mes narines. Je ramène une main pour englober mon nez, insufflant une légère chaleur pour stopper ce début de gel. Déjà que je n’apprécie pas particulièrement, voire pas du tout, l’hiver, alors l’avoir gratuitement dans mon nez… Merci bien, mais non merci.
Mais c’est aussi ça qui me fait encore mieux comprendre la raison pour laquelle Molly ne veut pas traiter avec cette blonde. Une peste, une chercheuse d’embrouilles doublée d’un égocentrisme démesuré… Rien de bon en affaires, juste de quoi s’attirer des emmerdes qui ne sont ni nécessaires ni même utiles. Juste une supposée adulte, mais avec la maturité d’une adolescente prépubère qui pense pouvoir tout faire sans conséquence.
En somme, une emmerdeuse… Voilà tout.
- Si tu saisis peut-être les mots, tu as vraisemblablement beaucoup de mal à les comprendre…
Je lâche mon nez et viens pointer de cette même main la porte de l’auberge.
- Comme tu le dis si bien, tu es blonde, ça ne doit pas être évident tous les jours… Avoir du vocabulaire, savoir communiquer avec les gens sans baver… Tu sais ? Cette capacité qui te manque visiblement.
Et puis, elle se met, enfin, en marche vers cette sortie, toujours avec son espèce d’air supérieur collé à sa face de morue, qui me fatigue plus qu’elle ne m’énerve. Et plus elle s’en approche, plus le bruit caractéristique d’un écoulement d’eau se fait entendre. Ma tête se tourne alors dans la direction d’où provient ce son. Une flaque d’eau qui grandit à mesure que l’autre se rapproche de la porte.
- Espèce de…
Non, je n’ai pas envie de finir ma phrase, ça ne sert à rien, et ça ne lui donnerait qu’encore plus envie de me provoquer. Non, la seule chose que je fais, c’est d’aller dans sa direction d’un pas rapide.
Elle est sur le pas de la porte ? Tant mieux ! Ça va me faciliter le travail !
- Allez ! Bonne journée !
Arrivée à son niveau, je la pousse, ne lui laissant pas plus de temps pour réagir, et je lui claque la porte au nez avant de la verrouiller.
- Et ne reviens pas !
Et tant pis pour les autres potentiels clients de la journée… Si Molly me dit qu’elle a encore de l’énergie, ce n’est plus mon cas.
Elle m’observe, veut me pousser à fauter pour lui donner une bonne raison de riposter… Mais Molly a raison, je dois garder mon calme, et ce n’est pas la première fois qu’elle me le dit…
- Sois déçue si ça t’amuse, prends-moi pour une girouette si ça t’arrange... Mais prends tes affaires et ne remets plus jamais les pieds ici.
Mes phalanges blanchissent sous mon poing serré. Elle peut bien m’avoir trouvé sympathique ou bien me prendre pour la pire des personnes dans ce monde, tout ça m’est bien égal. Je n’ai qu’une envie pour le moment, c’est qu’elle quitte les lieux, et rapidement.
- Ne cherche pas plus les emmerdes et…
Je n’ai pas le temps de finir ce que j’avais à dire que je sens l’air se refroidir directement dans mes narines. Je ramène une main pour englober mon nez, insufflant une légère chaleur pour stopper ce début de gel. Déjà que je n’apprécie pas particulièrement, voire pas du tout, l’hiver, alors l’avoir gratuitement dans mon nez… Merci bien, mais non merci.
Mais c’est aussi ça qui me fait encore mieux comprendre la raison pour laquelle Molly ne veut pas traiter avec cette blonde. Une peste, une chercheuse d’embrouilles doublée d’un égocentrisme démesuré… Rien de bon en affaires, juste de quoi s’attirer des emmerdes qui ne sont ni nécessaires ni même utiles. Juste une supposée adulte, mais avec la maturité d’une adolescente prépubère qui pense pouvoir tout faire sans conséquence.
En somme, une emmerdeuse… Voilà tout.
- Si tu saisis peut-être les mots, tu as vraisemblablement beaucoup de mal à les comprendre…
Je lâche mon nez et viens pointer de cette même main la porte de l’auberge.
- Comme tu le dis si bien, tu es blonde, ça ne doit pas être évident tous les jours… Avoir du vocabulaire, savoir communiquer avec les gens sans baver… Tu sais ? Cette capacité qui te manque visiblement.
Et puis, elle se met, enfin, en marche vers cette sortie, toujours avec son espèce d’air supérieur collé à sa face de morue, qui me fatigue plus qu’elle ne m’énerve. Et plus elle s’en approche, plus le bruit caractéristique d’un écoulement d’eau se fait entendre. Ma tête se tourne alors dans la direction d’où provient ce son. Une flaque d’eau qui grandit à mesure que l’autre se rapproche de la porte.
- Espèce de…
Non, je n’ai pas envie de finir ma phrase, ça ne sert à rien, et ça ne lui donnerait qu’encore plus envie de me provoquer. Non, la seule chose que je fais, c’est d’aller dans sa direction d’un pas rapide.
Elle est sur le pas de la porte ? Tant mieux ! Ça va me faciliter le travail !
- Allez ! Bonne journée !
Arrivée à son niveau, je la pousse, ne lui laissant pas plus de temps pour réagir, et je lui claque la porte au nez avant de la verrouiller.
- Et ne reviens pas !
Et tant pis pour les autres potentiels clients de la journée… Si Molly me dit qu’elle a encore de l’énergie, ce n’est plus mon cas.
Fight so dirty, but you love so sweet
Talk so pretty, but your heart got teeth
Late night devil, put your hands on me
And never, never, never ever let go
Talk so pretty, but your heart got teeth
Late night devil, put your hands on me
And never, never, never ever let go
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