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Vrain Barsanuphe
Messages : 7
crédits : 558
crédits : 558
Info personnage
Race: Humain
Vocation: Guerrier assassin
Alignement: Neutre mauvais
Rang: D
Vrain Barsanuphe
Race : Humain
Sexe : Mâle
Âge : 28 ans
Métier : Contrebandier
Taille & poids : 1m79 81 kilos
Alignement : Neutre Mauvais
Faction : Citoyens du monde
Rang : Rang D
Religion : Athéisme
Avatar : OC IA
Pouvoirs et objets
Vocation : Guerrier Assassin
Agilité et précision augmentées : Palier 3
- Se bat avec une épée "batarde"
- Possède une arbalète et un lots de trois dagues
Crédits restants : 500
Agilité et précision augmentées : Palier 3
- Se bat avec une épée "batarde"
- Possède une arbalète et un lots de trois dagues
Crédits restants : 500
Description physique et mentale
Bien que possédant un physique correct sans être faramineux, c'est bien sa détermination qui extrait le charognard de la masse. Élevé à la dure depuis sa plus tendre enfance, avide de réussite, possédant une ambition sans fin, Vrain est une illustration possible du proverbe « La fin justifie les moyens. ». Égoïste sur les bords, disposant d'un code d'honneur qui lui est propre, l'homme à la morale grise est motivé par des causes sombres, héritées d'une existence ayant réclamé des choix lourds en conséquences.
Parvenant difficilement à refréner une impulsivité tenace, la verve de l’épéiste ne connaît nulles restrictions. Jamais dans sa poche, sa baveuse acerbe adore les piques titillant l'ego, tout en plaidant ensuite une candeur ironique « C'est pas d'ma faute si l'gus est incapable de garder sa compagne dans son pieu et que la caserne lui passe dessus. Avec autant de monde ayant franchi la porte qu’elle appelle ses cuisses, j'pensais pas que c’était sensible comme sujet. Moi, j'relaie juste l'info. »
Cependant, le bouffon engoncé dans une armure en cuir bouillie n'incarne pas que le pitre raté à deux sous. Sous ses airs d'amuseurs de la galerie se dissimule un farouche rancunier, assoiffé de trébuchante. Animé par un désir sombre de punir ceux que sa folie vengeresse à désigner comme ses véritables ennemies, ne reculant devant aucune bassesse pour voir sa tâche accomplie. Nulle gloire dans la vertu, seul le résultat importe et désigne la valeur d'un homme, à ses yeux. Loin d'épouser les dogmes religieux sans pour autant les rejetés ardemment, il hausse simplement les épaules quand on lui évoque des spirituelles, préférant jongler secrètement les idéaux, préférant l'un à l'autre selon la situation, et selon l'issue qui lui est la plus favorable. Qu'importe la cause, seule sa survie prévaut.
Guidé par une volonté égoïste, motivé par son élévation sociale, dénué de tout patriotisme, Vrain ne voue allégeance qu'à une seule cause, la sienne.
*
Diable de beau parleur, il... C'est faux. Vrain n'est pas l'archétype de la gueule d'ange. À part son nez qu'il s'évertue de conserver en bon état, sa frimousse est banale. Une barbe mal taillée encerclant un visage joyeux avec en son sommet une crinière bousculée par les zéphyrs, des iris d'un brun classique, il n'est qu'une âme parmi des milliers, illustrant le commun, le banal.
Musclée par les aléas d'une existence ne conservant que les plus résilients, le charognard culminant au mètre quatre-vingts sur la pointe des pieds est robuste, doté d'épaules larges, s'attardant plus encore sur l'utile que sur l’esthétique.
Cependant, sa volonté de préserver sa frimousse de tout héritage d'un combat a considérablement laissé son corps exposé. À l'instar d'un bouquin aux pages noircies d'encres, la peau blanche du bougre est couverte de balafres racontant toute une histoire plus ou moins glorieuse, souvent peu rutilante d'ailleurs.
La cicatrice dont Vrain s'amuse à inventer une histoire différente chaque fois qu'il est interrogé sur le sujet est sans conteste la plus effroyable d'entre toutes. La délicate marque prend racine entre ses omoplates pour venir mourir sur sa fesse droite rebondie, comme la gauche. Nul dimorphisme pour la carcasse ambulante de la crapule.
Parvenant difficilement à refréner une impulsivité tenace, la verve de l’épéiste ne connaît nulles restrictions. Jamais dans sa poche, sa baveuse acerbe adore les piques titillant l'ego, tout en plaidant ensuite une candeur ironique « C'est pas d'ma faute si l'gus est incapable de garder sa compagne dans son pieu et que la caserne lui passe dessus. Avec autant de monde ayant franchi la porte qu’elle appelle ses cuisses, j'pensais pas que c’était sensible comme sujet. Moi, j'relaie juste l'info. »
Cependant, le bouffon engoncé dans une armure en cuir bouillie n'incarne pas que le pitre raté à deux sous. Sous ses airs d'amuseurs de la galerie se dissimule un farouche rancunier, assoiffé de trébuchante. Animé par un désir sombre de punir ceux que sa folie vengeresse à désigner comme ses véritables ennemies, ne reculant devant aucune bassesse pour voir sa tâche accomplie. Nulle gloire dans la vertu, seul le résultat importe et désigne la valeur d'un homme, à ses yeux. Loin d'épouser les dogmes religieux sans pour autant les rejetés ardemment, il hausse simplement les épaules quand on lui évoque des spirituelles, préférant jongler secrètement les idéaux, préférant l'un à l'autre selon la situation, et selon l'issue qui lui est la plus favorable. Qu'importe la cause, seule sa survie prévaut.
Guidé par une volonté égoïste, motivé par son élévation sociale, dénué de tout patriotisme, Vrain ne voue allégeance qu'à une seule cause, la sienne.
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Diable de beau parleur, il... C'est faux. Vrain n'est pas l'archétype de la gueule d'ange. À part son nez qu'il s'évertue de conserver en bon état, sa frimousse est banale. Une barbe mal taillée encerclant un visage joyeux avec en son sommet une crinière bousculée par les zéphyrs, des iris d'un brun classique, il n'est qu'une âme parmi des milliers, illustrant le commun, le banal.
Musclée par les aléas d'une existence ne conservant que les plus résilients, le charognard culminant au mètre quatre-vingts sur la pointe des pieds est robuste, doté d'épaules larges, s'attardant plus encore sur l'utile que sur l’esthétique.
Cependant, sa volonté de préserver sa frimousse de tout héritage d'un combat a considérablement laissé son corps exposé. À l'instar d'un bouquin aux pages noircies d'encres, la peau blanche du bougre est couverte de balafres racontant toute une histoire plus ou moins glorieuse, souvent peu rutilante d'ailleurs.
La cicatrice dont Vrain s'amuse à inventer une histoire différente chaque fois qu'il est interrogé sur le sujet est sans conteste la plus effroyable d'entre toutes. La délicate marque prend racine entre ses omoplates pour venir mourir sur sa fesse droite rebondie, comme la gauche. Nul dimorphisme pour la carcasse ambulante de la crapule.
Histoire ou test-rp
Vrain grinça des dents tout étirant son dos, singeant alors la courbure d’un arc. Un long soupir traversa son bec tandis qu'une grimace pareille à celle qu'il commettait en croquant dans un fruit de mer, accompagna son geste. Durant l'entièreté du mouvement, l'artiste laissa libre cours à son côté râleur invétéré, s'illustrant ici par un florilège d'insultes imagés, son jeté de syllabes s’éternisant durant une longue minute. Enfin, quand il se redressa, la canaille laissa ses iris fureter d’une bouille patibulaire à une autre. Il dévisageait les âmes constituant l’assemblée logée entre les quatre murs de l’établissement à la fréquentation douteuse, nommé « l’étalon gris » par le taulier. Un solide gaillard affable, large comme une porte de ferme et tout aussi grand. Cet ursidé ambulant avait de tout temps entretenu d’étroites relations avec la pègre locale, s'assurant de la tranquillité de son commerce en échange d'une certaine discrétion en plus de services amoraux. Ainsi, le commerçant bénéficiait de marchandises peu communes fournies par ses "amis" économiques. Edgar L’crane qu'il s'appelait, du moins les gamins l’avaient ainsi renommé après avoir contemplé le coup de tête monumental que le héros du jour avait flanqué à l’un des policiers venus égarer sa truffe un peu trop près de la cave.
Sacré Edgar, songea le jeune homme.
Vrain, accoudé au comptoir, vint passer une de ses pognes sur sa barbe naissante, tentant de discipliner dans la foulée une crinière bordant le sommet de sa caboche. Ambitieuse tentative qui se solda par un échec, les mèches bouclées luttant âprement pour leur émancipation. L’enfant de la république n’eut pas le temps de se lamenter sur sa performance qu’il fut alpagué. Tia l’avait débusqué à travers la foule et se précipitait à sa rencontre, jouant des coudes pour se frayer un chemin parmi les lourdauds aux mains baladeuses et vocabulaire inventifs. Un sourire jusqu’aux oreilles, la cadette de la petite bande qu’avait intégré depuis quelques années Vrain gonfla ses joues, les poings vissés sur ses hanches. Blanche comme la neige, une crinière d'un noir profond rappelant le pelage d'une corneille, Tia aurait été belle si l'on omettait la pléthore de cicatrices défigurant sa mine. L'une, particulièrement repoussante, prolongeait son sourire d'une demi-dizaine de centimètres. Un châtiment infligé aux individus jugés un peu trop bavard dans le milieu
Sale con. On t’attendait avec les autres. On s’est tous cotisé pour t’offrir une part de gâteau. Pourquoi tu n'as pas pointé ton derche ? »
Les phalanges de la crapule encerclent la chope adjacente à son coude droit. Il porta celle-ci à ses lèvres et s’en rinça le gosier pour finalement reposer le récipient en claquant le cul de celui-ci sur le bois constituant le comptoir vétuste. D’un geste lent, il ôta la mousse présente en dessous de sa truffe d’un revers d’avant-bras.
« Doucement. On fêtera mes dix-huit ans une autre fois. Liton avait un boulot important pour moi. Un boulot exigeant de la confiance. Des gars costauds et robustes et…
-S'il t’a choisi, c’est que les concernés n’étaient pas disponibles.
-Hilarant. En-tout-cas, je gravis les échelons, bientôt finis les vols à la tire et la mendicité. Si je continue comme ça, on aura de quoi changer un peu notre destin.
-Ce serait formidable. J’ai toujours rêvé d’ouvrir une boutique de fringues. »
Le ton enjoué, candide de Tia propulsa Vrain dans une réalité alternative, de celle ou la malheureuse Tia n'avait pas enduré cette existence pénible et injuste. Qu'elle aurait été son enfance, si elle avait eu la chance de passer chialer après avoir franchi les cuisses d'une noble, et non de sa défunte putain de mère. L’espace d’un instant, sa camarade sous l'effet de l'éventualité de quitter progressivement la précarité de la rue, rayonnait. Rose parmi les ordures. Cette gamine privée d’enfance pouvait rêver, rêver à une vie meilleure.
* * *
Vrain secoua sa caboche de droite à gauche avant de rouler d’une épaule, réajustant la sangle en cuir retenant une parti de son barda qui lui cisaillait la peau. Les ombres projetées par les flammes dansaient, se reflétant sur les sépultures semées à travers le cimetière. La pénombre bousculée réussissait l’exploit à rendre plus effrayant encore l’endroit que les contrebandiers souillaient. Les jeux de lumières instillaient une ambiance oppressante en plus d'offrir l'illusion de spectre guettant l'opportunité de se repaître du trinôme à l'éthique absente, certainement oublié au portemanteau. Au milieu de la nuit, uniquement éclairée par des torches, le trio se livrait à une activité assurément clandestine. Armés de pelle, Vrain et ses camarades plantaient la terre avec acharnement, remuant ce qui les séparait vraisemblablement d'un trésor. En face d’eux, les observant en plus de l’astre lunaire, une tombe. Les initiales parcourant le travail d’un artisan autrefois émérite avaient été effacées par le plus grand fléau de l'humanité, le temps.
« Tu es sûr que c’est ce cercueil ?
-Non, dans le doute, on va faire tous les morts.
-Sérieux ?! Mais…
-Chuuut crétin. Bien évidemment que c’est celle-ci de tombe. Range ta baveuse et cause avec tes bras. »
L’acier d’une des pelles percuta finalement le bois, et à l'unisson, les trognes des bandits s’illuminèrent, leur instinct cupide rugissant de plaisir. Telles des goules devant un cadavre, le trio se jeta sur l'armature en bois et arracha les planches. Le cercueil vola en éclats, et son contenu fit pousser un cri de joie étouffé à l’un des pilleurs. Si l'un célébrait en se frottant les mains, l’autre comparse se jetait sur la parure tandis que Vrain laissait le fer de sa lame glisser contre l’intérieur de son fourreau. Lentement, il dégainait la faucheuse de vie qui avait maintes et maintes fois été entachée d’hémoglobine. Ses collègues du soir et amis depuis plusieurs mois inspiraient pour la dernière fois, remplissant leurs poumons avant que d’un geste sec et précis, le traître ne dégonfle ceux-ci. Un battement de palpitant plus tard, le félon observait les deux corps encore chauds sur le sol, gémissant avant de s'éteindre. Courte agonie. Edward conversait une expression mêlant la stupeur et l’effroi, l'apanage de ceux ressentant le baiser mordant de l'acier sans en deviner la provenance.
« Sans rancunes messieurs. Le monde est ainsi fait. Gardez vos remontrances pour les cieux, vous y avez rendez-vous. Quand la mélodie n’est pas à son goût, on blâme le chef d’orchestre, pas l’un des musiciens. Et puis, je considère cette offrande généreuse et silencieuse de votre part comme mon cadeau d’anniversaire. 22 ans, ça se fête n’est ce pas ? »
Avec une nonchalance typique des salopards existant par l’épée, le gredin vint à s’accroupir pour agripper le bijou de valeur encore logée dans la main bientôt rigide d’un des ronfleurs. Le fléchissement de cuisse causé par la manœuvre fit pester le meurtrier qui s’offusqua doucement.
« Diable. Je me fais vieux. Bande de veinards, vous avez plus ce souci. Même pas un merci. Ingrats. »
Sa remarque débordant de cynisme amusa le clown improvisé qui quittait lentement le théâtre morbide du larcin.
* * *
La cadence de ses bottes martelant les pavés grisâtres et irréguliers de la cité accéléra. Le souffle court, Vrain puisait dans ses réserves pour tenter d’augmenter la cadence, du moins la maintenir. Son cœur martelait sa poitrine si bien que le charognard s'étonna de ne pas observer son palpitant s’extirper de sa cage thoracique pour le devancer dans cette course effrénée. Une intersection survint et l’évadé s’engouffra dans une ruelle à sa droite, manquant au passage de se faire une cheville, ce qui aurait scellé son destin. La nuit tombée depuis des heures, seules les lanternes et autres lumières orangées s’échappant des vitraux éclairaient les artères de la cité. Barsanuphe courait, courait comme si l'encapuchonnée inexorable réclamait une étreinte glaciale. Toutefois, ce scénario lui aurait été plus favorable. Ses poursuivants voulaient lui arracher son existence tout en s’assurant que précédemment, il allait supplier, implorer la clémence de ses bourreaux.
Tandis qu’il détalait, Vrain ressentait son rythme cardiaque depuis sa plaie fraîchement vissée sur un coin de sa tête. Le coup fourbe l’avait secoué, l’empêchant presque de prendre ses jambes à son cou. Hélas, sous-estimer la ténacité d’une mauvaise plante acculée était une erreur à ne pas commettre.
Depuis le retour des monstruosités et de leurs créateurs, les titans, le marché noir avait connut un essor foudroyant. Les demandes farfelues explosaient à travers le continent. Les biens de nécessités étaient quémandés, le malheur s'abattant comme la pluie sur les marins. Une aubaine pour les engeances forgées à partir du même moule que Vrain. Lui s’était régalé, se nourrissant des maux du monde pour son commerce et ses sombres affaires. Toutefois, il avait franchi une limite récemment et les conséquences toquaient à sa porte. Le plus si jeune homme le savait, parmi le labyrinthe que représentait la république, il ne pourrait parvenir à s’échapper éternellement d’une dette dont il était incapable de s’acquitter pour le moment. Vrain devait fuir. Loin. Plus loin encore que le larron l’avait soupçonné. Il devait s'y résoudre à contrecœur. Le coût exigé demeurait exorbitant. L'Eldorado contraint. Une autre nation.
« Il est là ! Chopez-moi ce bâtard ! »
Les voix se rapprochaient. Il ne devait pas faiblir.
* * *
Engoncé une tenue aux teintes rappelant les immenses sapins du nord, le contrebandier arpentait le pont, laissant sa main se promener sur le bastingage. Sa phalange muette soulignait les aspérités présentes alors que ses yeux braquaient l’horizon. Petit à petit, les marchandises étaient acheminées à l’intérieur de la cale, les quelques passagers restants agissaient de manière identique, gravissant les marchés les menant sur ce navire au voyage pour beaucoup sans retour. La république et ses territoires dans le dos, destination la nation des barbares. Ce vaisseau salutaire promettait la renaissance. De nombreux à bords s'extasiaient de cette perspective, le ton enjoué de leur conversation trahissait l'espoir habitant désormais leurs carcasses.
« Nouveau monde, me voilà."
Tel du venin, Vrain cracha ses mots. Vengeance. Représailles. Rétribution. Il se le jurait.
* * *
Dès l’instant où ses bottes se posèrent sur le sable chaud du désert, Vrain savait qu'il allait reprendre la même mélodie qu'il avait joué toute sa vie, la seule qu'il connaissait, la seule que ses doigts étaient en capacité de réciter. Tous les moyens étaient bons pour s’élever, que ce fut dans une ville républicaine ou dans celle-ci, la société connaissait des failles, Vrain jurait de tout faire pour se hisser. Le faquin avait en tête de reprendre ses activités illégales, d'essayer de flirter avec la pègre locale pour s'imposer comme un contrebandier providentiel capable de lié les marchés obscurs des différentes nations. La théorie, le gredin la possédait, l'avenir allait se charger de vérifier la véracité de sa tactique. Un vautour demeurait un vautour, assoiffé de barbaque, peu importait son terrain de chasse. Le scorpion ne changeait jamais de nature, comme l’enseignait la fable.
Fraichement débarqués depuis une poignée de jours, les objectifs primordiaux du salopard résidaient en deux grands axes. Réintégrer la pègre locale et obtenir la citoyenneté Reikoise. Toutefois, en son âme demeurait une tout autre mission, l'acquittement d'une dette qu'il s'était juré de rembourser. Motivé par la pire des conseillères, la colère, le bandit ambition et opportunistes ne perdait jamais des yeux son ultime objectif
"Une dette. Du sang contre du sang."
Groupes d'intérêts
La pègre Reikoise
Arrivé depuis quelques jours, Vrain à pour objectif d'intégrer le milieu du grand banditisme. peu effrayé par les exactions, la loyauté du bougre rime avec le son des trébuchante heurtant l'intérieur de ses poches..
Arrivé depuis quelques jours, Vrain à pour objectif d'intégrer le milieu du grand banditisme. peu effrayé par les exactions, la loyauté du bougre rime avec le son des trébuchante heurtant l'intérieur de ses poches..
derrière l'écran
Pseudo : Ruiné
Comment avez-vous connu le forum ? Via un top site ! Classique.
Avis sur le forum : La classe internationale !
Fréquence de connexion : Plusieurs fois par semaine.
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Vrain Barsanuphe
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Race: Humain
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Rang: D
Noble de La République
Neera Storm
Messages : 584
crédits : 874
crédits : 874
Info personnage
Race: Demi-titan
Vocation: Mage élémentaliste
Alignement: Chaotique bon
Rang: B
Voilà un homme bien ambitieux qui commence une toute nouvelle aventure sur le territoire du Reike :p J'ai hâte de te voir traficoter avec la pègre tout en essayant d'obtenir ta citoyenneté, ça fera déjà un premier objectif pour ton PJ !
J'espère en tout cas que tu t'amuseras sur le forum.
Te voilà validé, bon jeu sur Cendres o/
J'espère en tout cas que tu t'amuseras sur le forum.
Te voilà validé, bon jeu sur Cendres o/
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