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    Valefor Sealgair
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  • Lun 23 Déc 2024 - 22:20
    image rp

    Message 1

    Un soir où mes deux mondes se croisaient, c'était assez rare pour le souligner 

     J'avais entendu parler d'une petite frappe qui faisait du trafic de quelque chose qui m'importait. Est ce que cela étais lié à mes cibles, un indépendant ou quelqu'un avec une lubie étrange. Je devais tirer cela au clair. 

    Encore une fois, mon masque d'os était accroché sur le fourreau de mes épées. Je venais d'arriver à Courage. Le soleil venait de se coucher, j'arpentais les rues, ma canne résonnait à chaque nouveau pas qui me rapprochait de ce que je voulais. Les rues étaient calmes dans cette ville. J'étais passé par le quartier ou l'agitation était un peu plus éveillée. L'odeur des tavernes qui emplissait l'air nocturnes. La bière, d'autres alcools l'odeur de la viande. Des odeurs qui auraient put m'ouvrir l'appétit, si je n'aurais été qu'un homme comme les autres.

     Et c'est près d'une taverne en particulier, que mon appétit s'ouvrit brusquement. L'odeur du sang, salué, nettoyé, mais toujours présente. Ma main se leva machinalement jusqu'à mon pendentif. Cette tête de hyène aux yeux hétérochrome se mit à frémir sous mes doigts. Comme si lui aussi avait sentit quelque chose, peut être une sensation magique où tu déjà vue. J'avais levé la tête pour regarder l'enseigne, découvrant un petit cétacé. Un sourire déforma mes lèvres, je n'avais pas le temps ce soir, mais il faudra que je revienne. Voir d'où venons cette odeur. 

     J'avais repris ma route pour m'éloigner de ses tavernes, laissant l'alcool et ' les femmes à ceux qui étaient encore des hommes. La démarche qui me caractérisait me faisait m'éloigner de ces lieux. Rejoignant les ruelles à l'arrière du quartier. Au fond de moi, j'espérais enfin trouver une trace de ceux que je recherchais, ceux qui arrivaient à se soustraire à mes recherches. 

    Et dans ce monde ou se mélangeaient les odeurs de la mer et ses hommes, le frais comme l'avarié, de la mer comme de l'homme. Mais parmi tout cela, une autre odeur parvint à mes narines me faisant renifler. Une odeur qui me tira un sourire, cette odeur qui rythmait une partie de ma vie. Même si cela était légèrement différent, pas du sang d'homme ou d'elfe qui était la majorité de ce peuple, c'était du sang d'animal et cela signifiait aie ce n'était pas une de mes cibles. J'étais ici, ce sang n'était pas là pour rien. 

    Le bruit de ma canne cessa, ma démarche se modifia pour devenir celle d'un limier en chasse, silencieuse. Mon manteau maintenu par une boucle dissimulé mes armes, mon masque. Et de loin, je pus me mettre à filer celui qui portait cette marchandise jusqu'à ce point de rencontre. Bientôt, je pus apercevoir l'échange qui se mettait en place.

     Je lui laissais un peu de temps, m'enveloppant dans cette invisibilité qui me servait en chasse, m'approchant du duo étrange. M'appuyant contre un mur silencieusement. Sortant un cigare avant de le porter à mes lèvres. Dis le briquet en électrum, une première étincelle, puis une deuxième qui brisa mon invisibilité s'évapora pour me laisser apparaître, bras croisés fumant mon cigare. 

    - Bonsoir, vous ne voyez pas d'inconvénient à ce que je me joigne à vous ?

     C'était une entrée que j'appréciais, mais si l'un des deux fuyait, il risquait de se faire trouer les jambes. 

    Citoyen du monde
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    Altarus Aearon
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  • Jeu 26 Déc 2024 - 17:23
    Dans une petite venelle, dans le quartier arrière des environs des petites rues commerçantes de Courage, une silhouette encapuchonnée était sur le qui-vive. Bien qu'il fît nuit, et qu'elle fût dans l'ombre d'un mur, il n'appréciait guère se retrouver dans un tel recoin. Le bordel qui avait secoué la cité maritime des semaines plus tôt avait rendu l'atmosphère plus... différente. L'encapuchonné n'avait pas encore trouvé le terme exact pour définir la mentalité locale du moment. Une chose était certaine : les autorités locales étaient désormais un peu plus nerveuses. Les habitants se montraient plus tendus, plus méfiants. En journée, cela se voyait à peine pour quiconque ne prenait pas le temps d'observer la vie quotidienne de ces braves gens. Et la nuit, n'en parlons pas. Pourtant, les tavernes et les auberges des environs laissaient encore entendre des rires, de la musique... Il y avait des habitudes qui ne changeaient pas, surtout lorsqu'il s'agissait de se détendre avec de la bonne bière, avec ou sans chaude présence féminine.

    La sombre silhouette était passée devant certains de ces établissements sans émettre le moindre désir d'y pénétrer. Pas un regard, pas un coup d'œil. Hormis s'assurer que personne ne le filait, il avait rejoint le point de rendez-vous pour une commande assez particulière, dont il ne pouvait guère se passer, qu'il soit en mer ou à terre. Cette commande lui était nécessaire pour ne pas céder à la tentation de ce qui se trouvait à sa portée toutes les nuits. Prendre la mer pour trouver ce dont il avait absolument besoin était rude, même avec la meilleure préparation logistique possible. Les membres de son équipage admettaient encore mal ce qu'était devenu leur Capitaine, bien que leur confiance en lui fût encore là. Elle avait été fragilisée, et seul le temps pourrait la reconsolider. Et à cela, l'ombre en capuche tenait à prouver qu'il pouvait résister à sa soif.

    Sa première expérience avait été une véritable torture. Combien de temps aurait-il pu tenir si ce phoque ne s'était pas présenté à l'entrée de la caverne ? Que se serait-il passé s'il n'avait pas étanché sa soif lors de la venue de Myriem et Neera ? Rien que d'y penser, il en frissonnait. Il ne tenait pas à le savoir, ni à le subir. Pourtant, il faudrait bien qu'il mesure ses propres limites pour réellement voir de quel bois il était fait face à ses instincts. Mais il était encore trop tôt...

    Il commençait à s'impatienter, voyant que l'homme qu'il attendait n'était toujours pas présent. Quelques instants plus tard, un autre individu, un quarantenaire à la barbe brune, se présenta à l'entrée de la venelle, regarda à droite et à gauche pour vérifier qu'il était bien seul, puis se faufila dans l'ombre pour rejoindre l'encapuchonné.

    "Ce n'est pas trop tôt..." grommela bassement celui-ci.
    "Ça devient un peu plus difficile à chaque fois, vous savez, et puis..."
    "Épargne-moi ton baratin, veux-tu ? Je vois déjà où tu veux en venir. Ne joue pas de ça avec moi..."

    Le coursier se retint de jurer. Il ouvrit la bouche pour dire quelque chose, mais la referma aussitôt, lorsque son "client" lui tendit le prix attendu. Il s'interrogeait d'ailleurs sur les raisons pour lesquelles cet homme ne se procurait pas son produit directement à la source. Les pêcheries du port n'étaient pas interdites d'accès, pas plus que les boucheries. Après tout, quand on venait à demander du sang de manière régulière, cela sentait la magie noire... ou autre chose qui ne le regardait pas. Tant qu'il était payé.

    Il était vrai qu'Altarus pourrait se fournir directement dans ces secteurs. Mais il avait ses raisons, et surtout, il évitait de se faire remarquer. Un armateur qui commandait du sang d'animal régulièrement... clairement, ce n'était pas pour faire du boudin avec.

    Le revendeur tendit une bouteille emmaillotée de toile de lin grossière. Soudain, il sursauta, manquant de lâcher la bouteille. Les ténèbres de la venelle furent fugacement repoussées par la vive et brève lueur d'une étincelle. Une seconde s'en suivit, laissant une nouvelle silhouette apparaître, surgissant du néant. Calé contre le mur, il était là, tranquillement adossé, un cigare allumé en bouche. Sa réplique verbale, frôlant l'arrogance légère, suffit pour que le barbu décide de prendre la fuite. À peine s'était-il retourné pour détaler qu'une main ferme l'attrapa par le col, le tirant violemment en arrière pour le faire atterrir sur les dalles humides et irrégulières de la venelle.

    "Nous n'avons pas terminé..."
    "Mais vous êtes miraud ? Y a un type là !"
    "La ferme !"

    Le demi-elfe perdait patience, cela s'entendait. L'imprévu était un facteur régulier dans sa vie, surtout lorsqu'il prenait la mer, devant tenir compte des humeurs des flots et des cieux. Mais depuis qu'il était devenu... ce qu'il était, il ne pouvait se permettre de telles surprises. Dans l'ombre de sa capuche, l'œil bleu acier se darda froidement sur le fumeur.

    "Je ne crois pas avoir fait part d'une invitation en ces lieux, messire... Et comme vous le voyez, vous perturbez une affaire qui n'est pas la vôtre. Alors énoncez la raison de votre venue, ou partez... je ne suis pas d'humeur, comme vous pouvez largement le constater."

    Son esprit tenait déjà la trame de sa magie...
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  • Dim 5 Jan 2025 - 23:26

    Un soir comme les autres. Un échange qui débutait comme tant d'autres. Le vendeur qui parlait de la difficulté d'approvisionnement pour faire augmenter les vise, le client pas d'humeur qui grommelait face à ce jeu inutile. 

     L'ancien semblait manqué de patience alors que l'odeur du sang arrivait à mes narines. Sans ouvrir mon appétit. Qu'est-ce qui pouvait emmener quelqu'un à chercher du sang, à part s'il partageait ma condition. Et s'il pensait que cela lui suffirait, il se trompait. Il ne devait pas avoir compris qu'il avait franchi une ligne. Ce vieux m'avait rejoint dans le camp des prédateurs. La colère montait en moi, se rabaisser à quémandé à quelqu'un qui pouvait vous trahir, au lieu de chasser. 

    Mon cigare s'alluma et je m'étais annoncé à ma manière. Le vendeur avait voulu disparaître, mais c'était fait attraper par le vieux. Je m'étais décollé du mur, m'approchant avec ma canne et ma démarche bancale. Mon sourire qui ne quittait pas mes lèvres.

     - Qu'avons-nous là ? 

    Je commençais à tourner autour d'eux. 

    - Tu sais l'ancien, je vois sous ta capuche entre éclopés, on peut s'entraider non ?

     J'avais reniflé, forçant un peu sur le geste. 

     - Mon identité ? Qu'est-ce qu'il pourrait te prouver que je dis la vérité. On me connaît sous différents noms. Valefor, Bad Wolf, le wendigo, le chasseur, le cloueur. Choisis celui qui te plait. 

    Le vendeur se crispa à ma liste de noms, un de ceux que j'avais prononcé lui disait quelque chose. Mon sourire se fit un peu plus joueur. 

     - Quelque chose à dire ?

     - Tu... tu es le lim... limier. 

     Je faisais un moulinet avec mon bras. 

    - Je n'ai pas utilisé celui-là. Je ne suis pas en mission. Mais oui, je suis aussi le limier à la canne. 

     Mon regard passa sur l'encapuchonné. 

    - Bon, je te l'emprunte et on discuteras plus ouvertement. 

     J'avais saisi le vendeur pour l'emmena jusqu'à un mur. Mon poing se posa sur sa gorge et un rictus de douleur crispa mon sourire. Un "U" d'os vint se planter pour le coincer contre le mur. 

    - Si tu hurles, je te les coupe.

    Normalement, l'entrave était assez serrée pour l'empêcher de hurler, et de se sauver. Je me rapprochais de l'ancien, expirant ma fumée lentement. Je m'appuyais sur ma canne, en reprenant d'un ton bas.

     - Allons droit au but. Depuis quand tu es un vampire ? Et avec qui tu chasses ?

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    Altarus Aearon
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  • Hier à 18:37
    Les lèvres manquèrent de former un rictus hargneux, tellement Altarus les serrait pour essayer de canaliser la colère qui sourdait encore un peu plus. Le voir se rapprocher un peu plus n'allait pas l'apaiser. Se tenant vigilant, sa priorité était de récupérer la bouteille, avant de laisser son revendeur se sauver. Cette volonté lui fut un peu coupée ; l'inconnu boiteux, souriant presque par provocation, malgré son cigare en bouche, commençait à tourner autour d'eux, comme un requin cherchant la bonne proie à mordre. Et quand celui-ci dévoila son nom et quelques sobriquets, le receleur manqua de faire dans ses frusques. Altarus pesta. Un putain de Limier ! La situation se corsait dangereusement. Et il n'avait toujours pas récupéré sa bouteille. Il grinça des dents.

    Silencieusement, sans reculer d'un pas, il guettait le moment propice pour récupérer le bien convoité. Quand le Limier, dit "à la canne" pour le désigner sous un nom plus commun que les premiers énoncés, saisit l'autre couineur, la surprise fit lâcher à ce dernier la bouteille emmaillotée. Pendant qu'il était tiré un peu plus loin dans un autre recoin, Altarus sut rattraper l'objet avant qu'il ne rencontre le sol. Il aurait été désastreux de perdre son précieux liquide. Avec lui, il pourrait avoir la paix le temps de quelques jours, avant que la soif ne vienne à nouveau le torturer.

    L'autre boiteux n'avait guère mis de temps pour revenir vers lui. Après avoir cloué à sa manière le seul humain présent dans cette rue, il lâcha un peu de fumée épaisse. Altarus, prudent, attrapa déjà les trames de sa magie, prêt à la déployer si cela s'avérait nécessaire. Il manqua de les perdre quand le Limier le surprit en lui demandant depuis combien de temps il était vampire. Par les Abysses, un autre vampire... Comme s'il avait besoin de cela. L'envie de cacher la bouteille le démangeait, mais ce serait faire preuve de faiblesse et surtout, qui sait comment celui-ci se nourrissait. Étant un Limier, il ne devait avoir aucun état d'âme à trouver ses proies parmi les ennemis de la République.

    Donc, il voulait aller droit au but. Soit ! Les sourcils du borgne se froncèrent pendant qu'il dardait son seul œil bleu sur Valefor.

    "Il y a l'art et la manière d'entrer dans une conversation, même si les présentations se sont faites à moitié."

    Valefor s'appuyait sur sa canne. D'un coup, la pointe de cette dernière glissa sur le sol, comme brutalement poussée par un coup de pied invisible. Est-ce que le Limier allait se vautrer par terre ? Ou retrouver son équilibre ? Pour peu qu'il soit réellement boiteux !

    "Prenez garde. Ça glisse..."

    Il ne le quitta pas du regard.

    "Depuis quand, cela ne vous regarde pas. Et je chasse seul. Cela vous convient. Maintenant, faites-moi part de vos intentions, avant que je ne perde réellement patience."
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