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Noble de La République
Elaena Vespera

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crédits : 718
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Elaena Vespera

Race : Démon
Sexe : Féminin
Âge : 6 000 ans
Métier : Noble, Dirigeante des Officiers Républicain de Justice, Conseillère municipale en matière de Sécurité
Taille & poids : 1m71 / 64 kg
Alignement : Loyal Mauvais
Faction : République
Rang : B
Religion : Culte des ombres
Avatar : The Squire - Eve Ventrue
Pouvoirs et objets
Vocation : Guerrier
Sous Spécialisation : Assassin
Pouvoirs :
Super vitesse – Palier 2 (1500)
Agilité et Précision augmentées – Palier 2 (1500)
Invisibilité – Palier 1 (250)
Nyctalopie – Palier 1 (150)
Séduction – Palier 1 (500)
Restant : 100
Equipement
Son armement quotidien :
Potion poison nocif
Une épée bâtarde en acier château
Une Francisque avec un manche en fer forgé et équilibré pour le lancer
Une miséricorde qu’elle porte en permanence à la ceinture
Une arbalète à répétition compacte
De nombreuses dagues de jets
Dans son armurerie
Un marteau d’armes pour le duel contre un adversaire en armure
Un écu en acier
Une Hache d’armes avec un long manche et une pointe de lance à l’opposé.
Armures
Sa Jaque habituelle est composée d’une Gambison, elle y adjoint parfois une Brigandine à laquelle elle peut greffer des morceaux de plaques supplémentaire pour renforcer la protection. Appréciant sa mobilité, elle évite de surcharger sa ceinture pelvienne et ne porte aucun élément de mailles ou de broigne, qui nuirait à sa mobilité.
Elle dispose d’un tabard de la ville de Justice, d’un écusson et d’un manchon de grade signe de sa fonction.
Dans son armurerie, elle dispose également d’un harnois de cérémonie qu’elle ne porte presque jamais, bien qu’il pourrait remplir un rôle défensif intégral si un jour elle en avait le besoin.
Le reste de son équipement est composé de ses tenues, de quelques robes, d’un atelier d’artiste peintre, de sa harpe et de tout ce qu’une noble de son rang dispose qui serait trop long à détailler.
Immobilier
Elle dispose d’une modeste villa à Justice au bord du lac dont elle a fait l’acquisition récemment. Séant à une Noble de richesse intermédiaire.
Elle a également un grand commerce dont elle tire la grande partie de sa fortune nommé « Le Palais des Plaisirs » se situant à Justice. C’est un grand salon de plaisance sur plusieurs étage composé des « Six Cercles du Plaisir » adressé à une clientèle bourgeoise et noble. Il contient au rez-de-chaussée un espace salon de thé et bar avec une scène musicale et théâtrale, au premier étage des tables de jeux d’argent, au second une galerie d’art où sont exposées les œuvres d’Elaena et d’autres artistes qu’elle apprécie ou de sa collection. Le troisième étage, plus privatisé est adressé à une clientèle souhaitant les plaisirs de la chair, certains des employés du Palais, appelés Courtisans proposant des services extras pour ceux se montrant curieux. Le quatrième étage est un lieu encore plus privé, disposant d’un bar spécifique, proposant la consommation de substance élargissant les perspectives et l’imagination. Le dernier étage est destiné à la direction et comprends des logements pour les employés. A l’extérieur, se trouve un grand jardin dissimulé avec une flore et des arbres abondant abritant le dernier excès du lieu, celui de la violence. Un Cercle de combat prend place, accueillant lutteur, cogneur et curieux. Des combats ont lieu chaque soir et de nombreux paris ont lieu sur les combattants dont les règles varient selon les soirées. La plupart du temps, ce sont de simple combat à mains nues jusqu’au KO ou à la soumission de l’adversaire. Mais des rumeurs disent que lors d’affront à l’honneur, le lieu peut servir de règlement de compte plus permanent. Etablissement populaire, il est organisé à la façon d’un Casino moderne où les individus rentrent et perdent rapidement la notion du temps.
Sa dernière possession immobilière est un petit dispensaire dans les bas fond de justice où elle accueille malades et blessés modestes et leur propose à moindre coût, des soins et des médicaments. Il est organisé également journalièrement une soupe à destination des indigents. Elaena s’y rends fréquemment pour prendre les doléances de la population et les rassurer. Ce lieu lui a permis de jouir d’une grande popularité auprès des classes sociales les plus basse.
Sous Spécialisation : Assassin
Pouvoirs :
Super vitesse – Palier 2 (1500)
Agilité et Précision augmentées – Palier 2 (1500)
Invisibilité – Palier 1 (250)
Nyctalopie – Palier 1 (150)
Séduction – Palier 1 (500)
Restant : 100
Equipement
Son armement quotidien :
Potion poison nocif
Une épée bâtarde en acier château
Une Francisque avec un manche en fer forgé et équilibré pour le lancer
Une miséricorde qu’elle porte en permanence à la ceinture
Une arbalète à répétition compacte
De nombreuses dagues de jets
Dans son armurerie
Un marteau d’armes pour le duel contre un adversaire en armure
Un écu en acier
Une Hache d’armes avec un long manche et une pointe de lance à l’opposé.
Armures
Sa Jaque habituelle est composée d’une Gambison, elle y adjoint parfois une Brigandine à laquelle elle peut greffer des morceaux de plaques supplémentaire pour renforcer la protection. Appréciant sa mobilité, elle évite de surcharger sa ceinture pelvienne et ne porte aucun élément de mailles ou de broigne, qui nuirait à sa mobilité.
Elle dispose d’un tabard de la ville de Justice, d’un écusson et d’un manchon de grade signe de sa fonction.
Dans son armurerie, elle dispose également d’un harnois de cérémonie qu’elle ne porte presque jamais, bien qu’il pourrait remplir un rôle défensif intégral si un jour elle en avait le besoin.
Le reste de son équipement est composé de ses tenues, de quelques robes, d’un atelier d’artiste peintre, de sa harpe et de tout ce qu’une noble de son rang dispose qui serait trop long à détailler.
Immobilier
Elle dispose d’une modeste villa à Justice au bord du lac dont elle a fait l’acquisition récemment. Séant à une Noble de richesse intermédiaire.
Elle a également un grand commerce dont elle tire la grande partie de sa fortune nommé « Le Palais des Plaisirs » se situant à Justice. C’est un grand salon de plaisance sur plusieurs étage composé des « Six Cercles du Plaisir » adressé à une clientèle bourgeoise et noble. Il contient au rez-de-chaussée un espace salon de thé et bar avec une scène musicale et théâtrale, au premier étage des tables de jeux d’argent, au second une galerie d’art où sont exposées les œuvres d’Elaena et d’autres artistes qu’elle apprécie ou de sa collection. Le troisième étage, plus privatisé est adressé à une clientèle souhaitant les plaisirs de la chair, certains des employés du Palais, appelés Courtisans proposant des services extras pour ceux se montrant curieux. Le quatrième étage est un lieu encore plus privé, disposant d’un bar spécifique, proposant la consommation de substance élargissant les perspectives et l’imagination. Le dernier étage est destiné à la direction et comprends des logements pour les employés. A l’extérieur, se trouve un grand jardin dissimulé avec une flore et des arbres abondant abritant le dernier excès du lieu, celui de la violence. Un Cercle de combat prend place, accueillant lutteur, cogneur et curieux. Des combats ont lieu chaque soir et de nombreux paris ont lieu sur les combattants dont les règles varient selon les soirées. La plupart du temps, ce sont de simple combat à mains nues jusqu’au KO ou à la soumission de l’adversaire. Mais des rumeurs disent que lors d’affront à l’honneur, le lieu peut servir de règlement de compte plus permanent. Etablissement populaire, il est organisé à la façon d’un Casino moderne où les individus rentrent et perdent rapidement la notion du temps.
Sa dernière possession immobilière est un petit dispensaire dans les bas fond de justice où elle accueille malades et blessés modestes et leur propose à moindre coût, des soins et des médicaments. Il est organisé également journalièrement une soupe à destination des indigents. Elaena s’y rends fréquemment pour prendre les doléances de la population et les rassurer. Ce lieu lui a permis de jouir d’une grande popularité auprès des classes sociales les plus basse.
Description physique et mentale
Physique
Une carrure athlétique, un corps s’élevant au-delà de la moyenne humaine, fine, sèche, la peau sur les os, des muscles saillants, un physique de combattante, optimisé pour le combat. Passant pour une humaine aux yeux de tous, la supercherie est alimentée par des « brins de vie » qu’elle apporte à son existence, pour se donner une sensation d’existence mortelle.
Brune, cheveux longs hirsute avec des yeux verts-bleu, elle possède un petit nez bien fait malgré les nombreuses fractures qu’il a déjà subi, ses dons surnaturels aidant à la récupération. Sourcils épais et foncé de nature, elle les entretiens régulièrement de façon à garder la forme naturelle sans l'aspect broussailleux. Elle possède des cils très long naturellement, intensifiant son regard. Son visage a une forme générale assez féminine, légèrement arrondie avec une mâchoire fine et un menton dans le prolongement de la forme naturelle de sa face. Elaena possède un physique maigrelet supplanté par une musculature développée sans être imposante, sans sa condition physique, elle serait un sac d'os. Son faible taux de graisse fait ressortir la forme de ses muscles saillants par l’exercice physique dès lors qu'elle est un peu dénudée. Large d'épaule pour une femme, sa poitrine serait l’équivalent d’un bon C, souvent tenue en place par des brassières ou corset d’époque, cette dernière est légèrement gonflée par le développement de ses pectoraux. Ses bras et ses mains sont relativement fins. Son bassin est peu féminin, peu large, seul son fessier, principalement dû à ses exercices physiques est développé, ses jambes sont à l'images de ses bras, extrêmement fins avec aucun excédent mais des muscles saillants. Elle possède une pointure moyenne par rapport à sa taille, 39.
Elaena est cependant relativement bien habillée. Sans être accroc à la dernière mode ou aux vêtements sophistiqués, elle porte de la qualité. Principalement du sombre à l’image des vêtements sans trop d’ornement, plutôt confortable. Souvent des vêtements pratique comme des pantalons court ou moulant pour le bas, chemise sans manche, brassière ou pull pour le haut. Son style vestimentaire serait qualifié de martial, ce qui correspond à sa fonction et son mode de vie. Elle ne porte pas de robe, du moins que très rarement dans sa vie, préférant des vêtements pratiques. Au niveau des accessoires, à part l'occasionnel élastique noir au poignet pour s'attacher les cheveux, elle ne porte qu’une discrète paire de boucle d’oreilles en argent. Elle se maquille, principalement les yeux et parfois, du rouge à lèvre, cela fait partie de ses brins de vie, cela reste choses assez simples, mais qu’elle fait bien.
Si elle a su se façonner le physique d’une très belle femme lors de sa genèse. Son charme n’est pas que physique, il est aussi avant tout dans son magnétisme surnaturel.
Psychologique
Excessive, animée par une passion sans limite pour le monde, dominatrice, justicière, battante. Tant de mots pour décrire une personnalité qui ne fait que feindre d’être humaine. Il y a pourtant un certain système complexe qui se profile dans l’être de magie.
Psychologiquement régie sous la forme de rapports de force, elle est convaincue que le monde est injuste et qu’il est nécessaire de s’y forger sa place sous peine d’être écrasée. Le prisme est celui des fort et des faibles, de dominants et de dominés. Même si son temps sur terre la pousse à croire qu’il y a un certain confort dans la servilité.
Son esprit se dédie à un art, jusqu’à le maîtriser, y passer des journées entières sans jamais décrocher avec une fixation presque autistique. Un goût de l’effort qui se transforme en plaisir lors du constat d’un résultat positif. Un désir d’être meilleur que les autres, de les surpasser, d’être la meilleure. Rien de plus extasiant que de se battre et remporter une épreuve de force, autant physique que psychologique. Le conflit n’est pas vu comme forcément négatif, mais aussi une façon de se tester et de tester l’autre. Celui qui est plus fort sera vu comme un arbre à abattre, le vaincu comme un animal de compagnie. Elle exprime sa colère et son excessivité comme elle vient, et elle appréciera ceux qui ont le courage de l’affronter.
Elaena reste compétente et surtout juste. Elle récompensera toujours un travail bien fait, elle est une meneuse née. Elle sait attiser les désirs de ceux qui la sollicitent et favorise de façon objective ceux qui requiert ses faveurs. Il n’y a pas de passe-droit avec elle, tout se mérite, mais tout sera toujours justement acquis. Ce qui fait qu’à l’opposé, elle est profondément contre l’injustice, pouvant s’opposer violemment et prendre un rôle protecteur dans ces moments. Il y a cette forme de pensée égoïste que produire un acte injuste devant elle est une insulte à sa propre personne de penser qu’elle pourrait le laisser passer. Elle n’est pas de ces témoins inamovibles mais toujours actrice de son existence. Elle n’aimera donc naturellement pas l’inconsistance, la mollesse ou ceux qui louvoient.
Au-delà de ses excès et de ses convictions, elle est une tentatrice née. Cherchant en permanence des moyens de s’élever, de se développer et d’avancer ses buts, si nécessaire au détriment des autres, surtout ceux qu’elle verrait comme des ennemis. Si ses alliés jouissaient toujours d’une fidèle protection, ses ennemis seraient sous le joug de sa colère froide qui finira toujours par frapper. Et elle n’a pas de considération éthique ou morale concernant ces derniers, torture, meurtre, humiliation sont dans le champ de son possible même pour une atteinte mineure. Le pire qu’il est possible de lui faire étant la trahison. Un dogme qu’elle aime : J’adore la trahison, mais je déteste les traitres. Elle appréciera faire régner la vérité, surtout sa vérité, n’hésitant pas à écraser ses opposants qui pourraient venir frôler son fragile égo lors de ces moments. Elle s’adapte en tentant de devenir toujours plus forte pour gagner du respect, faire régner la justice, nier sa vulnérabilité et imposer sa volonté par la confrontation, si nécessaire.
Elle pigmente son existence par des « brins de vie » qui sont des habitudes humaines qu’elle se met à entreprendre pour se sentir « vivante ». Les millénaires ont fait qu’elle sait se comporter comme une humaine, peut être même que souvent elle se surprend à penser et agir comme tel et apprécier l’expérience. Si sa quête de puissance sans limite, de nouvelles compétences et de domination sont au cœur de ses actions, elle cherche aussi à se faire une place dans le monde, à être reconnue et à vivre ces émotions dont elle se nourrie. Elle les appréhende, les expérimente et fini par les intégrer.
Sa puissance provenant de l’adoration qu’on lui voue, des âmes qui lui sont offerte, des désirs qu’elle assouvies et des actes d’excès commis en son nom, l’ensemble de son schéma psychologique reste orienter vers l’assouvissement de ses propres intérêts plutôt qu’une morale supérieure à son existence. Sa sphère d’influence principale restant le Désir.
Une carrure athlétique, un corps s’élevant au-delà de la moyenne humaine, fine, sèche, la peau sur les os, des muscles saillants, un physique de combattante, optimisé pour le combat. Passant pour une humaine aux yeux de tous, la supercherie est alimentée par des « brins de vie » qu’elle apporte à son existence, pour se donner une sensation d’existence mortelle.
Brune, cheveux longs hirsute avec des yeux verts-bleu, elle possède un petit nez bien fait malgré les nombreuses fractures qu’il a déjà subi, ses dons surnaturels aidant à la récupération. Sourcils épais et foncé de nature, elle les entretiens régulièrement de façon à garder la forme naturelle sans l'aspect broussailleux. Elle possède des cils très long naturellement, intensifiant son regard. Son visage a une forme générale assez féminine, légèrement arrondie avec une mâchoire fine et un menton dans le prolongement de la forme naturelle de sa face. Elaena possède un physique maigrelet supplanté par une musculature développée sans être imposante, sans sa condition physique, elle serait un sac d'os. Son faible taux de graisse fait ressortir la forme de ses muscles saillants par l’exercice physique dès lors qu'elle est un peu dénudée. Large d'épaule pour une femme, sa poitrine serait l’équivalent d’un bon C, souvent tenue en place par des brassières ou corset d’époque, cette dernière est légèrement gonflée par le développement de ses pectoraux. Ses bras et ses mains sont relativement fins. Son bassin est peu féminin, peu large, seul son fessier, principalement dû à ses exercices physiques est développé, ses jambes sont à l'images de ses bras, extrêmement fins avec aucun excédent mais des muscles saillants. Elle possède une pointure moyenne par rapport à sa taille, 39.
Elaena est cependant relativement bien habillée. Sans être accroc à la dernière mode ou aux vêtements sophistiqués, elle porte de la qualité. Principalement du sombre à l’image des vêtements sans trop d’ornement, plutôt confortable. Souvent des vêtements pratique comme des pantalons court ou moulant pour le bas, chemise sans manche, brassière ou pull pour le haut. Son style vestimentaire serait qualifié de martial, ce qui correspond à sa fonction et son mode de vie. Elle ne porte pas de robe, du moins que très rarement dans sa vie, préférant des vêtements pratiques. Au niveau des accessoires, à part l'occasionnel élastique noir au poignet pour s'attacher les cheveux, elle ne porte qu’une discrète paire de boucle d’oreilles en argent. Elle se maquille, principalement les yeux et parfois, du rouge à lèvre, cela fait partie de ses brins de vie, cela reste choses assez simples, mais qu’elle fait bien.
Si elle a su se façonner le physique d’une très belle femme lors de sa genèse. Son charme n’est pas que physique, il est aussi avant tout dans son magnétisme surnaturel.
Psychologique
Excessive, animée par une passion sans limite pour le monde, dominatrice, justicière, battante. Tant de mots pour décrire une personnalité qui ne fait que feindre d’être humaine. Il y a pourtant un certain système complexe qui se profile dans l’être de magie.
Psychologiquement régie sous la forme de rapports de force, elle est convaincue que le monde est injuste et qu’il est nécessaire de s’y forger sa place sous peine d’être écrasée. Le prisme est celui des fort et des faibles, de dominants et de dominés. Même si son temps sur terre la pousse à croire qu’il y a un certain confort dans la servilité.
Son esprit se dédie à un art, jusqu’à le maîtriser, y passer des journées entières sans jamais décrocher avec une fixation presque autistique. Un goût de l’effort qui se transforme en plaisir lors du constat d’un résultat positif. Un désir d’être meilleur que les autres, de les surpasser, d’être la meilleure. Rien de plus extasiant que de se battre et remporter une épreuve de force, autant physique que psychologique. Le conflit n’est pas vu comme forcément négatif, mais aussi une façon de se tester et de tester l’autre. Celui qui est plus fort sera vu comme un arbre à abattre, le vaincu comme un animal de compagnie. Elle exprime sa colère et son excessivité comme elle vient, et elle appréciera ceux qui ont le courage de l’affronter.
Elaena reste compétente et surtout juste. Elle récompensera toujours un travail bien fait, elle est une meneuse née. Elle sait attiser les désirs de ceux qui la sollicitent et favorise de façon objective ceux qui requiert ses faveurs. Il n’y a pas de passe-droit avec elle, tout se mérite, mais tout sera toujours justement acquis. Ce qui fait qu’à l’opposé, elle est profondément contre l’injustice, pouvant s’opposer violemment et prendre un rôle protecteur dans ces moments. Il y a cette forme de pensée égoïste que produire un acte injuste devant elle est une insulte à sa propre personne de penser qu’elle pourrait le laisser passer. Elle n’est pas de ces témoins inamovibles mais toujours actrice de son existence. Elle n’aimera donc naturellement pas l’inconsistance, la mollesse ou ceux qui louvoient.
Au-delà de ses excès et de ses convictions, elle est une tentatrice née. Cherchant en permanence des moyens de s’élever, de se développer et d’avancer ses buts, si nécessaire au détriment des autres, surtout ceux qu’elle verrait comme des ennemis. Si ses alliés jouissaient toujours d’une fidèle protection, ses ennemis seraient sous le joug de sa colère froide qui finira toujours par frapper. Et elle n’a pas de considération éthique ou morale concernant ces derniers, torture, meurtre, humiliation sont dans le champ de son possible même pour une atteinte mineure. Le pire qu’il est possible de lui faire étant la trahison. Un dogme qu’elle aime : J’adore la trahison, mais je déteste les traitres. Elle appréciera faire régner la vérité, surtout sa vérité, n’hésitant pas à écraser ses opposants qui pourraient venir frôler son fragile égo lors de ces moments. Elle s’adapte en tentant de devenir toujours plus forte pour gagner du respect, faire régner la justice, nier sa vulnérabilité et imposer sa volonté par la confrontation, si nécessaire.
Elle pigmente son existence par des « brins de vie » qui sont des habitudes humaines qu’elle se met à entreprendre pour se sentir « vivante ». Les millénaires ont fait qu’elle sait se comporter comme une humaine, peut être même que souvent elle se surprend à penser et agir comme tel et apprécier l’expérience. Si sa quête de puissance sans limite, de nouvelles compétences et de domination sont au cœur de ses actions, elle cherche aussi à se faire une place dans le monde, à être reconnue et à vivre ces émotions dont elle se nourrie. Elle les appréhende, les expérimente et fini par les intégrer.
Sa puissance provenant de l’adoration qu’on lui voue, des âmes qui lui sont offerte, des désirs qu’elle assouvies et des actes d’excès commis en son nom, l’ensemble de son schéma psychologique reste orienter vers l’assouvissement de ses propres intérêts plutôt qu’une morale supérieure à son existence. Sa sphère d’influence principale restant le Désir.
Histoire ou test-rp
Genèse
Des émotions intenses… De l’ennui, à perte de vue, une envie d’excès, de se satisfaire d’un monde qui n’avait que trop souffert avant de connaître l’opulence. Le néant, l’absence de conscience, l’inexistence. Tout semblait s’effacer petit à petit pour ne laisser place qu’aux supplications de ceux qui désiraient. Ils désiraient, Oui ! Ils désiraient une fin à cet ennui, une fin à cette existence qui ne savaient les passionner, ils désiraient plus, autre chose que ce qu’ils possédaient déjà et qui était pourtant bien tant… Une herbe toujours plus verte ailleurs, une abondance qui semble si peu quant elle est possédée. Le désir d’accumuler, de conquérir, d’obtenir… De prendre. Quel jugement pouvait-on apporter à cet éveil, sans lequel, jamais le Démon n’aurait pu prendre naissance.
Quant à la temporalité. Peut-être qu’enfin, la civilisation s’était affranchie de sa survie pour se tourner vers les divertissements et ils avaient évolués vers un ennui institutionnalisé, poussant à braver les interdits, à toujours plus de décadence, toujours plus d’excès, enfreindre le moralement acceptable.
Comme toute naissance, tout débuta avec un cri, ce n’était pas la douleur de l’oxygène s’immisçant dans des poumons lors d’une première respiration mais un cri de plaisir. Une absorption de tous ces désirs qui étaient assouvis, comme une injection pure de dopamine. Le cri muait en une chorale émerveillée tout autour de la naissance de l’être inattendu. Enchevêtrés par les corps des amants insatiables, nuée mélangeant désirs et absence complète de parcimonie. Les hurlements de surprise dérangeaient cette existence morose qui effleurer l’effervescence de la surprise.
Au centre d’actes dépourvu d’amour passionnel, une œuvre de bestialité formulée en désir, naquit la forme inhumaine qui n’était qu’une piètre métamorphose du savoir interdit. Mais cela fut suffisant pour les premiers cultistes qui virent dans cette manifestation magique un Affre de divinité. Les jours suivant, ils revinrent, cédant de nouveaux à leurs pulsions, vénérant leur propre invocation involontaire. Poussant toujours plus loin les vices, cédant à tout ce qu’ils désiraient secrètement. Le meurtre d’un frère, la prise violente d’une femme tant désirée, la souillure physique d’un rival, l’auto-mutilation. Tout n’était que quête de sensation et tout ces actes désespérés et excessif de dévotion venait renforcer l’entité. Et bientôt, elle fut capable de murmurer à leurs oreilles, puis bientôt, de les comprendre et enfin, accéder à leurs requêtes.
Les adeptes affluaient en nombre, le bouche à oreille, les échos magiques, amenaient de nouveaux vénérateurs de la puissance du désir, auprès de laquelle une existence nouvelle était promise. Les plus ambitieux, les plus compétents, les plus doués et surtout les plus dévoués étaient récompensés, l’entité était toujours plus forte, procéder à de nouvelles manières d’influencer sur le monde et donc de formuler l’adoration. Grossissant, le culte démoniaque peinait à se dissimuler auprès des autorités. La curée de l’être de magie noire sur les désirs et excès de ses fidèles fut brutalement interrompu. La lumière des Mages de batailles frappait les auteurs d’actes innommables et s’ils avaient été la source de sa force, leur chute fut la sienne.
Des siècles durant, ses apparitions se firent de nouveau. Là où l’ambition était démesurée, là où l’interdit moral était bravé dans ses proportions les plus extrêmes. L’être se nourrissait jusqu’à de nouveau apparaître. Et le schéma se reproduisait, les premiers croyants, les premiers actes de dévotions, l’affluence jusqu’à une inévitable purge visant à maintenir l’ordre des choses. Mais à chaque fois, la Démone apprenait, si sa puissance diminuait, elle devenait plus maligne, plus consciente, mieux préparée et chacun de ses cultes étaient de plus en plus organisés.
Une Hôte
Un cycle infini s’enchaînait, plus d’un millénaire avait passé déjà depuis la première manifestation. Une défaite humiliante de la démone aux mains d’un frère la condamnant à la médiocrité et l’oubli. Mais un duo, assisté d’un cortège d’acolyte, estimait que dans la faiblesse de l’être éternel, il y avait une puissance à acquérir. Alors le Mage Noir venait convoquer une langue abyssale, conjurant une énergie nourrissant les plus noirs desseins. Une fois de plus, sous les percussions et les chœurs de tant d’âme en errance se cumulait des énergies négatives appelant à une puissance qu’il souhaitait dominer. Une possession volontaire, qui terminerait sur une cage en onyx. L’hôte n’était pas le Sorcier, non, mais sa championne. Brune, des yeux vert clair comme une émeraude, une carrure athlétique, une taille dominant bien d’autres femmes humaines et des capacités physique qui faisait d’elle une porteuse de mort parmi les hommes.
Emergeant d’un sommeil profond sous les rites de la convocation, la Démone effleurait de nouveau une sensation de puissance conditionné par un appel. Au bout du tunnel, cette Brunette, équipée pour la guerre au milieu d’un Pentagramme entourés d’apprenti-sorciers, de sang, de poudre précieuse et de bougie à la lueur frémissante. L’apparence lui convenait, alors l’être de Désir prenait la forme de son adversaire, exaltée par la puissance que le rituel lui conférait. Une longue épée se générait dans une main humaine à la peau blanche et l’affrontement débutait sous le fracas des lames et une volonté de vaincre. Puissante, rapide, excessive, parfaite, décadente, l’humaine ne laissait pas la moindre chance à l’entité. Sous les incantations du Sorcier, elle prenait l’ascendant sur l’œuvre de magie noire et finissait pas la perforer et la tranche à tant de reprise que la Démone ne parvenait plus à tendre les genoux de son incarnation miroir. Et les mots de pouvoirs retentirent de nouveau, condamnant la Démone à être enfermée dans la femme, et devenir un outil de plus dans sa quête de puissance.
Humiliée deux fois en un siècle, son siège fut celui de la spectatrice alors que la Championne donnait la mort dans un rite d’assassinat constant envers les ennemis du Sorcier. Toujours plus puissante, le mana mélangé à l’énergie sombre la rendait invincible, ou tout du moins, c’est ce qu’il apparaissait. Prisonnière, la Démone ne pouvait qu’envahir les rêves de son Hôte, se reconstituer petit à petit tout en se faisant ponctionner le peu qu’elle accumulait par cette humaine qui la dominait. Une relation s’établit entre les deux, d’abord hostile, elles apprirent à cohabiter pendant plus d’un siècle durant. L’énergie négative permettant à l’humaine de ne plus vieillir.
Mais tout marché à une fin, toute acquisition finit par se rouiller et ce n’était certainement pas la divine Démone qui serait la première à dépérir. Un massacre de fer et de sang où rodant dans l’ombre, l’incarnation du désir et de l’excès était tel le chien avant la curée. Unique prédatrice avec la mort, la Championne avait été transpercé et se vidait de son sang. Elle s’était surestimée cette fois, la seule fois qui était nécessaire. Elle appelait à ses pouvoirs surnaturels, mais il ne répondait plus, sa volonté n’était plus suffisante. La douleur et la haine laissait place à la terreur. Quel être se pensant immortel s’attends à mourir aussi rapidement ? Elle pouvait entendre un grognement, des babines qui se retroussait et deux rangées de dents bien blanches prêtent à virer à l’écarlate. Pas dans le monde physique, mais à l’intérieur. Bondissant sur sa proie pour la déchiqueter, un siècle de puissance accumulée en secret surgissait et anéantissait la conscience humaine du corps. Séparant l’abat pour ne laisser qu’une hémorragie fatale. La place de conductrice désormais libre, elle n’avait plus qu’à s’y installer.
Ce siècle en spectatrice lui avait énormément appris. Il était même probable que désormais aux commandes, elle n’avait réalité pas tant détruit l’humaine que cela. Un processus d’assimilation était survenu. La Démone, désormais parfaitement ancré dans le plan matériel savait comme se comporter, comment simuler les émotions, voir même… Les comprendre et les ressentir. La prison laisse beaucoup de temps à réfléchir et parfois la plus longue des méditations s’avère être salvatrice.
L’Ost de l’excès
Dans ce nouveau corps, arborant l’identité d’Elaena Vespera qui était une citoyenne de la République elle put de nouveau fouler la terre à pleine puissance. Sans hériter des pouvoirs complets de la mortelle suite à la blessure qu’elle avait dû régénérer, la Démone repartait de nouveau pour un cycle, mais cette fois-ci sous un soleil nouveau. Il n’était plus question d’attendre les sollicitations mais de créer des environnements propices à son développement. Et puis, elle avait pris goût à la vie humaine depuis son fauteuil de spectatrice. Perfectionnant une apparence séductrice à partir du corps de base, chassant les vilaines cicatrices, les excédents de gras, les courbes irrégulières, les dents perdues. Tout dans son apparence devenait beau, excessivement beau, générant avec son magnétisme, un désir charnel. La Démone faisait preuve d’humour, séduisait, souriait, émerveillait et se complaisait dans autre chose qu’une volonté pure de domination. Elle avait ses moments de colère, de tristesse, de frustration, de dépression… Mais aussi d’extase et d’ambition. Tout n’était pas encore parfait mais elle s’évertua à tenter de devenir toujours plus forte. De par l’adoration, l’assouvissement des désirs d’autrui, en poussant à la décadence et l’excès. Mais aussi en s’entraînant, en combattant.
Mimant la vie de son hôte, elle vint embrasser ses « brins de vie » en faisant du mercenariat, appréhendant les concepts de camaraderie et d’empathie. Sachant toujours ce que ses camarades désiraient réellement, elle ne peinait pas à se hisser dans la hiérarchie. Combattante exceptionnelle, femme charismatique, il ne fallait pas longtemps avant qu’elle se hisse au sommet. Et ses bonnes vieilles habitudes firent de nouveau surface. La bande de guerre muta en une forme de culte guerrier de dévot en l’honneur de leur Capitaine-Championne. Les hommes d’armes étant déjà naturellement attirés vers les excès, il ne fallait pas longtemps avant que la compagnie s’adonne à du sexe dépravé, des actes d’une violence insoutenable, de la torture, consommation de drogues et alcool à outrance et des défis toujours plus vertigineux avant une bataille. Le concours à celui qui combattrait sans armure, celui qui ramènerait le plus de scalp d’ennemi à la fin de la bataille, à qui irait tuer le Capitaine adverse à mains nues. Et sous tout ces actes sombres, la puissance de la Démone grandissait et une partie de sa puissance, elle la conférait à ses fidèles compagnons d’armes.
Les Titans étant cru éteint, lorsque les guerres se calmaient et qu’il n’y avait plus d’emploi pour la bande, elle dût désigner un ennemi. Des sacrifices à exécuter en son nom, pour gravir toujours plus haut. Et ce fut naturellement vers les adorateurs de Titans de Shouhei que l’Abyssal jeta son dévolu. C’est ainsi que commencèrent les pillages et massacres. Les Prêtres étant ses cibles favorites, mais les villageois y passèrent également, les femmes violées, les hommes sacrifiés. Pendant une courte période, il était possible de retracer le sillage de la bande dans Shouhei sous les chemins de cadavres et de pendus. Ils subsistaient des fruits de leurs basses œuvres et entraient dans des actes toujours plus décadents, n’ayant pour seul limite leur imagination. Mais comme tout pillage sur les terres d’un Royaume aussi puissant, il ne fallut pas longtemps avant qu’un groupe militaire s’occupe de cette bande de mercenaire qui n’était devenu rien de plus que des brigands aux pratiques particulièrement horribles. Aussi bons combattants qu’ils soient, aussi puissant pouvait être la Démone, le nombre vint à bout de l’idylle pour ne laisser qu’une brève mention dans l’histoire qui sera oubliée vingt ans plus tard. Shouhei comme les autres royaumes connaissant tout au long de l’histoire leur criminalités et leurs drames.
Une Noblesse désirée.
De nouveau au plus bas de sa puissance. La Démone dû alors tout reconstruire, se reconstruire elle-même. Riche de ses expériences, elle comprit l’importance de la place dans le monde, des alliés et des sociétés. Alors plus d’un siècle après sa dernière apogée, elle fit de nouveau surface à la République, un nom parmi d’autres. C’est dans la Capitale de Liberty qu’elle prépara sa future ascension. Toujours sous la couverture d’une humaine, elle combattit de nouveau, dans l’armée cette fois. Elle se forgeait une carrière militaire dans l’espoir d’acquérir fortune et statut social. Si la progression fut plus lente qu’elle l’espérait, elle put jouir de sa rente de décès en revenant sous les traits de sa fille. Elle investit dans son premier commerce, puis dans un second et quelques dizaines d’années plus tard, elle put tout revendre pour se hisser dans la société en anoblissant sa famille.
Il lui arrivait de disparaître pour se mettre au vert avant de ressurgir des années après avec un nouveau projet. Elle vaquait entre les villes, avec un acquis éternel, celui de son statut. Elle fut soldat à Courage, entrepreneuse à Liberty et dilettante à Justice. Si elle revenait toujours à un moment ou un autre dans le domaine de la guerre, ayant un attrait particulier pour ce dernier. Elle était bien moins ambitieuse dans sa quête des adorateurs. Se contentant d’intrigues et machinations politique pour pousser certains à se suicider socialement ou à forger des alliances avec d’autres familles en assouvissant leurs ambitions en échange d’un brin de puissance.
C’est sur cette période, dans un moment de lassitude probablement qu’elle forgea un pacte magique avec un certain Vindicare Gracque. Un Vampire, éternel comme elle, qui cherchait de la passion. La Démone crue, pouvoir l’asservir en lui promettant un amour réciproque éternel. Ils scellèrent cette entente au cours d’un sombre rituel de magie noire et d’excès. Se dépravant dans l’acte charnel et le sang de sacrifice, la Démone se pensait hors de portée de ce sentiment si mortel et pourtant, voici que des millénaires plus tard, elle revient toujours à retrouver le Maître Espion et ressentir l’extase de la première fois. Voilà un « brin de vie » qui continue de la faire vibrer. Si la relation est compliquée, le destin semble toujours vouloir les réunir.
Installée à Liberty, la famille Vespera avait la réputation d’être discrète, la cheffe de famille étant toujours une femme. Noblesse de second plan, personne ne s’épuisait à enquêter dessus, payant ses impôts et procurant des héritiers qui participaient à l’effort de guerre et l’économie de la ville sans jamais outrepasser sa position. En fond, Elaena s’entourait d’un petit groupe d’adorateur qu’elle choisissait précautionneusement et qu’elle remplaçait au fil des décès dû au temps ou aux missions. Elle reconstruisait sa puissance progressivement, dans l’ombre en bougeant des pions en tâchant de ne jamais trop se faire remarquer. Au-delà des commerces et de ses rentes, avec ses fidèles, elle donna une seconde vie à l’Ost de la Décadence. Fondant de nouveau un groupe de mercenaire d’élite avec à sa tête, la Noble Vespera. Spécialiste de tactique de guérilla et de combat asymétrique, ils prirent l’emblème de la Panthère en raison de leurs stratégies d’embuscades. Au gré du temps, cela devint le principal fond de commerce de la famille et elle se faisait fréquemment engager par d’autres familles ou encore les autorités.
La Guerre contre les Titans
Lorsque la République subit l’invasion de l’Ogre, du Vampire, du Nécromancien et de l’Elémentaire, la bande de guerre de la famille Vespera répondit à l’appel. Agissant de concert avec les armées républicaines et autres mercenaires dans l’affrontement. Cela fut sanglant, même pour les panthères qui subirent des pertes comme peu de fois dans leur histoire. Et alors qu’ils rentraient lécher leurs plaies, les Titans apparaissaient à Shouhei pour détruire la nation diviniste.
La Démone voyait là une opportunité. Les conflits récents l’avaient rendu toute puissante et elle était convaincue qu’une âme de Titan était ce qui lui manquait pour être invincible. Ainsi lorsque le Reike fit front aux Divins et que la République envoyait les Spectres, Elaena engagea sa compagnie dans les forces coalisées. Non pas sous la bannière de la République, mais pour l’humanité. Animée par son désir d’âme de Titans, la Démone fit l’erreur de se penser trop puissante. Si l’effort de guerre prodigué par les Panthères fut significatif, elle redoublait toujours plus d’ambition. Et son Ost de l’excès raffolait de défis. Indémoralisable, cela ne fut qu’une question de temps avant qu’ils se heurtent à plus fort qu’eux. A défaut d’une âme de Titan, l’Assassin subit une blessure mortelle qui manqua de l’emporter. Avec elle, nombre de ses hommes avaient périt et la Bande n’était plus qu’à un quart de ses effectifs lors du retour à République.
Sacrifiant une bonne partie de sa puissance pour rester en vie, la Démone se régénérait en observant de loin le Reike devenir les héros du Sekai. Elle raffolait de la disparition théorique du divinisme avec l’effondrement de Shouhei et si elle n’avait pas pu acquérir la puissance d’un Titan, son esprit s’enrichissait d’une expérience de plus et il était temps pour la famille Vespera de sortir des ombres.
Nouvelle émergence
Les Vespera, connus localement pour leur engagement contre les Titans jouissaient toujours de leur cercle intérieur à Liberty. Son Amant éternel à Courage, elle songea un temps le rejoindre pour entreprendre la suite avec lui. Mais le destin décida autrement quand une opportunité rêvée eut lieu à Justice. La Ville cherchait un nouveau Directeur pour son contingent d’Officier Républicain. Qui de mieux qu’une Noble, sans attache politique particulière, ayant participé aux deux derniers grands conflits de ce monde avec une grande expérience de la guerre pour le poste ? Sous le couvert d’anciennes faveurs et de nombreux services rendues, la Démone obtint satisfaction et c’est affaibli mais déterminée qu’elle déménagea à Justice pour prendre sa nouvelle fonction.
Sur place, elle fut au début discrète, puis rapidement, elle s’impliqua en étant connue pour faire dans le compromis politique. Affichant plutôt des couleurs conservatrices, elle intégrait également peu à peu son ancien Ost de guerre dans les Officiers Républicains de la ville et les rangs de ses favoris se remplissaient des Officiers les plus loyaux, excessif et ambitieux. A l’intérieur des Officiers Républicain de Justice, l’unité était connue comme la Garde Panthère. Unité d’élite composée d’une centaine parmi les milliers, ils s’occupaient d’exécuter les tâches les plus difficiles et les plus prestigieuses. Le recrutement était basé sur des capacités de combat ou magiques supérieures et surtout, une loyauté et dévotion sans faille envers Elaena.
Dirigeant le maintien de l’ordre et la paix publique de la ville d’une main de fer. La Démone était fidèle aux coutumes locales zélée dans l’application des lois, laissant libre court à des moments d’excès. Les criminels locaux savaient que la discrétion et la négociation étaient préférable tant la justice pouvait être administrée sur place et de façon expéditive si le droit le permettait. Les Officiers Républicain de la ville avaient la réputation d’avoir recourt facilement à la violence, mais c’était de la violence juste. Son efficacité lui valut récemment un poste de conseillère municipale à la ville, elle est également une figure populaire, sa nomination étant dans l’intérêt politique de la ville.
A côté, la Vespera agrandissait son influence en ville en investissant dans un vaste commerce orienté sur le divertissement et l’assouvissement des désirs. « Le Palais des plaisirs » développa lors de ces trois années une clientèle régulière aux privilèges divers. Réputé décadent, il n’est pas rare de voir les plus zélotes de la ville céder à leurs plus folles pulsions une fois à l’intérieur. Elaena se régalant d’utiliser ces vices pour faire du chantage lorsque nécessaire. Elle profite également de ses courtisanes pour faire marchand de secret. Son influence s’étends également au « Dispensaire Vespera », présent dans le milieu modeste de Justice où la Noble par ses actes de charité se forge une réputation de bienfaitrice. C’est aussi l’occasion pour elle de rencontrer des personnes désespérées mais ambitieux et avide de leurs désirs secret, prêt à tout pour s’en sortir. Ils font de parfaites recrues alors qu’elle leur murmure leurs plus sombres envies à l’oreille.
La Démone a également récemment investi le Culte des Ombres de la ville, effectuant de nombreuses donations au Culte et s’étant liée d’affect avec de nombreux dignitaires à Justice. Elle espère pouvoir pervertir de l’intérieur le Culte afin d’orienter le sacrifice vers les humains et les déviances malsaines. La République étant majoritairement Athée, il y a pour la Princesse de l’excès, un terreau fertile à la décadence. Et si elle parvenait à faire du Culte des Ombres une entité religieuse majoritaire et acquérir un cercle de fanatique moissonnant les âmes en son nom à elle. Alors sa puissance pourrait retrouver son apogée, voir même, partir en quête au-delà. C’est pourquoi elle prévoit de planter les graines de la discorde et n’hésite pas à évoquer avoir reçu la visite des Gardiens. Son magnétisme et ses pouvoirs de suggestion s’occupant du reste.
Plus ambitieuse que jamais, il reste à savoir où sa quête prévoit de l’emmener alors que les auspices lui semblent si favorables.
Groupes d'intérêts
Culte des ombres -> Opposée aux Divins par nature, Elaena voit dans le Culte des Ombres une opportunité d'exploiter l'athéisme de la République pour les tourner vers une nouvelle religion. N'espérant pas convaincre une nation entière de la vénérer elle, elle compte tenter de pervertir le Culte des Ombres de l'intérieur et lui faire prendre une place majeure dans la République.
Pègre -> Assez ironiquement, en tant que Responsable de la Sécurité de la ville de Justice, Elaena est souvent en contact avec la pègre locale, mets en place des arrangements et reste en contact avec eux. Si elle n'en est pas à accepter des pots de vin. Elle est prête à négocier avec ces derniers pour la tranquillité de la ville.
Lutte contre les Titans -> En tant que Démon, elle a toujours vu dans les Titans une force que les Démons du Sekai se devait de remplacer. Elle naquit lorsqu'ils furent combattu, elle compte bien les exterminer.
Banque des chaînes -> Noble de la République, commerçante à Justice, à la tête d’œuvre caritative, Elaena a souvent des contacts avec la Banque des Chaînes en tant que cliente mais aussi potentielle investisseuse.
Pègre -> Assez ironiquement, en tant que Responsable de la Sécurité de la ville de Justice, Elaena est souvent en contact avec la pègre locale, mets en place des arrangements et reste en contact avec eux. Si elle n'en est pas à accepter des pots de vin. Elle est prête à négocier avec ces derniers pour la tranquillité de la ville.
Lutte contre les Titans -> En tant que Démon, elle a toujours vu dans les Titans une force que les Démons du Sekai se devait de remplacer. Elle naquit lorsqu'ils furent combattu, elle compte bien les exterminer.
Banque des chaînes -> Noble de la République, commerçante à Justice, à la tête d’œuvre caritative, Elaena a souvent des contacts avec la Banque des Chaînes en tant que cliente mais aussi potentielle investisseuse.


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Elaena Vespera

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Louise Aubépine

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Bonjour chère démone à l'ambition démesuré.
Tout me semble bon dans ta fiche. Je pense que tu as fait un bon choix en prenant la République comme faction, là ou jeux de pouvoirs et trahisons font bon train, tu pourrais bien parvenir à assouvir tes ambitions un jour.
Tu es désormais validée !
Tout me semble bon dans ta fiche. Je pense que tu as fait un bon choix en prenant la République comme faction, là ou jeux de pouvoirs et trahisons font bon train, tu pourrais bien parvenir à assouvir tes ambitions un jour.
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