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L'esclavage au Reike
Histoire de l'esclavage
Avant la guerre contre les titansLe Reike institua l’esclavage comme sentence quasi systématique des crimes de droits communs. La hiérarchisation de l’esclavage s’établissait sur la gravité du crime commit.
Nous avions :
- Les Netsach Ebed, esclaves à vie car prisonniers de guerre ou reconnus coupables de crime grave.
- Les Aman Ebed, les fils et filles d’esclaves, ainsi que les coupables de crime modéré, qui le restait jusqu’à remboursement de leur dette sociale.
- Les Qatsar Ebed, les coupables de crime léger, plutôt comparables à des domestiques non-rémunérés.
- Les Janissaires, souvent recrutés parmi les prisonniers de guerre et les Netsach Ebed, qui servaient dans l’armée, une fois « reconditionnés ». Elle était la catégorie la plus dure, mais également la plus avantageuse.
Ce système perdura jusqu’à l’avènement de la Reine, puis Impératrice, Ayshara, qui se révéla très vite opposée à toute forme d’esclavage. Sitôt fut-elle ceinte de la couronne royale qu’elle l’interdit, purement et simplement, au sein du palais, tout en continuant de le tolérer à l’extérieur de ses murs.
Pendant la guerre
Lorsque les armées du Reike se portèrent au secours de Shoumeï, l’état-major se rendit rapidement à l’évidence qu’il manquerait de troupes pour assurer la totalité des fronts.
Les esclaves furent invités à rejoindre en masse les rangs de l’armée reikoise, avec leur émancipation comme récompense, sitôt la paix retrouvée.
Après la guerre
L’Impératrice Ayshara mena une série de réformes, destinées à réduire, puis interdire complètement, cette pratique.
Les Edits de l'Impératrice
Le premier édit fut un tour de force de la part de l’Impératrice, car elle interdit l’esclavage en dessous de l’âge de 14 ans (variable en fonction de la race). De ce fait, les enfants ne pouvaient plus le devenir de naissance. La grande majorité des juristes royaux se rangèrent derrière les arguments avancés par la royauté pour justifier cet édit, établissant, preuve à l’appui, que la rentabilité d’un esclave-enfant ne pouvait compenser le coût de son entretien.
Par la suite, l’esclavage systématique pour les crimes légers et modérés fut remplacé par des travaux d’intérêts généraux.
Résumé des édits de l’Impératrice Ayshara :
- Plus aucun enfant ne sera esclave.
- Seuls les criminels de crimes graves seront condamnés à l'esclavage.
- Les criminels de crimes faibles à modérés ne sont plus esclaves : ils doivent réaliser des travaux communautaires correspondant à leurs qualifications jusqu'à tant que le préjudice causé soit remboursé. Ils gagnent juste assez pour se loger et se nourrir. Le reste est versé à l'État.
La situation actuelle
L'esclavage a quasiment disparu du décor des grandes villes reikoises. Il ne subsiste plus qu’au sein des maisonnées de quelques grandes familles, ainsi que dans les villages plus éloignés, que l’État ne peut surveiller efficacement.
Origines : La guerre a permis au Reike de réinventer l'esclavage en le rendant plus efficace économiquement et moralement (ou presque). L'Empire en a rapidement fait un business extrêmement lucratif.
Fonctionnement
Des chasseurs et des nécromanciens sont dépêchés dans les Terres Dévastées de Shoumeï pour y traquer et y capturer des zombies. Lorsque cela est fait, ils transitent jusqu'au Reike par bateau.
En hommage à la culture reikoise et à son Tatouage de Citoyenneté, les nécromanciens reikois ont inventé une rune spéciale qui permet de soumettre n'importe quel zombie. Cette rune contient les informations permettant de définir l’origine du mort-vivant, son actuel lieu d’affection, ainsi que son actuel possesseur.
Les driv'zafra sont lents et peu intelligents, mais ils ne coûtent rien à entretenir et peuvent travailler sans arrêt, de jour comme de nuit.
La majorité de ces entités sont envoyées dans les mines du nord pour y effectuer les travaux lourds et répétitifs qu'aucun salarié reikois ne souhaite réaliser.
En cas de défaillance du système, les zombies sont facilement maîtrisables par une poignée de soldats. De plus, les régions du nord étant très peu habitées, il n'y a aucun risque réel pour les populations.
Conséquences
Cette nouvelle manne financière permit également la reconversion d’une grande majorité des anciens esclavagistes, qui ce sont rapidement reconvertis en détenteurs de driv'zafra. Ils ont, depuis, vu leurs profits bondir grâce à la rentabilité de cette pratique.
Conséquence directe de la Driv’zafra, le Reike commence à développer une expertise de plus en plus importante dans le domaine de la nécromancie.
Nous avions :
- Les Netsach Ebed, esclaves à vie car prisonniers de guerre ou reconnus coupables de crime grave.
- Les Aman Ebed, les fils et filles d’esclaves, ainsi que les coupables de crime modéré, qui le restait jusqu’à remboursement de leur dette sociale.
- Les Qatsar Ebed, les coupables de crime léger, plutôt comparables à des domestiques non-rémunérés.
- Les Janissaires, souvent recrutés parmi les prisonniers de guerre et les Netsach Ebed, qui servaient dans l’armée, une fois « reconditionnés ». Elle était la catégorie la plus dure, mais également la plus avantageuse.
Ce système perdura jusqu’à l’avènement de la Reine, puis Impératrice, Ayshara, qui se révéla très vite opposée à toute forme d’esclavage. Sitôt fut-elle ceinte de la couronne royale qu’elle l’interdit, purement et simplement, au sein du palais, tout en continuant de le tolérer à l’extérieur de ses murs.
Pendant la guerre
Lorsque les armées du Reike se portèrent au secours de Shoumeï, l’état-major se rendit rapidement à l’évidence qu’il manquerait de troupes pour assurer la totalité des fronts.
Les esclaves furent invités à rejoindre en masse les rangs de l’armée reikoise, avec leur émancipation comme récompense, sitôt la paix retrouvée.
Après la guerre
L’Impératrice Ayshara mena une série de réformes, destinées à réduire, puis interdire complètement, cette pratique.
Les Edits de l'Impératrice
Le premier édit fut un tour de force de la part de l’Impératrice, car elle interdit l’esclavage en dessous de l’âge de 14 ans (variable en fonction de la race). De ce fait, les enfants ne pouvaient plus le devenir de naissance. La grande majorité des juristes royaux se rangèrent derrière les arguments avancés par la royauté pour justifier cet édit, établissant, preuve à l’appui, que la rentabilité d’un esclave-enfant ne pouvait compenser le coût de son entretien.
Par la suite, l’esclavage systématique pour les crimes légers et modérés fut remplacé par des travaux d’intérêts généraux.
Résumé des édits de l’Impératrice Ayshara :
- Plus aucun enfant ne sera esclave.
- Seuls les criminels de crimes graves seront condamnés à l'esclavage.
- Les criminels de crimes faibles à modérés ne sont plus esclaves : ils doivent réaliser des travaux communautaires correspondant à leurs qualifications jusqu'à tant que le préjudice causé soit remboursé. Ils gagnent juste assez pour se loger et se nourrir. Le reste est versé à l'État.
La situation actuelle
L'esclavage a quasiment disparu du décor des grandes villes reikoises. Il ne subsiste plus qu’au sein des maisonnées de quelques grandes familles, ainsi que dans les villages plus éloignés, que l’État ne peut surveiller efficacement.
- Le cas des janissaires:
- Les janissaires sont toujours présents au Reike. Cependant, leur portrait global a changé.
Aujourd'hui, les janissaires sont principalement composés d'anciens serviteurs et fanatiques des titans ayant combattu le Reike lors du précédent conflit.
Ils subissent un lavage de cerveau, plus ou moins efficace, afin d'être utilisés comme chair à canon et soldats de seconde classe.
Les Driv'Zafra
Les Driv'zafra sont des esclaves zombies, souvent décérébrés, capturés lors des différentes campagnes en Shoumei.Origines : La guerre a permis au Reike de réinventer l'esclavage en le rendant plus efficace économiquement et moralement (ou presque). L'Empire en a rapidement fait un business extrêmement lucratif.
Fonctionnement
Des chasseurs et des nécromanciens sont dépêchés dans les Terres Dévastées de Shoumeï pour y traquer et y capturer des zombies. Lorsque cela est fait, ils transitent jusqu'au Reike par bateau.
En hommage à la culture reikoise et à son Tatouage de Citoyenneté, les nécromanciens reikois ont inventé une rune spéciale qui permet de soumettre n'importe quel zombie. Cette rune contient les informations permettant de définir l’origine du mort-vivant, son actuel lieu d’affection, ainsi que son actuel possesseur.
- Fonctionnement de la rune:
- La rune est en fait un "tatouage" magique réalisé avec de la poudre d'Hematite enchantée permettant ainsi de contrôler les zombies selon la volonté de l'acheteur.
Étant posée physiquement sur le zombie, l'influence de la rune est plus puissante qu'un simple contrôle magique d'un nécromancien. Ainsi, si un zombie porte la rune, il n'aura plus aucune obéissance à son invocateur d'origine.
La rune rend toutefois les zombies si dociles qu'ils ne peuvent pas être utilisés pour attaquer ou toute action brutale. Les zombies sont donc purement des travailleurs et non des armes.
Il n'existe qu'une seule façon de détruire l'influence de la rune : brûler le membre tatoué.
Évidemment, les détenteurs de driv'zafra sont conscients de cette faiblesse et font en sorte que leurs zombies soient tatoués directement sur la tête, évitant ainsi des comportements violents si jamais le tatouage est détruit.
La magie contenue dans la rune maintient de zombie en "vie", même si l'invocateur d'origine annule le sort. Toutefois, la magie nécromantique contenue dans le tatouage doit être renouvelée à tous les 30 jours.
Lien de l'image de la rune
Les driv'zafra sont lents et peu intelligents, mais ils ne coûtent rien à entretenir et peuvent travailler sans arrêt, de jour comme de nuit.
La majorité de ces entités sont envoyées dans les mines du nord pour y effectuer les travaux lourds et répétitifs qu'aucun salarié reikois ne souhaite réaliser.
En cas de défaillance du système, les zombies sont facilement maîtrisables par une poignée de soldats. De plus, les régions du nord étant très peu habitées, il n'y a aucun risque réel pour les populations.
Conséquences
Cette nouvelle manne financière permit également la reconversion d’une grande majorité des anciens esclavagistes, qui ce sont rapidement reconvertis en détenteurs de driv'zafra. Ils ont, depuis, vu leurs profits bondir grâce à la rentabilité de cette pratique.
Conséquence directe de la Driv’zafra, le Reike commence à développer une expertise de plus en plus importante dans le domaine de la nécromancie.
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