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  • Dim 20 Nov - 19:23
    08 oct 03

    Après un moment passé à Ikusa, le moment était venu pour la caravane de repartir. Certains étaient restés plus longtemps en ville tandis que d'autres roulottes s'étaient ajoutées au convois pour rejoindre Taisen, les risques de se faire attaquer étaient moindre qu'en se déplaçant seul. Comme toujours, il faisait chaud et sec mais un jour après le départ, le vent s'était mis à souffler. La brise avais été d'abord discrète voir bienvenue, soulevant suffisamment de poussière et de sable pour créer une ambiance brumeuse et jaune, orangée. La visibilité était drastiquement réduite mais étant encore dans une partie un peu rocheuse, il était possible d'avancer. Cependant, ceux qui connaissaient la région avaient vite alerté les dirigeants de la caravane. Ces dernier, venant des plaines de la République, n'avaient pas reconnu les signes avant-coureur d'une tempête de sable et commencèrent à s'affoler lorsque qu'ils apprirent l'information.

    La procession de véhicule fut arrêté et un conseil fut réuni. Gaeir, comme tous les membres du convois, participa à cet échange houleux - signe de l'inquiétude croissante du groupe - il assista à la montée des tensions, écouta les uns et les autres proposer des solutions, finit par participer pour appuyer les habitants de la région. Eux seuls savaient comment réagir face à ce genre de caprice des éléments et finit par voter pour que l'un d'entre eux soit nommé à la tête des caravanes. L'on envoya un ou deux éclaireurs du pays à la recherche d'en endroit plus abrité. Non seulement ils revinrent sans avoir trouvé d'abris alors que le vent se faisait de plus en plus fort mais l'un deux revint avec un inconnu et un cheval.

    Alors que tous étaient à cran, l'arrivée d'un homme à cheval sorti de nulle part rajouta à la tension déjà palpable du groupe, seuls ses vêtements de noble empêchèrent qu'il soit considéré comme un potentiel membre d'un groupe de pillards et mis dehors. Si ça avait été une femme, Gaeir n'aurait pas proposé son aide, il savait que ces dernières étaient parfois inquiètes en sa présence, mais il n'hésita pas pour héberger temporairement ce qui semblait être un homme riche et peut-être blessé. Avec sa brusquerie habituelle, il pris les rênes de l'animal déjà agité par la tempête à venir et s'adressa à son riche propriétaire en ces mots :

    - Vous avez vu que la tempête de sable va arriver d'un moment à l'autre. Je vais m'occuper de votre cheval et vous allez vous poser dans ma caravane. Ma chienne est déjà dedans et va vous tenir compagnie. Lorsque nous seront installés je vous rejoindrais et on regardera vos blessures.

    Il marchait aussi vite qu'il parlait : il ne souhaitais pas vraiment perdre de temps avec cet homme et si ce dernier lui répondit, il ne pris pas compte de ses paroles. Si il était suffisamment intelligent, l'étranger avait reconnu ce qui se tramait et donc ne leur mettrait pas de bâton dans les roues.

    Les roceuses dans lesquels ils se trouvaient protégeaient relativement le groupe mais plus pous très longtems, les gens couraient partout, criaient et se ataient de rejoindre leur caravane. Il avait été décidé que tous se mettraient en cercle, attaceraient les roulottes entre elles et mettraient les bêtes qui ne pouvaient être mise à l'intérieur au centre du cercle. Ce n'était très certainement pas le meilleur plan mais avec les bourrasques s'étaient vraiment levées vite, ne leur laissant pas le temps de mieux se préparer. Et personne ne l'attendrait, il parcouru donc les derniers mètres à grandes enjambées, attaca l'animal supplémentaire à l'arrière et ouvrit la porte de son logement pour signifier à son invité de rentrer.

    - Bouge toi !

    Il avait crié pour couvrir le bruit du vent. Il fallait vite qu'il rejoigne les autres.
    Noble du Reike
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    Tagar Reys
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    Info personnage
    Race: Humain
    Vocation: Mage Elementiste
    Alignement: Loyal Neutre
    Rang: B - Coeur
    qui suis-je ?:
    https://www.rp-cendres.com/t113-tagar-reys-terminehttps://www.rp-cendres.com/t160-liens-de-tagar-reyshttps://www.rp-cendres.com/t156-la-vie-de-tagar-reys#464
  • Dim 20 Nov - 23:14
    Ce cheval est parfaitement dressé, monsieur le Ministre.
    Il est doux comme un agneau, monsieur le Ministre.


    Je n’aurais pas dû croire ce palefrenier du Palais de Taisen, quand il m’a présenté Celeris. Alors, oui, la créature est magnifique, mais j’aurais dû me montrer plus prudent. Tout avait pourtant bien commencé, un ciel clair, une petite brise, bref, le moment idéal pour rejoindre la capitale et nous avons chevauché pas mal de temps avec mes gardes du corps, jusqu’à arriver non loin de notre objectif, après quelques jours de voyages.

    C’est à ce moment que les choses se sont gâtées, une véritable tempête de sable s’est levée et j’ai perdu de vue mes compatriotes. Une sorte de brume orangée m’empêchait d’y voir à dix mètres et finalement, ma monture à marcher sur un scorpion !

    Évidemment, mon étalon a pris peur, a pris le mors aux dents et à filé comme une flèche, sans se soucier le moins du monde de son pauvre cavalier, c’est-à-dire moi. Finalement, un obstacle se dresse brutalement dessus, mon cheval freine des quatre fers et comme je suis un piètre cavalier, je fais un vol plané, m’emplafonnand littéralement dans un chariot.
    J’ai mal, très mal, et je me soigne du mieux que je peux avec ma magie, mais mes vêtements sont tachés de sang. C’est donc en boitant que je me relève et je suis récupéré par des sortes de marchands. On m’amène devant une sorte de conseil et un colosse m’indique qu'il va m’aider. Je le suis donc jusqu’à sa caravane et j’entre à l’intérieur à son invitation, ou plutôt son ordre.

    L’intérieur est plutôt cosy et je vois même une forge ! J’ai de toute évidence à faire avec un artisan. Il me laisse seul et je peux prendre mon temps de soigner correctement mes blessures, enlevant ma veste tâché avec mon propre sang par la même occasion. Une fois, ceci fait, j’observe le lieu de vie de mon hôte, voyant des statues du culte des ombres, donc sûrement un rescapé du Shoumeï. J’ai faim et j’aurais volontiers fait à manger, mais je suis nul à ce genre de chose. J’attends donc tranquillement le retour du forgeron, prenant en même temps rapidement des notes sur ma tablette en argile, qui ne me quitte jamais, afin de ne pas oublier le nom du palefrenier, je vais lui passer un sacré savon !
    Invité
    Invité
    Anonymous
  • Dim 27 Nov - 19:53
    Le sable lui mordait le visage et les hurlements du vent devenaient plus forts à caque minute. Les chevaux étaient à moitiés paniqués, prêts à ruer. heureusement, le reste de la caravane était logé à la même enseigne et il put arriver avant que le cercle ne se referme. Il entendait les cris de ceux qui étaient encore dehors tandis qu'il descendait de son siège pour attacher fermement ses chevaux au véhicule devant lui. pour ce faire il dut courber l'échine pour offrir moins de prise au sable mordant et se battre contre ses animaux qui hennissaient d'effroi pour être certain qu'ils ne fuiraient pas pendant la tempête. Il eu par contre beaucoup plus de mal à être certain que l'animal de l'inconnu ne se détacherait pas. Le pauvre bougre se cabrait dans tous les sens, risquant de se prendre les sabots dans ses propres rênes.

    Le géant blond rebroussa chemin vers l'arrière de sa caravane. Si il voulait que les bestioles aient plus de chance de s'en sortir il devait leur couvrir la tête avec un tissu. Il pénétra donc avec fracas dans son véhicule, jeta à juste un coup d'oeil au blessé qui était assis dans un coin, à sa chienne qui l'air de rien surveillait l'inconnu et récupéra les premiers vêtements qui lui tombaient sous la main. Il s'enroula le visage dans l'une de ses chemises qui séchait encore à l'entrée de la caravane et ressortit sans un mot. Il avait du rester à l'abri une minute tout au plus. Bref, il batailla de nouveau contre les vents et le sable, tomba, manqua de se faire assommer par la monture folle de l'inconnu mais il finit par rentrer environ 30 minutes après dans sa caravane.

    Lorsqu'il entra à nouveau, le vent furieux et le sable s'engouffrèrent avec lui par la porte. Il claqua cette dernière, défit la chemise qui lui couvrait le visage avant de s'ébrouer comme un chien sortant de l'eau. Encore dans l'entrée de son véhicule, il enleva ses chaussures et se mis torse nu tout en s'époussetant et en secouant le peu de vêtements qui lui restait. Il n'aimais pas le sable, ça se mettait trop partout et là il était certain que sa caravane allait en être emplie pendant un long moment. penser à ce genre de choses le fit soupirer. Un soupir qui n'avait peut-être même pas été entendu tant le bois craquait autour d'eux à cause du vent.

    C'est après avoir étendu ses affaires dans ce qui lui servait d'entrée qu'il finit par rejoindre le blessé. Il lui tendis la main pour serrer la sienne et le saluer comme il se doit.

    - J'm'appelle Gaeir et toi.. Fin' vous ?

    Les récents évènements lui avaient fait oublier la politesse de rigueur pour les gars bien habillés comme celui qui se trouvait chez lui. Il espérait que ce dernier n'était pas un de ces gros pédants qu'il regretterais de ne pas avoir abandonné à son sort. Il trouva ensuite un tabouret pour s'assoir tandis que Maanî se levait pour venir le saluer en remuant la queue. Il enchaina sur une seconde question en caressant la tête de l'animal.

    - Qu'est ce que vous faisiez seul dans le désert ?
    Noble du Reike
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    Tagar Reys
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    qui suis-je ?:
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  • Dim 27 Nov - 21:55
    Le colosse revient prendre des vêtements pour je ne sais quelle raison et repart sans même me jeter un regard. J’ai rarement été aussi invisible, j’ai l’impression d’être pris pour une quantité négligeable, mais je ne vais pas m’en formaliser, l’important, c’est d’être à l’abri, alors même si ce soir, je dois dormir par terre, cela ne me causera aucun problème.
    Il revient finalement au bout d’un certain temps et je continue, pour m’occuper l’esprit à noter quelques trucs sur ma tablette d’argile et je fronce les sourcils, quand mon hôte enlève sa chemise. J’espère qu’il n’aura pas plus loin que cela, ne voulant pas sentir son « hospitalité ». Grâce aux astres, il garde son pantalon et me tend même la main !

    Je lui serre bien entendu et se présente ! Comme quoi, les miracles existent, je ne suis plus transparent, je lui réponds donc en souriant :

    Enchanté de faire votre connaissance, je suis Tagar.

    Puis, avant d'aborder sa question :

    Avant toute chose, je voulais vous remercier de m’avoir sauvé de la tempête, j’aurai eu du mal à m’en sortir seul. Si vous le souhaitez, nous pouvons nous tutoyer.

    J’attends donc sa réponse que j’espère positive, puis je continu :

    Je fais partie d’un petit groupe, la tempête nous a surpris, mon cheval à pris peur en marchand sur un scorpion et nous avons été séparé. Comme je ne suis pas un bon cavalier, je n’ai pas réussi à récupérer le contrôle de ma monture et je me suis littéralement écrasé sur un de vos chariots. Maintenant, cela va mieux, mais le bilan de la journée n’est pas très glorieux.

    C’est le moins que je puisse dire, et pour faire la conversation, je montre notre abri, tout en lui indiquant :

    J’ai pu admirer certaines de tes œuvres en t’attendant, tu es doué en tant que forgeron.

    Je suis sincère dans mes paroles, son degré de finition est vraiment impressionnant.
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