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Noble du Reike
Astryd Isdotyr

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Astryd Isdotyr

Race : Humaine
Sexe : Femme
Âge : 33 ans
Métier : Officière de l'armée du Reike
Taille & poids : 1m74 pour 62 kilos
Alignement : Neutre Bon
Faction : Reike
Rang : B
Religion : Sheirak
Avatar : Fan art Lagetha Viking ( Johny Caballlero)
Pouvoirs et objets
POUVOIRS :
❧ Agilité et précision augmentées :
- Palier 1
- Palier 2
❧ Pouvoir de soin
- Régénération Palier 1
Vocation : COMBATTANTE
Potion de soin intermédiaire
Gains d'events :
+4 utilisations de P2 et +2 utilisations de P3
* Une arme en bronze céleste, propriété indestructible: Ulfberht.
Objets :
- Noirce-Givre : L'épée que la mère d'Astryd à fait forger pour sa fille ainée. Il s'agit de l'épée d'Astryd. La garde de bronze et de fer est incrusté de petite pierre. Parfaitement équilibrée, cette lame a suivi la guérriére depuis qu'elle est en âge de prendre part au combat. Sur la lame on peut y lire "Foi, honneur et Bravoure".
- Protecteur de Gornath : Un bouclier qu'Astryd a trouvé sur son tout premier champ de bataille, il appartenait à un compagnon, fauché d'une flèche en pleine carotide. La guerrière Isdotyr, s’était juré de rendre de la dépouille ainsi que le bouclier à la famille. Devant ce sens de l'honneur cette dernière offra l'écu en gage de gratitude. Depuis ce jour il ne quitte plus Astryd
- Aurora : Il s'agit de la jument d'Astryd , un cheval au caractère intrépide, offerte par son père à sa sortie de l’académie , c’est sa plus loyale compagnonne de route
.[/b]
Description physique et mentale
La famille Isdotyr a toujours été soudé, ce qui caractérise donc Astryd au premier abord c’est le fait qu’elle est réellement proche de la famille. Il n’ya rien de plus sacré pour elle que le sang , même les dieux passe en second. Le savoir et la sagesse étant une qui à bien des égards semble aussi affutée qu’une belle lame , là encore Astryd hérite cela de sa mère. La connaissance semble être aussi importante dans al lignée Isdotyr que le courage et la bravoure. Astryd est caractérisé par un sens du respect des gens , franche et cordiale elle n’est pas du genre à penser du mal dans le dos si une chose ne lui revient pas, on peut être assuré qu’elle ne manquera pas de la faire remarquer. Comme son frère , elle a du mal à contenir ses émotions de natures véhémente, pugnace , chose inhérente à sa nature elle ne craint pas la confrontation. La nature sauvage et rude des terres du Nord incombe une certaine force de caractère. Brutale avec ses ennemis , elle n’hésite pas à répandre le sang de quiconque lui barrerait la route , encore plus si sa famille se voit menacée.
Sur le plan physique, Astryd tire toute sa beauté de sa mère, la Dame des Isdoyr est une cheffe de clan raffinée, connue dans le Nord pour sa prestance et son élégance, sa fille à hérité de tout ces point. Sa longue chevelure blonde est gage de convoitise de nombreux hommes mais la vie martiale lui enlève toute légitimité dans les affaires matrilinéaires. Ce qui frappe néanmoins c’est qu’il s’agit de la Sœur la plus grande de la fratrie en termes de taille, c’était comme ci tout la destinée à embrasser les armes. Les vestiges des combats ne l’ont toutefois nullement épargnée , deux cicatrices à la cuisse , une entaille , très fraichement cicatrisé au côté droit, montrent que la guerrière n’a pas peur d’un acier tranchant…Mais soyez assuré d’une chose….Elle sait rendre coup pour coup.
Histoire ou test-rp
Chapitre 1 : La famille Isdotyr
Des cris déchirant percèrent la nuit. La maison longue, centre du pouvoir de ma famille sur tout le fief, grouillait d’animation. Les hurlements presque intenables pour les gens de maisonnée . Le labeur de Dame Isdotyr durait déjà depuis fort longtemps dans cette nuit . Les souffrances de la femme étaient audibles dans le couloir. Difficile pour les serviteurs de soutenir leurs regards en entendant cela. On apporta du linge humide , trempé dans l’eau tiède. La bataille qui vivait ma mère s’annonçait ardue. Une des sage femme eu toutefois une idée.
- On va essayer debout !
Deux servantes prirent soin de lever ma mère en douceur. L’accouchent sur pied était longuement pratiqué et recommandé ici dans les contrées du Nord. Le linge sale , rougi, passait de main en main témoignant ainsi de la rudesse du labeur de ma mère. Tandis qu’elle enfonçait ses ongles dans les paumes des mains des autres dames qui la maintenait debout , c’était dans ses hurlements que je vis le jour. Soudainement et pendant un bref instant le calme gagna la pièce. La Maison Isdotyr venait d’avoir un nouveau membre. Si tout le monde pensait que là cette lune serait annonciatrice d’une mauvaise nouvelle pour nos gens , la mort de leur Dame ou leur enfant, ce ne fut guère le cas. Chancelante, elle me prit dans ses bras tandis qu’elle s’empressa de recouvrir d’un tissu chaud pour ensuite quitter sa chambre.
- Dame Isdotyr Que faites vous …Vous devez vous reposer !
Elle ne répondit guère à son intendante , bien trop occupé à vouloir montrer sa fille à nos gens, que nos hommes et villageois mettent enfin un visage sur la nouvelle Isdotyr. Elle avançait, nu pied , tremblante , une fois au balcon , elle prit soin de me présenter à la foule , réuni depuis le début de la soirée. Les gens ayant hâte d’entendre la nouvelle.
Deux années plus tard , ce fut autour du Solstein de venir au monde, si la première grossesse de ma mère paru des plus difficiles, ce fut en tout point l’inverse pour mon frére. Les Isdotyr avait leur héritier. Il n’y aura nulle animosité entre mon frère et moi , soudés nous nous étions jamais disputé concernant la question de qui aura l’exercice du pouvoir ici. Mon propre frère avait la même légitimité que moi.
A l’Age de huit ans je fis part à mon père de mon intérêt pour les armes, si l’enseignement fut d’abord théorique , au travers certains ouvrages anciens sur l’art du combat , je pus très vite toucher ma première lame d’entrainement. A l’âge de Onze ans mon père, appuyé par mon oncle me fit. Très vite mes journées se traduisaient par une longue matinée en salle d’étude et un après-midi entier a frappé sur un mannequin. J’essayais d’appliquer les préceptes que l’on m’enseignait à la lettre.
A seize ans, c’était l’heure de prononcer mon serment envers notre cause. Je n’étais plus seulement la fille de mon père mais une jeune guerrière parmi ses rangs , liée à un serment de fidélité. Une telle cérémonie n’avait rien de léger. Cette décision au grand damne de ma mère me retira toute légitimité dans les stratégies maritales que ma famille pouvait mener . Si j’avais en partie optée pour la voie guerrière , c’était parce j’espérais autre chose de ma vie que de livrer bataille sur ma couche, entourée de draps souillé. Ce n’était point une vie pour moi. Mes deux autres sœurs quant à elles suivaient l’enseignement de ma mère. La benjamine , ravissante n’aura pas grand mal à trouver un mari.
Chapitre 2 : Baptême du feu
La rivalité séculiére entre la maison Isdotyr et Talborth, un fief voisin, n’a jamais réussi à être adoucie. Si les accords que nous avions fixés devaient garantir une paix pérenne, la situation s’était de nouveau envenimé lorsque le cousin Talborth attaqua un de nos marchands. La guerre menaçait à nouveau. Du haut de mes dix- neuf cette fois-ci j’étais appelé pour marché au-devant de l’ennemi. J’évoluais prèsde mon oncle, point de monture pour moi. Nos hommes marchaient , je comptais bien faire de même , je n’étais pas ce genre de femme à exiger un certain luxe.
Notre compagnie évolua donc, la rivière Akathiya nous trempait tandis que nous la traversions. L’eau était assez profonde pour nous ralentir néanmoins et jetée par la même occasion. Sur l’autre rive, je n’aimais pas du tout la position que les arbres pouvaient avoir , je n’aimais pas cela. Nous étions des proies faciles. Je me figeais devant ce constat.
- Non…
Dis-je en retenant un guerrier derrière moi, un mauvais pressentiment de plus en plus naissant. Un sifflement caractéristique puis le bruit de quelque chose qui se figeait dans la chair. Un homme s’effondra lourdement, un trait en pleine gorge.
- C’est un piège !!!
Ma main se referma sur la garde de mon épée que j’extirpais rapidement de mon fourreau , l’autre se serra sur la poignée de mon bouclier. Aujourd’hui je gouterais au sang ! Les flèches fusaient tandis s que nous nous dépêchions de rejoindre l’autre rive. Une première dizaine d’hommes tapissait déjà le lit de la rivière tandis que certains de nos hommes touchaient déjà l’autre bout. Les cris de douleurs faisaient suite aux flèches qui fendaient l’air. Devant ce constat nos propres archers qui n’avait pas mit un pied dans le lit de rivière s’empressèrent de couvrir notre retraite. Fermement cramponnée sur mes appuis , j’entendis le craquement caractéristique d’un fût de flèche se brisant sur un bouclier. Le bouclier faisait partie de notre attirail, l’homme avait raté sa cible , atteignant mon rudskjold sur le côté droit.
- Château de boucliers !!!!
La voix de mon oncle retentit tandis que je transmettais ses instructions. Comme un seul homme nos guerriers se mirent en position , opposant aux archers ennemis un véritable bastion de bouclier. En position défensive au centre de la rivière , l’eau jusqu’aux genoux , nous étions assiégés par les archers ennemis. Plus rien , plus aucun projectile. Pourtant ils étaient bien là , je pouvais voir certaines formes par-delà la lisière des arbres entre les interstices de notre formations.
La main tremblante , en proie à la peur , à l’euphorie du combat me sens étaient en éveil. Mon regard croisa celui de mon oncle dont la paume semblait crispée sur le manche de sa hache. Un cor sonna, nullement le nôtre. Puis le silence, les visages préparés de tout de nos soldats restaient impassibles. Les ennemis hurlaient
- Pour Radavald !!!!
Nos ennemis chargèrent , des dizaines de guerriers adverses rejoignirent la rivière et se heurtèrent à la formation , le choc est douloureux , terrible. Faisant dépasser ma lame par l’interstice un homme vint s’empaler. Difficilement , j’extirpais ma lame du cadavre, consciente que je venais de tuer mon premier homme. Cela ne devais pas me perturber, j’avais signé pour ça , j’avais prêté serment. La mêlée avait atteint son paroxysme. Les haches tranchaient la chair, les épées percèrent les armures. Les cris de douleur n’avaient que pour seul echo le fracas des armes.
Le clan Talborth était en conflit avec le mien depuis prés d’une génération. Il fallait y mettre fin. Ma lame pourfendit un nouvel ennemi , ses traits, déformé par la douleur s’ancrèrent dans le reflet de mes yeux. Il ne devait pas avoir plus de vingt ans. Notre formation opposée un bloc défensif à la charge adverse. Dans un moment pareil , ou la mort était partout , attendait à chaque instant de faucher une nouvelle vie, on perdait rapidement la notion du temps. Très vite , mon armure autrefois neuve fut tachée de sang. Un guerrier adverse , bien plu âgée que moi avait été bien plus féroce que mes deux premières victimes. Sa lame m’entailla le bras, douloureusement.
L’affrontement semblait durer, puis trois coups de cor successif, l’ennemi se repliait. Dans un cri de victoire mon oncle brandit sa hache tandis que nos ennemis faisaient demi-tour quittant ainsi la rivière. Contre l’avis de trois de nos meilleurs hommes , nous avions opté pour éviter toute nouvelle confrontation. Nos deux camps s’élongèrent , chacun prit place sur la rive voisine. Le temps du fracas des armes venait de passer pour un temps. Cette escarmouche acheva la seconde campagne contre Talborth par un statuquo.
J’avais aidé les miens à récupérer les défunts et blessé, A l’aide d’un commun accord avec le fils Talborth , celui qui menait ses hommes, nous pouvions récupérer les nôtres et lui, les siens. Une dizaine d’hommes de chaque camps restèrent toutefois sur leurs gardes afin d’assurer que la récupération des dépouilles se fassent sans encombre. Exténuée par l’affrontement de la matinée , je me tuais néanmoins à la tâche , comptant nos pertes. Je me présentais alors devant mon oncl, le bouclier dans le dos, l’épée fraichement néttoyée dans le dos.
- Nous en sommes à trente morts…Une vingtaine de blessés…
Il ne répondit pas tout de suite, son visage se faisait triste. Il etait peut être chef de guerre mais proche de ses hommes. Assis sur une roche de basalte, son regard se posa enfin sur moi.
- Je pensais vous faire traverser sans risque… Ca ne sert à rien de continuer….Nous avons perdu l’effet de surprise. On va devoir se contenter d’avoir causé des pertes certaines à l’ennemi. Tu es jeune, en apprentissage…. Qu’ordonnerais-tu si tu étais là …A ma place ?
J’hésitais un temps, admettre le repli reviendrait à dire que nos défunts avaient donné leur vie pour rien. La perte de l’effet de surprise rendait la suite de la campagne difficile, quelqu’un les avait avertis… Il n’y avait pas de doute, un traitre corrompait nos rangs.
- J’appuierais une issue plus…diplomate…Ces tensions durent depuis bien trop longtemps.
Il esquissa un sourire , avant de me prendre la main, elle était à la fois douce et cailleuse, a la foi un guerrier , un oncle et pére de famille il était un homme que je respectais.
- Tu parles comme ta mère…
L’Ordre fut donné, nous rebroussions chemin , les blessés allaient être rapatriés , quant aux dépouilles, fautes de temps elle fut chargée sur deux charrettes, fraichement prêtée par des paysans locaux. La guerre ouverte s’acheva sur une trêve temporaire. Il ne restait plus qu’à défendre la thèse d’une paix définitive à mon père. Un accord devait être passé
Chapitre 3 : Une sombre histoire
Une matinée chaude, Gylda était belle, du haut de ses dix-sept ans, une robe sortant fraichement du tailleur. Le bleu contrastait avec le blond éclatant de ses cheveux, il rappelait ses iris d’une coleur si profonde que l’on s’y perdrait. Une mine triste mais resigné se lisait sur le visage. Elle était belle, divine, on disait d’elle que toute la beauté de notre mère se trouvait sur ses traits. Un hénissement de chevaux puis des voix d’hommes. Dame Isdotyr donna ses intructions.
- Il arrive…Gylda…lâches tes cheveux
Elle acquiesça, d’un seul geste sa longue chevelure fut lachée , la belle Gylda , troisième née des Isdotyr. Ma main serra la sienne , cela me faisait du mal de la voir comme ça. Réduite à s’unir à un homme qu’elle en connait pas , pour le bien de la paix. Quelque part , j’étias chanceuse , ej n’aurais pas affronté de telle choses.
La porte s’ouvrit sur un homme que je en connaissais que trop bien , sa propre garde attendait dehors, mère le lui avait ouvert. Il prit la peine de saluer mon père , vaguement. Mon sang ne fit qu’un tour, si je pouvais le tuer à ce moment là , cela resoudrait bien des maux de mon peuple et m’en aurait épargné d’autre. Lorsqu’il passa devant moi , j’esquissais un sourire forcé , il avait l’air de s’en amuser. Une drôle de sensation me parcourait , des picotements dans la main, comme si l’envie de lui figer ma dague dans la carotide se faisait pressente.
Il s’arrêta devant ma sœur , l’observa longuement. Sa main se porta tres vite sur son visage , grossière erreur je venais de l’en empêcher, une main ferme s’opposa à lui.
- Elle n’est pas encore à vous Talborth…Tâchez de le comprendre !
Un regard froid, réciproque, nous restions là un temps , je pouvais le sentir , il fulminait. Un jour je le destin m’autoriserais à nicher ma lâme entre ses cottes, j’en avais la certitude. Son attention se porta de nouveau sur ma sœur.
- Est-elle nubile ?
Une question qui accroissait encore ma rage. Mon père le voyait il le ressentait et d’un simple regard il tâcha de m’adoucir, la paix entre nos clans en dépendait. Je ne devais pas tout gâcher. Mère s’empressa de répondre à la place de Gylda qui ne savait guère quoi répondre.
- Elle a déjà saigné si c’est que vous voulez savoir Talborth
Il acquiesça, se risqua toutefois à toucher son visage , faisant fi de mon avertissement. Je pouvais sentir le malaise que ma sœur pouvait ressentir.
- On avait convenu d’une vingtaine de nouveau Bauvin , Sept chevaux et l’usufruit de nos pâturages sur la parcelle ouest.
- C’est ce qui était convenu en effet
Dit-il sans la quitter des yeux, mon père et cet immonde animal s’éloignèrent un temps afin de s’entretenir en privé. J’ignorais ce qui se disait puis Talborth déclara.
- Je viendrais la chercher en temps voulu… Vous aurez les chevaux d’ici la semaine prochaine…
L’accord était simple la main de ma sœur contre un avantage purement économique ainsi qu’une paix durable. Au grand damne de moi-même je ne supportais guère l’idée de voir Gylda jeté en patture ce n’était qu’un animal.
Comme convenu les chevaux promis avaient gagné notre fief. Se pouvait-il que ce cet homme ait une réelle parole ? C’était tout de même curieux. Si l’espoir d’une paix semblait atteignable , il n’en fut rien.
***
Une simple sortie équestre entre mon père et moi , c’était ce qui était prévu. Ma sœur fiancée , mon frère qui apprenait à diriger auprès de mon oncle, mon autre sœur qui suivait les enseignements de ma mère, la famille Isdotyr était fortement occupée et pourtant toujours aussi liée. Mon père constatait que je prenais de l’âge que je n’étais plus la jeune femme qu’il a vu pu voir. Les récents conflits m’avaient forgé, je fus la première personne à le soutenir sur sa volonté d’entretenir des relations pacifiques avec le Reike qui avait depuis peu de temps conquerit les terres du Nord. Certains clans avaient suivi le nôtre, tandis que d’autres s’opposèrent au Reike ; il fut admis de force…
Le tatouage reikois ? Je l’arborais sur le bras gauche , si au début je m’étais montré retissante , pensant que seuls les tatouages qui devait occuper mon corps devait être ceux de ma culture , de mes traditions, je me résignais alors.
- Je suis fière de toi ma fille
Nos montures évoluaient côte à côte, je n’vais pas pris mon bouclier , nul besoin , seule ma lame suffirait. Mon arc quant à lui était soigneusement attaché à la selle. Une simple ballade entre père et fille, si ej pouvais ramener un animal pour le diner de ce soir ce n’était que mieux.
- C’est grâce à vous si je suis ...Ce que je suis
Il souriait, jamais ces petits moments, ils étaient certes rares mais toujours aussi puissant. Tandis que j’allais m’étendre sur la fierté que je pouvais ressentir en faisant partie de cette lignée , une odeur de bois brulé caractéristique envahissait mes narines. Une colonne de fumée perçait l’horison , cela ne disait rien qui vaille.
- Les Talvea ? Ca vient de leur comptoir !!!! Suis-moi !!!
La famille Talvea constituait une importante lignée de commerçant ici sur notre ,puissant au point d’avoir fondé un réel carrefour de commerce , un patelin de quelques habitants , une auberge dont l’affaire marchait très bien ainsi qu’une écurie dont le palefrenier était connu de tous au Nord , le soin qu’il apportait aux chevaux saisir que nombre e nos seigneurs lui confié leurs montures. Les Talvea constituait nos gens mais aussi notre belle famille, ma cousine était mariée à l’héritier de la famille. Pour l’instant, elle était loin de tout cela, elle s’était installé avec son mari à Ikusa , ouvrant ainsi une affaire là-bas.
Inquiets devant toute cette fumée , nous étions parti au triple galop. La clôture du comptoir apparu très vite, détail qui n’est pas des moindres, le portail de bois était éventré. Ils avaient été attaqué.
- Pied à terre père !
Dis-je en me ruant hors de ma selle. Les infrastructures avaient été passées à la torche , seule l’écurie demeurait partiellement brulée. A centre, on avait empilé les corps des locaux. L’attaque avait été violente.
La main tremblante, sonnée par cette vision d’horreur , j’avançais , la paume crispée sur la garde de ma lame. Père évoluait proche de moi. Une femme , morte , adossée contre les ruines de l’écurie gisait là , proche de nous , une lance figée dans l’abdomen. Père extirpa cette dernière de son carcan de chair , examinait la pointe de l’arme.
- Par les Divins…C’est le clan de Talborth !!!! Ils ont violé notre accord !
Prise dans un grognement de rage j’envoyais valser une pierre d’un simple, coup de pied. La guerre était donc toujours présente. Le clan était violent. La dizaine de gardes employait par les Talvea n’aurait jamais pu leur tenir tête. Des gémissements , des bruits d’agonies pouvait se faire entendre. Il y avait un survivant.
- Mes seigneurs…Aidez-moi….
L’homme, non loin de là , dans l’écurie , caché derrière des bottes de pailles était sévèrement amoché. Malgré la douleur il nous raconta ce qui venait de se passer. Une demi-douzaine d’homme était venue attaquer. Une affaire d’argent sans doute , ou des hommes de Talborth non désireux de cette paix.
Des bruits de pas , les attaquants étaient donc encore là. Bien décidé à les confronter je sortis de l’écurie , Pére me retint par la main mais d’un geste je me libérais de son étreinte. Non c’en était trop !!! Je me devais d’agir. Quatre hommes donc , les garde de Talvea en ont au moins abattu deux.
- Tiens tiens…Mais c’est la putain des Isdotyr…
Ma lame menaçant directement le coupable d’insulte appelé à gouter son sang, c’était le fils de Talborth , le cadet. Un home sanglant , sa legende le précédait sur tous les fiefs voisins.
- Si tu t’en prenais à quelqu’un de ton gabarit plutôt que d’attaquer des honnêtes gens…Espèce de chien…. Tu ne vaux pas mieux que ton père !
- Astryd non !
D’une main j’intimais le silence à mon propre père. Il fallait que quelqu’un se dresse contre eux, je renverrais à talboth son fils, les pieds devant. Je pouvais le promettre.
- Ta cruauté prend fin aujourd’hui Edolas..Je peux te l’assurer….Il ne peut y avoir de tarés comme toi qui foule notre sol…
Il eclata de rire, libérant sa lame, sa garde est légèrement recourbée. D’un geste latéral il tenta de frapper de taille, ma semelle glissa sur le sol déjà taché de sang.
- Tu penses vraiment ce que tu dis ? Toi et les tiens n’êtes que les putes du Reike !
Les autres assaillants ne firent rien , ll se contentèrent d’observer , ne perdant pas une miette du spectacle. Ma lame glissa sur la sienne , de mon autre main libre j’assenais un coup le côté droit , la distance avec mon adversaire venait donc d’être creusée.
- Ferme là !
L’acier tintait. La famille Talborth avait deux fils , une fille ainsi que le père, je savais que je devais tous els passer au fil de ma lame. Une esquive latérale me permit de contre attaquer. La pointe de ma lame lacéra sa cuisse.
Un adversaire plus lord , plus lent , des attaques pourtant plus puissantes qui me coutaient bien d’Énergie pour parer. Sa lame m’entailla le bras , puis le côté gauche. La douleur était là mais je tâchais de l’oublier.
- Je vais te tuer et renvoyer ta tête à ton pére
Il ne cessait de rire harcelant ma garde, il avait la fougue d’un lion, la combativité d’un tigre. Mon regard croisa celui de mon père comme pour donner du courage. Edolas tenta une attaque , d’un geste je glissais le long de sa lame , sas pour autant lui laisser le temps de reformer sa garde , je plongeais , frappant d’estoc, qu’elle fuit ma surprise de sentir ma lame plongeant dans son sternum. Mes yeux dans les siens , le sourire satisfait , presque euphorique , je plongeais lentement ma lame jusqu’à la garde , devant les yeux ébahis des trois hommes de Talborth et de mon père.
- Ce n’est que justice !
Avais-je dit comme pour justifier mon geste , il tomba à genoux tandis qu’avec force je libérais ma lame avant de finir en décollant une bonne fois pour toutes mon adversaire. Sa tête roula au pied de ses hommes.
- Allez ramener ça a votre seigneur…Dites lui que Atossa Isdotyr est bien décidé à en finir avec ce conflit !!!
Les hommes partirent en courant après avoir pris soin de récupérer la dépouille du fils de leur chef. Je n’étais plus moi-même , je sentais des picotements dans le dos , des sueurs froides. J’avais la main tremblante tandis que j’étais assise sur un billot de bucheron , je ne fixais que l’immense tache de sang, trace de la scène violente dont je m’étais rendu coupable. Nous devions rentrer , mais pour l’heure , je n’vais pas cœur à chevaucher.
Chapitre 4 : Un fils pour une fille
La mise à sac du comptoir des Talvea annulait notre accord , ma sœur n’allait pas être mariée. La décollation du fils de Talborth lui donna à réfléchir , il n’engagea pas officiellement les hostilités. Un message fort, c’était ce qui fallait envoyer. Du moins c’était ce que je pensais. La mort que j’avais causé me pesait néanmoins , j’ignorais bien pourquoi , c’était leur acte ignoble qui m’avait provoqué.
Des jours que j’étais cloitré dans ma suite à ressasser , si je ne repensais pas à tout cela j’étais occupé à fourbir ma lame ou à m’entretenir avec nos hommes. Mère me donna une idée, une balade sur le sentier forestier Ouest de notre territoire avec Gylda. Je ne refusais en rien.
Gylda comme à son habitude était dignement vêtue , une robe blanche, sa parure toujours aussi magnifique , ses cheveux pris dans chignons soignés. J’avais troqué mon armure de cuir contre une tenue plus traditionnelle.
- J’aimerais être comme toi frangine…Servir la famille comme tu le fais mais j’en suis incapable
Je m’arrête un instant , me tournant vers elle , portant mon attention sur son visage encore jeune. Des d’années nous séparaient.
- Non sœurette…C’est moi qui t’envie…ton innocence…Ta jeunesse… Regarde-toi…
Des choses que j’avais perdues depuis bien longtemps, la vie guerrière incombait nombreux sacrifices. Je pris sa main, sa peau était douce , ses doigts fin, étrangère à toutes armes la joaillerie et la coutures semblaient être ses réels passe-temps
- Toi aussi tu as ton rôle à jouer , on a tous notre manière de servir la famille
Un sourire enfantin puis un sifflement , en une fraction de seconde , une flèche atteignit Gylda en plein torse. Je m’empesais de soutenir alors sa chute, ma main se refermant toutefois sur la garde de ma dague , à l’affût. Je m’attendais à recevoir un trait mortel. Il n’en fut rien, seul Gylda fut visé. Dans un râle de douleur elle cherchait à tâtons ma main la touchant du bout des doigts. La douleur semblait terrible.
Les plumes de la flèche révélaient l’identité des agresseurs, le clan Talboth. Main caressa le visage de ma propre sœur , tandis que de l’autre je maintenais la blessure pour arrêter l’hémoragie. Le sang glissé entre mes doigts.
- Là…La je suis là…Reste avec moi cherie…
Des traits déformés par la douleur, la robe blanche, maculée de sang, elle était là, sa vie sur le point de toucher à sa fin.
- A L’AIDE !!! AU SECOUR !!!!
Point de réponses , nous étions parties seule après tout. Le teint blafard de Gylda ne me disait rien de bon, je ne pourris la porter jusqu’à chez nous, c’était inutile.
- Astryd….J’ai froid ….
Une larme s’écrasa sur son front, puis une seconde . C’était ma faute, si je n’avais pas tué le fils de Talborth… La vie de ma sœur s’étiolait. Front contre front , je ne la laisserais pas seule. Il n’y avait rien à faire, son sang décrivait déjà un sillon bien rougeâtre sur le sol. Je ne pouvais qu’attendre avec elle. Mes lèvres s’écrasant sur les siennes
Séchant mes larmes , je me mis à la bercer , chantant cette mélodie qu’elle aimait temps.
- Ne craint rien
Ca ira, Toi et moi on se quittera pas
Prête à tout…Dans ce combat…Toujours
Ne crains rien…Ca ira…Au cœur du pire
Je reste là…Toi et moi…toujours
Ca ira, Toi et moi on se quittera pas
Prête à tout…Dans ce combat…Toujours
Ne crains rien…Ca ira…Au cœur du pire
Je reste là…Toi et moi…toujours
Puis, un visage figé, ses sanglots cessèrent très vite. Les mains pleines de sang je restais là , le cadavre de ma sœur dans les bras. J’avais ouvert les hostilités , j’allais donc les terminer. Talborth allait payer. La vue brouillée par des larmes , les mains tremblantes je hissais le corps de Gylda sur mes épaules bien décidées à rentrer à la maison et annoncer la tragique nouvelle.
Chapitre 5 : Justice divine
La confrontation directe ne mènerait à rien, je me devais de frapper fort, et symboliquement. Onze jours après les funérailles de Gylda je fis sceller mon cheval , bien décider à m’assurer justice. Je me devais d’en référer aux hautes juridiques du Reike , la situation avait déjà atteint un trop fort paroxysme. Je fis donc le voyage jusqu’à la capitale. Une fois sur place , je demandais audience au palis de justice.
Mon sang devait être vengé par la mort de quelqu’un, je me devais d’être le bourreau de la personne. J’avais raconté aux Élite l’entièreté du problème , que ce conflit larvé persistait depuis fort longtemps, que le massacre d’une famille qui nous ai été lié m’a forcé à faire couler le sang conformément à mon rôle au sein de mon clan. Fille du seigneur et guerrière je me devais de protéger les miens et a défaut les venger. J’insistais tout particulière sur l’importance du combat singulier que je voulais , seul un Holmgang pouvait venger l’affront.
- J’approuve cette demande, cependant , un envoyé de notre cours devra se rendre sur place pour en vérifier le bon déroulement. C’est la condition que je vous impose
- Je la respecte… Choisissez un officiel , il n’aura qu’à rentrer avec moi. Je dois partir dans trois jours…
Il acquiesça puis l’audience prit fin. Comme convenu un homme , un jeune juriste fit le trajet retour avec moi. Un homme décidément plus prompt à tenir une plume qu’un glaive. Le duel a donc bien eu lieu ,à la lueur d’une merveilleuse aube, au pied de la future statue représentant Gylda qui ornerait notre place du village , telle était la volonté de ma mère. Le sang de Talborth au pied de du socle de l’ouvrage contribuera à la symbolique.
***
Le tintement des armes durait déjà, Talborth , un véritable ours était un adversaire des plus coriaces , la haine d’affronter celle qui avait tué son fils , tant mieux , j’éprouvais tout autant la même chose pour cette ordure.
Devant les yeux de nos , gens , de ma famille , se jouait le combat de nos clans. Si j l’emportait et tuer Talborth , le reste de sa famille serait exclu et d’autre chef allait être élu pour leur fief. Je savais que la famille Talborth faisait guère l’unamité chez eux.
La lame adverse entailla ma cuisse sur une bonne partie de sa largeur , un cri de douleur , forcée à plier le genou j’avais perdue mon aisance de mouvement. Je pestais , je pouvais lire l’effroi de ma mère sur son visage.
Un choc sourd , de mon bouclier je parais le coup qui aurait pu m’ouvrir l’abdomen. Harcelée sur ma garde je ne trouvais guère une fenêtre de riposte , sauf une ou ma lame entailla son poignet. Il était vigoureux , presque professionnel. Il venait de me pousser dans mes retranchements. D’un autre mouvement de bouclier j’évitais de justesse un coup de taille au niveau de la gorge. Dans le cas contraire , j’aurais été sacrément dans la mouise. Avec ce genre d’adversaire la méthode seule ne suffirait point, je me devais de me montrer aussi féroce , animal que lui. Dans élan de furie , j’assenai un coup de bouclier dans ses torses pour me laisser un moment de répit. Une fois ceci fait je me rua vers lui , la lame brandie. Une entaille au côté droit , puis une seconde au coté gauche, en un coup il me désarma, sa force était bien trop puissante. Sa main se resserra sur ma gorge pour ensuite me plaquer au sol. A ce moment,j'eus peur. Personne n'affronte la mort sans sourciller , ce n'était pas possible.
Je sentais ses doigts qui raffermissaient sa prise , ma mère qui hurlait. La douleur était là, présente. La sensation de manquer d’air, j’essayais de le lâcher, en vain. Dans un ultime râle d’effort , la vue troublée , ma main touchait à tâtons le manche de la hachette que je lui avais faite lâcher au début du combat, je cherchais à avoir une prise parfaite sur l’arme.
- Ordure…
Parvins-je à marmonner alors qu’il m’écrasait la gorge, ma main se referma enfin complétement sur le manche. Dans un ultime geste d’effort j’enfonçais la tête de dette dernière justes sous le bras de mon adversaire. Dans un bruit de chair et d’os brisé le métal se nicha rapidement. Il lâcha prise , de son autre main il m’assena un coup, à en juger la douleur, mon nez avait pris un sacré coup.
Sonnée, ma main se plaqua toutefois sur son torse , l’autre sur le manche de la hache encire figée, Dans un cri d’effort je fis mouvement de levier plaquant ma cible au sol. Du genou j’essayais de le bloquer.
- Qu’Exia t’importe...enfant de salaud !
J’arrachais la hache dans un cri de furie pour la brandir et assener un coup avec toute ma rage sur sa poitrine , puis très vite un second , un troisième , en transe je perdais la notions du temps et de mes gestes. Je me donnais en spectacle , la seule chose dont j’étais sûre , c’était mon pére qui me prit dans ses bras , m’écartant ainsi du corps.
Ma sœur était vengée. La mort de Talborth soulageait peut-être ma conscience , un temps , le néant que causait le vide de la perte de Gylda était pourtant là. Ce duel, sauvage , violent, avait permis à quelques invités du reike de me voir à l’œuvre. Une proposition de certains hommes fut vite fait à mon pére. Le reike était prêt à admettre dans ses rangs , compte tenu de mon rang et ma noblesse mon père me fit part de la volonté de certaines huiles du Reike , qui étaient présents, de me faire officier. L’offre valait le coup d’y réfléchir, la paye semblait généreuse , mais ce n'était pas cela qui me poussa a accepté . La culpabilité de la perte de Gilda était bien trop grande , je me devais de partir , voir le monde , placer mon épée dans une cause et faire le bien. On m’avait donc proposé de suivre certaines élites qui enseignaient à l’académie. Si j’avais hésité un temps , je suis très vite ce que j’avais à gagné en acceptant. Si les enseignements théoriques ne m’ennuyaient guère, je préférais bien souvent la pratique, j’avais été formé pour cela.
Suite à ce duel je fus remarqué par des notables du reike , des gens qui avaient sui le délégué sensé tout arbitrer. Une autre vie ? Mais je devais rejoindre l'académie pour cela. Suivre un rapide cursus. Les trois années les plus longues de ma vie. Je savais pertinemment que ma place était dehors a combattre le mal. Une fois prête j'étais bien disposer à empoigner ma destinée.
Groupes d'intérêts
❧ Sheirak : Elevée depuis sa plus tendre enfance dans le respect la foi, Astryd met un point d’honneur à servir son culte et à le vénérer de la manière la plus digne qu’elle puisse trouver. Si elle croit réellement à sa foi elle n’ai pas du genre à mépriser celle des autres , bien au contraire. Elle est même prête et curieuse au fait de connaitre les divers religions et leurs pratiques.
❧ Esclavage : Sur son fief , l’esclavage est de rigueur , sa famille en emploie certains, elle à toujours été habituée à un pareil système sociétal. Plus personnellement , Astryd , par son rang d’officier emploi un personnel. Il bien ce scribe qu’elle voit comme un réel confident. Récemment elle avait fait par ailleurs l’acquisition d’une jeune femme , nullement étrangères aux armes ,cette dernières et foncièrement motivée par Astryd qui l’entraine. Elle n’hésitera pas à l’affranchir pour en faire un soldat loyal.
❧ Université de Drakstrang : l’homme qui était source de tout les maux d’Astryd fut enfin mort , elle s’était vengé. Devant la performance de ce combat elle fut remarquée par certains nobles du Reike. Très vite pn lui proposa une place à l’université de Drakstrang avant de rejoindre une place de choix dans l’armée du Reike.


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Astryd Isdotyr

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Bonjour et bienvenue sur le forum !
C'est une histoire intéressante que tu nous racontes là ! J'ai bien aimé découvrir ton personnage et ses enjeux, la rivalité entre les deux clans, la tentative de paix par mariage qui a mal tourné ainsi que le petit duel judiciaire à la fin ! À titre personnel, j'ai trouvé ça dommage qu'il n'y ait pas de référence à la récente guerre face aux titans, mais ce n'est en rien dramatique. ^^
Avant de te valider, j'ai peut-être remarqué une mini coquille : lors du holmgang, ton personnage fait référence à Exia dans un dialogue, alors qu'elle est de religion shierak. Est-ce voulu ou bien une inattention ?
C'est une histoire intéressante que tu nous racontes là ! J'ai bien aimé découvrir ton personnage et ses enjeux, la rivalité entre les deux clans, la tentative de paix par mariage qui a mal tourné ainsi que le petit duel judiciaire à la fin ! À titre personnel, j'ai trouvé ça dommage qu'il n'y ait pas de référence à la récente guerre face aux titans, mais ce n'est en rien dramatique. ^^
Avant de te valider, j'ai peut-être remarqué une mini coquille : lors du holmgang, ton personnage fait référence à Exia dans un dialogue, alors qu'elle est de religion shierak. Est-ce voulu ou bien une inattention ?

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Compte staff a écrit:Bonjour et bienvenue sur le forum !
C'est une histoire intéressante que tu nous racontes là ! J'ai bien aimé découvrir ton personnage et ses enjeux, la rivalité entre les deux clans, la tentative de paix par mariage qui a mal tourné ainsi que le petit duel judiciaire à la fin ! À titre personnel, j'ai trouvé ça dommage qu'il n'y ait pas de référence à la récente guerre face aux titans, mais ce n'est en rien dramatique. ^^
Avant de te valider, j'ai peut-être remarqué une mini coquille : lors du holmgang, ton personnage fait référence à Exia dans un dialogue, alors qu'elle est de religion shierak. Est-ce voulu ou bien une inattention ?
hey ^^
Merci pour les compliments sur mon texte qua me touche ^^
du coup pour la petite coquille , c 'est parce que j'ai changé de religion entre temps

Dois je corriger ?

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