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Tagar Reys accepta ma proposition de le revoir avec politesse ; il accepta aussi ma demande concernant l’escorte et j’en fus soulagée. Je ne voyais aucune réconciliation possible mais peut-être pourrions-nous au moins nous ignorer cordialement. Ou quand nous devrions communiquer, le faire en toute politesse et sans animosité. Je lui reprochais encore tout ce que j’avais dit lors du festival, mais cette fois je lui expliquerai clairement les choses, sans m’énerver ou subir une crise, et… je n’avait pas vraiment réfléchi à ce que je ferais après.
Si il avouait que j’avais raison, je ne pourrais ni ne voudrais rien faire contre lui, pas si Rachelle ne le voulait pas. Et même alors, que faire ? Il était le Coeur désormais. Je devrais donc me contenter de savoir que j’avais raison. Et cette fois j’aurais une raison légitime de le haïr, même aux yeux de ma tendre.
Et si il refusait d’admettre ce qu’il avait fait… je ne devrais pas m’énerver. Je devrais continuer comme aujourd’hui, être courtoise et cordiale. J’espérerais alors ne plus jamais le revoir.
Il reportai ensuite son attention sur les deux femmes qui nous accompagnaient et leur proposa du thé et du gâteau au chocolat. Plus à mon aise désormais, je pris moi-même un peu de thé que je manquai de cracher en entendant que l’homme que j’exécrai allait se marier.
Mon coeur rata un battement quand j’entendis le nom de ma meilleure amie Gerda, mais je compris bien vite qu’elle n’était que la décoratrice, et j’en fus extrêmement soulagée. Gerda avec lui ?! Brrrr ! Mais au final ça ne m’étonnais pas d’elle qu’elle ne décore l’endroit. Elle était après tout une artiste de talent, c’était elle qui avait confectionné mes bijoux. Je repris de la contenance et lui demanda poliment :
—en voilà une nouvelle ! Puis-je savoir qui est l’heureuse ou l’heureux élu ?
Je me doutais que c’était une femme, Tagar Reys avait après tout une certaine réputation concernant la romance, mais il serait mal venu, surtout pour moi, de ne pas être inclusive.
L’idée de mettre en garde la personne m’avait traversé l’esprit… je soupirais intérieurement. Ce genre de pensées ne devais plus avoir de place dans ma tête, pas envers lui. J’espérais seulement qu’il ne traite correctement son futur époux ou sa future épouse. Et qu’il ne le ou la mette pas en danger !
Je reportais également mon attention sur nos deux autres compères, qui avaient discuté de manière assez animée de leur côté. Elles me rendaient curieuse et je voulais en apprendre plus sur elles. Elles m’avaient sauvé la vie après tout.
— Je voudrais vous remercier encore, mesdames. J’avais besoin de quelqu’un pour me sauver et vous êtes intervenues. Je vous en remercie infiniment. Sachez que les portes des demeures de la famille Cornebouc vous seront toujours ouvertes. J’ai une dette envers vous, et je compte bien l’honorer.
Si il avouait que j’avais raison, je ne pourrais ni ne voudrais rien faire contre lui, pas si Rachelle ne le voulait pas. Et même alors, que faire ? Il était le Coeur désormais. Je devrais donc me contenter de savoir que j’avais raison. Et cette fois j’aurais une raison légitime de le haïr, même aux yeux de ma tendre.
Et si il refusait d’admettre ce qu’il avait fait… je ne devrais pas m’énerver. Je devrais continuer comme aujourd’hui, être courtoise et cordiale. J’espérerais alors ne plus jamais le revoir.
Il reportai ensuite son attention sur les deux femmes qui nous accompagnaient et leur proposa du thé et du gâteau au chocolat. Plus à mon aise désormais, je pris moi-même un peu de thé que je manquai de cracher en entendant que l’homme que j’exécrai allait se marier.
Mon coeur rata un battement quand j’entendis le nom de ma meilleure amie Gerda, mais je compris bien vite qu’elle n’était que la décoratrice, et j’en fus extrêmement soulagée. Gerda avec lui ?! Brrrr ! Mais au final ça ne m’étonnais pas d’elle qu’elle ne décore l’endroit. Elle était après tout une artiste de talent, c’était elle qui avait confectionné mes bijoux. Je repris de la contenance et lui demanda poliment :
—en voilà une nouvelle ! Puis-je savoir qui est l’heureuse ou l’heureux élu ?
Je me doutais que c’était une femme, Tagar Reys avait après tout une certaine réputation concernant la romance, mais il serait mal venu, surtout pour moi, de ne pas être inclusive.
L’idée de mettre en garde la personne m’avait traversé l’esprit… je soupirais intérieurement. Ce genre de pensées ne devais plus avoir de place dans ma tête, pas envers lui. J’espérais seulement qu’il ne traite correctement son futur époux ou sa future épouse. Et qu’il ne le ou la mette pas en danger !
Je reportais également mon attention sur nos deux autres compères, qui avaient discuté de manière assez animée de leur côté. Elles me rendaient curieuse et je voulais en apprendre plus sur elles. Elles m’avaient sauvé la vie après tout.
— Je voudrais vous remercier encore, mesdames. J’avais besoin de quelqu’un pour me sauver et vous êtes intervenues. Je vous en remercie infiniment. Sachez que les portes des demeures de la famille Cornebouc vous seront toujours ouvertes. J’ai une dette envers vous, et je compte bien l’honorer.
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Voilà qui ne répondait pas à sa question. N'y avait-il donc pas de véritable apparence ? Pouvait-elle donc se fier à cette créature ? Elle avait cru cela possible, mais à présent... Elle doutait. À quoi se fier ? Que croire ? Sur quoi se baser ? Elle fut reconnaissante à l'homme de son interruption.
- Je me contenterai d'un peu de thé, merci.
Puis elle se prépara à passer le reste de leur passage en ce lieu en tant que spectatrice. Après tout, elle commençait à se demandait ce qu'elle faisait là. Etait-elle vraiment légitime à prendre un thé avec une inconnue et un homme avec qui jamais une telle situation n'aurait dû avoir lieu ? Serait-il convenable qu'elle s'éclipse, une fois le thé terminé ? Après tout, maintenant qu'elle l'avait demandé, elle ne pouvait pas l'abandonner...
Et voilà que ça parlait du mariage de l'homme. Non, vraiment, ce n'était pas une conversation pour elle. Elle ne voyait aucun intérêt au mariage, mais elle savait qu'il serait malvenu de sa part de donner son avis. Alors, une fois de plus, elle ne dit rien. Du moins, jusqu'à ce qu'on lui adresse directement la parole. Elle secoua la tête :
- Pas besoin de me remercier. En tant qu'hybride, vous êtes de ma famille. Je suis prête à tout pour vous.
En effet, pour elle, cela ne faisait aucun doute, elle se trouvait face à une autre hybride.
- Je me contenterai d'un peu de thé, merci.
Puis elle se prépara à passer le reste de leur passage en ce lieu en tant que spectatrice. Après tout, elle commençait à se demandait ce qu'elle faisait là. Etait-elle vraiment légitime à prendre un thé avec une inconnue et un homme avec qui jamais une telle situation n'aurait dû avoir lieu ? Serait-il convenable qu'elle s'éclipse, une fois le thé terminé ? Après tout, maintenant qu'elle l'avait demandé, elle ne pouvait pas l'abandonner...
Et voilà que ça parlait du mariage de l'homme. Non, vraiment, ce n'était pas une conversation pour elle. Elle ne voyait aucun intérêt au mariage, mais elle savait qu'il serait malvenu de sa part de donner son avis. Alors, une fois de plus, elle ne dit rien. Du moins, jusqu'à ce qu'on lui adresse directement la parole. Elle secoua la tête :
- Pas besoin de me remercier. En tant qu'hybride, vous êtes de ma famille. Je suis prête à tout pour vous.
En effet, pour elle, cela ne faisait aucun doute, elle se trouvait face à une autre hybride.
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Laisse-moi m'occuper du thé, je te laisse l'expertise du gâteau mon ami. Une bonne part pour ma part je te prie. Je te remercie infiniement.
Répliqua Halewyn en prenant d'office la théière pour servir tout le monde d'un mouvement gracieux et éthéré, impeccable autant dans la précision que l'exécution totu en répondant au Reikois en lui jetant un regard étincelant sous ses grands yeux ourlés de Khôl.
Je suis arrivée ce matin et je te cherchais pour te faire la surprise en fait. Je n'ai pas reconnu tes gardes, par chance, sinon je n'aurais pu prêter assistance à Kilanna et dame Cornebouc. Nous pourrons en discuter plus tard en privé si tu le désire.
Sourit t'elle en servant l'hybride après la capitaine de la milice tout en lui murmurant.
Tu m'as fait confiance en homme et en panthère... En corbeau et en triton... Dis-moi, suis je moins ''moi'' en femme? Devrais je être vexée?
Puis de servir Marcelline. Une dette? Le domaine Cornebouc? Intéressant et pas pour un point de vue monétaire... Si elle savait la belle cornue... Avec un sourire doux, elle répliqua
Il n'y a presque rien que j'exècre plus que les porcs en rut qui ne savent pas se tenir et ce, peu importe le sexe ou l'espèce. J'en fais à chaque fois une affaire personnelle. Du coup, il n'y a aucun remerciement à avoir, ce n'était que naturel.
Répliqua Halewyn en prenant d'office la théière pour servir tout le monde d'un mouvement gracieux et éthéré, impeccable autant dans la précision que l'exécution totu en répondant au Reikois en lui jetant un regard étincelant sous ses grands yeux ourlés de Khôl.
Je suis arrivée ce matin et je te cherchais pour te faire la surprise en fait. Je n'ai pas reconnu tes gardes, par chance, sinon je n'aurais pu prêter assistance à Kilanna et dame Cornebouc. Nous pourrons en discuter plus tard en privé si tu le désire.
Sourit t'elle en servant l'hybride après la capitaine de la milice tout en lui murmurant.
Tu m'as fait confiance en homme et en panthère... En corbeau et en triton... Dis-moi, suis je moins ''moi'' en femme? Devrais je être vexée?
Puis de servir Marcelline. Une dette? Le domaine Cornebouc? Intéressant et pas pour un point de vue monétaire... Si elle savait la belle cornue... Avec un sourire doux, elle répliqua
Il n'y a presque rien que j'exècre plus que les porcs en rut qui ne savent pas se tenir et ce, peu importe le sexe ou l'espèce. J'en fais à chaque fois une affaire personnelle. Du coup, il n'y a aucun remerciement à avoir, ce n'était que naturel.
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Tagar m’annonça fièrement le nom de sa fiancée et qu’ils allaient se marier dans trois mois ! Comment n’en avait-je pas entendu parler ? Une de Sarleon, une famille noble de Taisen. Ce nom m’étais familier, bien que je n’aie encore jamais rencontré un membre de cette famille. Alyssa n’était-elle pas conseillère ? Et veuve ? Si cela leur convenait à tous les deux, je n’allais pas m’interposer. Au contraire, c’était peut-être mieux ainsi. En tant que veuve, Alyssa disposait d’une plus grande marge de manœuvre que d’autre femmes, notamment plus jeunes, qui pourraient se voir forcées de se marier avec lui. Non, elle devait avoir eu son mot à dire et c’était tant mieux. Peut-être ce couple serait-il heureux, à condition qu’il ne la tue pas par grossesse. J’espérais pour elle qu’il avait revu ses ambitions à la baisse concernant le nombre d’enfants qu’il voulait. Ou au moins qu’il accepterai d’en adopter quelques uns, ce qui serait une très bonne chose.
— et le vôtre ?
Pardon ? Parlait-il de mon mariage ?! Il était vrai qu’il croyait que nous étions déjà fiancées Rachelle et moi, vu qu’elle avait annoncé à la cantonade lors du festival que nous allions nous marier. À ce jour, et elle prenait son temps, nous n’étions toujours pas fiancées. La connaissant elle préparait quelque chose d’exceptionnel. Bon, tout ce qu’elle me préparait, je le trouverai exceptionnel, parce que ça viendrait d’elle, mais quand même.
— Nous prenons notre temps, lui répondis-je donc.
Et je n’ajoutais rien à ce propos, préférant remercier encore mes sauveuses. Aucune n’accepta mes remerciements, car c’était une affaire personnelle pour les deux. Cependant…
— Pardonnez-moi, il y a méprise. Ma future femme est une hybride, mais moi je suis une elfe. Les cornes sur ma tête sont un héritage d’une ancêtre alchimiste qui a réussi à s’en faire pousser de manière permanente. Je vous prie de m’excuser pour la confusion. Et d’accepter mes sentiments pour votre dévotion, que je trouve admirable.
J’espérais ne pas les avoir offensées avec cette incompréhension.
En parlant d’incompréhension, j’avais entendu des bribes de conversation entre cette Halewyn et cette Kilanna et je devais avouer ne pas avoir compris ce que j’avais entendu. Lui faire confiance en homme et en panthère ? Je lui demanderai des explications à la prochaine occasion. J’essayerai d’être subtile, de ne pas la vexer quant à mes oreilles fouineuses.
— et le vôtre ?
Pardon ? Parlait-il de mon mariage ?! Il était vrai qu’il croyait que nous étions déjà fiancées Rachelle et moi, vu qu’elle avait annoncé à la cantonade lors du festival que nous allions nous marier. À ce jour, et elle prenait son temps, nous n’étions toujours pas fiancées. La connaissant elle préparait quelque chose d’exceptionnel. Bon, tout ce qu’elle me préparait, je le trouverai exceptionnel, parce que ça viendrait d’elle, mais quand même.
— Nous prenons notre temps, lui répondis-je donc.
Et je n’ajoutais rien à ce propos, préférant remercier encore mes sauveuses. Aucune n’accepta mes remerciements, car c’était une affaire personnelle pour les deux. Cependant…
— Pardonnez-moi, il y a méprise. Ma future femme est une hybride, mais moi je suis une elfe. Les cornes sur ma tête sont un héritage d’une ancêtre alchimiste qui a réussi à s’en faire pousser de manière permanente. Je vous prie de m’excuser pour la confusion. Et d’accepter mes sentiments pour votre dévotion, que je trouve admirable.
J’espérais ne pas les avoir offensées avec cette incompréhension.
En parlant d’incompréhension, j’avais entendu des bribes de conversation entre cette Halewyn et cette Kilanna et je devais avouer ne pas avoir compris ce que j’avais entendu. Lui faire confiance en homme et en panthère ? Je lui demanderai des explications à la prochaine occasion. J’essayerai d’être subtile, de ne pas la vexer quant à mes oreilles fouineuses.
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Il était vrai que, vu depuis cet angle... Kilanna avait déjà vu son ami (e ?) revêtir plusieurs formes. Peut-être le problème venait-il simplement du fait que la femme, c'était une forme qu'elle connaissait mieux ? Ou peut-être, qu'elle n'imaginait pas que quelqu'un puisse être à la fois homme et femme. Rha, c'était compliqué, tout ça ! Néanmoins, il y avait un détail qu'elle se devait de reconnaître :
- C'est vrai que niveau caractère, c'est bien toi, aucun doute ! Mais, eum... C'est possible, ça, d'être à la fois homme et femme ?
Evidemment, idiote ! Tu en as la preuve sous les yeux ! Quoi qu'il en soit, c'était trop tard, la question était posée.
Puis l'hybride-qui-n'en-était-finalement-pas-une s'expliqua. Après un moment de flottement dû à la surprise et à l'incrédulité, elle se radoucit :
- Nous voici futures belles-soeurs dans tous les cas, alors ! Donc ça ne change rien à ma réponse. N'hésitez pas, d'ailleurs, si vous avez besoin d'aide pour quoi que ce soit. Je suis... Hum... Pas toujours au même endroit, c'est vrai. Mais vous pouvez toujours essayer de demander à mon amie ici présente Elle désigna Hale du menton. ou les troupes de théâtre de Kyouji.
Elle ne pouvait rien lui donner de plus précis, n'ayant pas vraiment de pied-à-terre. Pourquoi donner Hale comme intermédiaire ? Simplement car elle pensait qu'en tant que seul(e ?) véritable ami(e ?), c'est à cet être qu'elle risquait de donner le plus d'informations à n'importe quel sujet, d'ailleurs, pas seulement sa localisation. Après tout, tout le monde avait besoin de quelqu'un à qui se confier, à un moment de sa vie.
Elle finit par accepter une part de fraises sans chantilly, plus par pitié pour le pauvre homme ignoré jusque-là que par réelle envie.
- C'est vrai que niveau caractère, c'est bien toi, aucun doute ! Mais, eum... C'est possible, ça, d'être à la fois homme et femme ?
Evidemment, idiote ! Tu en as la preuve sous les yeux ! Quoi qu'il en soit, c'était trop tard, la question était posée.
Puis l'hybride-qui-n'en-était-finalement-pas-une s'expliqua. Après un moment de flottement dû à la surprise et à l'incrédulité, elle se radoucit :
- Nous voici futures belles-soeurs dans tous les cas, alors ! Donc ça ne change rien à ma réponse. N'hésitez pas, d'ailleurs, si vous avez besoin d'aide pour quoi que ce soit. Je suis... Hum... Pas toujours au même endroit, c'est vrai. Mais vous pouvez toujours essayer de demander à mon amie ici présente Elle désigna Hale du menton. ou les troupes de théâtre de Kyouji.
Elle ne pouvait rien lui donner de plus précis, n'ayant pas vraiment de pied-à-terre. Pourquoi donner Hale comme intermédiaire ? Simplement car elle pensait qu'en tant que seul(e ?) véritable ami(e ?), c'est à cet être qu'elle risquait de donner le plus d'informations à n'importe quel sujet, d'ailleurs, pas seulement sa localisation. Après tout, tout le monde avait besoin de quelqu'un à qui se confier, à un moment de sa vie.
Elle finit par accepter une part de fraises sans chantilly, plus par pitié pour le pauvre homme ignoré jusque-là que par réelle envie.
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Dans trois mois? Chez Halewyn il n'y eut aucune manifestation physique de sa curiosité piquée. DÆns trois mois? Le mariage n'était il pas passé? Il est vrai qu'elle n'avait eu aucune invitation. Etais ce parce qu'elle n'était pas sur la liste qu'il y a des délais maintenant?
Intéressant et curieux... très. Dans un sens comme dans l'autre, il y a de l'eau dans l'huile à lampe comme on dit. Un bref coup d'empathie soigneusement dirigée vers TÆgar l'informe que ce n'est pas de son côté que ca coince. M... devrait t'elle s'en mêler?
C'est toujorus bien de prendre son temps pour se amrier. Dit elle à Marcelline qui expliqua l'origine de ses appendices.
Oh... Mais ma chère, si je pouvais maitriser la nécromancie pour remercier votre ancêtre je le ferais. Ces cornes magnifient parfaitement votre beauté naturelle. Cette courbe est exquise pour l'oeil. Votre future femme doit surement les adorer en tant que partie de votre belle âme et personne.
Dommage que les personnes ne savent pas apprécier l'extraordinaire à sa juste valeur. Le serviteur leur propose alors des fraises àa la chantilly, ce qui fit s'agiter un peu la gourmande démone qu'elle est.
-Oh, merci de cette sublissime suggestion. Elles accompagnerons divinement le chocolat. D'ailleurs, Tagar, tu devrais essayer cela, des fraises fraiches trempées dans el chocolat noir. ou en tais je ... ah oui.
La Shoumeienne prit une bouchée distinguée de son dessert, le savourant tranquillement.
-Kılanna.. Je n'aime pas, malgré les apparences, étaler mon intimité sur n'importe quelle table... Et jadis, j'ai déjà fait quelques remontrances à Tagar ici présent sur les discussions de mon genre à la table. Je n'ai cependant pas envie de me fâcher. Je me contenterai donc de ceci comme réponse. Dans ce monde, tout est possible, donc oui. Si tu veux en parler, plus tard je te prie.
Puis de se tourner vers les deux autres, sourire et grâce.
Comme cadeau, je vais vous faire envoyer des billets pour une ou l'autre représentation. Nos remplacants sont tout à fait corrects, mais je passe parfois m'assurer que la quaité des représentation ne faiblisse pas. Nous avons bien sûr les permis gouvernementaux et nous sommes inspectés régulièrement du coup il a fallu faire quelques menus ajustements mais dans l'ensemble c'est tres convenable. Notre troupe est à l'avant-garde de l'art évolutif. Chaque représentation, chaque interaction avec le public fait changer l'histoire unpeu pour la représentation suivante... Pardonnez moi, je crains d'être ennuyeuse.
Intéressant et curieux... très. Dans un sens comme dans l'autre, il y a de l'eau dans l'huile à lampe comme on dit. Un bref coup d'empathie soigneusement dirigée vers TÆgar l'informe que ce n'est pas de son côté que ca coince. M... devrait t'elle s'en mêler?
C'est toujorus bien de prendre son temps pour se amrier. Dit elle à Marcelline qui expliqua l'origine de ses appendices.
Oh... Mais ma chère, si je pouvais maitriser la nécromancie pour remercier votre ancêtre je le ferais. Ces cornes magnifient parfaitement votre beauté naturelle. Cette courbe est exquise pour l'oeil. Votre future femme doit surement les adorer en tant que partie de votre belle âme et personne.
Dommage que les personnes ne savent pas apprécier l'extraordinaire à sa juste valeur. Le serviteur leur propose alors des fraises àa la chantilly, ce qui fit s'agiter un peu la gourmande démone qu'elle est.
-Oh, merci de cette sublissime suggestion. Elles accompagnerons divinement le chocolat. D'ailleurs, Tagar, tu devrais essayer cela, des fraises fraiches trempées dans el chocolat noir. ou en tais je ... ah oui.
La Shoumeienne prit une bouchée distinguée de son dessert, le savourant tranquillement.
-Kılanna.. Je n'aime pas, malgré les apparences, étaler mon intimité sur n'importe quelle table... Et jadis, j'ai déjà fait quelques remontrances à Tagar ici présent sur les discussions de mon genre à la table. Je n'ai cependant pas envie de me fâcher. Je me contenterai donc de ceci comme réponse. Dans ce monde, tout est possible, donc oui. Si tu veux en parler, plus tard je te prie.
Puis de se tourner vers les deux autres, sourire et grâce.
Comme cadeau, je vais vous faire envoyer des billets pour une ou l'autre représentation. Nos remplacants sont tout à fait corrects, mais je passe parfois m'assurer que la quaité des représentation ne faiblisse pas. Nous avons bien sûr les permis gouvernementaux et nous sommes inspectés régulièrement du coup il a fallu faire quelques menus ajustements mais dans l'ensemble c'est tres convenable. Notre troupe est à l'avant-garde de l'art évolutif. Chaque représentation, chaque interaction avec le public fait changer l'histoire unpeu pour la représentation suivante... Pardonnez moi, je crains d'être ennuyeuse.
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La personne dénommée Halewyn me conforta dans mon attente en disant que c’était toujours bien de prendre son temps pour se marier. De mon côté j’étais pressée, étant donné la faible espérance de vie de ma tendre, mais il était vrai que d’un autre côté, nous étions déjà ensemble, nous vivions déjà des moments incroyables de tendresse ensemble et de ce fait, nous n’avions nullement besoin de nous presser pour nous marier.
Fort heureusement ma rectification ne changea rien à la réponse de l’hybride et j’en fus quelque peu soulagée. Je notai donc que je pouvais lui demander de l’aide pour quoi que ce fut, et quelque chose attira mon attention : elle semblait dire qu’elle faisait partie d’une des troupes de théâtre de kyouji. Je notai cette information dans un coin de ma tête pour plus tard.
Puis l’être qui semblait être mi-femme mi-homme, et parfois panthère, complimenta mon apparence avec un parler absolument parfait et je mis quelques secondes à trouver les mots pour lui répondre, si bien que notre hôte ne me laissa pas le temps de le faire.
J’assistai ensuite aux remontrances de Halewyn envers Kilanna qui me confirma que le genre de l’être métamorphe était effectivement au minimum changeant. Je ne sut ce qui me perturba le plus. J’étais prête à donner ma confiance à elle et puis d’un coup je m’en méfiais. Je n’avais aucune raison de me méfier de cette personne mais je ne pus m’en empêcher. Comme si une part d’elle me dérangeait.
Et pourtant elle nous offrit à moi et à Tagar des billets pour une de ses représentations. Les deux personnes étaient donc collègues dans une troupe de théâtre, et Halewyn semblait en être responsable de la qualité. Mais encore une fois avant que je n’aie pu répondre l’on vint m’interrompre ; c’était la milice cette fois-ci, qui nous demanda ce qu’il s’était passé.
Bon, je ne pouvais définitivement pas leur demander d’attendre que nous ayons fini notre conversation, donc j’essayais de me rappeler de tout puis je pris la parole en me levant.
—Bien sûr. Je me rendais à une boutique où je comptais trouver un ingrédient rare quand les hommes que vous avez trouvés morts m’ont agressée.
Je me rendis compte que j’aurais du mal à raconter l’incident.
—Ils me suivaient depuis un moment et arrivés à ma hauteur ils m’ont barré la route puis m’ont frappée. Les personnes ici présentes sont alors intervenues pour me sauver, et sans que je ne comprenne bien comment il sont tombés morts. Et je suis tombée moi aussi car j’étais sous le choc. Ils m’ont aidée à me relever et puis vous êtes arrivés.
Je me rassit ensuite ; je ne voulais pas trop en dévoiler pour ne pas mettre en danger celles qui m’avaient sauvée, je restais donc sobre et j’élaborerais plus tard, si on me posait des questions plus précises. Après avoir entendu ce que Kilanna et Halewyn auraient dit, je pourrais simplement confirmer leurs dires et ne risquerais pas ainsi de leur attirer des ennuis.
Fort heureusement ma rectification ne changea rien à la réponse de l’hybride et j’en fus quelque peu soulagée. Je notai donc que je pouvais lui demander de l’aide pour quoi que ce fut, et quelque chose attira mon attention : elle semblait dire qu’elle faisait partie d’une des troupes de théâtre de kyouji. Je notai cette information dans un coin de ma tête pour plus tard.
Puis l’être qui semblait être mi-femme mi-homme, et parfois panthère, complimenta mon apparence avec un parler absolument parfait et je mis quelques secondes à trouver les mots pour lui répondre, si bien que notre hôte ne me laissa pas le temps de le faire.
J’assistai ensuite aux remontrances de Halewyn envers Kilanna qui me confirma que le genre de l’être métamorphe était effectivement au minimum changeant. Je ne sut ce qui me perturba le plus. J’étais prête à donner ma confiance à elle et puis d’un coup je m’en méfiais. Je n’avais aucune raison de me méfier de cette personne mais je ne pus m’en empêcher. Comme si une part d’elle me dérangeait.
Et pourtant elle nous offrit à moi et à Tagar des billets pour une de ses représentations. Les deux personnes étaient donc collègues dans une troupe de théâtre, et Halewyn semblait en être responsable de la qualité. Mais encore une fois avant que je n’aie pu répondre l’on vint m’interrompre ; c’était la milice cette fois-ci, qui nous demanda ce qu’il s’était passé.
Bon, je ne pouvais définitivement pas leur demander d’attendre que nous ayons fini notre conversation, donc j’essayais de me rappeler de tout puis je pris la parole en me levant.
—Bien sûr. Je me rendais à une boutique où je comptais trouver un ingrédient rare quand les hommes que vous avez trouvés morts m’ont agressée.
Je me rendis compte que j’aurais du mal à raconter l’incident.
—Ils me suivaient depuis un moment et arrivés à ma hauteur ils m’ont barré la route puis m’ont frappée. Les personnes ici présentes sont alors intervenues pour me sauver, et sans que je ne comprenne bien comment il sont tombés morts. Et je suis tombée moi aussi car j’étais sous le choc. Ils m’ont aidée à me relever et puis vous êtes arrivés.
Je me rassit ensuite ; je ne voulais pas trop en dévoiler pour ne pas mettre en danger celles qui m’avaient sauvée, je restais donc sobre et j’élaborerais plus tard, si on me posait des questions plus précises. Après avoir entendu ce que Kilanna et Halewyn auraient dit, je pourrais simplement confirmer leurs dires et ne risquerais pas ainsi de leur attirer des ennuis.
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Elle se fit réprimander. L'espace d'un instant, elle planta un regard de défi dans celui de son amie. Mais cela ne dura pas. La principale concernée était celle qui devait avoir gain de cause dans cette conversation. Alors, piteuse, elle laissa échapper un "Désolée" avant de se murer dans le silence. Elle avait fait une erreur, il ne fallait pas recommencer. Même lorsque les deux autres furent invités à assister à une pièce, elle ne pipa mot. De toutes façons, il aurait été bien mal avisé de refuser des spectateurs.
Et, bien vite, la milicienne revint. Alors que la non-hybride commençait à raconter son histoire, Kilanna finit par se dire qu'elle ne pourrait pas vraiment garder le silence plus longtemps. En effet, elle aussi devait raconter sa version des faits.
- De mon côté, j'avais repéré ces hommes depuis les toits. Et je pensais que Madame était hybride. Je suis sensible à la cause des miens, donc forcément, lorsque j'ai vu qu'une hybride et une femme était en difficulté, je ne pouvais que l'aider. Je pourrais vous dire que je suis désolée d'avoir dérangé le calme de la ville, mais ce serait mentir. J'ai horreur des injustices et des crimes. S'il fallait recommencer, je le ferais sans hésiter. Pensez-en ce que vous voulez, je m'en moque.
Les mots étaient dits. D'accord, elle n'avait rien dit de précis. Mais cette femme n'avait pas besoin de détails.
Et, bien vite, la milicienne revint. Alors que la non-hybride commençait à raconter son histoire, Kilanna finit par se dire qu'elle ne pourrait pas vraiment garder le silence plus longtemps. En effet, elle aussi devait raconter sa version des faits.
- De mon côté, j'avais repéré ces hommes depuis les toits. Et je pensais que Madame était hybride. Je suis sensible à la cause des miens, donc forcément, lorsque j'ai vu qu'une hybride et une femme était en difficulté, je ne pouvais que l'aider. Je pourrais vous dire que je suis désolée d'avoir dérangé le calme de la ville, mais ce serait mentir. J'ai horreur des injustices et des crimes. S'il fallait recommencer, je le ferais sans hésiter. Pensez-en ce que vous voulez, je m'en moque.
Les mots étaient dits. D'accord, elle n'avait rien dit de précis. Mais cette femme n'avait pas besoin de détails.
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Halewyn s'assurait parfaitement que personne ne manque de rien autour de la table, laissant les gens s'exprimer et deviser come ils le souhaitaient. Quand vint son tour d'être interrogée, elle avait le museau dans sa tasse tandis qu'elle humait avec un délice non feint les subimes arômes du chaud breuvage.
Pour ma part, ca recoupe les deux demoiselles. J'ai vu deux individus louches suivrent Miss Cornebouc et je les ai empêché d'accomplir leur sombre desseins. Je ne sais pas quoi dire de plus...
Devant l'air des trois... non quatres personnes autour de la table, elle marque un silence affecté pendant qu'elle prend une petite gorgée avant de reposer tasse et soucoupe dans un soupir.
Je présume que vous voulez parler de la panthère? Regardez moi attentivement et dites moi si vous me voyez me battre . Non Tagar mon ami, ne répond surtout pas à cette question je te prie, ca serait de la triche. Et ce que je faisais?Je cherchais monsieur le ministre qui a eu la merveilleuse idée de changer de gardes pour lui faire une surprise.
Elle pencha légèrement la tête de côté en un adorable mouvement, avec un beau sourire.
Pour ma part, ca recoupe les deux demoiselles. J'ai vu deux individus louches suivrent Miss Cornebouc et je les ai empêché d'accomplir leur sombre desseins. Je ne sais pas quoi dire de plus...
Devant l'air des trois... non quatres personnes autour de la table, elle marque un silence affecté pendant qu'elle prend une petite gorgée avant de reposer tasse et soucoupe dans un soupir.
Je présume que vous voulez parler de la panthère? Regardez moi attentivement et dites moi si vous me voyez me battre . Non Tagar mon ami, ne répond surtout pas à cette question je te prie, ca serait de la triche. Et ce que je faisais?Je cherchais monsieur le ministre qui a eu la merveilleuse idée de changer de gardes pour lui faire une surprise.
Elle pencha légèrement la tête de côté en un adorable mouvement, avec un beau sourire.
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Chacun·e raconte sa version des faits qui se rejoignent tout à fait. La milicienne décide alors que l’affaire est close, m’indiquant d’être plus prudente à l’avenir, comme si je choisissais de me faire agresser, puis chose étonnante elle prend une pâtisserie avant de s’en aller. Elle y avait probablement été invitée et je ne m’en souvenais pas, mais ça me paraissais incongru quand même. Tagar Reys s’excusa lui aussi, indiquant qu’il me laissait deux gardes du genre que j’avais demandé, puis s’en alla. Après toutes ces émotions, je ne savais trop quoi faire, mais j’avais toujours à remercier Halewyn :
—Très chère Halewyn, nous avons été interrompues avant que je ne puisse vous remercier pour le magnifique compliment que vous m’avez fait et pour l’invitation. Je vous présente donc mes remerciements, ça me touche beaucoup que vous pensiez que mes cornes me vont, car ça n’a pas toujours été facile de les apprécier ni de les apprivoiser. J’en ai encore fais les frais aujourd’hui, donc merci de me rassurer à propos d’elles. Et bien sûr que je viendrais à votre représentation, ça sera avec grand plaisir !
Je n’avais plus grand-chose à ajouter, alors je décidai d’écouter la réponse d’Halewyn avant de m’éclipser à mon tour. La journée avait été trop pleine d’émotions et je devais toujours aller acheter mes ingrédients.
—Très chère Halewyn, nous avons été interrompues avant que je ne puisse vous remercier pour le magnifique compliment que vous m’avez fait et pour l’invitation. Je vous présente donc mes remerciements, ça me touche beaucoup que vous pensiez que mes cornes me vont, car ça n’a pas toujours été facile de les apprécier ni de les apprivoiser. J’en ai encore fais les frais aujourd’hui, donc merci de me rassurer à propos d’elles. Et bien sûr que je viendrais à votre représentation, ça sera avec grand plaisir !
Je n’avais plus grand-chose à ajouter, alors je décidai d’écouter la réponse d’Halewyn avant de m’éclipser à mon tour. La journée avait été trop pleine d’émotions et je devais toujours aller acheter mes ingrédients.
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A l'affirmation de Tagar, Halewyn a un grand sourire en se levant à son tour, comme si le Reikois avait lancé l'heure du départ.
Attends moi cher ami. Maintenant que nous nous sommes trouvés, je n.ai pas l'intention de te laisser aller si rapidement.
Avec un clin d'oeil, la courtisane signifie à Kilanna qu'ils en reparleront plus tard avant de se tourner vers miss Cornebouc qui la remercie chaleureusement, penchant la tête de côté de façon parfaitement ingénue tandis qu'avec grâce, elle va prendre le bras du ministre. Regardez le, le beau blond, semble t'elle dire. Il n'est pas dangereux du tout.
Je suis toujours parfaitement sincère dans mes affirmations mademoiselle. Peu importe comment nous sommes être percus par les autres, l'important est comment nous nous percevons nous. J'espère, un jour, avoir le privilège d'entendre cette histoire familiale par le détail. Oh, voici la carte du lieu ou je loge jusqu'à la fin de la semaine.
Si vous avez un soucis, vous m'y trouverez mesdames.
Se reprend t'elle en sortant de sa manche une carte d'hôtel qu'elle dépose sur la table.
Tagar... Dit elle en tournant son regard noir vers le ministre. Et pendant qu'ils s'éloignent, les deux femmes peuvent l'entendre parler malgré le ton et la voix de soupir. - Il y a un nouveau fournisseur de cacao en ville.... Si tu es occupé, je peux t'attendre ceci dit. Je ne t'en voudrai pas, sachant comment je suis littéralement comme le cheveu dans la soupe aujourd'hui. ...
Attends moi cher ami. Maintenant que nous nous sommes trouvés, je n.ai pas l'intention de te laisser aller si rapidement.
Avec un clin d'oeil, la courtisane signifie à Kilanna qu'ils en reparleront plus tard avant de se tourner vers miss Cornebouc qui la remercie chaleureusement, penchant la tête de côté de façon parfaitement ingénue tandis qu'avec grâce, elle va prendre le bras du ministre. Regardez le, le beau blond, semble t'elle dire. Il n'est pas dangereux du tout.
Je suis toujours parfaitement sincère dans mes affirmations mademoiselle. Peu importe comment nous sommes être percus par les autres, l'important est comment nous nous percevons nous. J'espère, un jour, avoir le privilège d'entendre cette histoire familiale par le détail. Oh, voici la carte du lieu ou je loge jusqu'à la fin de la semaine.
Si vous avez un soucis, vous m'y trouverez mesdames.
Se reprend t'elle en sortant de sa manche une carte d'hôtel qu'elle dépose sur la table.
Tagar... Dit elle en tournant son regard noir vers le ministre. Et pendant qu'ils s'éloignent, les deux femmes peuvent l'entendre parler malgré le ton et la voix de soupir. - Il y a un nouveau fournisseur de cacao en ville.... Si tu es occupé, je peux t'attendre ceci dit. Je ne t'en voudrai pas, sachant comment je suis littéralement comme le cheveu dans la soupe aujourd'hui. ...
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