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  • Lun 3 Avr - 19:13
    J’avais besoin d’un certain ingrédient qu’on trouvait uniquement à un certain endroit à Ikusa. Je m’étais répété une nouvelle fois : « tu dois avoir le courage de sortir seule, comme autrefois. » J’avais donc décidé d’y aller seule, comme autrefois. Je m’étais réjouie à l’idée que Rachelle serait fière de moi d’avoir accompli cette tâche sans paniquer une seule fois.
    Alors j’y suis allée comme ça. Je ne m’était même pas particulièrement préparée. Juste, j’avais pris un sac, mes vieux vêtements de tous les jours et j’étais partie. J’étais même de joyeuse humeur en pensant à la petite expérience alchimique que j’allais pouvoir réaliser.
    Il n'était pas tard pourtant. Tôt le midi, et les gens se préparaient à manger. Personne dans les rues. Pas là où je passais. C'était là mon erreur, car au détour d'une ruelle, je vis des hommes agglutinés au bout de la rue. Ils étaient armés. Je continuait sur une autre ruelle, quitte à faire un détour, me dépêchant car depuis une dizaine de minutes j'avais l'impression d'être suivie. Je m’étais répété des dizaines de fois que ce n’était que mon imagination, le traumatisme qui parlait ; rien n’y fit, j’avais peur. À tel point que je sursautait quand ils arrivèrent à ma hauteur, de chaque côté de moi. J'accélérai le pas mais ils firent de même. Paniquée je me mis à courir, mais l'un d'eux fut beaucoup plus rapide que moi et me barra le passage, tandis que les autres m'encerclaient, m'acculant contre un mur. Tremblante, je ne pus articuler un seul mot.
    Ils ne jugèrent pas utile de sortir leurs armes. Le plus grand d'entre eux me prit par la mâchoire; ils prenaient leur temps, ils savaient bien que je ne leur échapperai pas. Il caressa mes bijoux de cornes, ma joue.

    —regarde-moi, cracha-t-il entre ses dents.

    J'étais complètement paralysée, tremblant de tout mon corps. La gifle qu'il m'asséna en se répétant me fit tomber au sol.
    J'avais la force pour me défendre. Je pouvais utiliser mes étoiles pour les attaquer. Je pouvais même arracher le mur et le leur éclater dessus avec ma télékinésie. Je me hurlais intérieurement de le faire, de me battre pour ma sûreté et mon intégrité... Mais j’étais complètement paralysée. Je restai au sol alors qu’il m’asséna un premier coup de pied dans ma cicatrice au ventre en me rugissant de me relever. J’en étais incapable, alors il me releva lui-même d’une main et me plaqua contre le mur. Il ne s’attendrit pas en voyant mes larmes rouler sur mes joues.
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  • Mar 4 Avr - 11:35
    Bon. Encore une fois, elle avait échoué. Enfin, pas complètement. Elle avait laissé partir la cible désignée, mais s'en était trouvé une autre. Certes, elle n'avait pas été payée pour cette action, puisqu'elle n'avait pas fait ce qu'on attendait d'elle, mais tant pis. Elle n'en avait retiré aucune richesse matérielle, mais avait appris : après tout, c'était vrai que la vérité sortait de la bouche des enfants... Elle devrait apprendre à leur parler pour aller plutôt vers eux lors de ses phases d'enquête. Les enfants n'avaient pas de filtre, autrement dit, il serait facile d'apprendre ce qu'elle voulait savoir en leur posant simplement la question, sans s'encombrer de toutes ces formules de politesse obligatoires avec les adultes.

    Enfin, pour l'instant, il était temps de manger. Prendrait-elle le temps de s'installer dans une auberge ? Finalement, elle décida contre cette idée : elle s'offrirait ce luxe lorsqu'elle aurait rempli la mission confiée par un commanditaire, pas par sa propre conscience. Et cela semblait se faire de plus en plus rare, dernièrement... Certes, elle passait son temps à clamer qu'elle ne travaillait pas pour l'argent, mais si elle continuait à s'accrocher à ce point uniquement à ses convictions, elle allait vraiment finir par avoir des problèmes d'ordre financier... Et avoir un deuxième métier n'aidait pas tellement. En effet, le théâtre, ça ne rapportait pas beaucoup. Il allait falloir prendre une décision : soit elle devenait vraiment mercenaire et se faisait violence pour éliminer des cibles innocentes juste parce qu'on le lui demandait, soit elle se formait pour exercer un troisième métier plus lucratif... Quitte à se tuer au travail. Non, ce n'était pas une vie. Elle le savait, la solution la plus simple serait d'être moins sélective pour ses cibles... Ou faire payer les hybrides qu'elle aidait. Mais comment s'y résoudre, puisqu'elle les voyait comme sa famille ?

    Elle en était là de ses réflexions lorsqu'elle entendit des éclats de voix. Encore une altercation ? S'assurant que personne ne la voyait, elle rejoignit les toits voisins. Une fois parvenue là-haut, elle observa ce qui se passait en contrebas. Quelque chose qui ne lui plaisait pas vraiment. Une femme, qui avait tout l'air d'être elle aussi hybride, à terre, en larme, face à des bandits armés... Quels lâches. Enfin, ils semblaient n'être que deux. Et la rue n'était pas trop étroite... Elle n'était qu'une piètre combattante, mais il y avait ici une variable supplémentaire qui lui donnerait un avantage certaine : elle aurait la place d'utiliser ses ailes. Et même si le combat n'était pas sa spécialité, l'attaque par surprise, elle, l'était. Et en cas de riposte, sa maîtrise du vol lui permettait d'esquiver de manière plus que satisfaisante. Elle devrait s'en sortir, décida-t-elle alors qu'elle se laissait tomber du toit, dague en avant, droit sur l'un des malfrats.

    Cette fois, cette technique fonctionna parfaitement. L'homme mourut sur le coup, probablement sans avoir eu le temps de réaliser ce qui lui arrivait. Elle bloqua l'attaque du second de son bras, souriant d'un air carnassier alors que la lame mordait sa chair sans lui infliger la moindre douleur.

    -  Alors, qu'est-ce qui se passe ? Surpris ? On attaque les hybrides sans savoir que la douleur ne les atteint pas ? Pathétique.

    D'un geste sec, elle retira la lame, désarmant du même geste son propriétaire.

    - Décidemment, je devrais me reconvertir dans le vol d'armes...
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  • Mar 4 Avr - 13:20
    En hauteur, un individu particulier admirait l'agitation se déroulant dans les rues. C'était étrange d'ailleurs. Qu'est ce qui pouvait bien causer une telle agitation en cet après-midi? Quel drame était en train de se dérouler? Quel innocent allait gratifier l'après-midi de ses complaintes? Lacause de l'agitation l'indifférait royalement ceci dit. Halewyn n'avait pas l'intention de descendre fairela papote. Dumoins jusqu'à ce qu'une cornue ne tourne un coin de rue et ne se fige devant le groupe armé qui est quand même loin. Puis tourne les talonspour passer par une ruelle, cela aurait pu en rester là et Halewyn de reprendre son visionnement de drame en préparation si deux silhouettes sombres n'avait pas traversé la rue sur ses talons.

    Tıens tiens tiens.... Ca semble bien louche tout cela. Aussi bien surveiller.. Si ils la rossent un peu et la volent, il n'y aura pas de quoi fouetter un chat. Si ils tentent autre chose, cela fait bien longtemps qu'iel ne s'est pas dégourdit contre des blasphémateurs... Un éclair noir passa d'un toit à autre.

    *****

    Ca n'augurait rien de mangeable

    Pensa en félin en descendant de facon surnaturelle au détour de la ruelle, iel ressentait un appétit atroce,même pour iel. Ce genre d'émotions lui retournait l'estomac. Non pas la peur, la terreur ni la souffrance, non ca c'était toujours délectable. Mais l'atroce concupiscence épicée du désir de domination sur une victime non consentante était liitéralement dégoutante. Tout est permis quan la partie adverse veut, et celle là,la magnifique cornue, n'avait strictement rien demandé. Même un démon a un code moral voyez vous?

    De plus, iel avait un faible pour les cornus. C'était comme les chats en fait. Vivre son éternité entouré des uns et des autre serait un véritable paradis. Tiens, ca lui donne l'idée de qui chercher comme troisième épouse... Mais Halewyn s'égare, revenons à nos moutons.

    La truffe se leva quand iel senti l'odeur inimitable du sang, les oreilles noires se couchèrent d'aise quand iel reconnu la voix de Kilanna bravant l'agresseur et cela lui fit dévoiler les crocs en un sourire réjouit et lui fit trottiner le coin à pattes de velour, dévoilant la scène ...

    Un homme lui tournait le dos, cherchant manifestement à fuir l'hybride qui protégeait la cornue, le bras en sang et les ailes fièrements ouvertes en une posture de défi, la cornue appuyée au mur et manifestement dans tout ses états.

    Coucou... oups... euh... Greuh!!!!

    Gronda la bête d'une facon étrangement articulée et réjouie, attirant l'attention du trio. Une magnifique panthère noire au pelage luisant de santé, aux yeux rubis et aux crocs bien en évidences dans un rictus menacant juste avant de sauter sur l'homme à moitié retourné. Avec un plaisir non feint, les griffes s'enfoncèrent dans la chair du malheureux tandis que la grande gueule se referma sur le cou, coupant net son cri de terreur.

    Avec un plaisir non dissimulé qui lui fit tendre la queue (la vraie, pas l'autre) Halewyn savoura ce sang mortel.

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  • Mer 5 Avr - 14:25
    Je vis une forme tomber du ciel. L’homme me lâcha alors subitement, et en tombant je me cognai la tête contre le mur. Et je vis l’homme s’effondrer au sol, révélant une femme ailée, dague ensanglantée au poing, dont le bras se tacha de sang quand la lame de l’autre homme se ficha dedans. Elle garda le contrôle de la situation, désarmant d’un geste son adversaire. Celui-ci eut à peine le temps de comprendre ce qu’il lui arrivait qu’il se faisait déchiqueter la gorge par une panthère… qui avait parlé ?
    À terre, je manquais d’air. Cette personne et sa bête m’avaient pourtant sauvé la vie, mais rien n’y faisait, j’étais encore sous le choc. Je tentais de respirer à grands coups quand j’entendis une voix familière, qui me coupa le souffle net. Tagar Reys arrivait sur les lieux, accompagné de beaucoup trop de personnes armées.
    Je tournais la tête vers lui, respirant très difficilement mais de plus en plus amplement, jusqu’à fondre en larmes en le voyant approcher. Je me recroquevillait en position fœtale, restant là à pleurer ma peur qui refusait de s’évacuer à cause de la présence du contrôleur royal, qui était entre temps devenu Coeur, donc d’autant plus dangereux.
    Je n’était pas en état de parler à Tagar Reys, et je ne voulais pas rester ici au milieux de ces deux cadavres dans une ruelle que je connaissais mal et qui était visiblement le territoire de gens peu recommandables. J’amorçai donc un mouvement sur le côté opposé à Tagar Reys pour tenter de me relever, toujours en larmes et les membres ankylosés et tremblants, alors que des bras féminins me prenaient par la main et la taille pour m’aider. Tendrement elle me releva et dans un souffle mal articulé je la remerciai, toujours essayant de me calmer.
    J’avais envie de fondre en larmes dans les bras de Rachelle, mais celle-ci n’était pas là et Tagar Reys me toisait de son regard de vipère. Je ne voulais pas avoir l’air faible en sa présence malsaine – non, Rachelle m’assurait qu’il n’était pas méchant et je devais lui faire confiance – alors je me dressait de toute la hauteur dont j’étais capable, ce qui n’était pas grand-chose, et tenta de le saluer d’un simple, mal articulé, mal vocalisé :

    Monsieur Reys.

    Et puis je baissai la tête pour le saluer en reculant difficilement pour prendre congé, accompagnée de la femme ailée qui m’aidait toujours à tenir debout.
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  • Mer 5 Avr - 16:45
    Une ombre et le deuxième bandit rejoignit son camarade au sol. Pendant un moment, elle ne put rien dire, les yeux écarquillés. Et puis, l'animal avait parlé... Avait-elle raté quelque chose ? Attendez... Cette voix... Quelque chose lui disait qu'elle la connaissait...

    Soudain, une voix l'interrompit. Encore une fois, c'était une voix qu'elle connaissait. Elle réprima un frisson, alors qu'elle n'osait pas encore se retourner, le regard toujours plongé dans celui de la panthère, comme y cherchant du soutien. Et, que ce soit du fait de l'animal ou non, elle fut soudain prise d'une inspiration. S'approchant du félin, ce fut en posant une main faussement ferme sur son encolure qu'elle fit enfin face au ministre.

    - Il se passe que je ne pouvait pas rester les bras croisés face à un agression. Même si je n'aurais peut-être pas dû emmener mon familier, tout est parti trop loin à cause de lui... Voyez-vous, je passe mon temps à lui demander de réfréner ses ardeurs en ville...

    Elle soupira.

    - Enfin, je le savais. Les félins n'obéissent qu'à eux-mêmes.

    Avait-elle été assez convaincante ? Sa petite comédie suffirait-elle ? Quoi qu'il en soit, la femme semblait avoir du mal à se relever. Ignorant immédiatement les deux autres, elle se porta à son secours.

    - Attendez, laissez-moi vous aider.

    Puis elle se contenta de la soutenir. C'était l'étrangère qui décidait de la direction que prenait leur duo. Néanmoins, Kilanna ne put s'empêcher de remarquer qu'elles s'éloignaient de son ancienne cible... Et Kilanna ne pouvait se mentir : cela la soulageait.
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  • Mer 5 Avr - 22:15
    Le bruit de multiples bottes qui arrivent de leur coté fait lâcher prise au fauve qui relâche sa prise pour mieux se lécher consciensieusement la truffe pour ne perdre aucune gouttes du liquide chaud. Prenant place, confortablement sur le coussin chaud et sanguinolent qui bouge encore un peu sous les étincelles de vie qui se rebellent encore, il se mit à se nettoyer les griffes avec méthode, affichant une détente complètement inappropriée chez un félin de cette taille.

    Les grands yeux rubis se levèrent avec l'air de la plus parfaite innocence devant l'attroupement lui faisant face, le gros chat arrêtant ce qu'il faisait quelques longues secondes, oreilles bien droites et vibrisses frémissantes sous ce qui pourrait s'apparenter à un sourire qui lui dévoile les crocs du haut. ŀes pierres précieuses de sesiris brillant surnaturellement d'un éclat hilare.

    Du moins jusqu'à ce qu'un bruit n'attire son attention et ne fasse pivoter une de ses grandes oreilles duveteuses. Sous la main de la jeune femme se hérissa un instant le poil avant de s'aplatir. Le même calme bien connu s'élevait de l'animal qui se dégagea pour aller frotter son flanc sur la belle cornue, une fois, deux fois et trois fois, lui instillant silencieusement un certain calme le temps que Kılanna ne finisse sa diatribe.

    Quand Marceline se reprit et manifesta le désir de se lever, les deux partenaires de théâtre échangèrent leur place, la panthère  revenant entre les deux groupes avant de se cambrer en s'étirant de tout son long, toutes griffes dehors et baillant à s'en décrocher la mâchoire, révélant ses splendides crocs immaculés avant de reporter son attention sur Tagar. Le CØeur du Reike la reconnaitra t'il?


    Avec ce qui s'apparente à un sourire, il mit à se lécher l'autre grosse patte d'un air particulièrement nonchalant. Il détestait être sale.

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  • Sam 8 Avr - 9:43
    Tagar me salua poliment en retour et je tentai de prendre congé. Il nous dit que nous avons été très courageuses, la femme ailée et moi, mais je n’en avait cure. Je voulais juste rentrer chez moi. Des miliciens qui arrivaient interrompirent mon mouvement, interrogeant l’ignoble… interrogeant Tagar.

    —Monsieur le ministre ? Que faites-vous ici ?

    Il répondit qu’une de ses connaissances, c’est à dire moi, avait été attaquée et sauvée par la femme ailée et son familier. J’allais devoir être interrogée, comme l’indiqua la milicienne, alors que je voulais m’éloigner le plus rapidement possible de cet endroit et retrouver la sécurité de ma roulotte. Comble du désespoir, Tagar m’invita à le suivre dans un salon de thé tenu par son cousin, soi-disant pour me calmer du traumatisme de j’ai subi. Une invitation par le coeur en personne, je ne pouvais en aucun cas refuser.
    Le monstre convainquit la milicienne de nous laisser venir avec lui, notamment en la manipulant avec des promesses de chocolat, puis nous invita à le suivre. Contre tout ce que me hurlait mon âme, j’amorçai un mouvement dans sa direction, à pas lents car encore sous le choc, entraînant la femme qui m’avait sauvée avec moi, supposant qu’elle non plus ne pourrait pas se permettre de refuser.
    Nous avançâmes donc dans les ruelles d’Ikusa à mon rythme, et je me répétait intérieurement que j’allais retrouver Rachelle bientôt, que je devais affronter cette épreuve avec courage, que c’était fini et que je pouvais aller mieux. ce qui m’aida le plus étaient les visions d’une Rachelle épanouie et heureuse, que je faisait tourner dans ma tête. Elles m’apaisèrent si bien que lorsque nous arrivâmes à notre destination, j’arrivais à me tenir droite, j’avais séché mes larmes, et j’étais plus calme. Je pus même apprécier la richesse visuelle de l’endroit. J’étais toujours tendue, bien sûr – comment ne pas l’être quand on était entourée d’hommes et l’invitée d’un tel… – mais je pu lâcher celle qui m’aidait, la remerciant d’un sourire sincère et d’un « merci » doux. Et je regrettait aussitôt de l’avoir lâchée, car je me sentis de nouveau très vulnérable.
    Invité
    Invité
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  • Jeu 13 Avr - 13:47
    Elle retint un sourire face aux simagrées de l'animal. En effet, elle ne s'était pas trompée. Il s'agissait bien là de son étrange ami... Autrement dit, elle pouvait se concentrer sur autre chose. Il ne l'attaquerait pas dans le dos. Mais ce n'était pas aussi sûr pour le ministre face à elle. Quant à la femme... Elle avait besoin d'elle. La plus grande menace se trouvait là, au miieu des soldats... Etaient-ils même seulement nécessaires ?

    Elle ignora le compliment et suivit avec attention l'échange avec celle qui semblait être une militaire gradée. Encore des compliments... Elle grogna. Néanmoins, elle ne put empêcer l'homme de monter dans son estime quand il brava la procédure. Tiens donc. Etait-ce vraiment celui qui avait défendu le respect des règles la dernière fois qu'elle l'avai vu ? Quelque chose lui disait qu'il serait très intéressant d'enquêter un peu plus à son sujet...

    Cela aurait dû la pousser à accepter la proposition, mais quelque chose la retint. Halewyn. Elle l'avait fait passer pour son familier, c'était donc à elle de régler la question "gros chat dans un salon de thé".

    - Un instant. Je ne pense pas que les animaux soient acceptés, surtout de cette taille. Et il est hors de question que je l'abandonne ici.

    À voir ce qu'il dirait. Il n'était pas dit qu'elle ne prendrait pas ses responsabilités. Même si ces dernières étaient feintes.
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  • Ven 14 Avr - 18:35
    Méfiance, méfiance méfiance... La panthère laissa passer par sa truffe ce qui pourrait s'apparenter à un soupir las. IĿ va falloir y aller,parce qu'ils y seront encore l'an prochain il semblerait. Se remettant en mouvement, les muscles roulant sous la fourrure noire, l'animal alla se frotter amicalement sur le pantalon du coeur du Reike, avant de revenir et de répéter son manège avec Marceline et Kilanna, leur laissant à chacun leur dîme de poils sur leur vêtement... Que voulez-vous, c'était une période de mue et on ne pouvait pas tout avoir non plus.  Puis, connaissant le chemin, il se faufila parmis la milice, faisant exprès de jouer avec les nerfs de la milice avant de leur ouvrir le chemin...

    Sımplement parce qu'il y avait promesse de chocolat Tagarien... Ce qui ne se négligeait pas... D'ailleurs l'animal tourna le coin de la ruelle et disparu aux regards ébahits avant que, quelques secondes plus tard, une voix reconnaissable entre toute, douce comme un soupir, mais d'ou pointait une certaine impatience se fit entendre du groupe.

    -Le chocolat n'attend pas messieurs dames!!! Je suis Affamée donc je prend les devants et je nous réserve!!!!!


    Et effectivement, quand ils arrivèrent en vue, c'est une Halewyn fort réjouie qui sorti des lieux pour les acceuillir, éventail en main et grand sourire. En chhemise immaculée ouverte en un décolleté de bon goût sans être vulgaire, elle portait un corset de dentelle soulignant sa taille déjà surnaturellement fine ainsi que des pantalons de cuir entré dans des bottes montantes, le tout de la plus parfaite androgynité.

    Tagar Reys mon cher!
    Le salua t'elle en premier, selon le protocole en lui faisant la bise sur la joue comme le ferait une soeur. Ce qu'elle est par pacte... en quelque sorte Tu n'as pas tes soldats usuels?

    Quand elle se tourne vers Kilanna, cette dernière  ne peut que noter les différences subtiles de son anatomie mais bien là. Comme si elle avait la soeur jumelle du Halewyn partenaire de scène devant elle. L'oeil noir pétille de malice tandis que Dame Halewyn lui fait une bise semblable.

    Kilanna... Je suis ravie de te voir!!!! Tu m'as manquée tu sais?

    Puis de se tourner vers Marceline, lui faisant une révérence.

    Bonjour mademoiselle.On me nomme Halewyn Giovinetta Sampiero... Puis d'embrasser le groupe d'un regard sans ne serais ce que de parer du fait qu'elle était une panthère un peu plus tôt. Pardonnez ma grossièreté, mais je voulais m'assurer que nous pourrions discuter en toute tranquillité sans passer pour des êtres grossiers auprès de la clientèle. Si vous voulez bien me suivre, j'ai pris la liberté de commander un peu de tout.

    D'aileurs, avec prévenance pour la traumatisée, elle la prit par le bras et l'emmena avec elle pour l'installer à la table. Sa vulnérabilité était délectable.

    Laissez-moi vous servir moi même mademoiselle pour vous permettre de vous remettre de vos émotions...

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    Invité
    Invité
    Anonymous
  • Mer 26 Avr - 21:31
    La femme ailée grogna quand elle entendit les compliments que faisait la milicienne à l’intention de Tagar Reys, et je ne pouvais qu’approuver cette attitude envers ce monstre qu’était… Pense à Rachelle, elle l’aime bien, tu ne dois pas le détester, pensais-je pour interrompre les pensées qui m’assayaient. J’avais perdu l’animal de vue quand j’entendis une voix que je ne connaissais pas venir du coin de la rue, disant qu’elle allait réserver pour nous. Je ne m’en interrogeai pas plus que ça, trop occupée que j’étais à essayer de me calmer.
    Nous arrivâmes donc devant le fameux salon de thé, accueillis par une dame habillée avec élégance et étrangeté à la fois. Elle salua Tagar Reys en premier avec beaucoup de familiarité, ce qui me dérangeait au plus haut point. Je détournais les yeux.
    Elle salua également la femme qui m’avait sauvée, qui s’appelait donc Kilanna, avec la même affection, ce qui me rassura quelque peu, puis elle se tourna vers moi et me salua poliment. Je n’avais pas vu la panthère depuis que j’avais entendu la voix de cette dame. Était-elle donc métamorphe ? Soit. Je devais la remercier d’être intervenue aussi dans ce cas. Je commençai par me présenter simplement :

    —Marceline Cornebouc.

    Elle me prit ensuite par le bras, et dans ma tête tourbillonnait les questions quant à la confiance que je pouvais lui accorder. Elle était l’amie proche de Tagar Reys. Rachelle aussi, presque. Presque. Mais cette dame, qui avait aussi un peu des allures d’homme, n’était pas un homme. Elle était métamorphe, et pouvait donc prendre l’apparence de ce qu’elle voulait et m’amadouer ainsi.
    Je n’avais pas fini de me questionner que j’étais assise à la table, elle proposant de me servir. Je pris une grande inspiration pour me calmer, et décidai que je devais lui accorder un minimum de confiance, elle m’avait sauvé d’une agression elle aussi, et me traitait avec délicatesse depuis. Je devais pouvoir lui faire confiance, au moins un peu. Je me détendis autant que je le pouvais.
    Mais Tagar Reys m’adressa la parole. Ce qu’il dit était… étonnamment sensé et responsable. Aimable même. J’en mis un temps à répondre.

    —Je… vous remercie de cette attention. Nous devons nous revoir cependant, car je ne suis pas encore prête à vous dire ce que j’ai à vous dire. Rassurez-vous, je ne répéterai pas le scandale du festival, même pas en privé, mais c’est à propos de ça que je devrais m’entretenir avec vous, en présence de Rachelle bien entendu. J’espère que vous comprendrez.

    J’osais à peine boire mon thé, ce qui me faisait du bien malgré ma tension. J’espérais que l’officière arrive bientôt, que je puisse parler à ma tendre de ce qu’il m’étais arrivé… Avait-il parlé de me faire escorter ? Par deux hommes ?!

    —Avez-vous cependant des femmes pour m’escorter ? Je me sentirais plus à l’aise ainsi. J’espère que vous comprenez.

    Je lui révélait ainsi une de mes plus grandes faiblesses mais j’étais en pleine crise émotionnelle et je devais prendre soin de moi-même aussi.
    Invité
    Invité
    Anonymous
  • Jeu 27 Avr - 14:25
    Qu'est-ce que... Elle connaissait cette voix, évidemment. Mais pas cette apparence. Et lorsque la nouvelle venue la salua familèrement, mentionnant qu'elles se "revoyaient", elle recula.

    - Hum... On se connaît ?

    Néanmoins, elle se souvint que le ministre l'avait appelée Hale. Hale, Halewyn... Et si... ?

    - Seriez-vous une amie proche d'Halewyn ? Il paraît que ça se fait, de se donner des surnoms qui se ressemblent... Et dans ce cas, qu'est-ce qu'il vous a dit sur moi ? À tous les coups, il en a profité pour se moquer...

    En effet, ce n'était pas à elle qu'on apprendrait le caractère extrêmement taquin du démon. Etait-ce uniquement en sa présence qu'il se permettait de la taquiner ou le faisait-il aussi lorsqu'il parlait d'elle à ses proches ? Quoi qu'il en soit, elle ne tarderait pas à le savoir. Mais lorsqu'il se tourna vers l'inconnue... Elle s'étrangla.

    - Qu... Quoi ?! Mais où sont tes limites, sérieusement ?!

    Elle était presque certaine qu'il... Elle... Serait mort... Morte... de rire en l'entendant, mais peu importait. Il allait lui falloir des explications. Et le plus tôt serait le mieux. Il allait falloir régler des comptes. Et elle en eut bientôt l'occasion. En effet, le ministre et l'inconnue discutaient entre eux. Bien. Elle prit donc Halewyn à part :

    - Bon. Nous aussi, discutons un peu. Je pense que tu me dois des explications. Et, à la fin, c'est laquelle, ta vraie apparence ? Je suis perdue, moi !
    Invité
    Invité
    Anonymous
  • Dim 7 Mai - 18:01
    Oh, je suis presque toujours en déplacement pour un truc ou l'autre tu le sais... A vrai dire si tu n'avais pas changé d'escorte, je serais venue à ta rencontre bien avant! Du coup c'est correct sinon je n'aurais pas pu avoir prêté mon concours à mon amie Kilanna ici présent pour le sauvetage de mademoiselle Cornebouc.

    Sourit Halewyn en finissant de prendre place, le sourire ne s'estompant nullement devant l'évocation de ce ''scandale du festival'' Cré Tagar va!!! Il est toujours mêlé aux choses les plus improbables quand il s'agit de jupons et de femmes. De toute façon elle est confiante, il va certainement vouloir se justifier un peu plus tard, quand les deux femmes seront parties. D'une facon impeccable la dame aux cheveux carmins présente ses respects à la capitaine de la milice. Ce qui lui fait penser, par la bande, que le ministre Reikois des finances doit être fort aise d'une si charmante compagnie aujourd'hui. Mais c'est Kilanna qui recquiert soudainement toute son attention. Habituée d'être ingenrable, elle adopte toujours e genre avec lequel Tagar est le plus confortable. Et il va sans dire que a dame adore la variété dans sa penderie.

    Kilanna, Je ne me suis absoluement rien dit à ton sujet... J'admet que j'aime bien rire, que ce n'est pas toujours innocent mais aujourd'hui ce n'est pas le cas. Et pour mes limites, tout est dans le plaisir de la découverte ma chère.

    L'hybride, furieuse, tira légèrement sur la manche de sa redingote, lui faisant se pencher vers elle tout en gardant une oreille sur la conversation en cours et devient subitement atrocement sérieuse. C'est laquelle sa vraie apparence? Baissant le ton, elle lui murmure à l'oreille.

    -C'est une question intéressante Kılanna... Ais je sérieusement l'air si différente que lors de la pièce? Je porte mes vêtements favoris que tu as vu moult fois et tu ne m'a jamais demandé mon genre. Est ce qu'une paire de sein, aussi minime soit-elle, réussis à te leurrer? Parce que ce matin, je me ressemblait autant que tout les autres jours.


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