Invité
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-Il s'appelle Rak Targ. Trouve le, et peut être auras-tu une chance d'approcher la résistance.
Il devait être six heures du matin. Le soleil commençait à peine à afficher ses bordures au dessus des montagnes cachant l'horizon, et on pouvait entendre, hors des murs, des coqs commencer à hurler l'arrivé d'une nouvelle journée. A l'intérieur, en réponse, les chiens errants gueulaient, comme défiés par les volailles. Entre les deux, à quelques mètres à peine de la grande porte de la cité, deux hommes dialoguaient. L'un d'eux laissait flotter sa queue dans son dos, et avait les oreilles droites. Il écoutait calmement, non sans observer au loin les donzelles s'occupant du bain public commencer leur œuvre, faire chauffer l'eau, laver les bassines, transporter des sceaux... le tout relativement peu vêtues en raison de la chaleur écrasante qui, même sous la lueur de la lune, vous font étouffer. Cet observateur calme se nomme Konrad, et si vous lui demandez, il vous répondra qu'il y a quatre laiderons, treize passables, et deux apogées de l'humanité dans le lot. Si sa vue était distraite, son ouïe marchait relativement bien. Aussi demanda-t-il...
-C'est tout ? Un nom ? Je vais en chier à le retrouver dans une cité de dizaines de milliers de clampins.
L'autre, un vieillard en fin de carrière vêtu comme un paysan, mais n'en étant absolument pas un, agita sa tête de droite à gauche en signe de désaccord. Il avait les sourcils froncés, et était plus que fâché par la désinvolture de son jeune collègue. Mais bon... ils sont égaux, ce n'est pas à lui de lui faire la leçon. Que c'est triste d'ailleurs de pouvoir se dire l'égal d'un bâtard.
-J'ai pas fini. C'était un esclave employé dans l'arène il y a encore peu. Il a obtenu sa liberté lorsque l'impératrice a allégé les lois sur leur statut il y a peu, mais continue occasionnellement de mener des combats. Il se débrouille bien. Ses affrontements ont tendance à rameuter du monde, et il fait forte impression. En plus de ça, il prend presque la solde minimale. Les organisateurs n'hésitent pas trop à le conserver même si il coûte plus cher qu'un enchaîné. Et avec le blé qu'il se fait, il essaie d'acheter d'autres esclaves. Il prend les plus forts du lot, et les envoie on ne sait où. On pense qu'il recrute des guerriers plus talentueux que les pécores abrutis par l'ancienne couronne pour le compte de quelques groupuscules hostiles à nos majestés. Il estimerait que notre impératrice n'est pas assez loin dans ses réformes sur l'esclavagisme. Enfin, il loge toujours pas loin de son ancienne demeure, même si j'ai pas l'adresse précise.
-D'acc, je vous confirmerais tout ça.
Le bâtard entre le fauve et l'Homme se relève de toute sa hauteur. Sa tunique violette à laquelle est attachée brillante ceinture métallique est un peu froissée. A son bassin sont attachées des lanières de cuir, tenant deux étuis contenant un couteau de lancer chacun. Le bougre attrape son capuchon, le rabat sur sa tête, masquant ses oreilles. Sa jambe droite s'envoie en avant, et il entame une bonne marche vers "l'ancienne demeure" de sa proie: l'arène. Il arrive bien vite face à celle-ci. A cette heure, les combattants s'entraînent. Il n'y a ni public, ni droit d'accès. Juste un binôme de gardes devant la porte qui sont chargés d'ouvrir aux connards ayant un droit de passage, et refuser aimablement l'entrée aux inconnus. Chose qu'ils font très professionnellement à l'arrivé du blondinet... Attendez... blondinet ? Konrad est blond ? Non ? Blond, aux yeux d'ambre ? Non toujours pas ? Et il a une mâchoire carrée et est un peu petit et épais ? Non ? Bon... c'est fou ce qu'on peut faire avec la métamorphose, hein ? Bien entendu, on ne se pointe jamais avec son vrai visage quand on veut des informations. Mais revenons en à nos respectueux gardiens...
-L'arène est fermée jusqu'à midi. Bougez.
-Nan mais moi je veux juste une information.
-Les informateurs ne seront pas là avant midi, bougez.
-C'est juste à propos d'un gladiateur.
-Les gladiateurs ne seront pas là avant midi, bougez.
-Mais merde écoutez moi ! C'est à propos de Rak Targ, un gladiateur d'ici !
Le second garde... pouffa de rire ? Ouai. Ce con s'est mis à se marrer.
-Quoi ? J'ai dit un truc ?
-C'est pas comme ça que ça se prononce.
-Ah bon ?
-Tout le monde le connait ici.
-Sans déconner ? On parle bien du même, hein ? Le gars qui a été affranchi.
-Ouai ouai. Il habite toujours dans le coin d'ailleurs.
-Ah ! On parle bien du même ! Où que je le trouve ?
L'un des deux bougres pointa doucement du doigt une demeure qu'on apercevait à peine de l'entrée, mais tout de même visible.
-Je sais pas si il est chez lui, là... Si ça se trouve il était encore occupé cette nuit.
-Parfait, merci messieurs !
Sans hésiter, l'hybride approcha la demeure. La façade de cette dernière était fort originale. On n'aurait pas dit une maison. La porte lourde et bien protégée, la forme générale, l'absence de fenêtres sans barreaux... on dirait un peu un entrepôt. La queue et les oreilles de l'hybride sont alors rendues invisibles par la métamorphose. Il approche, frappe par trois fois sur la porte, et attend... Mais rien ne se fait entendre. Ce charmant "Brak" devait travailler de nuit et n'était pas encore rentré.
-Parfait ! On gagne du temps~
Calmement, l'espion fit le tour de l'édifice. Initialement, il espérait trouver une porte arrière dont il pourrait faire sauter la serrure à grands coups de caillasse ou de pommeau. Mais au lieu de ça, il vit une tuile mal fixée sur le toit. C'eut été trop haut pour monter d'un bond, même avec les jambes musculeuse de notre joyeux connard... mais la toiture du bâtiment voisin est proche, et il serait aisé de bondir de l'un à l'autre. Or, la maison voisine a plusieurs fenêtres, est faite de pierres irrégulières... En escalader la façade sera parfaitement faisable. L'espion grimpe donc, arrive sur le toit, bondit sur celui de la demeure de sa cible, et approche la tuile. Elle est lourde, d'où le fait qu'aucun coup de vent violent ne l'ait fait choir. Mais en y allant à deux mains, l'espion parvient à la soulever. Il y a juste une poutre en dessous, et il doit soulever les deux au dessus aussi pour finalement trouver un passage par lequel il peut s'engouffrer, entre deux larges planches. Il s'y engouffre, sans replacer lesdites tuiles. De toute façon, ça ne se voit presque pas depuis la rue, et ça fera un échappatoire relativement rapide.
En descendant, le gaillard constate que c'est une pièce unique. Une grosse pièce qui sert de piaule, mais une seule pièce. Le bougre craque ses doigts, approche le premier meuble venu... et là il regarde partout ! Dessus, dessous, dedans, derrière ! N'importe quelle lettre attestant la moindre suspicion lui donnerait l'assurance qu'il ne perd pas son temps. Le bougre remodèle un peu son visage, raccourcit ses cheveux, tout en cherchant. Et disons le, il ne lésine pas. Si il faut vider le pot de chambre du gars, certes ! Si il faut mettre les deux mains dans ses slibards, alors mettons y les deux mains ! La fouille pourra aisément prendre des dizaines de minutes selon le point auquel est meublée la piaule.
Il devait être six heures du matin. Le soleil commençait à peine à afficher ses bordures au dessus des montagnes cachant l'horizon, et on pouvait entendre, hors des murs, des coqs commencer à hurler l'arrivé d'une nouvelle journée. A l'intérieur, en réponse, les chiens errants gueulaient, comme défiés par les volailles. Entre les deux, à quelques mètres à peine de la grande porte de la cité, deux hommes dialoguaient. L'un d'eux laissait flotter sa queue dans son dos, et avait les oreilles droites. Il écoutait calmement, non sans observer au loin les donzelles s'occupant du bain public commencer leur œuvre, faire chauffer l'eau, laver les bassines, transporter des sceaux... le tout relativement peu vêtues en raison de la chaleur écrasante qui, même sous la lueur de la lune, vous font étouffer. Cet observateur calme se nomme Konrad, et si vous lui demandez, il vous répondra qu'il y a quatre laiderons, treize passables, et deux apogées de l'humanité dans le lot. Si sa vue était distraite, son ouïe marchait relativement bien. Aussi demanda-t-il...
-C'est tout ? Un nom ? Je vais en chier à le retrouver dans une cité de dizaines de milliers de clampins.
L'autre, un vieillard en fin de carrière vêtu comme un paysan, mais n'en étant absolument pas un, agita sa tête de droite à gauche en signe de désaccord. Il avait les sourcils froncés, et était plus que fâché par la désinvolture de son jeune collègue. Mais bon... ils sont égaux, ce n'est pas à lui de lui faire la leçon. Que c'est triste d'ailleurs de pouvoir se dire l'égal d'un bâtard.
-J'ai pas fini. C'était un esclave employé dans l'arène il y a encore peu. Il a obtenu sa liberté lorsque l'impératrice a allégé les lois sur leur statut il y a peu, mais continue occasionnellement de mener des combats. Il se débrouille bien. Ses affrontements ont tendance à rameuter du monde, et il fait forte impression. En plus de ça, il prend presque la solde minimale. Les organisateurs n'hésitent pas trop à le conserver même si il coûte plus cher qu'un enchaîné. Et avec le blé qu'il se fait, il essaie d'acheter d'autres esclaves. Il prend les plus forts du lot, et les envoie on ne sait où. On pense qu'il recrute des guerriers plus talentueux que les pécores abrutis par l'ancienne couronne pour le compte de quelques groupuscules hostiles à nos majestés. Il estimerait que notre impératrice n'est pas assez loin dans ses réformes sur l'esclavagisme. Enfin, il loge toujours pas loin de son ancienne demeure, même si j'ai pas l'adresse précise.
-D'acc, je vous confirmerais tout ça.
Le bâtard entre le fauve et l'Homme se relève de toute sa hauteur. Sa tunique violette à laquelle est attachée brillante ceinture métallique est un peu froissée. A son bassin sont attachées des lanières de cuir, tenant deux étuis contenant un couteau de lancer chacun. Le bougre attrape son capuchon, le rabat sur sa tête, masquant ses oreilles. Sa jambe droite s'envoie en avant, et il entame une bonne marche vers "l'ancienne demeure" de sa proie: l'arène. Il arrive bien vite face à celle-ci. A cette heure, les combattants s'entraînent. Il n'y a ni public, ni droit d'accès. Juste un binôme de gardes devant la porte qui sont chargés d'ouvrir aux connards ayant un droit de passage, et refuser aimablement l'entrée aux inconnus. Chose qu'ils font très professionnellement à l'arrivé du blondinet... Attendez... blondinet ? Konrad est blond ? Non ? Blond, aux yeux d'ambre ? Non toujours pas ? Et il a une mâchoire carrée et est un peu petit et épais ? Non ? Bon... c'est fou ce qu'on peut faire avec la métamorphose, hein ? Bien entendu, on ne se pointe jamais avec son vrai visage quand on veut des informations. Mais revenons en à nos respectueux gardiens...
-L'arène est fermée jusqu'à midi. Bougez.
-Nan mais moi je veux juste une information.
-Les informateurs ne seront pas là avant midi, bougez.
-C'est juste à propos d'un gladiateur.
-Les gladiateurs ne seront pas là avant midi, bougez.
-Mais merde écoutez moi ! C'est à propos de Rak Targ, un gladiateur d'ici !
Le second garde... pouffa de rire ? Ouai. Ce con s'est mis à se marrer.
-Quoi ? J'ai dit un truc ?
-C'est pas comme ça que ça se prononce.
-Ah bon ?
-Tout le monde le connait ici.
-Sans déconner ? On parle bien du même, hein ? Le gars qui a été affranchi.
-Ouai ouai. Il habite toujours dans le coin d'ailleurs.
-Ah ! On parle bien du même ! Où que je le trouve ?
L'un des deux bougres pointa doucement du doigt une demeure qu'on apercevait à peine de l'entrée, mais tout de même visible.
-Je sais pas si il est chez lui, là... Si ça se trouve il était encore occupé cette nuit.
-Parfait, merci messieurs !
Sans hésiter, l'hybride approcha la demeure. La façade de cette dernière était fort originale. On n'aurait pas dit une maison. La porte lourde et bien protégée, la forme générale, l'absence de fenêtres sans barreaux... on dirait un peu un entrepôt. La queue et les oreilles de l'hybride sont alors rendues invisibles par la métamorphose. Il approche, frappe par trois fois sur la porte, et attend... Mais rien ne se fait entendre. Ce charmant "Brak" devait travailler de nuit et n'était pas encore rentré.
-Parfait ! On gagne du temps~
Calmement, l'espion fit le tour de l'édifice. Initialement, il espérait trouver une porte arrière dont il pourrait faire sauter la serrure à grands coups de caillasse ou de pommeau. Mais au lieu de ça, il vit une tuile mal fixée sur le toit. C'eut été trop haut pour monter d'un bond, même avec les jambes musculeuse de notre joyeux connard... mais la toiture du bâtiment voisin est proche, et il serait aisé de bondir de l'un à l'autre. Or, la maison voisine a plusieurs fenêtres, est faite de pierres irrégulières... En escalader la façade sera parfaitement faisable. L'espion grimpe donc, arrive sur le toit, bondit sur celui de la demeure de sa cible, et approche la tuile. Elle est lourde, d'où le fait qu'aucun coup de vent violent ne l'ait fait choir. Mais en y allant à deux mains, l'espion parvient à la soulever. Il y a juste une poutre en dessous, et il doit soulever les deux au dessus aussi pour finalement trouver un passage par lequel il peut s'engouffrer, entre deux larges planches. Il s'y engouffre, sans replacer lesdites tuiles. De toute façon, ça ne se voit presque pas depuis la rue, et ça fera un échappatoire relativement rapide.
En descendant, le gaillard constate que c'est une pièce unique. Une grosse pièce qui sert de piaule, mais une seule pièce. Le bougre craque ses doigts, approche le premier meuble venu... et là il regarde partout ! Dessus, dessous, dedans, derrière ! N'importe quelle lettre attestant la moindre suspicion lui donnerait l'assurance qu'il ne perd pas son temps. Le bougre remodèle un peu son visage, raccourcit ses cheveux, tout en cherchant. Et disons le, il ne lésine pas. Si il faut vider le pot de chambre du gars, certes ! Si il faut mettre les deux mains dans ses slibards, alors mettons y les deux mains ! La fouille pourra aisément prendre des dizaines de minutes selon le point auquel est meublée la piaule.
Noble du Reike
Brak'Trarg
Messages : 429
crédits : 2149
crédits : 2149
Info personnage
Race: Oni/Drakyn
Vocation: Guerrier - Combattant
Alignement: Chaotique Bon
Rang: B - Garde royal
rien en vaux un bon entrainement sur le sable de l'arène avec ses poto gladiateur, de bon amtin ça vous remet en forme un Brak'Trarg en moins de deux, surtout si cela est suivit d'un bonne colation tonique et energisante de blanc de poulet, blancs d'oeufs et boison energisante. devant entamer son service au palis seulement dans trois heures, Brak'Trarg avait el temps de reppasser par sa piaule a coté de l'arène vériffier ses armes et netoyer un petit coups son armure avant d'entamer son service auprès de Tensai.
arrivé en vue de sa porte Brak'Trarg reppensait a ses pérégrination et l'arrachage de cheveux de l'agent imobilier pour lui trouve run logement et que c'est finalemet le maitre d'arèe qui l'avazit dépané en lui louant le viel entrepot d'amres et armures des gladiateurs en face de cette dernière et qui était inutilisé depuis quelques temps. l'entrepots en pierre massives était une vraie fpetite forteresse à la grande porte massive et fenêtre munie de bareaux. Sortant sa clé, Brak ouvrit en gran dla porte d'une main avant de la refermer derière lui et de la refermer à clef et enfin se retourne rpour profiter de son nid un petit moment tout en netoyant ses armes. Sauf que ...
que queolque chose n'allait pas son armoire était ouverte sa p,ache de glisseur de vague avait bougé et d'autre objets dan sla piaule qui semblait avoir légerment bougé et que la vue surhumaine de Brak'Trag ne trompait pas. et justement ça bougeait derière sa pnche de glisseur .
Ni une ni deux empoignant Crackpum de sa paluche droite Brak activa tout ses ens surhumain pour debusquer l'intru qui farfou_illait ses affaire surment un fan acharné pensait à cette heure Brak mais quoi qu'il en soit il apprendrait ce que ca coute de fouiller chez les gens. tranversant l'entrepot de trois pas c'est sans ménagement que Brak attrperait par le col l'intru et le fit monter a auteur de son visage a bout de bras le marteau dans l'autre main près de son visage affin qu'il lui explique son audace.
"Grumpf montre toi et rend intru, ou je te jure que tu finira en bouillie écrasé au marteau "
Dit Brak'Trag avec colère et brutalité, pour initmidé l'intru et l'obligé a se rendre plutôt que lui faire du vilain. Bien sur Brak'Trarg ne lui ferait pas vrament mal c'est juste du bluf il se contenterait de le livrer à la garde après que l'intru se soit expliqué et rendu jusque au dernier objets qu'i lui avait prit.
arrivé en vue de sa porte Brak'Trarg reppensait a ses pérégrination et l'arrachage de cheveux de l'agent imobilier pour lui trouve run logement et que c'est finalemet le maitre d'arèe qui l'avazit dépané en lui louant le viel entrepot d'amres et armures des gladiateurs en face de cette dernière et qui était inutilisé depuis quelques temps. l'entrepots en pierre massives était une vraie fpetite forteresse à la grande porte massive et fenêtre munie de bareaux. Sortant sa clé, Brak ouvrit en gran dla porte d'une main avant de la refermer derière lui et de la refermer à clef et enfin se retourne rpour profiter de son nid un petit moment tout en netoyant ses armes. Sauf que ...
que queolque chose n'allait pas son armoire était ouverte sa p,ache de glisseur de vague avait bougé et d'autre objets dan sla piaule qui semblait avoir légerment bougé et que la vue surhumaine de Brak'Trag ne trompait pas. et justement ça bougeait derière sa pnche de glisseur .
Ni une ni deux empoignant Crackpum de sa paluche droite Brak activa tout ses ens surhumain pour debusquer l'intru qui farfou_illait ses affaire surment un fan acharné pensait à cette heure Brak mais quoi qu'il en soit il apprendrait ce que ca coute de fouiller chez les gens. tranversant l'entrepot de trois pas c'est sans ménagement que Brak attrperait par le col l'intru et le fit monter a auteur de son visage a bout de bras le marteau dans l'autre main près de son visage affin qu'il lui explique son audace.
"Grumpf montre toi et rend intru, ou je te jure que tu finira en bouillie écrasé au marteau "
Dit Brak'Trag avec colère et brutalité, pour initmidé l'intru et l'obligé a se rendre plutôt que lui faire du vilain. Bien sur Brak'Trarg ne lui ferait pas vrament mal c'est juste du bluf il se contenterait de le livrer à la garde après que l'intru se soit expliqué et rendu jusque au dernier objets qu'i lui avait prit.
- bonus description détaillé de la piaule de Brak'Trarg:
DU fait de sa taille hors norme Brak'Trag loge dans un ancien entrepot ou tout les obets et meubles sont format géant pour corespondre à Brak et sa taille, le logis est en une seulle et unique pièce y pas de cuisine ou de salle de bain car Brak use des bains public /vestiaire de l'arène / ou de la caserne des gardes roayals pour cela. idem pour la mangeaille. l'ambiance génarel de la pièce est celle d'une chambre d'ado étudiant ou l'ordi et chaine hifi serait remplacé par des haltères barre a disque et bare de traction. il y un rack d'arme et trois manequin surport pour les armures dont deux des armures de brak posé dessus (puisque il n'en porte q'une à la fois ^^ ) tandis qu'il a ses 4 armes sur lui XD. une planche de glissueur de vague (surf) a la taille de brak est posé près du nid. il n'y a pas vraiment de lit mais plus un couchage au sol rond comme un nid avec oreiller et couverture de la taille d'un petit dragon (de 3m42 ^^ ). un dragon en peluche traine parmi les oreiller. juste a coté du nid on toruve un panier en osier remplit de grans nonos jouet pour grand chien a machouiller présentant des traces de machouillage et de crocs de Brak (il adore machouiller les os et a toujours un os a machouille sur lui en cas d'envie subite de machouillage ). En dehors des support d'armures il y une armoire géante avec miroir remplie de vêtement de surf, de musculation, il y a seulement une ou deux tenue normale, et une grande collection de slip de bodybuildeur pour les concours de muscu et pose musculaire ^^. l'on retrouve une bibliothèque remplie a craquer de livre, chroniques et sagas illustré, sur les aventure des dragons, des gladiateur et surtout la collection complette des aventures de Grognak le barbare le héro barbare fictif ecrit pour les jeunes enfant et ado. Les murs sont recouvert de dessin de gladiateur dragons et barbares (les dessin de grognak ocupe une bonne place) une banière du clan boros est acroché près du nid de brak. il n'y a pas de bureu ni de quoi ecrire dans la piaule (brak ne sait pas ecrire ) (il y aussi des étage bouré a craqué de peluche figurine de grognak, dragons, et autre guerriers et gladiateurs célèbre ) il y un mur entier revouvert détagère et affiche retraçant la carière et trophé de Brak dans l'arène.
- voix et thème de Brak'Trarg:
la voix
le thème
- Bric à Brak (inventaire de Brak'Trarg:
ses armes
brise crane
marteau lourd de combat que Brak'Trag utilise tout les jours avec crackpum
crackpum
marteau lourd de combat que Brak'Trarg utilise tout les jours avec brisecrane
marteau titan
marteau lourd que brak porte toujours avec son armure nlourde en justice solide mais utilise moins souvent que ses deux autres fidèles marteaux
titan's slayler
lame en phontacier, épée géante que brak utilise pour les grandes bastons ou face aux groupe d'ennemi a bastoner en corps à corps
Drakny
épée géante Dragon masculine et très virile en bronze divin que Brak aime bien utiliser sur ses ennemis
Brak l'a recu en récompense de la batailel contre les vilains zombis et monstre ayant attaquer sable d'or.
ses armures
armure lourde de créature d'élite
armure en justice solide que Brak'Trarg porte habituellement
armure de créature gladiateur
armure de gladiateur de Brak'Trarg quan dil était dan sl'arène et qu'il remet quand il y va en spectateur ou a certaines autre ocasion
armure de guerrier élite Reikois
armure que Brak'Trrag a reçu pour son diplome de guerrier d'élite
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La recherche commençait à se faire longue. L'espion passait tout au peigne fin, mais malheureusement, il n'y avait rien. Pas une lettre, pas un signe de la résistance, même pas une petite poupée vaudou à l'effigie de l'Empereur transpercée, brûlée, tordue par de musculeux poings, et dépecée à petit feu... non, il n'y avait rien ! Il y avait alors deux solutions. Soit la cible de notre professionnel était un expert, un sage parmi les sages, un paranoïaque qui sait cacher les preuves ! Oh, comme Konrad déteste les paranoïaques ! C'est toujours une galère monstrueuse de les prendre par surprise ! Et Tyran a beau mentir comme le dieu du foutage de gueule, ils sont toujours suspicieux !... Enfin soit ça, soit les pauvres cons qui ont refilé la mission à l'agent se sont plantés, et il est en train de farfouiller la barraque d'un gentil petit citoyen ayant récemment été affranchi. Le gaillard se relève alors. Dans la salle sombre, il commence à faire les cent pas, et murmure ses réflexions à haute voix...
-Bon... Rien dans ses affaires. Je vais devoir essayer de le faire parler de vive voix... Le torturer ?... Nan, si c'est un ancien gladiateur autant la jouer tantouze. Ce serait con qu'il me fasse bouffer ma jugula...
"cling". C'est à peu près le son métallique qu'a entendu l'espion avant de finir de dire des conneries. Sa nuque se raidit, son regard se redresse, et sa tête se tourne vers la grande porte principale. Il n'en est pas certain, mais il suppose que ce "cling", c'était le son d'un trousseau de clé que quelqu'un vient de secouer.
-C'est mon imaginat...
"Clock", c'est en onomatopée à peu près le son que fait une clé qu'on rentre dans sa serrure, les deux étant massives. Comprenant que finalement, son imagination n'était guère débordante, le jeunot fonça vers son point d'entrée. Ce n'est pas une affaire très compliquée. Il saute sur une poutre de fixation, et de là il pourra vivement escalader les planches décrépies jusqu'au toit où il a retiré une tuile. Il bondit, lève les bras vers la poutre... puis retombe. Il reste comme un con, recommence... Il semblerait que Konrad ait oublié un défaut dans son plan. La poutre est très légèrement trop haute pour ses talents de sauteur. Entendant que la serrure se rétracte, et devinant que la porte va s'ouvrir dans approximativement une seconde et demi, le bestial bondit dans l'espèce de "lit" de l'autochtone, non sans murmurer de tout son cœur contrarié...
-Mais quel con !
Le bougre parvient à s'engouffrer sous quelques coussins à la seconde où la lumière de l'extérieur pénètre dans la grande salle, par la porte s'ouvrant. De son œil caché sous sa moelleuse planque, l'espion observe l'ombre du gladiateur qui entre. L'esprit du fourbe tourne à plein régime. Pour peu que le guerrier ne décide pas de s'allonger dans son nid, ça se passera bien. Il n'est pas trop tard pour s'éclipser. Ce plan... tombe à l'eau lorsque la voix roque du casseur d'ambiance résonne, annonçant qu'il sait que l'espion est là. Le pauvre Konrad réfléchit alors. Que dire ?! Que faire ?! Que penser ?! Comment ne pas s'en prendre une ? Doucement, le bougre glisse ses doigts jusqu'aux couteaux de lancer attachés à son bassin. C'est alors qu'un coussin au-dessus de lui se fait soulever, révélant le gladiateur. Là, une pensée sort à voix haute du petit Reikois...
-Qu... Mais vous êtes énorme !
La paluche non armée du colosse saisit au col le petiot, et comme promis, le métamorphe est soulevé comme un pauvre verre d'eau. Au moins, les traits du visage de Konrad ont changé, et ses cheveux sont raccourcis. Même si cette affaire tourne vraiment mal, l'espion n'aura qu'à revenir avec un visage différent. Tout ce qu'il faut faire maintenant, c'est ne pas mourir ! Il lâche instantanément ses armes qu'il n'avait même pas fini de dégainer, et montre ses paumes pour se faire aussi peu dangereux que possible. Aussi vite que possible, le menteur va donc tenter d'apaiser son interlocuteur...
-ATTENDEZ, ATTENDEZ, ATTENDEZ ! Me butez pas ! Y'a un malentendu ! Je suis venu vous parler !
Ce qui est particulièrement gros quand on y pense, mais de toute façon, le géant vert n'aura pas le temps de répondre à ça vu que le petiot enchaîne à la vitesse de l'éclair sur LE mensonge. Le mensonge auquel il a réfléchis ! Le mensonge qui va adoucir cet interlocuteur à coup sûr ! Y'a aucun moyen que ça marche pas !
-C'est... C'est à propos de l'Empereur !
Après tout... Konrad parle à un rebelle. Ce n'est pas très compliqué d'adoucir des résistants stupides ! Surtout un pauvre gladiateur sans cervelle !
-Je suis Serv Melliem, messager d'un réseau de résistance à l'est de l'Empire. On m'a missionné de te rallier... pour faire la peau à la couronne ! On a un plan mec ! On a une chance !
Comment ça pourrait mal tourner ? Le petit Konrad a même une pensée qui lui vient à l'esprit...
[Putain je suis un génie !]
-Bon... Rien dans ses affaires. Je vais devoir essayer de le faire parler de vive voix... Le torturer ?... Nan, si c'est un ancien gladiateur autant la jouer tantouze. Ce serait con qu'il me fasse bouffer ma jugula...
"cling". C'est à peu près le son métallique qu'a entendu l'espion avant de finir de dire des conneries. Sa nuque se raidit, son regard se redresse, et sa tête se tourne vers la grande porte principale. Il n'en est pas certain, mais il suppose que ce "cling", c'était le son d'un trousseau de clé que quelqu'un vient de secouer.
-C'est mon imaginat...
"Clock", c'est en onomatopée à peu près le son que fait une clé qu'on rentre dans sa serrure, les deux étant massives. Comprenant que finalement, son imagination n'était guère débordante, le jeunot fonça vers son point d'entrée. Ce n'est pas une affaire très compliquée. Il saute sur une poutre de fixation, et de là il pourra vivement escalader les planches décrépies jusqu'au toit où il a retiré une tuile. Il bondit, lève les bras vers la poutre... puis retombe. Il reste comme un con, recommence... Il semblerait que Konrad ait oublié un défaut dans son plan. La poutre est très légèrement trop haute pour ses talents de sauteur. Entendant que la serrure se rétracte, et devinant que la porte va s'ouvrir dans approximativement une seconde et demi, le bestial bondit dans l'espèce de "lit" de l'autochtone, non sans murmurer de tout son cœur contrarié...
-Mais quel con !
Le bougre parvient à s'engouffrer sous quelques coussins à la seconde où la lumière de l'extérieur pénètre dans la grande salle, par la porte s'ouvrant. De son œil caché sous sa moelleuse planque, l'espion observe l'ombre du gladiateur qui entre. L'esprit du fourbe tourne à plein régime. Pour peu que le guerrier ne décide pas de s'allonger dans son nid, ça se passera bien. Il n'est pas trop tard pour s'éclipser. Ce plan... tombe à l'eau lorsque la voix roque du casseur d'ambiance résonne, annonçant qu'il sait que l'espion est là. Le pauvre Konrad réfléchit alors. Que dire ?! Que faire ?! Que penser ?! Comment ne pas s'en prendre une ? Doucement, le bougre glisse ses doigts jusqu'aux couteaux de lancer attachés à son bassin. C'est alors qu'un coussin au-dessus de lui se fait soulever, révélant le gladiateur. Là, une pensée sort à voix haute du petit Reikois...
-Qu... Mais vous êtes énorme !
La paluche non armée du colosse saisit au col le petiot, et comme promis, le métamorphe est soulevé comme un pauvre verre d'eau. Au moins, les traits du visage de Konrad ont changé, et ses cheveux sont raccourcis. Même si cette affaire tourne vraiment mal, l'espion n'aura qu'à revenir avec un visage différent. Tout ce qu'il faut faire maintenant, c'est ne pas mourir ! Il lâche instantanément ses armes qu'il n'avait même pas fini de dégainer, et montre ses paumes pour se faire aussi peu dangereux que possible. Aussi vite que possible, le menteur va donc tenter d'apaiser son interlocuteur...
-ATTENDEZ, ATTENDEZ, ATTENDEZ ! Me butez pas ! Y'a un malentendu ! Je suis venu vous parler !
Ce qui est particulièrement gros quand on y pense, mais de toute façon, le géant vert n'aura pas le temps de répondre à ça vu que le petiot enchaîne à la vitesse de l'éclair sur LE mensonge. Le mensonge auquel il a réfléchis ! Le mensonge qui va adoucir cet interlocuteur à coup sûr ! Y'a aucun moyen que ça marche pas !
-C'est... C'est à propos de l'Empereur !
Après tout... Konrad parle à un rebelle. Ce n'est pas très compliqué d'adoucir des résistants stupides ! Surtout un pauvre gladiateur sans cervelle !
-Je suis Serv Melliem, messager d'un réseau de résistance à l'est de l'Empire. On m'a missionné de te rallier... pour faire la peau à la couronne ! On a un plan mec ! On a une chance !
Comment ça pourrait mal tourner ? Le petit Konrad a même une pensée qui lui vient à l'esprit...
[Putain je suis un génie !]
Noble du Reike
Brak'Trarg
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Info personnage
Race: Oni/Drakyn
Vocation: Guerrier - Combattant
Alignement: Chaotique Bon
Rang: B - Garde royal
l'intur saisi par le col dans la paluche de Brak'Trarg lui dit précipitament d'attendre avant de faire quoi que se soit et qu'il était venu lui parler s'empressant de rajouter qu'il s'agissait de l'empereur. c'était comment dire un peu facile pensa Brak'Trarg n'importe qui pouvait le prétendre et la façon apeuré qu'il avait de parler n'était pas vraiment crédible il pourait dire n'importe quoi pour s'ne sortir.
Et la suite ne manquan pas de faire tomber la machoire du bas de Brak'Trarg. le gars venait de se dire rebelel contre Tensai, et voulant recruter Brak'Trarg dans son réseau de resistance. tenant toujours l'intru dans sa paluche Brak'trarg mit un peut de temsp avant de répondre calmement bien que sa voix laissait transparaitre sa surprise et aussi consternation.
"Alors là mon gars, on peut dire que soit t'a été piégé et que les gens ton réseau veullent ta mort, soit ... t's la guigne mais a ce niveau c'est plus de la malchance c'est carément de la malédiction mortelle."
Quoi qu'il en soit Brak'Trarg ne pouvait en acun cas, laisser courir un rebelle et devait donc prendre les mesures qu'il s'imposait face aux ennemis du reike. dan sson malheur l'intru avait touit de même un brin de chance d'être tombé sur Brak'Trarg plutôt que sur l'un de ses colègue garde raoyl qui l'aurait déjà réduit en charpie. Brak'Trarg lui se contenta de lui coller une baffe pour l'assomer l'attacher comme un saucisson de façon extremeemnt sérré ne laissant de libre que la tête le tout en l'ayant fouillé et soigneusement dépouillé de toutes ses armes qu'il jeta au loin à l'autre bout de la pièce hors de sa porté.
puis attacher le "saucisson" à une chaise pour en position asise pour qu'il e puisse plus bouger. et enfin lui vider une cruche d'eau sur la tête pour le faire revenir à lui et enfin l'interoger.
"bon intru à la queue et aux oreilles de chat, tu va me dire qui tu est vraiment, comment t'est entré , pourquoi t'es entré, ce que tu cherchait chez moi, et pour qui tu bosse. je te conseille de pas mentir mon marteau n'aime pas les mensonges ?"
lui dit Brak a moins d'un mêtre de lui marteau en main jpouant avec dasn une de se smains proches des genoux de l'intru près à les lui briser d'un coup s'il fallait en arriver jusque là. Brien que Brak espérait scincèrement en pas en arriver a de telle extrémité.
Et la suite ne manquan pas de faire tomber la machoire du bas de Brak'Trarg. le gars venait de se dire rebelel contre Tensai, et voulant recruter Brak'Trarg dans son réseau de resistance. tenant toujours l'intru dans sa paluche Brak'trarg mit un peut de temsp avant de répondre calmement bien que sa voix laissait transparaitre sa surprise et aussi consternation.
"Alors là mon gars, on peut dire que soit t'a été piégé et que les gens ton réseau veullent ta mort, soit ... t's la guigne mais a ce niveau c'est plus de la malchance c'est carément de la malédiction mortelle."
Quoi qu'il en soit Brak'Trarg ne pouvait en acun cas, laisser courir un rebelle et devait donc prendre les mesures qu'il s'imposait face aux ennemis du reike. dan sson malheur l'intru avait touit de même un brin de chance d'être tombé sur Brak'Trarg plutôt que sur l'un de ses colègue garde raoyl qui l'aurait déjà réduit en charpie. Brak'Trarg lui se contenta de lui coller une baffe pour l'assomer l'attacher comme un saucisson de façon extremeemnt sérré ne laissant de libre que la tête le tout en l'ayant fouillé et soigneusement dépouillé de toutes ses armes qu'il jeta au loin à l'autre bout de la pièce hors de sa porté.
puis attacher le "saucisson" à une chaise pour en position asise pour qu'il e puisse plus bouger. et enfin lui vider une cruche d'eau sur la tête pour le faire revenir à lui et enfin l'interoger.
"bon intru à la queue et aux oreilles de chat, tu va me dire qui tu est vraiment, comment t'est entré , pourquoi t'es entré, ce que tu cherchait chez moi, et pour qui tu bosse. je te conseille de pas mentir mon marteau n'aime pas les mensonges ?"
lui dit Brak a moins d'un mêtre de lui marteau en main jpouant avec dasn une de se smains proches des genoux de l'intru près à les lui briser d'un coup s'il fallait en arriver jusque là. Brien que Brak espérait scincèrement en pas en arriver a de telle extrémité.
- voix et thème de Brak'Trarg:
la voix
le thème
- Bric à Brak (inventaire de Brak'Trarg:
ses armes
brise crane
marteau lourd de combat que Brak'Trag utilise tout les jours avec crackpum
crackpum
marteau lourd de combat que Brak'Trarg utilise tout les jours avec brisecrane
marteau titan
marteau lourd que brak porte toujours avec son armure nlourde en justice solide mais utilise moins souvent que ses deux autres fidèles marteaux
titan's slayler
lame en phontacier, épée géante que brak utilise pour les grandes bastons ou face aux groupe d'ennemi a bastoner en corps à corps
Drakny
épée géante Dragon masculine et très virile en bronze divin que Brak aime bien utiliser sur ses ennemis
Brak l'a recu en récompense de la batailel contre les vilains zombis et monstre ayant attaquer sable d'or.
ses armures
armure lourde de créature d'élite
armure en justice solide que Brak'Trarg porte habituellement
armure de créature gladiateur
armure de gladiateur de Brak'Trarg quan dil était dan sl'arène et qu'il remet quand il y va en spectateur ou a certaines autre ocasion
armure de guerrier élite Reikois
armure que Brak'Trrag a reçu pour son diplome de guerrier d'élite
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