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Noble du Reike
Tagar Reys

Messages : 1280
crédits : 2698
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Info personnage
Race: Humain
Vocation: Mage Elementiste
Alignement: Loyal Neutre
Rang: B - Coeur
Elle me parle de Melorn et je lui dis en souriant :
Votre cité est la plus belle du continent, c’est certain.
Je n’ajoute pas qu’ils seront toujours de fidèles alliés de l’Empire, car elle parle de déclin. Pour moi qui ai toujours connu la cité, il ne me semble pas y avoir de problème. Après les elfes que j’ai croisés n’était pas des expansionnistes. Ils sont très bien derrière leurs murs, dans leur ville parfaite et la plupart ne veulent que rien ne change. Puis elle parle de la médecine et je lui dis, les yeux brillants :
J’éprouve la même chose pour la magie, vous ne savez pas à combien d’expérience, j’ai pu prêter concours pour comprendre cette force.
Elle me souhaite ensuite une bonne nuit et je m’incline légèrement pour lui annoncer :
Bonne nuit également, je vous dis à demain.
Je décide de ne pas reprendre l’expérience avec les canaris, je pense avoir compris le problème et je vais devoir augmenter mon expertise magique si je souhaite, un jour, vaincre la maladie. Je passe donc une très bonne nuit, m’éveillant à l’aube. Nous avons maintenant notre premier train-train quotidien avec Nineveh, un vrai petit couple ! Je commence à bien l’assister, ramenant tout ce dont elle a besoin, avant même qu’elle le demande. Tout va tellement bien que nous avons fini très rapidement à la grande satisfaction de la jeune femme, du moins je le pense, car elle veut déjà partir. Je laisse Tonr prendre la parole en premier :
Vous avez fait des miracles, comme la première fois et je vous remercie beaucoup pour votre aide. L’ensemble des mineurs est très reconnaissant.
C’est ensuite à moi de m’exprimer, lui indiquant :
Tu as été formidable. J’ai beaucoup appris, et même si je ne suis pas encore capable d’être à ton niveau, j’ai vu, au cours de ces quelques jours, tout un nouveau champ d’application.
En effet, agir dans le corps humain, à l’aide du métal, pour par exemple enlever des pointes de flèche sur des plaies déjà refermé, ce genre de chose. Je peux donc conclure :
Tout cela pour te dire que si un jour, tu souhaites faire appel à l’Empire, n’hésite pas à aller au Palais, à Ikuza et demandé à me voir. Je laisserais des consignes pour que l’on me prévienne.
Votre cité est la plus belle du continent, c’est certain.
Je n’ajoute pas qu’ils seront toujours de fidèles alliés de l’Empire, car elle parle de déclin. Pour moi qui ai toujours connu la cité, il ne me semble pas y avoir de problème. Après les elfes que j’ai croisés n’était pas des expansionnistes. Ils sont très bien derrière leurs murs, dans leur ville parfaite et la plupart ne veulent que rien ne change. Puis elle parle de la médecine et je lui dis, les yeux brillants :
J’éprouve la même chose pour la magie, vous ne savez pas à combien d’expérience, j’ai pu prêter concours pour comprendre cette force.
Elle me souhaite ensuite une bonne nuit et je m’incline légèrement pour lui annoncer :
Bonne nuit également, je vous dis à demain.
Je décide de ne pas reprendre l’expérience avec les canaris, je pense avoir compris le problème et je vais devoir augmenter mon expertise magique si je souhaite, un jour, vaincre la maladie. Je passe donc une très bonne nuit, m’éveillant à l’aube. Nous avons maintenant notre premier train-train quotidien avec Nineveh, un vrai petit couple ! Je commence à bien l’assister, ramenant tout ce dont elle a besoin, avant même qu’elle le demande. Tout va tellement bien que nous avons fini très rapidement à la grande satisfaction de la jeune femme, du moins je le pense, car elle veut déjà partir. Je laisse Tonr prendre la parole en premier :
Vous avez fait des miracles, comme la première fois et je vous remercie beaucoup pour votre aide. L’ensemble des mineurs est très reconnaissant.
C’est ensuite à moi de m’exprimer, lui indiquant :
Tu as été formidable. J’ai beaucoup appris, et même si je ne suis pas encore capable d’être à ton niveau, j’ai vu, au cours de ces quelques jours, tout un nouveau champ d’application.
En effet, agir dans le corps humain, à l’aide du métal, pour par exemple enlever des pointes de flèche sur des plaies déjà refermé, ce genre de chose. Je peux donc conclure :
Tout cela pour te dire que si un jour, tu souhaites faire appel à l’Empire, n’hésite pas à aller au Palais, à Ikuza et demandé à me voir. Je laisserais des consignes pour que l’on me prévienne.

Citoyen de La République
Nineveh de Basileïa

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crédits : 457
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Tout est en ordre donc. Les mineurs sont ravis et reconnaissants, les chefs de la mine sont satisfaits et Tagar semble plus… qu’heureux ? Si elle apprécie la main tendue, elle espère ne jamais devoir faire appel à l’Empire et surtout, ne comprend guère la raison de cette bienveillance : elle n’a fait que son devoir. Elle a été grassement payée pour cela et le travail a été exécuté exactement comme il faut, les professionnels ont des standards.
« Je n’ai fait que mon travail. » C’est le strict minimum qu’elle pouvait faire.
Nineveh se fend d’une courbette à l’attention de Tagar et Tonfr : mission accomplie, c’est l’essentiel. Quant à l’apprentissage de la médecine : c’est une longue voie qui nécessite passion, acharnement et discipline. Nul doute que le jeune homme y arrivera s’il y met les moyens. S’il trouve le temps de s’y consacrer en parallèle de son travail cela va de soi. L’elfe a un petit hochement de tête.
« Bonne chance pour la magie, en espérant que tout se passe comme prévu et surtout, une bonne continuation pour la suite. Je garde en mémoire ta proposition pour le palais, peut-être un jour si le besoin s’en fait ressentir, mais je pense que je trouverai toute l’aide dont j’ai besoin à Melorn ou en République si un jour je croise un pépin. » Ne pas abuser de l’hospitalité des étrangers, en particuliers quand ils sont plus ou moins dans une faction opposée à la sienne. « Bonne chance pour le reste. » Elle s’incline une dernière fois avant de prendre congé.
Il ne reste plus qu’à préparer le retour vers Melorn. Rien de pénible pour l’elfe, qui a simplement à plier bagage et tout glisser dans les fontes de son cheval. Sa fonte monétaire alourdie d’une bonne quantité d’argent, elle prend un instant pour admirer : la plus vieille pièce. Les hommes ont toujours eu le chic pour frapper des monnaies éloquentes, en mémoire de tout et rien. Un jour, il faudrait qu’elle s’improvise numismate : il y aurait toute une histoire à raconter simplement en observant la monnaie du quotidien.
Nineveh range la pièce au fond de sa poche : retour à Melorn, en espérant qu’elle n’ait pas reçue d’autres missives en son absence.
« Je n’ai fait que mon travail. » C’est le strict minimum qu’elle pouvait faire.
Nineveh se fend d’une courbette à l’attention de Tagar et Tonfr : mission accomplie, c’est l’essentiel. Quant à l’apprentissage de la médecine : c’est une longue voie qui nécessite passion, acharnement et discipline. Nul doute que le jeune homme y arrivera s’il y met les moyens. S’il trouve le temps de s’y consacrer en parallèle de son travail cela va de soi. L’elfe a un petit hochement de tête.
« Bonne chance pour la magie, en espérant que tout se passe comme prévu et surtout, une bonne continuation pour la suite. Je garde en mémoire ta proposition pour le palais, peut-être un jour si le besoin s’en fait ressentir, mais je pense que je trouverai toute l’aide dont j’ai besoin à Melorn ou en République si un jour je croise un pépin. » Ne pas abuser de l’hospitalité des étrangers, en particuliers quand ils sont plus ou moins dans une faction opposée à la sienne. « Bonne chance pour le reste. » Elle s’incline une dernière fois avant de prendre congé.
Il ne reste plus qu’à préparer le retour vers Melorn. Rien de pénible pour l’elfe, qui a simplement à plier bagage et tout glisser dans les fontes de son cheval. Sa fonte monétaire alourdie d’une bonne quantité d’argent, elle prend un instant pour admirer : la plus vieille pièce. Les hommes ont toujours eu le chic pour frapper des monnaies éloquentes, en mémoire de tout et rien. Un jour, il faudrait qu’elle s’improvise numismate : il y aurait toute une histoire à raconter simplement en observant la monnaie du quotidien.
Nineveh range la pièce au fond de sa poche : retour à Melorn, en espérant qu’elle n’ait pas reçue d’autres missives en son absence.
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