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    Citoyen de La République
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    Leif Brynjolf
    Leif Brynjolf
    Messages : 88
    crédits : 177

    Info personnage
    Race: Lycanthrope
    Vocation: Guerrier combattant
    Alignement: Loyal Neutre (juge)
    Rang: C
    qui suis-je ?:
    https://www.rp-cendres.com/t2435-leif-brynjolf-un-loup-sans-meute-fini
  • Dim 31 Mar - 19:57




    Salut ça va?
    Feat. Leonora - Message 8



    Le mur se flammes s'est dressé devant le vioc, il se protège et je sens sa peur, vous savez cette odeur que l'on dégage. Par contre j'ai un souci, c'est cette masse populaire qui s'amasse et s'agglutine autour de moi, m'empêchant presque de bouger, me bloquant dans mes mouvements. Je me dis bien qu'ils sont pas tous nets, on le perçoit depuis notre arrivée ici mais malgré tout ils n'ont rien fait pour s'extraire de l'influence de ce zélote de Zeï.

    Je les repousse dans un premier temps pour essayer d'avancer mais je me sens un peu coincé et limité en un sens. Dans mon esprit une pensée saugrenue s'immisce "je vais bousiller une chemise neuve la poisse." Vous direz que j'ai des vrais problèmes non?  Mais j'ai pas envie que ça dure des heures non plus cette connerie. J'ai vu que Leo avait retrouvé ses esprits quand j'ai secoué le vieux et elle a repris le contrôle. Elle affronte par contre son propre frangin et ça c'est pas une bonne chose par contre. Devoir lutter contre quelqu'un à qui on tient parce qu'il est peut-être sous emprise ça peut te secouer sévère après coup.

    J'ai pas trop de latitude du coup et je vais devoir sacrifier sur l'autel de l'amitié cette magnifique chemise neuve que je venais d'acquérir. Je perçois alors un bout de peau, non que dis-je une jambe apparait dans mon champ de vision. Une jupe se soulève rapidement, une main se glisse dessous et alors que mon regard est captivé par la peau claire et ce galbe parfaitement dessiné. Hélas ce ne dure qu'un trop bref instant avant que la main ne se saisisse d'une lame effilée glissée dans la jarretière et que l'épais tissu ne retombe.

    Ces quelques secondes d'inattention font que la foule me tombe littéralement dessus alors que le vieux se met à hurler je ne sais pas quoi caché derrière son voile de feu. La masse me fait glisser au sol, à quatre pattes et s'en est trop. J'étouffe, je suis comprimé, ça me court sur le haricot alors je fais ce que je sais faire le mieux, être moi-même. Dans un accès de rage parfaitement contrôlé je concentre ma volonté pour appeler la bête tapie en moi. Cette seconde partie de mon être que j'ai appris à maitriser avec le temps. Elle grogne, frappe aux confins de mon esprit, elle veut sortir, et je ne vais pas la retenir. Mon dos se contracte violemment et s'arc boute prenant un angle irréel alors que se déchire ma peau le long de ma colonne vertébrale. Maudit, lié par la magie à ma condition de Lycan, je laisse couler dans mes veines le changement. Mes os grandissent, mes épaules s'élargissent, ma peau arrachée est remplacée par un poil épais et dru d'une blancheur étonnante. Mon visage aussi se transforme, ma mâchoire se brise, s'allonge, mes oreilles aussi, rapidement en quelques secondes je perds mon humanité pour laisser l'animal prendre le relais, celui qui se repait de sang et de chair sans la moindre hésitation. Mes prunelles bleu glacier luisent d'un éclat nouveau alors que d'un bond je me relève et expulse plus loin ceux qui m'entourent.

    Je pousse un rugissement animal alors que je plante mon regard sur ma proie, ce vieil homme qui recule instinctivement et qu'il comprend maintenant pourquoi je n'ai pas été sensible à ses manipulations mentales. Je bouscule les gens autour de moi et les envoie plus loin usant de mes griffes, parce que même sous contrôle, la douleur ravive un semblant de réactivité chez le commun des mortels.

    Je saute d'un bond puissant sur l'estrade, faisant face au mur de flammes du vieux. Mes sens développés me font sentir l'odeur de sa peur, primaire, instinctive... Cependant j'hésite un instant, le vieux ou le chevalier? Est-ce que je laisse Leo affronter son frère?  C'est là qu'elle disparait sous mon regard amusé... Elle va s'en sortir, je vais donc me concentrer sur l'autre.

    - Tu vas crever serviteur de Zeï.

    Des jets de flamme volent vers moi, je parviens à en éviter certains mais pas tous et une odeur de poils cramés désagréable s'élève et cela à pour don d'accroitre ma colère. Je pourrais l'attaquer par la magie mais j'ai envie de me repaitre de ses chairs, sentir mes crocs déchirer sa peau et ses muscles, ma mâchoire se fermer et arracher le tout. Rien que d'y penser je jubile. Je concentre mes efforts et je fais un nouveau bond pour atterrir juste devant lui, je me brûle un peu au passage mais rien qui soit préoccupant, je verrai ça plus tard.

    CENDRES


    [Challenge] Salut, ça va ? - Page 2 7ffr
    Noble de La République
    Noble de La République
    Leonora de Hengebach
    Leonora de Hengebach
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    Info personnage
    Race: Humaine
    Vocation: Guerrier assassin
    Alignement: Loyale neutre
    Rang: B
    qui suis-je ?:
    https://www.rp-cendres.com/t2438-leonora-de-hengebach-valideehttps://www.rp-cendres.com/t2451-liens-de-leonora-de-hengebach
  • Dim 28 Avr - 23:41
    La rage de Rénald monta d'un cran lorsque, dans un élan de survie, j’utilisai mes compétences pour me rendre temporairement invisible, disparaissant de sa vue. L'air vibra là où je me tenais juste une seconde auparavant, laissant Rénald abasourdi et furieux, cherchant désespérément à me localiser dans l'ombre environnante. Son épée fendait l'air avec fureur, ses coups devenant plus désespérés et moins précis alors qu'il tentait de me toucher, invisible à ses yeux. Le bruit métallique de son épée claquait violemment.

    Bien qu'invisible, je n'étais pas moins tendue. Je savais que ma capacité à rester cachée ne durerait pas éternellement et que chaque seconde comptait pour reprendre l'avantage ou trouver une solution pour calmer ou neutraliser Rénald sans causer de dommage irréversible. Je me déplaçais silencieusement, utilisant le temps précieux pour respirer profondément et rassembler mes pensées, cherchant une issue tout en le contournant.
    J’observai Rénald, qui se tenait maintenant haletant, son visage éclairé par la colère et la frustration. Je sentais la tristesse m'envahir en voyant mon frère si consumé par la colère qu'il en perdait toute raison à cause de la manipulation dont il était prisonnier. Je devais trouver une façon de l'arrêter avant que la situation ne dégénère davantage, mais mon cœur se serrait à l'idée de devoir le blesser sérieusement pour cela. Dans un murmure de décision, je cherchai dans mon esprit une stratégie qui pourrait mettre fin à ce combat sans effusion de sang supplémentaire, tout en gardant un œil vigilant sur les mouvements chaotiques de Rénald.

    Alors que je manœuvrais silencieusement, mon attention fut attirée par le combat féroce qui se déroulait non loin de là. Leif, transformé en lycan, affrontait le serviteur de Zeï avec une force brute et une férocité impressionnante.
    La silhouette massive de Leif, avec sa fourrure aussi blanche que la neige fraichement tombée et ses yeux brillants de rage contrôlée, se déplaçait avec une agilité surprenante pour sa taille. Chaque coup était un mélange de puissance et de précision, démontrant sa maîtrise de ses capacités. Le serviteur de Zeï, un adversaire bien plus redoutable que son physique laissait présager, doté de ses propres pouvoirs obscurs, répondait avec une énergie malveillante, lançant des éclats d'énergie sombre et de feu vers la bête. Les attaques magiques du serviteur s'écrasaient contre Leif, créant des explosions de lumière et de fumée, mais Leif, résilient, évitait la plupart des coups et absorbait ceux qu'il ne pouvait esquiver. Son rugissement retentissant résonnait dans l'air, un son à la fois terrifiant et exaltant, annonçant sa détermination à se défendre et à mettre fin à la menace que représentait Zeï et ses serviteurs. À chaque échange, la tension entre les deux combattants augmentait, le sol tremblait sous leur force, et les échos de leur lutte semblaient influencer même l'atmosphère maintenant assombrie par le chaos.

    J'observai, partagée entre l'urgence de gérer ma propre situation avec Rénald et le besoin de soutenir Leif, mais également consciente de ma propre vulnérabilité face à un frère devenu imprévisible et dangereux.

    MONTRE-TOI PETITE SŒUR ! BATS-TOI COMME UNE VERITABLE VON KEYSERBERG SI TU EN AS LE COURAGE ! PUISQUE TU REFUSES TA DESTINEE !

    L'atmosphère déjà chargée de tension et de danger prit une tournure encore plus sinistre lorsque les villageois, qui jusqu'alors observaient la scène avec une certaine distance passive, commencèrent soudainement à montrer des signes d'agitation. Leurs visages, jusque-là neutres ou légèrement curieux, se métamorphosèrent en masques de colère et de menace. Les expressions changeantes des villageois ne laissaient présager rien de bon. Leurs yeux se durcissaient et leurs bouches se tordaient en grimaces menaçantes, comme s'ils étaient tous saisis par une rage commune, manipulés par une volonté extérieure à ne point en douter. Certains commençaient même à murmurer entre eux, formant des groupes serrés, et il était clair que leur attention se focalisait de plus en plus dangereusement sur la grosse peluche sanguinaire.

    Dans le silence prudent, je me concentrais intensément. La menace imminente des villageois mobilisait en partie mon attention et mon énergie. Utilisant ma capacité à manipuler l'électricité, je canalisai ma mana en moi vers le ciel, où les nuages commençaient à se charger d'énergie. Un frisson électrique parcourut l'air, crépitant avec une intensité croissante. Au-dessus de la foule qui se rassemblait de manière menaçante, des éclairs commencèrent à s'accumuler, formant un spectacle impressionnant et intimidant. Les visages déjà tendus, des villageois levèrent les yeux, leur colère temporairement mise en pause par l'appréhension de la puissance déchaînée au-dessus d'eux.
    Avec un contrôle précis et une détermination froide, je relâchai finalement l'énergie accumulée. Une pluie d'éclairs s'abattit sur et autour de la foule, avec des éclats lumineux et des grondements assourdissants. Chaque éclair frappait le sol avec une force qui ébranlait la terre, projetant des éclats de lumière aveuglante et laissant des marques fumantes là où ils tombaient. L'effet fut immédiat. Certains villageois, frappés directement, furent jetés à terre, tandis que d'autres, pris de panique, reculèrent en désordre, leurs grimaces remplacées par des expressions de confusion. L'intimidation électrique avait créé une pause précieuse, dissuadant beaucoup de s'avancer davantage.

    L'utilisation de mon pouvoir, indiqua mon emplacement à Rénald qui en profita.
    L'attaque surprise me frappa avec une brutalité glaciale, la douleur lancinante de l'impact me forçant à abandonner mon invisibilité. Je trébuchai en arrière, ma main pressée contre mon ventre où l'impact avait laissé une douleur sourde et un sentiment de trahison encore plus profond. Mon frère, par sa folie, me menaçait maintenant ouvertement avec la pointe de son épée. La situation avait dramatiquement tourné au pire. Me tenant debout, je fixai Rénald, mes yeux reflétaient à la fois la peine et la détermination. Je respirai profondément, essayant de calmer la douleur et de rassembler mes forces pour ce qui pourrait suivre. Rénald, quant à lui, semblait pleinement prêt à poursuivre son assaut.

    Pourquoi, Rénald ? demandai-je, ma voix tremblante mais claire. Pourquoi tout cela ?

    Rénald ne répondit que par un rictus amer, son épée toujours pointée sur moi. Il semblait y avoir quelque chose de plus, une force derrière ses actions, quelque chose qui le poussait au-delà de ce qui aurait pu être une simple querelle familiale.

    Cela n’a plus d’importance, tu as choisi… Tu ne m’es plus d’aucune utilité.

    Dans l'instant où Rénald avança, j’esquivai agilement sur le côté. Ma dague, une lame fine et acérée toujours en main.
    Rénald, emporté par son élan, manqua son attaque et dut se retourner pour me faire face, je pris une position défensive, la dague prête à parer ou à riposter. L'expression sur son visage était un mélange complexe de rage et de confusion, comme s'il luttait contre des forces intérieures qui le poussaient à agir contre sa propre volonté.

    Rénald, arrête ça ! Ce n'est pas toi !criai-je, espérant atteindre une partie de son esprit encore sensible à la raison.

    Ignorant mes paroles, Rénald attaqua de nouveau, ses coups reflétant une technique impulsive, marquée par l'influence de quelque manipulation mentale. J’esquivai à nouveau, utilisant ma dague pour dévier l'épée tout en cherchant une ouverture pour une contre-attaque non létale. Lors d'un échange rapide, je trouvai enfin mon ouverture. Avec un mouvement rapide et précis, je fit glisser ma dague sous la garde de l'épée de Rénald et poussai avec force, déséquilibrant mon frère et le faisant trébucher en arrière. Profitant de ce moment, je plaçai la pointe de ma dague contre sa gorge, le forçant à s'immobiliser.

    Rénald, écoute-moi, dis-je d'une voix ferme mais tremblante, la dague pressée contre sa peau. Je ne veux pas te faire de mal, mais je ne te laisserai pas m’en faire non plus. Qu'est-ce qui t'a pris ? Qui est derrière tout ça ?

    Sous la menace directe, les yeux de Rénald semblèrent s'éclaircir un instant, luttant pour revenir à la réalité. J’espérais que cette lucidité momentanée me permettrait de récupérer mon frère, en vain, il me repoussa de nouveau…
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