Invité
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« Non, je ne veux pas le voir, Mademoiselle.
– Madame, veuillez m’excuser d’insister, mais il désire réellement vous parler, il y a une chose qu’il voudrait vous dire…
– Quoi donc ? Qu’il est « désolé » ? Je n’en veux pas de ses excuses ! Je l’ai assez prévenu !
– Il aimerait vous remettre l’invitation d’un repas…
– Un repas qu’il aura payé avec ce qui reste de MON argent. Ah ! Le salaud ! Non merci, je n’en veux pas.
– Madame, je repasserai demain…
– Faites donc ! Ma position n’aura pas changé ! »
Mais la porte s’était déjà refermée sur le visage soucieux de Nut. La jeune femme soupira. Les histoires de famille, et elle en savait quelque chose, ce n’était point aisé à résoudre. Elle n’était pas formée pour la résolution de conflits, utilisait sa seule expérience au sein du clan Shidhi, mais tout était différent. Pourquoi avait-elle accepté cette tâche ? Pourquoi s’était-elle laissé convaincre par ce jeune homme éploré qui voulait reprendre contact avec sa mère sans en trouver lui-même le courage ? Il faut bien vivre. Nut a de l’argent, bien sûr, mais elle s’ennuie. Les jours sont mornes lorsqu’elle est inactive. Elle se lève sans but, traîne au lit, mange un bout en essayant de varier les saveurs, mais que faire d’autre ? Comment joliment occuper ses journées ? Ne pas tomber dans une routine mortelle ? Elle voudrait pouvoir se secouer, se motiver m ais il y a des jours sans, et depuis la chute du clan, ils deviennent la norme. Elle est en colère, en colère contre elle-même, mais peut-elle vraiment s’en vouloir ?
Elle reste encore une minute devant le battant froid puis opère un demi-tour. Le chemin est un peu long vers son commanditaire, le soleil se couche sérieusement sur la ville, la jeune femme n’a pas le courage. Son cheval l’attend un peu plus loin, la jambe passe par-dessus la croupe et ils s’en vont ensemble. Elle ne résiste pas à l’envie de lui souffler quelques mots doux, lui raconter ses soucis. Il l’entend mais ne comprend pas. Ce n’est pas grave. Déjà, le sourire revient. Ils trottent dans les rues de la ville, Nut observe le monde et se dit qu’elle n’est pas si malheureuse. Il y a des situations bien pires que la sienne. Mais déjà, l’idée tombe à l’eau. Tout un clan décimé, des dizaines de personnes. Le chef, son épouse, leur fils, et tous les guerriers. Son petit-frère. Elle grimace alors qu’ils s’engagent dans une rue faiblement éclairée. Les grains de sable flottent tristement autour de son visage, elle fronce les sourcils. Nut essaie par tous les moyens en son pouvoir de se rassurer, de voir les choses positivement. Mais il y a un manque, un manque énorme et un choc qui ne partiront jamais.
Le cheval rejoint l’écurie de l’auberge et elle salue l’homme dont la salle est presque vide, parce que l’heure semble avancée, mais un repas l’attend, comme toujours. Nut est une cliente fidèle. Elle paie tout à fait correctement, elle ne fait pas de bruit, elle laisse les serviteurs travailler et s’adresse à eux avec respect, une notion absente de son éducation vis-à-vis des plus petits. Elle se forge une existence, un caractère, une personnalité. Elle se découvre petit à petit. Elle est attablée, elle compte les âmes présentes. Ils sont trois, chacun caché dans un coin de la pièce, comme si le moindre contact humain était toxique. La jeune femme sourit et s’enfonce dans la douceur de son siège, le meilleur de la salle, et elle sent un regard jaloux sur elle, alors que le couvert plonge dans le repas bien chaud et mérité. Demain, elle se lèvera tôt pour prévenir l’éploré commanditaire, retrouver sa mère encore, de nouveaux arguments dans la bouche, fouillant sa mémoire pour trouver quoi dire. Elle doit régler ce problème avant de retourner sur les terres du clan pour les vérifications qui s’imposent à rythme régulier. Elle doit empocher son argent, il l’aidera pense-t-elle à survivre dans l’ancienne propriété avec des marchandises variées. D’une part, manger. D’autre part, se soigner. Pour finir, rebâtir ce qui a été détruit, brûlé, ce qui a disparu. Honorer les morts.
Ses plans sont façonnés doucement dans son esprit, mais elle est sortie de ses rêveries par l’arrivée d’un homme de grande stature, une longue épée à la main. Il porte un casque, l’on ne voit pas son visage. Sa voix est masquée par les courroies qui lui donnent l’air d’un cadavre particulièrement dangereux. Nut fronce les sourcils. Il ne veut pas une chambre pour la nuit, il ne veut pas une boisson rafraîchissante. Il veut leur bourse, il veut leur vie. Et l’élémentaire n’est pas prête à les lui laisser. C’est vers elle qu’il se dirige en premier, arme tendue, menaçante. La jeune femme soutient son regard aveugle, elle le met au défi. Il n’aura pas la plus petite de ses pièces. Il n’aura pas ce que ses mots affreux laissent supposer. Il n’aura rien, que la colère et le sang. Le silence s’est fait dans l’auberge. Nut continue de manger, pétrie d’arrogance, de colère, l’ange s’est envolé pour ne laisser que la femme déterminée.
– Madame, veuillez m’excuser d’insister, mais il désire réellement vous parler, il y a une chose qu’il voudrait vous dire…
– Quoi donc ? Qu’il est « désolé » ? Je n’en veux pas de ses excuses ! Je l’ai assez prévenu !
– Il aimerait vous remettre l’invitation d’un repas…
– Un repas qu’il aura payé avec ce qui reste de MON argent. Ah ! Le salaud ! Non merci, je n’en veux pas.
– Madame, je repasserai demain…
– Faites donc ! Ma position n’aura pas changé ! »
Mais la porte s’était déjà refermée sur le visage soucieux de Nut. La jeune femme soupira. Les histoires de famille, et elle en savait quelque chose, ce n’était point aisé à résoudre. Elle n’était pas formée pour la résolution de conflits, utilisait sa seule expérience au sein du clan Shidhi, mais tout était différent. Pourquoi avait-elle accepté cette tâche ? Pourquoi s’était-elle laissé convaincre par ce jeune homme éploré qui voulait reprendre contact avec sa mère sans en trouver lui-même le courage ? Il faut bien vivre. Nut a de l’argent, bien sûr, mais elle s’ennuie. Les jours sont mornes lorsqu’elle est inactive. Elle se lève sans but, traîne au lit, mange un bout en essayant de varier les saveurs, mais que faire d’autre ? Comment joliment occuper ses journées ? Ne pas tomber dans une routine mortelle ? Elle voudrait pouvoir se secouer, se motiver m ais il y a des jours sans, et depuis la chute du clan, ils deviennent la norme. Elle est en colère, en colère contre elle-même, mais peut-elle vraiment s’en vouloir ?
Elle reste encore une minute devant le battant froid puis opère un demi-tour. Le chemin est un peu long vers son commanditaire, le soleil se couche sérieusement sur la ville, la jeune femme n’a pas le courage. Son cheval l’attend un peu plus loin, la jambe passe par-dessus la croupe et ils s’en vont ensemble. Elle ne résiste pas à l’envie de lui souffler quelques mots doux, lui raconter ses soucis. Il l’entend mais ne comprend pas. Ce n’est pas grave. Déjà, le sourire revient. Ils trottent dans les rues de la ville, Nut observe le monde et se dit qu’elle n’est pas si malheureuse. Il y a des situations bien pires que la sienne. Mais déjà, l’idée tombe à l’eau. Tout un clan décimé, des dizaines de personnes. Le chef, son épouse, leur fils, et tous les guerriers. Son petit-frère. Elle grimace alors qu’ils s’engagent dans une rue faiblement éclairée. Les grains de sable flottent tristement autour de son visage, elle fronce les sourcils. Nut essaie par tous les moyens en son pouvoir de se rassurer, de voir les choses positivement. Mais il y a un manque, un manque énorme et un choc qui ne partiront jamais.
Le cheval rejoint l’écurie de l’auberge et elle salue l’homme dont la salle est presque vide, parce que l’heure semble avancée, mais un repas l’attend, comme toujours. Nut est une cliente fidèle. Elle paie tout à fait correctement, elle ne fait pas de bruit, elle laisse les serviteurs travailler et s’adresse à eux avec respect, une notion absente de son éducation vis-à-vis des plus petits. Elle se forge une existence, un caractère, une personnalité. Elle se découvre petit à petit. Elle est attablée, elle compte les âmes présentes. Ils sont trois, chacun caché dans un coin de la pièce, comme si le moindre contact humain était toxique. La jeune femme sourit et s’enfonce dans la douceur de son siège, le meilleur de la salle, et elle sent un regard jaloux sur elle, alors que le couvert plonge dans le repas bien chaud et mérité. Demain, elle se lèvera tôt pour prévenir l’éploré commanditaire, retrouver sa mère encore, de nouveaux arguments dans la bouche, fouillant sa mémoire pour trouver quoi dire. Elle doit régler ce problème avant de retourner sur les terres du clan pour les vérifications qui s’imposent à rythme régulier. Elle doit empocher son argent, il l’aidera pense-t-elle à survivre dans l’ancienne propriété avec des marchandises variées. D’une part, manger. D’autre part, se soigner. Pour finir, rebâtir ce qui a été détruit, brûlé, ce qui a disparu. Honorer les morts.
Ses plans sont façonnés doucement dans son esprit, mais elle est sortie de ses rêveries par l’arrivée d’un homme de grande stature, une longue épée à la main. Il porte un casque, l’on ne voit pas son visage. Sa voix est masquée par les courroies qui lui donnent l’air d’un cadavre particulièrement dangereux. Nut fronce les sourcils. Il ne veut pas une chambre pour la nuit, il ne veut pas une boisson rafraîchissante. Il veut leur bourse, il veut leur vie. Et l’élémentaire n’est pas prête à les lui laisser. C’est vers elle qu’il se dirige en premier, arme tendue, menaçante. La jeune femme soutient son regard aveugle, elle le met au défi. Il n’aura pas la plus petite de ses pièces. Il n’aura pas ce que ses mots affreux laissent supposer. Il n’aura rien, que la colère et le sang. Le silence s’est fait dans l’auberge. Nut continue de manger, pétrie d’arrogance, de colère, l’ange s’est envolé pour ne laisser que la femme déterminée.
Citoyen du Reike
Dimitri Chagry
Messages : 303
crédits : 3002
crédits : 3002
Info personnage
Race: Ombra
Vocation: Guerrier combattant
Alignement: Chaotique neutre
Rang: C
Le vent d’acier avait laissé des marques tangibles sur son âme. Cette orbe était parvenu à encrer des idées, à insinuer des doutes dans son esprit marqué. Il avait refusé toute domination des puissants, mais les images perlées et sublimées avaient quelque peu ébranlé son esprit. Rien de bien méchant au premier abord. Dès qu’il s’enfermait dans le gouffre de ses pensées, que ses yeux se fermaient sur une journée de sommeil, il se rappelait ses cauchemars, ses blessures et ses souffrances. Le petit rêve joyeux que l’orbe lui avait proposé s’effaçait à tout jamais, comme s’il n’avait été qu’une pensée à peine vivante. L’emprise de la boule sacrée n’avait donc que peu d’importance. Mais le soir, lorsqu’il s’éveillait avant de partir en mission ou de se glisser dans les rues animées d’Ikusa, son esprit le lui rappelait. Il se mettait donc à penser à ces choses qu’il devait juger médiocre et laide.
Un ultime soupire franchissait la barrière de ses lèvres. Il avait refusé de boire pendant des années, bien conscient que l’alcool le rendait instable. Ce soir-là, il en avait eu besoin pour faire taire ses pensées nacrées. Par moment, les flashs lumineux qu’ils avaient subis le faisaient sursauter, mais il se rendait vite compte qu’il se trouvait toujours dans la même auberge. Ce soir peu de personne occupait l’endroit. Certains fêtaient encore la victoire de la marche du vent d’acier. La fête ne tarissait pas. À son plus grand bonheur, les danses et les musiques battaient leur plein au centre de la capitale. En bordure, l’auberge restait silencieuse. Cela n’empêchait pas quelques personnalités rêveches de venir pourrir ici.
⸉ Chef, une derniière… Pour la route. ⸊
Il remit le fil de ses pensées en route, grattant dans la table avec son couteau sans se rendre compte qu’elle était déjà bien entamée. D’autres s’étaient déjà amusées à faire quelques dessins dans le bois, et vu ses qualités de dessinateurs, il préférait effacer les œuvres d’art avec des traits ignobles. Détruire l’art par l’art. J’crois bien que c’est la quatrième fois que tu me dis ça. Marty souriait amicalement alors qu’il déposait la chope de bière à côté du chasseur. Il s’asseya quelques minutes avant que Dimitri ne lui demande de lui laisser de l’espace.
L’auberge du poing nommé était très respecté, mais cela n’empêchait pas quelques imbéciles de traverser le désert pour venir toquer à cette porte. Visiblement, le souffle de sable qui venait d’entrer n’avait pas l’air prêt à laisser tomber son idée. Son regard caché sous son casque en disait long. Dimitri sentait jusque dans ses poils que ce mec était louche. Le problème étant que, posé tranquillement dans son petit coin, il en avait tristement rien à faire. Il était emmuré dans son espèce de monde bucolique… Il voyait les forêts, les animaux, mais certainement pas les débiles masqués prêt à dépouiller cette jeune femme tranquillement attablée. D’ailleurs, il perçut une petite subtilité dans son odeur. Une subtilité délicate avec un mélange unique de notes terreuses, minérales et légèrement salées. Cette touche de chaleur et de sécheresse lui rappelait à souvenir. Sa tête lui fit mal et il se replia sur lui-même un instant. À cette distance, il ne voyait pas le détail du visage de cette fille. En même temps, compliqué quand on voyait qu’elle continuait de manger son plat sans regarder le géant qui l’approchait.
Monsieur, bonsoir, merci de ne pas déranger nos clients. D’autres tables sont libres. Marty, joviale et entraînant, s’approcha du colosse qui lui donna un grand coup dans la figure. Le bruit de Marty venant cogner la table figea les autres personnes présentes, Dimitri qui n’était pas dans son état normal esquissa un sourire bref, à moins que ce genre de chose ne le fasse vraiment rire au fond de lui-même. Pourtant, il savait qu’il l’aimait bien ce Marty.
Son regard glissa sur le corps de l’aubergiste qui se redressait déjà. L’homme était solide, et son regard noir en disait long sur la suite. Il risquait de se faire démolir à tout moment. Pour ce qui était de cette fille… Il n’arrivait toujours pas à comprendre pourquoi cette odeur singulière lui disait quelque chose. La vérité martelait son esprit.
Vous n’avez pas l’air de connaître les règles à Ikusa. Attendez de voir. Menaça le bon vieux Marty. Quelle bonne gueule celui-ci. Surtout quand il courut à l’arrière de sa boutique pour aller chercher une hache plus grande que lui. Objet qu’il soulevait sans mal.
Allez Marty… Grand garçon… Souffla le brun suffisamment fort pour encourager le patron. Viens m’aider ducon, au lieu de te marrer. La tête contre sa paume, il soupire et finit par dire : Quand j’ai fini… Promis juré. La chope était pleine.
Les pensées affluent. L'orbe me cause toujours. Mais je suis sur de ne plus sentir de connexion avec mon esprit. Peut être parce qu'il y a trop de bazar dans cette tête.
Un ultime soupire franchissait la barrière de ses lèvres. Il avait refusé de boire pendant des années, bien conscient que l’alcool le rendait instable. Ce soir-là, il en avait eu besoin pour faire taire ses pensées nacrées. Par moment, les flashs lumineux qu’ils avaient subis le faisaient sursauter, mais il se rendait vite compte qu’il se trouvait toujours dans la même auberge. Ce soir peu de personne occupait l’endroit. Certains fêtaient encore la victoire de la marche du vent d’acier. La fête ne tarissait pas. À son plus grand bonheur, les danses et les musiques battaient leur plein au centre de la capitale. En bordure, l’auberge restait silencieuse. Cela n’empêchait pas quelques personnalités rêveches de venir pourrir ici.
⸉ Chef, une derniière… Pour la route. ⸊
Il remit le fil de ses pensées en route, grattant dans la table avec son couteau sans se rendre compte qu’elle était déjà bien entamée. D’autres s’étaient déjà amusées à faire quelques dessins dans le bois, et vu ses qualités de dessinateurs, il préférait effacer les œuvres d’art avec des traits ignobles. Détruire l’art par l’art. J’crois bien que c’est la quatrième fois que tu me dis ça. Marty souriait amicalement alors qu’il déposait la chope de bière à côté du chasseur. Il s’asseya quelques minutes avant que Dimitri ne lui demande de lui laisser de l’espace.
L’auberge du poing nommé était très respecté, mais cela n’empêchait pas quelques imbéciles de traverser le désert pour venir toquer à cette porte. Visiblement, le souffle de sable qui venait d’entrer n’avait pas l’air prêt à laisser tomber son idée. Son regard caché sous son casque en disait long. Dimitri sentait jusque dans ses poils que ce mec était louche. Le problème étant que, posé tranquillement dans son petit coin, il en avait tristement rien à faire. Il était emmuré dans son espèce de monde bucolique… Il voyait les forêts, les animaux, mais certainement pas les débiles masqués prêt à dépouiller cette jeune femme tranquillement attablée. D’ailleurs, il perçut une petite subtilité dans son odeur. Une subtilité délicate avec un mélange unique de notes terreuses, minérales et légèrement salées. Cette touche de chaleur et de sécheresse lui rappelait à souvenir. Sa tête lui fit mal et il se replia sur lui-même un instant. À cette distance, il ne voyait pas le détail du visage de cette fille. En même temps, compliqué quand on voyait qu’elle continuait de manger son plat sans regarder le géant qui l’approchait.
Monsieur, bonsoir, merci de ne pas déranger nos clients. D’autres tables sont libres. Marty, joviale et entraînant, s’approcha du colosse qui lui donna un grand coup dans la figure. Le bruit de Marty venant cogner la table figea les autres personnes présentes, Dimitri qui n’était pas dans son état normal esquissa un sourire bref, à moins que ce genre de chose ne le fasse vraiment rire au fond de lui-même. Pourtant, il savait qu’il l’aimait bien ce Marty.
Son regard glissa sur le corps de l’aubergiste qui se redressait déjà. L’homme était solide, et son regard noir en disait long sur la suite. Il risquait de se faire démolir à tout moment. Pour ce qui était de cette fille… Il n’arrivait toujours pas à comprendre pourquoi cette odeur singulière lui disait quelque chose. La vérité martelait son esprit.
Vous n’avez pas l’air de connaître les règles à Ikusa. Attendez de voir. Menaça le bon vieux Marty. Quelle bonne gueule celui-ci. Surtout quand il courut à l’arrière de sa boutique pour aller chercher une hache plus grande que lui. Objet qu’il soulevait sans mal.
Allez Marty… Grand garçon… Souffla le brun suffisamment fort pour encourager le patron. Viens m’aider ducon, au lieu de te marrer. La tête contre sa paume, il soupire et finit par dire : Quand j’ai fini… Promis juré. La chope était pleine.
Les pensées affluent. L'orbe me cause toujours. Mais je suis sur de ne plus sentir de connexion avec mon esprit. Peut être parce qu'il y a trop de bazar dans cette tête.
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