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Noble du Reike
Tagar Reys

Messages : 1263
crédits : 2690
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Info personnage
Race: Humain
Vocation: Mage Elementiste
Alignement: Loyal Neutre
Rang: B - Coeur
Année 5 le 13 février
Il est arrivé, monseigneur.
Je lève la tête quand Edgar, le majordome de la demeure familiale, un homme d’une cinquantaine d’années qui était présent à ma naissance, me parle. Je ne peux m’empêcher de sourire d'anticipation et je lui dis :
Faites-le entrer et menez-le dans le petit salon, s’il vous plaît.
Toujours être poli, même avec le petit personnel, c’est la base de la noblesse pratiquée par les Reys. Je suppose que le coursier a été arrêté par les deux mercenaires portant les couleurs de la famille, or et sang, gardant la grille. Puis il devra passer par la porte, gardé ici par un mage qui s’assure que nul n’a usurpé d’identité, chose malheureusement rendue nécessaire par les temps qui courent.
Puis les différentes pièces s’enchaînent, au fond mes appartements privés et ceux de ma mère, dont la porte est bien entendu fermée. Il y a également une petite salle de bal et mon bureau, où je traite les affaires des différents visiteurs.
Au centre de la grande structure, à l'air libre, se trouve un magnifique jardin intérieur avec de grands palmiers et de multiples roses de toutes les couleurs, blanche, orange, rose et rouge, diffusant un parfum délicat.
De l'autre côté, se trouve la cuisine, la réserve, les logements des serviteurs et les différentes dépendances. Un toit terrasse permet d'avoir une vue imprenable sur le Palais. Les chambres des invités sont dans l'aile nord.
La décoration, comme d’habitude est assez sobre, la famille Reys n’affichant pas sa richesse. Après tout, la paye de contrôleur royal n’est pas mirifique et nous ne possédons que peu de bien, contrairement à d’autres familles. Nous avons toujours été des fonctionnaires de père en fils et si nous possédons quelques esclaves, maintenant affranchis, nous faisons bien attention à ne jamais avoir de dette. Depuis que je suis passé Ministre des Finances, cela n’a pas changé. Je me rends également au petit salon et je soulève délicatement le drap recouvrant la maquette qui représente la cité d’Aquaria. Il ne manque plus que la coupole, pièce la plus délicate à faire que j’ai dû sous-traiter à un artisan en République et que je reçois aujourd’hui.
Il est arrivé, monseigneur.
Je lève la tête quand Edgar, le majordome de la demeure familiale, un homme d’une cinquantaine d’années qui était présent à ma naissance, me parle. Je ne peux m’empêcher de sourire d'anticipation et je lui dis :
Faites-le entrer et menez-le dans le petit salon, s’il vous plaît.
Toujours être poli, même avec le petit personnel, c’est la base de la noblesse pratiquée par les Reys. Je suppose que le coursier a été arrêté par les deux mercenaires portant les couleurs de la famille, or et sang, gardant la grille. Puis il devra passer par la porte, gardé ici par un mage qui s’assure que nul n’a usurpé d’identité, chose malheureusement rendue nécessaire par les temps qui courent.
Puis les différentes pièces s’enchaînent, au fond mes appartements privés et ceux de ma mère, dont la porte est bien entendu fermée. Il y a également une petite salle de bal et mon bureau, où je traite les affaires des différents visiteurs.
Au centre de la grande structure, à l'air libre, se trouve un magnifique jardin intérieur avec de grands palmiers et de multiples roses de toutes les couleurs, blanche, orange, rose et rouge, diffusant un parfum délicat.
De l'autre côté, se trouve la cuisine, la réserve, les logements des serviteurs et les différentes dépendances. Un toit terrasse permet d'avoir une vue imprenable sur le Palais. Les chambres des invités sont dans l'aile nord.
La décoration, comme d’habitude est assez sobre, la famille Reys n’affichant pas sa richesse. Après tout, la paye de contrôleur royal n’est pas mirifique et nous ne possédons que peu de bien, contrairement à d’autres familles. Nous avons toujours été des fonctionnaires de père en fils et si nous possédons quelques esclaves, maintenant affranchis, nous faisons bien attention à ne jamais avoir de dette. Depuis que je suis passé Ministre des Finances, cela n’a pas changé. Je me rends également au petit salon et je soulève délicatement le drap recouvrant la maquette qui représente la cité d’Aquaria. Il ne manque plus que la coupole, pièce la plus délicate à faire que j’ai dû sous-traiter à un artisan en République et que je reçois aujourd’hui.

Citoyen de La République
Pyxis Tiamat

Messages : 8
crédits : 241
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Info personnage
Race: Triton
Vocation: Mage élémentariste
Alignement: Chaotique neutre
Rang: C
La curiosité gratte ta peau comme un papier de verre qui ponce le bois depuis des heures. Ce n’est pas agréable du tout, mais tu sais parfaitement aussi que jamais tu n’ouvriras un paquet d’un client. Pourtant, c’est plus que tentant, cela vient de la république pour un noble du Reike. Pour un putain de politique du Reike même.
Avant de prendre cette mission, tu n’en avais aucune idée. Même pendant le transport en lui-même, l'identité de ton client ne te faisait ni chaud ni froid, mais quand il a commencé d’être question de savoir exactement a qui remettre ton colis ça a commencé à piquer ta curiosité encore plus.
Qu’est-ce qu’un ministre du Reike a besoin d’avoir un colis par un artisan de la République apporter par un service de livraison indépendant ? C’est ce que tu demandes alors que tu attends après qu’on t’ait arrêté aux portes de la propriété. La sécurité est assez impressionnante d’une certaine façon.
Quand on te fait entrer dans les lieux, la vision de cet endroit si grand, mais avec en perspective du statut de l’homme paraît si fade. Pourquoi un noble n’a pas plus de décoration clinquante hurlant sa richesse ? Ce n’est pas une condition de base au fait d’être noble ?
– C’est ici monsieur.
Un sursaut te prend en entendant la voix du personnel qui t’a gentiment conduit sur place. Jamais tu n’aurais pensé qu’un personnel noble soit aussi respectueux envers un simple livreur. Vraiment, ce lieu t’intrigue. Peut-être simplement pas les mêmes mœurs que ce que tu as pu lire ou entendre parler sur ton île chérie.
– Merci.
Tu entres dans la pièce qu’on vient de t’indiquer et tu vois clairement un homme dedans. Au moins tu n’as pas à attendre debout que ce dernier daigne venir récupérer son colis. Cela t’est déjà arrivé, ce n’est pas agréable.
– Bonjour monsieur, je suis le service de livraison et…
Tu stoppes ta phrase en plein milieu après que tes yeux eurent été attirés par la maquette qu’a découvert l’homme. C’est impossible de ne pas reconnaitre. Tu as lu bien trop de description du lieu ou vu d’illustration pour que ton cerveau ne reconnaisse pas immédiatement Aquaria.
Instinctivement, sans même pouvoir t’en empêcher, tu t'approches rapidement de la maquette sans même réfléchir qu’une approche aussi vive auprès d’un inconnu, noble de sur quoi, soit mal vu. Tes yeux brillent d’un intérêt certain et ne quittent pas la maquette. C’est comme si ton client était invisible là tout de suite. Ta curiosité pour l’objet face à lui est bien plus forte.
– C’est si beau… Mais… hum… Il manque des trucs non ?
Tu marmonnes cela en cherchant dans ta mémoire les éléments dans tes lectures ou représentations du lieu. C’est en cherchant cela que tes yeux tombent à nouveau sur la main de l’homme dans ton champ de vision et te font réaliser la portée de tes gestes. Merde.
Tu recules de trois pas d’un coup en te redressant avant de te masser le cou embarrassé par ton action si impulsive face à un inconnu, ton colis tout dans ton sac dans ton dos.
– Heu… Désolé, j’ai… hum… une certaine affection pour Aquaria. Bref… Votre colis monsieur.
Et tout en disant cela, tu sors le précieux paquet et le tends à l’homme en face de toi.
CENDRES
Avant de prendre cette mission, tu n’en avais aucune idée. Même pendant le transport en lui-même, l'identité de ton client ne te faisait ni chaud ni froid, mais quand il a commencé d’être question de savoir exactement a qui remettre ton colis ça a commencé à piquer ta curiosité encore plus.
Qu’est-ce qu’un ministre du Reike a besoin d’avoir un colis par un artisan de la République apporter par un service de livraison indépendant ? C’est ce que tu demandes alors que tu attends après qu’on t’ait arrêté aux portes de la propriété. La sécurité est assez impressionnante d’une certaine façon.
Quand on te fait entrer dans les lieux, la vision de cet endroit si grand, mais avec en perspective du statut de l’homme paraît si fade. Pourquoi un noble n’a pas plus de décoration clinquante hurlant sa richesse ? Ce n’est pas une condition de base au fait d’être noble ?
– C’est ici monsieur.
Un sursaut te prend en entendant la voix du personnel qui t’a gentiment conduit sur place. Jamais tu n’aurais pensé qu’un personnel noble soit aussi respectueux envers un simple livreur. Vraiment, ce lieu t’intrigue. Peut-être simplement pas les mêmes mœurs que ce que tu as pu lire ou entendre parler sur ton île chérie.
– Merci.
Tu entres dans la pièce qu’on vient de t’indiquer et tu vois clairement un homme dedans. Au moins tu n’as pas à attendre debout que ce dernier daigne venir récupérer son colis. Cela t’est déjà arrivé, ce n’est pas agréable.
– Bonjour monsieur, je suis le service de livraison et…
Tu stoppes ta phrase en plein milieu après que tes yeux eurent été attirés par la maquette qu’a découvert l’homme. C’est impossible de ne pas reconnaitre. Tu as lu bien trop de description du lieu ou vu d’illustration pour que ton cerveau ne reconnaisse pas immédiatement Aquaria.
Instinctivement, sans même pouvoir t’en empêcher, tu t'approches rapidement de la maquette sans même réfléchir qu’une approche aussi vive auprès d’un inconnu, noble de sur quoi, soit mal vu. Tes yeux brillent d’un intérêt certain et ne quittent pas la maquette. C’est comme si ton client était invisible là tout de suite. Ta curiosité pour l’objet face à lui est bien plus forte.
– C’est si beau… Mais… hum… Il manque des trucs non ?
Tu marmonnes cela en cherchant dans ta mémoire les éléments dans tes lectures ou représentations du lieu. C’est en cherchant cela que tes yeux tombent à nouveau sur la main de l’homme dans ton champ de vision et te font réaliser la portée de tes gestes. Merde.
Tu recules de trois pas d’un coup en te redressant avant de te masser le cou embarrassé par ton action si impulsive face à un inconnu, ton colis tout dans ton sac dans ton dos.
– Heu… Désolé, j’ai… hum… une certaine affection pour Aquaria. Bref… Votre colis monsieur.
Et tout en disant cela, tu sors le précieux paquet et le tends à l’homme en face de toi.
CENDRES

Noble du Reike
Tagar Reys

Messages : 1263
crédits : 2690
crédits : 2690
Info personnage
Race: Humain
Vocation: Mage Elementiste
Alignement: Loyal Neutre
Rang: B - Coeur
Un jeune homme arrive et se présente comme étant le livreur, je me détourne de la contemplation de la maquette pour voir un jeune homme grand, un visage souriant et sympathique avec des yeux de couleurs différentes. Mais ce qui me surprend le plus est sa couronne de laurier qui retient ses cheveux noirs.
De toute façon, je n’ai pas le temps de le saluer à mon tour, car il s’avance vers moi, ou plutôt de la cité d’Aquaria pour l’admirer. Il semble connaître les lieux, car il remarque immédiatement qu’il manque quelque chose et lorsqu’il s’excuse pour son comportement, je lui réponds en souriant, amusé pas son comportement :
Pas de problème, en plus, vous avez tout à fait raison, il y a le grand palais qui est absent, ce qui est d’ailleurs la raison de votre présence ici.
Je prends le paquet en lui disant :
Merci pour votre diligence.
Je l’ouvre et constate avec plaisir que le précieux contenu est intact et de plus très détaillé. Je le sort donc et le place à sa place d’honneur. Une fois, ceci fait, je donne un pourboire confortable au messager avant de lui dire :
Vous avez l’œil, est-ce que vous avez déjà eu la chance de visiter la cité sous-marine ? Si c’est le cas, accepteriez-vous de répondre à quelques questions ? Je rencontre leur émissaire demain, ce présent est pour lui d’ailleurs et je ne veux pas faire d’impair.
C’est le problème avec une nouvelle nation, il doit y avoir des tabous dont je ne sais rien, comme dois-je cuire le poisson ? Ce genre de chose me serait bien utile et si je peux glaner quelques informations, ce serait toujours cela de pris. Ce serait dommage de froisser mortellement mon futur invité de marque et potentiel allié dans la lutte contre la République.
De toute façon, je n’ai pas le temps de le saluer à mon tour, car il s’avance vers moi, ou plutôt de la cité d’Aquaria pour l’admirer. Il semble connaître les lieux, car il remarque immédiatement qu’il manque quelque chose et lorsqu’il s’excuse pour son comportement, je lui réponds en souriant, amusé pas son comportement :
Pas de problème, en plus, vous avez tout à fait raison, il y a le grand palais qui est absent, ce qui est d’ailleurs la raison de votre présence ici.
Je prends le paquet en lui disant :
Merci pour votre diligence.
Je l’ouvre et constate avec plaisir que le précieux contenu est intact et de plus très détaillé. Je le sort donc et le place à sa place d’honneur. Une fois, ceci fait, je donne un pourboire confortable au messager avant de lui dire :
Vous avez l’œil, est-ce que vous avez déjà eu la chance de visiter la cité sous-marine ? Si c’est le cas, accepteriez-vous de répondre à quelques questions ? Je rencontre leur émissaire demain, ce présent est pour lui d’ailleurs et je ne veux pas faire d’impair.
C’est le problème avec une nouvelle nation, il doit y avoir des tabous dont je ne sais rien, comme dois-je cuire le poisson ? Ce genre de chose me serait bien utile et si je peux glaner quelques informations, ce serait toujours cela de pris. Ce serait dommage de froisser mortellement mon futur invité de marque et potentiel allié dans la lutte contre la République.
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