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  • Ven 10 Mar - 19:49
    Il y avait beaucoup de dangers sur le Sekai. Beaucoup de dangers. Les Titans et leurs armées impies étaient un exemple très XXL du genre de catastrophe qui pouvait tomber sur la tête d'un pauvre sire mais pas nécessairement représentatif de tout ce qui pouvait tomber sur les civils paisibles de la République, éloignés des villes majeures, pas abandonnés par l'état mais quand même beaucoup moins saufs qu'un Justicier (c'était bien le nom adapté, non ? Elle ne savait plus trop) logé paisiblement dans son appartement au centre de la ville. Eux devaient faire avec quelques prédateurs affamés, des brigands impitoyables, des araignées géantes d'après quelques rumeurs échangées entre quelques ricanements. Sans oublier certains revanchards de l'île des pirates, Kaizoku, pas satisfaits avec l'invasion de leur petite île "tranquille".

    Bien sûr, tout ce qui méritait l'attention des chefs locaux était rapidement neutralisé ou chassé. Mais quelques fois, Verzebel avait la chance de s'occuper d'un cas avant qu'il ne prenne des proportions à en inquiéter les maires du coin, ce qui sauvait du temps et de l'argent aux doux citoyens de la République. Et dieu sait comment l'argent y était précieux, ici. Cette petite pile de brigands inconscients aux pieds de Verzebel, par exemple, avait pour idée de foncer dans les commerces de la petite ville de Mirabois pour acquérir les écus accumulés par ses habitants au cours du mois. Leur travail complété, ils auraient disparus dans les bois pour retenter leur coup. Et peut-être qu'ils auraient réussis, si jamais une certaine rousse n'avait pas été là au moment où le chef avait décider de lancer la charge !

    Elle avait été plutôt douce, ils n'étaient qu'inconscients. Bon, elle avait tapé sur eux avec ses poings super-forts mais ils vivraient pour regretter leurs actions.Elle se permit quand même de poser un pied sur le dos du leader du groupe, gisant par terre avec l'arrière-train pointé vers le ciel. C'était un peu humiliant pour lui mais son capital de sympathie envers le monsieur n'était pas très grand, particulièrement vu la taille de la machette gisant sur le pavé à ses côtés. Nul doute qu'elle n'aurait pas été utilisée pour taillader les portes en bois du patelin.

    Merci beaucoup, brave chevalière, Le maire du village avait des airs dignes, tout haut et tout droit dans ses vêtements de couleur sombre, les cheveux gris bouclés lui descendant vers les épaules. Le nez acéré, tout comme le menton, il ne prit pas la peine de sourire, laissant le soin à sa courbette polie d'exprimer toute sa gratitude. Et aussi, peut-être, ne voyait t-il toujours pas raison de sourire. Il aurait été fâcheux de perdre cet argent. Nous ne pouvons vraiment pas nous permettre de perdre ne serait-ce qu'un écu. Ce serait très dommage si quelqu'un venait à nous demander de nous séparer de notre argent en quelconque quantité. Ce cas de figure serait incongru même si cette personne venait à le demander poliment et même si le village lui était redevable. Ce serait fâcheux que d'être exposé à ce dilemme.

    Verzebel croisa les bras, un sourire amusé au visage. Elle comprenait parfaitement les reluctances de certains avec les Et si cette personne venait seulement à demander une auberge pour la nuit, en payant sa chambre comme tout le monde ?

    Je lui conseillerais de visiter "La boisson hérisson", Verzebel était une jeune femme très polie mais le ton éternellement sérieux du maire la ferait presque s'esclaffer. Si le maire paraissait suffisamment rassuré pour avoir un très léger sourire en coin, si imperceptible qu'elle pensait que ce n'était qu'une ride au coin droit de sa lèvre au début, son ton restait toujours très.. sérieux. De sa poche, il tira un petit bout de papier blanc, qu'il tint entre son index et son majeur, tendant ensuite dans la direction de la rousse. Cette dernière agrippa doucement le petit bout de papier, avec un "merci" aussi discret que poli. Vous méritez quand même une petite remise sur la chambre. N'hésitez pas à y souper, aussi : un barde va jouer, ce soir. Pas mal de cet argent que vous venez de sauver lui sera remis si tout se passe bien.

    Un barde ? Verzebel avait pensée simplement trouver un lieu où dormir mais se relaxer un peu en écoutant de douces chansonnettes lui paraissait tout aussi idéal. Cela faisait un moment qu'elle avait pu être spectatrice à une performance de barde, en plus. La vie vagabonde et tout ! Il doit être plutôt doué ! Je serais honorée de profiter d'une telle performance !

    Le vieux maire poussa un petit soupir dépité. Avec un prix pareil ? J'espère que la performance en vaut la peine. À ce soir, mademoiselle. Il s'éloigna mais Verzebel se tint sur place, se massant le menton avec un air curieux au visage. Une performance de barde était une récompense particulièrement... unique pour un travail bien fait mais elle se souciait seulement d'avoir un lit, un toit et de la nourriture pour passer la soirée. Elle avait quelque chose à faire à Justice, après tout. Et le chemin vers la ville phare de la République pourrait encore prendre un tout petit peu de temps si elle traînait. Non, d'ici les premières lueurs de l'aube, la rousse devra être sur ses deux pieds, prête à reprendre le chemin.

    Mais écouter ce barde, bah, ça pouvait en valoir la peine, non ? C'était rare qu'elle assiste à leurs performances depuis... depuis... un moment, quoi. Cela ferait un souvenir sympathique ! Même si elle ne comptait pas rester la soirée, autant voir si elle ne pouvait pas avoir une ou deux chansons en tête d'ici la fin de la soirée.

    Hm, mademoiselle ? Vous avez le pied posé sur l'un d'entre eux, ça aiderait de le retirer.

    Ahhh hmm oui bien sûr, désolée.
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    Øxen Eilhart
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  • Dim 12 Mar - 18:10
    La vie d'artiste...
    Voyager de ville en ville et vivre de sa passion, c'était une belle vie pour notre barde qui n'avait jamais rêver de mieux. Bien sûr il lui arrivait de repenser à sa vie d'avant, celle où il faisait partie d'un groupe où chacun se complétait lors de représentations ingénieuses toujours plus appréciées par un public de qualité et de renommée.
    Oh ça oui, c'était bien mieux que de jouer pour une bande d'ivrognes dans une taverne miteuse, des soulards incapables de comprendre la finesse des mots ce qui, lorsque que l'on use de rimes est le pire des maux.

    Enfin, il ne pouvait y avoir que des avantages à vivre en solitaire, au moins il n'avait personne sur le dos, pouvait faire ce qu'il voulait lorsqu'il le voulait et par rapport à la vie de troupe c'était déjà beaucoup. Avec la grande époque il avait eu l'occasion de mettre pas mal d'argent de côté, amplement de quoi subvenir à ses besoins, cumuler à quelques représentations par-ci par-là et il avait de quoi bien vivre. En plus, comme il avait une bonne tête et n'avait pas pour habitude de causer des problèmes, il lui suffisait de demander gentiment avec un beau sourire pour avoir une remise pour la nuit et le repas offert. Oui cette vie lui plaisait, il ne manquait de rien et n'avait pas de quoi se plaindre. Sans être un profiteur, Øxen avait appris à accepter ce qu'on pouvait lui offrir, et c'était généralement les gens qui avaient le moins qui offrait le plus. Jamais un nobliau n'aurait eu l'idée ni l'envie d'offrir un festin, mais un miséreux lui, aurait partagé jusqu'à son quignon de pain.

    Mirabois était une petite bourgade dans laquelle il était déjà allé plus d'une fois, principalement avec sa troupe, chose qui avait le don de faire remonter tout un tas de souvenirs plus ou moins agréable à la surface. Un endroit somme toute sympathique et pas aussi paumé qu'on aurait pu le croire, on pouvait même parler d'une petite ville. Au début Øxen n'avait pas vraiment prévenu de jouer, mais le tenancier de l'établissement était un ancien ami, pousser la chansonnette en échange d'une ou deux nuits et des repas... On lui avait dit que les habitants c'étaient cotisés pour payer cette « prestation», mais le barde comptait refuser l'argent, il pouvait faire plaisir à un ami et cela avait plus de valeur à ses yeux que des pièces sonnantes et trébuchantes. Il aimait pouvoir rendre service, se dire qu'il pourrait égayer la soirée de quelques clients était une récompense bien suffisante pour lui.

    Le barde était déjà présent à l'auberge bien avant la représentation, s'amusant à faire l'animation dans l'établissement, il avait joué aux cartes, perdu au bras de fer contre un type qui faisait deux fois sa carrure, fais les yeux doux à une serveuse...
    Finalement, il était venu s'asseoir au comptoir, simplement pour discuter un peu.

    - Ton ancienne troupe est passée dans le coin il n'y a pas longtemps, certains l'ont encore mauvaise suite à ton départ, ça raconte même que tu serais partie avec un de leur petit bijou.

    L'aubergiste lança un regard au luth que le barde portait en bandoulière dans son dos.

    - Mon luth ? Il appartenait à mon père de cœur, et qu'est-ce que cette bande de rustres ferait d'une merveille pareille ?

    - Aucune idée mon gars, mais ils disent que tu l'as volé.

    - Balivernes de crève-la-faim. C'est encore un coup de cette sorcière de Yéléna c'est ça ? Cette acrobate de foire... pour voler les vêtements qui pendaient entre les bâtiments de Liberty, ce n'était pas la dernière. Toujours vêtue comme un sac, incapable d'accorder deux couleurs. Qui aurait pu jouer d'un tel instrument ? Notre monsieur muscle, Hektor ? Certes pour casser des cailloux avec sa tête et porter des charges lourdes c'est un champion, mais niveau finesse il a autant de doigté qu'un couillon.

    - Hé ! Moi aussi je porte des charges lourdes alors attention à ce que tu sous-entends de ma finesse ! J'ai les muscles durs comme des couilles de bœuf.

    - Fais voir tes couilles de bœuf.

    Fit-il du tac au tac. Le barde laissa s'écouler plusieurs secondes avec de rigoler de bon coeur.


    Parle en : #8E44AD

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  • Lun 20 Mar - 19:04
    98... 99...

    Repousser ses limites, c'est la façon de faire des vrais chevaliers. Même au repos, il fallait essayer de faire quelque chose de son temps, vu que chaque seconde perdue à ne rien faire pourrait lui coûter plus tard. Tout allait de son énergie disponible après, car pousser son corps quand elle manque de force ne peut que lui amener préjudice, mais assez heureusement battre quelques bandits n'avait pas tellement puisé dans ses réserves. Et sa marche vers le village non plus : il n'y avait pas eu d'attaques de la part de loups mutants ni de groupes d'hors-la-loi génériques autres que ceux dans le village. Agréable, non ? La République avait ses problèmes mais la GAR faisait attention à ses sujets. Et les villages n'étaient pas tous en souffrance, attendant et priant pour qu'un(e) étranger/étrangère au bon coeur et à l'épée adroite vienne les délivrer de leurs maux.

    Mais parce que ce village là était en paix ne garantissait pas que le suivant soit en paix. Et ainsi, Verzebel devait travailler dur pour être à la hauteur et ne pas reposer sur ses lauriers. C'était pour ça qu'elle avait décidée de pratiquer les haltères avec l'armoire de sa chambre, y fourrant son armure et ses armes pour lui donner quelques précieux kilos de plus avant de se lancer. C'était un pari risqué de faire ça, surtout si la pauvre armoire devait tomber et abîmer une partie de la pièce, mais ça l'encourageait à être prudente, quelque part. Elle soulevait et baissait l'objet de façon très délibérément, les doigts agrippant bien l'objet, s'arrêtant quelques instants pour inspirer et expirer dès qu'elle sentait ses forces la quitter. Il ne fallait quand même pas attendre que ses bras chancellent, pas vrai ? Son objectif était d'atteindre 100 avant que ça n'arrive, ce qui était un peu bêta, elle l'avouerait, mais la rousse s'imaginait atteindre le nombre clé rapidement.

    Ce qui était un peu bêta ça aussi, on va être honnêtes.

    100 ! Bravo Verzebel ! Pas tirée d'affaire pour autant, Verzebel posa bien l'armoire sur le côté, ne relâchant son attention qu'une fois l'armoire bien remise à sa position initiale. Se frottant des mains, la jeune femme se cala un petit applaudissement solitaire avant de se relever, contente de se sentir un peu plus épuisée qu'avant. L'excitation interdite d'avoir fait quelque chose de dangereux brûlait pourtant en son âme, lui donnant l'envie de recommencer mais avec une seule main à la place. Pourtant, si son âme se faisait tentatrice, son corps était beaucoup plus honnête avec elle : même sa brève séance d'applaudissement lui avait envoyé des secousses dans les os, à s'en effriter les muscles. Sacrée lourde, cette armoire ! Comme quoi il ne fallait pas sous-estimer la puissance de tout un tas de couvertures emmitouflé les unes sur les autres. Les pompes allaient attendre: Verzebel se sentait encore combative mais il était important que son corps se repose un peu entre chaque exercice stressant.

    Sinon, elle risquait surtout de se retrouver collée au lit un long moment, avec les muscles déchirés et les os plus proches de tiges de bois en solidité qu'autre chose. Toute guerrière surhumaine que Verzebel était, même elle n'était pas sans limitations humaines naturelles. Comme la fatigue ou le... trop-plein de sueur après un effort physique intense, urgh. Encore heureuse qu'elle ait enlevée son armure avant de commencer !

    ...

    Descendre au rez-de-chaussé de l'auberge lui avait semblé raisonnable, après une petite séance de nettoyage pour éviter que son odeur ne ruine la soirée. Elle avait soif, après sa petite séance physique : elle irait chercher de quoi boire de l'eau au bar puis discuterait un peu avec les braves locaux, peut-être resterait un peu pour voir si elle ne pouvait pas se glisser dans les jeux et activités de la salle et puis elle resterait pour le barde ou rentrerait dans sa chambre, selon l'horaire. Le contact humain lui avait un tout petit peu manqué, ces derniers jours. Il fallait dire que sa carte de la région avait été... agrippée dans la mauvaise direction pendant quelques heures. Et puis avait été balayée par un vent assez fort. Et puis avait été récupérée, ce qui était sympa mais lui avait surtout montrée que la carte était inutile maintenant, parce qu'elle ne savait pas du tout où elle se trouvait.

    De toute évidence, ça avait été un coin plutôt isolé. Et vu le mois, personne n'allait se promener dans les bois de sitôt quand la nuit tombait de sitôt.

    Mais bon, elle était de retour en civilisation polie, non ?

    Hahahaha, couilles de boeuf ! Rit un homme au bar, ayant écouté deux autres parler avant de lancer sa tirade, espérant sans doute rejoindre là la conversation. Verzebel écarquilla des yeux, fraîchement arrivée mais plus amusée qu'indignée. Elle n'aimait pas les jurons mais la rousse n'allait quand même pas faire la police des mots, non ? Elle était déjà plus intéressée par l'idée de s'abreuver ! S'approchant du bar à grandes enjambées, la jeune femme vit en arrivant qu'un des joyeux lurons avait un instrument de musique sur son dos, elle le reconnaissait. C'était un.;

    Un...

    ... Bah, ah, ça faisait un bail qu'elle avait été parmi des troupes itinérantes hein ?

    Bonsoir ! Fit t-elle à l'assemblée, avant de se tourner vers le barman. De l'eau, s'il vous plaît ! Fouillant dans sa poche droite rapidement, la jeune femme déposa une poignée d'écus sur le comptoir. Autant pour maintenant que pour de futurs achats, au cas où ce seul verre n'irait pas. Et voir autant d'écus allongés pour seulement de l'eau poussa le barman à vite se mettre au travail, content d'avoir du monde pour ce soir.

    Dites, cet instrument de musique sur votre dos, fit la rousse se tournant vers son voisin. Qu'elle commençait à comprendre son rôle dans la soirée. Hrm c'est... une petite guitare ou ça à un nom spécial ?
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  • Hier à 18:05
    - Je pourrais, mais…

    - Oui, garde ton attirail au chaud, c'est un coup à ce que l'on finisse au frais toi et moi pour exhibition, je t'aime bien, mais… passé une journée avec toi dans 10m² avec un seau en guise de chiotte et sans l'ombre d'une seconde d'intimité, sans façon.

    - Tu pourrais peut-être y croiser ta Yéléna, l'occasion de renouer… au moins niveau intimité tu ne seras pas gêné avec elle hein ?

    La pique lui fit relever la tête. Le barde fronça légèrement les sourcils, que lui-même parle de Yéléna était une chose, d'un ami qui utilise sa relation passée pour lui envoyer une pique en était une autre. Mais Oxen était bon joueur, il aurait pu se braquer, envoyer son poing dans le coin de la mâchoire de son interlocuteur, ou peut-être jouer une note de musique pour lui envoyer une bouteille dans la figure. Plutôt que cela, il se contenta de sourire à la plaisanterie, même si derrière ce sourire se cachait une douleur qui ne l'avait jamais quittée. Le barde fit finalement volte-face lorsque sa voisine de comptoir l'interrogea sur son instrument.

    - Mes salutations noble dame !

    Fit-il en levant son chapeau.

    - Et bien pour tout vous avouer il s'agit d'un Luth, à la différence de la guitare le luth ne possède pas de caisse de résonance et il n'est pas doté d'une forme cintrée.

    Ce n'était pas tous les jours qu'on prenait le temps de lui poser une question concernant son instrument, la plupart des gens se fichaient bien du nom qu'il pouvait porter, tout comme les différences qu'il pouvait avoir avec les autres instruments à cordes pincées. Le barde aurait même pu s'étendre sur les capacités magiques de son instrument, notamment le fait qu'il soit incroyablement résistant, enfin, bien plus qu'un instrument classique.

    - Excusez-moi, quel malpoli je fais, Oxen Eilhart, barde, écrivain et parfois aventurier, pour vous servir.

    - Et voilà qu'il recommence…

    Finis par dire le tenancier en soupirant derrière son comptoir. L'homme se tenait à une distance raisonnable de barde, il nettoyait des verres pour le service du soir.

    - Quelque chose à redire peut-être ?

    - Vas-y, conte fleurette à mes clientes.

    - Sottises. Retourne donc à tes verres et laisse-nous discuter entre personnes de bon goût, actionne tes petits muscles de bœuf hein, si tu vois ce que je veux dire.

    Le tenancier marmonna quelque chose dans sa barbe puis retourna à ses affaires. Pourquoi fallait-il que quelqu'un vienne s'occuper de ses conversations ? Oxen était pourtant suffisamment âgé pour discuter à une jeune femme sans être importuné à la première occasion. Bon, il n'était pas mentir de dire qu'il avait parfois jacté avec la mauvaise personne, mais là, c'était tout bonnement sans risque.

    - Excusez-le, c'est un brave type, mais un peu rustre qui me couve comme une mère poule. A qui ai-je l'honneur ?

    - Si elle te casse la gueule, compte pas sur moi pour intervenir.

    - Non mais c'est fini oui ?!


    Parle en : #8E44AD

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