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  • Lun 10 Avr - 17:12
    L’air froid semble vicié tant il attaque avec facilité le cœur des bronches. Malgré le rallongement des jours, le froid décide de prolonger son office et de s’incruster partout où il le peut. Une fine goutte, résultat de la condensation, s’écoule paisiblement le long d’une stalactite qui n’est autre que le fruit de plusieurs jours de gelée. Le soleil décline d’ores et déjà à l’horizon, et ce, malgré les efforts de l’astre solaire pour perdurer dans cette ligne imaginaire. Les chevaux cessent le galop, leurs puissants naseaux relâchent d’épais nuages de vapeurs dans des hennissements confus, pourquoi diable le galop ici ? Leur harnachements sont parfaitement epoussetés, lustrés et vernis pour l’occasion. Mais le fier destrier n’en revient toujours pas d’avoir subi un tel effort physique sur une route d’accoutumée si paisible. Est-ce-là le fruit d’une ânerie de sa maîtresse ou le diable lui-même était-il bel et bien à leurs trousses ? La femme en armure lourde et au heaume ailé n’avait pas pipé le moindre mot à son comparse qui affichait une moue désabusée. Comment aurait-il pu gagner ? Non, il ne l’aurait pu.

    « Il y a du progrès Aphelandra. Mais c’est encore insuffisant pour que je daigne commencer à t’entraîner sérieusement. Si tu n’es pas capable de chevaucher correctement, comment pourrai-je t’apprendre à te battre à l’épée puis à cheval, où la concentration et la dextérité sont de rigueur ? »

    Aphelendra qui franchit elle aussi les portes de la ville, ôte son casque et le fixe sur sa selle tout en continuant de calmer son équidé pour lui inciter à reprendre ses forces et son souffle, il aurait bien mérité une belle botte de foin pour avoir tenu tête à un destrier tel que « Éternité ». Le général avait
    marqué une pause pour dévisager de haut en bas sa palefreniere avant d’entrer à son tour dans la ville, depuis la rue principale, elle pouvait apercevoir le lac et ses reflets mordorés s’estompant peu à peu dans la lueur crépusculaire. Voilà des années qu’elle ne s’était pas rendu dans une ville autre que Liberty pour le « plaisir ». Plaisir, c’est un mot à utilisé rapidement, elle n’était pas spécialement attachée à ce genre de mondanité, mais on lui avait fortement conseillé de se porter volontaire afin d’afficher un visage victorieux de la République. Car, son petit coup d’éclat sur Kaizoku avait bel et bien fait son petit effet au sein des armées et de l’aristocratie mondaine.

    « Je sais maîtresse. Je suis ne suis pas encore digne de votre savoir, mais lorsque je le saurai, soyez
    sûre que je redoublerai d’effort pour vous rendre fière. »


    Le général ôte à son tour son heaume et le fixe de manière identique à sa suivante avant de plonger son regard froid et implacable dans celui de la jeune Aphelendra.

    « C’est bien ça ton problème. Toujours dans le passé à ressasser des erreurs. Et toujours dans le futur
    pour prédire et prévoir ce que je vais te demander pour te démarquer. Cesse donc tout ceci et
    concentre toi sur le présent maintenant ! »


    Un air espiègle et songeur s’affiche alors sur le visage de la jeune dame.

    « Comme ce stupide tournoi de combat, maîtresse ? »

    Le général affiche un large sourire avant de la gratifier d’une brève brimade.

    « C’est mieux que rien. »

    La demeure du seigneur Oelwin est l’une des plus resplendissantes de toute la ville. Déjà, des dizaines de convives se pressent à l’entrée des jardins pour fuir la fin de l’hiver mordant et pouvoir se réchauffer l’âme et le corps.

    « As-tu ma tenue ?»

    Sans mot dire, la palefrenière détache un épais sac de cuir qu'elle ouvre sur la selle du cheval du Général, elle déplie la robe parfaitement soigné, d'un vert foncé profond parfaitement mis en valeur par les liserai doré, une robe sage et chaste. Tout l'inverse de l'attitude cavalière du Général qui ôte d'ores et déjà son armure dans l'écurie afin de revêtir la robe.

    « Euh... Général ?»


    Aphelendra désigne les épaisses bottes de plaques, un oubli du Général qui pousse un large soupir avant de les enlever au profit de talons haut vernis. Au même moment, l'écuyer passe des bijoux et des ornements dans les ailes blanches de la Valkyrie, lui offrant un cachet supérieur. Elle n'avait rien a ajouté et le Général non plus, préférant se présenter devant les portes, lieu auquel on lui demande son invitation que sa palefrenière donne avec un regard rempli de moquerie à l'égard de son mentor. Les hostilités peuvent commencer dès lors, Tissaia avait toujours préféré le champ de bataille aux soirées mondaines. Elle entre enfin dans la demeure, avant d'être subitement abasourdi...
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    Invité
    Anonymous
  • Mar 11 Avr - 18:39
    Plus qu'une ville, Justice etait un symbole. De la grandeur juridique et judiciaire de la Republique. De la force de la loi, de la grandeur de l'esprit. Un haut lieu du monde ou personne ne pouvait se déplacer sans ressentir un petit quelque chose dans la poitrine.

    La reikoise n'avait jamais mit les pieds dans cette ville, et c’était une petite excitation que de découvrir un nouveau lieu. Surtout qu'elle ne venait pas au hasard, mais dans l'excitation d'une après-midi festive, d'une soirée endiablée, d'une nuit peut être longue.

    Elle ne sortait pas tout a fait de nulle part. C'etait une étudiante a l'académie, un aprés-midi ou elle discutait avec une personne au hasard sur le campus aprés un entraînement avec Neera, qui lui avait parlé de cette sauterie dans le manoir d'un certain Oelwin. Elle n'avait pas pu avoir énormément d'information sur lui, mis a part que c’était un notable connu de la ville, sans doute membre du tribunal, peut être un juge ou un procureur. Ou bien d'avantage.

    C’était sur invitation, mais avec ses talents et les contacts grandissant qu'elle avait, elle etait parvenue a en récupérer une. Eryah, son nom d'empreint, jeune marchande qui avait commencé a installé un petit réseau autour de Liberty et jusqu'à la frontière du Reike, et qui avait été invité par des amis qui n'avaient, eux, pas pu se déplacer pour cette fois. Quel dommage...

    Il y avait tellement d'invités de toute façon que la plupart des gens étaient bien incapable de connaître plus du tier des présent, et c’était ça la majorité du temps en Republique. Elle avait simplement a faire attention et ce serait suffisant.

    Pour l'occasion elle avait décidé de faire moitié moitié. Pas de partir sur une longue robe de soirée qui allait l’empêcher de faire quoi que ce soit d'un peu physique si la nécessite le demandait, mais plutôt une jupe un peu longue et serrée qui descendait un peu au dessus de ses chevilles et mettait ses hanches en valeur. Un haut plus sombre qui rentrait dans la jupe et remontait sur son cou ou elle portait un pendentif en forme de dragon. Sa longue chevelure était relâchée dans son dos, pour une fois, et ca la rendait tout de suite extrêmement féminine. Elle sentait les regards sur elle.

    Et les ignorait superbement.

    C’était une stratégie classique, plus on la regardait, plus la personne a qui elle parlerait se sentirait flattée. Pas dis que la personne qu'elle « attraperait » serait de ce genre la, mais c’était toujours un bonus. Elle n'avait aucune envie de parler au maître de maison, mais il avait peut être une femme, des filles. Des maîtresses. Tout ça, c’était plus dans sa ligne directrice.

    Elle fit quelques pas après avoir passé l'entrée...et s’arrêta net, a la vue d'une magnifique femme, gigantesque, imposante, a la blondeur farouche et a l'aura intimidante. Une aura martiale si puissante qu'Elia l'aurait sentit meme a l'autre bout de la pièce. Elle était accompagnée d'une jeune femme beaucoup moins imposante et Elia se demanda aussitôt si c’était sa cavalière.

    - Hum...

    Non, visiblement, plutôt son élève, vu la façon dont elle la réprimandait. Bon, ca, c'etait le genre de femme qu'elle avait envie de rencontrer. Mais l'aborder de maniere aussi directe...le plan etait en fait assez simple. Elle attrapa un verre et se dirigea droit vers le duo.

    Faisant mine de regarder ailleurs, elle trébucha juste en croisant Aphelandra et lui rentra un peu dedans, avant de se laisser tomber de maniere maitrisé sur le sol, son verre de brisant dans la manœuvre. Plusieurs personnes tournerent la tete vers elle, alors qu'Elia se massait la tete douloureusement.

    - Aie aie aie...que je suis maladroite, je suis désolée, je n'ai pas fais attention.

    Elle leva la tete. De prêt, cette femme était vraiment grande, et belle, avec sa robe longue de soirée. Elle se redressa lentement, alors qu'un serveur accourait pour faire disparaître le verre brisé.

    - Pardon pour le dérangement, je suis Eryah. Puis je vous offrir un verre pour me rattraper ?

    Elle s'inclina légèrement devant les deux, et fit un sourire plutôt mignon, a l'une puis l'autre.
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