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  • Dim 30 Avr - 13:43
    Cette mission était somme toute simple, juste quelque chose à voir avec les autorités de la ville de Justice. Ça allait tout de même durer quelques jours et nécessitait mon déplacement, mais ce n’était rien de vraiment inhabituel. Je n’était donc pas trop stressée.
    J’étais donc en calèche, escortée par quelques gardes, et je lisais tranquillement un bouquin à propos des réalités géo-politiques de Justice, que je puisse accomplir ma mission au mieux. La tâche ne serait pas mince affaire, mais si je parvenais à lire tous les chapitres que je souhaitais lire, je n’aurais aucun mal à accomplir ma mission.
    Je levai la tête pour regarder par la fenêtre, Ayant des difficultés à me concentrer. Je repensais à la dernière fois que j’étais partie en voyage de plusieurs jours. J’avais goûté à un bonheur que je n’avais jusqu’alors jamais connu, avant que la mission ne se termine et qu’elle et moi ne dussions nous séparer. Je repensais souvent à cette semaine passée à nous connaître, formellement et intimement. depuis lors, des questions tourbillonnaient dans ma tête. Quand allais-je la revoir, que ferais-je alors, Et… que ferais-je de ma vie quand la présidente Goldheart ne seras plus ? Allais-je rester au service des Goldheart pour l’éternité ? Était-ce vraiment ce que je voulais pour moi, pour mon avenir ?
    Une lumière rougeâtre, et je fus projetée hors de la calèche, atterrissant à quelques mètres de mon point d’origine, sonnée. Mais cette intense douleur sur tout mon côté, je la ressentait vivement. J’activais immédiatement ma régénération et tentai de me relever. Nous étions attaqués, je devais aider les soldats. Une fois sur mes deux jambes je m’apperçu qu’il était trop tard : Les soldats étaient en déroute. L’un deux fuyait, tandis que les autres gisaient au sol, inanimés. Et puis, je fut prise au piège.

    utilisations de pouvoirs:
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  • Jeu 4 Mai - 1:44
    Toujours écouter les Terroristes
    Feat Ellie


    Irritée...

    Énervée... Incapable de formuler des pensées cohérentes, censées... Tu détestais ce monde, ce pays, ces gens, ces parasites... Ces colons voulant te prendre ta liberté, ton existence, ta sérénité... C'était de leur faute à eux si tu ne parvenais pas à être calme, à te contrôler, à ne pas succomber à tes pulsions les plus viscérales. Si on t'avait laissé seule, dans ton volcan, sur ton île, tu n'aurais été la plaie d'aucun monde, le fléau d'aucun esprit. Tu te serais contentée de t'épanouir et de faner à l'ombre de tout. Une existence que tu n'aurais jamais plus, car on te l'avait interdite, pas la force physique, par la force des mots et de cette soi-disant morale qu'on t'imposait...

    Malgré que tu étais presque comme perdue dans cette jungle dense, cela faisait maintenant plusieurs fois que tu croisais des convois républicains, des chasseurs accompagnés de soldats sans doute là pour conquérir un peu plus cette végétation qu'ils ne pouvaient pas encore contrôler. Sous prétexte qu'ils avaient un peu de pouvoir, ils se permettaient de purger cette nature de sa tranquillité, de la même manière qu'ils avaient fait avec toi.

    Encore et toujours la même rengaine, le même refrain.

    Tu étais las de cette musique, de ces mantras qui t'entravaient la chair, qui pétrifiait ta raison et faisait bouillir ton sang chaud. C'était trop... Cette image de cette calèche arborant les blasons de la République, ces soldats fiers dans leurs armures inutiles. Plusieurs jours maintenant que tu étais en proie à ta haine et tu avais enfin une cible sur laquelle te défouler. Une cible qui a première vue était innocente. Mais tu avais appris ta leçon depuis bien longtemps maintenant.

    Dans ce monde, il n'y avait que des coupables. Et tu étais une pécheresse qui irait savourer ses crimes, s'en délectant dans une volonté de se soulager de son fardeau.

    Ayant l'avantage de la surprise, il ne te fallut que d'un projectile de lave pour mettre en déroute ce convoi bien trop sur de lui. Ta lave commençant à s'imprégner dans la chair de tes victimes, tu fixais les ravages que tu avais causé, dévoilant un semblant d'apparence élémentaire déformée par la lave à travers les volutes noirs de fumée qui se dégageait de la calèche.

    Morts... La plupart l'étaient. Un fuyard, moins courageux que le reste, eut l'instinct de courir aussi vite qu'il pouvait mais pas dans le bonne direction. A peine s'était il suffisamment approché de toi que tu appuyais tes mains volcaniques sur sa gorge, faisant roussir sa chair avant de la laisser se décomposer. Ses yeux étaient ceux d'un condamné à mort, tandis que tu te nourrissais de cette dernière lueur, de ce dernier moment d'éclat avant les ténèbres.

    La scène était horrifiante pour quiconque mais pas pour toi. A tes yeux... Ce n'était qu'un Mardi comme un autre.

    La forêt prenant feu de toute part, tu fixais alors de ton regard ardent la dernière survivante elle aussi prise au dépourvue. Elle avait survécu à la première offensive, mais pouvait-elle vraiment tenir davantage ? Les flammes dévoraient la végétation environnante et servaient de barreau à cette prison intime improvisée. En cet enfer incandescent, il n'y avait que vous deux. Personne pour en sortir, personne pour en rentrer, et c'était un poil plus sereine après ton massacre que tu t'approchais d'elle.

    - Ton nom ! Tu es aussi une Républicaine ?!

    Tu n'avais pas besoin de connaître tout ça... C'était un réflexe, une porte de sortie pour cette condamnée qui pouvait encore remettre à plus tard sa fin présumée. Le visage déformé encore par la colère, tes cheveux incandescents étaient telle une cascade de lave infinie. Ta main plus chaude que le soleil lui même s'approchait alors dangereusement de son visage avant que tu ne fasses volte-face, perdu dans un dialogue avec toi même.

    - Vous n'avez que ce que vous méritez ! Je dois vous tuer !

    Une bête enragée dotée de parole. Voilà ce que tu étais lorsque les émotions gouvernaient ton corps. Chacune de tes paroles absurdes étaient accompagnés des flammes alentours, véritable fourneau impitoyable. Pourquoi parlais-tu avec cette personne ? Peut-être pour t'aider à reprendre tes esprits ? A reprendre un contrôle ? Qu'importe...

    Elle aussi faisait sans doute parti de cette machination. Elle aussi avait été l'actrice de  tes supplices.

    CENDRES
    Invité
    Invité
    Anonymous
  • Lun 8 Mai - 11:30
    Des flammes partout, épaisses et brûlantes, m’encerclaient déjà. Et une femme, dont la chair se confondait avec de la lave en fusion, approchait d’un pas décisif avec un regard brûlant de rage.

    Ton nom ! Hurla-t-elle. Tu es aussi une Républicaine ?!

    J’essayais de réfléchir à toute vitesse. Je doutais d’arriver à lui faire croire que je n’étais pas républicaine, pas en sortant d’une calèche républicaine et sur la route de Justice. Mon épée pourrait la blesser, mais d’un unique coup elle pourrait me tuer, et mes blessures n’étaient pas encore refermées et me gêneraient. Sa main approchait dangereusement de mon visage sans que je ne trouve une porte de sortie. Et puis elle hésita.

    Vous n'avez que ce que vous méritez ! Je dois vous tuer !

    Cela me donna tout juste le temps et l’opportunité de la manipuler :

    Attendez ! Si vous me tuez, vous devenez ennemi public numéro un ! Je suis la Dame de compagnie de la présidente Mirelda Goldheart ! Et me tuer ne vous apportera rien, car je ne décide de rien, je ne fais que servir la présidente ! Je vous suis beaucoup plus utile vivante !

    Sa colère était presque palpable, mais j’espérais qu’avec assez de raison je pouvais gagner du temps, pour trouver un moyen de m’échapper.
    Mes blessures finissaient de se refermer, et ça me donnait une meilleure marge de manœuvre.
    Elle ne m’avait pas encore tuée et ç’était bon signe, j’avais capté son attention. Peut-être était-elle en plein débat avec elle-même ; si s’était le cas je pourrais me dégager de cette situation avec suffisamment de jugeote.

    Je ne sais quels torts les républicains vous ont causés, mais comme je suis la Dame de compagnie de la plus haute autorité de ce pays, sa confidente, même, je pourrais lui parler de vos revendications, et peut-être pourrions-nous réparer le tort qui vous a été causé !
    Invité
    Invité
    Anonymous
  • Sam 20 Mai - 15:21
    Toujours écouter les Terroristes
    Feat Ellie


    Mensonges...

    Foutaises ! Tromperies ! Tu fulminais, te perdais en volute noir aussi tôt embrasé par ta haine brûlante... Ton visage se déformait en celle d'une créature en fusion, prompt à arracher la jugulaire de sa proie avec ses dents, véritables fléaux volcanique. Elle se disait n'être qu'une servante, une employer de l'une des femmes les plus influentes de ce monde. Même si tu étais inculte à la géographie et à la politique du continent, tu avais suffisamment entendu ce nom pour savoir qui elle était.

    La raison de tout ton désarrois, de toute ta colère... C'était elle. Cette Mirelda. Celle qui dirigeait la République et leurs actions. Et en face, tu avais une personne qui était sans doute précieuse pour elle.

    -  Te tuer m'apportera satisfaction ! Te tuer fera taire ma colère, ma douleur !

    Tu hurlais, tu vociférais. Tu étais totalement perdue dans ce flot d'émotion ininterrompue que tu ne méprisais plus. D'ailleurs, tu déformais bien rapidement la route, la roche de celle-ci se décomposant en magma brûlant. Tu hurlais une nouvelle fois, relâchant plusieurs projectiles de lave partout dans la zone, créant une véritable fournaise dont il ne semblait plus avoir aucune porte de sortie. L'enfer s'était recroquevillé sur vous deux, et le feu coupait tout horizon de votre vue.

    Vous étiez en toute imité, limitées par les frontières ardentes qui s'étaient crées naturellement sous ta colère.

    - Des paroles, toujours des paroles, encore des paroles ! Ce n'est pas avec des paroles que vous êtes venus sur mon île mais avec des armes  !

    Dans le fond, tu ne le savais que trop bien. Si tu portais véritablement rancœur envers eux pour ce qu'ils avaient fait, tu t'en servais aussi ouvertement comme excuse pour justifier tes exaltations de colère. Autrefois, tu avais porté à ébullition cette même île que dont tu proclamais défendre les intérêts aujourd'hui.

    - Pourquoi ! Pourquoi !

    Ton cri alla jusqu'à percer l'écho des flammes tandis que tu projetais à nouveau une salve de lave partout où tu le pouvais. T’approchant à nouveau de la femme, tu manquais de la saisir par le col avant de te raviser. Tout le monde était déjà mort, il ne restait plus qu'elle, ce n'était qu'une question de temps avant qu'elle ne les rejoigne mais avant... Tu te servirais de son oreille pour qu'elle t'écoute.

    - Vous vous pensez meilleur, plus fort, plus beaux ! Vous n'êtes que des parasites !

    Difficile de raisonner une personne aussi instable que toi. Peut-être trouverait-elle d'autres mots pour gagner du temps ? Une agitation pareille ne pouvait que créer de l'attention...

    CENDRES
    Invité
    Invité
    Anonymous
  • Mer 24 Mai - 15:39
    Elle me hurla que me tuer lui apportera satisfaction et fera taire sa douleur. Je voulais lui répondre que ce n’était pas vrai, que tuer n’apportait jamais de satisfaction ni ne pouvait faire taire la moindre douleur car cela la remplacerait par une autre, mais elle était trop en colère pour m’écouter.
    Elle me reprocha d’être venue sur son île avec des armes plutôt que des paroles. Je réalisais avec horreur qu’elle venait d’une des îles que nous avions conquises les années passées.
    Les projectiles de lave qu’elle jetait partout tombaient dangereusement proches de moi, et je ne trouvai pas de porte de sortie.
    Elle s’approcha encore en vociférant une question qui n’avait que des réponses qui la conforteraient dans sa folie meurtrière ; un des projectiles qu’elle faisait pleuvoir sur la zone me toucha et me fit hurler de douleur. Je m’en débarrassait d’un revers de manche rapide qui me fit tout autant souffrir, mais je pouvais alors activer ma régénération et atténuer la douleur. J’eus cependant beaucoup de mal à me soigner cette brûlure.
    Elle s’était approchée et commença à m’invectiver, attaquant l’orgueil des républicains et nous qualifiant de parasites.
    Je remarquai que ça sentait la fumée, et effectivement la lave avait mis le feu aux arbres alentours et une épaisse fumée commençait à s’en élever. Ce n’était donc plus qu’une question de temps avant que quelqu’un ne me vienne en aide.

    Je suis désolée de ce qu’il vous est arrivé. Notre nation vous ont causé du tort en envahissant votre île et c’est impardonnable, mais je peux faire mon possible pour que justice vous soit rendue !

    Il était vrai que nous étions venus aux îles paradisiaques avec des armes pour en prendre le contrôle et bien que ces îles abritaient des pirates, la manœuvre demeurait quelque peu discutable. Je ne savais quoi en penser. La colère de cette femme était-elle justifiée ?

    Utilisations de pouvoirs:
    Invité
    Invité
    Anonymous
  • Ven 9 Juin - 15:52
    Toujours écouter les Terroristes
    Feat Ellie


    Aveugle...

    Aveugle à ses tentatives de te calmer, sourde à ses paroles. Tu ne pouvais que sentir la haine s'accumuler dans ta gorge, s'y frayer un chemin doucement mais sûrement avant de sortir en dégueulis de lave, bouillonnant et impitoyable. Tu perdais peu à peu pied avec la réalité, soumise à tes plus bas instincts face à cette personne qui suppliait pour sa vie, pour son existence.

    - Faire votre possible !? Vous n'êtes même pas capable de vous défendre !

    Tes mots n'étaient plus qu'un regroupement de sons aléatoires qui s'extirpaient de ta bouche. Naturellement, tu t'avançais encore davantage, menaçant toujours plus de frapper là où tu pourrais la tuer sur le coup. Levant ta main, prompt à te déchaîner en un seul mouvement, ce fut le sort qui vint à changer son funeste destin. Une chance incroyable qui lui sauverait sans doute la vie, tandis que tu pouvais entendre siffler les quelques flèches renforcées fuser à travers les flammes pour tenter de te meurtrir.

    Évidemment, aucunes ne parvinrent à te toucher. Tirer à l'aveugle, sans voir sa cible, était un exercice complexe, encore plus lorsque la trajectoire de ses projectiles étaient déformées par l'air chaud et épais.

    Cependant, cela eut l'effet escompté, du moins en parti. Contrainte de te replier, tu reculais alors de plusieurs mètres, t'éloignant de celle qui aurait pu n'être qu'une victime en plus à rajouter à ta longue liste. Embrumée par la colère, tu n'avais même pas perçu sa guérison rapide qui lui donnait toute l'opportunité d'agir désormais.

    Il aurait été cependant idiot de croire que tu t'arrêterais là, même sous les assauts de flèches de l'ennemi. Laissant germer à nouveau une énorme excroissance de lave dans ton estomac, tu relâchais celle-ci dans les airs, l'éclatant en passage, la faisant se perdre dans une retombée infernale visant à exterminer l'intégralité de la zone en un seul coup. Une attaque grossière mais qui allait parfaitement avec la personne que tu étais. Les renforts regretteraient sans doute d'avoir sous-estimé la menace que tu étais.

    - Tu m'as menti ! Je le savais !  


    Recrachant cette fois-ci un grand souffle de lave, c'était vers elle que tu jetais ton dévolu cette fois-ci. Elle ne t'échapperait pas ! Du moins c'était ce que tu pensais !

    CENDRES
    Invité
    Invité
    Anonymous
  • Jeu 7 Sep - 15:04
    Pas capable de me défendre ? Pas contre elle, il était vrai. Elle incarnait mon point faible et je n’avais aucune idée de comment j’allais me sortir de là. Jusqu’à ce que des flèches fusent non loin d’elle, la forçant à reculer de quelques mètres. Encore plus énervée, elle fit pleuvoir de la lave sur ses assaillants. Saisissant ma chance, j’en profitais pour me relever, et dès sa pluie finie, je fonçais au travers des flammes pour m’enfuir le plus rapidement possible et rejoindre les soldats qui m’avaient probablement sauvé la vie.

    Ces flammes faisaient couler sur mes joues des larmes de douleur, mais je tenais bon et j’arrivais enfin à la hauteur des soldats. Je pus alors constater les dégâts elle en avais atteint peu, mais ce peu là était gravement brûlé. Je commençais donc par invoquer le maximum d’eau pour refroidir les brûlures des soldats, mais sachant que je n’avais pas beaucoup de temps, je leur criais :

    Elle va vous exterminer ! Il faut battre en retraite, on organisera sa capture une autre fois !

    Sachant que je n’aurais pas la force pour soulever même le plus maigrichon des soldats sur une distance suffisante et suffisamment rapidement, je pris tout simplement mes jambes à mon cou.

    Il faudra effectivement organiser la capture de cette élémentaire de lave dans les plus brefs délais. Cela me faisait honte de m’enfuir ainsi, mais je devais me rendre compte que je ne sortirais pas victorieuse d’un tel combat, pas sans de lourdes séquelles. Madame avait besoin de moi dans toute ma puissance.
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