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La Sénéchale
Lyra Leezen
Messages : 359
crédits : 1762
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Info personnage
Race: Humaine
Vocation: Guerrier assassin
Alignement: Loyal Mauvais
Rang: B - Tovyr
Le Coucher de soleil
Si l'on ne savait pas que c'en était un, jamais on ne pouvait deviner que c'était un palais et non un fort militaire. La bâtisse à flanc de colline avait tout d'un bastion, ayant tout perdu de son héritage shoumeïen. Ceux l'ayant connu autrefois savaient qu'à la place des créneaux et hautes murailles de grès se tenait un luxuriant palais à l'architecture raffinée et dans le plus grand style shoumeïen, avec des toits de kanara bleues aux coins recourbés, de larges portes circulaires et des étangs à carpes verdoyants de renoncules et populages, aux allées bordées de cerisiers.
De tout cela, il ne restait plus qu'un jardin intérieur, épargné par la refonte complète du domaine Leezen, quatre ans auparavant. D'épaisses murailles crénelées autour d'un imposant donjon strictement reikois avaient été érigés. L'architecte en charge du projet, un certain Hegrar Vazonn, avait reçu pour instructions de créer un palais capable de soutenir n'importe quel assaut et de survivre à un siège, en somme, faire une place forte confortable. Outre cela, le "palais" reposait sur d'importantes réserves d'eau souterraines, les puits qui avaient été creusés permettaient sans mal de remplir le prérequis de la tenue de sièges.
Or, si l'on pouvait penser que ces travaux avaient été commandités par Dirnann Leezen, ayant engagé l'architecte, c'était bien Lyra Leezen qui avait supervisé le chantier et validé les plans. Dirnann avait voulu rebâtir le palais, après son incendie de l'an 0, selon son aspect originel, dans la plus stricte tradition shoumeïenne. Mais la Tovyr Leezen a repris les rênes du projet et avait dévié du plan initial pour ériger un fort purement martial, en adéquation avec le bellicisme reikois. Une garnison militaire était d'ailleurs en poste dans le domaine, mais c'était simplement dans le but d'assurer la sécurité de l'un des deux Tovyr de Kyouji.
Cette dernière revenait justement de la cité cosmopolite, à quelques kilomètres à peine à l'Est. Cette position excentrée lui offrait une certaine tranquillité mais surtout des quartiers stratégiquement positionnés, à même de tarabuster par l'arrière les moindres troupes adverses voulant encercler Kyouji. De nombreux forts tels que celui-ci, bien que moins imposants, avaient été bâtis aux points cardinaux de la cité, sur ordre de la Tovyr, afin de créer une ceinture de places fortes autour de Kyouji. De la sorte, jamais plus la ville ne tomberait aussi facilement qu'en l'an 0.
Mais trêve de verbiages tactiques. La Tovyr Leezen, portant son armure de Grand Officier, rentrait de Kyouji, escortée de cavaliers arborant l'emblème de la Horde d'Alba qu'elle dirigeait depuis près de deux ans maintenant. Le soleil avait passé son zénith depuis un moment déjà et descendait inéluctablement vers l'horizon, en voie d'enflammer la République. Son destrier, un étalon qui allait l'amble, était carapaçonné d'argent, plaqué des émaux des Leezen : Une zibeline marmoréenne sur fond rouge.
Elle arrivait devant les lourdes portes de son domaine lorsqu'elle tira sur les mors de son cheval, le forçant à s'arrêter. Elle renifla en braquant son regard nébuleux sur un objet posé à même le sol, à l'entrée du chateau. Lyra fit un signe et la colonne de cavaliers derrière elle se dispersa, se dirigeant vers les étables. La Tovyr ne bougea pas pour ce qui sembla durer plus d'une minute. Finalement, elle sauta à terre, faisant claquer ses housseaux, entreprenant une marche rapide vers ce qui avait attiré son attention.
Au sol, à même les pavés, reposait un masque monstrueux, semblant être fait de bois peint. Elle l'avait aussitôt reconnu comme étant l'artefact habité par l'entité se faisant appeler Carnage, un nevi'im étroitement lié à son cousin, Erwin Staal. Or, elle n'avait pas vu ce dernier depuis de nombreux mois, sans la moindre nouvelle de sa part. Ils s'étaient quittés en mauvais terme, mais que le démon se retrouve devant chez elle à présent n'augurait rien de bon. Elle renifla de mépris.
Enveloppant précautionneusement sa main dans son brocart améthyste, elle s'empara du masque pour l'observer d'un regard aussi noir que la nuit qui s'annonçait. Elle ne voulait pas toucher, à raison, l'artefact goétique, sachant pertinemment de quoi il était capable. Et si elle avait l'envie dévorante de le détruire dans l'instant, sa curiosité, quoique prudente, la retenait. De plus, le masque pouvait très bien réapparaitre en dépit de sa destruction, alors autant satisfaire sa curiosité.
- Carnage. Lâcha-t-elle comme si ce mot était méphitique.
Lyra renifla, faisant quelques pas pour passer les portes de son domaine. Des domestiques se chargèrent de ramener sa monture à sa stalle, s'éclipsant discrètement. La Tovyr arborait les traits de quelqu'un peu réjouie de tomber sur une vieille connaissance.
CENDRES
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Dynasties & Dystopies
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Emhyr var Emreis (The Witcher) - Dedra Meero (Andor) - Lord Shen (Kung-fu Panda) - Stormfront (The Boys) - Tywin Lannister (GoT) - General Grievous (Star Wars) - Coriolanus Snow (Hunger Games) - Tanya Degurechaff (Tanya the Evil)
Thème musical de la Sénéchale
Noble de La République
Viktor Volkhard
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Info personnage
Race: Humain
Vocation: Guerrier combattant
Alignement: Loyal Mauvais
Rang: B
Le Soleil, cet astre divin pour les stellaires, entamait sa descente derrière l’horizon. S’écrasait-il au plein cœur de la Nation de la Chouette ? C’est ce que pouvaient penser ces fanatiques. Pour eux, le soleil, lorsqu’il se couchât, écrasait la République, symbole de la toute-puissance de Tensai sur cette-dernière. Une prophétie qui, un jour, se réalisera certainement. Enfin, tout ceci n’était que des suppositions, le Shierak étant une religion libre des croyances. Mais, c’était comme cela que le maître du masque l’interprétait, bien qu’il ne fût absolument pas religieux.
Malgré tout, les quelques rayons de cet astre Divin parvenaient à atteindre, de leur lueur orangée, symbole du crépuscule naissant, les formes de cet artéfact magique. Magique ? Mais pourquoi ? Au fait, quelle était l’histoire de cette chose ? Eh bien, laissez-moi vous la conter.
Il y a de cela bien longtemps, avant-même que Tensai Draknys bâtît cette Nation, le Reike, érigée au cœur du désert suite à sa victoire sur les Titans, les Nevi’im, démons immortels, tiraient les ficelles de la vie depuis les ténèbres. Personne ne connaissait leurs réels noms, la langue de ces êtres demeurant morte à l’heure actuelle.
Ces démons, ennemis naturels des Titans, demeuraient sur l’intégralité du Sekai, gouvernant l’Homme vivant sur son territoire d’une main de maître. Certains étaient des souverains dociles, d’autres, de véritable Tyran. Chacun avait un but précis, mais, encore une fois, tout cela n’était qu’une simple légende. Les Nevi’im eussent existés, oui, mais quand et, comment ? Pouvait-on réellement croire les témoignages de ces derniers ? De simples démons avides de pouvoir ? Bien sûr que non.
Celui qui nous intéresse aujourd’hui se nomme Carnage. Du moins, c’était bien ce nom qui perdura durant des millénaires. Il était la conscience enfermée dans ce masque. Une bien jolie histoire, certainement. Mais, pourquoi ? Comment ?
Un héros. Nul ne connaissait son prénom, seulement son nom. Il était un Staal, une noble lignée d’Oni au sang pur. Sa famille, souffrant de la tyrannie de Carnage, le démon Oni, incarnation de la désolation, forma en secret, un héros. Celui-ci, lors d’une nuit de larmes et de sang, combattit, à l’aide de Raijinto et de sa magie de foudre, le Tyran démoniaque. D’après la légende, le combat dura mille nuits. Mille nuits durant lesquelles Feu et Foudre se mélangèrent pour répandre la désolation sur le domaine du Démon Oni. Mais, comment un simple oni pouvait-il tenir autant de temps ?
Le Masque. Un masque à visage d’Oni, fait d’un bois presque unique, sculpté directement dans le tronc d’un pin argenté. Ses cornes, d’un rouge sanguinaire, représentaient la force du guerrier. Et, au fil du temps, de multiples points rouges naquirent dans la souche même du masque, formant, au fil des années, de magnifiques traits sanguinolents. Un point représentait un mort, c’était aussi simple que cela. Selon la légende, cet artéfact magique permettait à son porteur de résister à la fatigue tant qu’il le portât.
Lors de la millième nuit, le héros des Staal vainquit le Démon tyrannique, au prix de sa vie. Punition pour son incompétence et sa défaite, ce dernier fut enfermé dans le masque que portât son adversaire. Ainsi, il était condamné à errer sans enveloppe corporelle durant toute son existence.
Raijinto, l’épée légendaire qui permit au héros Staal de vaincre le Démon, fut forgée par un maître forgeron, portant le nom de Leezen. Ce dernier, imbu de sa personne, imprégna l’arme légendaire de sa magie de foudre. Mais, pourquoi une telle précision ? Eh bien, elle a toute son importance.
Seul un être doté non seulement du sang du Staal, porteur du masque, mais aussi du sang des Leezen, créateur de l’épée, pouvait offrir une enveloppe corporelle au Démon tyrannique.
Cela, la lignée des Staal le savait. Ainsi, ils furent, durant tous ces millénaires, les protecteurs de ce masque maudit. Pourquoi maudit ? Parce qu’ils le payaient au prix de leur corps, recouvert d’écailles noires, transitant cette magie de la foudre, seul moyen de garder le monstre enfermé dans l’artéfact.
Seulement, tout ne se passa pas comme prévu et, Norio Staal, dernier protecteur en vie, eut un enfant avec une Leezen, la légende s’étant perdue au fil des ans. L’enfant, Erwin, porta en lui la magie du Feu, étrange, n’est-ce pas ? Norio savait que cette enfant ne devait en aucun cas s’approcher du masque, lui qui, à tout moment, pouvait réveiller le démon Tyrannique. Mais, le destin fut plus puissant et, Norio, dernier gardien du masque, disparut, laissant son fils seul avec l’artéfact, qui en profita pour prendre possession du jeune homme.
- LYRA ! Tu tombes vachement bien. Faut que tu m’aides à retrouver Erwin. Je sais, on n’est pas censé être séparable sauf par la mort blablabla. C’est une longue histoire, alors, on ne va pas perdre de temps, faut qu’on aille vite à la maison du gosse. Ou du moins, ce qu’il en reste. Dépêche-toi ! Je te raconte les détails en chemin, on n’a pas une seule seconde à perdre. Et surtout : NE ME METS PAS DANS DU TISSU, JE VOIS PLUS RIEN ÇA ME STRESS !
Malgré tout, les quelques rayons de cet astre Divin parvenaient à atteindre, de leur lueur orangée, symbole du crépuscule naissant, les formes de cet artéfact magique. Magique ? Mais pourquoi ? Au fait, quelle était l’histoire de cette chose ? Eh bien, laissez-moi vous la conter.
Il y a de cela bien longtemps, avant-même que Tensai Draknys bâtît cette Nation, le Reike, érigée au cœur du désert suite à sa victoire sur les Titans, les Nevi’im, démons immortels, tiraient les ficelles de la vie depuis les ténèbres. Personne ne connaissait leurs réels noms, la langue de ces êtres demeurant morte à l’heure actuelle.
Ces démons, ennemis naturels des Titans, demeuraient sur l’intégralité du Sekai, gouvernant l’Homme vivant sur son territoire d’une main de maître. Certains étaient des souverains dociles, d’autres, de véritable Tyran. Chacun avait un but précis, mais, encore une fois, tout cela n’était qu’une simple légende. Les Nevi’im eussent existés, oui, mais quand et, comment ? Pouvait-on réellement croire les témoignages de ces derniers ? De simples démons avides de pouvoir ? Bien sûr que non.
Celui qui nous intéresse aujourd’hui se nomme Carnage. Du moins, c’était bien ce nom qui perdura durant des millénaires. Il était la conscience enfermée dans ce masque. Une bien jolie histoire, certainement. Mais, pourquoi ? Comment ?
Un héros. Nul ne connaissait son prénom, seulement son nom. Il était un Staal, une noble lignée d’Oni au sang pur. Sa famille, souffrant de la tyrannie de Carnage, le démon Oni, incarnation de la désolation, forma en secret, un héros. Celui-ci, lors d’une nuit de larmes et de sang, combattit, à l’aide de Raijinto et de sa magie de foudre, le Tyran démoniaque. D’après la légende, le combat dura mille nuits. Mille nuits durant lesquelles Feu et Foudre se mélangèrent pour répandre la désolation sur le domaine du Démon Oni. Mais, comment un simple oni pouvait-il tenir autant de temps ?
Le Masque. Un masque à visage d’Oni, fait d’un bois presque unique, sculpté directement dans le tronc d’un pin argenté. Ses cornes, d’un rouge sanguinaire, représentaient la force du guerrier. Et, au fil du temps, de multiples points rouges naquirent dans la souche même du masque, formant, au fil des années, de magnifiques traits sanguinolents. Un point représentait un mort, c’était aussi simple que cela. Selon la légende, cet artéfact magique permettait à son porteur de résister à la fatigue tant qu’il le portât.
Lors de la millième nuit, le héros des Staal vainquit le Démon tyrannique, au prix de sa vie. Punition pour son incompétence et sa défaite, ce dernier fut enfermé dans le masque que portât son adversaire. Ainsi, il était condamné à errer sans enveloppe corporelle durant toute son existence.
Raijinto, l’épée légendaire qui permit au héros Staal de vaincre le Démon, fut forgée par un maître forgeron, portant le nom de Leezen. Ce dernier, imbu de sa personne, imprégna l’arme légendaire de sa magie de foudre. Mais, pourquoi une telle précision ? Eh bien, elle a toute son importance.
Seul un être doté non seulement du sang du Staal, porteur du masque, mais aussi du sang des Leezen, créateur de l’épée, pouvait offrir une enveloppe corporelle au Démon tyrannique.
Cela, la lignée des Staal le savait. Ainsi, ils furent, durant tous ces millénaires, les protecteurs de ce masque maudit. Pourquoi maudit ? Parce qu’ils le payaient au prix de leur corps, recouvert d’écailles noires, transitant cette magie de la foudre, seul moyen de garder le monstre enfermé dans l’artéfact.
Seulement, tout ne se passa pas comme prévu et, Norio Staal, dernier protecteur en vie, eut un enfant avec une Leezen, la légende s’étant perdue au fil des ans. L’enfant, Erwin, porta en lui la magie du Feu, étrange, n’est-ce pas ? Norio savait que cette enfant ne devait en aucun cas s’approcher du masque, lui qui, à tout moment, pouvait réveiller le démon Tyrannique. Mais, le destin fut plus puissant et, Norio, dernier gardien du masque, disparut, laissant son fils seul avec l’artéfact, qui en profita pour prendre possession du jeune homme.
- LYRA ! Tu tombes vachement bien. Faut que tu m’aides à retrouver Erwin. Je sais, on n’est pas censé être séparable sauf par la mort blablabla. C’est une longue histoire, alors, on ne va pas perdre de temps, faut qu’on aille vite à la maison du gosse. Ou du moins, ce qu’il en reste. Dépêche-toi ! Je te raconte les détails en chemin, on n’a pas une seule seconde à perdre. Et surtout : NE ME METS PAS DANS DU TISSU, JE VOIS PLUS RIEN ÇA ME STRESS !
La Sénéchale
Lyra Leezen
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Le Coucher de soleil
La légère bise du soir souffla dans les branches épineuses des cryptomères bordant l'allée menant aux portes du chateau, faisant balancer leurs cimes a gré de l'alizé. Et si le vent venait se heurter aux remparts, il faisait claquer les gonfalons écarlates plantés sur les faîtes des tours, glissant le long des hourds et des chemins de rondes. Au pied de l'imposante porte d'entrée percée dans la muraille Est, Lyra Leezen, maitresse incontestée des lieux, était plantée sur les pavés, ses bottes de cavalerie n'ayant pas claquées depuis un moment, tant elle était partagée entre la destruction pure et simple du masque, histoire de lui faire comprendre son aversion non dissimulée envers Carnage, et sa curiosité pour le motif poussant de nevi'im à s'exposer de la sorte.
Or, ce dernier avait déjà tenté de jouer plus d'un mauvais tour à la Tovyr depuis qu'ils se connaissaient. Autant dire qu'elle ne prêtait pas un miette de confiance au démon. C'était justement pourquoi elle avait saisi le masque à l'aide de son brocart, sachant pertinemment ce dont était capable Carnage par un simple contact. D'ailleurs, il s'en plaint vivement, arguant que cela le stressait. Le fait qu'il admette une telle faiblesse prouvait à la Tovyr qu'il était au bord du précipice, réellement aux abois. Et c'était déjà la seconde fois que le démon venait quémander de l'aide à la cousine de son hôte, et vu qu'Erwin et Lyra s'étaient séparés depuis un certain temps déjà, il ne faisait plus aucun doute que l'éphèbe s'était encore fourré dans une sale affaire, ou tout du moins qu'il avait besoin de son aide.
En dépit de ses plaintes, Lyra n'ôta pas tout de suite le masque de sa cape, réfléchissant un instant aux informations qu'elle venait d'obtenir. Si elle n'avait plus grand chose à voir avec Erwin et qu'elle l'avait même menacé de le liquider si jamais il se présentait de nouveau devant elle, ayant mal digéré son abandon, elle se doutait que Carnage ne lâcherait pas l'affaire si facilement. S'il en était venu à supplier la Tovyr, c'était bien qu'Erwin avait un sacré pépin. Elle renifla bruyamment avant de faire signe aux pages de rapporter son cheval qu'ils étaient en train de desseller.
- Et qu'est-ce que je peux bien avoir à y gagner ? Lâcha-t-elle abruptement. Tous les deux, vous m'avez trahis. Et malgré mes menaces bien concrètes, tu oses te présenter devant mon domaine, misérable engeance ? N'ai-je pas été assez claire la dernière fois ? Dois-je réitérer mon aversion envers vous ?
Elle tendit le bras et un valet lui donna son bâton. Lyra jeta le masque au sol, soulevant un nuage de poussière et se dressa au dessus de l'artefact, soulevant son bâton de mithril, comme si elle s'apprêtait à frapper le réceptacle goétique pour le briser, histoire de bien se faire comprendre pour de bon.
- Te voilà, Carnage, en bien piètre position. Dis-moi pourquoi je devrais me fier à toi et tomber dans un piège aussi médiocre que celui-là ? Elle renifla de mépris, levant un peu plus son arme.
Elle ne plaisantait pas, son regard noir suffisait à le faire comprendre.
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