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  • Sam 27 Mai - 19:35
    Après tout ce qu’il m’était arrivé dernièrement j’avais besoin de vacances. Je voulais rester pas trop loin d’Ikusa mais je ne voulais pas non plus m’approcher de Sable-D’Or, vu ce qu’il était arrivé là-bas récemment. J’étais donc allée me réfugier dans un autre petit village côtier. J’avais essayé d’emmener Rachelle avec moi mais elle n’avait pas voulu venir. À bien y réfléchir, elle n’avait pas quitté la capitale depuis très longtemps. Et cela m’inquiétais.

    J’avais donc pris ma roulotte et j’étais partie. Arrivée à un croisement dont l’un des chemins menait au village, j’avais décidé de continuer ma route, espérant trouver une plage vide de monde. Au bout d’une petite heure de voyage en plus, je trouvai mon bonheur. Il y avait même moyen d’amener ma roulotte sur la plage elle-même, ce que je fis sans me faire prier.

    Une fois bien garée face à la mer, je libérais mes juments pour qu’elle gambadent sur la plage et se reposent où elles voulaient, voire qu’elle viennent avec moi se rafraîchir dans l’eau. J’entrais ensuite dans ma roulotte pour me changer et j’hésitai… à poil ou en tenue de bain ? J’étais seule, personne à moins d’une heure de cheval… Mais il pouvait y avoir des sirènes. Et puis quelqu’un pouvait avoir eu la même idée que moi.

    J’optais donc pour la tenue de bain, que j’avais acheté il y avait longtemps de cela et qui était franchement confortable, mais qui révélait tout de même ma cicatrice de brûlure sur mon ventre. Si je rencontrais quelqu’un, ce ne serait pas mon premier souci.

    J’entrais donc dans l’eau et j’eus de la chance, une de mes juments était d’humeur à me rejoindre, pendant que l’autre se reposait en nous regardant. Nous pûmes nous amuser un bon moment à se suivre, à éclabousser, Je montait même sur son dos et elle galopa les sabots dans l’eau ; et ce fut à ce moment que mon autre jument, jalouse, nous rejoignit et elles galopèrent côte à côte un moment avant de jouer à se chamailler ensemble, toujours avec moi sur le dos de la première. Puis nous retournâmes vers ma roulotte. J’étais apaisée, contente, heureuse.
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  • Mar 30 Mai - 18:26
    Les vacances battaient leur plein malgré des débuts difficiles. Imoogi se félicitait d’avoir pris la bonne décision, celle de s’éloigner un instant de son échoppe à raviolis avec toutes ses économies. D’ici quelques jours pourtant, elles auraient disparu et il lui faudrait danser pour poursuivre ses aventures. Et pour songer à retourner, faire le chemin inverse, se perdre dix fois et manquer l’assassinat à l’une ou l’autre reprise. Qu’importe ! Le touriste était comblé. Les villes traversées n’étaient pas désagréables à regarder même s’il en avait croisé des plus jolies au cours de sa longue – courte – existence sur cette terre. Seulement… c’était il y a fort longtemps, et il ne sait même pas où c’était. Peut-être un jour s’égarera-t-il encore en des terres inconnues qui plairont à son œil et à son estomac. Il se souvient d’un plat de poulpe savoureux, une sauce à tomber… ce n’était pas dans l’Empire qu’il pourrait la retrouver.

    Aujourd’hui, il n’arpenterait pas de longs kilomètres au sein d’une cité. Il avait décidé de se détendre, de se faire du bien. L’eau lui manquait, même s’il la rejoignait souvent, ne serait-ce que pour prendre un bain chaud entouré d’inconnus qui parlent ou bien qui hurlent. Parfois, il trouvait la mer, un lac, une étendue confortable pour y passer la nuit. Il ne se faisait pas prier, allongé sur les algues, les flots caressant sa peau habituée à pareil traitement. C’est dans cette charmante optique qu’il s’était mis en marche, son baluchon sur une épaule, à la recherche d’une plage agréable où faire une sieste charmante. Il s’était envolé, il avait foncé vers l’irradiant soleil. Le sable chaud l’a accueilli, il s’est dévêtu puisqu’il n’y avait personne et a disparu dans les vagues. Il a fermé les yeux, s’est laissé dériver lentement. Quand il s’est réveillé, ce fut brusquement, et il ignorait totalement où son corps l’avait égaré.

    En effet, une douleur terrible à sa nageoire l’avait fait bondir d’effroi. La gorge nouée, les yeux remplis de larmes invisibles, il a admiré l’organe blessé, écrasé et sanguinolant. Autour de lui, c’était le chaos, et il a trouvé suffisamment de force pour s’éloigner de quelques mètres jusqu’à ce que ça se calme. L’incompréhension brouillait ses traits. Plus tard, bien plus tard, c’est avec timidité qu’il a sorti la tête de l’eau, contemplant la source de ses misères : une dame et ses deux cheveux, certainement coupables de lui avoir écrasé le bout de la queue. Il n’y a pas de doute possible, et Imoogi n’est pas content. Toutefois, comment approcher avec colère sans justement être en colère ? Allons, allons, il est temps de se calmer. L’homme quitte l’eau et s’échoue sur le sable. Sa nageoire est en piteux état. La sensation est tout à fait désagréable. Inutile de hurler après cette femme, il faut agir intelligemment. Mais il ne peut se retransformer, alors il reste prostré au sol, tenant la malheureuse entre ses mains aux ongles nets et tendrement taillés. Peut-être le remarquera-t-on, dans sa grande souffrance, son grand malheur.
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  • Sam 15 Juil - 17:39
    Une fois de retour à ma roulotte j’en sortis un fauteuil simple que je plantai dans le sable et m’assis dessus, sous le soleil. Je fermais les yeux un moment pour goûter ce moment de bonheur simple mais exquis.

    Un nuage de pensées plus sombres vint obscurcir mon esprit. Je repensais à ce qu’il m’était arrivé deux mois auparavant, quand en sortant de chez moi j’avais été attaquée par un malfrat. Pendant toute la durée de la guerre contre les titans je m’étais entraînée, mais lors de cette rencontre, en situation réelle, j’avais perdu tous mes moyens. J’avais eu de la chance ce jour là de tomber sur cette Kilanna et cette Halewyn qui étaient intervenues. Et même Tagar, sans qui elles auraient pu avoir des problèmes pour avoir tué mes agresseurs.

    J’étais plus forte désormais, et capable de me défendre de nouveau. Je le savais grâce à ma rencontre avec Crocus, pendant laquelle j’avais réussi à invoquer mes étoiles de métal et à les faire léviter pour me mettre en position de combat. J’avais eu une peur bleue ce jour là. Mais au moins, j’avais réussi à me mettre en position de défense. Même si il avait absorbé mes pouvoirs par la suite. Ce qui m’avait fait m’évanouir de peur d’ailleurs.

    Je pris une profonde inspiration. J’étais plus forte désormais, vraiment en train de guérir de mon traumatisme. Il me faudrait encore du temps mais j’y arriverais. Je devais y arriver, pour ma bien-aimée qui se démenait pour m’aider à me reconstruire.

    Je rouvris les yeux et sursautait ; un triton avançait vers moi à plat-ventre. Sur mes gardes aussitôt je l’observais plus en détail. Sa nageoire était blessée et du sang en sortais. Il se la prit entre ses mains et je restais là, hésitante.

    Espérant que ce ne fut pas un piège, j’avançai vers lui et posant la main sur son épaule je lui dis que j’allais l’aider, et j’en profitais pour activer ma lecture de l’esprit pour vérifier ses intentions qui ne me parurent pas du tout hostiles, à part de la colère envers… moi ? Observant de plus près sa nageoire, je pus constater que la blessure avait la forme d’un sabot.

    Je suis désolée ! Je ne vous avais pas vu ! Laissez-moi vous porter jusqu’à ma roulotte, de là je pourrais vous transporter jusqu’au premier village et nous y trouverons quelqu’un pour vous soigner !
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  • Dim 20 Aoû - 13:05
    Cette maudite nageoire ! Elle est toute laide, toute affreuse, désormais ! Oh, Imoogi retrouvera-t-il un jour sa queue magnifique aux éclats bleutés ? Bon, exagère-t-il un peu. Ce n’est que l’extrémité de la nageoire, les os ne sont pas brisés, le « reste » est en parfait état. Pourtant, lorsqu’il est dans l’eau, il en a besoin, de cette partie fine et délicate. C’est ainsi qu’il a peiné à retrouver la surface et le sable chaud. Là-bas, la coupable de tous ses maux. Elle semble installée au soleil, non loin de ses animaux de malheur. Imoogi sait-il monter à cheval ? Il n’en a pas. Il se débrouille lorsqu’il est question de se déplacer dans ce monde vaste. Il n’a point encore appris, il a un peu peur, et il a toutes les raisons d’avoir peur, maintenant que sa douce nageoire est… bon, il exagère encore. Mais il lui faut exprimer son courroux. Se transformer n’est donc pas une option, alors il avance à plat ventre. Il n’aime que peu la sensation du sable sur sa peau nue et mouillée, il colle, il sera difficile de le faire partir. Ses vêtements sont plus loin, bien plus loin. La femme finit par remarquer sa présence, elle s’approche, elle ne semble pas en confiance. Lui non plus ! Il aimerait presque reculer, comme s’il sentait un danger, mais elle ne fait que le toucher délicatement. Elle remarque sa blessure, la forme que cette dernière arbore, et elle comprend instantanément. Ah ! Voilà qui est bien, voilà qui est mieux. Imoogi en colère, mais il la contrôle, il n’explose pas, il retient tous les commentaires qu’il pourrait faire, il tient sa langue. Politesse, respect. Gentleman. Mais c’est quoi un gentleman ? Il a entendu ce terme l’une ou l’autre fois, on l’a ainsi parfois qualifié, mais il n’a pas compris. La dame semble être sincèrement désolée de son état et lui propose de rejoindre un village non loin. Comment une sympathique journée à la mer se transforme en cauchemar. Il y sera certainement soigné, parce qu’Imoogi ainsi embête ne peut pas se débrouiller seul. Il hésite un instant, mais il finit par hocher doucement la tête. Toutefois, un léger problème demeure : « Je ne puis me retransformer, j’aurais peur de voir l’état de mes jambes. Je suis sensible, voyez-vous. Et si je me retransformais… je serais nu. Pourriez-vous me faire le plaisir de récupérer les vêtements que j’ai égaré à quelques mètres ? Ils sont juste là. » fit-il en pointant l’emplacement précis du doigt. Une simple tunique, les jambes nues, de quoi voir sa charmante blessure. Joie, désespoir surtout. Il se retransformera une fois en sécurité, et loin de cette femme. Il serait bien grossier de lui imposer sa nudité.
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