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Daemalor était présentement dans son bureau, de la paperasse devant les yeux et une plume, grattant quelques mots ici et là, des signatures également par-ci et par-là. Il y avait énormément de choses à faire, une fois que l'on devenait un Officier de l'armée reikoise, l'humain ne pouvait définitivement pas y échapper malheureusement pour lui. Sous ses ordres, il y avait quatre centaines d'hommes et certains demandaient des faveurs quand d'autres s'entraînaient. Le noble reikois était clair avec ses hommes : tout travail mérite salaire. Il était pour la méritocratie dans sa cohorte, ainsi donc il récompensait certains soldats de quelques pécules supplémentaires, considéré comme une reconnaissance de la part de l'Officier.
Ce jour, il avait un rendez-vous au Palais Royal. Quittant ses appartements de travail, le trentenaire, toujours armé de ses équipements, se dirigea en direction du Palais Royal afin d'y voir un autre Officier. Sur sa route, il y croisait bon nombre de personnes. Daemalor n'était point du genre à se cacher et paraissait bien souvent en public, marchant à travers la plèbe. Certains le reconnaissaient, quant d'autres ignoraient totalement son existence où qui il était. Mais, le dernier descendant de la famille Naltigar n'avait rien à prouver. Il savait ce qu'il valait, puis se balader à travers les rues de la Capitale lui permettait de rencontrer des personnes intéressantes, qui passaient souvent dans les mailles du filet de l'Empire.
Le soldat s'arrêta à une sorte d'étal vendant quelques pièces de viandes, y regardant les prix affichés avec intérêt. Il y repasserait à la suite de son entrevue, se disait il; ayant une envie de viande rouge pour son repas du soir. Daemalor quitta l'étal, tombant alors nez à nez avec une connaissance. Une femme ayant fait parti de sa Cohorte lors de son service militaire, une femme chez qui il avait décelé un certain potentiel et son intérêt avait naquit dès lors pour en faire une soldate de sa Cohorte.
« Orleah Fyllaenor-Sorranar. Quelle surprise de vous trouver ici, je pensais justement à vous. » Mensonge, évidemment, mais comment pouvait elle s'en douter ? Elle ne possédait pas cette capacité à déceler la vérité et le mensonge, Daemalor pouvait se permettre. L'heure n'était pas encore très avancée, il avait un peu de temps avant son rendez-vous. « Voilà un bon temps que je ne vous ai pas vu. Que devenez-vous ? » Pour autant, il décelait chez la femme quelque chose de nouveau en elle, elle ne semblait pas être la femme qu'il avait vu quelques temps auparavant.
Ce jour, il avait un rendez-vous au Palais Royal. Quittant ses appartements de travail, le trentenaire, toujours armé de ses équipements, se dirigea en direction du Palais Royal afin d'y voir un autre Officier. Sur sa route, il y croisait bon nombre de personnes. Daemalor n'était point du genre à se cacher et paraissait bien souvent en public, marchant à travers la plèbe. Certains le reconnaissaient, quant d'autres ignoraient totalement son existence où qui il était. Mais, le dernier descendant de la famille Naltigar n'avait rien à prouver. Il savait ce qu'il valait, puis se balader à travers les rues de la Capitale lui permettait de rencontrer des personnes intéressantes, qui passaient souvent dans les mailles du filet de l'Empire.
Le soldat s'arrêta à une sorte d'étal vendant quelques pièces de viandes, y regardant les prix affichés avec intérêt. Il y repasserait à la suite de son entrevue, se disait il; ayant une envie de viande rouge pour son repas du soir. Daemalor quitta l'étal, tombant alors nez à nez avec une connaissance. Une femme ayant fait parti de sa Cohorte lors de son service militaire, une femme chez qui il avait décelé un certain potentiel et son intérêt avait naquit dès lors pour en faire une soldate de sa Cohorte.
« Orleah Fyllaenor-Sorranar. Quelle surprise de vous trouver ici, je pensais justement à vous. » Mensonge, évidemment, mais comment pouvait elle s'en douter ? Elle ne possédait pas cette capacité à déceler la vérité et le mensonge, Daemalor pouvait se permettre. L'heure n'était pas encore très avancée, il avait un peu de temps avant son rendez-vous. « Voilà un bon temps que je ne vous ai pas vu. Que devenez-vous ? » Pour autant, il décelait chez la femme quelque chose de nouveau en elle, elle ne semblait pas être la femme qu'il avait vu quelques temps auparavant.
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