Le second baiser que le paon lui offrit mena Kirig à caresser ses lèvres de sa langue. Sans forcer, juste histoire d’avoir un peu plus de son goût. Oh oui il avait besoin d’un grand nettoyage, le drakyn ne serait certainement pas celui qui dirait le contraire. Quand les mains de son hôte se mirent à caresser ses cornes, puis sa gorge, descendant lentement mais surement vers le reste de son corps, Kirig offrit un nouveau soupir d’aise. Ses doigts étaient délicats, loin des labeurs physiques, et cela les rendait semblable à des plumes sur son torse. D’un sourire, le drakyn se laissa tourmenter, jusqu’à ce qu’il se retire brutalement quand il tenta de le toucher à son tour. Laissé quelque peu sur sa faim, Kirig sentit ses hanches se mouvoir d’elles-mêmes, les flammes aux creux de ses hanches devenant plus présentes à nouveau. Le paon se recula pour récupérer de quoi faire la toilette, ramenant tout ce qu’il fallait pour nettoyer le drakyn, qui restait dans un sentiment intense d’anticipation. Et cette sensation ne fit que se renforcer, alors que Kirig observa son hôte commencer à défaire ses habits. Il se redressa de son bain totalement pour être sûr de ne rien manquer du spectacle.

La façon dont il fit couler son kimono sur ses épaules était si languide et séducteur. C’était un mouvement que le paon avait sans doute pratiqué de nombreuses fois, un art auquel Kirig était particulièrement sensible. Son corps petit à petit révélé, d’abord les épaules blanches, puis son torse, son ventre plat… Le paon se retourna alors, enlevant le reste de son kimono, dévoilant alors sa nuque et son dos. La large cicatrice lui posa quelques questions, mais Kirig se sentait bien trop brûlant pour réellement y penser de trop à l’instant. Cela lui enlevé de cette pureté et de cette perfection qui le caractérisait, mais quand son hôte se retourna pour révéler son corps, le drakyn n’y pensait déjà plus. Sa démarche était différente, semblable à celle d’un prédateur, et pour la première fois dans sa vie, Kirig n’avait aucun problème à se faire dévorer entièrement : il comptait même sur cela. Lorsqu’il enjamba la cuve, le drakyn se remit à sa position de départ dans la cuve, à l’aise, et observa la forme prendre place sur ses genoux. A portée de main, à portée de son membre qui avait repris de la vigueur. « Quel spectacle… » Chuchota-t-il.

Le paon récupéra une éponge, et se mit à docilement nettoyer son torse. Sa voix douce résonnait dans la tête de Kirig, tandis que son attention était complètement happée par le corps délicieux contre lui. « Non je ne suis pas un hybride, je serai déjà mort à mon âge. » Une réponse presque machinale, tant sa concentration était ailleurs. Ses mains bougèrent toutes seules, prenant les hanches de la créature délicate, glissant très légèrement vers ses fesses voluptueuses, si agréables, glissantes à cause de l’eau, rendant l’interaction encore plus excitante. Son corps réagissait tout seul, guidé par ses désirs primaires, tandis que ses yeux restèrent fixés sur ceux du paon. Kirig se mordit la lèvre inférieure pour empêcher ses hanches de quémander pour plus d’attention. Il voulait que son hôte le chevauche dans l’eau, ayant tout le plaisir de pouvoir entendre son plaisir, et voir son corps se contorsionner dans le bonheur.

La demande du paon le fit sourire, mais Kirig ne répondit pas, préférant se délecter des sensations de caresses sur son corps. Son membre se frottait délicatement sur le corps de son hôte qui bougeait en le nettoyant, et le drakyn releva quelques fois ses hanches dans des moments de faiblesse. Quand il empoigna ses fesses cependant, le paon lui demanda de se retirer, ce que le pirate fit, non sans regret. Son hôte voulait absolument tout contrôler dans cet échange, mélangeant frustration et langueur, une torture délectable dont Kirig n’avait absolument pas l’habitude. Il devait lutter intensément contre l’envie de ruiner ce jeu et de laisser son instinct prendre le dessus sur ses actes. Mais il n’eut pas à attendre longtemps pour enfin recevoir son hôte en cadeau. La forme se redressa au-dessus de lui, se positionnant de sorte à ce que sa virilité se trouva à l’entrée de l’intimité de l’hôte. L’appelant satyre, ce que Kirig était sans aucun doute à ce moment-là, il lui proposa de jouer. « N’étions-nous pas déjà en train de… » Souffla-t-il, sa phrase coupée court lorsque le paon se glissa sur le drakyn. La sensation était même meilleure qu’imaginée, exquise. Son corps entier se tendit, il agrippa les rebords de la cuve pour ne pas se sentir perdre tout contrôle.

Ses yeux n’arrivaient plus à se focaliser sur quoi que ce soit, alors il les ferma un instant, jusqu’à entendre un bruit d’eau, les cheveux de son hôte tombant dans la cuve. Avec difficulté, il se força à regarder son partenaire, qui avait placé du métal froid contre son cou, alors qu’il le torturait un peu plus de ses hanches. Un grondement de plaisir sortit de ses lèvres, les yeux vitreux plongés dans ceux de son paon, l’écoutant, essayant de garder un peu de rationalité tandis que son bassin avait envie de se plonger plus profondément et plus violemment en lui. Kirig pouvait sentir la chaleur le couvrir de toute part, et l’eau mouvant en rythme avec son hôte. Apparemment le nouveau jeu demandait à ce que le drakyn se laisse faire complètement. S’il réussissait, il aurait les délicieuses lèvres dévorant son membre. L’idée lui fit fermer les yeux à nouveau, et pousser un soupir d’extase. Mais la contrepartie était que pour chaque mouvement incontrôlé de sa part, une goutte de sang serait déversée. Kirig serra les bords de la cuve entre ses doigts dans un râle de frustration mélangé à un rire. « C’est tout… ? » Oh il n’allait pas se laisser faire, bien sûr.

S’il perdait, ce serait lui qui lui ferait la petite gâterie, et le drakyn rouvrit les yeux à moitié dans un soupir. Ce n’était pas un si mauvais prix de consolation du tout, à moins qu’il soit privé de tout plaisir personnel lors de ce moment. Ce qu’il serait sans doute. Le petit jeu semblait quelque peu étrange à Kirig, du moins tout ce qui se rapportait au sang, mais il n’était pas contre. Il savait très bien que le paon était quelqu’un de cruel, probablement sadique aussi, et c’était mentir de dire qu’il ne partageait pas ces qualités. La pointe de métal contre son cou, venant d’une épingle, lui rappelait ce qui était en jeu et Kirig essayait de se concentrer sur cette sensation pour ne pas devenir fou. La tension au creux de ses hanches continuait d’augmenter, et il grinça des dents pour ne pas perdre le contrôle, griffant les rebords de la cuve comme un animal en chaleur tandis que les mouvements du paon continuaient. « Gnngh… » Kirig avait si chaud au milieu de l’eau, il était surpris qu’elle ne se soit pas déjà mise à bouillir à cause de leurs deux corps entremêlés. Des perles de sueur commencèrent à parsemer son front, et le drakyn devint si fiévreux qu'il oublia un instant où il était, ainsi que le métal contre son cou. Avec un nouveau râle de plaisir il sentit ses hanches se soulever malgré lui, s’insérant au plus profond du corps de son paon, aussi profondément qu’il put. Elle était à lui et c'était si délicieux.

Son petit coup de hanche arracha un gémissement au paon et se fut assez pour ne pas regretter son acte, entendant l’épingle tomber dans un coin de la pièce. Reprenant son rythme, le paon attrapa les cornes du drakyn comme s’il s’agissait des rênes d’un cheval. Kirig devait admettre que cette façon de faire était loin de lui causer du déplaisir, mais il tenta autant qu’il put de reprendre le contrôle sur son propre corps. La cuve présentait des marques à cause des griffures de son bras écaillé, tandis qu’il embrassait les lèvres de son paon. Chaudes, humides, ses lèvres semblaient s’embraser dans les siennes, et la salive s’échangeant entre eux lui donnait encore plus chaud, si cela était possible. Quand le paon lui mordit les lèvres jusqu’à faire couler le sang, Kirig gémit de douleur, sa respiration rauque et profonde, comme s’il était sous l’eau sans oxygène. Ses lèvres douces étaient devenues métalliques, mais cela ne calmait pas ses ardeurs. Quand il fut plaqué contre le fond de la cuve, le drakyn laissa échapper un nouvel râle rauque, ses yeux se fermant sous le plaisir, léchant sur ses lèvres le sang qui s’évadait. Son corps brûlait et tremblait de plaisir, attendant un peu plus de rapidité de mouvement et de force pour pouvoir se répandre au plus profond de lui.

Le paon lui dit qu’il souhaitait rajouter de la difficulté pour la seconde partie, et Kirig n’arriva pas à articuler une seule phrase en réponse. La fièvre le rendait capable de se concentrer seulement sur les parties de son corps abusées par les mouvements de son partenaire. Sa respiration se faisait plus rapide et laborieuse. Le drakyn laissa sa main gauche se faire guidée pour se glisser autour du membre de son paon, dur et alléchant, aussi désirable que l’intimité qu’il explorait à chacun de ses va-et-vient. Les hanches de son partenaire, se levant et se baissant dans des mouvements langoureux plein d’expérience, lui fit décrocher un nouveau soupir, tandis que sa main restait aussi statique que possible. C’était tellement de sensation agréables et chaudes, tellement de demandes difficiles, tandis que le sang éparpillé sur ses lèvres lui demandait encore et toujours de répondre à ses pulsions primaires. Une torture exquise, qu’il n’avait jamais ressenti avant, ses doigts peinant à ne pas renforcer les mouvements sur son membre pour l’entendre crier. Kirig se demanda ce que son paon ferait, s’il cédait à la tentation et prenait entièrement les choses en main. Il imagina pousser sa virilité dans les entrailles de son partenaire pour lui décrocher plus de gémissement comme ceux de tout à l’heure. Il imaginait être égoïste, utilisant son paon comme un objet de plaisir, aussi violemment et profondément qu'il le voudrait, dans l'espoir de pouvoir le blesser même.

Est-ce que cela lui ferait perdre l’immense privilège de pouvoir le sentir tout autour de lui ? De le sentir se mouvoir de haut en bas pour leur plaisir ? De voir ses joues rosir sous la chaleur ? De sentir ses lèvres gourmandes et cruelles contre les siennes ? De lécher sa sueur délicate, et son membre rigide contenant une semence très probablement délectable ? L’idée était si proche de lui faire perdre la tête, mais son corps se tendit à nouveau, sentant cette chaleur au creux de ses reins monter de plus en plus, le suppliant de le laisser s’écouler en lui. « Hmmm… » fut la seule chose qu’il put proprement articuler. Kirig déglutit, tentant d’ouvrir les yeux malgré la drogue du plaisir coulant dans ses veines de façon intense. N’étant capable de prononcer le moindre mot, ni de toucher la moindre parcelle de peau, ce fut ses dents qui trahirent leur marché cette fois. Il se redressa juste assez pour pouvoir avoir accès au côté du cou de son paon, plantant ses dents dans sa chair comme il l’avait fait avec lui sur ses lèvres. La morsure était incontrôlable, animale, laissant des marques sur sa peau délicate, tandis que son nez se collait à sa peau juste en dessous de sa mâchoire, inspirant son odeur comme une drogue.

Une partie de lui souhaitait le dévorer en entier, de lui montrer qu'il le possédait entièrement à présent, et ses lèvres remontèrent vers son oreille pour l’embrasser et lécher le lobe, mordillant l’hélix dans un soupir chaud et humide. « Tu me rends fou… Va plus vite. » Chuchota-t-il, la voix grave, se préparant à la punition sans aucun regret, mais s’attendant aussi à retourner à un stade animal d’un moment à un autre.

La morsure causa une vague de plaisir suffisamment importante pour que le paon s’épandît sur la main écaillée de Kirig. Il était quelque peu surpris de cela, au milieu de son hébétement dû à sa fièvre intense et aux mouvements de bassin de son partenaire. Sa jouissance l’amenait dangereusement au bord de la sienne, sentant son intimité se contracter autour de son membre. Cela lui décrocha un gémissement rauque de plaisir, atteignant quasiment l’extase. La suite cependant, fut attendue, les ongles du paon se plantèrent dans la gorge du drakyn, coupant court à la vocalisation de son euphorie qui se transforma en un grognement de douleur. Sa courtisane le traita de tricheur en sifflant comme un serpent vulnérable, les yeux noirs, avant de se relever pour se retirer subitement, arrachant alors un son ressemblant presque à une plainte au pirate. La fraicheur de l’eau autour de son membre le fit frissonner, même trembler, son corps bourdonnant de toute part, les yeux vides de presque toute réflexion développée. La trace de sa transgression était visible sur le cou parfait de sa belle aux cheveux de sang, et le paon en récupéra quelques gouttes pour lécher de façon séductrice. Sa virilité souffrit d’un nouveau spasme à cette vision, donnant à Kirig l’envie de le supplier, son torse se levant et s’abaissant sous le souffle lourd, son cœur tambourinant dans sa poitrine.

Mais les doigts du paon parfaitement cruel se glissèrent sur le torse du drakyn, prêt à lui arracher le cœur qui faisait vibrer son corps, tapant dans ses tympans comme une mélodie guerrière. Kirig siffla de douleur, son bassin qu’il avait tant de mal à gardait en place souffrait de spasme, l’envie de pouvoir lui-même s’épandre envahissant chacune de ses pensées et désirs. Seul le son de son cœur battant dans sa tête, la sensation de fraicheur autour de son membre qui avait désespérément besoin de libération, et le goût du sang dans la gorge de Kirig comptaient à présent. C’est alors que la belle fit une terrible erreur, elle tourna le dos à son prédateur, s’attendant à ce qu’il se soumette une nouvelle fois à ses caprices. Mais c’était la fin de ce jeu, le drakyn n’avait plus la patience, son instinct primaire violent accablant et irrésistible prit le contrôle de ses mouvements. Il n’entendit pas les bruits d’eau lorsqu’il se redressa de la cuve, son regard concentré sur le dos et les fesses de sa propriété, alors qu’il désobéissait à ses ordres, écoutant le chant de son désir, sourd aux mots de son hôte.

Ses hanches trouvèrent directement l’angle nécessaire pour se plonger au plus profond de lui à nouveau. Kirig poussa son bassin contre les fesses de sa belle d’un coup sec malgré l’eau gênant quelques peu ses mouvements. « Hm… » Il poussa un soupir chaud, tandis que ses deux mains se mirent d’abord sur les épaules du paon, le maintenant en place pour ce nouveau jeu. La partie haute du corps de Kirig s’arqua au-dessus du corps de sa proie, sa tête se posant finalement au creux de sa nuque pour respirer son odeur l’hébétant d’autant plus. Sa virilité était de nouveau au chaud et prête à se répandre en lui, mais il ne bougeait pas encore, appréciant la sensation de le posséder de toute part, de le dévorer. Ne voulant pas que sa belle se défende, car elle avait tendance à se venger, Kirig fit glisser ses deux mains le long des bras de sa proie, attrapant finalement ses poignets pour les immobiliser avec force. Il tira sur les muscles fins de sa courtisane pour lui faire courber le torse, changeant l’angle de ses entrailles pour plus de plaisir. Une fois satisfait de sa possession, le drakyn bloqua ses mains sur les poignets de la belle, serrant un peu fort, tandis que ses hanches se mirent à claquer en rythme contre ses fesses.

L’eau absorbait une partie du son, mais ses mouvements étaient au rythme de son cœur tambourinant au creux de son torse et dans sa tête. Kirig poussa un soupir de plaisir et mordit une nouvelle fois la nuque de sa courtisane délicate, grognant comme un animal en rut, car c’était bien ce qu’il était à cet instant. La vitesse de l’exécution de ses mouvements fut de plus en plus rapide, les soupirs devenant plus puissant, se transformant en gémissements rauques. Ses mains gardaient les bras de sa courtisane en tension, jusqu’à ce que l’inéluctable se produise. L’extase prit Kirig de court, lui arrachant un grognement sourd tandis qu’il sentait son membre déverser par à coup sa semence au fond des entrailles de sa belle, ralentissant ses va-et-vient pour finalement s’arrêter. Le soulagement était instantané, décrochant plus de soupirs, l’amenant brièvement dans cet endroit infiniment calme de son esprit, où rien n’avait plus d’importance, si ce n’est le sentiment de bonheur et d’accomplissement. Ses mains lâchèrent enfin les poignets de son paon, se glissant autour du torse et du ventre de sa belle de façon possessive, pour finalement avoir la présence d’esprit de retirer sa virilité enfin libre.

Ses muscles devinrent de plus en plus mous, la sensation de relaxation intense rendant difficile le fait de rester dans une telle position. Alors Kirig se réinstalla au fond de la cuve, reprenant son souffle encore laborieux, non sans regarder la partie intime de son partenaire couler du liquide qu’il avait déverser en lui. « Ah… » Le sentiment de satisfaction était incroyablement bon, et son cœur commençait enfin à se calmer dans son corps, ne laissant plus que les clapotis de l’eau et le crépitement du feu combler l’espace sonore. Le drakyn se fichait de la suite, son extase était totale.

Kirig reprit son souffle petit à petit, fermant les yeux, son corps devenant de plus en plus lourd après la libération. Il sentit la forme du paon se blottir contre lui, et en rouvrant les yeux perçu les petites blessures qu’il avait causées. Sa courtisane avait été quelque peu maltraitée, mais elle ne semblait pas lui en tenir rigueur. Du moins c’est ce qu’il crut quelques secondes, avant que le drakyn sentit ses flancs lui brûler d’un coup de griffe profond. Il gronda de douleur, mais le laissa faire tout de même sans grande réaction. La douleur ne le gênait pas assez pour le faire bouger, mais les mouvements du paon piquaient grandement sa curiosité, il bougeait l’eau partout, en renversant un peu, et sa posture était assez étrange. Après quelques secondes, Kirig sentit le torse de la courtisane contre son ventre, tandis que son visage fut à moitié dans l’eau, toujours en train de le griffer. « Qu’est-ce que… ? Gnn… » Souffla-t-il. Cela laissait son bassin proche du visage du drakyn, et ses longues jambes pendre en dehors de la cuve. Une étrange position, qui laissait néanmoins tout loisir à Kirig de s’amuser avec son corps entre les coups de griffes douloureux.

Apparemment, le paon n’en avait pas fini avec lui. Le drakyn était bien incapable de pouvoir performer à nouveau vu sa violente sortie dans l’extase, mais il était peut-être d’humeur à s’amuser tout de même un peu, en tout cas il était difficile de résister vu l’occasion. « Tu veux jouer à ça… » Sa main écailleuse remonta le long de la colonne vertébrale de la douce, montant jusqu’à ses fesses, avant de leur mettre une bonne claque, réchauffant la zone. Ses deux mains saisirent ses hanches, les ongles/griffes plantés dans la peau du paon, le soulevant légèrement. Kirig l’orienta comme il voulut, lècha délicatement l’une de ses cuisses, s’approchant des lèvres de la courtisane. Elle avait encore le petit goût salé à cause de leur session de jeu précédente. Se sentant assez stabilisé, le drakyn maintint la position du paon tandis que son bras écailleux se releva, s’arquant autour d’une des cuisses douces de la belle, revenant vers ses fesses. Trois doigts bleutés s’insinuèrent lentement dans l’espace humide qui les invitait, glissant sans difficulté. Kirig rejoignit ses doigts avec sa langue, en profitant pour jouer avec ses lèvres, les va-et-vient de sa main lents.

Mais on ne pouvait pas dire que la position était confortable. Après quelques seconde, la position causait quelques douleurs à Kirig au niveau du dos, et c’était sans compter le fait qu’à chaque mouvement, la tête du paon se retrouvait sous l’eau. Faisant une pause sur sa gâterie, le drakyn embrassa la cuisse de la belle, la voix remplie de promesse. « Si nous sortons du bain, je fini ce que je viens de commencer, jusqu’à ta satisfaction. » Un pirate aussi charitable était l’opportunité d’une vie, mais même son ardeur partie pour le moment, il y avait quand même cette petite satisfaction et ce petit orgueil de vouloir laisser une impression indélébile dans l’esprit de ses partenaires. Qui sait, le contact d’un petit richou pourrait se retrouver utile un jour…