La Chaleureuse Noyeuse
Takhys Suladran
Messages : 526
crédits : 2630
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Info personnage
Race: Sirène
Vocation: Mage élémentaliste
Alignement: Chaotique Neutre
Rang: C
Ah qu'il est doux le matin de l'été, quand une brise légère apportant les senteurs enivrantes de la mer ; la vraie, la lointaine, pas celle du port. Takhys était toute souriante ce matin. Elle avait bien dormi la nuit dernière, profitant d'une petite nuit bien intéressante avec un jeune mercenaire qui n'était que de passage à Courage. Comment ne pas être de bonne humeur après avoir savouré pareille rencontre. Et de ce fait, elle était très matinale, se trouvant déjà au Marsouin Blanc. Elle terminait d'agencer un peu ce qu'elle n'avait pas rangé et nettoyé la veille. Quand on tombe sur un bon morceau masculin, l'appel des émotions n'attend jamais.
Le bruit doux de la mer toute proche résonnait dans la salle pour le moment vide Le jour faisait office d'éclairage naturel. Après avoir changé les chandelles bien entamées par de nouvelles, qui ornaient les murs et le grand chandelier sculpté dans du bois flotté. Takhys accorda un regard d'inspection, pour voir si tout était en ordre et tout en place pour une nouvelle journée de travail. Le mobilier, toujours simple et élégant, faits en bois massif, était en place. Les murs, décorés de tapisseries aux motifs marins, étaient propres, et sans tache. Au fond de l'établissement se dressait un grand foyer en pierre bleue. Il était d'une propreté impeccable. Avec le temps actuel, la Sirène n'avait pas besoin d'aller de feux joyeux pour réchauffer les coeurs.
Takhys se rapprocha du comptoir en bois poli. Aujourd'hui, elle avait permis à sa tenancière de prendre sa journée. Tant pis si les clients devront patienter plus que d'ordinaire. La vie était ainsi. Et toujours toute sourire, malgré le travail qui sera plus lourd pour elle aujourd'hui, elle terminait de disposer les petits pains frais du matin, comme elle le faisait quotidiennement quand elle venait à sa taverne. Et par le temps qui s'annonçait bien haut en température, elle ne proposera pas de poissons frais. Que des préparations salées ou séchées. Là aussi, dommage pour les habitués, c'était cela ou bien une odeur pourrie de poisson en termes de parfum d'atmosphères.
Elle tourna la tête vers sa salle d'eau. Aujourd'hui, elle aura peut-être une personne ou deux, qui viendrait se prélasser, mais pas dans de l'eau chaude. Donc, nul besoin de faire en sorte qu'elle soit déjà prête avec de l'eau fumante et chaude à souhait. Elle haussa des épaules. Bah, au pire, elle s'adaptera. Elle n'était pas aux pièces aujourd'hui. Elle verra bien les clients qui entreront aujourd'hui.
Bon, si elle ouvrait ? Le jour se levait, quelques personnes passaient déjà sous les grandes fenêtres de la taverne.
Le bruit doux de la mer toute proche résonnait dans la salle pour le moment vide Le jour faisait office d'éclairage naturel. Après avoir changé les chandelles bien entamées par de nouvelles, qui ornaient les murs et le grand chandelier sculpté dans du bois flotté. Takhys accorda un regard d'inspection, pour voir si tout était en ordre et tout en place pour une nouvelle journée de travail. Le mobilier, toujours simple et élégant, faits en bois massif, était en place. Les murs, décorés de tapisseries aux motifs marins, étaient propres, et sans tache. Au fond de l'établissement se dressait un grand foyer en pierre bleue. Il était d'une propreté impeccable. Avec le temps actuel, la Sirène n'avait pas besoin d'aller de feux joyeux pour réchauffer les coeurs.
Takhys se rapprocha du comptoir en bois poli. Aujourd'hui, elle avait permis à sa tenancière de prendre sa journée. Tant pis si les clients devront patienter plus que d'ordinaire. La vie était ainsi. Et toujours toute sourire, malgré le travail qui sera plus lourd pour elle aujourd'hui, elle terminait de disposer les petits pains frais du matin, comme elle le faisait quotidiennement quand elle venait à sa taverne. Et par le temps qui s'annonçait bien haut en température, elle ne proposera pas de poissons frais. Que des préparations salées ou séchées. Là aussi, dommage pour les habitués, c'était cela ou bien une odeur pourrie de poisson en termes de parfum d'atmosphères.
Elle tourna la tête vers sa salle d'eau. Aujourd'hui, elle aura peut-être une personne ou deux, qui viendrait se prélasser, mais pas dans de l'eau chaude. Donc, nul besoin de faire en sorte qu'elle soit déjà prête avec de l'eau fumante et chaude à souhait. Elle haussa des épaules. Bah, au pire, elle s'adaptera. Elle n'était pas aux pièces aujourd'hui. Elle verra bien les clients qui entreront aujourd'hui.
Bon, si elle ouvrait ? Le jour se levait, quelques personnes passaient déjà sous les grandes fenêtres de la taverne.
Invité
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Les premiers rayons du soleil étaient le premier signal d’une nouvelle journée à Courage. Rapidement, c’était le brouhaha des passants, le chants moyennement mélodieux des mouettes qui vinrent signaler qu’effectivement, la journée avait bel et bien débuté. Je m’étais levée bien avant que leurs rires imperturbables brisent le doux silence de l’aube. J'avais payé l’aubergiste à qui j’avais demandé le gîte pour la nuit et quitté les lieux en toute discrétion.
Je marchais en toute quiétude dans la rue principale d’où on pouvait admirer le port. Je ne pouvais m’empêcher d’apprécier les bateaux devant lesquels je passais. Il n’était à mes yeux plus belle conception humaine que celle-ci. User de la nature flottante du bois pour créer d’énorme masses hermétiques qui trônaient fièrement sur l’océan, qu’importe son calme ou sa colère. Je restais un instant devant ces fiers navires, appréciant les couleurs rouge-oranger du soleil qui lentement s’imposait à l’horizon.
Lorsque le ciel fut aux aurores, je me dirigeai vers le lieu de rendez-vous que nous nous étions fixés. C’était une taverne ma foi bien sympathique, entretenue par une tavernière consciencieuse qui fournissait des services de qualité. Je n’avais jamais vraiment pris le temps de discuter avec elle, même si ce n’était pas la première fois que je passais par le seuil de sa porte. Je m’installais à la table habituelle, non loin du comptoir, contre un mur. Je posais ma besace en cuir entre le mur et moi et réclamais poliment à la tenancière un petit déjeuner.
- Bonjour Takhys. As-tu de quoi faire le si bon petit déjeuner que tu m’avais servi la dernière fois ?
Un homme malingre entra dans la taverne peu après moi et sembla chercher quelqu’un. Je restais silencieuse, calme. Je savais bien sûre qu’il s’agissait de mon client, néanmoins, je n’avais pas pour habitude de faire de grands signes pour me signaler. Il finirait bien par me trouver, une rousse passait rarement inaperçu. A moins qu’il soit parfaitement stupide et me confonde avec la tenancière. Non, finalement, il n’était pas si stupide. Il s’installa face à moi, un peu maladroit.
- L’avez-vous trouvé ?
- Qu’allez-vous en faire ?
- Je ne vous paie pas pour avoir quelconque scrupule.
Je le regardais sombrement, n’importe qui d’un peu prudent se méfierait d’un tel regard.
- Vous me payez parce que vous êtes incapable d’user de vos aptitudes pour l’acquérir.
- Pas besoin d’aptitudes lorsque l’on a les moyens.
Un petit sourire se dessina sur mon visage, mais au lieu de l’illuminer, il semblait plus sombre encore. Avant que je n’aie l’opportunité de lui répondre, la dame des lieux vint déposer ma commande.
- Merci. Tu feras payer l’addition à monsieur ? Il me disait justement qu’il avait trop d’argent.
Deux hommes présents avant moi au comptoir apprécièrent mes paroles car ils prirent le temps d’observer mon interlocuteur avec beaucoup d’intérêt. J’offris un clin d’œil à ce sombre crétin, qui aussi mauvais qu’inquiet, glissa une bourse pleine devant mon assiette. Je la pris sans attendre, la soupesa dans ma paume et me penchais enfin pour la ranger dans la besace, à la place de la commande. Je lui donnais le paquet enrobé d’un vieux tissu en lin, noué de corde effilochée. Je laissais la liberté à l’homme d’exposer ou non son butin. Il fit le choix de l’ouvrir, révélant trois œufs à la coquille pourpre tachetés de beige.
- Quoi que vous en fassiez, je vous déconseille vivement de les faire éclore...
L’homme renoua la corde autour de l’étoffe et se leva, laissant quelques pièces d’argent sur la table, quatre tout au plus, et s’en alla d’un pas pressé, un dernier regard sur les deux hommes au bar.
Je marchais en toute quiétude dans la rue principale d’où on pouvait admirer le port. Je ne pouvais m’empêcher d’apprécier les bateaux devant lesquels je passais. Il n’était à mes yeux plus belle conception humaine que celle-ci. User de la nature flottante du bois pour créer d’énorme masses hermétiques qui trônaient fièrement sur l’océan, qu’importe son calme ou sa colère. Je restais un instant devant ces fiers navires, appréciant les couleurs rouge-oranger du soleil qui lentement s’imposait à l’horizon.
Lorsque le ciel fut aux aurores, je me dirigeai vers le lieu de rendez-vous que nous nous étions fixés. C’était une taverne ma foi bien sympathique, entretenue par une tavernière consciencieuse qui fournissait des services de qualité. Je n’avais jamais vraiment pris le temps de discuter avec elle, même si ce n’était pas la première fois que je passais par le seuil de sa porte. Je m’installais à la table habituelle, non loin du comptoir, contre un mur. Je posais ma besace en cuir entre le mur et moi et réclamais poliment à la tenancière un petit déjeuner.
- Bonjour Takhys. As-tu de quoi faire le si bon petit déjeuner que tu m’avais servi la dernière fois ?
Un homme malingre entra dans la taverne peu après moi et sembla chercher quelqu’un. Je restais silencieuse, calme. Je savais bien sûre qu’il s’agissait de mon client, néanmoins, je n’avais pas pour habitude de faire de grands signes pour me signaler. Il finirait bien par me trouver, une rousse passait rarement inaperçu. A moins qu’il soit parfaitement stupide et me confonde avec la tenancière. Non, finalement, il n’était pas si stupide. Il s’installa face à moi, un peu maladroit.
- L’avez-vous trouvé ?
- Qu’allez-vous en faire ?
- Je ne vous paie pas pour avoir quelconque scrupule.
Je le regardais sombrement, n’importe qui d’un peu prudent se méfierait d’un tel regard.
- Vous me payez parce que vous êtes incapable d’user de vos aptitudes pour l’acquérir.
- Pas besoin d’aptitudes lorsque l’on a les moyens.
Un petit sourire se dessina sur mon visage, mais au lieu de l’illuminer, il semblait plus sombre encore. Avant que je n’aie l’opportunité de lui répondre, la dame des lieux vint déposer ma commande.
- Merci. Tu feras payer l’addition à monsieur ? Il me disait justement qu’il avait trop d’argent.
Deux hommes présents avant moi au comptoir apprécièrent mes paroles car ils prirent le temps d’observer mon interlocuteur avec beaucoup d’intérêt. J’offris un clin d’œil à ce sombre crétin, qui aussi mauvais qu’inquiet, glissa une bourse pleine devant mon assiette. Je la pris sans attendre, la soupesa dans ma paume et me penchais enfin pour la ranger dans la besace, à la place de la commande. Je lui donnais le paquet enrobé d’un vieux tissu en lin, noué de corde effilochée. Je laissais la liberté à l’homme d’exposer ou non son butin. Il fit le choix de l’ouvrir, révélant trois œufs à la coquille pourpre tachetés de beige.
- Quoi que vous en fassiez, je vous déconseille vivement de les faire éclore...
L’homme renoua la corde autour de l’étoffe et se leva, laissant quelques pièces d’argent sur la table, quatre tout au plus, et s’en alla d’un pas pressé, un dernier regard sur les deux hommes au bar.
La Chaleureuse Noyeuse
Takhys Suladran
Messages : 526
crédits : 2630
crédits : 2630
Info personnage
Race: Sirène
Vocation: Mage élémentaliste
Alignement: Chaotique Neutre
Rang: C
Une nouvelle matinée s'annonçait prometteuse aujourd'hui. Takhys le pressentait. Elle était de très bonne humeur en même temps. Que pourrait-il bien arriver par une si belle journée naissante. Hier soir, elle s'était amusée à nager dans les eaux de Courage, dans des petites criques du coin, avant de terminer sa sortie sous-marine en faisant une course avec quelques grands tursiops facétieux. Se dépenser de cette façon, elle adorait ! Alors, forcément, elle avait un très beau et large ce matin, chantonnant même pour son seul plaisir. Sa voix cristalline faisait même sourire ses clients matinaux habituels. Eux aussi appréciaient de voir leur belle tavernière aussi gaie. En même temps, la voir de mauvais poil était quelque chose de rare. En même temps, quand on venait prendre à boire ou à manger dans une petite taverne du coin, que vous êtes certain de voir un beau visage enjoué pour démarrer votre labeur quotidien, c'était bien plus motivant qu'un vieux gugusse râleur et tirant la tronche à longueur de temps.
Une jeune femme rousse franchit le seuil du Marsouin Blanc, prenant place à sa table habituelle. Takhys lui adressa un sourire de bienvenue. Elle la voyait régulièrement cette jeune fille. Si elle avait été de nature jalouse, elle aurait envié sa jeunesse tout comme sa beauté de son visage. Elle paraissait si fragile, si innocente. Mais comme toutes les belles fleurs, il y avait toujours quelque chose de camouflé derrière. Et puis, une splendide créature comme elle qui avait pris l'habitude de se coller contre un mur... elle avait déjà vu cela chez quelques merco's. A cela, elle ne put s'empêcher de sourire intérieurement.
''Bonjour Zaïlys. Oui, j'ai encore de quoi te faire le petit déjeuner de la dernière fois. Je vais aller te préparer cela de suite. "
En se rendant à la cuisine pour faire le repas matinal de sa cliente, elle entendit qu'une nouvelle personne entrait dans son établissement, elle se retourna pour l'observer. Tiens, un client à la tête inconnue cette fois. Il cherchait quelqu'un, vu le regard qui fouillait chaque table. Il n'y avait pas encore grand monde, il trouvera bien. Elle disparut donc en cuisine.
Quand elle revint avec le plat, elle vit que Zaïlys était avec lui. Ils bavardaient. Sans doute pour parler affaire. Quoi de plus normal après tout. Elle déposa l'assiette emplie des gourmandises qui avaient plus à la jeune rouquine la dernière fois.
''Et voilà ! J'espère que tu te régaleras autant que la dernière fois. "Elle regarda l'homme, qui avait des signes évidents d'inquiétude. Allons bon, de quoi pouvait-il avoir peur ici, dans sa petite taverne ? Elle annonça le prix avec un charmant sourire, faisant mine de n'avoir rien aperçu sur son visage. Les terrestres... ils croyaient tellement que leurs émotions demeuraient en partie invisibles…
Attendant le paiement du repas, Takhys eut le temps de voir le contenu du sac, pendant qu'il contrôlait l'état de sa marchandise; Des oeufs ? Et pas communs aux premiers abords.... et quand elle entendit les paroles de la rouquine, c'était encore moins bon signe. Elle l'observa se lever et jeter un dernier regard aux deux hommes au compotir, qui le fixaient lui aussi. Bon... peut être qu'elle devrait s'en mêler ?
''Messire ! Comme vous payez l'addition, il manque un petit quelque chose....."
Elle fit un large sourire, essayant de lui faire comprendre qu'il y avait un pourboire à rajouter à l'addition. Après tout, elle avait une mine joyeuse, qu'elle tenait à faire partager à tout le monde. Le temps qu'il réfléchisse, elle murmura à Zaïlys.
''Tu devrais lui suggérer de revenir s'asseoir avec toi... je ne sais pas de quelle bestiole viennent ces oeufs, mais les deux types au bar ont l'air d'être intéressés.. grandement... Donc, pour éviter d'avoir des surprises avec ton colis non ? "
Et bien entendu, elle avait toujours le beau sourire aux lèvres. Qui sait ce qu'étaient ces oeufs.... si elle pouvait en apprendre plus, cela ne pourrait qu'être intéressant pour elle !
Une jeune femme rousse franchit le seuil du Marsouin Blanc, prenant place à sa table habituelle. Takhys lui adressa un sourire de bienvenue. Elle la voyait régulièrement cette jeune fille. Si elle avait été de nature jalouse, elle aurait envié sa jeunesse tout comme sa beauté de son visage. Elle paraissait si fragile, si innocente. Mais comme toutes les belles fleurs, il y avait toujours quelque chose de camouflé derrière. Et puis, une splendide créature comme elle qui avait pris l'habitude de se coller contre un mur... elle avait déjà vu cela chez quelques merco's. A cela, elle ne put s'empêcher de sourire intérieurement.
''Bonjour Zaïlys. Oui, j'ai encore de quoi te faire le petit déjeuner de la dernière fois. Je vais aller te préparer cela de suite. "
En se rendant à la cuisine pour faire le repas matinal de sa cliente, elle entendit qu'une nouvelle personne entrait dans son établissement, elle se retourna pour l'observer. Tiens, un client à la tête inconnue cette fois. Il cherchait quelqu'un, vu le regard qui fouillait chaque table. Il n'y avait pas encore grand monde, il trouvera bien. Elle disparut donc en cuisine.
Quand elle revint avec le plat, elle vit que Zaïlys était avec lui. Ils bavardaient. Sans doute pour parler affaire. Quoi de plus normal après tout. Elle déposa l'assiette emplie des gourmandises qui avaient plus à la jeune rouquine la dernière fois.
''Et voilà ! J'espère que tu te régaleras autant que la dernière fois. "Elle regarda l'homme, qui avait des signes évidents d'inquiétude. Allons bon, de quoi pouvait-il avoir peur ici, dans sa petite taverne ? Elle annonça le prix avec un charmant sourire, faisant mine de n'avoir rien aperçu sur son visage. Les terrestres... ils croyaient tellement que leurs émotions demeuraient en partie invisibles…
Attendant le paiement du repas, Takhys eut le temps de voir le contenu du sac, pendant qu'il contrôlait l'état de sa marchandise; Des oeufs ? Et pas communs aux premiers abords.... et quand elle entendit les paroles de la rouquine, c'était encore moins bon signe. Elle l'observa se lever et jeter un dernier regard aux deux hommes au compotir, qui le fixaient lui aussi. Bon... peut être qu'elle devrait s'en mêler ?
''Messire ! Comme vous payez l'addition, il manque un petit quelque chose....."
Elle fit un large sourire, essayant de lui faire comprendre qu'il y avait un pourboire à rajouter à l'addition. Après tout, elle avait une mine joyeuse, qu'elle tenait à faire partager à tout le monde. Le temps qu'il réfléchisse, elle murmura à Zaïlys.
''Tu devrais lui suggérer de revenir s'asseoir avec toi... je ne sais pas de quelle bestiole viennent ces oeufs, mais les deux types au bar ont l'air d'être intéressés.. grandement... Donc, pour éviter d'avoir des surprises avec ton colis non ? "
Et bien entendu, elle avait toujours le beau sourire aux lèvres. Qui sait ce qu'étaient ces oeufs.... si elle pouvait en apprendre plus, cela ne pourrait qu'être intéressant pour elle !
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