Affilié au Reike
Stadzank
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Info personnage
Race: Gobelin
Vocation: Guerrier assassin
Alignement: Loyal neutre
Rang: D
Ah les bijouteries Gloidveeld, voilà un nom bien pompeux comme les aime notre cher Glulgil, fier propriétaire de cette belle boutique. Comme son nom ne l’indique pas, il faut bien préciser qu’il n’y a qu’une bijouterie, qui se trouve dans une petite rue non loin du port pas forcément réputé pour le commerce de luxe, mais assez loin des débits de boisson fréquenté par les marins. Mais surtout ne le dîtes pas à notre bon Glulgil, il se sentirait outrer par votre suspicion et argumenterait qu’il a tout de même un atelier de confection - situé dans les quartiers populaires de la ville – et qu’il prévoit d’ouvrir des boutiques dans toutes les grandes villes du Reike, rien que ça.
Bon, laissons-le nous décrire l’endroit comme si vous étiez un investisseur :
Depuis la rue, c’est vrai que la boutique à l’air petite mais c’est qu’elle est dans la longueur voyez-vous... Et puis allez-y, rentrez.
Gling, gling, gling !
Petites clochettes pour prévenir “votre vendeur” qui s’empressera de venir vous guider dans votre recherche. Voyez les différents présentoirs où seront présentés les différentes parures à la dernière mode et d’autres plus “tradi” avec des symboles reikois typiques. Donc grande pièce avec deux petits bureaux –et les chaises confortables qui vont avec - séparés pour recevoir plusieurs clients en même temps. La sécurité ? Certes, un vigile est prévu à la journée même si à Ikusa, on n’a vraiment pas à craindre quoique ce soit.
La nuit ? Et bien les bijoux partent passer la nuit à l’atelier, donc pas de vigile. Je suis en affaire avec le lieutenant qui patrouille dans le quartier. Lui et ses gars escortent mon vigile jusqu’à l’atelier avec la précieuse cargaison et là-bas j’ai deux gars qui font la nuit donc pour ça, je dors sur mes deux oreilles.
L’escalier que vous voyez sert à accéder à l’étage où se trouve mon bureau, il est assez grand pour faire des petites réunions de personnel et peut recevoir des fournisseurs, occasionnellement de très bons clients ou qui souhaitent rester un peu discret.
Et ensuite, il y a l’arrière-boutique. Il y a surtout du petit matériel pour faire les réparations et une petite porte qui donne sur la petite rue parallèle - très peu passante - fréquentée que par les gens du quartier. C’est une sorte de petit atelier, les clients adorent qu’on leur répare leur bijou sur le champ, c’est le petit plus des bijouteries Gloidveeld.
Ce que Glulgil ne nous dit pas, c’est que son autre atelier ne sert pas uniquement à confectionner des bijoux... C’est qu’il sert aussi à faire des dorures sur des menuiseries et à effectuer, dans la limite du possible, toutes les demandes de la clientèle. Pour faire de l’argent rapidement, notre bijoutier préféré a trouvé un créneau un peu surprenant : ayant compris que de nombreux membres de la pègre avaient du mal à écouler leurs biens mal acquis et que souvent ils étaient rachetés pour moins d’un tiers de leur valeur réel, Glulgil proposa de racheter les bijoux volés contre leur poids en or. Une commission de 40% et la moitié des pierres précieuses récupérées, tel était son tarif. C’était encore du vol, certes, mais ça restait la meilleure porte de sortie pour les malfrats du coin.
Et comment arrivait-il à ne pas se faire pincer par les contrôleurs royaux me direz-vous ? Ah c’était bien là où Glulgil était le plus doué ! Déjà pour justifier tout ce trafic de bijoux anciens, il a également donné la possibilité aux personnes détenant un justificatif de propriété de vieux bijoux de les racheter, avec le même système mais avec une commission de 25% et la même commission sur les pierres. Rien qu’avec cette offre –qui avait son petit succès, il faut le dire- le bijoutier était plus que rentable : les vieilleries à mémé, on n’a pas forcément envie de les garder alors qu’on pourrait se payer avec un beau cheval ou quelques belles soirées arrosées...
Pour maquiller ses revenus frauduleux, il avait tout simplement fait une comptabilité séparée : l’or et les pierres issus du vol étaient stockés dans un coffre à l’abri des regards indiscrets sous forme de lingots et étaient régulièrement utilisés pour fabriquer de nouveaux bijoux. Avec le nain complice qui travaillait à l’atelier, il trichait légèrement sur les poids qui étaient notés sur le cahier de comptabilité de la bijouterie (comme il fabriquait exclusivement des pièces uniques, c’était impossible à vérifier sur l’ensemble) et en diminuant la quantité d’or dont il avait besoin pour fabriquer ses nouveaux bijoux, il blanchissait ainsi une partie de ses lingots. Voilà qui lui permit de rapidement s’affranchir de son prêt d’état avec les bons revenus de son entreprise.
L’autre solution qu’il avait trouvé, était de donner un peu d’or frauduleux aux membres de son clan afin d’ouvrir d’autres types de boutique dans la ville et de répartir un peu les richesses au sein de sa tribu : après tout c’était un juste retour sur investissement. Un cousin de Glulgil était en pleine réflexion d’ailleurs pour s’offrir un local dans la même rue que la bijouterie afin d’en faire un salon privé pour gentlemen. Pourquoi pas ?
Bon, laissons-le nous décrire l’endroit comme si vous étiez un investisseur :
Depuis la rue, c’est vrai que la boutique à l’air petite mais c’est qu’elle est dans la longueur voyez-vous... Et puis allez-y, rentrez.
Gling, gling, gling !
Petites clochettes pour prévenir “votre vendeur” qui s’empressera de venir vous guider dans votre recherche. Voyez les différents présentoirs où seront présentés les différentes parures à la dernière mode et d’autres plus “tradi” avec des symboles reikois typiques. Donc grande pièce avec deux petits bureaux –et les chaises confortables qui vont avec - séparés pour recevoir plusieurs clients en même temps. La sécurité ? Certes, un vigile est prévu à la journée même si à Ikusa, on n’a vraiment pas à craindre quoique ce soit.
La nuit ? Et bien les bijoux partent passer la nuit à l’atelier, donc pas de vigile. Je suis en affaire avec le lieutenant qui patrouille dans le quartier. Lui et ses gars escortent mon vigile jusqu’à l’atelier avec la précieuse cargaison et là-bas j’ai deux gars qui font la nuit donc pour ça, je dors sur mes deux oreilles.
L’escalier que vous voyez sert à accéder à l’étage où se trouve mon bureau, il est assez grand pour faire des petites réunions de personnel et peut recevoir des fournisseurs, occasionnellement de très bons clients ou qui souhaitent rester un peu discret.
Et ensuite, il y a l’arrière-boutique. Il y a surtout du petit matériel pour faire les réparations et une petite porte qui donne sur la petite rue parallèle - très peu passante - fréquentée que par les gens du quartier. C’est une sorte de petit atelier, les clients adorent qu’on leur répare leur bijou sur le champ, c’est le petit plus des bijouteries Gloidveeld.
Ce que Glulgil ne nous dit pas, c’est que son autre atelier ne sert pas uniquement à confectionner des bijoux... C’est qu’il sert aussi à faire des dorures sur des menuiseries et à effectuer, dans la limite du possible, toutes les demandes de la clientèle. Pour faire de l’argent rapidement, notre bijoutier préféré a trouvé un créneau un peu surprenant : ayant compris que de nombreux membres de la pègre avaient du mal à écouler leurs biens mal acquis et que souvent ils étaient rachetés pour moins d’un tiers de leur valeur réel, Glulgil proposa de racheter les bijoux volés contre leur poids en or. Une commission de 40% et la moitié des pierres précieuses récupérées, tel était son tarif. C’était encore du vol, certes, mais ça restait la meilleure porte de sortie pour les malfrats du coin.
Et comment arrivait-il à ne pas se faire pincer par les contrôleurs royaux me direz-vous ? Ah c’était bien là où Glulgil était le plus doué ! Déjà pour justifier tout ce trafic de bijoux anciens, il a également donné la possibilité aux personnes détenant un justificatif de propriété de vieux bijoux de les racheter, avec le même système mais avec une commission de 25% et la même commission sur les pierres. Rien qu’avec cette offre –qui avait son petit succès, il faut le dire- le bijoutier était plus que rentable : les vieilleries à mémé, on n’a pas forcément envie de les garder alors qu’on pourrait se payer avec un beau cheval ou quelques belles soirées arrosées...
Pour maquiller ses revenus frauduleux, il avait tout simplement fait une comptabilité séparée : l’or et les pierres issus du vol étaient stockés dans un coffre à l’abri des regards indiscrets sous forme de lingots et étaient régulièrement utilisés pour fabriquer de nouveaux bijoux. Avec le nain complice qui travaillait à l’atelier, il trichait légèrement sur les poids qui étaient notés sur le cahier de comptabilité de la bijouterie (comme il fabriquait exclusivement des pièces uniques, c’était impossible à vérifier sur l’ensemble) et en diminuant la quantité d’or dont il avait besoin pour fabriquer ses nouveaux bijoux, il blanchissait ainsi une partie de ses lingots. Voilà qui lui permit de rapidement s’affranchir de son prêt d’état avec les bons revenus de son entreprise.
L’autre solution qu’il avait trouvé, était de donner un peu d’or frauduleux aux membres de son clan afin d’ouvrir d’autres types de boutique dans la ville et de répartir un peu les richesses au sein de sa tribu : après tout c’était un juste retour sur investissement. Un cousin de Glulgil était en pleine réflexion d’ailleurs pour s’offrir un local dans la même rue que la bijouterie afin d’en faire un salon privé pour gentlemen. Pourquoi pas ?
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