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![Ben le Bouc [Terminé] InRH1Ti](https://i.imgur.com/inRH1Ti.png)
2 participants
Noble du Reike
Ben le Bouc
Messages : 99
crédits : 163
crédits : 163
Info personnage
Race: Humain
Vocation: Mage élémentaliste
Alignement: Loyal mauvais
Rang: B - Contrôleur royal
Ben le Bouc
Race : Humain
Sexe : Masculin
Âge : 40
Métier : Contrôleur Royal
Taille & poids : 1m95 / 80 kg
Alignement : Loyal Mauvais
Faction : Reike
Rang : B
Religion : Culte des Enfants Célestes
Avatar : Midjourney
Pouvoirs et objets
Vocation :
Mage Elémentaliste
Pouvoirs :
- Air P4 (4 500 crédits)
- Vol p2
Immunité :
Lumière
Faiblesse :
Ombre
Gains event :
+4 utilisations de P2 et +2 utilisations de P3
[La sacoche de l'aventure]
Conception alliant savoir Reikois et magie Melornoise, cette petite sacoche robuste pouvant être attachée à la ceinture est parfaite pour partir à l'aventure dans les terres les plus inhospitalières du Sekai. Il est possible de sortir de cette sacoche une boussole, une corde, une pioche et une pelle de bonnes factures en y plongeant la main. L'objet tiré disparait lorsqu'il s'éloigne trop de la sacoche pour retourner à l'intérieur.
La sacoche ne pèse pas plus de quelques grammes bien qu'elle transporte ces outils.
En outre, cette sacoche une fois posée au sol, peut laisser échapper un petit feu de camp, créant une bulle de 10 mètres de diamètre ayant les même propritétés que la magie liée à la ville de Melorn. Au sein de cette bulle, le climat y est tempéré et les aventuriers sont à l'abri des températures extrêmes. (Uniquement d'ordre naturelle).
Pour créer cette bulle protectrice, la sacoche doit être immobile. Il n'est donc pas possible de l'utiliser en mouvement ou dans un véhicule.
Description physique et mentale
- Physique:
- Le contrôleur royal est un homme à l’apparence inquiétante : de taille plutôt grande, sa posture en permanence voûtée lui donne l’air d’un épouvantail vivant. Presque entièrement chauve, seuls quelques cheveux grisâtres subsistent à l’arrière de son crâne. Son visage est dur, fermé, sentiment renforcé par la proéminence des os de ses joues. Sa bouche affiche un sempiternel rictus désapprobateur, donnant l’impression que l’officier impérial est tout le temps contrarié ou en colère, et est encadrée par un large bouc grisonnant, dont il ne prend pas soin et qui lui a valu son surnom. Ses yeux marron sombre, encadrés par ses sourcils froncés, viennent compléter le tableau : L’homme ne gagnera jamais un concours de beauté.
Allant sur sa quarantaine, le physique du fonctionnaire a gardé des vestiges de l’entraînement militaire impérial, mais le signe distinctif de l’homme se trouve au bout de ses bras : des mains démesurément grandes comparé au reste de son corps, affublés de longs doigts crochus. Cette partie du corps du mage impérial ont été l’objet de nombreuses légendes urbaines parmi la soldatesque avant sa nomination à son poste actuel, et peut être même encore plus après coup, parmi quelques cercles de la cour impériale d’Ikusa.
- Mental:
- Servir l’Empire, voilà le mot d’ordre qui définit l’homme occupant le poste de contrôleur royal. Austère et strict de nature, celui-ci se voue corps et âme au service de la nation et du couple royal, et il attend de chacun le même degré de dévotion. Ces attentes se traduisent par son comportement extrêmement sévère qui, associé à son apparence intimidante, pourrait faire pâlir le plus retors des sajentis instructeurs. L’officier impérial n’ignore bien évidemment rien de tout cela, et à complètement embrassé ce rôle de croque mitaine pour s’assurer l’obéissance de ses subordonnés et des sujets de l’Empire ayant la malchance de croiser son chemin, et les forcer à maintenir un niveau de compétence élevé pour servir les intérêts du Reike.
Soucieux de maintenir une notion de hiérarchie, l’homme n’hésite pas à garder une distance presque professionnelle entre lui et les sujets de l’Empire : leur but est de remplir leur devoir pour le Reike, et rien de plus ! Avec ses supérieurs, le contrôleur royal fait preuve d’une déférence sans borne, car il est lui-même un serviteur de la nation du désert, soumis à l’autorité du Cœur et de l’Impératrice.
Avec un tel sens du devoir et un dévouement, en particulier pour le couple royal, il n’est donc guère étonnant que l’homme le soit également sur le plan religieux. Stellaire convaincu, il n’a aucun doute quant au statut quasi-divin de l’Empereur et de l’Impératrice, les sauveurs du Sekai et les seuls souverains dignes qu’on les servent.
Histoire ou test-rp
- Découvrir le dossier:
- « GARDE À VOUS »
L’ordre du Sajenti avait résonné dans la cour d’entraînement, si bien que toutes les recrues s’étaient mises en rang tant bien que mal, et saluaient leur instructeur à la manière de l’armée impériale, le poing sur le cœur. Le sous-officier, un vétéran de nombreuses batailles, avait été stationné dans cette caserne de Taisen afin de s’occuper des jeunes citoyens faisant leur service militaire. A la manière d’un faucon lorgnant ses proies, l’homme marchait lentement devant chaque engagé, les jaugeant d’un simple regard. Du simple paysan au petit nobliau, il avait devant lui le futur de l’Empire, et il devait faire en sorte qu’ils puissent se rendre utile à la nation.
Le Sajenti s’arrêta devant un individu, et écarquilla légèrement les yeux en voyant le spécimen : dépassant tous les autres engagés d’une tête, le jeune affichait une mine très sévère, peut être aussi sévère que la sienne. Peu plaisant à regarder, son crâne presque entièrement chauve et sa silhouette voûtée lui donnait un air plus âgé, le mettant clairement à part. Et des mains ! Bon sang, qu’elles étaient grandes ! Beaucoup trop grandes pour quelqu’un de son âge !
Où est-ce qu’ils l’ont trouvé, celui-là ?
L’instructeur brailla à nouveau, un peu plus fort que nécessaire :
« TON NOM, SOLDAT ! »
Et la recrue répondit. Et sa voix était si grave, à la limite d’être caverneuse, que le sous-officier sentit un frisson lui parcourir l’échine. Toutes ses années passées dans l’armée avaient rendu l’homme aigri, si bien que peu de choses pouvaient encore l’impressionner, mais force était de constater que le salopard qui lui faisait face lui donnait la chair de poule !
« QUEL NOM DE MERDE ! POUR LA PEINE, TU VAS ALLER RÉCURER LES LATRINES DE LA CASERNE ! ET AU PAS DE COURSE, SOLDAT ! »
La punition était-elle justifiée ? Le Sajenti lui-même n’en était pas sûr, mais il avait le pouvoir de l’ordonner. Au moins, il n’aurait plus à regarder cet individu effrayant pendant quelques temps.
« A VOS ORDRES, SAJENTI »
Le cœur de l’instructeur rata un battement.
- Gérer les contentieux:
- Le chien aboyait sur le contrôleur royal et la patrouille reikoise qui se tenaient devant la demeure de son maître, en apparence vide. Pourquoi ces Longues-Jambes venaient-ils les déranger ? Le molosse, dressé comme chien d’attaque, tirait sur sa chaîne tout en grognant férocement en direction des intrus. L’un d’entre eux, un grand individu chauve arborant un bouc naissant, se sépara du groupe et vint se planter devant l’animal agressif. L’homme, presque aussi repoussant sur le sac à puce, planta son regard de braise dans celui du chien, puis sortit un morceau d’étoffe avant de s’adresser à l’animal agressif :
« Écoute moi bien, chien ! Ton maître ne paie pas ses impôts. C’est un bon à rien qui préfère garder son argent pour lui, un lâche qui se croit au-dessus des lois, un pleutre qui refuse de voir la nation du désert prospérer. Tu vas renifler ce bout de tissu qui lui appartient, et tu vas nous mener jusqu’à lui »
Le molosse s’était tu, regardant l’individu d’un regard assassin.
« Si tu fais une bêtise, chien, comme essayer de m’arracher la gorge, je t’étranglerais de mes propres mains. Je couperai tes pattes en prendrai les os pour en faire des sifflets. Je t’arracherai la peau pour en faire un tapis. J’inventerai mille façons de te tuer, chien, et je les utiliserai toutes »
Les babines du sac à puce s’étaient encore plus retroussées, dévoilant ses crocs. Son affreuse gueule dégoulinant de bave dévisageait le mage de patrouille, ses deux petits yeux brûlant de haine. Le chien recula, et le soldat s’avança pour saisir sa chaîne avec sa main démesurément grande. D’un mouvement vif, le molosse saisit sa chance, et s’élança vers la gorge du mage, ses crocs prêts à déchirer la chair. Il fut stoppé net quand l’homme le saisit par le cou, ses doigts pressant sa gorge.
« Tu es mort, chien. Je t’avais prévenu »
« Bon sang, arrêtez vot’ bordel ! »
Le marchand, qui se terrait jusqu’à présent a l’intérieur de sa demeure, était sorti pour pouvoir secourir son chien. Il fut bien vite entouré par les autres soldats, si bien que le contrôleur royal laissa tomber l’animal, non sans le fusiller du regard. Puis, sous les aboiements du molosse, il alla rejoindre ses subordonnés, qui le regardaient tous du coin de l’œil, l’air vaguement apeurés.
- Faire les audits:
- « Z’avez entendu parler du contrôleur qui vient d’Ikuza ? Un vrai maboul à s’qui parait »
Les soldats du rang s’étaient massés autour du feu pour se protéger du vent froid des Terres du Nord. La nuit s’annonçait rude, et les pauvres diables avaient écopé du premier tour de garde devant l’entrepôt rempli de Driv’Zafra. La nouvelle était parvenue jusque dans ce trou perdu du nord de l’Empire, car la venue du fameux officier impérial au bouc grisonnant était prévu pour dans quelques jours. Un véritable événement pour ces simples troufions accablés par l’ennui, qui s’échangeaient des rumeurs toutes plus improbables les unes que les autres :
« J’ai entendu qu’il a tué plus de mauvais payeurs en Holmgang que d’ennemis de l’Empire ! »
« Il aurait remporté un duel du regard face à l’empereur lui-même ! »
« On dit qu’il a maîtrisé une putain de chimère à mains nues ! »
L’imaginaire des soldats du rang s’embrasait, une flamme bien plus vive que la bouse enflammée qui leur servait de feu de camp actuellement. Eux qui ne connaissaient que le froid, les rondes et les corvées, de telles rumeurs venaient tromper leur ennui et les laissaient espérer de pouvoir côtoyer un grand personnage reikois, même s’il avait l’air effrayant. Ils faisaient tellement de bruit, en fait, qu’ils attirèrent l’attention de leur Sajenti, venu pour une inspection :
« FERMEZ LÀ, BANDE DE CRÉTINS ! Z’ALLEZ RÉVEILLER LES MORTS AVEC VOS CONNERIES ! »
Les soldats se turent d’un coup, effectuant le salut de l’armée. Le sous-officier vint se caler devant le feu, et cracha dedans pour afficher son mécontentement, avant de se mettre à bougonner :
« C’est un gratte-papier de la capitale, pas un putain de Dieu ! Alors arrêtez de lui inventer une vie, parce que vous risquez d’être déçus par la réalité ! Et la vérité, c’est qu’il m’arrachera la tête si vous faites pas bien vot’boulot ! Et si ça arrive, j’vous pendrai tous par les couilles ! »
Une fois le Sajenti reparti, les troufions se regardèrent en silence, tout d’un coup un peu moins sûr d’eux.
- Mettre à jour les comptes:
- Le commerçant suivait le messager impérial d’un pas mal assuré. Les deux hommes déambulaient dans les couloirs du palais d’Ikusa en direction des quartiers du contrôleur royal à l’origine de la convocation, cet homme inquiétant au bouc grisâtre hors de contrôle. Oh, ce n’était pas la première fois qu’il le voyait, bien sûr, mais c’était la première fois que l’homme était convoqué de la sorte, un sombre présage selon les rumeurs.
Bizarrement, plus les deux hommes se rapprochaient de l’endroit où résidait l’’officier, moins il y avait de monde, comme si personne ne souhaitait se trouver trop près du danger, quel qu’il fut. Ce simple fait suffit au commerçant pour que son cerveau se mette à cogiter à toute vitesse : Était-il en règle avec ses obligations envers la nation ? Avait-il bien versé ses impôts ?
Arrivé devant la porte du bureau, l’homme qui accompagnait l’apothicaire se retourna, et celui-ci fut horrifié de voir un soupçon de peur dans les yeux du messager.
Bon sang, ce bâtard n’a pas plus envie d’être là que moi !
Après un moment d’hésitation, le bruit d’un poing toquant sur la porte se fit entendre, suivi d’un mot prononcé depuis l’intérieur par une voix grave, limite caverneuse :
« Entrez »
Le commerçant entra dans le bureau comme s’il pénétrait dans l’antre d’un démon, sous le regard apeuré du messager.
Groupes d'intérêts
Suprémacisme Impérial :
Le contrôleur impérial est persuadé que la nation du Désert est la seule digne de gouverner le Sekai. Après tout, qui de mieux que les sauveurs du monde pour mieux le mener vers la gloire ?
Shierak / Culte des enfants célestes :
L'officier impérial est un Stellaire, adepte de la mouvance extrémiste du Shierak. De ce fait, il est très intolérant envers les croyances étrangères, et n'a aucun doute sur le statut quasi-divin des dirigeants de l'Empire, ce qu'il ne manque pas de faire remarquer de manière presque fanatique quand l'occasion se présente. Les hérétiques et les colporteurs de mensonges doivent être punis pour leur insolence !
derrière l'écran
Pseudo : Ben le Bouc
Comment avez-vous connu le forum ? DC de Mégère
Avis sur le forum : Toujours RAS
Fréquence de connexion : Régulière
Noble du Reike
Ben le Bouc
Messages : 99
crédits : 163
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Info personnage
Race: Humain
Vocation: Mage élémentaliste
Alignement: Loyal mauvais
Rang: B - Contrôleur royal
Divinité primordiale
L'Âme des Cendres
Messages : 2174
crédits : 11492
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SOYEZ TÉMOINS !!!
... Ah, non ? C'pas ça ?
Blague à part, j'ai trouvé l'histoire de ce cher contrôleur royal fort bien divertissante, surtout avec les petites touches d'humour ici et là ! En tout cas, je suis un peu restée sur ma faim et j'ai hâte de lire tes rp afin d'en découvrir davantage sur ce sympathique Bouc. Y'a plein d'impôts à récolteret des hérétiques à brûler !
Sans plus tarder, je te valide ! Bon rp avec ce nouveau personnage
... Ah, non ? C'pas ça ?
Blague à part, j'ai trouvé l'histoire de ce cher contrôleur royal fort bien divertissante, surtout avec les petites touches d'humour ici et là ! En tout cas, je suis un peu restée sur ma faim et j'ai hâte de lire tes rp afin d'en découvrir davantage sur ce sympathique Bouc. Y'a plein d'impôts à récolter
Sans plus tarder, je te valide ! Bon rp avec ce nouveau personnage
Compte staff - Merci de ne pas me MP.
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