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Citoyen de La République
Orifa Sigrior
Messages : 179
crédits : 425
crédits : 425
Info personnage
Race: Valkyrie
Vocation: Guerrier assassin
Alignement: Loyal mauvais
Rang: C
Que votre volonté soit faite
Courage, une ville florissante de vie grâce à son économie mais également aux forces militaires qui pouvaient s’y trouver. Beaucoup sont ceux qui sous-estiment l’impact que peut avoir la présence d’une base militaire puissante dans une ville, dans un premier temps c’est la sécurité qui prévaut. Mais il y a aussi l’économie qui en profite car il faut bien nourrir cette force latente, les militaires se déplacent également avec leurs familles, mais surtout c’est le meilleur moyen de faire évoluer les produits en vente dans la ville. Il est rare que les militaires d’une même base viennent du même endroit alors nous pouvons voir des commandants de Liberty, des médecins de Justice, … Ces femmes et ces hommes ramènent avec eux des produits de toute sorte pour améliorer la diversité de la ville où ils font escale.
Mais ce n’est que la partie visible de la ville car comme dans toute chose il ne peut y avoir de lumière sans ombre. Plus la ville est prospère, plus le côté sombre de la ville se renforce, c’est un équilibre fragile si l’ombre n’est pas consciente de sa place sans la chaîne alimentaire et où elle grandit trop, cela peut apporter la fin pour les deux. Certains aristocrates pensent donc que le meilleur moyen d’éviter ce genre de problème et de détruire ce mal à la racine pour éviter qu’il ne puisse se développer pourtant, la nature à horreur du vide et les mauvaises herbes finissent toujours par revenir un jour ou l’autre. D’autres nobles plus avisés préfèrent au contraire utiliser cette pègre pour leur propre bien, récompensant et protégeant les plus loyaux pour qu’ils prennent le dessus, c’est un jeu dangereux mais qui peut être extrêmement profitable.
C’est là qu'Orifa rentre en jeu, Mirelda dans sa grande sagesse avait compris l’enjeu que cela pouvait avoir de maîtriser la pègre au bâton et à la carotte. Il n’était pas possible de perdre de vue le fait qu’ils n’étaient que des voleurs, tueurs, violeurs, … C’était justement en ça qu’ils avaient un minimum de valeur. Le temps que tout le monde oublie la Valkyrie, cette dernière avait vécu dans les bas-fond pour se faire un nom mais surtout une réputation. Utilisant les fonds que pouvait lui donner la présidente pour faire office de carotte, le bâton c’était elle.
Rapport jour 1
L'arrivée dans les bas-fonds ne pose aucun problème, beaucoup se méfient encore de moi, c’est encore compliqué de comprendre la hiérarchie de puissance ce qu’il peut y avoir dans la ville. Comme ordonné, j’ai pris position dans une auberge qui est gérée par le baron rouge, j’ai n’ai pas encore bien saisi son nom mais c’est un homme fort possédant une longue barbe rouge. Je vais dans un premier temps rester en retrait pour pouvoir lister les membres des forces de l’ordre qui sont corrompus, cela me permettra de pouvoir vérifier ceux à qui je peux transmettre des ordres sans risquer de compromettre ma couverture.
Fin du rapport.
Peut-être aurait-il fallu indiquer à la présidente qu’elle avait malheureusement déjà été prise à partie par des hommes ayant eu l’impression d’échanger avec une fille de joie ? Ce n’avait jamais été un problème pour elle de monnayer son corps contre quelque chose qu’elle désirait ou même simplement pour le plaisir de l'acte. Pour autant il n'était pas question d’être connu dans le quartier pour ça c’était le meilleur moyen d’être respecté, c’était la violence. Elle avait donc échangé quelques coups bien placés sans pour autant chercher à s’en faire des ennemis, l’humiliation était largement suffisante pour éviter qu’ils ne cherchent à ramener leurs amis pour un deuxième round.
Mais ce n’est que la partie visible de la ville car comme dans toute chose il ne peut y avoir de lumière sans ombre. Plus la ville est prospère, plus le côté sombre de la ville se renforce, c’est un équilibre fragile si l’ombre n’est pas consciente de sa place sans la chaîne alimentaire et où elle grandit trop, cela peut apporter la fin pour les deux. Certains aristocrates pensent donc que le meilleur moyen d’éviter ce genre de problème et de détruire ce mal à la racine pour éviter qu’il ne puisse se développer pourtant, la nature à horreur du vide et les mauvaises herbes finissent toujours par revenir un jour ou l’autre. D’autres nobles plus avisés préfèrent au contraire utiliser cette pègre pour leur propre bien, récompensant et protégeant les plus loyaux pour qu’ils prennent le dessus, c’est un jeu dangereux mais qui peut être extrêmement profitable.
C’est là qu'Orifa rentre en jeu, Mirelda dans sa grande sagesse avait compris l’enjeu que cela pouvait avoir de maîtriser la pègre au bâton et à la carotte. Il n’était pas possible de perdre de vue le fait qu’ils n’étaient que des voleurs, tueurs, violeurs, … C’était justement en ça qu’ils avaient un minimum de valeur. Le temps que tout le monde oublie la Valkyrie, cette dernière avait vécu dans les bas-fond pour se faire un nom mais surtout une réputation. Utilisant les fonds que pouvait lui donner la présidente pour faire office de carotte, le bâton c’était elle.
Rapport jour 1
L'arrivée dans les bas-fonds ne pose aucun problème, beaucoup se méfient encore de moi, c’est encore compliqué de comprendre la hiérarchie de puissance ce qu’il peut y avoir dans la ville. Comme ordonné, j’ai pris position dans une auberge qui est gérée par le baron rouge, j’ai n’ai pas encore bien saisi son nom mais c’est un homme fort possédant une longue barbe rouge. Je vais dans un premier temps rester en retrait pour pouvoir lister les membres des forces de l’ordre qui sont corrompus, cela me permettra de pouvoir vérifier ceux à qui je peux transmettre des ordres sans risquer de compromettre ma couverture.
Fin du rapport.
Peut-être aurait-il fallu indiquer à la présidente qu’elle avait malheureusement déjà été prise à partie par des hommes ayant eu l’impression d’échanger avec une fille de joie ? Ce n’avait jamais été un problème pour elle de monnayer son corps contre quelque chose qu’elle désirait ou même simplement pour le plaisir de l'acte. Pour autant il n'était pas question d’être connu dans le quartier pour ça c’était le meilleur moyen d’être respecté, c’était la violence. Elle avait donc échangé quelques coups bien placés sans pour autant chercher à s’en faire des ennemis, l’humiliation était largement suffisante pour éviter qu’ils ne cherchent à ramener leurs amis pour un deuxième round.
Métamorphose P1 / Nyctalopie P1 / Séduction P1 / Ouïe Augmentée P1 / Vue augmentée P1 / Odorat augmenté P1 / Invisibilité P1 / Régénération P1 / Senseur magique P1 / Agilité et précision P2 / Prouesse d'arme P1 / Vitesse P2
Citoyen de La République
Orifa Sigrior
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Info personnage
Race: Valkyrie
Vocation: Guerrier assassin
Alignement: Loyal mauvais
Rang: C
Que votre volonté soit faite
Plus que de se faire des ennemis il était important de se faire des amis surtout et ce n'était vraiment pas le fort d’Orifa, pourtant parfois la vie décide de donner un petit coup de pouce. Le baron rouge avec une partie de ses plus proches guerriers avait décidé de jouer un sale coup à la Valkyrie. Certains pourraient dire que Orifa s’est fait prendre comme une bleue et douter de ses réelles compétences, d’autres au contraire pensent que c’est un acte délibéré et qu’il est impossible qu’elle se fasse prendre de la sorte. Un somnifère puissant voilà ce qui avait mis la jeune femme dans un état second pendant plusieurs longues heures, du moins jusqu’à ce qu’un seau d’eau ne lui tombe sur le visage humidifiant instantanément tout son corps.
- Hein ?! Quoi ? Mais qu’est-ce que ?
En voyant la longue barbe donnant l’arme du crime à son sous-fifre pour qu’il aille le déposer plus loin, il ne fallut pas bien longtemps pour comprendre dans quelle situation elle se trouvait. Au fond, deux hommes étaient accoudés contre le mur détournant le regard alors qu’ils avaient des marques de coups un peu partout sur le visage, peut-être même un nez cassé d’ailleurs. Ces visages abattus, elle les connaissait, c’était ceux qui avaient essayé un peu plus tôt de monnayer ses faveurs.
- Si tu es pas une pute, t’es quoi ? Tu travailles avec qui ? Tu cherches quoi ?
Étrangement, elle n’avait pas peur dans cette situation, ces hommes n’avaient pas essayé d’abuser d’elle pendant qu’elle dormait, elle n’avait pas de marque de violence, de coup ou d'entaille. Donc on pouvait en déduire qu’ils n’avaient pas découvert sa couverture ni qu’ils avaient une quelconque haine contre elle. Ce qui était étrange dans cette scène, c'étaient les hématomes des deux balourds à l'arrière, ça ne venait clairement pas d’elle.
- Qui je suis, cela dépendra de notre relation je peux être une bienfaitrice ou alors ton pire cauchemar. Pour qui je travaille … Depuis quand c’est le genre de chose qu’on demande ici ? Tu ne connais pas le secret ? Et pour finir ce que je cherche, disons que j’aimerais me faire des amis et pas de la manière dont vos acolytes le pensent …
L’homme n’était pas troublé par la réponse, il semblait être neutre, était assez déstabilisant pour son interlocutrice. Soit il l’avait très mal pris et le début de l’échange serait une défaite soit au contraire elle avait montré son caractère et cela ne pouvait qu’être bénéfique pour la suite.
- J’ai expliqué les bonnes manières à mes gars, ils vont plus vous embêter. Mais c'est pas des branquignols, c’est pour ça que je t’ai ramené ici. T’es déjà détaché non ? Alors montre moi tes mains.
Voilà donc la raison pour laquelle les liens étaient aussi faciles à défaire, il était en train de lui faire passer un test, maintenant il fallait savoir si elle jouait franc jeu avec lui ou pas. Si elle sortait ses mains c’était simplement lui avouer qu’elle n’était pas une simple citoyenne ordinaire. Levant les bras pour montrer que les supputations du barbu étaient correctes.
- Vous m’avez bien eu on dirait, je pensais pouvoir passer inaperçu mais voilà que je suis déjà prise à partie. Je viens de Liberty pour une raison qui ne vous regarde pas et là-bas, j’ai eu quelques petits problèmes avec la sécurité.
Il fallut un long silence de la part du colosse ne reprenne la parole, il avait pris le temps de réfléchir à la situation et surtout d’essayer de démêler le vrai du faux. Malheureusement pour lui et sa petite tête de voyous, tout était vrai Orifa n'avait rien inventé c’était le meilleur moyen de ne jamais se contredire.
- Dans ce cas je vais te tester au cas où t'es une infiltrée. Y a des gars qui m’embêtent et je peux pas envoyer mes gars, m’en fou de ce que tu fais mais je veux plus les voir. Si t’y arrives, tu pourras rester dans mon auberge du moins tant que tu m'emmerdes pas.
- Et si j’y arrive et qu’on te pose des questions sur moi par la suite ?
- De quoi tu parles ? Il y a personne à la chambre 15.
Un peu brute le bougre, et même si on a l’impression qu’il n’est pas l’épée la plus aiguisée de la caserne. Mais il a la tête sur les épaules et semble être tout à fait le genre d’homme que Orifa apprécie, il ne parle pas pour ne rien dire. La suite fut rapide, étant donné qu’elle n’était plus attachée le groupe pu quitter le dépôt où ils se trouvaient, un endroit à l’écart où personne n’aurait pu l’entendre crier s’ils en étaient arrivés là.
- Hein ?! Quoi ? Mais qu’est-ce que ?
En voyant la longue barbe donnant l’arme du crime à son sous-fifre pour qu’il aille le déposer plus loin, il ne fallut pas bien longtemps pour comprendre dans quelle situation elle se trouvait. Au fond, deux hommes étaient accoudés contre le mur détournant le regard alors qu’ils avaient des marques de coups un peu partout sur le visage, peut-être même un nez cassé d’ailleurs. Ces visages abattus, elle les connaissait, c’était ceux qui avaient essayé un peu plus tôt de monnayer ses faveurs.
- Si tu es pas une pute, t’es quoi ? Tu travailles avec qui ? Tu cherches quoi ?
Étrangement, elle n’avait pas peur dans cette situation, ces hommes n’avaient pas essayé d’abuser d’elle pendant qu’elle dormait, elle n’avait pas de marque de violence, de coup ou d'entaille. Donc on pouvait en déduire qu’ils n’avaient pas découvert sa couverture ni qu’ils avaient une quelconque haine contre elle. Ce qui était étrange dans cette scène, c'étaient les hématomes des deux balourds à l'arrière, ça ne venait clairement pas d’elle.
- Qui je suis, cela dépendra de notre relation je peux être une bienfaitrice ou alors ton pire cauchemar. Pour qui je travaille … Depuis quand c’est le genre de chose qu’on demande ici ? Tu ne connais pas le secret ? Et pour finir ce que je cherche, disons que j’aimerais me faire des amis et pas de la manière dont vos acolytes le pensent …
L’homme n’était pas troublé par la réponse, il semblait être neutre, était assez déstabilisant pour son interlocutrice. Soit il l’avait très mal pris et le début de l’échange serait une défaite soit au contraire elle avait montré son caractère et cela ne pouvait qu’être bénéfique pour la suite.
- J’ai expliqué les bonnes manières à mes gars, ils vont plus vous embêter. Mais c'est pas des branquignols, c’est pour ça que je t’ai ramené ici. T’es déjà détaché non ? Alors montre moi tes mains.
Voilà donc la raison pour laquelle les liens étaient aussi faciles à défaire, il était en train de lui faire passer un test, maintenant il fallait savoir si elle jouait franc jeu avec lui ou pas. Si elle sortait ses mains c’était simplement lui avouer qu’elle n’était pas une simple citoyenne ordinaire. Levant les bras pour montrer que les supputations du barbu étaient correctes.
- Vous m’avez bien eu on dirait, je pensais pouvoir passer inaperçu mais voilà que je suis déjà prise à partie. Je viens de Liberty pour une raison qui ne vous regarde pas et là-bas, j’ai eu quelques petits problèmes avec la sécurité.
Il fallut un long silence de la part du colosse ne reprenne la parole, il avait pris le temps de réfléchir à la situation et surtout d’essayer de démêler le vrai du faux. Malheureusement pour lui et sa petite tête de voyous, tout était vrai Orifa n'avait rien inventé c’était le meilleur moyen de ne jamais se contredire.
- Dans ce cas je vais te tester au cas où t'es une infiltrée. Y a des gars qui m’embêtent et je peux pas envoyer mes gars, m’en fou de ce que tu fais mais je veux plus les voir. Si t’y arrives, tu pourras rester dans mon auberge du moins tant que tu m'emmerdes pas.
- Et si j’y arrive et qu’on te pose des questions sur moi par la suite ?
- De quoi tu parles ? Il y a personne à la chambre 15.
Un peu brute le bougre, et même si on a l’impression qu’il n’est pas l’épée la plus aiguisée de la caserne. Mais il a la tête sur les épaules et semble être tout à fait le genre d’homme que Orifa apprécie, il ne parle pas pour ne rien dire. La suite fut rapide, étant donné qu’elle n’était plus attachée le groupe pu quitter le dépôt où ils se trouvaient, un endroit à l’écart où personne n’aurait pu l’entendre crier s’ils en étaient arrivés là.
Métamorphose P1 / Nyctalopie P1 / Séduction P1 / Ouïe Augmentée P1 / Vue augmentée P1 / Odorat augmenté P1 / Invisibilité P1 / Régénération P1 / Senseur magique P1 / Agilité et précision P2 / Prouesse d'arme P1 / Vitesse P2
Citoyen de La République
Orifa Sigrior
Messages : 179
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crédits : 425
Info personnage
Race: Valkyrie
Vocation: Guerrier assassin
Alignement: Loyal mauvais
Rang: C
Que votre volonté soit faite
Les deux gueules cassées avaient été désignées pour pouvoir apporter plus d’information sur les cibles de la Valkyrie. C’étaient des petites frappes sans réelle importance ils étaient 5 et certainement que le barbu aurait pu s’en occuper facilement, mais j’imagine que c’est comme pour une personne fortunée qui marche sur une pièce, ça le dérange un peu car il marche sur quelque chose de différent, mais pas question de s’abaisser à la ramasser.
Ces 5 gamins ne devraient pas avoir beaucoup plus d'une vingtaine d’année tous des humains et certainement que la sécurité de la ville de Courage leur avait monté à la tête. Ils n’étaient plus en capacité de comprendre dans quel bourbier ils s’étaient mis. Mais certainement ce qui avait mis le plus en colère Orifa c’était qu’ils s’en étaient pris à des animaux, c’était inacceptable. L’échelle d’importance de la vie était très différente chez la Valkyrie surtout depuis qu’elle s’était fait trahir encore et encore. Les seuls êtres qui ne la jugeaient pas de la juger étaient les animaux, voilà d’où venait son aversion pour ceux pour ces crimes.
Mais pour une fois, faire un peu de zèle n’allait pas être une mauvaise chose, étant donné que Mirelda lui avait demandé de maîtriser la pègre de courage il était temps de commencer à se faire connaître. Dans un premier temps, connaître leur planque, c’était le meilleur moyen de pouvoir les avoir au même endroit et de les capturer en même temps. Ce n'était pas compliqué, l’un d’eux était avait un père qui semblait avoir beaucoup d’argent, ils avaient donc élu domicile dans une maison secondaire. C’était assez étrange d’avoir acheté une maison de campagne ici mais Orifa préféra garder son commentaire pour elle. Pour une enquête plus poussée, elle aurait très bien pu commencer à les suivre pour connaître leurs habitudes, leurs amis, leurs familles, … Quand on veut se débarrasser d’une plante vénéneuse on ne coupe pas que le bougeons on prend les racines avec. Mais elle n’avait pas le temps et passa donc à la troisième étape, les pièges, son deuxième moment préféré après la torture. L’avantage c’est qu’elle avait toujours son kit sur elle, c’était aussi important que de porter des vêtements même si c’était quand même plus simple de le faire à domicile au moins elle avait de quoi arracher les ongles propres là c’était vraiment du travail bâclé.
Ces 5 gamins ne devraient pas avoir beaucoup plus d'une vingtaine d’année tous des humains et certainement que la sécurité de la ville de Courage leur avait monté à la tête. Ils n’étaient plus en capacité de comprendre dans quel bourbier ils s’étaient mis. Mais certainement ce qui avait mis le plus en colère Orifa c’était qu’ils s’en étaient pris à des animaux, c’était inacceptable. L’échelle d’importance de la vie était très différente chez la Valkyrie surtout depuis qu’elle s’était fait trahir encore et encore. Les seuls êtres qui ne la jugeaient pas de la juger étaient les animaux, voilà d’où venait son aversion pour ceux pour ces crimes.
Mais pour une fois, faire un peu de zèle n’allait pas être une mauvaise chose, étant donné que Mirelda lui avait demandé de maîtriser la pègre de courage il était temps de commencer à se faire connaître. Dans un premier temps, connaître leur planque, c’était le meilleur moyen de pouvoir les avoir au même endroit et de les capturer en même temps. Ce n'était pas compliqué, l’un d’eux était avait un père qui semblait avoir beaucoup d’argent, ils avaient donc élu domicile dans une maison secondaire. C’était assez étrange d’avoir acheté une maison de campagne ici mais Orifa préféra garder son commentaire pour elle. Pour une enquête plus poussée, elle aurait très bien pu commencer à les suivre pour connaître leurs habitudes, leurs amis, leurs familles, … Quand on veut se débarrasser d’une plante vénéneuse on ne coupe pas que le bougeons on prend les racines avec. Mais elle n’avait pas le temps et passa donc à la troisième étape, les pièges, son deuxième moment préféré après la torture. L’avantage c’est qu’elle avait toujours son kit sur elle, c’était aussi important que de porter des vêtements même si c’était quand même plus simple de le faire à domicile au moins elle avait de quoi arracher les ongles propres là c’était vraiment du travail bâclé.
- Spoiler:
- /// Passage torture
Pour commencer il fallait bien les maintenir en place au pire des cas il était possible de briser les os ou les articulations pour éviter qu’ils ne bougent trop. Certains sont partisans du fait de planter un coup dans le dos de la main contre l’accoudoir pour éviter qu’il ne bouge mais c’était le meilleur moyen que la personne ressente tellement de douleur avec ça qu’elle ne puisse plus sentir le reste. Mais revenons à nos moutons, il y avait plusieurs manières d’utiliser les ongles pour la torture. En se rapprochant du premier, elle lui agrippa fermement la main contre l’accoudoir avant de prendre son index. Elle avait essayé pendant un temps de tirer les ongles directement pour faire en sorte de faire souffrir sa cible le plus rapidement possible, mais c’était toujours compliqué car les ongles ne résistaient jamais assez longtemps. Donc elle appliquait une stratégie qu’elle avait perfectionnée avec le temps, au début c’était assez simple il fallait glisser de fines aiguilles entre l’ongle et la peau. Il n’y avait même pas besoin d’appuyer fort car avec du bon matériel ça pouvait rentrer comme dans du beurre.
L’homme était en train d’essayer de se débattre tant qu’il le pouvait mais ce n'était clairement pas suffisant, la terreur que ces autres compères étaient en train de ressentir en fit vider leur vessie à plus d’un et c’était normal. Une fois qu’elle avait pu glisser 5 aiguilles, c'était maintenant un jeu d’enfant pour pouvoir retirer l’ongle, mais la délivrance allait devoir attendre encore un peu. Après avoir glissé de niveau 5 aiguilles sous les ongles des 4 autres doigts, elle alluma un feu dans ce qui servait de cheminée. Laissant au hérisson le temps de supporter petit à petit la douleur. Pendant ce temps elle glissa en bas du feu des nouvelles aiguilles mais cette fois positionnées de manière différente, à la base de celles-ci il y avait une petite zone permettant d’éviter de conduire la chaleur. Une fois que la pointe fut assez chaude elle prit la première pour pouvoir la planter dans l’ongle entre deux autres aiguilles. Une douce odeur d’animal grillé commença à se faire sentir, laissant un petit frémissement parcourir le corps de la Valkyrie tout en faisant crier une nouvelle fois ces victimes. D’ailleurs l’un d’eux arriva à retirer le bâillon pour pouvoir crier entre deux pleures.
- Mais qu’est-ce que vous voulez à la fin ?! Vous ne nous avez même pas demandé ce que vous attendiez de nous !
Retournant son intérêt sur l’homme qui était le plus courageux de la bande du moins tant que l’on ne regardait pas en dessous de sa ceinture. Serpentant vers lui pour pouvoir sur lui, tout en lui faisant faire glissant ses bras autour de sa tête, caressant l’arrière de ses cheveux du bout de son ongle pour pouvoir créer une petite boucle.
- Mais qui a dit que j’attendais quelque chose de voyous comme vous ? Vous n’avez pas la moindre importance à part celle de me divertir. Vous avez trouvé une magnifique planque, personne ne vous entendra crier et je pourrais continuer toute la nuit et peux être même demain en tout cas, je vais te dire un secret.
Passant ses lèvres au niveau de son oreille après lui avoir tiré le lobe entre ses dents, elle lui susurra de manière à ce qu’il soit le seul à entendre.
- Je vais épargner l’un d’entre vous pour pouvoir raconter qu’il ne fait pas être sur la route. Si je te retire ton bâillon et que tu ne cries pas une seule fois ou alors que tu ne parles qu'une seule fois, je te choisirais toi.
Pour seule réponse, l'homme fit signe de la tête pour dire oui, le visage de la Valkyrie montra un sourire carnassier alors qu’elle adorait l’idée de voir cet homme prêt à sacrifier ses amis pour espérer survivre. D’un certain sens, elle espérait qu’il allait créer ou alors supplier car Orifa n’avait qu’une parole, s’il arrivait à résister elle ne le toucherais pas, ce qui serait parfait c’est qu’il perde le jeu uniquement à la toute fin de la session histoire qu’elle ait eu la possibilité de contempler son regard empli de terreur et de supplication tout en torturant ses amis pour au final le tuer car il aurait perdu.
Il y avait bien des méthodes de torture qui ne menait pas la personne à la mort, le gros sel était l’une d’entre elle mais malheureusement elle n’avais pas ça dans son sac. Il était possible de retirer l'œil d’une personne ou alors de lui couper une oreille petit à petit. Chaque partie du corps humain avait sa propre manière de pouvoir apporter de la douleur à une personne sans pour autant la tuer, il fallait juste avoir l’expérience.
/// Fin torture
Métamorphose P1 / Nyctalopie P1 / Séduction P1 / Ouïe Augmentée P1 / Vue augmentée P1 / Odorat augmenté P1 / Invisibilité P1 / Régénération P1 / Senseur magique P1 / Agilité et précision P2 / Prouesse d'arme P1 / Vitesse P2
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Orifa Sigrior
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Info personnage
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Que votre volonté soit faite
Il lui fallait 5 heures pour pouvoir en finir avec le petit groupe, parfois certains tombaient dans les vapes alors elle passait à un autre et ainsi de suite, pour finir par les tuer. Sauf le dernier qui malgré qu’il ait vidé son corps de toutes les gouttes d’eau qu’il avait avec ses larmes et ces déjections. Mais il était toujours en vie et intact. Après avoir nettoyé et rangé son matériel, elle se remit sur lui avec la même position que précédemment.
- Bien alors on dirait que tu as gagné la partie je te laisse en vie, mais n’oublie pas la dernière partie, maintenant tu vas parler de moi à tes petits amis qui pensent savoir ce que c’est l’ombre de ce monde. Maintenant que je t’ai sauvé la vie, cette dernière m'appartient et tu es maintenant ma chose alors tu vas vivre loin de la basse ville, mais si je t'appelle tu réponds quoi qu’il arrive.
Faisant oui de la tête, il fut détaché avant de détaler rapidement chez lui et les preuves de tout ce qu’il s’était passé allaient être carbonisées en même temps que cette maison. Les corps, impossibles à reconstituer correctement, il serra jamais capable de retrouver l’origine exacte des ossements qui pourraient être retrouvés.
Une fois qu’elle s’était assurée qu’il n’y aurait pas de trace, elle retourna en directement à son auberge pour pouvoir retrouver le baron rouge, l’homme semblait pour une fois assez surpris de la voir revenir aussi tard. Heureusement pour lui il n'avait pas attendu son retour toute la nuit, pourtant il était en train de se demander si la Valkyrie était vraiment efficace ou non car ce n’était qu’une mission de routine. S’asseyant sur une chaise devant lui en commandant une boisson forte tout en sortant de sa poche un bout de ficelle de la taille d’un bracelet et le déposa devant l’homme à la barbe. Il y avait dessus 5 ongles percés au centre pour pouvoir être correctement maintenus.
- Bien on dirait qu’ils en avaient après votre business, j’ai pas cherché à avoir des informations mais parfois dans certaines situations, beaucoup parlent et disent beaucoup de choses. Je comprenais pas vraiment pourquoi des gamins comme eux voulaient faire les caïds de la sorte, ça vous dit quelque chose, “ Le marchand “ ?
La mine de l’homme commença à se serrer quelque peu alors qu’il avait bien du mal à contenir une certaine gêne au niveau de la situation. Il semblait tiraillé entre et tout avouer à la jeune femme qu’il connaissait a peine ou alors de faire comme s’il ne connaissait rien. Un calme plat était tombé sur l’ensemble de l’auberge au point que même s’il disait ne pas connaître ce surnom, Orifa avait forcément compris que ça ne pouvait pas être un inconnu.
Voyant que le silence ne se brisait toujours pas, la jeune enquêtrice décida de faire le premier pas en finissant son verre entièrement avant de le claquer contre le table. Bien sûr que ces informations étaient importantes pour elle pourtant en voulant trop se presser on finit inexorablement par se brûler et actuellement la fatigue pressée plus que son besoin de connaissance.
- Je pense avoir fini ma mission et je vous ai même ramené des trophées ! Je peux dormir sur mes deux oreilles ici maintenant, sommes-nous d'accord ?
La dernière partie de sa phrase était explicitement dite de manière bien plus hargneuse que le reste, si au début on aurait pu croire que l’alcool lui été monté à la tête au moins de la faire vaciller, il était claire que maintenant elle indiquait clairement qu’elle ne se laisserait pas faire en cas de trahison. Si dans les bas-fonds il y avait que violence et dépravation, la seule chose que l’on ne pouvait pas leur enlever c’était qu’il avaient au moins un code moral, c’était bien la seule chose sur laquelle on pouvait s’appuyer. Même si la confiance n'exclut pas le contrôle.
Comprenant rapidement qu’Orifa lui offrait une sorte de sortie, il plissa le coin de sa lèvre avec amusement avant de se relever tout en présentant sa main entre eux pour proposer de sceller le deal.
- On dirait qu'on a un accord en effet, tant que tu resteras tranquille dans cette auberge ainsi que sur mon business.
- Bien alors on dirait que tu as gagné la partie je te laisse en vie, mais n’oublie pas la dernière partie, maintenant tu vas parler de moi à tes petits amis qui pensent savoir ce que c’est l’ombre de ce monde. Maintenant que je t’ai sauvé la vie, cette dernière m'appartient et tu es maintenant ma chose alors tu vas vivre loin de la basse ville, mais si je t'appelle tu réponds quoi qu’il arrive.
Faisant oui de la tête, il fut détaché avant de détaler rapidement chez lui et les preuves de tout ce qu’il s’était passé allaient être carbonisées en même temps que cette maison. Les corps, impossibles à reconstituer correctement, il serra jamais capable de retrouver l’origine exacte des ossements qui pourraient être retrouvés.
Une fois qu’elle s’était assurée qu’il n’y aurait pas de trace, elle retourna en directement à son auberge pour pouvoir retrouver le baron rouge, l’homme semblait pour une fois assez surpris de la voir revenir aussi tard. Heureusement pour lui il n'avait pas attendu son retour toute la nuit, pourtant il était en train de se demander si la Valkyrie était vraiment efficace ou non car ce n’était qu’une mission de routine. S’asseyant sur une chaise devant lui en commandant une boisson forte tout en sortant de sa poche un bout de ficelle de la taille d’un bracelet et le déposa devant l’homme à la barbe. Il y avait dessus 5 ongles percés au centre pour pouvoir être correctement maintenus.
- Bien on dirait qu’ils en avaient après votre business, j’ai pas cherché à avoir des informations mais parfois dans certaines situations, beaucoup parlent et disent beaucoup de choses. Je comprenais pas vraiment pourquoi des gamins comme eux voulaient faire les caïds de la sorte, ça vous dit quelque chose, “ Le marchand “ ?
La mine de l’homme commença à se serrer quelque peu alors qu’il avait bien du mal à contenir une certaine gêne au niveau de la situation. Il semblait tiraillé entre et tout avouer à la jeune femme qu’il connaissait a peine ou alors de faire comme s’il ne connaissait rien. Un calme plat était tombé sur l’ensemble de l’auberge au point que même s’il disait ne pas connaître ce surnom, Orifa avait forcément compris que ça ne pouvait pas être un inconnu.
Voyant que le silence ne se brisait toujours pas, la jeune enquêtrice décida de faire le premier pas en finissant son verre entièrement avant de le claquer contre le table. Bien sûr que ces informations étaient importantes pour elle pourtant en voulant trop se presser on finit inexorablement par se brûler et actuellement la fatigue pressée plus que son besoin de connaissance.
- Je pense avoir fini ma mission et je vous ai même ramené des trophées ! Je peux dormir sur mes deux oreilles ici maintenant, sommes-nous d'accord ?
La dernière partie de sa phrase était explicitement dite de manière bien plus hargneuse que le reste, si au début on aurait pu croire que l’alcool lui été monté à la tête au moins de la faire vaciller, il était claire que maintenant elle indiquait clairement qu’elle ne se laisserait pas faire en cas de trahison. Si dans les bas-fonds il y avait que violence et dépravation, la seule chose que l’on ne pouvait pas leur enlever c’était qu’il avaient au moins un code moral, c’était bien la seule chose sur laquelle on pouvait s’appuyer. Même si la confiance n'exclut pas le contrôle.
Comprenant rapidement qu’Orifa lui offrait une sorte de sortie, il plissa le coin de sa lèvre avec amusement avant de se relever tout en présentant sa main entre eux pour proposer de sceller le deal.
- On dirait qu'on a un accord en effet, tant que tu resteras tranquille dans cette auberge ainsi que sur mon business.
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Race: Valkyrie
Vocation: Guerrier assassin
Alignement: Loyal mauvais
Rang: C
Que votre volonté soit faite
Serrant la main du barbu elle se dirigea sans détour vers sa chambre, étant en bout de couloir c’était la position idéale pour pouvoir réagir en cas d’attaque, de plus étant donné qu’elle était dans le repère d’un clan c’était à double tranchant, pour l’attaquer une fallait passer par le fer avec un autre clan. Par contre si le baron rouge se faisait attaquer elle allait certainement en partir. Mais pour l'instant, autant profiter pour pouvoir se reposer tranquillement. Pour dormir, Orifa avait gardé une vieille habitude, retirant tous ses vêtements, laissant simplement les petites ceintures de couteau au niveau de ses cuisses ainsi que sa machette en dessous de son oreiller. La porte de sa chambre était évidemment fermée de l’intérieur et la fenêtre correctement sécurisée. Il n’en fallait pas plus, contrairement aux autres nobles ou citoyens moyens qui semblaient être dérangés par le bruit ambiant et la crasse de la ville, Orifa au contraire se sentait chez elle. Combien de temps elle avait passé en prison avant d’être sauvée ? En-tout-cas la puanteur de la basse ville lui apportait un certain réconfort, peu de personnes étaient capable de comprendre cet état de fait.
Une fois réveillée, elle glissa de son lit pour aller arpenter la ville, la première chose à vérifier c’était que les preuves de sa sortie nocturne avaient bien complètement disparu. C’était le genre de chose qu’il était compliqué de pouvoir cacher, un feu dans la ville, même la partie basse, il y avait tout de même des analyses. Heureusement, elle n’allait pas devoir jouer de sa maigre autorité pour cacher les preuves, il semblerait que le résultat de l’enquête se soit fait à la vitesse de l’éclair. Un feu aurait été laissé pendant la nuit et la cheminée n’aurait pas été assez entretenue, la suie aurait pris feu petit à petit, les occupants ne se seraient rendu compte de rien car asphyxiés pendant leur sommeil. Finalement le feu se serait déclenché tout seul. C’était une version qui convenait parfaitement à Orifa, si tout se passait toujours aussi bien lors de ses activités nocturnes elle n’allait même pas avoir besoin d’utiliser l'autorité de la présidente pour d’aussi basses besognes.
Le seul rescapé était tombé dans un mutisme maladif au point où il ne voulait plus voir personne et était resté dans sa chambre depuis qu’il était retourné chez lui. C’est quand même dommage qu’il soit le dernier en vie mais qu’en même temps c’est compréhensible qu’il soit dans un état pareil, mais s’il se relevait, cela ne pourrait que le rendre plus fort que ce qu’il est actuellement. Pour la deuxième partie c’était de s’intéresser à la hiérarchie qu’il y avait dans cette ville, elle était loin d’être bête au point de se dire qu’il suffisait de tuer tout ce qui se trouvait sur son chemin pour se faire respecter. Une fois qu’elle aurait réussi à comprendre comment tout fonctionnait dans la ville basse elle pourrait commencer son travail de purge mais pas avant.
Grâce à son réveil tardif la soirée allait pouvoir durer bien plus longtemps, c’était à ce moment-là que sous l’effet de l'alcool une bonne partie des langues se délient. Bien sûr il ne fallait pas prendre pour argent comptant tout ce qu’elle pouvait entendre mais en même temps les rumeurs ont très souvent une racine de vérité non ? Dans ce genre de situation, Orifa avait deux choix, soit elle s'apprêtait de manière à attirer les regards pour pouvoir espérer avec des confidences sous le lit. Son deuxième choix était complètement différent, en restant dans l’ombre pour se faire aussi discret que possible, il était possible d’écouter les discussions. Possédant de bonnes oreilles, l’opération qui normalement devrait être beaucoup plus périlleuse se retrouvait à être limite une promenade de santé. Mais avant tout, il lui fallait écrire un rapport pour la présidente.
Rapport jour 2
Le Baron rouge semble être une personne de confiance, du moins pour l’instant, son air simplet me joue peut-être des tours donc je vais continuer à rester sur mes gardes jusqu’à ce que j’en apprenne un peu plus. J’ai passé mon premier test au prêt de la basse ville, 5 enfants humains semblaient se prendre pour les maîtres du monde, on peut dire que je les ai ramenés à la réalité. J’ai brûlé toutes les traces donc il n’y a aucun risque que cela puisse remonter jusqu’à moi.
Fin du rapport.
Elle avait tapoté plusieurs fois de sa plume la fin de sa lettre alors qu'intérieurement elle voulait écrire un nouveau remerciement à sa maîtresse de lui avoir donné une raison de vivre. Avoir été capable de parcourir la crasse des prisons jusqu’à lui tendre la main à elle la plus crasseuse de la ville. Avoir vu un potentiel que beaucoup ignoraient volontairement. D’être la lumière de sa vie, tout simplement sa raison de vivre en ce bas monde.
La vie d’une humaine était si fragile, peut-être que d’ici 1 an elle allait mourir ou peut être dans 10 voir 20 ans, c’était une parcelle infime comparée à la durée de vie d’une Valkyrie. Bien qu’Orifa ne voulait pas y penser, il n’y avait aucun doute que le fait qu’elle finirait sa vie loin de sa maîtresse. Peut-être qu’un jour, quand cela viendra, la preuve qu’Orifa est une prisonnière qui allait être tuée allait être dévoilée au grand jour ? Si un jour cela devait arriver, alors la Valkyrie accepterait sûrement son destin, car il était parfois préférable de mourir plutôt que de vivre sans lumière a suivre.
Une fois réveillée, elle glissa de son lit pour aller arpenter la ville, la première chose à vérifier c’était que les preuves de sa sortie nocturne avaient bien complètement disparu. C’était le genre de chose qu’il était compliqué de pouvoir cacher, un feu dans la ville, même la partie basse, il y avait tout de même des analyses. Heureusement, elle n’allait pas devoir jouer de sa maigre autorité pour cacher les preuves, il semblerait que le résultat de l’enquête se soit fait à la vitesse de l’éclair. Un feu aurait été laissé pendant la nuit et la cheminée n’aurait pas été assez entretenue, la suie aurait pris feu petit à petit, les occupants ne se seraient rendu compte de rien car asphyxiés pendant leur sommeil. Finalement le feu se serait déclenché tout seul. C’était une version qui convenait parfaitement à Orifa, si tout se passait toujours aussi bien lors de ses activités nocturnes elle n’allait même pas avoir besoin d’utiliser l'autorité de la présidente pour d’aussi basses besognes.
Le seul rescapé était tombé dans un mutisme maladif au point où il ne voulait plus voir personne et était resté dans sa chambre depuis qu’il était retourné chez lui. C’est quand même dommage qu’il soit le dernier en vie mais qu’en même temps c’est compréhensible qu’il soit dans un état pareil, mais s’il se relevait, cela ne pourrait que le rendre plus fort que ce qu’il est actuellement. Pour la deuxième partie c’était de s’intéresser à la hiérarchie qu’il y avait dans cette ville, elle était loin d’être bête au point de se dire qu’il suffisait de tuer tout ce qui se trouvait sur son chemin pour se faire respecter. Une fois qu’elle aurait réussi à comprendre comment tout fonctionnait dans la ville basse elle pourrait commencer son travail de purge mais pas avant.
Grâce à son réveil tardif la soirée allait pouvoir durer bien plus longtemps, c’était à ce moment-là que sous l’effet de l'alcool une bonne partie des langues se délient. Bien sûr il ne fallait pas prendre pour argent comptant tout ce qu’elle pouvait entendre mais en même temps les rumeurs ont très souvent une racine de vérité non ? Dans ce genre de situation, Orifa avait deux choix, soit elle s'apprêtait de manière à attirer les regards pour pouvoir espérer avec des confidences sous le lit. Son deuxième choix était complètement différent, en restant dans l’ombre pour se faire aussi discret que possible, il était possible d’écouter les discussions. Possédant de bonnes oreilles, l’opération qui normalement devrait être beaucoup plus périlleuse se retrouvait à être limite une promenade de santé. Mais avant tout, il lui fallait écrire un rapport pour la présidente.
Rapport jour 2
Le Baron rouge semble être une personne de confiance, du moins pour l’instant, son air simplet me joue peut-être des tours donc je vais continuer à rester sur mes gardes jusqu’à ce que j’en apprenne un peu plus. J’ai passé mon premier test au prêt de la basse ville, 5 enfants humains semblaient se prendre pour les maîtres du monde, on peut dire que je les ai ramenés à la réalité. J’ai brûlé toutes les traces donc il n’y a aucun risque que cela puisse remonter jusqu’à moi.
Fin du rapport.
Elle avait tapoté plusieurs fois de sa plume la fin de sa lettre alors qu'intérieurement elle voulait écrire un nouveau remerciement à sa maîtresse de lui avoir donné une raison de vivre. Avoir été capable de parcourir la crasse des prisons jusqu’à lui tendre la main à elle la plus crasseuse de la ville. Avoir vu un potentiel que beaucoup ignoraient volontairement. D’être la lumière de sa vie, tout simplement sa raison de vivre en ce bas monde.
La vie d’une humaine était si fragile, peut-être que d’ici 1 an elle allait mourir ou peut être dans 10 voir 20 ans, c’était une parcelle infime comparée à la durée de vie d’une Valkyrie. Bien qu’Orifa ne voulait pas y penser, il n’y avait aucun doute que le fait qu’elle finirait sa vie loin de sa maîtresse. Peut-être qu’un jour, quand cela viendra, la preuve qu’Orifa est une prisonnière qui allait être tuée allait être dévoilée au grand jour ? Si un jour cela devait arriver, alors la Valkyrie accepterait sûrement son destin, car il était parfois préférable de mourir plutôt que de vivre sans lumière a suivre.
Métamorphose P1 / Nyctalopie P1 / Séduction P1 / Ouïe Augmentée P1 / Vue augmentée P1 / Odorat augmenté P1 / Invisibilité P1 / Régénération P1 / Senseur magique P1 / Agilité et précision P2 / Prouesse d'arme P1 / Vitesse P2
Citoyen de La République
Orifa Sigrior
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Info personnage
Race: Valkyrie
Vocation: Guerrier assassin
Alignement: Loyal mauvais
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Que votre volonté soit faite
En voulant ouvrir la porte pour aller chercher un repère de malfrat, il y avait quelque chose d’assez étrange qui dépassait du dessous de la porte. Une petite carte complètement blanche avec simplement écrit à la plume, les caractères étaient fin, en général plutôt réalisé de la main d’une femme, pourtant ici il n’y avait aucune trace de parfum. Mais ce qui était étrange c’était que l'empreinte de la plume dans le papier montrait assez clairement que la personne avait appuyé fortement pour écrire ces simples mots. Dessus il y avait l’indication d’un lieu dans la ville basse, sans donner plus d’information.
Deux choix se posaient à la Valkyrie, soit c’était de la part du Baron lui donnant un petit coup de pouce dans ses recherches ou alors c’était une personne qui s’était donné bien du mal pour pouvoir apporter ce message au nez ou plutôt à la barbe du roux. Jouant légèrement avec le petit objet, elle sentit une marque sur l’un des bords une sorte d’aspérité bien étrange qui n’était clairement pas d’origine car elle ressentait de l’autre côté de la carte. Portant bien qu’elle sentait l’aspérité, il lui semblait impossible de la voir, récupérant une de ses lames ainsi qu’une pierre à affûter, elle commença à gratter le bord pour en faire ressortir une petite poudre. Pliant légèrement les bords de la carte pour faire descendre la poudre jusqu’à arriver dans l'aspérité et ainsi s’y retrouver bloquer. Une partie tombait sur la table pourtant le reste était concentré dans une petite zone alors qu’au début il était impossible de voir ce que cela pouvait représenter, il lui fallut à nouveau s’armer de patience pour secouer le papier pour que ce dernier dévoile enfin son dernier secret. Juste en bas à gauche on pouvait voir une sorte de petite balance magnifiquement bien dessinée. C’était clairement un blason faisant que quelques millimètres d'épaisseur, elle aurait très bien pu passer à côté et clairement elle était sur le point de le faire en se débarrassant de la carte. Il n’y avait que peu de monde dans la ville basse qui pouvaient utiliser ce genre de blason sur leurs cartes de visite.
- Le Marchand donc
C’était tout de même assez impressionnant, elle avait simplement mentionné une fois son nom et voilà qu’elle avait déjà un rendez-vous ? Ou alors est ce que les petits jeunes disaient la vérité ? Qu’ils étaient réellement en contact avec ce chef de la pègre portant ce surnom étrange ? S’il avait réussi à introduire un message au centre du QG du baron rouge jusqu’à le déposer sous la porte de la Valkyrie, c’était qu’il devait être puissant ou du moins il avait le bras long ou alors les bourses pleines … D’or.
Avec ce simple indice, voilà qu’un sourire commençait à se dessiner sur les lèvres de la jeune demoiselle. Elle avait réussi à résoudre ces deux problèmes précédents, si elle était invitée, alors il lui fallait une tenue pour attirer les regards, il était possible que cette petite marque ne soit pas seulement un signe distinctif mais également une sorte de test. Le deuxième était de savoir qui avait pu lui envoyer ce message et c’était impossible que ce soit le baron.
Habituellement bien plus portée sur le noir, voilà qu’elle avait décidée de porter du rouge pour l’occasion. Il était hors de question qu’une seule personne à l’intérieur de sa destination, où que ce soit, puisse dire à la fin de la soirée qu’il n’avait pas déposé son regard sur la Valkyrie. Une invitation aussi charmante est bien trop rare pour être ignorée.
Avec un décolleté plongeant alors que les lanières pour le maintenir se retrouvaient au niveau de son cou tel un collier. Le tissu qui semblait de très grande qualité, descendait sur les fines courbes. Une petite ouverture au niveau de son genou pour lui laisser plus d’aisance dans ses mouvements et surtout cacher les ceinturons de couteau sur ses cuisses. Après quelques touches de maquillage et de coiffure elle se munit de petits talons rouges également, c’était un défaut dû à sa taille, il ne lui était pas possible de porter des talons hauts.
Deux choix se posaient à la Valkyrie, soit c’était de la part du Baron lui donnant un petit coup de pouce dans ses recherches ou alors c’était une personne qui s’était donné bien du mal pour pouvoir apporter ce message au nez ou plutôt à la barbe du roux. Jouant légèrement avec le petit objet, elle sentit une marque sur l’un des bords une sorte d’aspérité bien étrange qui n’était clairement pas d’origine car elle ressentait de l’autre côté de la carte. Portant bien qu’elle sentait l’aspérité, il lui semblait impossible de la voir, récupérant une de ses lames ainsi qu’une pierre à affûter, elle commença à gratter le bord pour en faire ressortir une petite poudre. Pliant légèrement les bords de la carte pour faire descendre la poudre jusqu’à arriver dans l'aspérité et ainsi s’y retrouver bloquer. Une partie tombait sur la table pourtant le reste était concentré dans une petite zone alors qu’au début il était impossible de voir ce que cela pouvait représenter, il lui fallut à nouveau s’armer de patience pour secouer le papier pour que ce dernier dévoile enfin son dernier secret. Juste en bas à gauche on pouvait voir une sorte de petite balance magnifiquement bien dessinée. C’était clairement un blason faisant que quelques millimètres d'épaisseur, elle aurait très bien pu passer à côté et clairement elle était sur le point de le faire en se débarrassant de la carte. Il n’y avait que peu de monde dans la ville basse qui pouvaient utiliser ce genre de blason sur leurs cartes de visite.
- Le Marchand donc
C’était tout de même assez impressionnant, elle avait simplement mentionné une fois son nom et voilà qu’elle avait déjà un rendez-vous ? Ou alors est ce que les petits jeunes disaient la vérité ? Qu’ils étaient réellement en contact avec ce chef de la pègre portant ce surnom étrange ? S’il avait réussi à introduire un message au centre du QG du baron rouge jusqu’à le déposer sous la porte de la Valkyrie, c’était qu’il devait être puissant ou du moins il avait le bras long ou alors les bourses pleines … D’or.
Avec ce simple indice, voilà qu’un sourire commençait à se dessiner sur les lèvres de la jeune demoiselle. Elle avait réussi à résoudre ces deux problèmes précédents, si elle était invitée, alors il lui fallait une tenue pour attirer les regards, il était possible que cette petite marque ne soit pas seulement un signe distinctif mais également une sorte de test. Le deuxième était de savoir qui avait pu lui envoyer ce message et c’était impossible que ce soit le baron.
Habituellement bien plus portée sur le noir, voilà qu’elle avait décidée de porter du rouge pour l’occasion. Il était hors de question qu’une seule personne à l’intérieur de sa destination, où que ce soit, puisse dire à la fin de la soirée qu’il n’avait pas déposé son regard sur la Valkyrie. Une invitation aussi charmante est bien trop rare pour être ignorée.
Avec un décolleté plongeant alors que les lanières pour le maintenir se retrouvaient au niveau de son cou tel un collier. Le tissu qui semblait de très grande qualité, descendait sur les fines courbes. Une petite ouverture au niveau de son genou pour lui laisser plus d’aisance dans ses mouvements et surtout cacher les ceinturons de couteau sur ses cuisses. Après quelques touches de maquillage et de coiffure elle se munit de petits talons rouges également, c’était un défaut dû à sa taille, il ne lui était pas possible de porter des talons hauts.
Métamorphose P1 / Nyctalopie P1 / Séduction P1 / Ouïe Augmentée P1 / Vue augmentée P1 / Odorat augmenté P1 / Invisibilité P1 / Régénération P1 / Senseur magique P1 / Agilité et précision P2 / Prouesse d'arme P1 / Vitesse P2
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Orifa Sigrior
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Race: Valkyrie
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Rang: C
Que votre volonté soit faite
Pour éviter d'attirer les regards des malfrats en tout genre avant d’avoir atteint sa destination, une cape sur les épaules n’était certainement pas de trop dans cette situation. Sa garde-robe n’était pas ce qu’il y avait de plus fournis, a part du noir il n’y avait rien d’autre de disponible mais c’était pas plus mal surtout la nuit, il lui en faillait simplement une qui allait jusqu’à ses chevilles tout en recouvrant l’avant également sans fioriture apparente. Alors qu’elle descendait de la chambre en direction de la rue, elle attirait le regard des deux hommes qui semblaient toujours aussi bien abattus. Intérieurement elle se demandait si ce n’était pas une bonne action que de répondre à leurs attentes pour éviter de devoir subir ces mines de chien battu à chaque fois qu’elle sortait de l’auberge ? Mais pas sur que le Baron allait accepter qu’ils finissent 5 pieds sous terre, rares étaient les êtres vivants ayant pu apprécier la chaleur de sa couche tout en se réjouissant du lever de soleil le lendemain. Après tout c’était en partie à cause de ça qu’elle ne pouvait pas remettre les pieds à Liberty pendant quelques années.
A peine était-elle sortie de la sécurité de l’auberge, que les odeurs nauséabondes de la ville étaient en train de remplir ses narines. Les prisons de Liberty ne sentaient pas forcément la rose non plus pourtant elle n’avait pas encore eu bien le temps de s’y habituer. Quelques mois auparavant, elle aurait certainement montré un certain dégoût, comme quoi rester derrière les barreaux pouvait avoir un certain avantage. Ne connaissant pas bien la ville étant donné qu’elle venait à peine d’arriver, il lui était impossible de poser des questions à la bande du Baron, si c’était un lieu réservé au Marchand il serait compliqué de faire l’ignorante par la suite. Naviguant à vue, elle se rapprocha tout de même de la planque des petites frappes qu’elle avait détruit s’ils étaient vraiment de mèche avec le marchand, c’était le début d’une piste.
A peine était-elle arrivée qu’elle pu voir que les restes calcinés de la maison semblaient avoir attiré un nouveau groupe d'individus, contrairement à tous les traîne-savates de la ville basse, ceux-là semblaient plutôt être le haut du panier. Dans sa tenue actuelle, c’était le meilleur moyen d’attirer les regards mais pas les bons. Ce fut évident qu’elle se présenta devant la bande avec un grand sourire aux lèvres retirant simplement sa capuche découvrant ainsi sa coiffure mais également son maquillage mis pour l’occasion.
- Dites-moi messieurs, j’aimerais trouver cette adresse, cela vous dit quelque chose ?
En montrant la carte alors que la marque de la balance était toujours visible avec la poudre noire qui avait laissé comme une marque. L’homme qui s’était rapproché d’elle en premier tourna le visage vers l'un de ses collègues révélant la partie supérieure d’une balance tatoué au niveau de son cou juste sous son col. Est-ce que la chance avait enfin commencé à lui sourire ?
- T’es la pute c’est ç…. Glup … Glup …
Sortant une lame de sa cape pour pouvoir le planter au niveau de sa mâchoire remontant jusqu’à son crâne en le tuant sur le coup. Le sang coulait le long de sa main jusqu’à ce qu’elle la retire d’un coup sec laissant une traînée de sang immaculée le sol derrière elle alors que la lame finement aiguisée était nettoyée dans le dos de sa victime.
- Le prochain qui ose me confondre avec une pute aura le même sort … Je suis une invitée ici, c'est compris ?.
L’attaque semblait avoir pris de cours l’ensemble du groupe qui avait bien trop pris la situation à la légère. Orifa n’était pas là pour se faire des amis ni pour se faire insulter, deux fois en deux jours, il y avait des limites. Si le seul moyen de se faire respecter était de créer des rivières de sang dans cette ville alors elle deviendrait l’affluent pour en faire un fleuve inarrêtable. Peut-être qu’elle devrait commencer par tous ceux ici présent ? Elle allait y laisser des plumes si elle s’en occupait de front, c’était une certitude. Effleurant du bout des doigts le manche de sa machette alors que la situation commençait à être tendue, une brute épaisse fit son apparition au niveau d’une petite ruelle.
- Madame venez avec moi, vous, occupez vous de nettoyer tout ça, je veux pas de vague.
Le chef ? Le second ? Ou alors un chef de zone ? En-tout-cas, en une phrase l’ambiance avait changé alors que la petite bande commençait à se mettre au travail sans broncher. Il était clair que perdre l’un des leurs rendait la situation bien plus compliquée mais l’autorité de la brute était bien plus importante.
A peine était-elle sortie de la sécurité de l’auberge, que les odeurs nauséabondes de la ville étaient en train de remplir ses narines. Les prisons de Liberty ne sentaient pas forcément la rose non plus pourtant elle n’avait pas encore eu bien le temps de s’y habituer. Quelques mois auparavant, elle aurait certainement montré un certain dégoût, comme quoi rester derrière les barreaux pouvait avoir un certain avantage. Ne connaissant pas bien la ville étant donné qu’elle venait à peine d’arriver, il lui était impossible de poser des questions à la bande du Baron, si c’était un lieu réservé au Marchand il serait compliqué de faire l’ignorante par la suite. Naviguant à vue, elle se rapprocha tout de même de la planque des petites frappes qu’elle avait détruit s’ils étaient vraiment de mèche avec le marchand, c’était le début d’une piste.
A peine était-elle arrivée qu’elle pu voir que les restes calcinés de la maison semblaient avoir attiré un nouveau groupe d'individus, contrairement à tous les traîne-savates de la ville basse, ceux-là semblaient plutôt être le haut du panier. Dans sa tenue actuelle, c’était le meilleur moyen d’attirer les regards mais pas les bons. Ce fut évident qu’elle se présenta devant la bande avec un grand sourire aux lèvres retirant simplement sa capuche découvrant ainsi sa coiffure mais également son maquillage mis pour l’occasion.
- Dites-moi messieurs, j’aimerais trouver cette adresse, cela vous dit quelque chose ?
En montrant la carte alors que la marque de la balance était toujours visible avec la poudre noire qui avait laissé comme une marque. L’homme qui s’était rapproché d’elle en premier tourna le visage vers l'un de ses collègues révélant la partie supérieure d’une balance tatoué au niveau de son cou juste sous son col. Est-ce que la chance avait enfin commencé à lui sourire ?
- T’es la pute c’est ç…. Glup … Glup …
Sortant une lame de sa cape pour pouvoir le planter au niveau de sa mâchoire remontant jusqu’à son crâne en le tuant sur le coup. Le sang coulait le long de sa main jusqu’à ce qu’elle la retire d’un coup sec laissant une traînée de sang immaculée le sol derrière elle alors que la lame finement aiguisée était nettoyée dans le dos de sa victime.
- Le prochain qui ose me confondre avec une pute aura le même sort … Je suis une invitée ici, c'est compris ?.
L’attaque semblait avoir pris de cours l’ensemble du groupe qui avait bien trop pris la situation à la légère. Orifa n’était pas là pour se faire des amis ni pour se faire insulter, deux fois en deux jours, il y avait des limites. Si le seul moyen de se faire respecter était de créer des rivières de sang dans cette ville alors elle deviendrait l’affluent pour en faire un fleuve inarrêtable. Peut-être qu’elle devrait commencer par tous ceux ici présent ? Elle allait y laisser des plumes si elle s’en occupait de front, c’était une certitude. Effleurant du bout des doigts le manche de sa machette alors que la situation commençait à être tendue, une brute épaisse fit son apparition au niveau d’une petite ruelle.
- Madame venez avec moi, vous, occupez vous de nettoyer tout ça, je veux pas de vague.
Le chef ? Le second ? Ou alors un chef de zone ? En-tout-cas, en une phrase l’ambiance avait changé alors que la petite bande commençait à se mettre au travail sans broncher. Il était clair que perdre l’un des leurs rendait la situation bien plus compliquée mais l’autorité de la brute était bien plus importante.
Métamorphose P1 / Nyctalopie P1 / Séduction P1 / Ouïe Augmentée P1 / Vue augmentée P1 / Odorat augmenté P1 / Invisibilité P1 / Régénération P1 / Senseur magique P1 / Agilité et précision P2 / Prouesse d'arme P1 / Vitesse P2
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Orifa Sigrior
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Info personnage
Race: Valkyrie
Vocation: Guerrier assassin
Alignement: Loyal mauvais
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Que votre volonté soit faite
Sans demander son reste, voilà qu’elle suivait un homme bien trop baraqué pour que l’on ne se pose pas la question de comment il faisait pour pouvoir passer dans les petites ruelles de la basse ville sans avoir besoin de marcher comme un crabe. Peut-être même qu’avec sa carrure il était en capacité de plier la réalité à sa volonté et de déplacer les maisons sur son passage ? Dans ce genre de situation un brigand de bas étage aurait fait les choses d’une autre manière un peu comme le Baron en somme. Dans un premier temps la droguer puis l’attraper et la ramener dans son repère pour pouvoir la faire parler. C’était une valeur sur, les plus pressés pouvaient simplement passer à la phase où ils mettaient un sac sur la tête de leur victime avant de la jeter dans la calèche. Ici il semblerait que le Marchand n’avait pas besoin de cacher son lieu de résidence, c’était assez risqué mais, s’il le faisait cela ne pouvait que prouver qu’il était certain de ses capacités à se protéger.
Ce ne fut qu’une fois devant la résidence qu’Orifa remarqua que plus elle s’était rapprochée de ce lieu, moins il y avait de mendiant ou alors de saleté et de mauvaises odeurs. Contrairement aux autres endroits de la ville, ici le bâtiment était tout seul avec de nombreuses rues menant vers cet endroit comme si c’était pour montrer qu’il était la plaque tournante de la ville, une sorte de rond-point en somme.
La brute s’arrêta à quelques mètres de l’entrée avant de se retourner vers l’espionne pour lui tendre la main.
- Donne-moi tes armes, elles te seront rendu une fois que tu partiras.
- Mais tu crois vraiment que j’ai des armes avec une tenue pareille ?
- Tu n'as pas tué un de mes hommes avec de l’air j’imagine.
Zut il n'était pas si con que ça … Retirant sa cape tout en dévoilant sa tenue, elle lui donna ainsi que toutes ses armes laissant tout de même ses ceinturons de couteau pour se protéger, c'était tout de même le minimum. Relevant les mains en l’air en écartant bien les doigts pour lui montrer qu’elle ne portait plus rien.
- Quand tu auras fini de rincer l'œil on pourra rentrer ?
Après avoir vérifié qu’elle ne portait plus rien, il l'invita à rentrer. À la grande surprise d’Orifa il n’y avait aucune trace de combat, d’alcool sur le sol, de meuble retourné, même pas un insecte en train de faire son nid. La surprise se lisait certainement sur son visage car un homme bien trop bien habillé pour être un membre de la pègre commença à ricaner.
- Bienvenue dans mon humble demeure et vous vous appelez ?
- Je n’ai pas encore de nom à vous donner, si je meurs avant de m’en être fait un dans ces lieux maudits, comme ça vous n'aurez pas besoin de m’oublier.
- Voilà qui est étrangement fort délicat de votre part, et pourtant tu te présentes à moi dans une tenue qu’il est difficile d’oublier. Serais-tu en train de me mettre au défi ?
- Pour une personne qui se fait appeler le Marchand, je m’attendais à un peu mieux si tu n’es pas capable de te souvenir d’une femme comme moi.
Personne ne voulait perdre cette joute verbale et il était certain qu’Orifa était tout à fait en capacité de pouvoir la continuer mais son adversaire préféra feindre l'ignorance de ce qui était en train de se passer. Présentant deux fauteuils qui étaient l’un en face de l’autre avec une table basse en plein milieu. Le bois était parfaitement entretenu et les gravures légèrement peintes avec des feuilles d’or, faisaient ressortir le côté noble du mobilier.
Une fois que les deux adversaires avaient enfin pris place, ce fut le Marchand qui commença à prendre la parole en premier.
- Vous avez tué un de mes hommes, comment allez vous réparer ça ?
- Je n’ai fait que me défendre, je n’ai rien à me reprocher, mais en gage de bonne foi, je suis prêt à écouter votre proposition.
- Voilà qui est fort courtois de votre part, je pensais avoir à vous pousser un peu plus que ça.
- Je n’ai pas dit que j’allais accepter je …
- Livre-moi un colis que dois arriver jusqu’à moi sans qu’on ne puisse me le voler. Ça pourrait être dans tes cordes ?
Réfléchissant à la proposition alors qu’elle n'avait absolument rien à y gagner dans toute cette histoire.
- Si je m’en prends un jour au Baron, je te laisserai tranquille.
- Tu n’es pas un marchand pour rien voilà … Bien nous avons un marché, maintenant la question est, pourquoi tu m’as invités ici ?
Ce ne fut qu’une fois devant la résidence qu’Orifa remarqua que plus elle s’était rapprochée de ce lieu, moins il y avait de mendiant ou alors de saleté et de mauvaises odeurs. Contrairement aux autres endroits de la ville, ici le bâtiment était tout seul avec de nombreuses rues menant vers cet endroit comme si c’était pour montrer qu’il était la plaque tournante de la ville, une sorte de rond-point en somme.
La brute s’arrêta à quelques mètres de l’entrée avant de se retourner vers l’espionne pour lui tendre la main.
- Donne-moi tes armes, elles te seront rendu une fois que tu partiras.
- Mais tu crois vraiment que j’ai des armes avec une tenue pareille ?
- Tu n'as pas tué un de mes hommes avec de l’air j’imagine.
Zut il n'était pas si con que ça … Retirant sa cape tout en dévoilant sa tenue, elle lui donna ainsi que toutes ses armes laissant tout de même ses ceinturons de couteau pour se protéger, c'était tout de même le minimum. Relevant les mains en l’air en écartant bien les doigts pour lui montrer qu’elle ne portait plus rien.
- Quand tu auras fini de rincer l'œil on pourra rentrer ?
Après avoir vérifié qu’elle ne portait plus rien, il l'invita à rentrer. À la grande surprise d’Orifa il n’y avait aucune trace de combat, d’alcool sur le sol, de meuble retourné, même pas un insecte en train de faire son nid. La surprise se lisait certainement sur son visage car un homme bien trop bien habillé pour être un membre de la pègre commença à ricaner.
- Bienvenue dans mon humble demeure et vous vous appelez ?
- Je n’ai pas encore de nom à vous donner, si je meurs avant de m’en être fait un dans ces lieux maudits, comme ça vous n'aurez pas besoin de m’oublier.
- Voilà qui est étrangement fort délicat de votre part, et pourtant tu te présentes à moi dans une tenue qu’il est difficile d’oublier. Serais-tu en train de me mettre au défi ?
- Pour une personne qui se fait appeler le Marchand, je m’attendais à un peu mieux si tu n’es pas capable de te souvenir d’une femme comme moi.
Personne ne voulait perdre cette joute verbale et il était certain qu’Orifa était tout à fait en capacité de pouvoir la continuer mais son adversaire préféra feindre l'ignorance de ce qui était en train de se passer. Présentant deux fauteuils qui étaient l’un en face de l’autre avec une table basse en plein milieu. Le bois était parfaitement entretenu et les gravures légèrement peintes avec des feuilles d’or, faisaient ressortir le côté noble du mobilier.
Une fois que les deux adversaires avaient enfin pris place, ce fut le Marchand qui commença à prendre la parole en premier.
- Vous avez tué un de mes hommes, comment allez vous réparer ça ?
- Je n’ai fait que me défendre, je n’ai rien à me reprocher, mais en gage de bonne foi, je suis prêt à écouter votre proposition.
- Voilà qui est fort courtois de votre part, je pensais avoir à vous pousser un peu plus que ça.
- Je n’ai pas dit que j’allais accepter je …
- Livre-moi un colis que dois arriver jusqu’à moi sans qu’on ne puisse me le voler. Ça pourrait être dans tes cordes ?
Réfléchissant à la proposition alors qu’elle n'avait absolument rien à y gagner dans toute cette histoire.
- Si je m’en prends un jour au Baron, je te laisserai tranquille.
- Tu n’es pas un marchand pour rien voilà … Bien nous avons un marché, maintenant la question est, pourquoi tu m’as invités ici ?
Métamorphose P1 / Nyctalopie P1 / Séduction P1 / Ouïe Augmentée P1 / Vue augmentée P1 / Odorat augmenté P1 / Invisibilité P1 / Régénération P1 / Senseur magique P1 / Agilité et précision P2 / Prouesse d'arme P1 / Vitesse P2
Citoyen de La République
Orifa Sigrior
Messages : 179
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Info personnage
Race: Valkyrie
Vocation: Guerrier assassin
Alignement: Loyal mauvais
Rang: C
Que votre volonté soit faite
Est-ce que toutes les grosses frappent de la ville s’étaient passées le mot ? Orifa commençait à se poser la question. Entre le Baron et le Marchand il fallait avouer qu’en 2 jours elle avait tout de même vu du beau monde ces derniers temps et elle se trouvait dans une bonne position pour une fois. Très clairement elle était sur le point de pouvoir négocier avec les deux sans que cela ne puisse lui porter préjudice.
- Et bien vous allez rire mais étrangement j’avais des nouveaux venus grand mon groupe et dernièrement ils ont disparus avec leur planque.
Ha oui il y avait ça aussi, au vu de la qualité et de l’efficacité des gaillards, Orifa était parti du principe qu’ils avaient mentis et qu’ils avaient pris le nom du marchand pour se faire une petite réputation et qu'on ne vienne pas les embêter. Mais là c’était clairement une preuve qu’ils n’avaient pas menti a moins que le Marchand veuille justement profiter de la situation.
- Tiens c’est étrange en effet, ça a un rapport avec la maison brûlée où j’ai rencontré vos hommes ?
Elle ne pouvait que feindre l'ignorance, c'était sa meilleure protection pour éviter d’avouer directement qu’elle était à l’origine de ces disparitions.
- Mais je crois avoir entendu parler d’un feu qui s’était déclenché à cause d’un feu de cheminée, je me trompe peut-être ?
Arrachant un rictus au Marchaud, c’était une preuve pour Orifa qu’il n'avait pas réellement de preuve ou rien qui pouvait remonter jusqu’à elle. Par contre le dernier en vie ça pouvait être un problème surtout si un jour il finissait par recommencer à parler. Il fallait qu’elle s’en occupe assez rapidement pour éviter tout problème par la suite.
- En effet quelle tragédie tout ça … Mais heureusement il y a un survivant.
- Super vous allez pouvoir lui demander pourquoi ils ont laissé le feu tourner ?
- Mais il est en état de choc
- Certainement à cause de la fumée du feu.
- Sûrement oui … Sûrement … Dites-moi, est ce que vous savez que je n’ai pas besoin de preuve ou de quoi que ce soit pour pouvoir venger mes hommes-là maintenant ?
Autour d’eux des Hommes en armes prêtes à attaquer à la moindre demande de la part de leur patron. Même avec toute la bonne volonté du monde il était impossible qu’Orifa puisse s’en sortir en combat. Peut-être en tuer 2 voir 3. Si elle se concentrait sur le marchand elle pourrait peut-être le blesser mais certainement ne pas le tuer et ça s’était un gros problème. Dos au mur elle fit comme si de rien n'était, de toute manière tenter par tous les moyens de se protéger ou de se préparer au combat c’était une perte de temps.
- C’est bien dommage dans ce cas vous allez devoir trouver quelqu’un d’autre pour vous ramener le colis. Le survivant en question devrait en être capable j’imagine au vu de sa débrouillardise.
L’air passif du Marchand semblait avoir bien changé alors qu’il n’appréciait particulièrement pas de voir la valkyrie lui tenir tête de la sorte. Au vu de sa position dans la ville basse c’était compréhensible, il n’avait pas l’habitude tout court qu’on lui tienne tête. Il se releva rapidement du fauteuil au point où tout le monde dans la pièce était prêt à en découdre pensant que ça pouvait être le début du signal. Mais voilà qu’en se rapprochant du bar pour prendre de quoi boire il n’avait toujours donné aucun ordre.
- Toi je t’aime bien, je ne sais pas pourquoi mais je sens que l’on pourrait faire des choses intéressantes ensemble, mais tout dépendra de ta mission.
Ouvrant une porte à côté du bar pour montrer qu’il y avait réellement une soirée de l’autre côté du mur, il y entra sans faire attention à ce qu’il se passait derrière. Les gardes avaient eu besoin de plusieurs longues secondes avant de lâcher leurs armes avant de partir l’un après l’autre dans la salle de la soirée. La brute du début était toujours là, certainement qu’il n’avait aucune confiance envers la valkyrie et il avait entièrement raison.
- Vous pouvez partir ou alors profiter de la soirée.
Sans demander son reste, voilà qu’Orifa sauta presque du fauteuil pour pouvoir aller chercher de quoi grignoter tout en restant à l’écart des différents groupes qui pouvaient se former. La première question à se poser c’était si toutes les personnes ici présent étaient dans le clan du Marchand ou alors est ce qu’il y avait d’autres groupes ? Cela pourrait lui permettre de faire connaissance avec les différentes organisations mais surtout cela permettait de voir les alliances de circonstance qui pouvaient se former. Orifa n’était pas assez stupide pour se dire que ça pouvait durer bien longtemps, chacun des groupes voulaient leur part du gâteau de la ville.
Dans un coin de la pièce il était possible de voir un groupe, les membres étaient assez bien formés et portaient une armée en plaque légère, ne couvrant que les parties importantes avec un matériau assez léger. C’était peut-être là leurs tenues de soirées, simples et efficaces, il fallait leur accorder, il n’était pas bien compliqué de les reconnaître car ils portaient toute une armure et comme la valkyrie ils ne voulaient pas se mélanger aux autres. Donc il y avait un autre clan a moins que ce soit une sorte de milice privée du marchand ? En-tout-cas, les formes en dessous de leurs armures pouvaient qu’ils n’étaient pas là pour faire de la gonflette contrairement aux brutes du Marchand. Ici nous avons des Hommes qui avaient sûrement dû connaître les champs de bataille et pas simplement des bagarres de rue ou des bâtons de regards.
En écoutant les conversations, Orifa pu rapidement remarquer que le groupe qui l’avait intrigué faisait ressortir la même surprise chez les autres participants. Mais jamais personne n’avait prononcé un seul nom. Est-ce que c’était des inconnus ou des nouveaux venus ? Des taupes présentes dans les strates de la république ? Ça aurait été bien plus judicieux de rester en retrait pour commencer et continuer de prendre des informations mais Orifa n’était pas ce genre de femme. Jetant son dévolu sur l’un des homme du groupe un peu mis à l’écart elle vida son verre avant de se rapprocher de lui.
- Et bien vous allez rire mais étrangement j’avais des nouveaux venus grand mon groupe et dernièrement ils ont disparus avec leur planque.
Ha oui il y avait ça aussi, au vu de la qualité et de l’efficacité des gaillards, Orifa était parti du principe qu’ils avaient mentis et qu’ils avaient pris le nom du marchand pour se faire une petite réputation et qu'on ne vienne pas les embêter. Mais là c’était clairement une preuve qu’ils n’avaient pas menti a moins que le Marchand veuille justement profiter de la situation.
- Tiens c’est étrange en effet, ça a un rapport avec la maison brûlée où j’ai rencontré vos hommes ?
Elle ne pouvait que feindre l'ignorance, c'était sa meilleure protection pour éviter d’avouer directement qu’elle était à l’origine de ces disparitions.
- Mais je crois avoir entendu parler d’un feu qui s’était déclenché à cause d’un feu de cheminée, je me trompe peut-être ?
Arrachant un rictus au Marchaud, c’était une preuve pour Orifa qu’il n'avait pas réellement de preuve ou rien qui pouvait remonter jusqu’à elle. Par contre le dernier en vie ça pouvait être un problème surtout si un jour il finissait par recommencer à parler. Il fallait qu’elle s’en occupe assez rapidement pour éviter tout problème par la suite.
- En effet quelle tragédie tout ça … Mais heureusement il y a un survivant.
- Super vous allez pouvoir lui demander pourquoi ils ont laissé le feu tourner ?
- Mais il est en état de choc
- Certainement à cause de la fumée du feu.
- Sûrement oui … Sûrement … Dites-moi, est ce que vous savez que je n’ai pas besoin de preuve ou de quoi que ce soit pour pouvoir venger mes hommes-là maintenant ?
Autour d’eux des Hommes en armes prêtes à attaquer à la moindre demande de la part de leur patron. Même avec toute la bonne volonté du monde il était impossible qu’Orifa puisse s’en sortir en combat. Peut-être en tuer 2 voir 3. Si elle se concentrait sur le marchand elle pourrait peut-être le blesser mais certainement ne pas le tuer et ça s’était un gros problème. Dos au mur elle fit comme si de rien n'était, de toute manière tenter par tous les moyens de se protéger ou de se préparer au combat c’était une perte de temps.
- C’est bien dommage dans ce cas vous allez devoir trouver quelqu’un d’autre pour vous ramener le colis. Le survivant en question devrait en être capable j’imagine au vu de sa débrouillardise.
L’air passif du Marchand semblait avoir bien changé alors qu’il n’appréciait particulièrement pas de voir la valkyrie lui tenir tête de la sorte. Au vu de sa position dans la ville basse c’était compréhensible, il n’avait pas l’habitude tout court qu’on lui tienne tête. Il se releva rapidement du fauteuil au point où tout le monde dans la pièce était prêt à en découdre pensant que ça pouvait être le début du signal. Mais voilà qu’en se rapprochant du bar pour prendre de quoi boire il n’avait toujours donné aucun ordre.
- Toi je t’aime bien, je ne sais pas pourquoi mais je sens que l’on pourrait faire des choses intéressantes ensemble, mais tout dépendra de ta mission.
Ouvrant une porte à côté du bar pour montrer qu’il y avait réellement une soirée de l’autre côté du mur, il y entra sans faire attention à ce qu’il se passait derrière. Les gardes avaient eu besoin de plusieurs longues secondes avant de lâcher leurs armes avant de partir l’un après l’autre dans la salle de la soirée. La brute du début était toujours là, certainement qu’il n’avait aucune confiance envers la valkyrie et il avait entièrement raison.
- Vous pouvez partir ou alors profiter de la soirée.
Sans demander son reste, voilà qu’Orifa sauta presque du fauteuil pour pouvoir aller chercher de quoi grignoter tout en restant à l’écart des différents groupes qui pouvaient se former. La première question à se poser c’était si toutes les personnes ici présent étaient dans le clan du Marchand ou alors est ce qu’il y avait d’autres groupes ? Cela pourrait lui permettre de faire connaissance avec les différentes organisations mais surtout cela permettait de voir les alliances de circonstance qui pouvaient se former. Orifa n’était pas assez stupide pour se dire que ça pouvait durer bien longtemps, chacun des groupes voulaient leur part du gâteau de la ville.
Dans un coin de la pièce il était possible de voir un groupe, les membres étaient assez bien formés et portaient une armée en plaque légère, ne couvrant que les parties importantes avec un matériau assez léger. C’était peut-être là leurs tenues de soirées, simples et efficaces, il fallait leur accorder, il n’était pas bien compliqué de les reconnaître car ils portaient toute une armure et comme la valkyrie ils ne voulaient pas se mélanger aux autres. Donc il y avait un autre clan a moins que ce soit une sorte de milice privée du marchand ? En-tout-cas, les formes en dessous de leurs armures pouvaient qu’ils n’étaient pas là pour faire de la gonflette contrairement aux brutes du Marchand. Ici nous avons des Hommes qui avaient sûrement dû connaître les champs de bataille et pas simplement des bagarres de rue ou des bâtons de regards.
En écoutant les conversations, Orifa pu rapidement remarquer que le groupe qui l’avait intrigué faisait ressortir la même surprise chez les autres participants. Mais jamais personne n’avait prononcé un seul nom. Est-ce que c’était des inconnus ou des nouveaux venus ? Des taupes présentes dans les strates de la république ? Ça aurait été bien plus judicieux de rester en retrait pour commencer et continuer de prendre des informations mais Orifa n’était pas ce genre de femme. Jetant son dévolu sur l’un des homme du groupe un peu mis à l’écart elle vida son verre avant de se rapprocher de lui.
Métamorphose P1 / Nyctalopie P1 / Séduction P1 / Ouïe Augmentée P1 / Vue augmentée P1 / Odorat augmenté P1 / Invisibilité P1 / Régénération P1 / Senseur magique P1 / Agilité et précision P2 / Prouesse d'arme P1 / Vitesse P2
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Que votre volonté soit faite
Loin d’être différents des autres membres de son groupe, la cible de la valkyrie était comme une proie blessée excentrée du groupe. Jouant de ses charmes lors de sa démarche ainsi que de sa voix elle lui proposa un verre récupéré sur un serveur qui venait à peine de passer.
- Bonsoir est ce que je peux vous proposer un verre ?
Au début surpris de cette invitation, l’homme regarda derrière lui comme pour attendre une approbation et quand il remarqua que personne ne regardait ce qu’il faisait dans son groupe. Il se retourna vers la prédatrice pour récupérer le verre, sans pour autant montrer le moindre intérêt envers sa partenaire de discussion. Lui qui semblait ne pas comprendre ce qu’il avait pu faire pour attirer l'intérêt d’une femme aussi ravissante, mais malheureusement pour lui, il n’avait rien fait bien au contraire c’est sa passivité qui faisait de lui une proie parfaite.
- Je suis arrivée il y a peu dans la ville et je ne connais personnes, j’espère que je ne vous dérange pas dans votre travail ?
Volontairement elle s’inclinait en avant pour pouvoir lui dévoiler un peu plus ses courbes tout en lui montrait un peu plus sa poitrine bien qu’il était d’une taille inférieure à la sienne, au moins il pouvait se rincer l'œil au point de perdre sa réticence à cette interaction. Volontairement, Orifa voulait se montrer douce et fragile pour attirer la sympathie de l’homme. Ses charmes faisaient très régulièrement mouche heureusement pour elle.
- Non non vous ne me dérangez pas, je suis ici pour répondre à une invitation et vous ?
Relevant une main pour pouvoir cacher une partie de son visage mais surtout sa bouche, elle détournait le regard légèrement sur le côté de manière frénétique pour faire croire à sa timidité. Après un jeu d’actrice digne d’une véritable espionne, elle finit par rigoler légèrement.
- Je suis également une invitée, comme je venais d’arriver on m’a proposé de manière fort courtoise de rencontrer mes futurs voisins. Monsieur le Marchand m’a semblé d’une grande délicatesse et d'une grande sincérité. Vous êtes en armure cela veut dire que vous vous préparez à un combat ? Au début, je pensais que vous étiez de la sécurité.
Quand elle avait prononcé le pseudonyme du Marchand, les sourcils du jeune homme s’étaient plissés légèrement comme pour montrer sa désapprobation.C’était donc un invité pas très reconnaissant pour son invitation ou alors et ce qu’il y avait quelque chose de plus profond que ça ? Elle avait bien l’intention de creuser.
- Madame, je vous conseille de ne pas vous rapprocher de cet homme dans votre intérêt. Derrière ces aires de bienséances c’est …
S’arrêtant là comme s’il venait de se souvenir qu’il ne devait peut-être pas cracher sur l’hôte dans sa propre maison. Il finit par racler sa gorge avant de boire une première gorgée.
- Suivez simplement mon conseil tant qu’il est encore temps pour vous. Je vais devoir vous laisser je dois rejoindre mon groupe.
Avant de pouvoir répondre quoi que ce soit voilà qu’il était déjà parti en tournant les talons sans demander son reste. C’était assez étrange tout de même comme réaction … Il n’y avait rien de normal pourtant c’est à ce moment-là qu'une sorte de souffle se faisait ressentir sur ses épaules comme si quelqu’un était en train de ne pas seulement la regarder mais la fixer sérieusement. Du coin de l'œil il était possible de voir le Marchand accoudé au bar le clignant pas une seule fois du regard alors même qu’il y avait des femmes à ses côtés il n’en avait que faire.
Comprenant ça comme une invitation à partir d’ici au plus vite, la valkyrie ne demande pas son reste avant de détourner les talons pour aller chercher sa cape au prêt de la brute et après avoir vérifié qu’il ne lui manquait rien elle s'éclipsa dans les ombres du moins jusqu’à ce que plus personne ne la suive du regard. Elle avait bien l’intention d’avoir des réponses à ses questions vis-à-vis de l’homme en armure. Rentrant rapidement dans sa chambre pour pouvoir se changer elle retourna rapidement sur les lieux de la fête pour pouvoir l’admirer de loin vérifiant scrutant la sortie du petit groupe pour avoir sa chance
- Bonsoir est ce que je peux vous proposer un verre ?
Au début surpris de cette invitation, l’homme regarda derrière lui comme pour attendre une approbation et quand il remarqua que personne ne regardait ce qu’il faisait dans son groupe. Il se retourna vers la prédatrice pour récupérer le verre, sans pour autant montrer le moindre intérêt envers sa partenaire de discussion. Lui qui semblait ne pas comprendre ce qu’il avait pu faire pour attirer l'intérêt d’une femme aussi ravissante, mais malheureusement pour lui, il n’avait rien fait bien au contraire c’est sa passivité qui faisait de lui une proie parfaite.
- Je suis arrivée il y a peu dans la ville et je ne connais personnes, j’espère que je ne vous dérange pas dans votre travail ?
Volontairement elle s’inclinait en avant pour pouvoir lui dévoiler un peu plus ses courbes tout en lui montrait un peu plus sa poitrine bien qu’il était d’une taille inférieure à la sienne, au moins il pouvait se rincer l'œil au point de perdre sa réticence à cette interaction. Volontairement, Orifa voulait se montrer douce et fragile pour attirer la sympathie de l’homme. Ses charmes faisaient très régulièrement mouche heureusement pour elle.
- Non non vous ne me dérangez pas, je suis ici pour répondre à une invitation et vous ?
Relevant une main pour pouvoir cacher une partie de son visage mais surtout sa bouche, elle détournait le regard légèrement sur le côté de manière frénétique pour faire croire à sa timidité. Après un jeu d’actrice digne d’une véritable espionne, elle finit par rigoler légèrement.
- Je suis également une invitée, comme je venais d’arriver on m’a proposé de manière fort courtoise de rencontrer mes futurs voisins. Monsieur le Marchand m’a semblé d’une grande délicatesse et d'une grande sincérité. Vous êtes en armure cela veut dire que vous vous préparez à un combat ? Au début, je pensais que vous étiez de la sécurité.
Quand elle avait prononcé le pseudonyme du Marchand, les sourcils du jeune homme s’étaient plissés légèrement comme pour montrer sa désapprobation.C’était donc un invité pas très reconnaissant pour son invitation ou alors et ce qu’il y avait quelque chose de plus profond que ça ? Elle avait bien l’intention de creuser.
- Madame, je vous conseille de ne pas vous rapprocher de cet homme dans votre intérêt. Derrière ces aires de bienséances c’est …
S’arrêtant là comme s’il venait de se souvenir qu’il ne devait peut-être pas cracher sur l’hôte dans sa propre maison. Il finit par racler sa gorge avant de boire une première gorgée.
- Suivez simplement mon conseil tant qu’il est encore temps pour vous. Je vais devoir vous laisser je dois rejoindre mon groupe.
Avant de pouvoir répondre quoi que ce soit voilà qu’il était déjà parti en tournant les talons sans demander son reste. C’était assez étrange tout de même comme réaction … Il n’y avait rien de normal pourtant c’est à ce moment-là qu'une sorte de souffle se faisait ressentir sur ses épaules comme si quelqu’un était en train de ne pas seulement la regarder mais la fixer sérieusement. Du coin de l'œil il était possible de voir le Marchand accoudé au bar le clignant pas une seule fois du regard alors même qu’il y avait des femmes à ses côtés il n’en avait que faire.
Comprenant ça comme une invitation à partir d’ici au plus vite, la valkyrie ne demande pas son reste avant de détourner les talons pour aller chercher sa cape au prêt de la brute et après avoir vérifié qu’il ne lui manquait rien elle s'éclipsa dans les ombres du moins jusqu’à ce que plus personne ne la suive du regard. Elle avait bien l’intention d’avoir des réponses à ses questions vis-à-vis de l’homme en armure. Rentrant rapidement dans sa chambre pour pouvoir se changer elle retourna rapidement sur les lieux de la fête pour pouvoir l’admirer de loin vérifiant scrutant la sortie du petit groupe pour avoir sa chance
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Que votre volonté soit faite
Toujours dans son coin, il fallut attendre jusqu’au lever de soleil pour que le groupe qu’elle espérait voir sortir prenne enfin la porte. L’attente n’avait que plus augmenté l'intérêt de la valkyrie pour l’homme avec qui elle avait parlé, finalement elle ne connaissait pas son nom mais c’était un risque à prendre car elle ne voulait clairement pas qu’il puisse lui demander le sien. C’est le genre de situation où il vaut mieux faire l’ignorent certainement que l’homme en question était dans la même situation et ça ne surprendrait même pas la valkyrie. Il y avait pourtant quelque chose cloché avec ce groupe, ils marchaient droit même en ayant passé autant de temps dans un endroit comme celui-là où il n’est pas rare de s’écrouler dehors à peine la porte passée. Est-ce qu’ils avaient seulement bu ? Sa cible avait certainement bu le verre qu’elle lui avait proposé mais certainement pas plus.
Qu’est-ce qu’ils pouvaient bien faire dans un endroit pareil avec une mentalité comme celle-ci ? Pourquoi le Marchand les avait invités à venir ? Décidément bien trop de questions et Orifa espérait que sa patience allait pouvoir répondre à certaines de celles-ci. Après avoir vérifié que la petite bande n’était pas suivie par les hommes du Marchand elle décida de les prendre en filature.
Contrairement à ce qu’elle pensait leur direction était bien le centre de la ville basse, c'était donc que leur quartier était ici mais ça ne ramenait que plus de questions. Pour éviter que l’on ne puisse la remarquer elle activa son invisibilité tout en gardant ses distances. Sans chercher à vérifier s’ils étaient suivis, ils toquèrent à la porte où une jeune elfe leur ouvrit. Cette dernière n’était pas habillée d’une armure mais plutôt d’une robe longue et fine, regardant de gauche à droite de la rue, elle s’arrêta fixement dans la direction d’Orifa, au début cette dernière pensée à une erreur ou un coup de chance mais après quelques secondes qui semblaient devenir des minutes Orifa disparut dans les ombres d’une ruelle comprenait que l’elfe avait potentiellement la capacité de la trouver avec un très bon odorat certainement. Jurant intérieurement que le vent soit du mauvais sens, elle aurait espéré pouvoir récupérer un peu plus d’information mais maintenant même l’utilisation de sa métamorphose lui posait quelques problèmes. L’elfe avait peut-être la capacité de la discerner ou alors de retrouver son odeur.
Regardant le soleil qui continuait son éternelle route pour fendre le ciel, c’était le signe qu’elle devait aller dormir de nouveau. Le groupe qu’elle visait allez certainement faire de même donc impossible de récupérer des informations pour l’heure avec en plus leur gardienne qui allait être sur ses gardes après ce qu’elle avait vu.
Cette fois elle rentrait donc bredouille dans sa chambre, au début surprise de voir qu’il y avait plus de monde du clan du Baron en train de manger elle se rappela bien vite que c’était elle qui était complétement décalé au niveau des horaires et qu’il était l’heure habituelle pour pouvoir manger avant d’aller travailler. Sentant d’ailleurs son ventre criait famine elle prit place non loin des deux gueules cassées qui avaient hésité à partir en la voyant s’installer mais finalement s’étaient ravisées.
- Dites-moi mes mignons vous avez déjà entendu parler d’un groupe se balade dans la ville avec une armure légère et bien trop propre pour être des simples brigands ?
Instinctivement comme des frères siamois voilà qu’ils se regardaient dans les blancs des yeux alors que cela ne faisait aucun doute qu’ils connaissent très bien le groupe en question. Le premier regarda la valkyrie en laissant un petit soupir avant de retourner vers son assiette.
- Tu as le don pour t’attirer des ennuis … Ce que je peux te dire c’est qu’il vaut mieux s’écarter d’eux. Même le Baron ne veut pas en entendre parler alors prend tes distances.
- C’est qui l’elfe qui était avec eux ?
Plus un seul mot le sortait de la bouche de l’un d’entre eux, ils n’avaient pas peur, pourtant il y avait une certaine réticence à en parler pour une raison que ne comprenait pas Orifa qui voyant qu’insister n’allait rien apporter de plus, préféra finir de manger et d'aller se reposer quelques heures.
Qu’est-ce qu’ils pouvaient bien faire dans un endroit pareil avec une mentalité comme celle-ci ? Pourquoi le Marchand les avait invités à venir ? Décidément bien trop de questions et Orifa espérait que sa patience allait pouvoir répondre à certaines de celles-ci. Après avoir vérifié que la petite bande n’était pas suivie par les hommes du Marchand elle décida de les prendre en filature.
Contrairement à ce qu’elle pensait leur direction était bien le centre de la ville basse, c'était donc que leur quartier était ici mais ça ne ramenait que plus de questions. Pour éviter que l’on ne puisse la remarquer elle activa son invisibilité tout en gardant ses distances. Sans chercher à vérifier s’ils étaient suivis, ils toquèrent à la porte où une jeune elfe leur ouvrit. Cette dernière n’était pas habillée d’une armure mais plutôt d’une robe longue et fine, regardant de gauche à droite de la rue, elle s’arrêta fixement dans la direction d’Orifa, au début cette dernière pensée à une erreur ou un coup de chance mais après quelques secondes qui semblaient devenir des minutes Orifa disparut dans les ombres d’une ruelle comprenait que l’elfe avait potentiellement la capacité de la trouver avec un très bon odorat certainement. Jurant intérieurement que le vent soit du mauvais sens, elle aurait espéré pouvoir récupérer un peu plus d’information mais maintenant même l’utilisation de sa métamorphose lui posait quelques problèmes. L’elfe avait peut-être la capacité de la discerner ou alors de retrouver son odeur.
Regardant le soleil qui continuait son éternelle route pour fendre le ciel, c’était le signe qu’elle devait aller dormir de nouveau. Le groupe qu’elle visait allez certainement faire de même donc impossible de récupérer des informations pour l’heure avec en plus leur gardienne qui allait être sur ses gardes après ce qu’elle avait vu.
Cette fois elle rentrait donc bredouille dans sa chambre, au début surprise de voir qu’il y avait plus de monde du clan du Baron en train de manger elle se rappela bien vite que c’était elle qui était complétement décalé au niveau des horaires et qu’il était l’heure habituelle pour pouvoir manger avant d’aller travailler. Sentant d’ailleurs son ventre criait famine elle prit place non loin des deux gueules cassées qui avaient hésité à partir en la voyant s’installer mais finalement s’étaient ravisées.
- Dites-moi mes mignons vous avez déjà entendu parler d’un groupe se balade dans la ville avec une armure légère et bien trop propre pour être des simples brigands ?
Instinctivement comme des frères siamois voilà qu’ils se regardaient dans les blancs des yeux alors que cela ne faisait aucun doute qu’ils connaissent très bien le groupe en question. Le premier regarda la valkyrie en laissant un petit soupir avant de retourner vers son assiette.
- Tu as le don pour t’attirer des ennuis … Ce que je peux te dire c’est qu’il vaut mieux s’écarter d’eux. Même le Baron ne veut pas en entendre parler alors prend tes distances.
- C’est qui l’elfe qui était avec eux ?
Plus un seul mot le sortait de la bouche de l’un d’entre eux, ils n’avaient pas peur, pourtant il y avait une certaine réticence à en parler pour une raison que ne comprenait pas Orifa qui voyant qu’insister n’allait rien apporter de plus, préféra finir de manger et d'aller se reposer quelques heures.
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Que votre volonté soit faite
Au réveil, Orifa était déterminée à trouver des informations sur le groupe bien trop étrange et mystérieux au point de pouvoir faire craindre le groupe du Baron tout en étant invité chez le Marchand. Prenant la même tenue que la nuit précédente pendant sa filature pour se diriger directement vers la base du groupe en question. Le chemin était toujours aussi sinueux, mais il avait beaucoup moins de mendiants que ce à quoi elle aurait pu s’attendre, au début, elle pensait que c’était parce qu’on était en pleine journée et qu’ils devaient certainement être en train de chercher à récupérer de l’argent tant que le soleil était encore haut dans le ciel. Mais de là à ce que l’ensemble des miséreux du quartier décident en même temps de partir ? Impossible que ce soit normal, mais personne ne semblait surpris de ça. En se rapprochant de la planque qu’elle prenait pour cible un brouhaha commençait à se faire entendre bien plus qu’à l'accoutumé. Voilà donc où étaient tous les miséreux, dans ce qui devait certainement faire office de plate-forme de demi-cercle, ils étaient tous à genou à part en plein centre où une ligne parfaitement droite se dirigeait vers le centre du demi-cercle. Pour maintenir une certaine homogénéité dans la structure des gardes étaient postés droit comme des piquets. Il n’y avait aucun doute sur le fait qu’ils étaient tous présents hier lors de la soirée, cette fois ils semblaient être en train de protéger l’elfe qui avait une grande marmite devant elle.
Touillant par moments avant de donner une cuillère à la personne qui arrivait devant elle, c’était donc ça, ils étaient en train de nourrir les plus miséreux mais pourquoi ? Avec la quantité de nourriture qu’ils étaient en train de produire ils pourraient sans le moindre mal alimenter une garnison entière dans l’esprit étriqué de la valkyrie qui avait déjà perdu foi en l’humanité depuis bien longtemps il était impossible que des êtres normalement constitués puissent payer de leur poche pour nourrir d’autres personnes sans y gagner quelque chose … C’était incompréhensible.
Ne pouvant détourner le regard de cette procession qui semblait avoir l’habitude de cette manifestation de charité. Attendant que quelque chose se passe mal, une bagarre, un énervement, un vol un meurtre, simplement un peu d’actions mais étrangement rien ne se passa. Tout le monde repartait dans son coin avec la nourriture de manière presque machinale comme si cela devait une sorte de routine pour eux. Tout semblait en ordre alors pourquoi les gueules cassées montraient une certaine crainte vis à vis d’eux ? Ça rendait la situation simplement incompréhensible pour la valkyrie qui préféra s’éclipser alors que le groupe était en train de ranger maintenant que la procession était terminée.
Retournant à travers les rues propres vers le quartier général du Marchand ou du moins ce qui y ressemblait le plus. Visuellement il n’y avait aucune trace de ce qui avait pu se passer la veille, pas de vitre cassée ou même de personne ivre morte en train de chercher leur chemin. Sans avoir besoin d’indiquer sa présence, la porte s’ouvrait déjà devant son passage alors que la brute qu’elle avait rencontrée la nuit précédente était toujours à son poste et lui donna un parchemin.
- Tiens voilà les renseignements sur le colis à ramener. Je n’ai pas besoin de te préciser que tu dois éviter de l'endommager.
Le lieu de rendez-vous était au port de la ville dans un coin assez excentré sans trop de surprise.
- Je peux savoir ce que je dois transporter, ça me permettrait d’éviter de faire la route pour qu’on me dise par la suite que ce n'était pas le bon colis.
D’un air assez dur et surtout daidégneux il fit non de la tête en soufflant rapidement l’air de ses poumons à travers ses narines rappelant le soupire que pouvait faire un Pegasus un peu trop bougon. Une fois de plus ce n’était pas vraiment une surprise sa réponse avant même d’avoir posé la question elle se doutait parfaitement du résultat.
- J’aurais essayé au moins.
C’était le meilleur moyen de pouvoir aller visiter le port d’une certaine manière. Le lieu le plus prisé de la pégre c’était certainement pour ça que Courage était aussi malfamé ? Quand il s’agissait de faire transiter des marchandises par l'eau, tout semblait beaucoup plus facile. Moins de contrôle de la part des représentants de la république il fallait pas leur graisser la patte ça faisait gagner un temps précieux, après en contrepartie il fallait faire affaire avec des pirates mais l’eau n'était pas vraiment l’élément que préférait la valkyrie tant qu’elle pouvait éviter elle était heureuse.
Suivant le quai en suivant le plan donné par le Marchand elle se retrouva face à un bateau miteux où on se demandait même s’il avait déjà simplement pris le large une seule fois. Il était tellement arrimé qu’il n'y avait presque aucun doute que la cale devait être pleine d’eau et que ce qui le maintenait à flot c’étaient les cordes. Certainement que ça revenait trop cher de le faire sortir du port en sachant qu’il y avait 99.9999% de chance qu’il coule à pic avant que les voiles ne puissent descendre. Deux hommes qui avaient vraiment la tête de l’emploi sortir du radeau pour aller à la rencontre de la jeune femme qui pour une autre raison que la mission n’avait pas sa place ici.
Le plus petit des deux avec un cache œil à droite montra sa main comme pour pouvoir récupérer la preuve de la transaction. Présentant une carte blanche, du moins avant qu’il ne dépose ses doigts dessus clairement plein de suie. Vérifiant que c’était conforme, il fit signe à son collègue d’aller récupérer le colis et le mettre dans une charrette destinée à être poussée par une personne et non pas un animal.
- C’est une blague …
Sans plus s’intéresser à leur invitée les deux hommes étaient retourné sur leur embarcation si on pouvait seulement appeler ça comme ça. Laissant Orifa se démerder avec son colis et surtout son énervement.
- Fait chier je ne suis pas la lambine du Marchand …
Grommelant elle prit à peine le manche de la charrette qu’un bruit se fit entendre dans le colis qui après avoir bien, regardait ressemblait à la forme d’un corps humanoïde, de petite taille. Un murmure se faisait à nouveau entendre alors que cette chose, attachée dans un sac, semblait vouloir dire quelque chose ou alors simplement fuir de sa condition.
Touillant par moments avant de donner une cuillère à la personne qui arrivait devant elle, c’était donc ça, ils étaient en train de nourrir les plus miséreux mais pourquoi ? Avec la quantité de nourriture qu’ils étaient en train de produire ils pourraient sans le moindre mal alimenter une garnison entière dans l’esprit étriqué de la valkyrie qui avait déjà perdu foi en l’humanité depuis bien longtemps il était impossible que des êtres normalement constitués puissent payer de leur poche pour nourrir d’autres personnes sans y gagner quelque chose … C’était incompréhensible.
Ne pouvant détourner le regard de cette procession qui semblait avoir l’habitude de cette manifestation de charité. Attendant que quelque chose se passe mal, une bagarre, un énervement, un vol un meurtre, simplement un peu d’actions mais étrangement rien ne se passa. Tout le monde repartait dans son coin avec la nourriture de manière presque machinale comme si cela devait une sorte de routine pour eux. Tout semblait en ordre alors pourquoi les gueules cassées montraient une certaine crainte vis à vis d’eux ? Ça rendait la situation simplement incompréhensible pour la valkyrie qui préféra s’éclipser alors que le groupe était en train de ranger maintenant que la procession était terminée.
Retournant à travers les rues propres vers le quartier général du Marchand ou du moins ce qui y ressemblait le plus. Visuellement il n’y avait aucune trace de ce qui avait pu se passer la veille, pas de vitre cassée ou même de personne ivre morte en train de chercher leur chemin. Sans avoir besoin d’indiquer sa présence, la porte s’ouvrait déjà devant son passage alors que la brute qu’elle avait rencontrée la nuit précédente était toujours à son poste et lui donna un parchemin.
- Tiens voilà les renseignements sur le colis à ramener. Je n’ai pas besoin de te préciser que tu dois éviter de l'endommager.
Le lieu de rendez-vous était au port de la ville dans un coin assez excentré sans trop de surprise.
- Je peux savoir ce que je dois transporter, ça me permettrait d’éviter de faire la route pour qu’on me dise par la suite que ce n'était pas le bon colis.
D’un air assez dur et surtout daidégneux il fit non de la tête en soufflant rapidement l’air de ses poumons à travers ses narines rappelant le soupire que pouvait faire un Pegasus un peu trop bougon. Une fois de plus ce n’était pas vraiment une surprise sa réponse avant même d’avoir posé la question elle se doutait parfaitement du résultat.
- J’aurais essayé au moins.
C’était le meilleur moyen de pouvoir aller visiter le port d’une certaine manière. Le lieu le plus prisé de la pégre c’était certainement pour ça que Courage était aussi malfamé ? Quand il s’agissait de faire transiter des marchandises par l'eau, tout semblait beaucoup plus facile. Moins de contrôle de la part des représentants de la république il fallait pas leur graisser la patte ça faisait gagner un temps précieux, après en contrepartie il fallait faire affaire avec des pirates mais l’eau n'était pas vraiment l’élément que préférait la valkyrie tant qu’elle pouvait éviter elle était heureuse.
Suivant le quai en suivant le plan donné par le Marchand elle se retrouva face à un bateau miteux où on se demandait même s’il avait déjà simplement pris le large une seule fois. Il était tellement arrimé qu’il n'y avait presque aucun doute que la cale devait être pleine d’eau et que ce qui le maintenait à flot c’étaient les cordes. Certainement que ça revenait trop cher de le faire sortir du port en sachant qu’il y avait 99.9999% de chance qu’il coule à pic avant que les voiles ne puissent descendre. Deux hommes qui avaient vraiment la tête de l’emploi sortir du radeau pour aller à la rencontre de la jeune femme qui pour une autre raison que la mission n’avait pas sa place ici.
Le plus petit des deux avec un cache œil à droite montra sa main comme pour pouvoir récupérer la preuve de la transaction. Présentant une carte blanche, du moins avant qu’il ne dépose ses doigts dessus clairement plein de suie. Vérifiant que c’était conforme, il fit signe à son collègue d’aller récupérer le colis et le mettre dans une charrette destinée à être poussée par une personne et non pas un animal.
- C’est une blague …
Sans plus s’intéresser à leur invitée les deux hommes étaient retourné sur leur embarcation si on pouvait seulement appeler ça comme ça. Laissant Orifa se démerder avec son colis et surtout son énervement.
- Fait chier je ne suis pas la lambine du Marchand …
Grommelant elle prit à peine le manche de la charrette qu’un bruit se fit entendre dans le colis qui après avoir bien, regardait ressemblait à la forme d’un corps humanoïde, de petite taille. Un murmure se faisait à nouveau entendre alors que cette chose, attachée dans un sac, semblait vouloir dire quelque chose ou alors simplement fuir de sa condition.
Métamorphose P1 / Nyctalopie P1 / Séduction P1 / Ouïe Augmentée P1 / Vue augmentée P1 / Odorat augmenté P1 / Invisibilité P1 / Régénération P1 / Senseur magique P1 / Agilité et précision P2 / Prouesse d'arme P1 / Vitesse P2
Citoyen de La République
Orifa Sigrior
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Info personnage
Race: Valkyrie
Vocation: Guerrier assassin
Alignement: Loyal mauvais
Rang: C
Que votre volonté soit faite
Est-ce que l’envie de sauver cette personne qui semblait bloquée dans ce sac lui était simplement passée par la tête ? Non aucunement. Pour ce qui en était de dévoiler son visage, en couple comme en affaires, moins on en savait mieux on se portrait. Regardant autour d’elle pour vérifier qu’il n’y avait personne, son pied tombant directement sur la forme en train de bouger à plusieurs surprises pour lui faire comprendre qu’il fallait qu’il ferme de gueule rapidement tout en lui rappelant sa condition de bagage inanimé.
Le problème était maintenant de savoir si elle allait pouvoir retourner à la plaque du Marchand sans que cela ne puisse attirer le regard des gardes. Quand elle se déplace toute seule et sans bagage encombrant, ce n’est jamais vraiment un problème mais là avec cette charrette miteuse en plus savoir un sac en forme d’humain à l’arrière les choses commençaient à se corser quelque peu. Maintenant elle avait deux choix, soit elle y allait à la chance et elle espérait que le macabé vivant le bouge ou ne crie pas ce qui a peu de chances d’arriver. Soit elle trouvait un moyen de le cacher mais couvrir les bruits et les cris c’était une autre paire de manches que simplement des mouvements.
N’ayant ni l’envie ni le temps de pêcher du poisson, ni l’argent ni l'intérêt d’acheter des animaux en cage, elle préféra y aller à la chance couvrant tout de même le corps de bois en tout genre qu’elle trouvait un peu partout au niveau du quai en plus de filets de pêche de mauvaise qualité que les pêcheurs préféraient jeter en dehors de leur bateau plutôt que d’aller jusqu’à la décharge la plus proche. D’une certaine manière on ne pouvait pas vraiment leur en vouloir car ça permettait aux enfants des rues de pouvoir gagner un peu d’argent en recommandant ces filets.
Avant de partir, Orifa se présenta juste devant la masse sous le tissu et parler d’une voix cassante.
- Si tu bouges ou que tu fais le moindre bruit, sache que je te tuerais quoi qu’il arrive ça tu peux en être sûr alors que si tu restes calme tu auras peut-être la possibilité de fuir plus tard.
Sans entendre la moindre réponse, c’était là, la seule réponse qu’elle attendait en réalité. Satisfaite de cet échange fructueux, elle commença à tirer la charrette pour pouvoir faire le même chemin qu’elle avait parcouru à l'aller mais à cette fois au retour. Sans surprise elle fut arrêtée deux fois par des gardes, la première fois une certaine crainte s’était emparé de l’espionne. Cela faisait à peine quelques jours qu’elle était là et pourtant voilà qu’elle aurait besoin de tuer un garde, c’était préférable de laisser ça pour le premier ou alors le deuxième mois mais pas avant …
Pour la deuxième fouille ce fut bien plus rapide, comme elle se rapprochait du centre de la ville il y avait de fortes chances que les gardes soient corrompus et laissent passer beaucoup plus facilement. Ils s’étaient bien plus intéressés à la valkyrie bien plus qu'à ce qu’elle était en train de transporter.
En arrivant à bon port pour livrer son colis, ce fut assez étrange car pour une fois une bonne partie des gardes du Marchand étaient de sortie. Qu’est-ce que le colis pouvait avoir d’aussi important ? Elle se mordait maintenant les doigts de ne pas avoir regardé en temps et en heure … Mais pourquoi un tel cordon de sécurité ? Ils n’avaient montré aucune agressivité envers elle ce qui voulait dire qu’elle n’était pas la cible.
- Bon j’ai votre colis. Il s’est passé quelque chose pendant mon départ ? Il y a beaucoup de personnes pour votre sécurité aujourd’hui c’est suspect.
- C’est simplement qu’ils étaient heureux de pouvoir d’escorter jusqu’à moi il ne faut pas voir le mal partout enfin !
Donc il ne voulait pas répondre, voilà qui n’était pas vraiment une grande surprise après tout. Laissant la charrette à la brute, elle se rapprocha du Marchand les bras croisés en le fixant sérieusement du regard pendant la fouille de la charrette pour vérifier que tout était en ordre.
- On peut considérer l’histoire comme close c’est bon ?
- On dirait bien que oui. Je ferais à nouveau appel à toi si j’ai besoin d’une livraison, ça me plaît d’avoir quelqu’un qui est à l’heure et de confiance.
De confiance tu parles …
Le problème était maintenant de savoir si elle allait pouvoir retourner à la plaque du Marchand sans que cela ne puisse attirer le regard des gardes. Quand elle se déplace toute seule et sans bagage encombrant, ce n’est jamais vraiment un problème mais là avec cette charrette miteuse en plus savoir un sac en forme d’humain à l’arrière les choses commençaient à se corser quelque peu. Maintenant elle avait deux choix, soit elle y allait à la chance et elle espérait que le macabé vivant le bouge ou ne crie pas ce qui a peu de chances d’arriver. Soit elle trouvait un moyen de le cacher mais couvrir les bruits et les cris c’était une autre paire de manches que simplement des mouvements.
N’ayant ni l’envie ni le temps de pêcher du poisson, ni l’argent ni l'intérêt d’acheter des animaux en cage, elle préféra y aller à la chance couvrant tout de même le corps de bois en tout genre qu’elle trouvait un peu partout au niveau du quai en plus de filets de pêche de mauvaise qualité que les pêcheurs préféraient jeter en dehors de leur bateau plutôt que d’aller jusqu’à la décharge la plus proche. D’une certaine manière on ne pouvait pas vraiment leur en vouloir car ça permettait aux enfants des rues de pouvoir gagner un peu d’argent en recommandant ces filets.
Avant de partir, Orifa se présenta juste devant la masse sous le tissu et parler d’une voix cassante.
- Si tu bouges ou que tu fais le moindre bruit, sache que je te tuerais quoi qu’il arrive ça tu peux en être sûr alors que si tu restes calme tu auras peut-être la possibilité de fuir plus tard.
Sans entendre la moindre réponse, c’était là, la seule réponse qu’elle attendait en réalité. Satisfaite de cet échange fructueux, elle commença à tirer la charrette pour pouvoir faire le même chemin qu’elle avait parcouru à l'aller mais à cette fois au retour. Sans surprise elle fut arrêtée deux fois par des gardes, la première fois une certaine crainte s’était emparé de l’espionne. Cela faisait à peine quelques jours qu’elle était là et pourtant voilà qu’elle aurait besoin de tuer un garde, c’était préférable de laisser ça pour le premier ou alors le deuxième mois mais pas avant …
Pour la deuxième fouille ce fut bien plus rapide, comme elle se rapprochait du centre de la ville il y avait de fortes chances que les gardes soient corrompus et laissent passer beaucoup plus facilement. Ils s’étaient bien plus intéressés à la valkyrie bien plus qu'à ce qu’elle était en train de transporter.
En arrivant à bon port pour livrer son colis, ce fut assez étrange car pour une fois une bonne partie des gardes du Marchand étaient de sortie. Qu’est-ce que le colis pouvait avoir d’aussi important ? Elle se mordait maintenant les doigts de ne pas avoir regardé en temps et en heure … Mais pourquoi un tel cordon de sécurité ? Ils n’avaient montré aucune agressivité envers elle ce qui voulait dire qu’elle n’était pas la cible.
- Bon j’ai votre colis. Il s’est passé quelque chose pendant mon départ ? Il y a beaucoup de personnes pour votre sécurité aujourd’hui c’est suspect.
- C’est simplement qu’ils étaient heureux de pouvoir d’escorter jusqu’à moi il ne faut pas voir le mal partout enfin !
Donc il ne voulait pas répondre, voilà qui n’était pas vraiment une grande surprise après tout. Laissant la charrette à la brute, elle se rapprocha du Marchand les bras croisés en le fixant sérieusement du regard pendant la fouille de la charrette pour vérifier que tout était en ordre.
- On peut considérer l’histoire comme close c’est bon ?
- On dirait bien que oui. Je ferais à nouveau appel à toi si j’ai besoin d’une livraison, ça me plaît d’avoir quelqu’un qui est à l’heure et de confiance.
De confiance tu parles …
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Orifa Sigrior
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Que votre volonté soit faite
Alors qu’elle déambulait dans les ruelles, Orifa n’était pas fatiguée physiquement mais plutôt mentalement. Au début elle pensait que ça allait être rapide et facile de pouvoir se faire un nom dans cette masse, tuer tout ceux qui étaient contre elle, ça pouvait être un super plant pourtant elle s’était rapidement ravisée après avoir rencontré différents chefs de clans. D’un certain sens son entrée était plus que fracassante, personne ne pouvait se vanter d’avoir pu rencontrer les deux premiers jours le Baron et le Marchand. Pourtant pour une raison qu’elle ignorait complètement la ville semblait tourner à l’envers comme si le monde était malade. À première vue c'était tout à fait normal pour la pègre non ? Fermant les yeux en déposant son dos contre le mur d’une ruelle, un coup de froid commença à se faire ressentir comme si une tempête était sur le point de se préparer. Un long frisson lui parcourut le dos entraînant le haut de son corps à descendre lentement sur le sol, attrapant ses jambes avec ses bras tout en déposant son front contre ses genoux.
Une habitude qu’elle avait prise il y a déjà bien longtemps alors qu’elle était encore une véritable valkyrie crainte et respectée. Parfois il lui fallait prendre un peu de temps pour se concentrer comme pour se mettre dans sa bulle, en général c’était quand elle venait de tuer ou alors de torturer une personne. Pour certains, c’était un signe de faiblesse et pourtant pour Orifa c’était comme pour se rappeler qu’elle était toujours la même personne qu’au fond d’elle, il y avait toujours cette femme qui ne voulait que le bien de ceux autour d’elle. Sentant les frissons devenir de plus en plus fort, son corps se serra jusqu’à ressentir une main se déposer sur son épaule suivit rapidement d’une voix qu’elle avait déjà entendu il y a peu.
- Madame ? Tout va bien ?
Relevant la tête, elle se retrouva nez à nez avec un visage à premier vu nez à nez et une armure légère. Se relevant rapidement tout en acceptant sa proposition d’aide que représentait sa main tendue.
- Oui parfaitement bien je ressentais simplement un petit coup de froid mais ça devait certainement être la fatigue d’hier.
Poser directement une question sur la raison de sa demande d'esquiver au maximum le Marchand, pourrait clairement être mal vu et mal venu donc Orifa préféra garder un sourire dans la direction de sa cible avant de lui demander.
- Je me rends compte que je vous ai donné mon prénom hier mais je ne vous ai pas demandé le vôtre. Est-ce qu’il serait possible d’oublier mon erreur et de la corriger en ce jour ?
Voilà une technique redoutable pour se sortir d’une mauvaise passe où on veut demander le prénom d’une personne sans qu’elle ne nous demande le nôtre. Ça ne fonctionnait pas avec tout le monde mais avec un homme qui à première vue était bien trop gentil et courtois pour être dans la ville basse. Le doute n’était pas permis sur le fait qu’il allait lui demander son prénom se disant certainement qu’il avait oublié et que c’était une grosse erreur de sa part.
- Ce n’est rien je vous assure, la soirée était assez mouvementée, je m’appelle Victor
Un prénom qui lui allait décidément beaucoup trop bien, en général on utilisait des surnoms dans la ville basse, un moyen comme un autre d’éviter de donner son prénom. La deuxième utilité était également de pouvoir savoir à quoi s’attendre de la personne en face rien qu’en entendant son nom. C’était également une sorte de marque de noblesse que peu de personne pouvaient se vanter, un surnom n’était pas quelque chose qu’on se trouvait pour soit même c’étaient plutôt les autres qui le trouvaient pour nous.
- Dites-moi, sans vouloir vous blesser mais vous n’avez pas vraiment la tête de quelqu’un qui passe sa vie dans la basse ville, je vous aurais plutôt vu dans une famille noble. Comment cela fait-il que vous soyez ici ?
Au début intrigué puis gêné et finalement il commença enfin à parler.
- C’est compliqué, mais si je suis ici c’est pour aider les autres, c’est pour ça que mon groupe et moi-même sommes venus ici. Je pourrais te poser également la même question tu ne sembles pas être aussi taré que la plupart des habitants d’ici … Ne voudrais-tu pas nous rejoindre ? Ou au moins voir ce que l’on fait pour rendre le monde meilleur ?
- Je n’ai rien de prévu donc oui pourquoi pas je peux venir voir ce que vous faites.
Elle n’avait rien à y perdre et par contre elle avait tout à y gagner.
Une habitude qu’elle avait prise il y a déjà bien longtemps alors qu’elle était encore une véritable valkyrie crainte et respectée. Parfois il lui fallait prendre un peu de temps pour se concentrer comme pour se mettre dans sa bulle, en général c’était quand elle venait de tuer ou alors de torturer une personne. Pour certains, c’était un signe de faiblesse et pourtant pour Orifa c’était comme pour se rappeler qu’elle était toujours la même personne qu’au fond d’elle, il y avait toujours cette femme qui ne voulait que le bien de ceux autour d’elle. Sentant les frissons devenir de plus en plus fort, son corps se serra jusqu’à ressentir une main se déposer sur son épaule suivit rapidement d’une voix qu’elle avait déjà entendu il y a peu.
- Madame ? Tout va bien ?
Relevant la tête, elle se retrouva nez à nez avec un visage à premier vu nez à nez et une armure légère. Se relevant rapidement tout en acceptant sa proposition d’aide que représentait sa main tendue.
- Oui parfaitement bien je ressentais simplement un petit coup de froid mais ça devait certainement être la fatigue d’hier.
Poser directement une question sur la raison de sa demande d'esquiver au maximum le Marchand, pourrait clairement être mal vu et mal venu donc Orifa préféra garder un sourire dans la direction de sa cible avant de lui demander.
- Je me rends compte que je vous ai donné mon prénom hier mais je ne vous ai pas demandé le vôtre. Est-ce qu’il serait possible d’oublier mon erreur et de la corriger en ce jour ?
Voilà une technique redoutable pour se sortir d’une mauvaise passe où on veut demander le prénom d’une personne sans qu’elle ne nous demande le nôtre. Ça ne fonctionnait pas avec tout le monde mais avec un homme qui à première vue était bien trop gentil et courtois pour être dans la ville basse. Le doute n’était pas permis sur le fait qu’il allait lui demander son prénom se disant certainement qu’il avait oublié et que c’était une grosse erreur de sa part.
- Ce n’est rien je vous assure, la soirée était assez mouvementée, je m’appelle Victor
Un prénom qui lui allait décidément beaucoup trop bien, en général on utilisait des surnoms dans la ville basse, un moyen comme un autre d’éviter de donner son prénom. La deuxième utilité était également de pouvoir savoir à quoi s’attendre de la personne en face rien qu’en entendant son nom. C’était également une sorte de marque de noblesse que peu de personne pouvaient se vanter, un surnom n’était pas quelque chose qu’on se trouvait pour soit même c’étaient plutôt les autres qui le trouvaient pour nous.
- Dites-moi, sans vouloir vous blesser mais vous n’avez pas vraiment la tête de quelqu’un qui passe sa vie dans la basse ville, je vous aurais plutôt vu dans une famille noble. Comment cela fait-il que vous soyez ici ?
Au début intrigué puis gêné et finalement il commença enfin à parler.
- C’est compliqué, mais si je suis ici c’est pour aider les autres, c’est pour ça que mon groupe et moi-même sommes venus ici. Je pourrais te poser également la même question tu ne sembles pas être aussi taré que la plupart des habitants d’ici … Ne voudrais-tu pas nous rejoindre ? Ou au moins voir ce que l’on fait pour rendre le monde meilleur ?
- Je n’ai rien de prévu donc oui pourquoi pas je peux venir voir ce que vous faites.
Elle n’avait rien à y perdre et par contre elle avait tout à y gagner.
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Que votre volonté soit faite
Restant sur ses gardes elle avait tout de même suivi le prénommé Victor, l’homme ne semblait pas méchant au premier abord mais c’était pareil pour tous les hommes … Par contre une fois qu’il est possible pour eux de renverser la situation jamais ils ne s’en privent très clairement est ce que c’était son sang de valkyrie qui était en train de parler ou alors l’expérience ? Certainement un mélange des deux malheureusement. Pourtant pour une obscure raison elle se sentait en sécurité du moins pas en danger c’était déjà assez rare pour pouvoir le souligner. Avec son sens de l’orientation, Orifa était capable de comprendre assez rapidement qu’ils étaient en train de se déplacer en direction de la place ou où y avait eu la procession de la dernière fois pour pouvoir donner à manger. Victor était en train de lui parler mais sans vraiment chercher à comprendre ce qu’il était en train de dire elle faisait simplement oui de la tête comme pour lui donner l’impression qu’elle l’avait écouté, cela pouvait être compris comme de la méchanceté pure et c’était très certainement le cas.
Alors qu’elle pensait ne jamais pouvoir rentrer dans le QG du groupe, voilà que Victor la fait entrer sans se poser la moindre question par la porte arrière. Les gens souriaient au passage du duo, c’était surtout grâce à l’homme en arme qui semblait attirer la sympathie de tout le monde, régulièrement certains le saluaient avec révérence qu’est ce que ça devait être quand l’elfe passait ?
- Victor pourquoi tout le monde est si .. Content de te voir ?
- C’est plutôt du respect car avant que nous n'arrivions, ici c’était comme dans le reste de la ville, dépravation et débauche maintenant regarde c’est l’endroit le plus sûr de la ville basse.
C’était impossible de le contredire là-dessus, mais la valkyrie continuait de se souvenir de ce qu’on lui avait dit dans l’auberge, pourquoi les gueules cassées avaient bien pu lui conseiller de ne pas se rapprocher d’eux ? Mettant ça de côté pour l’instant préférant suivre Victor dans la présentation de la base.
- D’ailleurs comment s'appelle votre chef ? J’imagine qu’elle doit avoir un surnom ?
- Avec les autres on l'appelle la sainte mais, elle n’aime pas vraiment ça, je te laisserais lui demander si un jour tu la rencontres.
Autour d’elle, beaucoup étaient en train de faire du travail manuel, tressant, brodant, cuisinant, mais surtout en portant un sourire quelque chose d'impensable encore une fois mais au bout de quelques heures, Orifa commençait à croire en ce lieu. En général tout le monde avait quelque chose à cacher mais plus elle cherchait et moins elle trouvait de preuve de quoi que ce soit.
Le bâtiment était dans une forme carrée sur 3 étages, le premier étage était surtout destiné pour la distribution de nourriture, le stockage et le travail en général. Le deuxième étage semblait plutôt prévu pour la résidence des gardes comme Victor, chacun avait une chambre assez grande pour normalement contenir 4 personnes. On pouvait également y trouver une infirmerie ainsi qu’une cuisine et un réfectoire, le troisième étage par contre était interdit et réservé à l’elfe, au vu de son importance ici, ce n’était pas vraiment surprenant. Au centre il y avait une grande cours verdoyante pleine de vie et Victor était heureux de présenter un groupe d'enfants qui arrivait en courant vers eux.
- Voilà ce pourquoi nous nous battons tous les jours, c’étaient des enfants des rues que nous avons recueilli et élevé, c'est la classe A.
Le groupe était composé de 12 petites têtes se rapprochant de la valkyrie pour pouvoir lui poser tellement de questions qu’il était simplement impossible de pouvoir y répondre correctement et surtout de pouvoir se souvenir d’une seule d’entre elles. Ce fut un claquement de main qui stoppa les petits monstres qui se retournèrent directement vers l’elfe en train de les regarder de loin
Alors qu’elle pensait ne jamais pouvoir rentrer dans le QG du groupe, voilà que Victor la fait entrer sans se poser la moindre question par la porte arrière. Les gens souriaient au passage du duo, c’était surtout grâce à l’homme en arme qui semblait attirer la sympathie de tout le monde, régulièrement certains le saluaient avec révérence qu’est ce que ça devait être quand l’elfe passait ?
- Victor pourquoi tout le monde est si .. Content de te voir ?
- C’est plutôt du respect car avant que nous n'arrivions, ici c’était comme dans le reste de la ville, dépravation et débauche maintenant regarde c’est l’endroit le plus sûr de la ville basse.
C’était impossible de le contredire là-dessus, mais la valkyrie continuait de se souvenir de ce qu’on lui avait dit dans l’auberge, pourquoi les gueules cassées avaient bien pu lui conseiller de ne pas se rapprocher d’eux ? Mettant ça de côté pour l’instant préférant suivre Victor dans la présentation de la base.
- D’ailleurs comment s'appelle votre chef ? J’imagine qu’elle doit avoir un surnom ?
- Avec les autres on l'appelle la sainte mais, elle n’aime pas vraiment ça, je te laisserais lui demander si un jour tu la rencontres.
Autour d’elle, beaucoup étaient en train de faire du travail manuel, tressant, brodant, cuisinant, mais surtout en portant un sourire quelque chose d'impensable encore une fois mais au bout de quelques heures, Orifa commençait à croire en ce lieu. En général tout le monde avait quelque chose à cacher mais plus elle cherchait et moins elle trouvait de preuve de quoi que ce soit.
Le bâtiment était dans une forme carrée sur 3 étages, le premier étage était surtout destiné pour la distribution de nourriture, le stockage et le travail en général. Le deuxième étage semblait plutôt prévu pour la résidence des gardes comme Victor, chacun avait une chambre assez grande pour normalement contenir 4 personnes. On pouvait également y trouver une infirmerie ainsi qu’une cuisine et un réfectoire, le troisième étage par contre était interdit et réservé à l’elfe, au vu de son importance ici, ce n’était pas vraiment surprenant. Au centre il y avait une grande cours verdoyante pleine de vie et Victor était heureux de présenter un groupe d'enfants qui arrivait en courant vers eux.
- Voilà ce pourquoi nous nous battons tous les jours, c’étaient des enfants des rues que nous avons recueilli et élevé, c'est la classe A.
Le groupe était composé de 12 petites têtes se rapprochant de la valkyrie pour pouvoir lui poser tellement de questions qu’il était simplement impossible de pouvoir y répondre correctement et surtout de pouvoir se souvenir d’une seule d’entre elles. Ce fut un claquement de main qui stoppa les petits monstres qui se retournèrent directement vers l’elfe en train de les regarder de loin
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