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    Invité
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  • Lun 5 Sep - 21:08
    Certaines personnes pensent que tout leur est permis. Car ils possèdent le pouvoir, la richesse, la force, jusqu’à en ressentir un sentiment d’impunité vis-à-vis d’une loi qui n’arrive même plus à les atteindre. Ou, plus prosaïquement, car leur victime n’est qu’un rebus que la société ignore, un désœuvré dont on peut faire son jouet sans que personne ne s’en soucie, un orphelin des rues sans famille pour pleurer sa disparition si jamais on devait « l’éliminer » pour dissimuler la noirceur de son âme.

    Je le sais d’autant mieux que j’ai été la victime de telles êtres, subissant brimades, violence, viols, endurant les déviances malsaines de pervers ignobles sans que personne ne vienne jamais à mon secours. Jusqu’à ce que je dise « non », que je m’élève au-dessus de la masse grouillante des démunis et que ceux qui se croient prédateurs deviennent mes proies.

    Mes petits moineaux sont venus chuchoter à mes oreilles. Ils m’ont parlé d’un homme, un reikois d’origine, un étranger qui se sentait suffisamment intouchable pour extraire de la rue des gamins abandonnés et en faire ses esclaves. Je vous passerai les détails sordides de ce qu’il leur demandait de faire, la seule chose que vous devez savoir c’est que maintenant il est entre mes griffes. Et que sa vie est en sursis.

    Il devrait d’ailleurs déjà être mort à l’heure où je vous parle, mais un homme au bras suffisamment long a insisté pour négocier sa libération, un étranger, un reikois tout comme lui. J’ai accepté à contrecœur de lui offrir une entrevue, n’étant pas encore assez puissante pour passer outre « l’insistance » de certains de mes confrères. Je suis donc passé par un homme de paille pour organiser une rencontre en terrain « neutre » avec ce fameux Tagar Reys…

    ******************

    Le lieu est… spécial pour une rencontre informelle, un abattoir dont la façade officielle dissimule des activités bien moins reluisantes.

    L’homme approche, accompagné d’une dizaine de mercenaires ce qui démontre qu’il est plutôt prévoyant. A vrai dire je n’ai rien contre lui et je ne suis pas du genre à éliminer quelqu’un juste pour le plaisir.

    - Hey l’étranger !

    Un mendiant allongé sur le sol se redresse à demi, offrant un sourire édenté au contrôleur impérial.

    - Z’auriez pas une p’tite pièce ?

    Il empeste la crasse et l’urine, faisant partie de cette horde invisible de parias qui traînent dans toutes les grandes cités de ce monde.

    Il tend sa main en ajoutant.

    - C’pour votre ami Charlie.

    Charlie, ma proie, l’homme qu’il veut extraire de mes griffes. Le sourire du mendiant s’élargit alors qu’il tend encore plus ostensiblement sa main décharnée.

    - Une p’tite pièce et j’vous mène à elle monseigneur. Mais elle veut vous voir seul à seul.

    Du respect dans sa voix lorsqu’il évoque mon existence car je suis l’unique personne qui le voit autrement que comme une créature inutile et embarrassante. Lui offrant un rôle. Me servir.

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    Invité
    Invité
    Anonymous
  • Mer 7 Sep - 21:17
    Le mendiant s’empare des deux pièces avec une vivacité redoutable avant de les faire disparaître aussi sec quelque part dans son manteau troué et tâché. Un vrai prestidigitateur en herbe…

    Il regarde étrangement d’un œil torve le contrôleur impérial qui lui expose ses conditions ne réagissant qu’à travers ce qui ressemble à un bref haussement d’épaules sous ses hayons dégoûtants. Il sourit alors révélant des chicots noircis qui doivent lui donner une haleine à réveiller un mort.

    - Si m’seigneur veut bien m’suivre.

    Il s’engage alors dans le dédale de bâtiments, claudiquant gauchement, les ouvriers s’écartant sur son passage, sûrement pour ne pas avoir à sentir les effluves pestilentiels que dégagent le pauvre hère. Ce qui est sur cependant, c’est que les regards se font de plus en plus suspicieux à mesure que le petit groupe avance dans des zones visiblement consacrées à autre chose qu’à l’abattage d’animaux. Etrangement, à cet endroit, les « ouvriers » sont armés jusqu’aux dents.

    Le mendiant s’engage sur une rampe qui descend sous le niveau du sol, laissant entrevoir l’existence d’un réseau souterrain. Il progresse dans une pénombre relative, quelques torches vacillantes éclairant le chemin. Une odeur de moisi et d’humidité prend à la gorge et le fumet ignoble du mendiant n’est plus couverte par celle de la viande. Il s’arrête brusquement devant une lourde porte de bois d’aspect fort banal et se tourne vers le contrôleur, susurrant entre ses lèvres gercées.

    - Elle vous attend m’seigneur, mais f’dra entrer seul et sans vot’cure-dent.

    Son index désigne l’épée pendant aux côtés du contrôleur.

    - Dans l’intérêt d’votre ami Charlie.

    ***************

    J’attends patiemment que mon invité daigne entrer. La pièce est assez petite, derrière moi un tunnel s’enfonce dans une obscurité qui pourrait dissimuler n’importe quoi. L’atmosphère est lourde, moite, un brasier intense brûlant dans une cheminée de fortune pour se mêler désagréablement à l’humidité ambiante créée par des infiltrations d’eau dans les murs. L’endroit est clairement insalubre, pourtant cela n’a pas l’air de me déranger. Mon corps est incapable de se réguler thermiquement, je ne sue pas et je me sens juste bien dans cette atmosphère moite et tropicale.

    Je suis assise dans un fauteuil de bois qui a trop vécu et au confort inexistant. Je porte une longue robe qui laisse mes bras nus. Des bras terminés par des mains griffues et couverts d’écailles verdâtres jusqu’aux coudes qui reflètent la lueur des flammes dans un arc-en-ciel de bruns. Mais ce qui marque au premier regard ce sont ces tentacules semblables à des queues de serpent qui ornent ma tête et s’animent parfois paresseusement. Ça et mes yeux jaunes fendus de noir et qui ne clignent jamais car dénués de paupières.

    Un serpent aux écailles vertes s’enroule autour de mes épaules et je lui gratte négligemment la tête qui repose sur mes cuisses en me demandant ce que veut vraiment cet homme.

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    Invité
    Invité
    Anonymous
  • Mer 21 Sep - 20:55
    Est-ce que je profite de l’environnement chaud et humide pour mettre mon interlocuteur mal à l’aise ? Peut-être, mais c’est surtout que j’aime quand l’atmosphère est moite, lourde. Alors si cela peut en plus me donner un avantage…

    Pourtant l’homme en face de moi semble confiant et sûr de lui, aucunement déstabilisé par la situation et mon apparence. Cela peut vous paraître étrange, mais c’est rarement le cas, la vision des tentacules s’agitant sur ma tête provoque la plupart du temps du dégoût et de la peur qui se traduisent souvent par un mouvement de recul plus ou moins perceptible. Mais pas avec lui.

    Il ne semble pas bien dangereux au premier abord, mais j’ai appris à ne pas me fier à une première idée. Ce monde est fait de tant de surprise, moi la première.

    - Je suis enchanté de faire votre connaissance. Je suis Tagar Reys, un ancien collègue de Charlie.

    Une légère contraction des muscles lorsqu’il évoque le dénommé Charlie. Le serpent dont la tête repose sur mes cuisses le sent, et il siffle en direction de l’étranger. Certains « confrères » ont lourdement insisté pour que je rencontre cet homme et je ne suis pas assez puissante encore pour ne pas suivre leurs recommandations même si je me serai bien passé de cette entrevue. Mais il faut croire que ce Tagar a suffisamment de pouvoir dans le Reike pour que même la pègre s’inquiète quand il demande quelque chose. Ennuyeux.

    - Puis-je enlever ma veste ?

    Je ne réponds pas, et j’imagine qu’il interprète cela comme un assentiment puisqu’il se débarrasse de sa veste. Je me contente de l’observer de mon regard jaune qui ne cille jamais car je n’ai pas de paupières.

    - Cet endroit est... intéressant.

    Tentative d’engager la conversation alors que je n’en ai juste pas envie. Mais parfois il faut faire contre mauvaise fortune bon cœur. Je me lève lentement, déployant ma haute silhouette filiforme. Le serpent enroulé autour de moi n’apprécie guère que je ne lui gratte plus la tête, mais je le pose avec précaution sur le fauteuil en lui susurrant quelques mots inintelligibles. Je m’approche de quelques pas, ma voix sifflante et basse s’élevant enfin.

    - Quesssque vous voulez exssactement ?

    Autant aller directement droit au but, je n’ai jamais aimé tourner autour du pot…

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    Invité
    Invité
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  • Sam 15 Oct - 19:15
    Un ancien collègue de ce Charlie, ce qui signifie qu'il le connait. Mauvaise pioche, cela ne fait qu'attiser ma colère et les tentacules sur ma tête me trahissent, s'agitant frénétiquement en réaction. Je devrai le tuer lui aussi, le réduire à l''état de statue vivante même s'il n'a peut-être rien fait lui-même. Mais il connaît cet homme et cela est suffisant pour moi en cet instant.

    Cependant je dois me contrôler, refouler ma colère, car on m'a bien fait comprendre qu'il n'était dans l'intérêt de personne qu'il meure. Je ne sais pas qui est cet homme exactement, à part qu’il vient du Reike, mais il est assez puissant pour étendre son influence jusque dans la pègre dans la République. Dans d’autres circonstances, j’aurai surement souhaité en savoir plus à son sujet, mais c’est ce qu’a fait ce Charlie qui occupe toutes mes pensées depuis que je l’ai capturé.

    Le sifflement qui s'échappe d'entre mes lèvres trahit ma frustration.

    - SSsss... Il n'y a rien à négosssier.

    Je m'approche encore plus, mes yeux jaunes rivés sur lui. Les tentacules sur ma tête se tendent vers lui, comme s'ils voulaient le toucher. Mais ils ne font que s'agiter devant son visage.

    - Il mérite de mourir pour ssse qu'il a fait.

    Un index griffu vient se poser sur sa poitrine.

    - Vous les riches et les puisssssants, vous pensssez que nous ssssommes à votre ssservice. Que vous pouvez faire de nous sssse que bon vous ssssemble.

    Un sifflement plus fort franchit mes lèvres.

    - Mais ssss’est terminé. Car je ssssuis là et il va payer pour sssses crimes.

    Je recule brusquement, joignant mes mains sur mon ventre.

    - Vous sssavez où est la sssortie.

    Finalement les choses se sont plutôt bien passées. J’ai fait ce que l’on attendait de moi. J’ai reçu cet homme et j’ai écouté sa requête.

    C’est normalement à ce moment que l’histoire se termine…

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    Invité
    Invité
    Anonymous
  • Sam 5 Nov - 22:32
    Je hoquette de surprise, mon regard s’écarquillant à mesure que l’homme parle évoquant une… histoire d’amour entre moi et un homme.

    Mes traits se durcissent instantanément, mais surtout les tentacules sur ma tête s’agitent furieusement, signe de la colère qui s’est emparée de moi. Il ne sait pas de quoi il parle, il ne sait pas ce que j’ai dû vivre et subir. Qu’il puisse imaginer que j’accepte qu’un homme puisse me toucher me révulse plus que tout. Ma voix se fait sifflante et menaçante.

    - SSSsss. Qu’avez-vous dit ?

    J’approche et mes yeux commencent à se parer d’or.

    - Je hais ssset homme pour une tout autre raison.

    Pourtant j’arrive à contenir ma colère au dernier moment. Un rire sinistre et sifflant s’échappe alors d’entre mes lèvres fines.

    - SSssais tu ssse qu’il aime.

    Je suis si proche, tournant autour de lui de cette démarche ondulante et si caractéristique.

    - SSssse qu’il aime vraiment.

    Les tentacules sur ma tête qui s’agitent de nouveau.

    - Etes-vous aveugle, ou êtes-vous comme lui ?

    Je m’arrête devant lui, plantant mon regard jaune fendu de noir dans le sien. Ma voix se fait brusquement souffrance.

    - Il aime les enfants.

    Une intense douleur dans mon regard.

    - Plus ils sssont jeunes et plus il aime sssa. Il les attire dans sssa demeure en leur promettant monts et merveilles avant d’abuser d’eux jusqu’à détruire leur innocence.

    Ma voix, dure et sifflante.

    - Que fait-on aux violeurs d’enfants chez vous ? Ou peut-être que vous en êtes un aussssi. Comme lui. SSssss.

    Un brusque pas de recul.

    - Il va mourir pour ssse qu’il a fait. Il ne mérite plus de vivre.

    Ma main qui s’agite dans sa direction.

    - Vous pouvez rentrer chez vous et dire que la Gorgone l’a tué.

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    Invité
    Invité
    Anonymous
  • Mar 8 Nov - 21:29
    Cet homme est vraiment… surprenant ! Il semble faire preuve d’une empathie sincère pour son prochain et les accusations que je viens d’exposer à l’encontre de son collègue semble le secouer alors qu’il s’affale sur une chaise. Apparemment cela semble le dégoûter tout autant que moi, sauf s’il joue très bien la comédie.

    Pourtant je n’en ai pas l’impression, il semble habité d’une forme de naïveté sincère qui dénote une incapacité naturelle à mentir. En tout cas les reikois n’ont aucune indulgence envers les violeurs d’enfants, ce qui me satisfait pleinement.

    Il m’expose sa requête et je ne lui réponds pas tout de suite, semblant réfléchir aux implications d’une telle demande. Je récupère le serpent lové sur ma chaise, le laissant s’enrouler autour de mon bras ce qui semble pleinement le satisfaire. Mon regard jaune se pose alors de nouveau sur l’homme, il semble déterminé à obtenir ce qu’il demande, un autre trait flagrant de son caractère. Le genre de personne à ne pas abandonner. Quant à sa parole, je ne sais pas pourquoi mais j’ai la conviction que c’est un homme pour qui l’honneur n’est pas un vain mot.

    Un soupir soulève ma poitrine, suivi d’un long sifflement.

    - Ssssuivez-moi.

    J’écarte le rideau de la petite pièce à l’arrière. Un escalier en colimaçon descend dans les profondeurs, dans les sous-sols de tentaculaires de cette ville. Une fraîcheur soudaine nous enveloppe, d’autant plus piquante que nous quittons la chaude moiteur du haut. Je ne perçois pas vraiment directement le froid ou le chaud, mon corps étant incapable de se réguler thermiquement comme tous les reptiles. Mais le froid a un effet pervers sur moi, affectant mes fonctions vitales qui se ralentissent alors que mes membres s’engourdissent. Ma démarche se fait beaucoup moins fluide, tandis que le serpent à mon bras plonge dans la torpeur.

    Nous suivons un long couloir avant de déboucher dans une cave. Un homme est attaché au plafond, vêtu de simples sous-vêtements, ses pieds touchant à peine le sol. Il semble mal en point, même si aucune trace de blessure n’est visible sur sa peau. Sur le sol de la pièce, plusieurs dizaines de serpents somnolent eux-aussi, engourdis par le froid, et de grands braséros éteints occupent les quatre coins de la pièce.

    L’homme relève douloureusement la tête. Une peur indicible s’inscrit dans son regard lorsqu’il me voit, mais c’est un brusque espoir qui la remplace lorsqu’il aperçoit le contrôleur impérial, comme s’il venait de voir en lui son sauveur.

    Je m’empare sans ménagement de son menton d’une main griffue, les tentacules sur ma tête venant caresser son visage tout en s’emmêlant dans ses cheveux alors qu’il tente vainement de s’y soustraire.

    - SSssss. Il veut sssavoir ssse que tu as fait.

    Je le libère et m’écarte lâchant à l’intention de Tagar.

    - Vous pouvez lui parler.

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    Invité
    Invité
    Anonymous
  • Sam 19 Nov - 22:08
    Mes poings se serrent et mes yeux se plissent quand l’homme nous sert une histoire tant et trop entendu. Il fait partie de ces puissants qui pensent que leur position leur donne des droits même sur les autres, et que leur argent peut tout acheter. Même le silence et la rédemption.

    Je dois avouer que la réponse du reikois me surprend par son jugement sans équivoque envers son compatriote. Il semblerait qu’il partage avec moi certaines valeurs que nos positions respectives sur le grand échiquier de la vie semblent pourtant incompatibles. Mais il ne transige pas avec certaines choses, comme moi. A croire que ma première impression était fausse…

    Mon regard se pose sur le sac qu’il jette sur le sol. Apparemment c’était la rançon rondelette allouée au sauvetage de Charlie.

    - Vous avez ma parole. Ssset argent ira aux victimes et à leurs familles.

    Je m’approche ensuite de l’homme qui commence à crier après la stupeur du refus de Tagar de le sauver. Je m’empare fermement de son menton entre mes griffes plantant mon regard jaune dans le sien. Je peux lire la panique dans ses yeux alors que toute sa belle assurance s’est envolée. Ma voix est encore plus sifflante et sinistre qu’à l’habitude.

    - Je vais faire allumer les braseros, la température va monter lentement et mes bébés sssortiront de leur torpeur. Ils viendront alors te mordre, plusieurs fois, mais la douleur de leurs crocs dans ta chair ne sssera rien en comparaison de ssselle que tu vas ressssentir lorsssque le venin va te brûler les veines.

    Un sourire mauvais s’inscrit alors sur mes lèvres.

    - Tu auras jussste le temps de te repentir pour tes actes avant que ton cœur ne sss’arrête. Sssi tu n’étouffes pas avant.

    Une mort ignoble et cruelle, mais je ne sais même pas si elle l’est assez pour un être tel que lui.

    Il hurle alors, suppliant, moi, le reikois, les divins, les titans, promettant monts et merveilles si nous le libérons. Ma langue claque contre mon palais, agacée, et mes yeux se parent soudainement d’or. L’homme se fige alors, sa peau prenant une étrange teinte grisâtre tandis qu’il devient une statue encore vivante.

    Je le lâche en soupirant avant de prendre le chemin de la sortie, raccompagnant mon visiteur à l’entrée. Je m’adresse à lui avant qu’il ne parte.

    - Je vous avais mal jugé.

    A croire qu’il existe encore des hommes puissants dont le but n’est pas d’écraser les faibles…

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