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Invité
Invité
Elle était brusque, maladroite et ne savait controler sa propre force physique. Elle ne la connaissait pas, était loin de s’imaginer ses capacités. Elle fut la première surprise de ce genre d’incident, c’était gênant. Elle se sentait impolie, grossière. Elle avait réagit au quart de tour, prit les devants. Elle voulait le rembourser, c’était normal, la meilleure et seule chose à faire. Elle aurait tant voulu une réponse positive de sa part, ça lui aurait évité cette culpabilité en elle. Ce sentiment la rongea, la mit dans une mauvaise position or il avait refusé avec un argument à dormir debout. Son invité n’était pas à l aise, n’osait plus rien faire, plus rien dire.
Elle avait remis ses vieux vêtements en contradiction avec son corps tout beau, tout beau tout propre.L’enfant de la nature avait une manie de garder les mêmes fringues, se changeait peu de fois par semaine voir par mois. A force, elle les usait, les salissait dont l’odeur arrivait parfois à lui piquer le nez. Elle irait les laver demain ou dans le week end, suivant son temps libre.
Un refus,
une invitation à sa table.
Amicalement.
Une reconnaissance naquit dans l’esprit de la princesse de la nature, son hôte était une personne très noble dans sa façon d’être, ses pensées. Il savait l'amadouer, la mettre en confiance or une partie d’elle restait un peu sur la méfiance. Elle ressentait une petite crainte, gardait un doute sur ses réelles intentions. Shalimar était une belle femme, son charme naturel ne laissait pas certains mâles indifférents et eut peur d’avoir créé un petit beguin chez cet homme à la chevelure de feu. Elle n aimerait pas finir sa petite soirée agréable en baston à cause d’une drague lourde, désirait plus le remercier d’une autre manière.
“ Euh… Merci.. Manger”
Elle avait prise une chaise, l’avait tiré vers elle, s’installa à la table en face de son interlocuteur. Elle tenait à préserver une distance entre eux, avoir de la place pour manger. Elle allait pouvoir manger, reprendre ses forces, se régaler avait elle cru avant de voir le menu: Une viande blanche avec des légumes bien préparer.
“ euh.. d’accord”
La princesse de la nature était invité, avait déjà provoqué une boulette, elle n’allait pas la fine bouche au niveau du repas. Ca saurait mal venue de sa part, elle allait se faire jeter dehors avec un tel comportement. Elle se tue, le remercia et commença à manger. C’était bien préparé, les aliments avaient un très bon goût mais elle avait du mal. Shalimar mangeait souvent de la viande froide, cru et bien saignante avec des fruits, son régime alimentaire propre à elle, à sa vie dans la nature sauvage. La belle Shalimar se forçait la main, mangea à son rythme. Le poulet passait mais les légumes cuits de la sorte, elle avait vraiment du mal, ça ne passait pas. Elle en mangea deux ou trois petites portions, reposa sa fourchette dans son assiette.
“ J’aide les gens, je les soigne.. Je”
L’enfant de la nature s’arrêta en court de route, fit les gros yeux, les riva vers l’une des fenêtres de la pièce. C’était déjà l’aube, le matin, le soleil était entrain de se lever. Shalimar avait une fois de plus perdu la notion du temps, fut surprise d’être en début de journée. Cela voulait aussi dire une belle fatigue dans les prochaines heures, elle n’avait pas fermé l’oeil de la nuit.
Elle avait remis ses vieux vêtements en contradiction avec son corps tout beau, tout beau tout propre.L’enfant de la nature avait une manie de garder les mêmes fringues, se changeait peu de fois par semaine voir par mois. A force, elle les usait, les salissait dont l’odeur arrivait parfois à lui piquer le nez. Elle irait les laver demain ou dans le week end, suivant son temps libre.
Un refus,
une invitation à sa table.
Amicalement.
Une reconnaissance naquit dans l’esprit de la princesse de la nature, son hôte était une personne très noble dans sa façon d’être, ses pensées. Il savait l'amadouer, la mettre en confiance or une partie d’elle restait un peu sur la méfiance. Elle ressentait une petite crainte, gardait un doute sur ses réelles intentions. Shalimar était une belle femme, son charme naturel ne laissait pas certains mâles indifférents et eut peur d’avoir créé un petit beguin chez cet homme à la chevelure de feu. Elle n aimerait pas finir sa petite soirée agréable en baston à cause d’une drague lourde, désirait plus le remercier d’une autre manière.
“ Euh… Merci.. Manger”
Elle avait prise une chaise, l’avait tiré vers elle, s’installa à la table en face de son interlocuteur. Elle tenait à préserver une distance entre eux, avoir de la place pour manger. Elle allait pouvoir manger, reprendre ses forces, se régaler avait elle cru avant de voir le menu: Une viande blanche avec des légumes bien préparer.
“ euh.. d’accord”
La princesse de la nature était invité, avait déjà provoqué une boulette, elle n’allait pas la fine bouche au niveau du repas. Ca saurait mal venue de sa part, elle allait se faire jeter dehors avec un tel comportement. Elle se tue, le remercia et commença à manger. C’était bien préparé, les aliments avaient un très bon goût mais elle avait du mal. Shalimar mangeait souvent de la viande froide, cru et bien saignante avec des fruits, son régime alimentaire propre à elle, à sa vie dans la nature sauvage. La belle Shalimar se forçait la main, mangea à son rythme. Le poulet passait mais les légumes cuits de la sorte, elle avait vraiment du mal, ça ne passait pas. Elle en mangea deux ou trois petites portions, reposa sa fourchette dans son assiette.
“ J’aide les gens, je les soigne.. Je”
L’enfant de la nature s’arrêta en court de route, fit les gros yeux, les riva vers l’une des fenêtres de la pièce. C’était déjà l’aube, le matin, le soleil était entrain de se lever. Shalimar avait une fois de plus perdu la notion du temps, fut surprise d’être en début de journée. Cela voulait aussi dire une belle fatigue dans les prochaines heures, elle n’avait pas fermé l’oeil de la nuit.
Invité
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Quand il la vit chipoter sur ses légumes, Halewyn eut une réaction surprenante. Se penchant soudainement une fois la viande terminée, iel prit carrément son assiette pour transvider les végétaux de sa propre assiette dedans avant de lui redonner sa part de poulet.
Il y a des mortels plus carnivores que l'autre. Et il pressentait qu'elle aurait été plus à l'aise devant un méchoui. ou une viande saisie sur feu de bois... Peut-être même sans cuisson. Halewyn se demande soudainement si elle a déjà mangé du bipède. C'est une question valide au demeurant... La reconnaissance doublée de crainte lui est une émotion familière qu'Halewyn n'avait pas goûté depuis longtemps.
Posément, alors que les bruits de mastications se succédaient, Halewyn sirotait son vin en regardant par la fenêtre cette matinée lumineuse , du moin jusqu'à ce que l'anixiété latente de l'humaine sauvage ne vienne épicer sa conscience. .
“ J’aide les gens, je les soigne.. Je”
En réponse, Halewyn aplanit considérablement son aura. La rendant aussu douce sans être aguicheuse possible. Les prunelles noires regardèrent Shalimar légèrement de biais pour ne pas la confronter, la somptueuse tresse couleur de sang frais luisant doucement à la lumière un léger sourire engageant ornant les lèvres roses.
Hé... Ca va, vraiment, je ne te mangerai pas et ce que je t'offre aujourd'hui c'est librement donné, librement accepté... Ne t'inquiètes pas, je sais ce que ca fait sortir de sa forêt et avoir des difficulté d'adaptation. Du coup, je te le redis, pas de soucis, entre Sauvages, faut s'entraider non? Je t'ai peut-être un peu brusquée, j'ai mal évalué ton niveau d'acclimatation. Mais pour le reste, les cheveu et la robe, ce n'est que du matériel ce n'est pas grave je t'assure. As tu un logis? Un familier qui t'attends quelque part?
Il y a des mortels plus carnivores que l'autre. Et il pressentait qu'elle aurait été plus à l'aise devant un méchoui. ou une viande saisie sur feu de bois... Peut-être même sans cuisson. Halewyn se demande soudainement si elle a déjà mangé du bipède. C'est une question valide au demeurant... La reconnaissance doublée de crainte lui est une émotion familière qu'Halewyn n'avait pas goûté depuis longtemps.
Posément, alors que les bruits de mastications se succédaient, Halewyn sirotait son vin en regardant par la fenêtre cette matinée lumineuse , du moin jusqu'à ce que l'anixiété latente de l'humaine sauvage ne vienne épicer sa conscience. .
“ J’aide les gens, je les soigne.. Je”
En réponse, Halewyn aplanit considérablement son aura. La rendant aussu douce sans être aguicheuse possible. Les prunelles noires regardèrent Shalimar légèrement de biais pour ne pas la confronter, la somptueuse tresse couleur de sang frais luisant doucement à la lumière un léger sourire engageant ornant les lèvres roses.
Hé... Ca va, vraiment, je ne te mangerai pas et ce que je t'offre aujourd'hui c'est librement donné, librement accepté... Ne t'inquiètes pas, je sais ce que ca fait sortir de sa forêt et avoir des difficulté d'adaptation. Du coup, je te le redis, pas de soucis, entre Sauvages, faut s'entraider non? Je t'ai peut-être un peu brusquée, j'ai mal évalué ton niveau d'acclimatation. Mais pour le reste, les cheveu et la robe, ce n'est que du matériel ce n'est pas grave je t'assure. As tu un logis? Un familier qui t'attends quelque part?
Invité
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A des moments, le corps de la princesse de la nature était en contradiction avec ses pensées, ses véritables émotions. Il exprimait de faux sentiments, mettait son entourage en erreur. Des situations gênantes, chiantes et souvent assez difficiles à résoudre en découlaient or elle n’y était pour rien. La jeune femme aux longs cheveux de jais ne le faisait pas du tout exprès, ne s’en rendait compte sur l’instant. C’était vraiment involontaire, presque automatique, elle ne contrôlait rien. Elle le découvrait souvent par le biais d’une remarque ou d’un étrange changement de comportement, mais c’était souvent une mauvaise surprise pour elle .Elle en perdait la tête, ne savait plus ou elle en était.
C’était une étrangeté de son corps, elle n'avait jamais su le pourquoi du comment, avait décidé d’enterrer ce sujet au fin fond de son esprit. C’était inutile de se prendre la tête avec ça, elle n’avait aucune connaissance dans ce domaine, autrement dit la psychologie., et ça ne lui arrivait pas assez souvent.
“ Ah mais !”
Ce fut embarrassant, son visage vint de lui faire faux bond. Il exprimait un certain agacement or elle était plutot dans le gène et dans l'embarras. Elle venait de se faire doubler dans son idée, dans son petit mouvement. La culpabilité avait eut raison d’elle, dévoré sa conscience, forcé à vouloir finir ses fichus légumes. Ses yeux les avaient fixé dans son assiette et l’enfant de la nature avait eut un élan de motivation, de courage à reprendre sa fourchette à la main avec la ferme intention de gober les restes de son repas d’une seule traite mais elle fut coupée dans son élan par son ôte. Il lui avait pris l’objet blanc de ses mains, l’avait vidé dans sa propre assiette. Il ne semblait ne pas aimer le gaspillage lui non plus, vouloir finir les légumes à sa place. A l’inverse de son visage, dont la fausse colère commençait à peine à disparaître, son esprit et sa conscience étaient envahis d’une surprise tout à fait compréhensible.
“euh.. D’accord”
L’enfant de la nature fit la moue, baissa ses petits yeux vers le sol. Elle n’allait pas aller à l’encontre de son désir, elle n’était pas chez elle, et ça l’arrangeait dans un sens. Au fond d’elle, Shalimar n’avait nullement l’envie de finir ces légumes. Elle avait retirer sa petite main, posa sur l’un de ses genoux, détourna un instant son intention. Elle s’était perdue dans l’étendu de l’aurore, visible à travers la grande fenêtre. C’était magnifique à voir, sa première fois. A cause de ses horaires de travail avec la préparation autour, la jeune femme aux longs cheveux de jais n’avait guère le temps de se poser devant un levé de soleil. Un tord, elle apprécia ce doux moment, c’était apaisant, soulageant et calme.
“ Merci c’.. ehjqsi.. Hien? Hein ? Quoi?”
Des gros yeux, une bouche à moitié ouverte, le corps tendu. Les propos de ce jeune homme furent déroutants, assez troublant. Elle eut un doute, une hésitation, peinait a le croire. Cet aveu sonnait faux dans son esprit, n’allait pas du tout avec ce type. Il n’avait rien de sauvage, sauf peut être ses longs cheveux longs, était bien riche pour une personne tout droit sorti de la.
“ Une blague?”
Ses bras vinrent se croiser sur sa poitrine généreuse, son regard fut moins tendre et chaleureux. La princesse de la nature fini même lassée d’être assise a cette table, debout dans la cuisine à faire les cents pas.
C’était une étrangeté de son corps, elle n'avait jamais su le pourquoi du comment, avait décidé d’enterrer ce sujet au fin fond de son esprit. C’était inutile de se prendre la tête avec ça, elle n’avait aucune connaissance dans ce domaine, autrement dit la psychologie., et ça ne lui arrivait pas assez souvent.
“ Ah mais !”
Ce fut embarrassant, son visage vint de lui faire faux bond. Il exprimait un certain agacement or elle était plutot dans le gène et dans l'embarras. Elle venait de se faire doubler dans son idée, dans son petit mouvement. La culpabilité avait eut raison d’elle, dévoré sa conscience, forcé à vouloir finir ses fichus légumes. Ses yeux les avaient fixé dans son assiette et l’enfant de la nature avait eut un élan de motivation, de courage à reprendre sa fourchette à la main avec la ferme intention de gober les restes de son repas d’une seule traite mais elle fut coupée dans son élan par son ôte. Il lui avait pris l’objet blanc de ses mains, l’avait vidé dans sa propre assiette. Il ne semblait ne pas aimer le gaspillage lui non plus, vouloir finir les légumes à sa place. A l’inverse de son visage, dont la fausse colère commençait à peine à disparaître, son esprit et sa conscience étaient envahis d’une surprise tout à fait compréhensible.
“euh.. D’accord”
L’enfant de la nature fit la moue, baissa ses petits yeux vers le sol. Elle n’allait pas aller à l’encontre de son désir, elle n’était pas chez elle, et ça l’arrangeait dans un sens. Au fond d’elle, Shalimar n’avait nullement l’envie de finir ces légumes. Elle avait retirer sa petite main, posa sur l’un de ses genoux, détourna un instant son intention. Elle s’était perdue dans l’étendu de l’aurore, visible à travers la grande fenêtre. C’était magnifique à voir, sa première fois. A cause de ses horaires de travail avec la préparation autour, la jeune femme aux longs cheveux de jais n’avait guère le temps de se poser devant un levé de soleil. Un tord, elle apprécia ce doux moment, c’était apaisant, soulageant et calme.
“ Merci c’.. ehjqsi.. Hien? Hein ? Quoi?”
Des gros yeux, une bouche à moitié ouverte, le corps tendu. Les propos de ce jeune homme furent déroutants, assez troublant. Elle eut un doute, une hésitation, peinait a le croire. Cet aveu sonnait faux dans son esprit, n’allait pas du tout avec ce type. Il n’avait rien de sauvage, sauf peut être ses longs cheveux longs, était bien riche pour une personne tout droit sorti de la.
“ Une blague?”
Ses bras vinrent se croiser sur sa poitrine généreuse, son regard fut moins tendre et chaleureux. La princesse de la nature fini même lassée d’être assise a cette table, debout dans la cuisine à faire les cents pas.
Invité
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C'est lassant, soupira Halewyn en se relevant et en ramassant les assiettes qu'iel déposa sur le chariot avant de les pousser vers la porte, dans le corridor.
Eh oui, pense tu, comment un être tel que moi pourrait avoir senti la riche odeur des pins blancs, dégusté des champignons? Comment aurais je pu m'asseoir dans une antique chapelle paienne sise au creux d'un antique arbre? Comment aurais je donc pu fréquenter, moi, els bouges et la lie de la société? Et pourtant si...Et pourtant, je ne te sortirai pas mon pedigree. Iel marqua une pause en revenant, s'essuyant les mains et en la regardant avec exactement la même expression que la jeune fille. Elle n,a pas à savoir, décide t'iel. D'intéressante, elle est en passe de devenir ennuyeuse, et Halewyn déteste l'ennuis.
Tu as le droit, tu as le choix, de me croire ou non, ce n'est pas mon problème. Dit la voix de soupir, toujours affable. Il n'y avait rien qu'iel détestait plus le démon que l'ingratitude. Après ils se demandaient les mortels pourquoi les démons avaient mauvaise presse. Suffisait de se regarder dans le miroir. Chose que les Mortels ne savaient pas faire du tout.
Tu es libre après tout. Tu peux retourner dans la fange ou tu peux me laisser t'éduquer aux manières basiques du monde moderne pour que tu puisse tirer ton épingle du jeu et ne fasse plus la mendicité.
Et le démon tiqua devant la dégaine de la mortelle. La voix de soupir se teinta d'une infime note polaire.
Tiens toi convenablement et décroise les bras quand tu t'adresse aux gens et plus expressément à moi je te prie. Tu as l'air d'une poissonnière à la moule pas fraîche.
Termine Halewyn en prenant une petite cruche de liqueur de prune qu'iel se servit sans égard pour l'heure matinale. Pour iel il était tard, n'ayant pas dormi de la nuit après le bal blanc. Et dire qu'iel aurait pu déjeuner tranquillement des dormeurs. Manifestement iel a choisi la complexité aujourd'hui.
Puis je savoir quels sont tes projets du jours tout du moins?
Reprend t'iel en posant le verre sur sa joue pâle pour en apprécier la fraîcheur tout en se tournant de nouveau vers Shalimar qu'iel envisagea de pleine face les prunelles noires semblant absorber la lumière.
Eh oui, pense tu, comment un être tel que moi pourrait avoir senti la riche odeur des pins blancs, dégusté des champignons? Comment aurais je pu m'asseoir dans une antique chapelle paienne sise au creux d'un antique arbre? Comment aurais je donc pu fréquenter, moi, els bouges et la lie de la société? Et pourtant si...Et pourtant, je ne te sortirai pas mon pedigree. Iel marqua une pause en revenant, s'essuyant les mains et en la regardant avec exactement la même expression que la jeune fille. Elle n,a pas à savoir, décide t'iel. D'intéressante, elle est en passe de devenir ennuyeuse, et Halewyn déteste l'ennuis.
Tu as le droit, tu as le choix, de me croire ou non, ce n'est pas mon problème. Dit la voix de soupir, toujours affable. Il n'y avait rien qu'iel détestait plus le démon que l'ingratitude. Après ils se demandaient les mortels pourquoi les démons avaient mauvaise presse. Suffisait de se regarder dans le miroir. Chose que les Mortels ne savaient pas faire du tout.
Tu es libre après tout. Tu peux retourner dans la fange ou tu peux me laisser t'éduquer aux manières basiques du monde moderne pour que tu puisse tirer ton épingle du jeu et ne fasse plus la mendicité.
Et le démon tiqua devant la dégaine de la mortelle. La voix de soupir se teinta d'une infime note polaire.
Tiens toi convenablement et décroise les bras quand tu t'adresse aux gens et plus expressément à moi je te prie. Tu as l'air d'une poissonnière à la moule pas fraîche.
Termine Halewyn en prenant une petite cruche de liqueur de prune qu'iel se servit sans égard pour l'heure matinale. Pour iel il était tard, n'ayant pas dormi de la nuit après le bal blanc. Et dire qu'iel aurait pu déjeuner tranquillement des dormeurs. Manifestement iel a choisi la complexité aujourd'hui.
Puis je savoir quels sont tes projets du jours tout du moins?
Reprend t'iel en posant le verre sur sa joue pâle pour en apprécier la fraîcheur tout en se tournant de nouveau vers Shalimar qu'iel envisagea de pleine face les prunelles noires semblant absorber la lumière.
Invité
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Elle n'était guère dans le jugement, les aprioris et les fausses rumeurs. C'était tout le contraire à vrai dire, elle était la première à vouloir connaitre une personne au lieu de se baser sur des fausses idées, à se forger d’elle même son propre avis . L’inverse était un comportement insupportable, elle en avait fait les frais, la sainte horreur d’en être victime. Ca lui était arrivé une ou deux fois dans le quartier, des mauvaises langues qui avaient réussi de nuire à ses performances de soigneuse. La princesse de la nature avait su prendre les choses en main à temps, faire taire ces horribles rumeurs juste à temps.
La plupart du temps avec les autres, elle devait prendre son temps de les comprendre, se montrer patiente. C’était tout un travail, ca lui demandait une certaine énergie, force mental, en particulier quand les gens avaient parfois une drôle d’attitude, une logique distordue. Elle devait comprendre, comprendre or elle vint de se heurter à un mur. Elle doutait de la sincérité de la personne devant elle, cet homme aux longs cheveux de feu n’était en adéquation avec ses propos. Elle se permit de l’analyser dans son comportement, sa façon d’être son physique sans y trouve le moindre rapprochement avec ses paroles. Il avait l’air d’une personne civilisée, riche, trop pour y voir un sauvage comme elle.
“ Euh.. tu as vécu comme moi dans la forêt ou bien ?”
Elle avait beau se répéter deux ou trois fois ses paroles dans son esprit, elle n’y vit aucun rapport avec son ancienne vie. Soit il avait une autre définition du mot sauvage, ce qui était possible, ou soit c’était bien une mauvaise plaisanterie de sa part. L’enfant de la nature aimait pas ce genre de devinette, commençait à sentir un agacement monter en elle, ce pourquoi elle avait été très directe dans sa dernière question. Celle ci était sans doute le meilleur moyen pour elle d’en avoir le coeur net, de cesse de se torturer l’esprit.
“ euh..” Elle s’imposa un temps de réflexion, histoire d’être sur de sa réponse.” Heu.. Oui, je veux bie.. hé!”
Un grognement de mécontentement, des yeux pleins de reproches se plongeaient dans les siens, la princesse de la nature n’avait pas du tout aimé la fin de sa phrase. C’était vexant, elle se sentit humilié voir rabaissé. Il allait trop loin dans ses réflexions, se permit des choses inacceptables et la jeune femme aux longs cheveux bruns comptait y mettre un terme pour de bon.
“ Je travaille ! je gagne bien ma vie !”
Cette phrase, elle était sortie quasiment dans un cri de colère, ses poings serrés retombèrent le long de son corps. Il était pas gonflé lui de la juger de la sorte, elle qui s’était retenue tout à l'heure. Shalimar était a deux doigts de lever l’un de ses poings pour lui en mettre une bonne histoire de lui remettre les idées en places.
“JE FAIS QUE JE VEUX!”
Elle était vraiment énervée, réagissait comme une sauvageonne, oublia les bonnes manières et l’hospitalité de cet homme. Cette pensée vint frapper son esprit comme un éclair, lui fit regretter son attitude en vers lui. Elle avait dépassé les bornes, ce n'était qu'une façon de le remercier et elle le savait que trop bien . Elle se laissa un temps de répit, fit une pause, arriva à apaiser son esprit en furi.
“ désolé.. euh .. rien… endroit avec des plantes ?” elle fit la moue, ” tu veux faire quoi?”
Une tentative de rattraper les choses, de changer de sujet. Shalimar était un cas au niveau de la socialisation, dur de faire pire.
La plupart du temps avec les autres, elle devait prendre son temps de les comprendre, se montrer patiente. C’était tout un travail, ca lui demandait une certaine énergie, force mental, en particulier quand les gens avaient parfois une drôle d’attitude, une logique distordue. Elle devait comprendre, comprendre or elle vint de se heurter à un mur. Elle doutait de la sincérité de la personne devant elle, cet homme aux longs cheveux de feu n’était en adéquation avec ses propos. Elle se permit de l’analyser dans son comportement, sa façon d’être son physique sans y trouve le moindre rapprochement avec ses paroles. Il avait l’air d’une personne civilisée, riche, trop pour y voir un sauvage comme elle.
“ Euh.. tu as vécu comme moi dans la forêt ou bien ?”
Elle avait beau se répéter deux ou trois fois ses paroles dans son esprit, elle n’y vit aucun rapport avec son ancienne vie. Soit il avait une autre définition du mot sauvage, ce qui était possible, ou soit c’était bien une mauvaise plaisanterie de sa part. L’enfant de la nature aimait pas ce genre de devinette, commençait à sentir un agacement monter en elle, ce pourquoi elle avait été très directe dans sa dernière question. Celle ci était sans doute le meilleur moyen pour elle d’en avoir le coeur net, de cesse de se torturer l’esprit.
“ euh..” Elle s’imposa un temps de réflexion, histoire d’être sur de sa réponse.” Heu.. Oui, je veux bie.. hé!”
Un grognement de mécontentement, des yeux pleins de reproches se plongeaient dans les siens, la princesse de la nature n’avait pas du tout aimé la fin de sa phrase. C’était vexant, elle se sentit humilié voir rabaissé. Il allait trop loin dans ses réflexions, se permit des choses inacceptables et la jeune femme aux longs cheveux bruns comptait y mettre un terme pour de bon.
“ Je travaille ! je gagne bien ma vie !”
Cette phrase, elle était sortie quasiment dans un cri de colère, ses poings serrés retombèrent le long de son corps. Il était pas gonflé lui de la juger de la sorte, elle qui s’était retenue tout à l'heure. Shalimar était a deux doigts de lever l’un de ses poings pour lui en mettre une bonne histoire de lui remettre les idées en places.
“JE FAIS QUE JE VEUX!”
Elle était vraiment énervée, réagissait comme une sauvageonne, oublia les bonnes manières et l’hospitalité de cet homme. Cette pensée vint frapper son esprit comme un éclair, lui fit regretter son attitude en vers lui. Elle avait dépassé les bornes, ce n'était qu'une façon de le remercier et elle le savait que trop bien . Elle se laissa un temps de répit, fit une pause, arriva à apaiser son esprit en furi.
“ désolé.. euh .. rien… endroit avec des plantes ?” elle fit la moue, ” tu veux faire quoi?”
Une tentative de rattraper les choses, de changer de sujet. Shalimar était un cas au niveau de la socialisation, dur de faire pire.
Invité
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Perdant légèrement patience, Halewyn inspira lentement, sa chemise disparut, laissant le torse glabre en évidence, orné seulement de ses colliers de naissances qui tombaient en vagues scintillantes. Sa chevelure se dénoua, comme douée d'une vie propre, avant de s'écouler, libre et dans contraintes dans son dos, soulignant par contraste la taille trop fine. Ses pantalons disparurent et un pagne ouvragé pris sa place pour acher le minimum de la décence. Ses pieds nus étaient teintés de boue et ses ongles longs faisaient comme des griffes. Iel n'avait pas poussé au point d'ajouter des peinteures de guerres, mais le regard abyssal sans aucune lumière ne quitta pas la jeune fille des yeux.
Quel âge me donne tu maintenant? Quelle histoire te raconte- je maintenant? Répondit calmement le démon de sa voix de soupir qui avait tout l'air d'un jeune éphèbe. -Les forêts ne sont pas toutes égales. Et sans trop de risque de me tromper, sache que j'ai peut-être à minima l'âge de ton grand-père.
Puis le démon repris son apparence normale, chemise, tresse et tout. Iel prit le temps d'ajuster ses manches.
-Je veux t'aider, je t'offre de mon temps et ma patience infinie. et tu me crie dessus. Soit. Peut-être t'ai je surestimée dans ton désir de socialisation. Tu as toujours été libre, enfant sauvage. Fais ce que tu veux.
Dire que le démon était vexé était un euphémisme. Lui, si magnifique, généreux... A pris une chatte de ruelle sous son aile et elle lui crache au visage... D'ailleurs, à quel étage sont ils déjà? Ah oui... Et il y a tant à faire. Et si peu de temps. Iel doit aller à la bibliothèque avant de rentrer à Justie et juste cette perspetive l'ennuie profondément.
Quel âge me donne tu maintenant? Quelle histoire te raconte- je maintenant? Répondit calmement le démon de sa voix de soupir qui avait tout l'air d'un jeune éphèbe. -Les forêts ne sont pas toutes égales. Et sans trop de risque de me tromper, sache que j'ai peut-être à minima l'âge de ton grand-père.
Puis le démon repris son apparence normale, chemise, tresse et tout. Iel prit le temps d'ajuster ses manches.
-Je veux t'aider, je t'offre de mon temps et ma patience infinie. et tu me crie dessus. Soit. Peut-être t'ai je surestimée dans ton désir de socialisation. Tu as toujours été libre, enfant sauvage. Fais ce que tu veux.
Dire que le démon était vexé était un euphémisme. Lui, si magnifique, généreux... A pris une chatte de ruelle sous son aile et elle lui crache au visage... D'ailleurs, à quel étage sont ils déjà? Ah oui... Et il y a tant à faire. Et si peu de temps. Iel doit aller à la bibliothèque avant de rentrer à Justie et juste cette perspetive l'ennuie profondément.
Invité
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Une prédatrice, une chasseuse, une dominante, plus pour très longtemps. Shalimar allait bientôt faire la douloureuse expérience d'être une vulgaire petite proie sans défense et elle n'allait pas l'aimer celle là. Du tout, elle ne s'était jamais sentie aussi vulnérable, aussi faible et impuissante. Accablée d'une puissante peur, elle en était restée immobile, la bouche bée. Elle était terrorisée, périfié, jamais elle ne s'était attendue à un tel retournement de situation. Cet homme aux longs cheveux de feu avait bien caché son jeu, n’était pas un ange, au sens premier du terme. Il s’était transformé en une chose effrayante devant la princesse de la nature dont le regard ne l’avait quitté. Son aura était plus la même, elle y sentit quelque chose de plus sauvage, d’assez malsain. Le teint de Shalimar avait viré au blanc, elle était toute pale, livide. Elle sentit aussi son coeur battre la chamade dans sa poitrine, sa respiration partir en sucette.
Elle était pas bien, c’était un moment horrible à passer, elle vint même à se surprendre à déglutir deux ou trois fois. Son corps s’était instinctivement reculé contre l’un des murs de cette pièce, ses mains étaient retombés le long de son corps et son esprit était en feu. Elle s’imagina les pires scénarios au possible, avait la tête en pique.. Elle allait y rester, s’en était fini d’elle, sa vie était sur le point de s’achever..
“ nwieo^rhiez^h” Aucun mot valable ne pu sortir de sa bouche, l’enfant de la nature en était incapable pour le moment, la cause en était sa peur en vers lui. Elle se mit a couiner, à se mettre en boule dans un coin les deux mains sur sa tête.
‘jiqs^roqepasmal..q,kosrdésoléqnkfq”
La jeune femme aux longs cheveux de jais sentit ses yeux s’humidifier, des petites gouttes d’eau naitre aux extrêmités et enfin couler le long de ses joues. Elle pleurait de peur, d’angoisse, de panique.
“aaaaaaaaaaah !! plus jamais !”
Elle finit par craquer, par se laisser envahir par ces sentiments si puissant, partit en sucette. Elle s’était jeter comme une dingue sur l’homme, revenu lui même. Elle se nicha dans ses bras, était entrain de lui taper le torse avec ses petits poings sans aucune force. Elle était en colère, effrayé, se sentit stupide en cet instant.Elle couina encore, bafouilla dans sa barbe, émit des legers grognements comme un petit chiot.
“ Plus jamais..”
les minutes, les secondes passèrent, le temps fit son effet; Elle parvint à se calmer, à faire redescendre le stresse. Elle report une grande inspiration, s’écarta de lui, se frotta les yeux pleins de larmes. Ce fut un choc pour elle, elle devait l’admettre malgré sa vie dans la nature sauvage, il lui fallait du temps pour s’en remettre. Elle mit ses deux mains derrière le dos, fit un petit signe de désolation de la tête, évita au possible de croiser son regard. C’était le moment de faire ses excuses, d’en placer une, elle fit une tentative. Elle prit une grande inspiration, ouvrit la bouche mais n’en sorti aucun mot, juste un petit son aigu et ridicule..
“ ..”
La princesse de la nature colla ses deux mains sur sa bouche, se mit a pleurer comme une madeleine. C’était le contre coup du stresse, de ce moment traumatisant.
Elle était pas bien, c’était un moment horrible à passer, elle vint même à se surprendre à déglutir deux ou trois fois. Son corps s’était instinctivement reculé contre l’un des murs de cette pièce, ses mains étaient retombés le long de son corps et son esprit était en feu. Elle s’imagina les pires scénarios au possible, avait la tête en pique.. Elle allait y rester, s’en était fini d’elle, sa vie était sur le point de s’achever..
“ nwieo^rhiez^h” Aucun mot valable ne pu sortir de sa bouche, l’enfant de la nature en était incapable pour le moment, la cause en était sa peur en vers lui. Elle se mit a couiner, à se mettre en boule dans un coin les deux mains sur sa tête.
‘jiqs^roqepasmal..q,kosrdésoléqnkfq”
La jeune femme aux longs cheveux de jais sentit ses yeux s’humidifier, des petites gouttes d’eau naitre aux extrêmités et enfin couler le long de ses joues. Elle pleurait de peur, d’angoisse, de panique.
“aaaaaaaaaaah !! plus jamais !”
Elle finit par craquer, par se laisser envahir par ces sentiments si puissant, partit en sucette. Elle s’était jeter comme une dingue sur l’homme, revenu lui même. Elle se nicha dans ses bras, était entrain de lui taper le torse avec ses petits poings sans aucune force. Elle était en colère, effrayé, se sentit stupide en cet instant.Elle couina encore, bafouilla dans sa barbe, émit des legers grognements comme un petit chiot.
“ Plus jamais..”
les minutes, les secondes passèrent, le temps fit son effet; Elle parvint à se calmer, à faire redescendre le stresse. Elle report une grande inspiration, s’écarta de lui, se frotta les yeux pleins de larmes. Ce fut un choc pour elle, elle devait l’admettre malgré sa vie dans la nature sauvage, il lui fallait du temps pour s’en remettre. Elle mit ses deux mains derrière le dos, fit un petit signe de désolation de la tête, évita au possible de croiser son regard. C’était le moment de faire ses excuses, d’en placer une, elle fit une tentative. Elle prit une grande inspiration, ouvrit la bouche mais n’en sorti aucun mot, juste un petit son aigu et ridicule..
“ ..”
La princesse de la nature colla ses deux mains sur sa bouche, se mit a pleurer comme une madeleine. C’était le contre coup du stresse, de ce moment traumatisant.
Invité
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Si elle s'attendait à ce que le démon la prenne dans ses bras, la cajole , la rassure et tout le toutim, Shalimar peut être décue, les prunelles noires abyssales d'ennuie ne cillent même pas qund elle s'enfouit dans ses bras alors que iel succube garde les poings posés sur les hanches, dominateur. La phrase se Rowena se faufilant dans sa tête.
*On ne tue pas les gens sans raison et non, t'embêter n'en n'est pas une.*
A vrai dire, elle, elle n'a pas eu assez de torgnoles de ses Géniteurs, pense t'iel en arrêtant les petits poings qui martèent faiblement sa poitrine.
Assez, ordonna t'iel d'un ton ferme en la repoussant sans douceur ni brutalité. Et se détourna d'elle, la laissant se calmer. Mais elle ne faisait que des gargouiis et des borborygmes disgracieux et irritants, de plus en plus humides en plus. Alors iel lui fit de nouveau face.
Je n'apprécie guère les chouineuses alors je te prierais de sois te reprendre dans les plus brefs délais et de me dire ce que tu attends de moi, sois de quitter, par le balcon ou par la porte...
Iel aimerait qu'elle se décide rapidement... Son infinie patience commencant à s'amenuiser comme peau de chagrin
*On ne tue pas les gens sans raison et non, t'embêter n'en n'est pas une.*
A vrai dire, elle, elle n'a pas eu assez de torgnoles de ses Géniteurs, pense t'iel en arrêtant les petits poings qui martèent faiblement sa poitrine.
Assez, ordonna t'iel d'un ton ferme en la repoussant sans douceur ni brutalité. Et se détourna d'elle, la laissant se calmer. Mais elle ne faisait que des gargouiis et des borborygmes disgracieux et irritants, de plus en plus humides en plus. Alors iel lui fit de nouveau face.
Je n'apprécie guère les chouineuses alors je te prierais de sois te reprendre dans les plus brefs délais et de me dire ce que tu attends de moi, sois de quitter, par le balcon ou par la porte...
Iel aimerait qu'elle se décide rapidement... Son infinie patience commencant à s'amenuiser comme peau de chagrin
Invité
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Ce fut un choc pour la princesse de la nature, elle ne pouvait le nier, le cacher. Ca aurait été impossible de toute façon, elle était dans tous ses états. Ses émotions défilèrent dans son esprit, son comportement ne cessa de changer à vu d'oeil. Elle avait exprimé de la peur, de la tristesse et de la colère en passant bien sur par l’angoisse et le stress. L’enfant de la nature s'était perdue dans cette situation, celle ci lui échappa vraiment. Elle avait vite eut cette terrible impression d'en perdre la tête, de sombrer petit à petit dans une folie. C'était aberrant, elle n’y aurait pas cru une seconde, elle s’était mis à le hair de toutes ses forces. Il s’était transformé en une chose terrifiante, malsaine sans la prevenir, elle lui en avait voulu or il n’y était pour rien. C’était de sa faute, elle qui l’avait provoqué avec sa petite crise de colère. Une fois de plus, le coeur sauvage n’avait pas su gérer ses émotions, son calme. Elle avait explosé comme une cocotte minute, elle était en tord sur toute la ligne. Le démon en était aussi conscient, tenta de la recadrer d’une main de fer. Aucun calin, aucun mot doux, aucun geste réconfortant, il se montra vraiment ferme, distant et il avait raison. Shalimar devait apprendre à bien se tenir, à se contrôler. Ce n’était plus une enfant mais une adulte et elle devait se comporter comme telle. L’homme aux cheveux de feu eut raison de réagir de la sorte, arriva à la calmer pour de bon.
“ Oui.. raison.. Ca va mieux”
Une situation houleuse, cependant il y avait bien une petite leçon à en tirer ; Elle devait arreter de juger une personne sur son apparence, se baser uniquement sur des premières impressions. Elle se le nota bien au fin fond de son esprit.
Une grande inspiration, suivie d’une autre, encore une, elle se calma petit à petit. Son esprit retrouva la lumière du jour, un peu de clarté. L’’une de ses fines mains se leva à son visage, au niveau de ses yeux, elle se les frotta afin d’essuyer ses larmes. Elle leva son autre main, se frotta tout le visage comme si elle venait juste de se réveiller, de sortir de son lit. En vitesse, elle se passa les doigts dans ses cheveux, remit ses quelques mèches rebelles à leur place, tapota sur ses vêtements et reprit une bonne position: Elle était droite comme un I, les deux bras le long de son corps. Une autre inspiration, un profond soupir et elle était enfin prête pour reprendre la situation en main.
“Je n’attends rien de toi mais je voudrais te remercier de m’avoir aider et pour cet accident”
Aucune honte, beaucoup de courage, Shalimar se savait bien en faute et n’eut aucun problème à l’avouer ouvertement. Par contre, elle se montra un peu insistante sur cette demande, aussi bien dans le ton de sa voix que dans son comportement. Le pardon était important, et aussi le fait qu’elle commençait vraiment à se sentir inutile. Dix minutes voir plus à chialer comme une gamine, à rester là comme une larve en décomposition. Un fait peu supportable, tout le contraire à sa vraie personnalité. Elle qui avait l’habitude de rendre service aux gens en les soignant, en les aidant dans la vie de tous les jours,se voir ainsi était une honte. Le temps passa, elle parvint a lever ses yeux sur lui, son visage, à les plonger dans les siens.
“S’il vous plait, qu est ce que je peux vraiment faire pour vous ?”
Elle se sentait bloqué dans cette posture, semblait être petit à petit enveloppée de son pire ennemi : l’ennuie.
“ Oui.. raison.. Ca va mieux”
Une situation houleuse, cependant il y avait bien une petite leçon à en tirer ; Elle devait arreter de juger une personne sur son apparence, se baser uniquement sur des premières impressions. Elle se le nota bien au fin fond de son esprit.
Une grande inspiration, suivie d’une autre, encore une, elle se calma petit à petit. Son esprit retrouva la lumière du jour, un peu de clarté. L’’une de ses fines mains se leva à son visage, au niveau de ses yeux, elle se les frotta afin d’essuyer ses larmes. Elle leva son autre main, se frotta tout le visage comme si elle venait juste de se réveiller, de sortir de son lit. En vitesse, elle se passa les doigts dans ses cheveux, remit ses quelques mèches rebelles à leur place, tapota sur ses vêtements et reprit une bonne position: Elle était droite comme un I, les deux bras le long de son corps. Une autre inspiration, un profond soupir et elle était enfin prête pour reprendre la situation en main.
“Je n’attends rien de toi mais je voudrais te remercier de m’avoir aider et pour cet accident”
Aucune honte, beaucoup de courage, Shalimar se savait bien en faute et n’eut aucun problème à l’avouer ouvertement. Par contre, elle se montra un peu insistante sur cette demande, aussi bien dans le ton de sa voix que dans son comportement. Le pardon était important, et aussi le fait qu’elle commençait vraiment à se sentir inutile. Dix minutes voir plus à chialer comme une gamine, à rester là comme une larve en décomposition. Un fait peu supportable, tout le contraire à sa vraie personnalité. Elle qui avait l’habitude de rendre service aux gens en les soignant, en les aidant dans la vie de tous les jours,se voir ainsi était une honte. Le temps passa, elle parvint a lever ses yeux sur lui, son visage, à les plonger dans les siens.
“S’il vous plait, qu est ce que je peux vraiment faire pour vous ?”
Elle se sentait bloqué dans cette posture, semblait être petit à petit enveloppée de son pire ennemi : l’ennuie.
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