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    Anonymous
  • Jeu 15 Sep - 15:17
    Début de l'an 3, au cœur de la nuit, dans un petit parc d'Ikusa


    Le visage enseveli dans ses mains, les yeux clos, Pendor prend une grande inspiration. Puis, il se dégage le visage, et expire. La chaleur du désert est tombée en cette nuit, qui est relativement fraîche. Mais il a pourtant le front légèrement luisant, comme s'il était malade. L'est-il ? Peut-être. Il n'arrive pas à trouver le sommeil, faisant des sueurs froides, s'agitant sans cesse ; comme si un mauvais augure pesait sur lui. Ou comme si ce qu'il avait vécu l'avait marqué, tout simplement.

    Des bribes de la scène lui reviennent. Des cris. Le fracas des sabots. L'acier qui crisse et résonne. Le choc qu'a été le fait d'être désarçonné, et l'impuissance de se retrouver coincé sous sa monture alors que le combat règne autour de lui, que la magie se déchaîne.

    Il commence, inconsciemment , à jouer avec une petite lueur dans ses mains ; une infime luciole magique d'une lumière qui oscille entre le blanc et l'ambré ; alors que ses yeux crépitent de la même vague étincelle. Sans la bravoure de ses soldats, il y serait probablement resté. Mais, combien ont-ils étés à payer le prix fort ? D'après son adjoint, cent quarante trois morts, quasiment le double de blessés. Le prix de la victoire de son armée ? Sa cohorte, quasiment massacrée.

    Déjà devait-il vivre avec la mort de ses braves soldats sur la conscience, et, maintenant, il est félicité ; adulé comme un héros pour avoir donné le temps aux siens de se regrouper pour arracher une victoire. Une victoire anecdotique, d'une piètre escarmouche ; qui aurait pu, bien sûr, se transformer en déroute. Mais, il ne se sent pas vraiment en paix avec l'idée d'avoir payé un tel prix, et derrière, d'en ramasser la gloire.

    Sa vision périphérique capte un mouvement, le poussant à reprendre conscience de son environnement ; la légère lueur brillant dans sa main le pousse à refermer brusquement son poing, étouffant tristement cette belle petite luciole, alors qu'il se relève. Il ne dit rien, dans un premier temps, puis annonce simplement pour s'assurer qu'il a bien été vu :

    « Je vois que je ne suis pas le seul à profiter de la quiétude de la nuit » il s'est exprimé d'une voix calme et posé, dans l'espoir de ne pas inquiéter ses éventuels interlocuteurs ; surtout s'il s'agit de gardes. Il reprend simplement, en ayant oublié ses manières : « Bien le bonsoir à vous »
    Invité
    Invité
    Anonymous
  • Mar 20 Sep - 10:26
    Ikusa-Pendor
    Firefly
    Il fait nuit. Une nuit fraiche, bien plus douce que les journées arides qui font vivre le désert du Reike. Tu aimes te déplacer à cette période de la journée, c'est plus calme, le tempérament des gens est bien plus tranquille, surtout sur ces terres. Tu y as vécu de nombreuses années, des centaines mêmes et tu te souviens toujours de ce que tu y as vu et entendu. C'était une période appréciable de ta longue vie, jusqu'à certaines nouvelles lois, dénuée de sens, à ton humble avis.

    Tu es revenu sur ce territoire sec dans un seul but : Retrouver Seagan. Tu as eu vent qu'il se trouvait à Ikusa lors du retour des Créateurs, alors tu y es venu pour enquêter. Evidemment, le voyage fut long, vous vous trouviez en République avec ta colonie, les quitter t'a été dur, bien sûr, mais c'est un mal pour un bien. Maintenant que tu as retrouvé la mémoire, tu souhaite reprendre la place qui te revient de droit auprès des Divins.

    Tu avances dans le rue de la ville, elle ne ressemble en rien à ce que tu y as vu par le passé. Elle a tellement changé. Bien plus grande, bien plus fourni. C'est impressionnant comme les siècles peuvent changer un endroit. Evidemment il y reste encore des traces du passage des combats, mais que serait une ville de Reike sans une marque de bataille ?

    Au loin, tu aperçois une fine lumière virevoltant proche d'une personne. Une silhouette cachée par l'ombre de la nuit, brièvement éclairé par les mouvements de la petite lueur qu'il semble tenir dans ses mains d'après ce que tu vois ? Cela pourrait être une piste. La lumière est un des pouvoirs de celui que tu cherches. Pour sûr, il n'y a qu'une très faible chance, voire infime, que ça soit lui, ici et maintenant. Mais ca pourrait être un adepte ? Ou quelqu'un l'ayant connu ? Ta quête te remplis d'espoir probablement futile et te fait oublier, l'espace d'un instant la perfidie de l'Homme.

    Il te remarque tandis que tu t'approches et s'arrête dans l'exercice de sa magie

    Comment ne pas profiter d'une si belle période de la journée ?

    Tu parles d'une voix douce tout en te rapprochant de lui. Tu entrevois un homme barbu aux cheveux mi long, qui ne semble pas être un pouilleux vu son habit et sa toilette. Toi.. par contre... Tu n'es pas non plus des plus horribles mais ta cape et ta capuche qui cachent l'intégralité de ton corps pourrait faire penser à un voyageur perdu... ou un esclave en fuite... Mais si c'était le cas, tu aurais couru.

    Bonsoir. Avez vous du mal à dormir, ou profitez vous juste du calme ambiant tel un oiseau nocturne ?

    Tu es désormais face à lui. Tu enlèves ta capuche, car tu n'as rien à caché tant que tes ailes sont invisibles, tu te méfies de lui, comme tu te méfies de tout les Hommes. Cependant, ton avarice pour les informations te dicte de lui parler. Peut-être s'aura-t-il être intéressant ?



    Invité
    Invité
    Anonymous
  • Mar 20 Sep - 14:51
    Il pouffe très légèrement lorsque l'inconnue répond à sa question. S'il n'est pas vraiment tendu ; profitant de la nuit dans l'une des villes les plus sûres du continent ; la voix et le ton de cette dame le rassurent quant à ses intentions. Il lui annonce alors doucement, dans une simple surenchère de ce qu'elle venait de dire :

    « N'est-ce pas la meilleure ? » il marque un temps d'arrêt, s'explique : « La quiétude, la beauté du ciel étincelant, et la douce lumière de la Lune. Je n'en demande pas plus »

    Il esquisse un sourire, alors qu'il lève les yeux au ciel encore quelques instants. Quand elle s'approche en ôtant sa capuche, il baisse son regard vers elle ; mais pas trop. La dame est bien plus grande que lui. Il ne réalise pas que ses cheveux sont blancs, mais les voit plus comme une couronne d'argent sous l'éclairage si caractéristique de sa Déesse. Une couronne qui entoure un visage qu'il n'a pas le temps d'observer, alors qu'il est presque happé par son regard d'un bleu azur.

    Il s'apprêtait à répondre, mais, il a perdu un peu le fil ; et marque un temps d'arrêt avant de s'asseoir à nouveau et de finalement annoncer d'un ton calme et réfléchi :

    « Un peu des deux, je suppose. Je ne pensais pas rester aussi longtemps, mais, je crois que je me suis laissé emporter par... »

    Il cherche ses mots, essaie de trouver comment verbaliser au mieux ce qu'il ressent. Il décide finalement de mettre un peu de contexte en annonçant :

    « Toute ma vie, je n'ai fais que réaliser tâche sur tâche, dans une recherche effrénée de remplir mes devoirs. Ce n'est qu'en manquant de tout perdre que j'ai réaliséce que j'avais raté en ne prenant pas le temps de m'arrêter. Alors, maintenant je le fais ; et je profite de la beauté de ce monde tant que j'en ai encore l'occasion. La vie est courte, n'est-ce pas ? » conclut-il en pensant s'adresser à une humaine.

    Il prend une grande inspiration, avant de balayer ce qu'il vient de dire d'un geste de sa main, et d'annoncer simplement à son interlocutrice :

    « Je ne veux point vous importuner, cependant. Que puis-je faire pour vous, ma dame ? »

    Il ne se présente pas encore, assumant qu'il n'allait s'agir que d'une rencontre d'anonyme qui allaient discuter un peu avant d'aller chacun de leurs côtés pour ne plus jamais se recroiser. Il ne sait pas, pour l'heure, ce que le destin lui réserve cependant.
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