
Noble du Reike
Tagar Reys

Messages : 1588
crédits : 2221
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Info personnage
Race: Humain
Vocation: Mage Elementiste
Alignement: Loyal Neutre
Rang: B - Coeur
Année 3, le 12 septembre
Si je reviens à la demeure familiale sans avoir pris la commande de Mère, je risque de passer une très mauvaise soirée. C’est pour cette raison, que contrairement à mes habitudes, après le travail, je passe au souk, avec, comme j’y suis maintenant obligé, mon escorte composée de dix combattants chargés de ma sécurité personnel. Armés d'épée courte et protégés par des armures de cuirs légères, ils peuvent facilement passer pour une bande de mercenaire, alors que ce sont des soldats de l'Empire du Reike.
Robert, le Sajenti dirigeant l’escouade est à mes côtés et le reste de ses hommes sont dans un rayon de dizaines de mètres. Il y a même une femme, nomme Denise, elle possède un fort sens de l'honneur et aucun second degré.
Alors que je me dirigeai vers le stand, je peux voir qu’un autre groupe m’a déjà précédé. Ils ont une mine patibulaire et celui qui semble être leur chef, menace l’artisan que je viens voir :
Tu dois payer notre protection, ou sinon….
D’habitude, je n’interviens pas dans ce genre d’affaire, mais si je reviens brecouille, comme on dit dans le désert, ça ne va pas le faire. En plus, j’ai des soldats avec moi, et je me sens en confiance, alors je leur dis :
Excusez-moi, mais cela vous dérange si je passe devant ?
Étonnement, cela semble l’énerver, car les malandrins sortent leurs couteaux, évidemment, la situation dégénère, car le sous-officier sort son épée en réponse. Le chef, voyant la situation lui échapper, lève les bras et je sens une petite tornade s’élever ! Très vite le stand vole dans les airs et je suis tellement surpris, que je me retrouve allongé par terre, tandis que les bandits, commencent à se battre avec mon escorte, c’est le Chaos !
Si je reviens à la demeure familiale sans avoir pris la commande de Mère, je risque de passer une très mauvaise soirée. C’est pour cette raison, que contrairement à mes habitudes, après le travail, je passe au souk, avec, comme j’y suis maintenant obligé, mon escorte composée de dix combattants chargés de ma sécurité personnel. Armés d'épée courte et protégés par des armures de cuirs légères, ils peuvent facilement passer pour une bande de mercenaire, alors que ce sont des soldats de l'Empire du Reike.
Robert, le Sajenti dirigeant l’escouade est à mes côtés et le reste de ses hommes sont dans un rayon de dizaines de mètres. Il y a même une femme, nomme Denise, elle possède un fort sens de l'honneur et aucun second degré.
- Son portrait:
Alors que je me dirigeai vers le stand, je peux voir qu’un autre groupe m’a déjà précédé. Ils ont une mine patibulaire et celui qui semble être leur chef, menace l’artisan que je viens voir :
Tu dois payer notre protection, ou sinon….
D’habitude, je n’interviens pas dans ce genre d’affaire, mais si je reviens brecouille, comme on dit dans le désert, ça ne va pas le faire. En plus, j’ai des soldats avec moi, et je me sens en confiance, alors je leur dis :
Excusez-moi, mais cela vous dérange si je passe devant ?
Étonnement, cela semble l’énerver, car les malandrins sortent leurs couteaux, évidemment, la situation dégénère, car le sous-officier sort son épée en réponse. Le chef, voyant la situation lui échapper, lève les bras et je sens une petite tornade s’élever ! Très vite le stand vole dans les airs et je suis tellement surpris, que je me retrouve allongé par terre, tandis que les bandits, commencent à se battre avec mon escorte, c’est le Chaos !
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Grrrrrr...
Je ne peux m'empêcher de vocaliser mon mécontentement alors que j'arrive aux abords d'une des casernes de la capitale. Ca fait plus de trois heures que je marche. Bordel ! Le soleil est déjà haut dans le ciel et je me suis levée aux aurores pour arriver tôt et faire bonne impression. Apparemment, les gradés du coin aiment ce genre de comportement et selon un de mes anciens collègues de l'université, favoriseraient ceux qui se plieraient en quatre pour leur faire plaisir. C'est clairement pas mon style. Et vu mon état d'énervement c'est plutôt un coup de tetsubo dans la tête qui les guettent... Je prends une grande inspiration pour me calmer.
Des cris émanant d'une ruelle fréquentée du souk me tirent de mon introspection.
Si je ne suis pas curieuse de nature, le bruit caractéristique d'armes qui s'entrechoquent m'arrachent un large sourire carnassier. Je ne peux résister à l'appel du combat. Ca tombe à pic. Je me mets à sprinter, le sol tremblant à chacun de mes pas lourds et puissants et fichant la pétoche à tous les passants croisant mon chemin. Telle une mage la foule s'écarte littéralement devant moi. Il ne me faut que quelques secondes pour arriver sur les lieux de l'escarmouche. Une attaque de bandits en plein jour ? Une affaire qui a mal tourné ? Meh. C'est pas important. A quelques mètres de moi gît un type aux allures de noble. Je ne cogite pas.
Raaaaaaaaaahhhhhhh !
Mon cri de guerre est puissant. J'empoigne mon arme à deux mains avant de charger un type qui souhaite visiblement achever l'humain à terre. Mon arme s'abat sur mon adversaire figé de surprise et lui enfonce littéralement la tête dans le cou dans une gerbe de sang s'apparentant à un petit volcan en éruption.
Je ne peux m'empêcher de vocaliser mon mécontentement alors que j'arrive aux abords d'une des casernes de la capitale. Ca fait plus de trois heures que je marche. Bordel ! Le soleil est déjà haut dans le ciel et je me suis levée aux aurores pour arriver tôt et faire bonne impression. Apparemment, les gradés du coin aiment ce genre de comportement et selon un de mes anciens collègues de l'université, favoriseraient ceux qui se plieraient en quatre pour leur faire plaisir. C'est clairement pas mon style. Et vu mon état d'énervement c'est plutôt un coup de tetsubo dans la tête qui les guettent... Je prends une grande inspiration pour me calmer.
Des cris émanant d'une ruelle fréquentée du souk me tirent de mon introspection.
Si je ne suis pas curieuse de nature, le bruit caractéristique d'armes qui s'entrechoquent m'arrachent un large sourire carnassier. Je ne peux résister à l'appel du combat. Ca tombe à pic. Je me mets à sprinter, le sol tremblant à chacun de mes pas lourds et puissants et fichant la pétoche à tous les passants croisant mon chemin. Telle une mage la foule s'écarte littéralement devant moi. Il ne me faut que quelques secondes pour arriver sur les lieux de l'escarmouche. Une attaque de bandits en plein jour ? Une affaire qui a mal tourné ? Meh. C'est pas important. A quelques mètres de moi gît un type aux allures de noble. Je ne cogite pas.
Raaaaaaaaaahhhhhhh !
Mon cri de guerre est puissant. J'empoigne mon arme à deux mains avant de charger un type qui souhaite visiblement achever l'humain à terre. Mon arme s'abat sur mon adversaire figé de surprise et lui enfonce littéralement la tête dans le cou dans une gerbe de sang s'apparentant à un petit volcan en éruption.

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Elle est foutue, complètement foutue, quoi que je puisse faire, quels que soient mes efforts, je ne pourrais jamais la récupérer. C’est dommage, c’était une de mes chemises préférées, mais le blanc se salit vite, trop vite. Alors que j’allais péniblement me relever, je vois foncer vers moi, une sorte de géante rouge avec un immense bâton ! Je suis tellement surpris que je ne bouge pas et l’arme s’abat à quelques centimètres de ma tête !
Bizarrement, elle m’a loupé, elle doit être complètement mirro, jusqu’à ce que je reçoive sur le dos une sorte de pluie chaude et rouge. Il me faut quelques secondes pour comprendre que c’est du sang ! Maintenant, ma veste est aussi foutue ! Je me relève, voyant un bandit à proximité avec une tête en moins et qui est la cause de la perte d’un de mes vêtements.
Je soupire devant toute cette violence, moi qui déteste cela et j’indique à celle qui m’a sauvé, en m’inclinant brièvement :
Merci pour votre aide. Il semble que cette bande ait besoin d’une bonne leçon, si vous voulez bien aider mes hommes, ce serait fort appréciable.
Le sous-officier, lui, a réussi à me rejoindre et demande sans ménagement à l’oni aux deux cornes, se méfiant manifestement de la jeune femme :
Je suis le Sajenti Robert, qui êtes-vous ?
Bizarrement, elle m’a loupé, elle doit être complètement mirro, jusqu’à ce que je reçoive sur le dos une sorte de pluie chaude et rouge. Il me faut quelques secondes pour comprendre que c’est du sang ! Maintenant, ma veste est aussi foutue ! Je me relève, voyant un bandit à proximité avec une tête en moins et qui est la cause de la perte d’un de mes vêtements.
Je soupire devant toute cette violence, moi qui déteste cela et j’indique à celle qui m’a sauvé, en m’inclinant brièvement :
Merci pour votre aide. Il semble que cette bande ait besoin d’une bonne leçon, si vous voulez bien aider mes hommes, ce serait fort appréciable.
Le sous-officier, lui, a réussi à me rejoindre et demande sans ménagement à l’oni aux deux cornes, se méfiant manifestement de la jeune femme :
Je suis le Sajenti Robert, qui êtes-vous ?
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Mon Tetsubo s'enfonce dans l'humain avec une aisance déconcertante. Qu'est-ce qu'il sont frêles ! Mon sourire s'élargit de plus belle alors qu'une véritable pluie arrose les environs. Si cela ne se voit pas sur ma peau naturellement cramoisie, je constate que ce n'est pas le cas de l'autre humain qui vient de se faire éclabousser. Il n'a pas l'air très jouasse. Je hausse les épaules.
Meh.
Mon regard se porte de suite vers les autres qui s'affrontent à quelques mètres de nous. Je m'apprête à foncer dans le tas, sans faire de distinction évidemment, lorsque le noble m'adresse la parole. C'est pas le moment de me remercier ! Vas-y ! La baston est à portée de quelques foulées, lâche-moi la grappe !
Hmm.
J'acquiesce en signe de reconnaissance, le temps pour le chef des soldats sans doute chargés de la protection du noble de m'interpeller à son tour. Il demande de l'aide. C'est pas nécessaire. Tout ce blablabla me donne mal au crâne.
Ralariss Nioh Ryssen !
Je hurle avant de foncer dans le tas en direction d'une jeune femme. J'épargne les mieux équipés aux allures de soldats. C'est clairement pas de gaîté de cœur.
Meh.
Mon regard se porte de suite vers les autres qui s'affrontent à quelques mètres de nous. Je m'apprête à foncer dans le tas, sans faire de distinction évidemment, lorsque le noble m'adresse la parole. C'est pas le moment de me remercier ! Vas-y ! La baston est à portée de quelques foulées, lâche-moi la grappe !
Hmm.
J'acquiesce en signe de reconnaissance, le temps pour le chef des soldats sans doute chargés de la protection du noble de m'interpeller à son tour. Il demande de l'aide. C'est pas nécessaire. Tout ce blablabla me donne mal au crâne.
Ralariss Nioh Ryssen !
Je hurle avant de foncer dans le tas en direction d'une jeune femme. J'épargne les mieux équipés aux allures de soldats. C'est clairement pas de gaîté de cœur.

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J’ai droit à un grognement de la part de la géante rouge et je ne sais pas si c’est un oui ou un non. Elle donne ensuite son nom et son grade, à Robert, me confirmant ainsi que c’est bien une militaire. Puis elle charge et je me dépêche de dire au Sajenti :
Il n’est pas nécessaire de tuer tout le monde, notre rôle n’est pas de faire la police, juste de récupérer la commande de Mère.
En parlant de cela, je soulève quelques draps et je trouve finalement le marchand, transis de peur. Je l’époussette un peu et je lui demande en souriant pour le rassurer :
Désolé, pour le dérangement, pouvez-vous m’indiquer où est la commande de Dame Reys ?
D’un doigt tremblant, il m’indique un ballot de tissus et je lui réponds, prenant le paquet :
Merci beaucoup.
Je jette un coup d’œil sur mes soldats et je vois qu’ils refluent vers notre position, les voleurs eux, ont deux choix, soit s’enfuir, soit affronter la tornade sanglante et je peux voir qu’il y a très peu de membres de la mafia courageux ou suicidaire, c’est une question de point de vue.
Il n’est pas nécessaire de tuer tout le monde, notre rôle n’est pas de faire la police, juste de récupérer la commande de Mère.
En parlant de cela, je soulève quelques draps et je trouve finalement le marchand, transis de peur. Je l’époussette un peu et je lui demande en souriant pour le rassurer :
Désolé, pour le dérangement, pouvez-vous m’indiquer où est la commande de Dame Reys ?
D’un doigt tremblant, il m’indique un ballot de tissus et je lui réponds, prenant le paquet :
Merci beaucoup.
Je jette un coup d’œil sur mes soldats et je vois qu’ils refluent vers notre position, les voleurs eux, ont deux choix, soit s’enfuir, soit affronter la tornade sanglante et je peux voir qu’il y a très peu de membres de la mafia courageux ou suicidaire, c’est une question de point de vue.
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Quelques foulées me suffisent à arriver au contact. Sur ma gauche se trouve une soldate humaine légèrement blessée au bras. De l'autre, deux types bien plus costauds lui font face. Je n'ai pas vraiment le loisir, ni l'envie d'observer la situation avant de prendre ma décision. Après tout mon père n'a cessé de me rappeler au cours de ma courte vie que les actes valent mieux que les paroles. Et puis je vais pas lui demander si elle a besoin d'aide. Même si ça m'effleure brièvement l'esprit. Ca me ferait chier qu'un intrus viennent gâcher un beau combat.
Raaaaaahhhhhhhh !
Je brise le statuquo qui s'était installé entre la soldate et ses adversaires et je charge à l'épaule le bandit le plus proche. Ce dernier, surpris, ne peux rien faire pour empêcher le choc d'une rare violence. Le type n'a pas le temps de comprendre qu'il est envoyé valser une dizaine de mètre plus loin dans une échoppe. Si la femme soldat est surprise, elle se reprends rapidement et se charge de transpercer l'autre bandit de son épée. Ou de sa rapière peut être ? Je sais pas trop on dirait un cure-dent...
La violence des combats a visiblement eu raison de la volonté des bandits qui reculent les jambes chancelantes avant de tourner les talons devant moi. Hein, qui, que quoi ? Je m'élance à leur suite par réflexes, histoire de les achever et d'assouvir ma soif d'adrénaline. La peur leur donne visiblement des ailes...
Nooooon ! Revenez, bande de lâches !
Raaaaaahhhhhhhh !
Je brise le statuquo qui s'était installé entre la soldate et ses adversaires et je charge à l'épaule le bandit le plus proche. Ce dernier, surpris, ne peux rien faire pour empêcher le choc d'une rare violence. Le type n'a pas le temps de comprendre qu'il est envoyé valser une dizaine de mètre plus loin dans une échoppe. Si la femme soldat est surprise, elle se reprends rapidement et se charge de transpercer l'autre bandit de son épée. Ou de sa rapière peut être ? Je sais pas trop on dirait un cure-dent...
La violence des combats a visiblement eu raison de la volonté des bandits qui reculent les jambes chancelantes avant de tourner les talons devant moi. Hein, qui, que quoi ? Je m'élance à leur suite par réflexes, histoire de les achever et d'assouvir ma soif d'adrénaline. La peur leur donne visiblement des ailes...
Nooooon ! Revenez, bande de lâches !

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crédits : 2221
crédits : 2221
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Vocation: Mage Elementiste
Alignement: Loyal Neutre
Rang: B - Coeur
Un des bandits qui avaient attaqué et blessé une membre de ma garde personnelle, finit sa vie prématurément sous les coups de la géante rouge. C’est la débandade devant ce déferlement de violence, et tous les malandrins quittent les lieux. Tous sauf un qui tombe lamentablement par terre, les pieds pris dans un tapis.
Je me dépêche de le rejoindre, le chef de mes protecteurs à mes côtés, il s’agit d’un jeune homme, tout juste sortit de l’adolescence, je ne lui donne pas plus de seize ans. Il me regarde d’un air terrifié et regarde dans la direction de Ralariss Nioh Ryssen. Une odeur désagréable sort de sa personne et j’en comprend vite la cause, voyant une tâche sur son pantalon. Il s’est littéralement pissé sur lui. Je suis rarement enclin à la pitié, mais là, il me fait vraiment de la peine alors je m’approche de la guerrière pour lui demander :
Pourriez-vous lui laisser la vie sauve ?
Si elle accepte, je le laisserai partir, je pense qu’il arrêtera de jouer les durs à partir de cet instant, traumatisé à vie par ce qu'il vient de ce passer.
Je me dépêche de le rejoindre, le chef de mes protecteurs à mes côtés, il s’agit d’un jeune homme, tout juste sortit de l’adolescence, je ne lui donne pas plus de seize ans. Il me regarde d’un air terrifié et regarde dans la direction de Ralariss Nioh Ryssen. Une odeur désagréable sort de sa personne et j’en comprend vite la cause, voyant une tâche sur son pantalon. Il s’est littéralement pissé sur lui. Je suis rarement enclin à la pitié, mais là, il me fait vraiment de la peine alors je m’approche de la guerrière pour lui demander :
Pourriez-vous lui laisser la vie sauve ?
Si elle accepte, je le laisserai partir, je pense qu’il arrêtera de jouer les durs à partir de cet instant, traumatisé à vie par ce qu'il vient de ce passer.
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