DiscordDiscord  
  • AccueilAccueil  
  • CalendrierCalendrier  
  • FAQFAQ  
  • RechercherRechercher  
  • MembresMembres  
  • GroupesGroupes  
  • S'enregistrerS'enregistrer  
  • ConnexionConnexion  
  • bienvenue
    ×
    navigation rapide
    lore
    général
    systèmes
    jeu

    menu
    Top-sites
    Votez!
    top sitetop sitetop sitetop site

    Derniers messages

    Avatar du membre du mois
    Membre du mois
    Siame

    Prédéfinis

    PrédéfiniPrédéfiniPrédéfini
    Rencontre particuliere [Sullivan] JvNj4PH
    Gazette des cendres
    Été 2024
    Lire le journal
    #7
    RP coup de coeurCoeur

    RP coup de coeur

    Le Coeur de Melorn
    Derniers sujets
    Aller en bas
    Invité
    Invité
    Anonymous
  • Jeu 22 Sep - 23:47
    Il était assit tranquillement sur le siège avant de sa carriole, se déplaçant dans les rues de Liberty. Il avait au départ songé que cela pourrait poser un quelconque problème, mais finalement, il avait découvert que par ici, les carrioles servaient même de taxi. Un bonheur. Il n'aurait pas à marcher. Il observait à peine ce qui se trouvait tout autour, le nez enfoncé dans le petit carnet a l'intérieur duquel il griffonnait.

    Il avait sa pipe à la bouche, et une jambe passé au dessus de son autre cuisse pour servir de table à son écriture. Il essayait de faire un récapitulatif de sa matinée. Il écrirait sur la ville plus tard, il avait trop peur d'oublier un détail sur toute la dernière partie de son voyage, depuis qu'il avait été en vue de la ville, jusqu'à ce qu'il entre à l'intérieur. C’était sa première fois en République. Et encore plus à Liberty. Enfin, tout du moins, la première fois de ses souvenirs.

    La direction était clair. L’académie. Berceau du savoir de cette partie du monde, un paradis pour lui. Tellement de livres à découvrir. Il en lirait autant qu'il le pouvait, et réécrirait ses impressions et les connaissances accumulés. Et il y passerait des années, des siècles, des millénaires si il le fallait.

    Mais aujourd'hui, il avait un autre objectif. Une personne toute particulière avait retenue son attention. Un nom, qui était revenu plusieurs fois parmi des personnes qu'il avait rencontré. Un professeur de l'académie. Un virtuose dans son domaine. La magie et visiblement, les maladies, diverses et variés. Leurs études. Leurs mises en pratique. Un sujet fascinant.

    Il avait bien envie d'écrire sur le sujet.

    Il se redressa, en baillant. Il était arrivé, le gigantesque lieu s'exposant devant ses yeux. Il se redressa de toute sa hauteur, et observa avec des yeux intrigués, un brin enfantin devant un nouveau jouet. Puis il hocha la tête, satisfait. Ce lieu serait une bonne source d'inspiration. Intérieurement, il se demanda combien de temps il parviendrait a captiver son attention. Il se lassait assez vite.

    Il sauta de la dernière marche, et s'étira. Un homme s'approcha, et après une brève tractation, dirigea son chariot vers un endroit adéquat pour éviter qu'il reste dans le passage. Contre une modeste somme, ses biens seraient surveillés, et ses chevaux nourrit et abreuvés. Parfait. Il faisait toujours en sorte de trouver quelqu'un pour le faire à sa place. Ce genre de travaux étaient inintéressant a ses yeux.

    Il fit bien attention à ne rien laisser paraître de ses ailes, seul élément physiquement permettant de le différencier d'un humain. Et malgré ça, il constata, comme souvent, qu'on se retournait un peu sur son passage. Au delà de sa taille et sa carrure athlétique, il semblait débordait d'une aura difficile a décrire. A la fois oppressante et douce, lumineuse et intrigante.

    - Excusez moi, mademoiselle. Je cherche le professeur Sullivan. Je crois que c'est son nom.

    Aucune réponse d'abord. Puis une rougeur qu'il reconnut aisément. L'attirance habituelle des jeunes humaines pour sa personne. Il n'avait pas vraiment besoin d'utiliser une quelconque magie. C’était peut être sa nature plus spirituelle qu'un humain ordinaire ? Il n’était pas bien certain lui même de sa provenance. De son identité. De sa race. Mais de ce qu'il avait trouvé, il était plutôt rare, et même précieux. Il était lui même une curiosité.

    Elle lui indiqua maladroitement un chemin, que l'ange s'empressa d’empreinte. Il marchait d'un pas calme, emplit de sérénité, observant tout avec ses grands yeux. Un couloir, une petite cour, une grande porte en chêne de plusieurs mètres de haut, donnant sur un nouveau bâtiment. Un hall stylisé par des années d'entretiens et de pensées diverses. Un haut lieu de la science et de la pensée.

    Finalement, il déboucha dans un grand amphithéâtre. C’était de cet endroit qu'on lui avait parlé en lui indiquant la route. C’était visiblement par la que la personne recherché donnait des cours. Il poussa la porte délicatement et referma derrière lui. Il n'y avait personne a priori. Il se tint au sommet de l'escalier, les mains liés a l'intérieur des manches larges de sa tunique, observant en silence le vide de la salle de classe.
    Invité
    Invité
    Anonymous
  • Sam 24 Sep - 10:44
    « Le cours est terminé. Merci à tous. »

    Au milieu des brouhahas et des potins qu’échangeaient la centaine d’étudiants quittant l’amphithéâtre, le Professeur Coleman rassembla ses affaires et les nombreuses copies du jour. Les travaux de groupe étaient détaillés et approfondies dans une vingtaine de dossiers, eux-mêmes constitués de nombreuses pages. Il prit l’ensemble sous son bras, sa mallette dans sa main libre, et rejoignait d’un pas lent l’arrière-salle.

    Les cours s’enchaînaient plus rapidement qu’à l’accoutumer à la suite des événements récents frappant le monde, la République souhaitant encore plus renforcer les capacités des élèves sortant de leur cursus. Sullivan était frustré par ce changement de rythme, ne lui laissant que peu de temps pour ses affaires plus… personnelles. Il ne trouvait que très peu de temps pour lui, et sacrifiait nombre d’heures de sommeil pour s’affairer à ses diverses expériences dans son laboratoire.

    « Bien, qu’avons-nous aujourd’hui… »

    Les travaux de ce mois-ci consistaient à rédiger et détailler des documents et des études concernant une maladie choisie par chacun des groupes d’élèves, et comment les mettre en application magiquement. Les plus timides et encore réservés choisissaient des afflictions presque bénignes, tandis que les étudiants les prometteurs versaient déjà dans les infections mortelles de masse. Ces derniers étaient sur une voie délicieuse, selon le Professeur Coleman.

    Il saisit le dossier d’un de ces groupes, et commença à le feuilleter.

    Groupe 4 – Etude de la Folie de la Goule:

    « Brillant, brillant… C’est en effet une des possibilités. »

    Sullivan continua à feuilleter le dossier, avant de passer aux suivants. Ce travail sur lesquels les élèves ont dû plancher constitue une part importante de la validation de leur année. En effet, le sujet revient très régulièrement dans l’examen de fin de cinquième année, et fournir un travail satisfaisant avec ces dossiers est primordial pour pouvoir envisager de valider son année.

    Le soleil commence à éclairer de plus en plus la pièce, signe de la fin de matinée de part son exposition. L’estomac du professeur commençait à légèrement gronder, probablement dû au fait qu’il ait sauter le dîner de la veille pour s’affaire à ses expériences pendant une bonne partie de la nuit. Il sortit un carnet de sa mallette et se mit à le feuilleter.

    Ce petit livret, dans lequel il prenait soin d’écrire ses notes de manières assez obscures pour éviter d’éveiller les soupçons si quelqu’un tombait dessus, résumait brièvement les différentes expériences et avancées scientifiques sur lesquels il travaillait en ce moment. Tout était rédigé de manière assez floue, sans trop de détails, et avec quelques tournures codées.

    Son projet actuel, une de ses grandes fiertés, était de réussir à faire tenir une maladie magique dans un objet. Quand il s’agit de matière organique, cela est assez simple, car les cellules entretiennent la maladie et sa magie. Dans le cas d’un objet inanimé, comme une lettre ou un couvert, cela s’avérait bien plus compliqué. Il existe tant de matériaux aux propriétés différentes dans le monde qu’il devait presque y réfléchir au cas par cas. Mais quelle puissance destructrice il tiendrait entre ses mains s’il y parvenait.

    Sullivan rangea ses affaires et se dirigea à nouveau vers l’amphithéâtre. Il sortit de l’arrière-salle qu’il prit soin de refermer à clé, et commença à se diriger vers le réfectoire. Cependant, son regard resta fixé sur un individu, assis en silence en haut de l’amphithéâtre.

    « Bonjour, je ne suis pas sûr que vous ayez le droit d’être ici. Qui êtes-vous ? »
    Invité
    Invité
    Anonymous
  • Jeu 29 Sep - 20:28
    Aryan, en arrivant dans la salle, était d'abord resté debout un petit moment. Il avait beaucoup sentit l'air, observé la forme de la salle, la position des sièges. Il avait voguer dans les petites coursives séparant les différentes rangés, et ferma les yeux, essayant d'imaginer une foule d'humains rassemblés la, écoutant avec la béatitude de l'ignorance le maître de conférence débiter avec une rigueur imposé par le savoir, ses révélations.

    Il avait cru comprendre que ce fameux professeur était un maître dans la connaissance de diverses maladies, notamment théoriquement, dans la façon de les créer, les diffuser, les contrer. Il n’était pas totalement certain de tout et lui demanderait directement, de toute manière. Ce serait clairement plus simple.

    Aussi il avait patienté une bonne demi-heure, jugeant de l'architecture des lieux, clairement assez ancienne en comparaison de le gros de la ville. Il avait fait l’hypothèse que les bâtiments de l'école devaient sans doute être plus vieux qu'une grosse partie de la ville, et qu'elle avait été construise tout autour. C’était sans doute la base même de la ville qui se trouvait ici.

    Finalement, après un peu de patience, il remonta vers le haut de la salle, non loin de la porte par laquelle il était entré, et tomba assit dans un siège, posant les mains a plat l'une sur l'autre sur le pupitre devant lui. Il avait une sacoche accroché en bandoulière, dans laquelle était rangé son nécessaire pour l'écriture, en portatif.

    La porte s'ouvrit en contrebas, sans qu'il ne fasse d'abord de vrai geste. Mais ses yeux avaient bougés, tel un oiseau de proie se posant sur sa cible. Et il ne pu s’empêcher de sourire. Un homme, venant par un accès visiblement réservé aux professeurs, dans la salle ou son homme était censé se trouver.

    - Cheveux courts généralement tirés en arrière, teint légèrement maladif, barbe taillé de prêt recouvrant un morceau de la partie inférieur du visage...

    Il se leva, et chacune de ses mains glissant dans la manche opposé jusqu'à ce qu'elles s'unissent, faisant disparaître ses bras. Il s'écarta délicatement, marchant en pas chassé pour rejoindre la travée la plus proche, et les escaliers, qu'il commença a braver pour approcher du professeur.

    - Faisant généralement ses courts dans l’amphithéâtre numéro quarante-quatre, celui situé au plus au nord de l'aile est de l'académie. Environ un mètre quatre-vingt pour un poids estimé dans les 73 ou 74 kilo... ? Je pense que oui, je suis au bon endroit.

    Il n'avait pas eu besoin de ressortir le carnet ou il avait noté ces informations. Il les avaient encore bien en tête. Il avait interrogé des étudiants, la veille, dans une taverne proche d'ici. Histoire d'avoir un peu plus d'informations et de pouvoir retrouver le personnage plus facilement. Cela n'avait pas été bien dur. Son charisme naturel, couplé a quelques pièces, et ils étaient vite devenu des moulins a paroles.

    - Pardonnez moi, je ne savais pas qu'il fallait une autorisation pour venir jusqu'ici ? J’étais a votre recherche, a vrai dire.

    Il acheva de s'approcher de toute sa hauteur, son gabarit naturel aidant a lui donner de l'ampleur, dans la pièce close. Il n’était pas si grand, pour un ange, et aucune caractéristique physique n'aurait pu le relier a autre chose qu'un humain. Mais l'intensité de sa présence, couplé à son regard argenté, suffisait à faire dire que c'etait quelqu'un de pas vraiment banal. Peut etre meme qu'il commençait a etre connu par ici, du bouche a oreille des marchands.

    - Enfin, je vous cherchais...si vous êtes bien le professeur Coleman ?

    Il se planta en bas des marches, a mi-distance de l'humain, et sourit.

    - Je suis Aryan Iceshade. Voyageur, entrepreneur, conseillé, scribe....et curieux...de vous rencontrer. J’espère que je ne dérange pas votre emploi du temps.
    Permission de ce forum:

    Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum