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  • Dim 30 Oct - 15:53
    Salutation! J'ai modifié la forme de ma présentation pour que celle-ci soit un peu plus visible et agréable à l'œil. J'ai aussi rajouté deux paragraphes pour bien imager les outils et l'utilité de la cape Nocturne. Le premier code est pour Description physique et mentale, le deuxième est pour Histoire ou test-rp.

    Code:
    [spoiler="Apparence"]Son teint est pâle, conséquence de son mode de vie nocturne. La fatigue trône son visage, lui créant des poches sous ses yeux, et son regard est taché de tristesse. Pourtant, tous ces détails contrastent avec le sang vif qui se miroite sous la peau de ses joues, comme si une flamme intérieure persistait à brûler en lui.  Un léger sourire mélancolique repose sous ses lèvres. Sa chevelure noir ébène est sale, frisée et souvent attachée lorsqu’il opère et que la discrétion est de mise. Sa barbe, elle, est assez courte pour supposer qu’il la taille quotidiennement. Un regard inquisiteur pourrait apercevoir les nombreuses coupures qui se cachent sous celle-ci.

    Ses accoutrements pourraient être désignés comme appartenant à ceux d’un noble provocateur. Lorsqu’il veut se fondre dans la masse en tant que citoyen, il a tendance à porter une chemise ainsi qu’un gilet. Une vilaine cicatrice gît le long de son avant-bras gauche, caché la plupart du temps par ses habits. S’il doit travailler, Valdis se dissimule sous l’élégante cape intitulée [i]Nocturne[/i] et son armure de cuir.

    L’accoutrement le fond dans la nuit et lui permet une grande liberté de mouvement. La cape à été conçue pour ne pas entraver son porteur, s’attachant à l’épaule et ressemblant à un large foulard. Lorsque le voleur souhaite se fondre dans les ombres, il peut la déployer grâce à un petit loquet et permettre à la cape de s’étendre à sa véritable masse : un voile de ténèbres, engloutissant la lumière et les sons ambiants grâce à la propriété magique qu’elle possède.

    Les outils du rat de ruelle sont multiples polyvalents. Griffe métallique pour escalader les toits les plus apiques, grappin, clé passe-partout, fine dague dissimulée dans un brassard en cuir, gallet translucide servant à orberver les détails les plus minutieux et une vaste panoplie de crochets ne sont qu’une partie des objets qu’il use quotidiennement. [/spoiler]


    [spoiler="Capacité physique"]Lorsqu’il doit agir, Valdis se déplace à une vitesse phénoménale. Agile, il use d’acrobatie pour se mouvoir sur les toits et les corridors, se faufilant dans les ombres et ne se dévoilant qu’en dernier recours. Lorsque sa vie est en danger, Valdis manipule une simple dague pour se protéger. Usant de son corps plutôt que la lame, il préfère désarmer ses adversaires plutôt que d’asséner des coups mortels.
    Lors d’un conflit, il use d’insultes et de mouvements théâtrales pour narguer sa cible et obtenir l’avantage, bien que cette technique lui ait valu de cuisants échecs dans le passé.[/spoiler]

    [spoiler="Personnalité"]
    Quelques instants à discuter avec Valdis suffit à observer son côté charmeur et joueur, préférant risquer le destin de ses entrailles plutôt que d’être en sécurité chez lui et vivre une vie sans danger. Le jeune voleur est difficile à cerner, non par sa manière de s’exprimer, mais par son personnage qu’il prétend être. En effet, Valdis est loin d’être enjoué par la vie qui l’entoure, mais c’est avec ce masque de bonheur qu’il réussit à persister et aider autrui. Il sait, toutefois, admirer la beauté des petites choses et chérit ces moments chaleureux dans ses multiples facettes : allongé sur un toit à observer le soleil apparaître sur l’horizon autant que de savourer le somptueux goût âcre d’un vin de minuit.

    Il détient une certaine prestance due à son ton de voix et sa manière de gesticuler, qui laisse présumer une certaine attirance pour les arts et le théâtre. Il n’est pas rare de le voir se prosterner ou de s’exclamer lors de discussions quotidiennes, ce qui agace ses amis les plus proches et charme les inconnus.

    Valdis, au cours de ses années de fuites à travers le continent, à dus user de mensonges et de manigances pour se sauver de situations délicates. Pour Valdis, un mensonge est à la fois un coup sûr et un risque.[/spoiler]

    [spoiler="Don divin"]Disposant d’un don dès sa naissance, le jeune homme détient la capacité d’invoquer une douce lumière dans la paume de ses mains, illuminant de ce fait même son regard. Pour Valdis, ce don est avant tout une source de conflits internes, enseigné à l’utiliser pour punir et blesser, non pour soigner et assister.

    Depuis la nouvelle arrivée des titans et la chute de ceux-ci, Valdis n’ose plus utiliser ce pouvoir, oubliant même qu’il le possède.
    [/spoiler]

    Code:
    [spoiler="Enseignement"]
    L’enfant avait illuminé la vie d’Elwin depuis même la naissance. Il naquit sous la douce lumière des divins. La mère, un être supérieur, un ange serviteur des titans, ne resta pas bien longtemps, laissant derrière elle le paladin qu’elle avait aimé et leur enfant miracle.

    Il l’avait nommé comme son père, honorant la fière lignée de guerrier divin qui le précédait : Valdis. Le paladin avait observé le pouvoir que son fils possédait, une habilité innée à invoquer et manipuler la douce et réconfortante lueur des divins. Il s’exclama devant la foule d’hommes qui constituait la garnison du bastion [color=#ffffff]« mon fils illuminera ce monde; un cadeau du Royaume Divin! »[/color]

    L’apprentissage de l’enfant miracle commença quelques années après, dès qu’il sut utiliser une épée et user la langue. Plusieurs maîtres se sont effectués à la tâche, démontrant à l’enfant les arts de la guerre, les cultures du monde, d’user de la logique, de la compassion. Bien sûr, nul enseignement n’était exempté de mentionner la grâce des êtres titanesques qui avaient foulé ce monde à de nombreuses reprises, de la grâce divine que les titans étaient constitués, des nombreux bienfaits qu’ils avaient emportés à ce monde depuis sa création et du futur glorieux qu’ils réservaient à Sekai. Bien sûr, il apprit aussi la colère divine. Valdis, encore qu’un enfant, comprit rapidement son rôle dans cette société : apporter la gloire divine au peuple et punir ceux qui s’étaient égarés, tel était sa mission.

    On lui apprit aussi les bienfaits de la lueur qu’il pouvait invoquer, des blessures qu’ils pouvaient souder et cicatriser en une fraction de seconde, des flammes divines qu’ils pouvaient user pour terrasser l’adversité. L’enfant, encore que très jeune, ne pouvait utiliser son don comme le décrivaient ses maîtres et son père. Alors, il se pratiqua, brûlant superficiellement des mannequins de pailles, soignant ses égratignures que ses chutes à l’entraînement lui avaient causées.

    Il lui tardait de devenir un glorieux paladin à la tête d’une armée, brandissant une lance infusée de lumière pour faire face au terrible adversaire des titans.[/spoiler]

    [spoiler="Chute de la mascarade"]Les années avaient filé, le bambin était devenu un jeune garçon, capable de petites prouesses et de manipuler tangiblement son don, bien qu’ayant encore bien du chemin devant lui. Ses douze ans annonçaient, d’après son père, un chapitre de sa vie qui se terminait et le début d’un nouveau : celui du guerrier.

    Les premières lignes de ce chapitre devait naître dans un baptême de feu, un premier trait de sang que le jeune guerrier allait faire couler. Valdis ne savait pas ce que son père voulait dire par là, il supposait qu’il parlait d’un simple rite comme ceux qu’il avait déjà participé auparavant.
    Il sut qu’il s’était trompé lorsqu’un homme, blessé et scarifiés, se trouvait à genoux devant lui, tenu par deux gigantesques guerriers en armure au sol. L’homme grognait et était visiblement blessé, de larges coulés de sangs parcourant son corps. Le premier réflexe du jeune enfant fut d’invoquer la douce lumière pour refermer les plaies, mais dès qu’il s’approcha, son père éleva sa voix.

    [color=#ffffff]-Cet homme est un hérétique, traître de notre ordre et ne mérite que le châtiment divin. Accomplis ton devoir, fils. Prouve aux titans ta dévotion et renaît sous l’écusson du guerrier.[/color]

    Valdis ne pouvait se résoudre à agir. L’homme était sans défenses et visiblement vaincue. Une exécution de sang-froid ne serait qu’un acharnement, une action superflue. Il avait eu la chance, lors des maigres opportunités qu’il avait reçu d’explorer les cités environnent, d’admirer l’harmonie des différentes croyances de Shoumeï, de la liberté de chacun de se forger son propre chemin et de croire en bon lui semble, maître de son destin.
    Ceci était une contradiction à cette vision, un péché envers le royaume.

    Crispé, Valdis s’enfuit dans ses pensées, convaincue que ce n’était qu’une erreur, un simple test pour prouver sa loyauté envers le monastère. Lorsqu’il ouvrit les yeux, la volonté du jeune garçon de ne pas agir s’éclipsa : il ne pouvait confronter le regard enflammé de son père. Il canalisa le mana qui résidait en lui, sa flamme intérieure, et observa le prisonnier s’enflammer.

    L’enfant se rua à sa chambre, perturbé par ses actions. Il n’avait jamais observé la mort, celle-ci n’avait été qu’un mot utilisé dans les comptes pour indiquer la défaite. La mort, le vrai trépas, n’avait rien de romanesque, surtout lorsqu’elle était infligée par ses propres mains. Il ne dormit pas cette nuit-là, ni celles qui suivirent, conscient de la terrible vérité du domaine en laquelle il résidait et servait.[/spoiler]


    [spoiler="Résistance"]La lame de l’épée trancha la chair et cessa sa tombée en fracturant l’os de l’avant-bras. Un crie de rage surgie des poumons de Valdis, une colère vis-à-vis des hommes qu’il chérissait autrefois. Le chevalier qui avait tenté d’abattre son arme sur une cultiste des ombres s’étonna d’apercevoir son allié s’interposer.

    [color=#ffffff]-Que fais-tu, sale imbécile![/color]

    [i]Il mettait fin à cette mascarade, ce crime envers l’humanité.[/i]

    Le colosse en armure extirpa le tranchant de la lame du bras de l’enfant et, de son gantelet métallique, fit valser ce dernier derrière lui. Il souleva de nouveau son arme. L’enfant miracle n’avait plus la force d’intervenir et se détourna, vaincue et impuissant.

    Valdis se mit à geindre à la vue de son bras, une triste vue d’un morceau rattaché à un autre par les nerfs et les os. Il était destiné à être amputé, mais il n’avait que faire du destin. De sa main gauche surgit un faisceau de lumière qui imprégna sa blessure vicieuse, reconstituant ce qui était autrefois.
    C’était le début des doutes, le début du conflit. Elwin, son père, s’offusqua lorsqu’il apprit la tentative de son fils de protéger l’ennemie. Il s’enragea lorsque Valdis lui confia son désir quitter les murs du monastère, sa demeure, pour se forger une vie en autre lieu. Il devint fou lorsqu’il surprit son enfant miracle armée d’un sac, prêt à quitter lorsque la lune était à son zénith.

    Ta lumière illuminera le ciel, toi, mon enfant miracle! Tu apporteras la volonté des titans sur ces terres et les inonderas de leurs glorieuses puissances! Reviens, suis le divin chemin qui t’est destinée!

    Les mots de son père résonnaient dans l’esprit du jeune homme quelques instants suite à son départ. Il disparut dans la nuit, laissant derrière lui son enfance et le monastère de son père : une honte du culte des divins; des criminelles fanatiques.[/spoiler]


    [spoiler="Errance"]Des années plus tard, quelques mois après le début de la guerre, l’enfant miracle avait atteint Liberty après une longue errance sans but.
    Liberty était une opportunité pour Valdis, une nouvelle chance de laisser sa marque en ce monde, de l’influencer tel qu’il le souhaitait autrefois. Depuis le deuxième réveil des titans, nombreuses problématiques étaient nés au sein de la république et le jeune homme avait les moyens d’en régler quelques-unes.

    Des marées de victimes de la guerre de l’Ouest inondaient les portes et les rues de la cité, ce qui attristait Valdis qui, tel un ange gardien, errait parmi eux et usaient de son don pour soigner les plus salement amochés. Offrir un tel réconfort graffait un large sourire à ses lèvres.
    Mais la triste réalité le rattrapa. La guerre dans l’Ouest n’était pas une guerre typique, c’était une guerre contre les divins, les titans venus des cieux pour anéantir, une guerre contre ces colosses et leurs servants.

    La lueur divine qu’il apportait n’était plus synonyme de chaleur et de bienfait, mais de meurtres et de tragédies. Il se fit chasser tel un clébard, pourchassés par une meute de veuves et d’orphelins. Il vécut quelques mois reclus de la société, se résignât d’utiliser son don pour soigner le malheur. Il n’était plus qu’un fantôme, récoltant informations du front et vivant une sèche vie.

    Lorsque la nouvelle de la chute de Shoumeï atteignit les oreilles du jeune homme, une partie de lui se fractura. Son père avait sûrement succombé aux terribles assauts des titans qu’il s’entêtait à vénérer autrefois. Son don provenait des entités qui avaient terrassé une nation entière, son don était désormais un symbole de l’annihilation.  

    Il devait abandonner ce fragment de son être, celui qui était connecté à ces monstres divins.[/spoiler]


    [spoiler="Rat de ruelle"]Sous un torrent de cris, la grande fenêtre qui donnait sur le balcon du deuxième étage céda à l’impact du corps de la silhouette. Celle-ci n’avait pas le temps de s’arrêter, seulement la possibilité de courir, de s’enfuir. Telle une ombre, elle franchit le garde qui empêchait les pauvres fous de tomber du haut du balcon et sauta.

    Valdis n’était qu’un trait d’encre dans la nuit, illuminé par la lune et les lampes arcaniques qui donnaient à cette escapade nocturne une teinte bleuâtre.Les deux pieds désormais sur le toit d’en face, il se retourna, observa derrière lui la vieille bâtisse qu’il venait de s’extirper et sourit alors que trois hommes submergeaient de la fenêtre. Des hommes de la pègre, des ordures de la société à ses trousses. Sans même broncher, Valdis se courba, une prosternation élégante, saluant ainsi les hommes et esquivant un carreau d’arbalète qui se perdit dans les tréfonds de Liberty.

    [color=#ff3399]- Au plaisir de vous revoir![/color] Dit-il avant de s’éclipser en parcourant les toits, son véritable chez soi.

    Les voix émanaient des ruelles de Liberty, des voix teintées de rage, questionnant et intimidant les citoyens aux alentours pour dénicher le voleur de la cape Nocturne. Les cris et les hurlements résonnaient dans la cachette de Valdis, un simple abri de fortune sur un toit recouvert d’un petit tissu. Ce n’était guère l’endroit le plus sécuritaire, mais c’était tout ce qu’il possédait pour le moment.

    Il prit un moment pour observer la cape qu’il s’était emparé. Pour être honnête, ce n’était pas la cible de cette escapade, cette cape lui était inconnue. Ce n’était qu’un simple accoutrement qu’il s’était emparé lorsqu’il aperçut qu’il ne pouvait rester plus longtemps dans le manoir et devait prendre sa fuite. Semblerait-il qu’il n’avait pas usurpé un simple morceau de tissu.

    La cape semblait ordinaire, bien que d’une conception immaculée: le tissu noir était doux au toucher et ne semblait pas terni par la saleté, des boucles en or étaient utilisées pour garder la cape en place. Valdis dut prendre quelques moments pour observer ce détail intrigant : la cape semblait avoir un effet tangible sur le monde qui l’entourait. La lueur de la lune qui perçait le drap troué qui faisait guise de toit semblait s’éclipser au contact de la cape, tel un trou noir, absorbant la réalité et ne créant que ténèbres.

    Valdis sourit. C’était l’une de ses premières grandes acquisitions dans cette ville de la république. Il se glissa sur le hanap qui lui servait de lit et s’endormit, bercé par la douce mélodie de ses chasseurs, perdue dans les bas-fonds inexplorés de la cité.

    Le soleil se soulevait de nouveau par-dessus l’horizon. Le jeune voleur observa la République se réveiller, les petites boutiques s’animer de vie et les rues s’infester de citoyens avides. De nouveau, Valdis braqua son attention sur la paume de ses mains. Il se concentra, stimulé par le doux toucher du soleil chaleureux, et tenta de canaliser sa flamme interne pour invoquer la lumière de jadis. De nouveau, la lumière était remplacée par une brève lueur qui peinait à rester active dans ses mains, disparaissant rapidement aussi rapidement qu’elle apparut.

    Il sourit. L’enfant miracle était véritablement disparus, il était maître de sa destinée. Il agrippa la cape qu’il intitula Nocturne, l’enfila aussi aisément qu’il l’avait usurpé et se rua hors de sa cachette. Il n’était désormais qu’un rat de ruelle, et cela lui allait [i]amplement.[/i] [/spoiler]
    Divinité primordiale
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    L'Âme des Cendres
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  • Lun 7 Nov - 3:04
    C'est fait !


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