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  • Jeu 10 Nov - 9:53
    Subterfuge
    30 Octobre an 3


    Il fait nuit noir, je me faufile d’un pas precipité vers les docks de la ville de Justice. Un rictus aux lèvres suite à des informations plutôt alléchantes. Après plus d’un mois, j’ai enfin réussi à avoir une piste pour rencontrer une personne ayant un lien avec le réseau que je recherche. Il y a quelques jours auparavant, un citoyen aura eu la main charitable et m’aura permis de reprendre de l’assurance. J’eus même le droit à un traitement de faveur et me voici rempli de ressources ! Il suffit parfois d’une simple rencontre pour changer votre vie.

    J’emprunte les chemins peu éclairés, parvenant à détourner les gardes qui font leur ronde dans le coin. Prêt à reprendre du poil de la bête. Coiffé et présentable, il est temps de partir en quête, afin de trouver ma voie. Justice, le royaume aux multiples facettes, je suis enfin rassuré de pouvoir me dire que je ne mourrai pas comme un chien errant sur un banc au milieu d’un parc, par exemple. Aussi agile qu’un chat, je perçois les odeurs de poissons frais et de marée qui s’immiscent dans mes narines. Avec mon regard, je contemple les mâts qui se dressent dans mon champ de vision et commence à ressentir une certaine adrénaline. Peu importe comment cela se passera, mon destin va enfin changer, j’ose l’espérer.

    Après tant de temps à galérer, j’arpente les quais remplis de caisses en bois et de multiples outils. Le son du clapotis de l’eau qui résonne dans mes oreilles me berce, l’air frais est vivifiant. A l’affût du moindre bruit suspect, je continue d’inspecter les lieux sans rencontrer âmes qui vivent. A cette heure-ci, la plupart des marins dorment ou se retrouvent dans les caves et les tavernes à festoyer. Le hululement d’une chouette, une bagarre de chats, quelques souris qui grignotent les sacs de blé sur le chemin, voilà un endroit bien vivant.

    J’attends sagement à un endroit, le dos contre un pan de mur et souhaite rencontrer la personne qui fait partie du milieu de la pègre. Mon cœur est emballé, mes muscles légèrement tendus par l’excitation et surtout, je souris, ce qui ne m’était pas arrivé depuis mon arrivée en ville. Il est vrai qu’on a souvent tendance à dire que les docks sont une cachette pour les coupes-jarrets et que la milice s’y aventure peu. Pourtant, à chaque fois que j’y allais, rien ne s’y passait. Peut-être était-ce dû à mon odeur de chacal ou à mon apparence démoniaque.

    Les drakyns sont mal vus, d’autant que l’on compare le tempérament des drakyns à celui du roi Tensai. Impulsif, bagarreur, tête-brûlée… Ils n’ont peut-être pas tort. Je ne suis pas comme mon ancien chef, bien que j’ai toutes les caractéristiques qui s’y apparentent. Il faut dire que j’ai été élevé à la dure, hein. Mes poings se serrent à cette pensée. Tout à coup, mon ouïe m’alerte, quelque chose ou quelqu’un approche. Je reste caché avec ma main sur la garde de mon épée, préférant assurer mes arrières.
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    Anonymous
  • Ven 11 Nov - 15:02
    Il avait finalement compris que c’est moi qui menais la danse et toute tentative pour reprendre le dessus étaient vaines. D’ailleurs, il avait dû accepter mes conditions de vente sans la moindre vraie négociation. Il faut dire que j'avais été à deux doigts de lui passer ma lame au travers du corps par deux fois. Peut-être l’avait-il senti dans le regard froid que je lui avais adressé à plusieurs reprises.

    Nous avions bu pour sceller nos accords jusqu’à la fermeture de la taverne. Fort heureusement, j’avais l’habitude et l’art de faire plus picoler les hommes que moi-même. Ce qui m'évitait d’être complètement saoul pour retourner au bateau. À peine un peu éméchée lorsque je me décidais à me glisser dans les ruelles telle une ombre. La nuit était sombre, tout juste éclairée par quelques faibles rayons de lune, mais cela me convenait parfaitement.

    Je pouvais me relâcher et ne plus être complètement Roc, ma seconde identité. J’en avais profité pour détacher mes cheveux, les laissant libres au vent et j’avais profité de ce moment de tranquillité pour longer les docks. Une mauvaise habitude apparemment, puisque soudainement, mes sens se mirent en alerte pour m’indiquer le danger. Oh, bien sûr, je ne savais pas exactement la nature du danger, mais dans mon milieu, c’était très certainement une tentative d’attaque, non ? Je sortis mes lames et me déplaçais à pas de loup pour tenter de voir d'où l'attaque allait venir et sous quelle forme.

    Finalement, au bout de quelques secondes, je ressentis une présence non loin de moi. Je n’avais ni le temps, ni le désir de jouer au jeu du chat et de la souris aussi, je me stoppais et observais rapidement les lieux avant de parlais juste assez fort pour que l’intrus puisse m’entendre.

    - Qui que vous soyez, je vous conseille de sortir et de vous présenter… Dans le cas contraire, je prendrais cela pour une tentative d’agression…

    La menace était-elle suffisamment claire ? Si je considérais qu’il y avait agression, tuer pour me défendre n'était clairement pas un problème. Mais peut-être que j’avais seulement développé une trop grosse paranoïa depuis tout ce tant à traîner avec la fange de la société…
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    Anonymous
  • Jeu 17 Nov - 8:45
    Je reste calme malgré le ton impérieux de la voix qui ordonne à l’intru de se présenter. J’eus un rictus et commença à retirer ma main vers le pommeau de mon épée. Refermant ma houppelande de cuir pour cacher mon arme, j’avance d’un pas lent. Sortant les mains en l’air de ma cachette, je montre à l’étrangère que je ne souhaite aucunement chercher le conflit. Après tout, depuis mon arrivée en ville, ce fut déjà assez tragique de devoir dormir dans les rues de Justice, tout en sentant le rat crevé et de ressembler à un démon. A l’heure actuelle, je me sens revigoré, un homme au meilleur de sa forme et surtout présentable. Dans la pénombre, je distingue mal le visage de mon interlocutrice et avance de quelques pas dans sa direction, toujours les mains à vue. Elle doit avoir une tête de moins à première vue, son visage est masqué par l’environnement nocturne. Peut-être qu’il en est de même pour moi. Dommage, je n’ai pas de lanterne. Mes yeux posés sur la femme, je cherche à voir si elle possède des ornements scintillants ou quoi que ce soit qui me donnerait envie de m’intéresser à elle. La toisant du regard, j’émets seulement un petit rire et puis place aux présentations.

    Bonsoir, je ne souhaitais pas vous effrayer. Comme vous pouvez le voir, je ne vous veux aucun mal.

    J’appuie ma botte contre un des cartons et y pose mon fessier, avec une certaine élégance, croisant mes jambes puissantes et galbées. Je gratte le bois du bout de mes griffes aiguisées et lui montre que même sans arme, mon corps lui-même en est une. Je n’ai pas vraiment besoin de toutes ces babioles pour prouver que je suis un homme fort. En tout cas, la lune ne nous éclaire pas beaucoup et le bruit des vagues contre la coque des bateaux cassent le silence des lieux. J’élève légèrement la voix pour qu’elle m’entende et me voit comme un homme accompli. Je n’allais très certainement pas lui avouer que j'ai galéré des semaines durant pour trouver quelqu’un m’amenant au réseau de la pègre de Justice.

    Je me nomme Ashani. J’aimerais également connaître votre nom, madame. Je suis à la recherche de quelqu’un qui pourrait m’apporter des réponses. On m'a évoqué cet endroit des quais afin d’avoir accès au “réseau” de la ville. Vous voyez de quoi je veux parler ?

    Restant prudent, je ne peux pas non plus dire à cette inconnue toutes mes intentions. D’autant plus que si elle n’a aucun contact dans le coin, je me retrouverais bien embêté d’avoir à me justifier sur ce réseau. Je reste un baratineur après tout. J’arbore un large sourire carnassier et lui dévoile mes crocs. Les Drakyns sont des hommes-dragons intelligents, beaux et forts, je ne comprends pas pourquoi les gens de Justice sont effrayés. Peut-être que ma prestance force les gens à baisser le regard. Au fond de moi, je reste heureux de pouvoir dialoguer avec, je l’espère, un potentiel contact. Je rajoute d’un ton solennel :

    Si vous en êtes, montrez-moi le chemin.
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    Invité
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  • Ven 18 Nov - 12:29

    Finalement, une personne sort de l’ombre les mains bien en évidence en signe d’apaisement. Bien que je reste méfiante, je me détends légèrement et laisse mon regard chercher d’autres signes de danger. Je recule d’autant de pas qu’il avance afin de rester loin de porté d'un possible coup, tout en restant dans l’ombre. C’est lorsqu’on baisse sa garde que l’on se fait poignarder. Puis, enfin mes prunelles se fixent sur l’inconnu. Son rire se répercute dans la nuit et me fait frissonner….

    Un drakyn, je n’y avais pas fais attention avant, mais je ne peux plus ignorer son physique maintenant. Un vague tic nerveux relève le coin de ma bouche. Pourquoi n'étais-je pas plus surprise que cela ? Pleine de préjugés ? Moi ? Certainement. Mais qu’importe, pour le moment ce n’est pas ce qui m'intéresse. Non, ce que je tente d’évaluer chez lui, c’est sa dangerosité, ce qu'il semble avoir compris. Rien qu’à voir ses griffes jouer sur le bois, je comprends le message. S’il avait voulu, il n’aurait pas eu besoin d’arme pour m’attaquer. Cette constatation me fait sourire.

    -Lorsque l’on ne veut pas effrayer les dames, on ne les surprend pas au détour d’une ruelle dans la pénombre, non ?

    Pas que je sois vraiment une dame dans le sens strict du terme. Pas plus que je sois facilement impressionnable, mais la petite pique sort naturellement. Par contre lorsqu’il demande à connaître mon nom, je grimace largement. Comme si j’allais le lui donner.

    -Ashani…. Ce n’est pas ainsi que l’on s’y prend pour avoir le nom d’une femme, surtout si ce n’est elle que l’on cherche…. Vous êtes clairement sans finesse….

    L’amusement perce clairement dans ma voix, bien qu’il m’agace de découvrir qu’on file au premier venu le moyen de me contacter. Au moins cela veut dire que je commence à me faire un nom dans le milieu… Cette fois, c’est moi qui laisse échapper un rire.

    -Un réseau ? Vous montrer le chemin ? J’allais retourner dans ma chambre, je ne pensais pas vous guider jusque là… En tout cas pas le premier soir. Que diriez-vous que l’on fasse connaissance avant ?

    Une nouvelle taquinerie qui a tout de même le mérite de lui faire comprendre que même si je suis la bonne personne… Il était hors de question de lui filer la moindre information sans le connaître un minimum.

    -Offrez moi à boire dans une taverne et discutons, qu’en pensez vous ?

    Invité
    Invité
    Anonymous
  • Ven 25 Nov - 8:55
    Cette femme semble avoir du tempérament et de l’humour, ce qui est rare de nos jours. Je me sens chanceux de tomber sur une telle créature, tout comme Neera. Elles ne laissent pas indifférent et je perçois chez elles une certaine prestance. Si elle ne souhaite pas me donner son nom, tant pis. Comme c’est étrange. Peut-être ressent-elle l’effroi en ma présence et qu’elle ne s’autorise nullement à dévoiler sa personne. Après tout, qui est-elle vraiment ? Je dois rester prudent. Si ça se trouve, elle me fait marcher. Dans tous les cas, je vais dans son sens. Ses sous-entendus bancals me font sourire, découvrant mes dents en forme de crocs, pointues et blanches comme ma peau. Je ne connais pas le terrain mais trouver une taverne devrait être plus facile que ce que l’on pense. Le problème avec ces endroits, ce sont ces brouhaha incessants et le regard que poseront très certainement les autres sur ma personne. Je rabats ma houppelande sur ma tête afin de cacher l’entièreté de mon visage et la somme de me suivre.

    Longeant les quais, je reste à quelques mètres devant la femme qui n’a point donné son nom. Je suis irrité. Si celle-ci se joue de moi, qui sait comment je réagirai. L’espoir qui m’anime se dissipe peu à peu, laissant place à une rancœur. Je m’en veux profondément d’avoir quitté mon foyer au Reike, seulement je connais fort bien la punition qui m’aurait attendu : la mort. Pourtant, mon désir ardent de devenir un homme riche et avec du pouvoir et un certain prestige me guident dans cette nouvelle destinée. Nous restons silencieux un moment, sans réellement nous parler. Je suis déconcerté par la situation, ne sachant sur quel pied danser en cette présence féminine.

    Votre présence est singulière, femme. Je trouve que nous diriger dans une taverne est une très mauvaise idée mais, soit. Nous allons faire selon votre bon vouloir.

    Suite à cela, nous continuons un peu plus loin et entendons des bruits guillerets, des chants de marins et autres joyeusetés. Je prends la poignée et ouvre la porte, la salle qui se présente à nous est baignée de lumière. Des dizaines de tables remplies, une cheminée au fond de la pièce. L’endroit sent la boisson et la sueur, en plus de contenir un nombre assez conséquents de gens au sein-même de cette taverne. Les gens n’ont que faire de nouvelles personnes et se cantonnent à rire et à jouer, chantant et beuglant comme des vaches à lait. Je dois rester impassible et ne surtout pas montrer qui je suis. Les drakyns sont mal vus, de ce que j’ai compris. Ma houppelande est assez grande pour cacher la longueur de ma queue, d’autant que ma taille n’est pas aussi imposante que celle des drakyns standards. Nous trouvons une table près d’une fenêtre, je dépose mon fessier et garde ma tête bien cachée.

    Vous vouliez discuter dans une taverne, nous sommes dans une taverne. Je ne sais pas qui vous êtes ou ce que vous vous apprêtez à faire. Sachez seulement que je ne souhaite pas perdre mon temps, femme. Je suis avant tout un mercenaire en quête de contrats, hors, cette ville ne propose rien !

    Il me faut réellement devenir l’homme que j’étais et ne point être aussi sévère avec moi-même. Mon monde s’est déjà écroulé une fois, je ne souhaite pas mourir au fond d’un caniveau. Il me faut de l’argent, de l’or, des bijoux, je souhaite reprendre des affaires en dentelles et me pavaner devant toutes ces femmes en leur montrant milles et une merveilles. A l’heure actuelle, je ne suis rien de moins qu’un homme ayant des traits draconiques, perdu en République.

    J’ai besoin de travail.
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