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Citoyen du monde
Razaäl

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La chaleur étouffante du désert venait s’abattre sur la horde. Le soleil avait déjà eut raison d’une trentaine de peau verte et le besoin d’eau avait poussé les fidèles de Razaäl à rationner le précieux liquide. Le clan avait dû abandonner les chariots avec lequel il se déplaçait, le sable ralentissant leur progression. Aussi les principales monture furent utiliser comme bête de somme pour porter une partie de la logistique, le restant étant sur le dos des orcs.
Il n’y avait que des dunes de sables à perte de vue. Un vieil orc avec un enfant sur le dos s’avança à la rencontre du chef de guerre.
-Les plus jeunes peinent à avancer et les plus valeureux d’entre nous ont besoin de souffler. Nous ne vaincrons ni le clan du Reike, ni le désert si nos forces sont épuisés.
Le chef de guerre grogna légèrement sur le vieillard avant de couler un regard à la foule derrière lui.
-Tu as raison Malgorn…
Razaäl balaya les environs du regards. L’endroit n’était guère propice pour monter un camp. Il n’y avait ni eau et les dunes de sables n’offraient pas une vue suffisamment déranger. Les yeux du chef de guerre allèrent dans le ciel ou le protecteur de la Horde dessinait des cercles. Görm pouvait les prévenir en cas de danger.
Aussi le chef de guerre attrapa un de ses nombreux cor et souffla dedans. L’imposant convoi s’arrêta lentement et bientôt, l’intégralité du clan se rassembla. Des tentes furent monter et les caisses que certains orcs portaient à bout de bras furent entasser ici et là pour former des barricades de fortunes.
Razaäl observa les siens offrir de maigre quantités d’eaux aux enfants et aux guerriers. Les vieillards et les non combattants grimacèrent tout en comprenant la nécessité d’un tel choix. L’espoir semblait les abandonner peu à peu.
Aussi le chef de guerre prit l’initiative de monter sur une caisse pour être vu de tous.
-Cette nuit, tandis que je dormais, les esprits sont venus à ma rencontre.
Les regards allèrent en direction de l’orc pâle.
-Ils m’ont dit que bientôt, aux prix de grand sacrifice, notre peuple atteindra la Montagne d’Emmeraude. Une terre fertile où nous pourrons cultiver. Une terre avec des rochers aussi solide que gigantesque qui pourront nous servir de rempart face aux démons. Une terre où personne ne pourra nous déloger.
L’orc leva son unique main.
-Ils m’ont annoncé également la naissance de….
Le chef se tût à ce moment là.
-La naissance de quoi Razaäl ?
Tous attendait la suite du récit avec impatience. Certains pensaient que depuis qu’il était devenu le Mak’Lakal, Razaäl avait obtenu un pouvoir mystique provenant des esprits et des dieux. Ce dernier reprit alors en hurlant.
-La naissance de la Grish’Nathal, la dernière Horde ! Celle qui rassemblera les clans de la terre entière !
Les orcs se mirent à murmurer cela, comme pour l’invoquer.
-Pour la Montagne d’Emeraude ! Pour la Grish’Nathal ! Pour le clan Main Blanche !
Le chef de guerre leva son poing à chaque fois pour appuyer son propos. De léger sourire apparurent sur les visages fatigués. Des cris furent pousser par ceux qui se taisaient alors. Pour un temps, l’espoir était revenu.
-Pour le Mak’Lakal ! Pour la Horde !
Les peaux vertes criaient comme un seul homme. A cet instant précis, Razaäl eut la confirmation. Leur mentir était nécessaire pour les garder en vie….
- Situation:
L'intégralité du clan de la Main Blanche se trouve dans le désert. La horde compte plusieurs centaines d'orcs mais la plupart sont où des non combattant, où trop faible pour se battre. Le clan a monté un camp et dresser des barricades de fortunes. Le camp est entouré de dunes qui empêchent de voir au loin pour les orcs, ce qui n'est pas le cas pour Görm qui surveille depuis le ciel.
60 guerriers orcs
30 archers orcs

Noble du Reike
Tagar Reys

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Info personnage
Race: Humain
Vocation: Mage Elementiste
Alignement: Loyal Neutre
Rang: B - Coeur
La vengeance est un plat qui se mange froid. C’était une des expressions favorites de mon père et aujourd’hui, je sais pourquoi, car je l’éprouve en voyant les troupes qui m’accompagnent. Il y a quand un bataillon au complet soit quatre-vingts hommes bien entrainés, mené par un Dunark, dont plusieurs connaissant bien la magie, sans compter mes dix gardes du corps.
Mais ce n’est pas fini, avec nous se trouve un membre des FMR (Forces Médicales Reikoises), un Rhikos, qui est là pour son examen pratique et enfin ma fierté, cinq membres du RSAF (Régiment Spécial des Animaux fantastiques), monté sur des griffons. Quand j’ai parlé à leur cheffe d’une Vouivre capable de brûlé un village entier, elle a absolument voulu donner une escorte aérienne.
Enfin, pour terminer, il y a moi. Bien sûr, j’aurai pu les laisser agir seul, mais je tiens à être présent lorsque ce clan sera soumis, ou anéantit, c’est au choix. J’ai eu plusieurs jours pour récupérer entièrement de ma fatigue liée aux nombreux sorts que j‘ai lancé lors de ma première rencontre avec Razaäl. Je suis également équipé d’une cuirasse de plaque que je peux renforcer grâce à ma magie du métal et de mon épée familiale.
Bref, je suis prêt et grâce à un utilisateur de la Transe, nous avons suivi la horde jusqu’au désert. La vision des chariots abandonnés nous a convaincus que nous étions sur la même route et nous sommes arrivées ainsi aux pieds d’une éminence sableuse.
Je peux voir le fameux Görm, dessiné des cercles dans le ciel. Il nous a sans aucun doute repérés, mais ce n’est pas bien grave. Je vais donc rejoindre le sous-officier qui a donné l’ordre d’installer le camp, le soir allant bientôt tomber et je lui demande :
Puis-je venir au pourparlers avec vous ?
Il me regarde, surpris par sa demande, mais n’ose pas me dire non et hoche simplement la tête. C’est donc en duo que nous marchons vers le camp, avant de nous arrêter à mi-distance, espérant que le chef de la Horde va se montrer.
Mais ce n’est pas fini, avec nous se trouve un membre des FMR (Forces Médicales Reikoises), un Rhikos, qui est là pour son examen pratique et enfin ma fierté, cinq membres du RSAF (Régiment Spécial des Animaux fantastiques), monté sur des griffons. Quand j’ai parlé à leur cheffe d’une Vouivre capable de brûlé un village entier, elle a absolument voulu donner une escorte aérienne.
Enfin, pour terminer, il y a moi. Bien sûr, j’aurai pu les laisser agir seul, mais je tiens à être présent lorsque ce clan sera soumis, ou anéantit, c’est au choix. J’ai eu plusieurs jours pour récupérer entièrement de ma fatigue liée aux nombreux sorts que j‘ai lancé lors de ma première rencontre avec Razaäl. Je suis également équipé d’une cuirasse de plaque que je peux renforcer grâce à ma magie du métal et de mon épée familiale.
Bref, je suis prêt et grâce à un utilisateur de la Transe, nous avons suivi la horde jusqu’au désert. La vision des chariots abandonnés nous a convaincus que nous étions sur la même route et nous sommes arrivées ainsi aux pieds d’une éminence sableuse.
Je peux voir le fameux Görm, dessiné des cercles dans le ciel. Il nous a sans aucun doute repérés, mais ce n’est pas bien grave. Je vais donc rejoindre le sous-officier qui a donné l’ordre d’installer le camp, le soir allant bientôt tomber et je lui demande :
Puis-je venir au pourparlers avec vous ?
Il me regarde, surpris par sa demande, mais n’ose pas me dire non et hoche simplement la tête. C’est donc en duo que nous marchons vers le camp, avant de nous arrêter à mi-distance, espérant que le chef de la Horde va se montrer.

Citoyen du monde
Razaäl

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La wyverne se mit à faire gronder le tonnerre en l’air. Les regards allèrent vers le protecteur de la Horde avant de s’en aller vers le maître de la créature. Le chef de guerre se mit à grogner et de son unique main, balaya l’air.
-Envoyez des éclaireurs autour du camp ! Que les capitaines me retrouvent sous la tente !
Le camp s’activait tandis que les différents officiers du clan se rassemblaient sous la tente de commandement. L’assemblée discuta quant à l’attitude à adopter. Au bout d’une heure, les éclaireurs étaient revenu.
-On a perdu deux de nos frères chef, leur éclaireurs nous ont repéré. C’est une troupe de guerre. Parle Acier est avec eux.
L’orc pâle frappa sur la table avec son moignon avant de regarder dehors, au travers du pan de la tente.
-Il faut agir avant qu’il nous encercle. S’ils nous enferment dans la cuve, nous somme finit. Dunar et Poro, vous allez conduire des archers et des guerriers par delà la dune , à l’Est du camp. S’ils ont suivi nos traces, ils arriveront par l’Ouest. Restez bien caché, sans torche, le temps que l’affrontement commence, puis vous adopterez la position en hauteur sur la dune.
Le regard de l’orc alla ensuite sur l’officier en charge des éclaireurs.
-Trando, que tes guerriers tournent autour du camp, leur éclaireurs ne doivent pas voir nos forces dissimulés. Sonnez vos cor s’il y a un soucis, cela devrait les dissuader de continuer.
Les officiers commençaient déjà à s’activer. Razaäl alla ensuite en direction de l’ancien de la tribu. Il posa son unique main sur l’épaule du vieil orc.
-Malgorn, je veux que tu guides le clan. Nous allons tacher de vous faire gagner du temps et Gorm couvrira votre fuite. Il y a un lac à l’Ouest d’ici, nous vous retrouverons là-bas. Ne prends que le nécéssaire.
Le vieil orc hocha la tête avant de regarder les présent.
-Que les esprits vous guide. Lok’tar !
L’ancien quitta la tente tandis que Razaäl revenait porter son attention en direction de ses fidèles.
Les reikois avaient sans doute de meilleur aptitudes martiales que les orcs mais Razaäl savait pertinemment que les peuples extérieurs aux montagnes prenaient les peaux vertes pour des êtres sans grande organisation et là était l’erreur. A force de guerroyer dans leur montagne, les orcs étaient passé maître dans l’art de l’escarmouche ainsi que les embuscades. Pire encore, les Mains Blanches apprenaient à chacune de leur rencontre avec le clan de «l’empire du Reike ».
-Parle Acier marche à leur côté, oubliez donc le fer. Que les guerriers portent le cuir ou du simple tissus ! Gourdin, morceau de bois, qu’importe l’arme du moment que nous pouvons leur fracasser le crane.
Le chef de guerre alla ensuite ouvrir le pan de sa tente, montrant l’extérieur.
-Nous les laisserons venir. J’attendrais ici avec quelques hommes, quant aux restes…
Le chef de guerre poussa le sable à ses pieds avant de sourire à pleine dents.
-Nous allons vous mettre en terre.
Le plan était donné. Certains iraient se dissimuler derrière la dune à l’est, d’autres serviraient d’appât dans la cuve où se trouvait le camp, quant aux restes, ils allaient se cacher sous le sable, en embuscade.
Les éclaireurs continuaient de tourner tandis que l’on continua de construire une barricade de fortune pour le leurre. Le gros de la horde commençait déjà à partir quant on vint signaler à Razaäl la présence de deux hommes un peu plus loin.
Les guerriers avaient encore besoin de temps pour prendre place et ce temps là, Razaäl comptait bien leur offrir en allant à la rencontre du duo. Ce fut en compagnie de quatre orcs qu’il alla vers eux. Tous portaient des haillons, ainsi que des armes des gourdins. Les peintures de guerre étaient visibles sur leur visage.
-Ainsi donc, nous revoilà à nouveau face à face, Parle Acier.
Razaäl avisa le soleil couchant. Les ténèbres leur offrirait de bien meilleur chance de victoire.
[color=#009900]-Cette rencontre est sous le regard des esprits et tout atteinte aux lois de la guerre frappera le clan offensant de l’infamie.[/color]
Razaäl espérait au fond de lui que les reikois étaient sensible à l’honneur au moins autant que son peuple. Ainsi, les siens seraient protégés le temps de cette rencontre. Son regard alla en direction de l’homme qui accompagnait Tagar.
-Es tu celui qui se vante d’être l’homme le plus fort du monde ?
-Envoyez des éclaireurs autour du camp ! Que les capitaines me retrouvent sous la tente !
Le camp s’activait tandis que les différents officiers du clan se rassemblaient sous la tente de commandement. L’assemblée discuta quant à l’attitude à adopter. Au bout d’une heure, les éclaireurs étaient revenu.
-On a perdu deux de nos frères chef, leur éclaireurs nous ont repéré. C’est une troupe de guerre. Parle Acier est avec eux.
L’orc pâle frappa sur la table avec son moignon avant de regarder dehors, au travers du pan de la tente.
-Il faut agir avant qu’il nous encercle. S’ils nous enferment dans la cuve, nous somme finit. Dunar et Poro, vous allez conduire des archers et des guerriers par delà la dune , à l’Est du camp. S’ils ont suivi nos traces, ils arriveront par l’Ouest. Restez bien caché, sans torche, le temps que l’affrontement commence, puis vous adopterez la position en hauteur sur la dune.
Le regard de l’orc alla ensuite sur l’officier en charge des éclaireurs.
-Trando, que tes guerriers tournent autour du camp, leur éclaireurs ne doivent pas voir nos forces dissimulés. Sonnez vos cor s’il y a un soucis, cela devrait les dissuader de continuer.
Les officiers commençaient déjà à s’activer. Razaäl alla ensuite en direction de l’ancien de la tribu. Il posa son unique main sur l’épaule du vieil orc.
-Malgorn, je veux que tu guides le clan. Nous allons tacher de vous faire gagner du temps et Gorm couvrira votre fuite. Il y a un lac à l’Ouest d’ici, nous vous retrouverons là-bas. Ne prends que le nécéssaire.
Le vieil orc hocha la tête avant de regarder les présent.
-Que les esprits vous guide. Lok’tar !
L’ancien quitta la tente tandis que Razaäl revenait porter son attention en direction de ses fidèles.
Les reikois avaient sans doute de meilleur aptitudes martiales que les orcs mais Razaäl savait pertinemment que les peuples extérieurs aux montagnes prenaient les peaux vertes pour des êtres sans grande organisation et là était l’erreur. A force de guerroyer dans leur montagne, les orcs étaient passé maître dans l’art de l’escarmouche ainsi que les embuscades. Pire encore, les Mains Blanches apprenaient à chacune de leur rencontre avec le clan de «l’empire du Reike ».
-Parle Acier marche à leur côté, oubliez donc le fer. Que les guerriers portent le cuir ou du simple tissus ! Gourdin, morceau de bois, qu’importe l’arme du moment que nous pouvons leur fracasser le crane.
Le chef de guerre alla ensuite ouvrir le pan de sa tente, montrant l’extérieur.
-Nous les laisserons venir. J’attendrais ici avec quelques hommes, quant aux restes…
Le chef de guerre poussa le sable à ses pieds avant de sourire à pleine dents.
-Nous allons vous mettre en terre.
Le plan était donné. Certains iraient se dissimuler derrière la dune à l’est, d’autres serviraient d’appât dans la cuve où se trouvait le camp, quant aux restes, ils allaient se cacher sous le sable, en embuscade.
Les éclaireurs continuaient de tourner tandis que l’on continua de construire une barricade de fortune pour le leurre. Le gros de la horde commençait déjà à partir quant on vint signaler à Razaäl la présence de deux hommes un peu plus loin.
Les guerriers avaient encore besoin de temps pour prendre place et ce temps là, Razaäl comptait bien leur offrir en allant à la rencontre du duo. Ce fut en compagnie de quatre orcs qu’il alla vers eux. Tous portaient des haillons, ainsi que des armes des gourdins. Les peintures de guerre étaient visibles sur leur visage.
-Ainsi donc, nous revoilà à nouveau face à face, Parle Acier.
Razaäl avisa le soleil couchant. Les ténèbres leur offrirait de bien meilleur chance de victoire.
[color=#009900]-Cette rencontre est sous le regard des esprits et tout atteinte aux lois de la guerre frappera le clan offensant de l’infamie.[/color]
Razaäl espérait au fond de lui que les reikois étaient sensible à l’honneur au moins autant que son peuple. Ainsi, les siens seraient protégés le temps de cette rencontre. Son regard alla en direction de l’homme qui accompagnait Tagar.
-Es tu celui qui se vante d’être l’homme le plus fort du monde ?
- Situation:
Eclaireurs:
5 archers 5 soldats
Ils tournent autour du camp, s'assurant que la troupe derrière la dune, à l'Est, reste cacher.
Troupe de la Dune à l'Est du camp:
20 soldat et 20 archers
Ils sont en position derrière une dune, à l'Est du camp, torche éteinte.
Dans le camp:
6 soldat et 4 archers
Ils sont dans le camps. Ils terminent de dresser des barricades de fortunes et attendent.
25 soldats
Ils sont entrain de s'enterrer dans le sable, dans le camp. Sans doute pour un effet de surprise.
Avec Razaäl:
4 soldats
Mort:
1 soldat et 1 archer

Noble du Reike
Tagar Reys

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Info personnage
Race: Humain
Vocation: Mage Elementiste
Alignement: Loyal Neutre
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Je vois arriver cinq orcs, habillé bien étrangement, ils semblent même s’être déguisés. Je reconnais d’ailleurs leur chef albinos, Razaäl, qui me nomme Parle Acier. C’est quand même dommage, je prends le temps de me présenter à chaque fois que je rencontre des gens, mais ils inventent toujours des surnoms. Enfin, ce n’est pas grave et je lui réponds simplement :
Je t’avais dit que nous nous reverrons.
Ou pas, je ne sais plus vraiment, de toute façon, quand on attaque l'Empire, l'Empire contre-attaque. Il parle ensuite d’esprits, ce qui ne me dit rien, mais de la part d’une personne qui a détruit deux maisons alors que nous étions en pourparlers, je trouve cela assez culotté. Le gradé à mes côtés écope d’une question qui ne le surprend pas, j’ai fait un rapport complet de ma première rencontre avec cette tribu. Il répond donc :
Non, je suis le Dunark Roten, au service de l’Empereur et de l’Impératrice.
Voilà, ça, c’est posé, il continue ensuite :
Nous sommes venus pour vous soumettre. Si vous acceptez d’intégrer l’Empire, vous pourrez vivre, une partie de vos soldats devra combattre pendant une certaine durée dans notre armée. Dans le cas contraire, vous serez exterminé.
Je hoche la tête, Tensai est dur, mais juste. Il aurait pu tous les condamner à mort, mais il a décidé d’être clément, car les orcs ne savaient pas où ils étaient. Mais il ne peut permettre de laisser des pilleurs arrivés sur notre territoire et y semer le chaos, sinon cela passerait pour de la faiblesse. J’attends donc la réponse du chef qui nous fait face. Je reste quand même sur mes gardes, ils sont quand même plus de fois plus nombreux que nous et il y a en plus cette fichu Vouivre. Même avec nos griffons et nos mages, nous allons avoir du mal à descendre cette sale bête.
Je t’avais dit que nous nous reverrons.
Ou pas, je ne sais plus vraiment, de toute façon, quand on attaque l'Empire, l'Empire contre-attaque. Il parle ensuite d’esprits, ce qui ne me dit rien, mais de la part d’une personne qui a détruit deux maisons alors que nous étions en pourparlers, je trouve cela assez culotté. Le gradé à mes côtés écope d’une question qui ne le surprend pas, j’ai fait un rapport complet de ma première rencontre avec cette tribu. Il répond donc :
Non, je suis le Dunark Roten, au service de l’Empereur et de l’Impératrice.
Voilà, ça, c’est posé, il continue ensuite :
Nous sommes venus pour vous soumettre. Si vous acceptez d’intégrer l’Empire, vous pourrez vivre, une partie de vos soldats devra combattre pendant une certaine durée dans notre armée. Dans le cas contraire, vous serez exterminé.
Je hoche la tête, Tensai est dur, mais juste. Il aurait pu tous les condamner à mort, mais il a décidé d’être clément, car les orcs ne savaient pas où ils étaient. Mais il ne peut permettre de laisser des pilleurs arrivés sur notre territoire et y semer le chaos, sinon cela passerait pour de la faiblesse. J’attends donc la réponse du chef qui nous fait face. Je reste quand même sur mes gardes, ils sont quand même plus de fois plus nombreux que nous et il y a en plus cette fichu Vouivre. Même avec nos griffons et nos mages, nous allons avoir du mal à descendre cette sale bête.
- Situation:
- 80 soldats dont 10 ayant des pouvoirs
10 gardes du corps
5 griffons
1 soigneur

Citoyen du monde
Razaäl

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Le chef de guerre prit le temps d’écouter les dires des reikois. Il ne les interrompit pas une seule fois. La seule chose qu’il faisait, c’était de souffler par le nez. Certaines informations vinrent toutefois titiller l’orc pâle. Soumettre, combattre, exterminer… Il ne faisait pas bon d’être un orc sans clan et Razaäl savait ce qui pouvait arriver aux parias de son peuple. Bon nombre des siens finissaient dans des arènes de combats ou en tant qu’ouvrier dans les carrières.
Le Mak’Lakal fit enfin un pas en avant et son faciès se déforma sous la colère. Ses crocs devinrent apparant et il commença par hurler sur les envoyés reikois.
-Des chaines !? Une extermination !? Ceux que nous revendiquons, nous le faisons dans le fracas des lames contre les boucliers ! Dans le cris de la bataille ! Si vous désirez mettre les chaines à notre peuple, vous devrez nous passer dessus !
L’orc coula un regard à ses congénères qui semblaient être prêt à en découdre. Il reprit ensuite en revenant à l’envoyé de l’empereur.
-Où, plus exactement, c’est nous qui vous passerons dessus !
-Ensemble, orcs forts !
De son unique main, Razaäl pointa du doigt Tagar avant de sans retourner vers le camp. Il avait une idée en venant faire face aux hommes mais visiblement, la passion avait prit le dessus sur la raison.
De retour au camp, les Mains Blanches se livrèrent au dernier préparatif tandis que le chef de guerre prenait la parôle.
-Nos ennemis sont nombreux et envieux, ils sont tapis dans l’ombre, guettant la moindre faiblesse ! N’ayez pas peur mes frères et sœurs du clan Main Blanche ! N’ayez pas peur car bientôt, nous arpenterons la Montagne d’Emmeraude. Il ne nous reste que quelques combats à mener ! Souvenez vous de cette nuit car elle vous fera honneur pour toujours et à jamais !!!
-Razäal ! Razaäl ! Razaäl !
Les guerriers étaient galvanisés. Tous prirent leur poste tandis que le chef de guerre se plaçait au centre du camps avec les siens, pour servir d’appats. Là était la différence entre Razaäl et d’autres meneurs d’hommes. Si des guerriers devaient être sacrifié, il se devait d’être à leur côté pour leur montrer la voie.
On vint ensuite éteindre un maximum de flambeau, n'en laissant que quelque eux éclairer le camps.
Le Mak’Lakal fit enfin un pas en avant et son faciès se déforma sous la colère. Ses crocs devinrent apparant et il commença par hurler sur les envoyés reikois.
-Des chaines !? Une extermination !? Ceux que nous revendiquons, nous le faisons dans le fracas des lames contre les boucliers ! Dans le cris de la bataille ! Si vous désirez mettre les chaines à notre peuple, vous devrez nous passer dessus !
L’orc coula un regard à ses congénères qui semblaient être prêt à en découdre. Il reprit ensuite en revenant à l’envoyé de l’empereur.
-Où, plus exactement, c’est nous qui vous passerons dessus !
-Ensemble, orcs forts !
De son unique main, Razaäl pointa du doigt Tagar avant de sans retourner vers le camp. Il avait une idée en venant faire face aux hommes mais visiblement, la passion avait prit le dessus sur la raison.
De retour au camp, les Mains Blanches se livrèrent au dernier préparatif tandis que le chef de guerre prenait la parôle.
-Nos ennemis sont nombreux et envieux, ils sont tapis dans l’ombre, guettant la moindre faiblesse ! N’ayez pas peur mes frères et sœurs du clan Main Blanche ! N’ayez pas peur car bientôt, nous arpenterons la Montagne d’Emmeraude. Il ne nous reste que quelques combats à mener ! Souvenez vous de cette nuit car elle vous fera honneur pour toujours et à jamais !!!
-Razäal ! Razaäl ! Razaäl !
Les guerriers étaient galvanisés. Tous prirent leur poste tandis que le chef de guerre se plaçait au centre du camps avec les siens, pour servir d’appats. Là était la différence entre Razaäl et d’autres meneurs d’hommes. Si des guerriers devaient être sacrifié, il se devait d’être à leur côté pour leur montrer la voie.
On vint ensuite éteindre un maximum de flambeau, n'en laissant que quelque eux éclairer le camps.
- Situation:
- Eclaireurs:
5 archers 5 soldats
Ils tournent autour du camp, s'assurant que la troupe derrière la dune, à l'Est, reste cacher.
Troupe de la Dune à l'Est du camp:
20 soldat et 20 archers
Ils sont en position derrière une dune, à l'Est du camp, torche éteinte.
Dans le camp:
10 soldat et 4 archers / Razaäl
Ils sont dans le camps. Ils terminent de dresser des barricades de fortunes et attendent.
25 soldats
Ils sont enterrer dans le sable, dans le camp. Sans doute pour un effet de surprise.
Mort:
1 soldat et 1 archer

Noble du Reike
Tagar Reys

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Race: Humain
Vocation: Mage Elementiste
Alignement: Loyal Neutre
Rang: B - Coeur
Comme à chaque fois, l’orc comprend de travers et je pense même que nous allons devoir combattre ici et maintenant, surtout qu’il me pointe du doigt, mais finalement, il semble changer d’avis et quitte les lieux. Le Dunark me demande alors :
C’est moi ou il n’a rien compris à ce que je lui proposai ?
Je lui réponds en souriant :
J’ai eu exactement la même réflexion que vous.
Nous rentrons donc au camp et comme prévu des tentes ont été montées au sommet d’une dune. Les éclaireurs sur griffon, dont un est en l'air en permanence font leurs rapports :
Un groupe est parti à l’Ouest, composé essentiellement d’enfants, de femme et de vieux. Nous ne sommes pas trop rapprochés, à cause de la Wywerne.
Je vois Roten hocher la tête pour montrer qu’il a compris puis s’adresse à son aide de camp :
Doublez les sentinelles cette nuit, je veux tous les hommes qui peuvent voir dans le noir sur le pont. Demain matin, à l’aube, nous les attaquerons, le but est d’en neutraliser le plus possible. S’ils se rendent, on les épargne, ceci n’est pas une mission d’extermination.
Il se tourne vers moi et me demande :
Est-ce que vous les avez vu utiliser de la magie ?
Je réfléchis quelques secondes avant de lui répondre :
La Wywerne utilise un souffle bien spécial, mais rien d’insurmontable pour mes boucliers.
Mon interlocuteur sourit à mes déclarations et indique :
C’est parfait alors, il est coutume de dire dans l’armée, qu’un mage expérimenté vaut cent soldats et nous en dix à disposition. D’ailleurs, je ne veux aucun signe distinctif afin qu’ils ne soient pas ciblés. Nous avançons en bloc compact et en utilisant notre puissance de feu et notre discipline supérieure.
Il parle du fait que la moitié de nos hommes sont équipés d’arc et d’épée courte en cas de contacts rapproché et que les autres sont équipés de lance, de bouclier et d’épée à deux mains. Ils sont habitués à travailler en équipe et je ne doute pas de leur capacité à mater une bande de sauvages !
C’est moi ou il n’a rien compris à ce que je lui proposai ?
Je lui réponds en souriant :
J’ai eu exactement la même réflexion que vous.
Nous rentrons donc au camp et comme prévu des tentes ont été montées au sommet d’une dune. Les éclaireurs sur griffon, dont un est en l'air en permanence font leurs rapports :
Un groupe est parti à l’Ouest, composé essentiellement d’enfants, de femme et de vieux. Nous ne sommes pas trop rapprochés, à cause de la Wywerne.
Je vois Roten hocher la tête pour montrer qu’il a compris puis s’adresse à son aide de camp :
Doublez les sentinelles cette nuit, je veux tous les hommes qui peuvent voir dans le noir sur le pont. Demain matin, à l’aube, nous les attaquerons, le but est d’en neutraliser le plus possible. S’ils se rendent, on les épargne, ceci n’est pas une mission d’extermination.
Il se tourne vers moi et me demande :
Est-ce que vous les avez vu utiliser de la magie ?
Je réfléchis quelques secondes avant de lui répondre :
La Wywerne utilise un souffle bien spécial, mais rien d’insurmontable pour mes boucliers.
Mon interlocuteur sourit à mes déclarations et indique :
C’est parfait alors, il est coutume de dire dans l’armée, qu’un mage expérimenté vaut cent soldats et nous en dix à disposition. D’ailleurs, je ne veux aucun signe distinctif afin qu’ils ne soient pas ciblés. Nous avançons en bloc compact et en utilisant notre puissance de feu et notre discipline supérieure.
Il parle du fait que la moitié de nos hommes sont équipés d’arc et d’épée courte en cas de contacts rapproché et que les autres sont équipés de lance, de bouclier et d’épée à deux mains. Ils sont habitués à travailler en équipe et je ne doute pas de leur capacité à mater une bande de sauvages !

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Razaäl

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Les ténèbres vennaient recouvrir le désert assassin, la chaleur laissant la place au froid mordant de la nuit. Les orcs grognèrent et respirèrent profondément. Ils étaient prêt pour la bataille à venir… Sauf que cette dernière tarda.
Les guerriers perdirent de leur fougue mais ils gardèrent leur sang froid. La plupart d’entre eux étaient rodés à la pratique de l’embuscade et savaient que cette dernière pouvait demander de la patience.
Razaäl se retira dans sa tente, accroupit. Ses pensées vagabondèrent, imaginant toutes les possibilités. Ils auraient pu fuir à la faveur de la nuit mais des griffons avaient été aperçu dans les airs. Les reikois savaient ils pour les troupes dissimulés ? Etaient ils en train d’encercler les forces de la Main Blanche ?
Toutes ces questions devaient être balayé rapidement. S’il se mettait à douter, les guerriers le verraient et ils douteraient à leur tour. Et si l’espoir les abandonnait, ils perdraient la seule petite chance de triompher.
Puis vint ce grondement… La foudre était entrain de frapper. Le ciel se déchirait, emportant avec lui les craintes du chef de guerre. Gorm avait conduit le reste de la Horde suffisamment loin et il était maintenant de retour.
Sortant de sa tente, l’orc pâle coula un regard en direction du ciel. Par moment, un éclair frappait, laissant entrevoir la wyverne qui allait et venait, dansant. Pourquoi douter ? C’était sur le dos de cette créature qu’il avait tenu tête au démon de feu. Ce n’allait pas être une troupe de guerre qui allait l’éffrayer.
Allant près de ses hommes, il observait leur visage tandis que tous contempler la créature. Tous eurent un léger mot à adresser aux esprits devant cette manifestation des éléments.
-Soyez prêt… La bataille, elle approche.
Récupérant son gourdin, Razaäl prit place avec les siens. Il ne restait plus qu’à attendre.
Les guerriers perdirent de leur fougue mais ils gardèrent leur sang froid. La plupart d’entre eux étaient rodés à la pratique de l’embuscade et savaient que cette dernière pouvait demander de la patience.
Razaäl se retira dans sa tente, accroupit. Ses pensées vagabondèrent, imaginant toutes les possibilités. Ils auraient pu fuir à la faveur de la nuit mais des griffons avaient été aperçu dans les airs. Les reikois savaient ils pour les troupes dissimulés ? Etaient ils en train d’encercler les forces de la Main Blanche ?
Toutes ces questions devaient être balayé rapidement. S’il se mettait à douter, les guerriers le verraient et ils douteraient à leur tour. Et si l’espoir les abandonnait, ils perdraient la seule petite chance de triompher.
Puis vint ce grondement… La foudre était entrain de frapper. Le ciel se déchirait, emportant avec lui les craintes du chef de guerre. Gorm avait conduit le reste de la Horde suffisamment loin et il était maintenant de retour.
Sortant de sa tente, l’orc pâle coula un regard en direction du ciel. Par moment, un éclair frappait, laissant entrevoir la wyverne qui allait et venait, dansant. Pourquoi douter ? C’était sur le dos de cette créature qu’il avait tenu tête au démon de feu. Ce n’allait pas être une troupe de guerre qui allait l’éffrayer.
Allant près de ses hommes, il observait leur visage tandis que tous contempler la créature. Tous eurent un léger mot à adresser aux esprits devant cette manifestation des éléments.
-Soyez prêt… La bataille, elle approche.
Récupérant son gourdin, Razaäl prit place avec les siens. Il ne restait plus qu’à attendre.
- Situation:
- Les orcs attendent la nuit, durant cette dernière, Gorm finit par revenir et se met à tournoyer autour du camp.

Noble du Reike
Tagar Reys

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Je vois avec grand déplaisir la Wywerne qui fait des tours tout autour de nous et je ne sais pas nos griffons seront de taille. Pour le moment, le combat dans les cieux n’a pas encore commencé, mais je ne doute pas qu’il devienne sanglant rapidement, j’espère d'ailleurs que les Astres les protégeront.
Le commandant de notre troupe donne le signal d’avancé et nous grimpons la dune pour accéder à son sommet. Nous sommes pris sous le feu de l’ennemi, des sortes d’éclaireurs, mais nos mages dispersent leurs projectiles grâce à un sort du vent et nos propres archers en profitent pour riposter, leurs précisions est légendaire et bientôt les corps des ennemis jonchent le sol.
J’en compte un peu moins d’une dizaine contre trois blessés légers dans nos rangs. Ceux-ci repartent à l’arrière pour se faire soigner par le Rhikos des FMR (Forces Médicales Reikoises). C’est donc avec une troupe un peu réduite, mais avec le moral assez haut que nous atteignons notre objectif. Devant nous se trouve les chariots, avec une quinzaine de combattants solidement retranchés derrière des barricades.
Je remarque que leur chef, le géant orc albinos avec une tête de porte-bonheur est avec eux. Comme je ne vois pas de drapeau blanc, je suppose qu’il va falloir aller les chercher par la force. Je subodore que le reste des troupes est dissimulé quelques parts, mais la présence du monstre volant empêche les griffons de nous renseigner.
Il ne reste donc qu’une chose à faire, aller jusqu’au niveau des barricades et les brûler grâce à nos deux adeptes maîtrisant la magie du feu. Une fois, ceci fait, les archers n’auront plus qu’à les accueillir à découvert. Nous avançons donc en bon ordre, faisant attention à notre environnement, car l’ennemi peut surgir de n’importe où, littéralement.
Le commandant de notre troupe donne le signal d’avancé et nous grimpons la dune pour accéder à son sommet. Nous sommes pris sous le feu de l’ennemi, des sortes d’éclaireurs, mais nos mages dispersent leurs projectiles grâce à un sort du vent et nos propres archers en profitent pour riposter, leurs précisions est légendaire et bientôt les corps des ennemis jonchent le sol.
J’en compte un peu moins d’une dizaine contre trois blessés légers dans nos rangs. Ceux-ci repartent à l’arrière pour se faire soigner par le Rhikos des FMR (Forces Médicales Reikoises). C’est donc avec une troupe un peu réduite, mais avec le moral assez haut que nous atteignons notre objectif. Devant nous se trouve les chariots, avec une quinzaine de combattants solidement retranchés derrière des barricades.
Je remarque que leur chef, le géant orc albinos avec une tête de porte-bonheur est avec eux. Comme je ne vois pas de drapeau blanc, je suppose qu’il va falloir aller les chercher par la force. Je subodore que le reste des troupes est dissimulé quelques parts, mais la présence du monstre volant empêche les griffons de nous renseigner.
Il ne reste donc qu’une chose à faire, aller jusqu’au niveau des barricades et les brûler grâce à nos deux adeptes maîtrisant la magie du feu. Une fois, ceci fait, les archers n’auront plus qu’à les accueillir à découvert. Nous avançons donc en bon ordre, faisant attention à notre environnement, car l’ennemi peut surgir de n’importe où, littéralement.
- Effectif::
- 70 soldats dont 3 blessé qui sont à l'arrière
10 soldats ayant des pouvoirs
10 gardes du corps qui sont à l'arrière
5 griffons
1 soigneur qui est à l'arrière
Tagar

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Razaäl

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Les cors résonaient, l’ennemi était en approche. Le chef de guerre était confiant. Les éclaireurs, de part un ensemble de signaux sonores, devaient indiquer de manière approximatif, la manière dont l’ennemi allait arriver. Ainsi, Razaäl pouvait adapter sa stratégie. Pouvait ou bien aurait pu ?
Les cors se turent… Quelques choses n’allaient pas. Les éclaireus étaient-ils morts ?
-Envoyez des… !
Le chef de guerre n’eut pas le temps de finir sa phrase qu’un bloc de soldat passèrent la dune.
-Pour le Reike ! Pour l’empereur !
Les troupes se ruèrent vers la barricade et bientôt des boules de feu fusèrent. L’adversaire s’arrêta toutefois avant d’arriver au contact, préférant incendier les défenses orcs avant d’arroser les peaux vertes d’une salve de flèches. Le visage des orcs se déformèrent sous la pointe d’acier transperçant leur visage. Les corps tombèrent ensuite dans des gargouillis sonores.
La présence d’archers et de magiciens finissèrent d’entererrer le moral orc déjà au plus mal. Devant ce désarroi, Razaäl fit la pire erreur que pouvait faire un meneur d’homme : il perdit son sang froid et donna l’ordre à ses hommes embusquer de sortir trop tôt.
-A l’assaut !
Des formes apparurent sous le sable et les orcs enterraient sortirent de leur cachette pour prendre en embuscades les troupes du Reike. Les guerriers cachaient derrière la dune firent de même, cherchant à arroser les guerriers du désert mais le soleil semblait les gêner dans leur tir et bon nombre de flèches se plantèrent dans la chair des guerriers orcs…
La troupe de guerre semblait perdu….
Les cors se turent… Quelques choses n’allaient pas. Les éclaireus étaient-ils morts ?
-Envoyez des… !
Le chef de guerre n’eut pas le temps de finir sa phrase qu’un bloc de soldat passèrent la dune.
-Pour le Reike ! Pour l’empereur !
Les troupes se ruèrent vers la barricade et bientôt des boules de feu fusèrent. L’adversaire s’arrêta toutefois avant d’arriver au contact, préférant incendier les défenses orcs avant d’arroser les peaux vertes d’une salve de flèches. Le visage des orcs se déformèrent sous la pointe d’acier transperçant leur visage. Les corps tombèrent ensuite dans des gargouillis sonores.
La présence d’archers et de magiciens finissèrent d’entererrer le moral orc déjà au plus mal. Devant ce désarroi, Razaäl fit la pire erreur que pouvait faire un meneur d’homme : il perdit son sang froid et donna l’ordre à ses hommes embusquer de sortir trop tôt.
-A l’assaut !
Des formes apparurent sous le sable et les orcs enterraient sortirent de leur cachette pour prendre en embuscades les troupes du Reike. Les guerriers cachaient derrière la dune firent de même, cherchant à arroser les guerriers du désert mais le soleil semblait les gêner dans leur tir et bon nombre de flèches se plantèrent dans la chair des guerriers orcs…
La troupe de guerre semblait perdu….
- Score:
- On a décidé avec Tagar de jouer la bataille au dé en 3 lancer gagnant.
Actuellement il y a 2 / 0 pour le Reike et j'ai fais 5 pour mon troisième lancé

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Tagar Reys

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Pour le moment, tout va bien, les protections de nos ennemis s’embrasent facilement, c’est l’avantage de combattre dans le désert, le feu prend très facilement. Alors que je ne pensais même pas intervenir, je sens quelque chose bouger sous moi. Surpris je regarde à mes pieds et je vois une immense main d’orc me saisir la cheville !
Heureusement que je ne suis pas un débutant et que je ne cède pas à la panique, à la place, je me concentre et utilise un puissant sort pour créer une plaque de métal sous les pieds de notre troupe, la plus large possible. Il ne reste plus qu’à nos lanciers à se mettre aux bords de la plaque et à empaler ceux qui arrivent à sortir, ce n’est d’ailleurs plus un combat, mais un véritable massacre.
Mais ce n’est pas fini, car des archers bien cachés derrière une dune, en profitent pour nous cribler de flèches, et encore une fois nos mages utilisent la magie du vent pour les disperser. Il y a un bref corps à corps, mais nos troupes sont en supériorité numérique et malgré quelques pertes dans nos rangs, nous arrivons à les vaincre. Il ne reste plus que quelques survivants, dont leur chef. Pendant que le sous-officier réorganise ses troupes pour l’assaut final, je décide de laisser une chance au géant albinos. Je m’approche d’eux, n’ayant utilisé que quelques sorts, je suis assez confiant dans mes capacités défensives et offensives et je lui demande :
Êtes-vous prêt à vous soumettre à l’Empire du Reike ?
L’autre choix étant la mort, il n’y a pas long à réfléchir. J’ai déjà vu des fanatiques préférer le suicide collectif, alors je m’attends à tout. Maintenant, le destin de sa tribu est entre ses mains, il pourrait devenir, lui et sa tribu de précieux atouts pour le Reike. Sinon, leurs corps pourriront dans le désert.
Heureusement que je ne suis pas un débutant et que je ne cède pas à la panique, à la place, je me concentre et utilise un puissant sort pour créer une plaque de métal sous les pieds de notre troupe, la plus large possible. Il ne reste plus qu’à nos lanciers à se mettre aux bords de la plaque et à empaler ceux qui arrivent à sortir, ce n’est d’ailleurs plus un combat, mais un véritable massacre.
Mais ce n’est pas fini, car des archers bien cachés derrière une dune, en profitent pour nous cribler de flèches, et encore une fois nos mages utilisent la magie du vent pour les disperser. Il y a un bref corps à corps, mais nos troupes sont en supériorité numérique et malgré quelques pertes dans nos rangs, nous arrivons à les vaincre. Il ne reste plus que quelques survivants, dont leur chef. Pendant que le sous-officier réorganise ses troupes pour l’assaut final, je décide de laisser une chance au géant albinos. Je m’approche d’eux, n’ayant utilisé que quelques sorts, je suis assez confiant dans mes capacités défensives et offensives et je lui demande :
Êtes-vous prêt à vous soumettre à l’Empire du Reike ?
L’autre choix étant la mort, il n’y a pas long à réfléchir. J’ai déjà vu des fanatiques préférer le suicide collectif, alors je m’attends à tout. Maintenant, le destin de sa tribu est entre ses mains, il pourrait devenir, lui et sa tribu de précieux atouts pour le Reike. Sinon, leurs corps pourriront dans le désert.

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Razaäl

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Le fracas des lames sur les boucliers, le cris des hommes cherchant en vain à défendre le peu qu’ils possédaient… Les rales d’agonies des gorges tranchées… Le sang qui vient obstruer les yeux au même titre que le sable du désert.
Le combat fut acharné. Le Mak’Lakal agitait son arme comme un diable, se tenant debout malgré cette défaite iminente. Lorsque le cris des orcs qui étaient pris au piège retentit, le temps paru ralentir autour de Razaäl. La peur apparut sur le regard du colosse blanc tandis que les officiers présent attendaient les ordres. Les Reikois s’avançaient prudamment, continuant dans le même temps leur massacre.
Le chef de guerre déglutit en entendant la demande de soumission. A cet instant précis, il semblait prêt à jeter son gourdin par terre. L’honneur n’était qu’une ressource de luxe. Il ne nourissait pas le clan et il ne pouvait pas non plus lui permettre de vivre. Les orcs survivant dans le camp était maintenant en position serrée, autour de leur chef. Ceux sur la dune continuaient à tirer sans succès.
Ce fut à ce moment là que Razaäl fit un pas en avant pour se rendre mais une mains sur son épaule se posa. C’était Trando, un des officiers du clan. Il apposa son front contre celui du chef tout en grognant.
-Nous pouvons mourir aujourd’hui, nous demeurons vainqueur. Notre plus grande victoire est de voir battre le coeur de notre peuple. Tu dois les emmener à la Montagne d’Emeraude, Mak’Lakal. Tu dois les guider.
La Montagne d’Emmeraude… Douce utopie d’un clan au aboie.
Razaäl sentit quelque chose se défaire à sa taille. Il ne comprit que trop tard ce qu’on lui venait de lui prendre. Un puissant cor résonna à travers le désert. Les cris d’agonie d’un griffon se firent entendre avant que ce dernier ne s’écrase non loin de la bataille.
Trando souffla une nouvelle fois dans le cor avant de lever son arme.
-Pour le Mak’Lakal ! Pour les Mains Blanches !
Le guerrier fut dans un premier temps seul à se jeter dans la bataille. Puis il fut rejoint par les survivants autour de lui et par certains des archers présent sur la dune. Ces hommes et femmes se jetèrent vers une mort imminente, non pas pour une quelconque histoire d’honneur, mais pour permettre à leur chef de se retirer.
La wyverne arriva en pic en direction de Razaäl et l’attrapa par les épaule à l’aide de ses griffes. Hurlant à plein poumon, le chef de guerre vit les siens se faire massacrer par la supériorité reikoise. Les moins brave du clan quant à eux, avaient prit la fuite dans le désert.
Les forces orques étaient vaincus. Certains furent fait prisonnier, d’autres avaient fui mais les principaux guerriers avaient péri.
Ce ne fut que bien plus tard que Razaäl apprit que le reste de la Horde s’était perdue dans le désert et que cette dernière fut discoloquée en plusieurs groupuscules, cherchant à retrouver leur chemins.
Cherchant la Montagne d’Emeraude
Le combat fut acharné. Le Mak’Lakal agitait son arme comme un diable, se tenant debout malgré cette défaite iminente. Lorsque le cris des orcs qui étaient pris au piège retentit, le temps paru ralentir autour de Razaäl. La peur apparut sur le regard du colosse blanc tandis que les officiers présent attendaient les ordres. Les Reikois s’avançaient prudamment, continuant dans le même temps leur massacre.
Le chef de guerre déglutit en entendant la demande de soumission. A cet instant précis, il semblait prêt à jeter son gourdin par terre. L’honneur n’était qu’une ressource de luxe. Il ne nourissait pas le clan et il ne pouvait pas non plus lui permettre de vivre. Les orcs survivant dans le camp était maintenant en position serrée, autour de leur chef. Ceux sur la dune continuaient à tirer sans succès.
Ce fut à ce moment là que Razaäl fit un pas en avant pour se rendre mais une mains sur son épaule se posa. C’était Trando, un des officiers du clan. Il apposa son front contre celui du chef tout en grognant.
-Nous pouvons mourir aujourd’hui, nous demeurons vainqueur. Notre plus grande victoire est de voir battre le coeur de notre peuple. Tu dois les emmener à la Montagne d’Emeraude, Mak’Lakal. Tu dois les guider.
La Montagne d’Emmeraude… Douce utopie d’un clan au aboie.
Razaäl sentit quelque chose se défaire à sa taille. Il ne comprit que trop tard ce qu’on lui venait de lui prendre. Un puissant cor résonna à travers le désert. Les cris d’agonie d’un griffon se firent entendre avant que ce dernier ne s’écrase non loin de la bataille.
Trando souffla une nouvelle fois dans le cor avant de lever son arme.
-Pour le Mak’Lakal ! Pour les Mains Blanches !
Le guerrier fut dans un premier temps seul à se jeter dans la bataille. Puis il fut rejoint par les survivants autour de lui et par certains des archers présent sur la dune. Ces hommes et femmes se jetèrent vers une mort imminente, non pas pour une quelconque histoire d’honneur, mais pour permettre à leur chef de se retirer.
La wyverne arriva en pic en direction de Razaäl et l’attrapa par les épaule à l’aide de ses griffes. Hurlant à plein poumon, le chef de guerre vit les siens se faire massacrer par la supériorité reikoise. Les moins brave du clan quant à eux, avaient prit la fuite dans le désert.
Les forces orques étaient vaincus. Certains furent fait prisonnier, d’autres avaient fui mais les principaux guerriers avaient péri.
Ce ne fut que bien plus tard que Razaäl apprit que le reste de la Horde s’était perdue dans le désert et que cette dernière fut discoloquée en plusieurs groupuscules, cherchant à retrouver leur chemins.
Cherchant la Montagne d’Emeraude

Noble du Reike
Tagar Reys

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Vocation: Mage Elementiste
Alignement: Loyal Neutre
Rang: B - Coeur
Je vois le chef orc me regarder et je sens qu’il va céder, ce qui serait une bonne chose. Mais finalement, il palabre un moment avec un autre membre de sa tribu, sans que je ne puisse comprendre ses paroles, étant trop loin. Mais en tout cas, cela déclenche une réaction à laquelle je ne m’attendais pas, une charge générale !
Bien sûr, c’est sans espoir, vu que nos hommes sont en formation et fin prêt à les recevoir. Pendant un moment, c’est une mêlée sanglante et si nos adversaires sont finalement anéantis, nous comptons encore des pertes dans nos rangs, dont une qui me touche particulièrement, car il s’agit d’un griffon ! Le noble animal, sans doute touché par une flèche s’écrase au sol et je suis désolé pour lui. Je le venge d’ailleurs en tuant un archer avec une lance qui empale le meurtrier, mais le mal est fait.
Alors que je cherchais des yeux l’albinos, je le vois dans les airs, porté par sa créature au niveau des épaules. Il a perdu toute sa superbe, en dirait un simple paquet mais sa « monture » est rapide et elle est déjà hors de portée. Le chef de notre groupe armé nous le confirme d’ailleurs :
Ses guerriers se sont sacrifiés pour lui permettre de fuir.
Je hoche la tête, même si je regrette que toute cette affaire se termine en un bain de sang. Toutefois, je suis quand même content, j’ai empêché un fâcheux précédent, maintenant, toutes les tribus sauront qu’il ne faut pas venir chier dans mes bottes. J’ai juré de me venger et quelques dizaines de morts et de blessés plus tard, c’est chose faite. Nous avons même fait des prisonniers que je vais remettre à la Griffe, quant aux morts, ils seront réutilisés comme main-d’œuvre, comme quoi rien ne se perd au Reike, tout se transforme.
Bien sûr, c’est sans espoir, vu que nos hommes sont en formation et fin prêt à les recevoir. Pendant un moment, c’est une mêlée sanglante et si nos adversaires sont finalement anéantis, nous comptons encore des pertes dans nos rangs, dont une qui me touche particulièrement, car il s’agit d’un griffon ! Le noble animal, sans doute touché par une flèche s’écrase au sol et je suis désolé pour lui. Je le venge d’ailleurs en tuant un archer avec une lance qui empale le meurtrier, mais le mal est fait.
Alors que je cherchais des yeux l’albinos, je le vois dans les airs, porté par sa créature au niveau des épaules. Il a perdu toute sa superbe, en dirait un simple paquet mais sa « monture » est rapide et elle est déjà hors de portée. Le chef de notre groupe armé nous le confirme d’ailleurs :
Ses guerriers se sont sacrifiés pour lui permettre de fuir.
Je hoche la tête, même si je regrette que toute cette affaire se termine en un bain de sang. Toutefois, je suis quand même content, j’ai empêché un fâcheux précédent, maintenant, toutes les tribus sauront qu’il ne faut pas venir chier dans mes bottes. J’ai juré de me venger et quelques dizaines de morts et de blessés plus tard, c’est chose faite. Nous avons même fait des prisonniers que je vais remettre à la Griffe, quant aux morts, ils seront réutilisés comme main-d’œuvre, comme quoi rien ne se perd au Reike, tout se transforme.
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