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Sagesse Réincarnée
Cyradil Ariesvyra
Messages : 538
crédits : 9515
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De retour de l’oasis, Cyradil avait réinvestit la capitale aux côtés de sa nouvelle protégée. Elle l’avait sorti des griffes de son ancien percepteur et s’était affairé essayer de régulariser sa situation au sein du Reike. La jeune forgeronne ignorait à quel point il était facile ou difficile de rejoindre les rangs de l’empire mais à priori, ce n’était pas très compliqué. Sur les conseils de Tagar, Cyradil désirait en savoir un peu plus sur le origines de la sirène. En attendant son intégration, la jeune rousse vivait avec elle dans son immense domaine. Parfois, il pouvait arriver que Siriane se perde mais elle était toujours reguidée par la multitude de servants et servantes qui travaillaient dans la demeure. Par ailleurs, la jeune forgeronne faisait en sorte de subvenir à ses besoins en terme de finances.
Aujourd’hui, elle avait invité Siriane dans le salon afin de converser sur son avenir. Elle attendit que sa protégée se présente avant de lui exposer la situation. Cyradil était habillée d’une robe décontractée beige avec des bas de même couleur. Ses cheveux étaient relâchés et elle avait demandé à ce que l’on prépare du thé avec quelques gâteaux sucrés. La jeune rousse pouvait s’assoir dans l’un des confortables canapés à sa disposition ou alors prendre place auprès de la jeune blonde.
« Ca va ? tu arrives à t’accommoder un peu à la ville ? Ecoute, j’ai parlé à quelques personnes pour ta situation et à priori, il n’y a pas de soucis pour que tu puisses adopter la nationalité reikoise. Cependant, il faudrait que je connaisse quelques détails concernant ta vie. Est-ce que par hasard, tu aurais un lien quelconque avec la République ? Je veux dire, est-ce que tu en as déjà été citoyenne ? »
Tagar avait prévenu la jeune liche de ce détail. En effet, si Siriane avait eu un lien avec la République puis qu’elle l’avait reniée, elle pourrait avoir quelques difficultés envers l’Empire si jamais on l’apprenait.
« Sinon, il suffit juste de prêter allégeance vis-à-vis de l’Empire et de se faire tatouer une sorte de symbole d’appartenance. A vrai dire, ce n’est pas une idéologie à laquelle et j’ai parfois un peu la sensation de me sentir comme du bétail mais c’est obligatoire. Et puis, cela ne fait pas de grande différence avec les tatouages runiques que je possède déjà. »
Il y avait encore toute la question de ses futurs projets et la proposition de la jeune liche sur l’éducation qu’elle voulait fournir à Siriane mais, chaque chose en son temps.
« Ca te dirait de sortir en ville pour nous promener ? Je te montrerais les endroits importants et où tu pourrais te fournir en cas de besoin. D’ailleurs, si tu as besoin d’argent, n’hésite pas à me demander, je t’en fournirais. »
Aujourd’hui, elle avait invité Siriane dans le salon afin de converser sur son avenir. Elle attendit que sa protégée se présente avant de lui exposer la situation. Cyradil était habillée d’une robe décontractée beige avec des bas de même couleur. Ses cheveux étaient relâchés et elle avait demandé à ce que l’on prépare du thé avec quelques gâteaux sucrés. La jeune rousse pouvait s’assoir dans l’un des confortables canapés à sa disposition ou alors prendre place auprès de la jeune blonde.
« Ca va ? tu arrives à t’accommoder un peu à la ville ? Ecoute, j’ai parlé à quelques personnes pour ta situation et à priori, il n’y a pas de soucis pour que tu puisses adopter la nationalité reikoise. Cependant, il faudrait que je connaisse quelques détails concernant ta vie. Est-ce que par hasard, tu aurais un lien quelconque avec la République ? Je veux dire, est-ce que tu en as déjà été citoyenne ? »
Tagar avait prévenu la jeune liche de ce détail. En effet, si Siriane avait eu un lien avec la République puis qu’elle l’avait reniée, elle pourrait avoir quelques difficultés envers l’Empire si jamais on l’apprenait.
« Sinon, il suffit juste de prêter allégeance vis-à-vis de l’Empire et de se faire tatouer une sorte de symbole d’appartenance. A vrai dire, ce n’est pas une idéologie à laquelle et j’ai parfois un peu la sensation de me sentir comme du bétail mais c’est obligatoire. Et puis, cela ne fait pas de grande différence avec les tatouages runiques que je possède déjà. »
Il y avait encore toute la question de ses futurs projets et la proposition de la jeune liche sur l’éducation qu’elle voulait fournir à Siriane mais, chaque chose en son temps.
« Ca te dirait de sortir en ville pour nous promener ? Je te montrerais les endroits importants et où tu pourrais te fournir en cas de besoin. D’ailleurs, si tu as besoin d’argent, n’hésite pas à me demander, je t’en fournirais. »
Invité
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Le voyage fut plus rapide que ce que je pensais. Le confort que m'a offert Cyradil en est le résultat. Nous avons traversé plaine et désert, hameaux et village pour arriver dans la belle et grande cité d'Ikusa. J'étais ébahie en voyant le marché avec le monde qui bouge autour de nous.
Le domaine de Cyradil est vaste et charmant. En m'installant dans une des chambres de sa demeure, j'ai vite compris qu'elle était importante dans cette ville et cela ce confirme au vu du nombre de personnel qui s'occupe de sa demeure.
Depuis mon arrivé d'il y a quelques jours, je me suis perdu plus d'une fois dans la demeure et en y sortant également. Par chance, une femme me raccompagner à chaque fois pour me guider et à présent je ne sort plus sans elle. Je suis rassuré de l'avoir auprès de moi, même si j'ai l'impression d'être une enfant qu'on surveille.
Mon hôte, je ne l'ai pas revue depuis mon arrivé ici et c'est avec un grand plaisir que je me joins à elle lorsqu'elle m'invite pour discuter.
La salle est grande mais mon regard ne perd pas de temps et se pose sur la belle lyche qui est assise. Une embrassade affectueuse et je m'installe en face d'elle dans le confortable canapé en velour.
Notre discussion tourne autour de moi, même si j'aurais préféré qu'elle me raconte son histoire. Je réfléchis à sa demande concernant la République et hoche négativement de la tête. Pour ce qui est de mon passé c' est plus complexe.
- Je ne connais pas mes parents. Comme je te l'ai dit j'ai était élevé par la compagnie de spectacle, je n'en sais pas plus. Nous étions pendant un moment sur une île au sud, Hizoku je crois. Puis nous sommes partie pour l'Oasis. Si le tatouage ne fait pas mal je peux m'y soumettre, c'est une marque comme une autre après tout.
La particularité du peuple Reikois c'est qu'ils ont un tatouage pour prouver leur bonne foi envers le Reike. Cyradil m'explique que c'est comme ses rune mais un moyen en plus de ce faire reconnaître et certainement respecté par les habitants.
La discussion avance petit à petit sur la ville et une promenade m'est proposé. Je sourie en regardant la lyche et surexcité je me lève et attrapé ses mains.
- J'adorerais sortir et me promener dans la ville avec toi. Je n'ai pas vraiment d'idée où nous pourrions aller mais je te fais confiance. J'aurais besoin d'un peu d'argent pour au moins acheter de nouveau habits mais je me ferais un devoir de te rembourser dès que je pourrais. Tu as déjà fait tellement de chose pour moi. Merci Cyradil.
Après une nouvelle embrassade, je reste debout, prête à partir, guidé par la lyche dans les rues reikoises. Il y a plein de chose à découvrir et peut être que je trouverais un travail pas trop loin d'ici.
Le domaine de Cyradil est vaste et charmant. En m'installant dans une des chambres de sa demeure, j'ai vite compris qu'elle était importante dans cette ville et cela ce confirme au vu du nombre de personnel qui s'occupe de sa demeure.
Depuis mon arrivé d'il y a quelques jours, je me suis perdu plus d'une fois dans la demeure et en y sortant également. Par chance, une femme me raccompagner à chaque fois pour me guider et à présent je ne sort plus sans elle. Je suis rassuré de l'avoir auprès de moi, même si j'ai l'impression d'être une enfant qu'on surveille.
Mon hôte, je ne l'ai pas revue depuis mon arrivé ici et c'est avec un grand plaisir que je me joins à elle lorsqu'elle m'invite pour discuter.
La salle est grande mais mon regard ne perd pas de temps et se pose sur la belle lyche qui est assise. Une embrassade affectueuse et je m'installe en face d'elle dans le confortable canapé en velour.
Notre discussion tourne autour de moi, même si j'aurais préféré qu'elle me raconte son histoire. Je réfléchis à sa demande concernant la République et hoche négativement de la tête. Pour ce qui est de mon passé c' est plus complexe.
- Je ne connais pas mes parents. Comme je te l'ai dit j'ai était élevé par la compagnie de spectacle, je n'en sais pas plus. Nous étions pendant un moment sur une île au sud, Hizoku je crois. Puis nous sommes partie pour l'Oasis. Si le tatouage ne fait pas mal je peux m'y soumettre, c'est une marque comme une autre après tout.
La particularité du peuple Reikois c'est qu'ils ont un tatouage pour prouver leur bonne foi envers le Reike. Cyradil m'explique que c'est comme ses rune mais un moyen en plus de ce faire reconnaître et certainement respecté par les habitants.
La discussion avance petit à petit sur la ville et une promenade m'est proposé. Je sourie en regardant la lyche et surexcité je me lève et attrapé ses mains.
- J'adorerais sortir et me promener dans la ville avec toi. Je n'ai pas vraiment d'idée où nous pourrions aller mais je te fais confiance. J'aurais besoin d'un peu d'argent pour au moins acheter de nouveau habits mais je me ferais un devoir de te rembourser dès que je pourrais. Tu as déjà fait tellement de chose pour moi. Merci Cyradil.
Après une nouvelle embrassade, je reste debout, prête à partir, guidé par la lyche dans les rues reikoises. Il y a plein de chose à découvrir et peut être que je trouverais un travail pas trop loin d'ici.
Sagesse Réincarnée
Cyradil Ariesvyra
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Comme Cyradil l’avait soupçonné, Siriane n’avait pas vraiment de lien avec la République selon ses propres dires. Et puis même si c’était le cas, la sirène ne savait même pas qui étaient ses parents biologiques. Il était peu probable alors que la République ne vienne réclamer un présumé citoyen qui ne se rappelle même pas d’où il provient. La jeune liche supposa alors que la jeune rousse avait du être abandonnée avant d’être recueillie par Mr Meizer. Siriane était étonnement docile envers Cyradil malgré les efforts de cette dernière pour bien lui faire comprendre qu’il ne s’agissait là pas d’une relation de maitresse à esclave. Car oui, disons-le, c’était exactement la façon avec laquelle Siriane était traitée par son ancien employeur. Sa protégée ayant répondu par l’affirmative, elle se leva donc pour sortir se promener dans Ikusa.
« Tu sais, Siriane, tu n’es pas obligée de dire oui à tout ce que je te propose. Tu es libre maintenant. Sinon, concernant le tatouage, cela ne fait pas mal, il suffit simplement de le faire faire par un tatoueur officiel de la citoyenneté reikoise et de le renouveler tous les trois ans. C’est l’empreinte magique contenue dans celui-ci qui fait état de ta citoyenneté. Tous les tatouages sont similaires, savoir la représentation d’un dragon inscrit dans un cercle mais la taille peut être variable. Je te conseille un truc discret et pas trop invasif, ce sera mieux pour toi. »
Le corps de Cyradil était couvert de symboles runiques alors le tatouage ne l’avait pas vraiment gênée. Cependant, pour Siriane, cela pouvait faire tâche alors il valait mieux qu’il ne soit pas trop visible.
« Pour le reste, tu pourras profiter de tous les services citoyens. On te trouvera un petit foyer pour que tu aies une domiciliation au sein du Reike. Ne t’inquiète pas, tu pourras toujours venir chez moi si tu as envie mais il faut que tu possèdes une certaine indépendance. »
Bien sûr, Cyradil ne cherchait pas à chasser Siriane de chez elle et la sirène pourrait rester aussi longtemps que sa situation l’exige. Cependant, elle voulait lui offrir une certaine indépendance ainsi que le droit aux aides sociales. La jeune rousse n’avait ni travail ni famille alors si le système économique du Reike était aussi stable qu’il le prétend alors les administrations impériales ne devraient pas rechigner à l’octroi d’une aide une fois la situation de Siriane régularisée.
« Je sais que tout cela est confus pour toi mais c’est normal au début. Je serais toujours là pour t’accompagner donc si tu as un problème, il ne faut surtout pas hésiter à venir me trouver, d’accord ? »
La jeune blonde commença donc par satisfaire la requête de sa protégée. Elle lui octroya une bourse d’une dizaine de pièces d’or, soit l’équivalent de ce qu’un artisan non qualifié pouvait espérer gagner en un mois. Evidemment, Cyradil pouvait lui octroyer davantage mais elle souhaitait également faire l’éducation financière de la jeune rousse, notamment en lui apprenant la valeur réelle de l’argent. Cela lui éviterait par exemple, de se faire flouer par certains vendeurs. Elles entrèrent donc dans une boutique de textiles afin d’acheter quelques vêtements.
A Ikusa et surtout dans les quartiers aisés, l’on avait l’habitude de clairement indiquer les prix des articles afin de s’assurer d’un certain gage de confiance. En effet, la réputation d’un vendeur de haute gamme était bien plus importante que les gains qu’il pouvait se faire. Essayer d’entuber un noble pouvait être synonyme de banqueroute et il valait mieux jouer de son honnêteté lorsqu’on commerçait avec les éminentes familles du pays. Une fois à l’intérieur, Cyradil laissa Siriane explorer l’établissement à sa guise en essayant de ne pas l’influencer.
« Tu peux prendre ce que tu veux mais attention, tu n’as que dix pièces d’or donc réfléchis bien. Dans la vie, on ne peut pas obtenir tout ce que l’on veut et encore moins immédiatement donc il faut faire des compromis. » Dit-elle en souriant.
Était-ce un test ? On pouvait sans doute dire cela mais Cyradil n’en restait pas moins amicale. Pour quelqu’un qui n’avait jamais profité de la liberté en vingt ans d’existence, il paraissait évident que la jeune blonde lui achèterait un article s’il plaisait vraiment à Siriane. Néanmoins, elle était juste curieuse de voir comment sa protégée se débrouillait.
« Tu sais, Siriane, tu n’es pas obligée de dire oui à tout ce que je te propose. Tu es libre maintenant. Sinon, concernant le tatouage, cela ne fait pas mal, il suffit simplement de le faire faire par un tatoueur officiel de la citoyenneté reikoise et de le renouveler tous les trois ans. C’est l’empreinte magique contenue dans celui-ci qui fait état de ta citoyenneté. Tous les tatouages sont similaires, savoir la représentation d’un dragon inscrit dans un cercle mais la taille peut être variable. Je te conseille un truc discret et pas trop invasif, ce sera mieux pour toi. »
Le corps de Cyradil était couvert de symboles runiques alors le tatouage ne l’avait pas vraiment gênée. Cependant, pour Siriane, cela pouvait faire tâche alors il valait mieux qu’il ne soit pas trop visible.
« Pour le reste, tu pourras profiter de tous les services citoyens. On te trouvera un petit foyer pour que tu aies une domiciliation au sein du Reike. Ne t’inquiète pas, tu pourras toujours venir chez moi si tu as envie mais il faut que tu possèdes une certaine indépendance. »
Bien sûr, Cyradil ne cherchait pas à chasser Siriane de chez elle et la sirène pourrait rester aussi longtemps que sa situation l’exige. Cependant, elle voulait lui offrir une certaine indépendance ainsi que le droit aux aides sociales. La jeune rousse n’avait ni travail ni famille alors si le système économique du Reike était aussi stable qu’il le prétend alors les administrations impériales ne devraient pas rechigner à l’octroi d’une aide une fois la situation de Siriane régularisée.
« Je sais que tout cela est confus pour toi mais c’est normal au début. Je serais toujours là pour t’accompagner donc si tu as un problème, il ne faut surtout pas hésiter à venir me trouver, d’accord ? »
La jeune blonde commença donc par satisfaire la requête de sa protégée. Elle lui octroya une bourse d’une dizaine de pièces d’or, soit l’équivalent de ce qu’un artisan non qualifié pouvait espérer gagner en un mois. Evidemment, Cyradil pouvait lui octroyer davantage mais elle souhaitait également faire l’éducation financière de la jeune rousse, notamment en lui apprenant la valeur réelle de l’argent. Cela lui éviterait par exemple, de se faire flouer par certains vendeurs. Elles entrèrent donc dans une boutique de textiles afin d’acheter quelques vêtements.
A Ikusa et surtout dans les quartiers aisés, l’on avait l’habitude de clairement indiquer les prix des articles afin de s’assurer d’un certain gage de confiance. En effet, la réputation d’un vendeur de haute gamme était bien plus importante que les gains qu’il pouvait se faire. Essayer d’entuber un noble pouvait être synonyme de banqueroute et il valait mieux jouer de son honnêteté lorsqu’on commerçait avec les éminentes familles du pays. Une fois à l’intérieur, Cyradil laissa Siriane explorer l’établissement à sa guise en essayant de ne pas l’influencer.
« Tu peux prendre ce que tu veux mais attention, tu n’as que dix pièces d’or donc réfléchis bien. Dans la vie, on ne peut pas obtenir tout ce que l’on veut et encore moins immédiatement donc il faut faire des compromis. » Dit-elle en souriant.
Était-ce un test ? On pouvait sans doute dire cela mais Cyradil n’en restait pas moins amicale. Pour quelqu’un qui n’avait jamais profité de la liberté en vingt ans d’existence, il paraissait évident que la jeune blonde lui achèterait un article s’il plaisait vraiment à Siriane. Néanmoins, elle était juste curieuse de voir comment sa protégée se débrouillait.
Invité
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Ma réponse plaît à Cyradil car la voilà déjà debout, prête à partir. Je sourie en me levant pour la suivre tandis qu'elle me rappel que je ne suis pas obligé de faire ce qu'elle me dit, que j'ai mon propre avis et liberté. J'acquiesce d'un hochement de tête sans vraiment savoir de quoi elle parle. Ayant toujours vécue pour le compte de quelqu'un il me paraît normal d'écouter et de suivre les directives.
L'explication sur le tatouage me fait frissonner alors que nous avançons prêt de l'entrée du palace de mon hôte. C'est une grande maison comparé à ma minuscule roulotte.
En parlant de domicile, alors qu'elle me conseil de faire un tatouage discret, elle m'annonce que je vais avoir mon propre chez moi. Avant que je ne riposte pour la Co tre dire, elle me rassure en me disant que je peux revenir quand je le voudrais.
- Je... Oui c'est bien... Mais c'est encore tôt pour moi non ? Être seule... Dans ma maison... Je... Je pe se pas pouvoir y vivre convenablement. Ici c'est bien, puis tu es là et même quand t'es pas là il y a du monde...
Je suis un peu gêner alors que nous franchissons la porte d'entrée et que mes pieds balance la poussière du sol devant moi.
Nous marchons qu'elle me rassure tout en me donnant de l'argent. Dix pièces d'or. Mon regard est obnubilé par le soleil qui fait briller les pièce dans mes mains. Cyradil m'arrête et m'annonce que je peux acheter des choses ici. Je regarde la devanture et comprend que c'est du tissus. Mais pas n'importe lequel. Celui là sert pour les vêtements.
Je sourie en flânant dan les rayons et commence à prendre sous mon bras quelques tee-shirt et robe, une jupe souple et un capuchon.
J'essaie rapidement les vêtements et il s'avère que tout les habits me vont. Je montre l'ensemble au vendeur qui m'annonce le prix de 25 pièces d'or. Je le regarde ne fronçant légèrement les sourcils et me tourne vers Cyradil. Son visage est neutre, elle me regarde et attends certainement une action de ma part.
Ma première pensée est d'utiliser mon champs liryque pour amadouer et séduire le marchands et lui faire baisser ses prix. Mais je ne suis plus comme ça, en tout cas je ne veux plus l'être.
Je réfléchis, regarde la tunique qui me plaît le plus et laisse les autres de côtés. Le prix est plus accessible avec ceux que je possède : six pièce d'or. Je paie le vêtement et reviens vers Cyradil avec la tunique Violette en main. C'est une robe avec un décolleté moins ouvert que j'ai l'habitude de porter et un bas ressemblant à une jupe.
Nous sortons et je regarde les environs en réfléchissants. Je vois une pancarte d'une taverne et me tourne vers Cyradil en souriant.
- J'ai pensé à l'hypnose mais ça aurait pu mal tourner. Et puis, j'ai assez d'or pour m'acheter des vêtements moins onéreux et faire un choix. Où vas-t-on maintenant ? Si je dois travailler j'aimerais bien le faire dans un endroit où je peux bouger et chanter. Comme la bas par exemple.
Je montre d'un signe de tête la taverne de l'autre côté du chemin.
L'explication sur le tatouage me fait frissonner alors que nous avançons prêt de l'entrée du palace de mon hôte. C'est une grande maison comparé à ma minuscule roulotte.
En parlant de domicile, alors qu'elle me conseil de faire un tatouage discret, elle m'annonce que je vais avoir mon propre chez moi. Avant que je ne riposte pour la Co tre dire, elle me rassure en me disant que je peux revenir quand je le voudrais.
- Je... Oui c'est bien... Mais c'est encore tôt pour moi non ? Être seule... Dans ma maison... Je... Je pe se pas pouvoir y vivre convenablement. Ici c'est bien, puis tu es là et même quand t'es pas là il y a du monde...
Je suis un peu gêner alors que nous franchissons la porte d'entrée et que mes pieds balance la poussière du sol devant moi.
Nous marchons qu'elle me rassure tout en me donnant de l'argent. Dix pièces d'or. Mon regard est obnubilé par le soleil qui fait briller les pièce dans mes mains. Cyradil m'arrête et m'annonce que je peux acheter des choses ici. Je regarde la devanture et comprend que c'est du tissus. Mais pas n'importe lequel. Celui là sert pour les vêtements.
Je sourie en flânant dan les rayons et commence à prendre sous mon bras quelques tee-shirt et robe, une jupe souple et un capuchon.
J'essaie rapidement les vêtements et il s'avère que tout les habits me vont. Je montre l'ensemble au vendeur qui m'annonce le prix de 25 pièces d'or. Je le regarde ne fronçant légèrement les sourcils et me tourne vers Cyradil. Son visage est neutre, elle me regarde et attends certainement une action de ma part.
Ma première pensée est d'utiliser mon champs liryque pour amadouer et séduire le marchands et lui faire baisser ses prix. Mais je ne suis plus comme ça, en tout cas je ne veux plus l'être.
Je réfléchis, regarde la tunique qui me plaît le plus et laisse les autres de côtés. Le prix est plus accessible avec ceux que je possède : six pièce d'or. Je paie le vêtement et reviens vers Cyradil avec la tunique Violette en main. C'est une robe avec un décolleté moins ouvert que j'ai l'habitude de porter et un bas ressemblant à une jupe.
Nous sortons et je regarde les environs en réfléchissants. Je vois une pancarte d'une taverne et me tourne vers Cyradil en souriant.
- J'ai pensé à l'hypnose mais ça aurait pu mal tourner. Et puis, j'ai assez d'or pour m'acheter des vêtements moins onéreux et faire un choix. Où vas-t-on maintenant ? Si je dois travailler j'aimerais bien le faire dans un endroit où je peux bouger et chanter. Comme la bas par exemple.
Je montre d'un signe de tête la taverne de l'autre côté du chemin.
Sagesse Réincarnée
Cyradil Ariesvyra
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Siriane sembla indécise au début sur son choix de vêtements. Cyradil ne fut pas étonnée de la voir se saisir d’autant de vêtements. La pauvre, elle n’avait sans doute jamais pu faire ce qu’elle voulait et il s’agit donc d’une réaction tout à fait normale. Toutefois, il s’agissait d’un moyen de lui faire comprendre qu’il n’était pas toujours possible d’obtenir tout ce que l’on voulait et qu’il fallait faire preuve d’intelligence pour choisir ce que l’on pensait être le mieux pour soi. La sirène revint vers elle avec une tunique violette. Le prix lui semblait abordable et l’achat semblait satisfaire Siriane.
« Tu peux garder le reste de l’argent. Sers-t’en pour t’en faire plaisir. Je comprends que tu veuilles vivre avec moi mais disons que je pense aussi à ton avenir. Tu sais, tu n’as pas la même longévité que moi et il faudra que tu fasses les choix de vie qui te plaisent pour que tu puisses profiter de ta vie. Avoir une certaine indépendance, surtout au Reike, c’est important. Il faut que tu apprennes à ne plus dépendre des gens et te construire ton propre patrimoine si je peux dire les choses comme ça. Je suis sûre que tu rencontreras plein de gens qui sont très heureux de pouvoir tisser des liens avec toi et je t’assure que tu n’auras même pas besoin d’utiliser ton pouvoir de séduction pour cela. »
Evidemment, Siriane pouvait rester aussi longtemps qu’elle le désirait mais Cyradil était convaincue que sa protégée comprendrait ce qu’elle lui disait un jour. Pour l’instant, les objectifs de Siriane étaient assez limités mais si cela lui permettait de stabiliser un peu sa situation alors la jeune liche l’aiderait. La jeune rousse finit par lui parler de ses passions ainsi que de sa volonté à vouloir commencer par un petit travail dans une taverne. Il s’agissait d’un bon point de départ pour amasser quelques piécettes.
« Dans une taverne ? Oui, tu pourrais commencer par là. Mais pas avant d’avoir régler quelques détails d’abord. Suis-moi à l’intérieur. »
La jeune liche pénétra dans l’établissement et demanda directement à parler au patron. Inutile de se présenter vraiment. Dans Ikusa, on connaissait sa réputation. L’homme en question était âgé d’une cinquante d’années et emprunt d’une certaine bonhommie qui laissait penser que ce dernier vivait de manière relativement aisée pour quelqu’un de la classe moyenne. La plupart des tables étaient remplies tandis que des musiciens et danseuses s’occupaient d’animer la soirée. Le patron fut un peu impressionné en voyant la noble dame entrer dans son établissement et il essaya tout de suite de faire bonne figure.
« Dame Ariesvyra. Que me vaut votre venue dans mon humble établissement ? »
« Je vous amène une jeune fille qui souhaite travailler dans votre auberge. Elle s’appelle Siriane et elle chante très bien. »
« Voyez-vous ça. Et bien…disons que ce serait sans doute un affront de refuser une requête de votre part. Surtout quand il s’agit d’une jolie jeune fille. » Dit-il en jaugeant Siriane.
Si l’aubergiste pouvait voir les yeux de la liche, il se rendrait compte que celle-ci le toisait ardemment. Visiblement, il fallait qu’elle s’affirme.
« Je crois qu’on ne s’est pas bien compris. Elle est ici pour faire un travail honnête. Pas d’heures supplémentaires ou de pourboires douteux. Et si par malchance, j’apprends que c’est le cas…je crois que je n’ai pas besoin de continuer, n’est-ce pas ? » Dit-elle avec un sourire malicieux.
« Bien sûr, bien sûr…euh…un travail honnête…euh…15…non 20 ! 20 pièces d’or par mois. »
« 25 et on est d’accord. » Ajouta-t-elle.
« Mmh…vous êtes dure en affaire mais si vous me dites qu'elle est douée alors je vous fais confiance. C’est d’accord, je la prends pour 25 pièces d’or par mois. Six soirs par semaine, ça vous va ? »
Sur ce coup, Cyradil se tourna vers la sirène. Après tout, elle avait aussi son mot à dire. La jeune blonde pouvait certainement réduire ses horaires si elle poussait un peu mais elle préférait remettre le choix à Siriane.
« Qu’est-ce t’en penses Siriane, ça te va ? »
« Tu peux garder le reste de l’argent. Sers-t’en pour t’en faire plaisir. Je comprends que tu veuilles vivre avec moi mais disons que je pense aussi à ton avenir. Tu sais, tu n’as pas la même longévité que moi et il faudra que tu fasses les choix de vie qui te plaisent pour que tu puisses profiter de ta vie. Avoir une certaine indépendance, surtout au Reike, c’est important. Il faut que tu apprennes à ne plus dépendre des gens et te construire ton propre patrimoine si je peux dire les choses comme ça. Je suis sûre que tu rencontreras plein de gens qui sont très heureux de pouvoir tisser des liens avec toi et je t’assure que tu n’auras même pas besoin d’utiliser ton pouvoir de séduction pour cela. »
Evidemment, Siriane pouvait rester aussi longtemps qu’elle le désirait mais Cyradil était convaincue que sa protégée comprendrait ce qu’elle lui disait un jour. Pour l’instant, les objectifs de Siriane étaient assez limités mais si cela lui permettait de stabiliser un peu sa situation alors la jeune liche l’aiderait. La jeune rousse finit par lui parler de ses passions ainsi que de sa volonté à vouloir commencer par un petit travail dans une taverne. Il s’agissait d’un bon point de départ pour amasser quelques piécettes.
« Dans une taverne ? Oui, tu pourrais commencer par là. Mais pas avant d’avoir régler quelques détails d’abord. Suis-moi à l’intérieur. »
La jeune liche pénétra dans l’établissement et demanda directement à parler au patron. Inutile de se présenter vraiment. Dans Ikusa, on connaissait sa réputation. L’homme en question était âgé d’une cinquante d’années et emprunt d’une certaine bonhommie qui laissait penser que ce dernier vivait de manière relativement aisée pour quelqu’un de la classe moyenne. La plupart des tables étaient remplies tandis que des musiciens et danseuses s’occupaient d’animer la soirée. Le patron fut un peu impressionné en voyant la noble dame entrer dans son établissement et il essaya tout de suite de faire bonne figure.
« Dame Ariesvyra. Que me vaut votre venue dans mon humble établissement ? »
« Je vous amène une jeune fille qui souhaite travailler dans votre auberge. Elle s’appelle Siriane et elle chante très bien. »
« Voyez-vous ça. Et bien…disons que ce serait sans doute un affront de refuser une requête de votre part. Surtout quand il s’agit d’une jolie jeune fille. » Dit-il en jaugeant Siriane.
Si l’aubergiste pouvait voir les yeux de la liche, il se rendrait compte que celle-ci le toisait ardemment. Visiblement, il fallait qu’elle s’affirme.
« Je crois qu’on ne s’est pas bien compris. Elle est ici pour faire un travail honnête. Pas d’heures supplémentaires ou de pourboires douteux. Et si par malchance, j’apprends que c’est le cas…je crois que je n’ai pas besoin de continuer, n’est-ce pas ? » Dit-elle avec un sourire malicieux.
« Bien sûr, bien sûr…euh…un travail honnête…euh…15…non 20 ! 20 pièces d’or par mois. »
« 25 et on est d’accord. » Ajouta-t-elle.
« Mmh…vous êtes dure en affaire mais si vous me dites qu'elle est douée alors je vous fais confiance. C’est d’accord, je la prends pour 25 pièces d’or par mois. Six soirs par semaine, ça vous va ? »
Sur ce coup, Cyradil se tourna vers la sirène. Après tout, elle avait aussi son mot à dire. La jeune blonde pouvait certainement réduire ses horaires si elle poussait un peu mais elle préférait remettre le choix à Siriane.
« Qu’est-ce t’en penses Siriane, ça te va ? »
Invité
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Mon achat me conviens et je suis fière d'avoir prise la décision de ne garder qu'un vêtement qui le plaît avec l'aide de Cyradil qui ma limitée avec le nombre de pièces. La liche veut mon bien et mon bonheur et je le vois de plus en plus alors qu'elle me demande ce que je souhaite faire à présent.
Comme convenu, elle m'amène devant une taverne après que je lui ai expliqué mon choix de travailler en chantant et servant des gens. C'est un autres services que ceux que j'avais l'habitude mais c'est toujours mieux qu'avant.
Nous entrons dans la taverne et immédiatement le patron des lieux salué convenablement Cyradil. Je fais une légère révérence à l'homme en laissant mon amie parler. La discussion va très vite dans mon sens favorable et je suis étonné de la puissance qu'à Cyradil dans cette ville. Je me sens un où gêner alors qu'elle pose les règles avec l'homme pour mon premier travail sans aucun actes douteux. Il accepte de me payer au tarif que la liche souhaite et elle me regarde en me demandant ce que j'en pense.
Je me gratte lle cou en le regardant, gêner de ce qu'elle viens de faire pour moi.
- Je... Euh... Merci... Je... Ça me conviens six soir par semaine. Je peux commencer ce soir monsieur, ou demain.
Je sourie en regardant Cyradil, heureuse d'avoir un premier travail. Mais je sens que je ne suis pas à l'aise avec la manière de faire. C'est honorable de sa part mais si elle n'avait pas cette autorité dû à sa famille, ca ne se serait pas passer comme ça.
L'homme repart à son travail, nous laissant toute les deux. Je serre Cyradil dans mes bras et dit à son oreille en souriant.
- Merci... Tu n'était pas obligé tu sais. J'aurais pu faire des choses en plus si besoins... J'ai l'habitude... Mais cette nouvelle vie est géniale avec toi.
Je la sere un peu plus en me mordant la lèvre et la regarde en souriant les yeux pétillant et humide. Je frissonne en posant ma main doucement sur sa joue et la caressant avec mon pouce.
- J'ai un peu faim... Est ce qu'on peut manger quelques part ? J'aimerais voir d'autres endroit aussi et t'offrir ce que tu veux... Un service pour un service Cyradil.
Sans la quitter du regard, je prend sa main et embrasse sa paume doucement en attendant sa réponse. Je suis très câliné avec elle et elle sait ce que je désire mais je respecte sa manière de vivre, même si je me retiens de la remercier comme je le ferais normalement.
Comme convenu, elle m'amène devant une taverne après que je lui ai expliqué mon choix de travailler en chantant et servant des gens. C'est un autres services que ceux que j'avais l'habitude mais c'est toujours mieux qu'avant.
Nous entrons dans la taverne et immédiatement le patron des lieux salué convenablement Cyradil. Je fais une légère révérence à l'homme en laissant mon amie parler. La discussion va très vite dans mon sens favorable et je suis étonné de la puissance qu'à Cyradil dans cette ville. Je me sens un où gêner alors qu'elle pose les règles avec l'homme pour mon premier travail sans aucun actes douteux. Il accepte de me payer au tarif que la liche souhaite et elle me regarde en me demandant ce que j'en pense.
Je me gratte lle cou en le regardant, gêner de ce qu'elle viens de faire pour moi.
- Je... Euh... Merci... Je... Ça me conviens six soir par semaine. Je peux commencer ce soir monsieur, ou demain.
Je sourie en regardant Cyradil, heureuse d'avoir un premier travail. Mais je sens que je ne suis pas à l'aise avec la manière de faire. C'est honorable de sa part mais si elle n'avait pas cette autorité dû à sa famille, ca ne se serait pas passer comme ça.
L'homme repart à son travail, nous laissant toute les deux. Je serre Cyradil dans mes bras et dit à son oreille en souriant.
- Merci... Tu n'était pas obligé tu sais. J'aurais pu faire des choses en plus si besoins... J'ai l'habitude... Mais cette nouvelle vie est géniale avec toi.
Je la sere un peu plus en me mordant la lèvre et la regarde en souriant les yeux pétillant et humide. Je frissonne en posant ma main doucement sur sa joue et la caressant avec mon pouce.
- J'ai un peu faim... Est ce qu'on peut manger quelques part ? J'aimerais voir d'autres endroit aussi et t'offrir ce que tu veux... Un service pour un service Cyradil.
Sans la quitter du regard, je prend sa main et embrasse sa paume doucement en attendant sa réponse. Je suis très câliné avec elle et elle sait ce que je désire mais je respecte sa manière de vivre, même si je me retiens de la remercier comme je le ferais normalement.
Sagesse Réincarnée
Cyradil Ariesvyra
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Les détails de son contrat furent réglés rapidement. Devant l’éloquence de sa tutrice, Siriane ne pouvait que s’attendre à ce que Cyradil lui offre un confort de vie qui siérait avec ce que demandait la sirène. En somme toute, les modalités semblaient lui convenir et la jeune rousse pouvait travailler dès le lendemain. Inutile de la mettre à l’épreuve. Personne ici n’oserait remettre en question la parole de la jeune liche. La négociation terminée, la jeune rousse se jeta dans les bras de Cyradil à qui elle fit une étreinte chaleureuse. Sa protégée semblait bien tactile avec elle mais cela ne semblait pas déranger la forgeronne.
Parfois, elle se demandait si Siriane se rendait vraiment compte de ce qu’elle faisait ou s’il s’agissait de pulsions innées. Elle profiterait sûrement du séjour de la sirène dans sa demeure pour en apprendre un peu plus mais il fallait surtout lui inculquer certaines valeurs morales et également à essayer de se respecter davantage. Même si elle appréciait les attentions de la sirène, Cyradil était relativement insensible. L’amour était un concept beaucoup trop important à ses yeux pour n’avoir jamais dérogé à ses propres principes. Contrairement à beaucoup de ses semblables, la jeune blonde ne montrait aucun intérêt pour les plaisirs charnels et cela, elle l’avait bien fait comprendre à Siriane.
« Il faut que tu te valorises, Siriane. Tu n’es pas obligée de faire tout ce qu’on te dit, surtout si ça a l’air dégradant. Tu seras payée ce pourquoi tu as été embauchée. Si tu te plies au désir des gens alors ils profiteront de ta gentillesse pour faire de toi ce qu’ils veulent. Je m’efforcerais d’écarter ces personnes de ton chemin mais il faut que tu saches que je ne serais pas toujours là pour te couvrir donc il va falloir que tu apprennes à dire non de temps en temps. Pour le reste, tu es libre de faire ce qui te plait bien sûr, y compris ces choses-là… »
Car oui, même si Cyradil agissait comme sa tutrice, elle n’était pas sa mère non plus. Siriane avait tout à fait le droit de s’amuser et si elle trouvait son plaisir dans ce genre d’activité, qui était-elle pour les lui refuser ? Quoi qu’il en fut, la sirène manifesta le désir de vouloir manger et Cyradil l’emmena alors déjeuner. Comme pour ses escapades avec Elia, la jeune forgeronne l’emmena dans un établissement plutôt élégant, voulant lui faire plaisir en lui faisant goûter quelque chose dont Siriane n’avait certainement jamais fait l’expérience. D’ailleurs, la jeune rousse semblait lui être redevable d’une quelconque manière, ce à quoi la jeune blonde hocha doucement la tête en souriant.
« N’hésite pas à commander ce qui te plait. Et ne t’en fais pas, tu auras tout le temps de me rendre la pareille. Je fais ça pour toi et pour que tu n’aies plus besoin de vivre au compte d’autres personnes. Au fait, est-ce que Mr Meizer t’a appris à lire et à écrire ? »
Parfois, elle se demandait si Siriane se rendait vraiment compte de ce qu’elle faisait ou s’il s’agissait de pulsions innées. Elle profiterait sûrement du séjour de la sirène dans sa demeure pour en apprendre un peu plus mais il fallait surtout lui inculquer certaines valeurs morales et également à essayer de se respecter davantage. Même si elle appréciait les attentions de la sirène, Cyradil était relativement insensible. L’amour était un concept beaucoup trop important à ses yeux pour n’avoir jamais dérogé à ses propres principes. Contrairement à beaucoup de ses semblables, la jeune blonde ne montrait aucun intérêt pour les plaisirs charnels et cela, elle l’avait bien fait comprendre à Siriane.
« Il faut que tu te valorises, Siriane. Tu n’es pas obligée de faire tout ce qu’on te dit, surtout si ça a l’air dégradant. Tu seras payée ce pourquoi tu as été embauchée. Si tu te plies au désir des gens alors ils profiteront de ta gentillesse pour faire de toi ce qu’ils veulent. Je m’efforcerais d’écarter ces personnes de ton chemin mais il faut que tu saches que je ne serais pas toujours là pour te couvrir donc il va falloir que tu apprennes à dire non de temps en temps. Pour le reste, tu es libre de faire ce qui te plait bien sûr, y compris ces choses-là… »
Car oui, même si Cyradil agissait comme sa tutrice, elle n’était pas sa mère non plus. Siriane avait tout à fait le droit de s’amuser et si elle trouvait son plaisir dans ce genre d’activité, qui était-elle pour les lui refuser ? Quoi qu’il en fut, la sirène manifesta le désir de vouloir manger et Cyradil l’emmena alors déjeuner. Comme pour ses escapades avec Elia, la jeune forgeronne l’emmena dans un établissement plutôt élégant, voulant lui faire plaisir en lui faisant goûter quelque chose dont Siriane n’avait certainement jamais fait l’expérience. D’ailleurs, la jeune rousse semblait lui être redevable d’une quelconque manière, ce à quoi la jeune blonde hocha doucement la tête en souriant.
« N’hésite pas à commander ce qui te plait. Et ne t’en fais pas, tu auras tout le temps de me rendre la pareille. Je fais ça pour toi et pour que tu n’aies plus besoin de vivre au compte d’autres personnes. Au fait, est-ce que Mr Meizer t’a appris à lire et à écrire ? »
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Mon premier cot rat de travail honnête fut signé rapidement et en accord avec la loi grâce à la supervision de Cyradil. Je lui sourie en l'embrassent tendrement pour la remercier tout en lui rappelant que je pouvais faire certaines choses en plus pour le prix demandé.
Ça leçons sur mon consentement et mon apprentissage de dire non me fait sourire et j'hoche la tête en l'écoutant parlé. Il est vrai que je dois apprendre à vivre pour moi et pas pour les autres et avoir mes propres décisions. C'est complexe quand on a jamais goûté à la Liberté d'agir mais je réussirai j'en suis certaine.
Je commence à avoir faim et en fait par à mon amie qui me dirige dans un restaurant traditionnel mais bien atypique. Je ne reconnais pas l'allure d'une taverne normale. C'est plus distingué et d'un rang supérieur. Tout est classieuex et calme. Je m'installe devant elle a une table et nous nous retrouvons toutes les deux seules comme cette soirée là à l'oasis. Je sourie, heureuse de partager ce moment avec Cyradil, alors qu' elle me demande quelque chose qui est intéressant. J'hoche la tête avec un sourie en répondant.
- Monsieur Meizer m'avais laissé quelques livres et m'a appris à lire et écrire oui. Je tanis les comptes de la compagnie à l'âge de 7 ans. Il vérifiais derrière moi mais c'etait toujours bon. La lecture je l'ai apprise par moi-même. En me plongeant dans les livres, j'ai appris à utiliser les lettres ensemble pour former des mots puis des phrases. Avec le temps, j'ai compris que c'était une bonne chose de savoir lire. Je l'ai caché pendant un moment à Monsieur Meizer pour pas qu'il me punisse pour ça. Mais aujourd'hui je suis bien contente de savoir lire, écrire et compter.
Le sourire au lèvres, je regarde le parchemin qui est sur la table et lis à voix haute et distinctement le menu. Je ne sais pas ce qu'est cette cuisine et je regard Cyradil.
- Qu'est ce qu'il serve a mangé ici ? Je ne connais pas ces plats. C'est une nouveauté ? Ou alors je suis vraiment inculte dans tout les domaines. Je te laisse choisir pour moi, tu es la mieux placé pour savoir ce que j'aime mangé.
Je rougie en réfléchissant a ce que je viens de lui répondre. Je retiens un rire entre mes lèvres tout en la regardant. Ces mots n'étaient pas volontaires mais maintenant qu'il sont dit, la situation est plus drôle qu'idiote. J'ai hâte de voir ce qu'elle va me choisir à manger.
Ça leçons sur mon consentement et mon apprentissage de dire non me fait sourire et j'hoche la tête en l'écoutant parlé. Il est vrai que je dois apprendre à vivre pour moi et pas pour les autres et avoir mes propres décisions. C'est complexe quand on a jamais goûté à la Liberté d'agir mais je réussirai j'en suis certaine.
Je commence à avoir faim et en fait par à mon amie qui me dirige dans un restaurant traditionnel mais bien atypique. Je ne reconnais pas l'allure d'une taverne normale. C'est plus distingué et d'un rang supérieur. Tout est classieuex et calme. Je m'installe devant elle a une table et nous nous retrouvons toutes les deux seules comme cette soirée là à l'oasis. Je sourie, heureuse de partager ce moment avec Cyradil, alors qu' elle me demande quelque chose qui est intéressant. J'hoche la tête avec un sourie en répondant.
- Monsieur Meizer m'avais laissé quelques livres et m'a appris à lire et écrire oui. Je tanis les comptes de la compagnie à l'âge de 7 ans. Il vérifiais derrière moi mais c'etait toujours bon. La lecture je l'ai apprise par moi-même. En me plongeant dans les livres, j'ai appris à utiliser les lettres ensemble pour former des mots puis des phrases. Avec le temps, j'ai compris que c'était une bonne chose de savoir lire. Je l'ai caché pendant un moment à Monsieur Meizer pour pas qu'il me punisse pour ça. Mais aujourd'hui je suis bien contente de savoir lire, écrire et compter.
Le sourire au lèvres, je regarde le parchemin qui est sur la table et lis à voix haute et distinctement le menu. Je ne sais pas ce qu'est cette cuisine et je regard Cyradil.
- Qu'est ce qu'il serve a mangé ici ? Je ne connais pas ces plats. C'est une nouveauté ? Ou alors je suis vraiment inculte dans tout les domaines. Je te laisse choisir pour moi, tu es la mieux placé pour savoir ce que j'aime mangé.
Je rougie en réfléchissant a ce que je viens de lui répondre. Je retiens un rire entre mes lèvres tout en la regardant. Ces mots n'étaient pas volontaires mais maintenant qu'il sont dit, la situation est plus drôle qu'idiote. J'ai hâte de voir ce qu'elle va me choisir à manger.
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Cyradil Ariesvyra
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Ainsi, Siriane savait lire. C était déjà un bon début et cela lui éviterait de refaire son éducation sur ce point. Cela dit, la sirène pourrait profiter de sa bibliothèque pour s’instruire sur le monde. Cyradil trouvait que ce serait un bon moyen de s'occuper pendant son absence. Cependant, la jeune liche ne connaissait toujours pas ce qui poussait Siriane à se transformer mis à part l'attrait pour les points d'eau. Il lui fallait aussi comprendre comment sa personnalité pouvait changer autant. De souvenir, les sirènes qu’elle avait eu la chance de rencontrer par le passé ne possédaient pas ce trait.
« Très bien, tu peux consulter les bouquins dans la bibliothèque du domaine. Si c'est trop dur, tu peux demander à Martha de t'y accompagner. »
Le menu était bien raffiné. Cyradil avait bien compris le sous-entendu de Siriane. Après tout, la jeune rousse lui avait bien croqué l’épaule la dernière fois et sans doute failli lui arracher un morceau si elle ne l’avait pas résonné. Elle opta pour un poulet frit aux olives sur un lit de pommes de terre au four, le tout accompagné d'une bonne sauce crémeuse aux champignons. Vu l'endroit, les produits étaient de qualité, ce qui rendait les plats encore meilleurs.
« On va prendre ceci. C'est consistant et sans doute meilleur que mon épaule. » ajouta-t-elle en souriant.
Cyradil était une habituée de la haute gastronomie mais c’était toujours un plaisir d’inviter quelqu’un qui y était étranger. Si seulement elle avait eu plus de temps à passer avec Siriane, elle aurait pu lui faire découvrir tant de choses…bien qu'elle redoutait parfois que sa part sombre ne refasse surface.
« Il faut que tu fasses attention à ton héritage de sirène. Reste loin des points d'eau quand je ne suis pas avec toi. Ici, à Ikusa, il sera beaucoup plus difficile de te couvrir si tu te retrouves dans une situation délicate. Nous essayerons de trouver un moyen pour que tu puisses utiliser tes pouvoirs à ton avantage. C’est-à-dire que tu dois être capable de les maitriser et non le contraire. Pour le reste, tu es libre d’agir comme tu le sens. J'ai beaucoup à faire et parfois je dois me déplacer pour affaire, ce qui signifie que tu seras parfois seule. N’hésite pas à demander de l'aide aux gens qui travaillent dans la maison, ils sauront s'occuper de toi en mon absence. »
Malgré son statut de liche, Cyradil gardait néanmoins pas mal d'habitudes humaines. Manger en faisait partie et elle appréciait toujours autant même si cela ne lui était plus nécessaire.
« Mais comme je l'ai dit, tu dois d'abord officialiser ton statut en tant que citoyenne du Reike. Cela te donnera tous les droits civiques comme le mariage, le droit à des allocations si tu ne travailles pas et tout un tas d'autres avantages. Ce n'est pas une obligation bien sûr, c'est à toi de voir. Dans le cas où tu accepterais, je serais ta tutrice. »
« Très bien, tu peux consulter les bouquins dans la bibliothèque du domaine. Si c'est trop dur, tu peux demander à Martha de t'y accompagner. »
Le menu était bien raffiné. Cyradil avait bien compris le sous-entendu de Siriane. Après tout, la jeune rousse lui avait bien croqué l’épaule la dernière fois et sans doute failli lui arracher un morceau si elle ne l’avait pas résonné. Elle opta pour un poulet frit aux olives sur un lit de pommes de terre au four, le tout accompagné d'une bonne sauce crémeuse aux champignons. Vu l'endroit, les produits étaient de qualité, ce qui rendait les plats encore meilleurs.
« On va prendre ceci. C'est consistant et sans doute meilleur que mon épaule. » ajouta-t-elle en souriant.
Cyradil était une habituée de la haute gastronomie mais c’était toujours un plaisir d’inviter quelqu’un qui y était étranger. Si seulement elle avait eu plus de temps à passer avec Siriane, elle aurait pu lui faire découvrir tant de choses…bien qu'elle redoutait parfois que sa part sombre ne refasse surface.
« Il faut que tu fasses attention à ton héritage de sirène. Reste loin des points d'eau quand je ne suis pas avec toi. Ici, à Ikusa, il sera beaucoup plus difficile de te couvrir si tu te retrouves dans une situation délicate. Nous essayerons de trouver un moyen pour que tu puisses utiliser tes pouvoirs à ton avantage. C’est-à-dire que tu dois être capable de les maitriser et non le contraire. Pour le reste, tu es libre d’agir comme tu le sens. J'ai beaucoup à faire et parfois je dois me déplacer pour affaire, ce qui signifie que tu seras parfois seule. N’hésite pas à demander de l'aide aux gens qui travaillent dans la maison, ils sauront s'occuper de toi en mon absence. »
Malgré son statut de liche, Cyradil gardait néanmoins pas mal d'habitudes humaines. Manger en faisait partie et elle appréciait toujours autant même si cela ne lui était plus nécessaire.
« Mais comme je l'ai dit, tu dois d'abord officialiser ton statut en tant que citoyenne du Reike. Cela te donnera tous les droits civiques comme le mariage, le droit à des allocations si tu ne travailles pas et tout un tas d'autres avantages. Ce n'est pas une obligation bien sûr, c'est à toi de voir. Dans le cas où tu accepterais, je serais ta tutrice. »
Invité
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La démonstration de ma lecture faite, Cyradil me propose d'avoir accès à sa bibliothèque lorsqu'elle n'est pas là. Je sourie en hochant la tête, les yeux pétillants comme une enfants qui réalise un de ses rêves.
- C'est vraiment très gentil de ta part. Je ferait attention aux livres en les laissant dans ma chambre. Merci pour ce cadeau je pourrait ainsi voyager tout en restant ici. Tu es très généreuse avec moi Cyradil. J'ai vraiment beaucoup de chance de t'avoir.
Elle choisie un plat raffiné qui semble bon selon elle et meilleur que son épaule. Je rougie à cela mais elle le dit sur le ton de la rigolade et cela me rassure.
Son avertissement me fait prendre conscience qu'à présent elle me. Protège mais qu'elle ne seras pas toujours avec moi. J'hoche la tête en comprenant ce qu'elle me dit. Je dois éviter d'aller dan les points d'eau et apprendre à connaître mes pouvoirs.
- Je ferais attention quand tu ne seras pas là promis. Martha seras sûrement avec moi sinon je ferais tout pour passer inaperçu et ne pas m'attirer de problème. Peut être qu'il y a des livres qui parlent de ma nature et que j'en apprendrais plus sur moi. Il y a une bibliothèque en ville ou un lieu où je pourrais en apprendre plus sur moi et contrôler mes pouvoirs ?
Peut être que ce genre de lieux existe mais qu'il est réservé à d'autres. Cyradil connaît la ville mieux que moi elle pourrait m'indiquer si c'est possible ou pas ici de m'informer. Dans tout les cas je dois faire attention et rester discrète sur ma nature.
Elle m'annonce ensuite qu'elle risque de partir souvent et qu'on se verras de temps en temps. Je suis triste de l'apprendre et attrapé ddocuepent sa main pour la serrer et garder contact avec elle pendant qu'elle est là avec moi.
- J'espère qu'on aura beaucoup d'autres moment comme celui ci Cyradil. Je ferais tout pour maîtriser mes pouvoirs. Les gens de la maisons sont très gentils et je suis certaines qu'ils pourront m'aider. Majs je compte passer du temps avec toi quand tu seras là aussi.
Les plats arrivent au moment où Cyradil m'annonce que si je fait les papier en règle elle souhaite devenir ma tutrice et ainsi m'aider et me protéger par son nom. J'attrape la fourchette en lâchant sa main pour manger. La viande est délicieuse et je mange sans rien dire les yeux fermés. Je savoure le plat qui est délicieux avec sa sauce onctueuses et légère. J'ouvre le syeux une fois que j'ai finis de manger, c'est à dire en quelques coups de fourchettes et dit en souriant.
- Je vais officialiser mon statut en tant que citoyenne du Reike si ça me permets de t'avoir comme tutrice. Je préfère être en règle ici que devoir partir et être considérer comme une hors la loi. Merci pour ton aide et cette proposition. Je peux le faire quand ?
J'ai finis mon assiette et ne pose les ouverts dedans, attendant que Cyradil finisse elle aussi. J'ai manger très vite mais j'ai l'habitude et je me suis régaler avec ce repas. Je suis heureuse et impatiente d'être sous la tutelle de Cyradil. Une vie meilleur m'attends à ses côtés et je suis très heureuse. Peut être que des aujourd'hui je serais une reikoise ?
- C'est vraiment très gentil de ta part. Je ferait attention aux livres en les laissant dans ma chambre. Merci pour ce cadeau je pourrait ainsi voyager tout en restant ici. Tu es très généreuse avec moi Cyradil. J'ai vraiment beaucoup de chance de t'avoir.
Elle choisie un plat raffiné qui semble bon selon elle et meilleur que son épaule. Je rougie à cela mais elle le dit sur le ton de la rigolade et cela me rassure.
Son avertissement me fait prendre conscience qu'à présent elle me. Protège mais qu'elle ne seras pas toujours avec moi. J'hoche la tête en comprenant ce qu'elle me dit. Je dois éviter d'aller dan les points d'eau et apprendre à connaître mes pouvoirs.
- Je ferais attention quand tu ne seras pas là promis. Martha seras sûrement avec moi sinon je ferais tout pour passer inaperçu et ne pas m'attirer de problème. Peut être qu'il y a des livres qui parlent de ma nature et que j'en apprendrais plus sur moi. Il y a une bibliothèque en ville ou un lieu où je pourrais en apprendre plus sur moi et contrôler mes pouvoirs ?
Peut être que ce genre de lieux existe mais qu'il est réservé à d'autres. Cyradil connaît la ville mieux que moi elle pourrait m'indiquer si c'est possible ou pas ici de m'informer. Dans tout les cas je dois faire attention et rester discrète sur ma nature.
Elle m'annonce ensuite qu'elle risque de partir souvent et qu'on se verras de temps en temps. Je suis triste de l'apprendre et attrapé ddocuepent sa main pour la serrer et garder contact avec elle pendant qu'elle est là avec moi.
- J'espère qu'on aura beaucoup d'autres moment comme celui ci Cyradil. Je ferais tout pour maîtriser mes pouvoirs. Les gens de la maisons sont très gentils et je suis certaines qu'ils pourront m'aider. Majs je compte passer du temps avec toi quand tu seras là aussi.
Les plats arrivent au moment où Cyradil m'annonce que si je fait les papier en règle elle souhaite devenir ma tutrice et ainsi m'aider et me protéger par son nom. J'attrape la fourchette en lâchant sa main pour manger. La viande est délicieuse et je mange sans rien dire les yeux fermés. Je savoure le plat qui est délicieux avec sa sauce onctueuses et légère. J'ouvre le syeux une fois que j'ai finis de manger, c'est à dire en quelques coups de fourchettes et dit en souriant.
- Je vais officialiser mon statut en tant que citoyenne du Reike si ça me permets de t'avoir comme tutrice. Je préfère être en règle ici que devoir partir et être considérer comme une hors la loi. Merci pour ton aide et cette proposition. Je peux le faire quand ?
J'ai finis mon assiette et ne pose les ouverts dedans, attendant que Cyradil finisse elle aussi. J'ai manger très vite mais j'ai l'habitude et je me suis régaler avec ce repas. Je suis heureuse et impatiente d'être sous la tutelle de Cyradil. Une vie meilleur m'attends à ses côtés et je suis très heureuse. Peut être que des aujourd'hui je serais une reikoise ?
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Cyradil Ariesvyra
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Comme à son habitude, Siriane semblait très docile. Cyradil avait l’impression que sa protégée serait prête à faire tout ce qu’elle lui demanderait. Raison de plus pour l’avoir tiré des griffes de Mr Meizer, autrement, avec une aussi mauvaise influence, Siriane aurait pu avoir un sombre destin. En proie à quelques inquiétudes vis-à-vis de la fréquence de leurs rencontre, la jeune forgeronne s’empressa de rassurer sa pupille.
« Ne t’en fais pas, j’essaierai de ne pas t’oublier et je te promets que je réserverais des journées pour que l’on puisse passer du temps ensemble. Cela serait l’occasion de montrer les progrès que tu as faits ? Et pour les bouquins, je vais faire en sorte que tu puisses accéder aux bibliothèques de la ville, notamment ceux qui traitent du royaume d’Aquaria. Parait-il que c’est le pays natal des sirènes, peut-être que tu obtiendras ce que tu recherches dans ces livres ? »
Cyradil savait qu’elle était un moyen de motivation assez conséquent pour la petite sirène. Si cela aidait la future reikoise à se développer personnellement, la forgeronne ne pouvait qu’en être heureuse. C’était un peu comme s’occuper d’un enfant…sauf que Cyradil n’avait pas l’expérience de ce genre de choses. Elle avait bien des domestiques ou des servants mais ce n’était pas pareil. Ici, il s’agissait de tisser de véritables liens autre que des rapports de courtoisie entre un chef et son subordonné. Finissant le repas, elle invita donc Siriane à quitter les lieux, continuant à lui parler de sa transition citoyenne.
« La citoyenneté reikoise peut s’obtenir de plusieurs manières dont la plus évidente est d’être né sur les terres reikoises. Les étrangers doivent prêter allégeance auprès d’un officier royal mais il existe aussi une clause qui permet simplement de le devenir par vassalité. Je ne sais pas ce que cela implique exactement mais je pense que si je me porte garante de toi, il n’y aurait aucune raison de ne pas t’accorder la nationalité reikoise. Dans le pire des cas, je pourrais toujours demander au Cœur de m’arranger cela. Notre dernier échange laissait penser qu’il serait prêt à m’aider si l’on rencontrait des problèmes administratifs. Pour le reste, je t’en avais déjà parlé : il faut juste un tatouage qui attesterait de ta nationalité. »
Pour cela, ce n’était pas les choix qui manquaient. Au Reike, l’on était bien heureux de pouvoir encore grossir nos rangs alors quand quelqu’un venait se convertir à la nationalité et tant que ce dernier jurait fidélité à la nation, on se fichait de savoir d’où ils venaient. Les criminels pouvaient ainsi repartir sur de nouvelles bases pourvu que leurs bassesses se soient déroulées loin du royaume…ou qu’ils n’aient pas laissé de témoins. Siriane n’avait alors qu’à choisir l’endroit du corps où apposer le tatouage ainsi que ses dimensions. Pour cela, Cyradil devait avouer qu’il y avait une liberté totale laissée au futur citoyen. Un minimum si l’on considérait le fait de se faire marquer comme du bétail.
« Je pense que c’est tout. Après, il faudra officialiser cela auprès d’un officier royal mais ce n’est que de la paperasse administrative donc rien de bien difficile. Et pour la douleur, ne t’inquiète pas, c’est de la magie. Il faudra juste que tu le renouvèles tous les trois ans sans quoi tu perdrais la citoyenneté. On peut le faire maintenant si tu le souhaites. »
Si Siriane l’acceptait, il lui suffirait donc de se présentait dans n’importe quel établissement pouvant réaliser ce genre de tatouages. Expliquant alors la situation, Cyradil promis alors de se porter garante pour la jeune rousse et de lui fournir toutes les informations et l’éducation qui lui permettrait d’évoluer au sein de la population reikoise. Ensuite, elle laisserait libre court à Siriane de s’entretenir avec le tatoueur pour la pose de sa marque et attendrait tranquillement le bon déroulement de l’opération. Le Reike prônait une certaine honnêteté vis-à-vis de son allégeance. Les rumeurs racontaient que le roi punissait lourdement tout acte de trahison alors, tant que les deux femmes continueraient à montrer patte blanche, elles n’auraient pas à faire face aux autorités reikoises. Cyradil faisait confiance à Siriane. Elle espérait simplement que sa protégée n’en abuse pas.
« Ne t’en fais pas, j’essaierai de ne pas t’oublier et je te promets que je réserverais des journées pour que l’on puisse passer du temps ensemble. Cela serait l’occasion de montrer les progrès que tu as faits ? Et pour les bouquins, je vais faire en sorte que tu puisses accéder aux bibliothèques de la ville, notamment ceux qui traitent du royaume d’Aquaria. Parait-il que c’est le pays natal des sirènes, peut-être que tu obtiendras ce que tu recherches dans ces livres ? »
Cyradil savait qu’elle était un moyen de motivation assez conséquent pour la petite sirène. Si cela aidait la future reikoise à se développer personnellement, la forgeronne ne pouvait qu’en être heureuse. C’était un peu comme s’occuper d’un enfant…sauf que Cyradil n’avait pas l’expérience de ce genre de choses. Elle avait bien des domestiques ou des servants mais ce n’était pas pareil. Ici, il s’agissait de tisser de véritables liens autre que des rapports de courtoisie entre un chef et son subordonné. Finissant le repas, elle invita donc Siriane à quitter les lieux, continuant à lui parler de sa transition citoyenne.
« La citoyenneté reikoise peut s’obtenir de plusieurs manières dont la plus évidente est d’être né sur les terres reikoises. Les étrangers doivent prêter allégeance auprès d’un officier royal mais il existe aussi une clause qui permet simplement de le devenir par vassalité. Je ne sais pas ce que cela implique exactement mais je pense que si je me porte garante de toi, il n’y aurait aucune raison de ne pas t’accorder la nationalité reikoise. Dans le pire des cas, je pourrais toujours demander au Cœur de m’arranger cela. Notre dernier échange laissait penser qu’il serait prêt à m’aider si l’on rencontrait des problèmes administratifs. Pour le reste, je t’en avais déjà parlé : il faut juste un tatouage qui attesterait de ta nationalité. »
Pour cela, ce n’était pas les choix qui manquaient. Au Reike, l’on était bien heureux de pouvoir encore grossir nos rangs alors quand quelqu’un venait se convertir à la nationalité et tant que ce dernier jurait fidélité à la nation, on se fichait de savoir d’où ils venaient. Les criminels pouvaient ainsi repartir sur de nouvelles bases pourvu que leurs bassesses se soient déroulées loin du royaume…ou qu’ils n’aient pas laissé de témoins. Siriane n’avait alors qu’à choisir l’endroit du corps où apposer le tatouage ainsi que ses dimensions. Pour cela, Cyradil devait avouer qu’il y avait une liberté totale laissée au futur citoyen. Un minimum si l’on considérait le fait de se faire marquer comme du bétail.
« Je pense que c’est tout. Après, il faudra officialiser cela auprès d’un officier royal mais ce n’est que de la paperasse administrative donc rien de bien difficile. Et pour la douleur, ne t’inquiète pas, c’est de la magie. Il faudra juste que tu le renouvèles tous les trois ans sans quoi tu perdrais la citoyenneté. On peut le faire maintenant si tu le souhaites. »
Si Siriane l’acceptait, il lui suffirait donc de se présentait dans n’importe quel établissement pouvant réaliser ce genre de tatouages. Expliquant alors la situation, Cyradil promis alors de se porter garante pour la jeune rousse et de lui fournir toutes les informations et l’éducation qui lui permettrait d’évoluer au sein de la population reikoise. Ensuite, elle laisserait libre court à Siriane de s’entretenir avec le tatoueur pour la pose de sa marque et attendrait tranquillement le bon déroulement de l’opération. Le Reike prônait une certaine honnêteté vis-à-vis de son allégeance. Les rumeurs racontaient que le roi punissait lourdement tout acte de trahison alors, tant que les deux femmes continueraient à montrer patte blanche, elles n’auraient pas à faire face aux autorités reikoises. Cyradil faisait confiance à Siriane. Elle espérait simplement que sa protégée n’en abuse pas.
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La gourmandise est un vilain défaut et c'est pourquoi je fixe l'assiette de Cyradil en attendant qu'elle finisse de manger. Ja'i bien manger mais je ne dirait pas non à une nouvelle assiette. Je fais mine de rien en attendant qu'elle finisse. Mais quand Cyradil m'apprends que je vais pouvoir, par le biais de son titre, lire les livres à la bibliothèque je suis toute contente et je sautille sur ma chaise. Je me tiens tranquille en souriant après qu'un client est croisé mon regard. Elle m'apprends qu'il y a des livres sur le royaume d'Aquaria, là où vivent les sirènes. Je suis bouche bée en apprenant ça et la regarde.
- Il y a un royaume de sirène ? C'est où ? Loin d'ici ? Tu penses qu'on peut y aller ? Je dois voir ça et retrouver ma famille.
Je suis contente d'apprendre cette nouvelle mais les dernier mots me font réaliser que si vraiment j'avais une famille on me chercherais depuis longtemps. Je soupire alors que Cyradil à enfin fini de manger.
Nous quittons le restaurant et j'écoute la lyche me parler des manières de devenir citoyenne reikoise. J'hoche la tête à chaque mots pour lui montrer que je comprends ce qu'elle me dit. Je frissonne en comprenant tsue ce sera un symbole graver à l'encre sur ma peau, ayant déjà mal d'avance mais reste à l'écoute et toujours motivé pour le faire.
Mais elle pense à tout et me rassure quand au fait que cela fait mal, c'est de la magie donc c'est moins douloureux que ça n'en a l'air. Je souri en marchand à côté d'elle. Je savoure chaque instant passé avec elle et ne la quitte pas des yeux, au détriments de quelques passant que je renversé sur mon chemin. Je me confonds en excuses mais ces derniers ne m' en tiennent pas rigueur. Je ne m'en doute pas mais c'est certainement grâce à la renommé de Cyradil qui est en ma faveur. Je réfléchi à l'endroit où je vais placer mon symbole. Un endroit discret et peu voyant mais qui ne soit pas délicat si on me demande de montrer ce dernier.
En réfléchissant, Cyradil me propose de le faire maintenant et je la regarde. J'hoche la tête pour lui donner mon accord et la laisse m'emmener dans un établissement où il font ce genres de chose.
- Je ne sais pas où je peux le mettre. Sur mon poignet droit peut être, ou ma cheville gauche. Je ne dois pas le mettre sur les fesse, les cuisses ou les seins c'est trop embêtant de défaire le tissus si on me demande de le montrer. Comment tu as choisie l'emplacement du tiens ? Et si je peux mettre ce que je veux comment on distingue que je suis du reike ? Si je met un blason d'une autre cité je risque de me faire mal voir non ?
Nous voilas arrivé devant l'établissement de tatouage et Cyradil me laisse entrer en sa compagnie. Elle discute avec le tatoueur et très vite je me retrouve sur une table allongée. L'homme me regarde en me demandant d'une voix bourru où je veux le tatouage. Je suis encore indécise alors je me tourne vers Cyradil et dit en étant un peu inquiète.
- Tu peux choisir pour moi ? L'endroit qui te paraît le plus simple à montrer mais discret aussi.
Je lui montre ainsi que si elle peut avoir confiance en moi je peux également lui faire confiance. Je suis certaine qu'elle sauras prendre une bonne décision pour moi.
- Il y a un royaume de sirène ? C'est où ? Loin d'ici ? Tu penses qu'on peut y aller ? Je dois voir ça et retrouver ma famille.
Je suis contente d'apprendre cette nouvelle mais les dernier mots me font réaliser que si vraiment j'avais une famille on me chercherais depuis longtemps. Je soupire alors que Cyradil à enfin fini de manger.
Nous quittons le restaurant et j'écoute la lyche me parler des manières de devenir citoyenne reikoise. J'hoche la tête à chaque mots pour lui montrer que je comprends ce qu'elle me dit. Je frissonne en comprenant tsue ce sera un symbole graver à l'encre sur ma peau, ayant déjà mal d'avance mais reste à l'écoute et toujours motivé pour le faire.
Mais elle pense à tout et me rassure quand au fait que cela fait mal, c'est de la magie donc c'est moins douloureux que ça n'en a l'air. Je souri en marchand à côté d'elle. Je savoure chaque instant passé avec elle et ne la quitte pas des yeux, au détriments de quelques passant que je renversé sur mon chemin. Je me confonds en excuses mais ces derniers ne m' en tiennent pas rigueur. Je ne m'en doute pas mais c'est certainement grâce à la renommé de Cyradil qui est en ma faveur. Je réfléchi à l'endroit où je vais placer mon symbole. Un endroit discret et peu voyant mais qui ne soit pas délicat si on me demande de montrer ce dernier.
En réfléchissant, Cyradil me propose de le faire maintenant et je la regarde. J'hoche la tête pour lui donner mon accord et la laisse m'emmener dans un établissement où il font ce genres de chose.
- Je ne sais pas où je peux le mettre. Sur mon poignet droit peut être, ou ma cheville gauche. Je ne dois pas le mettre sur les fesse, les cuisses ou les seins c'est trop embêtant de défaire le tissus si on me demande de le montrer. Comment tu as choisie l'emplacement du tiens ? Et si je peux mettre ce que je veux comment on distingue que je suis du reike ? Si je met un blason d'une autre cité je risque de me faire mal voir non ?
Nous voilas arrivé devant l'établissement de tatouage et Cyradil me laisse entrer en sa compagnie. Elle discute avec le tatoueur et très vite je me retrouve sur une table allongée. L'homme me regarde en me demandant d'une voix bourru où je veux le tatouage. Je suis encore indécise alors je me tourne vers Cyradil et dit en étant un peu inquiète.
- Tu peux choisir pour moi ? L'endroit qui te paraît le plus simple à montrer mais discret aussi.
Je lui montre ainsi que si elle peut avoir confiance en moi je peux également lui faire confiance. Je suis certaine qu'elle sauras prendre une bonne décision pour moi.
Sagesse Réincarnée
Cyradil Ariesvyra
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Cyradil était donc en train de converser avec le tatoueur pour lui expliquer qu’elle était la future tutrice de Siriane. Assez ironiquement, la jeune liche avait l’impression d’être sa maman. D’un point de vue pratique, le tatouage pouvait se placer n’importe où et pouvait avoir la dimension désirée par le futur citoyen du moment qu’il restait visible. Certains préféraient l’arborer fièrement tandis que d’autres optaient pour la discrétion. Pour Cyradil, son tatouage de nationalité se trouvait dans la partie antérieur de son avant-bras gauche, au milieu d’une multitude d’autres runes qui établissaient une véritable fresque sur son corps. Indécise, la jeune rousse lui demanda de choisir pour elle, ce qui ne manqua pas de mettre Cyradil un peu dans l’embarras en ayant l’impression d’exercer un pouvoir de manipulation sur sa petite protégée alors qu’il n’en était rien.
« Tu peux le faire au même endroit que moi si tu le souhaites. Mais ce n’est pas tellement important parce que peu importe ce que tu choisis, tu n’auras pas besoin de le montrer. Le tatouage se détecte avec un pouvoir sensoriel assez basique. »
Comme promis, l’opération se révéla indolore et Siriane ne dut pas passer très longtemps allongée avant que son tatouage ne soit fini. Il fallait ensuite consigner son nom dans un registre et recueillir son serment d’allégeance mais il s’agissait là de simples formalités qui ne la contraignaient à aucune obligation vis-à-vis de l’empire si ce n’est de se tenir à carreaux, de ne pas commettre d’actes susceptibles d’être reconnus comme de la trahison ou autres délits qui lui vaudraient un séjour dans les geôles reikoises.
« Voilà, tu es officiellement reikoise maintenant. Tu vois ? Ce n’était pas si compliqué. Maintenant tu es sous ma tutelle donc cela veut dire que je suis responsable de ce que tu feras. Je compte sur toi pour ne pas me causer de problèmes, d’accord ? »
Elle lui ébouriffa les cheveux d’un geste doux avant de sortir de l’établissement en sa compagnie. Evidemment, Cyradil n’allait pas laisser Siriane livrée à elle-même et comptait bien l’éduquer de manière à ce qu’aucun incident ne puisse lui causer de torts.
« Pour en revenir à ce que je disais, Aquaria est une cité sous-marine qui a été détruite par le Titan des mers il y a environ cinq millénaires. Les tritons et les sirènes ont du donc quitter leur foyer et se sont dispersés dans le monde, ce qui explique leur présence dans les autres nations du monde. Cependant, le Reike et la République ont investi des fonds pour reconstruire la cité et leurs habitants ont pu regagner leur foyer depuis. Aquaria entretient de très bonnes relations avec les deux puissances mondiales et j’espère qu’elle demeurera neutre. Une chance que celle-ci se situe profondément dans la mer, cela la rend difficile à prendre d’assaut et évite que le Reike ne lorgne là-dessus un jour. »
Bon, il fallait surtout trouver un moyen de naviguer vers cette cité en passant par un détroit qui les feraient passer tout près de Shoumeï et ses horreurs. Ou alors faire le tour en partant de l’Oasis mais le voyage prendrait alors plusieurs mois. Néanmoins, Cyradil était déterminée à aider Siriane dans sa quête des origines.
« Mais d’abord, je vais t’aider à maitriser tes pouvoirs, y compris ta transformation. Comme ça, tu pourras te métamorphoser en sirène sans causer de dommages autour de toi. Tu t’entraineras avec moi et on fera cela dans un environnement contrôlé de manière à ce que si tu te laisses envahir par ta bestialité, je serais la seule que tu pourras attaquer. Ne t’en fais pas, même si tu me blesses, je pourrais toujours te soigner ou te restreindre avec ma magie. De cette manière, jour après jour, tu finiras par te maitriser et utiliser tes pouvoirs comme bon te semble. »
Il y avait même un travail qu’elle pourrait lui confier. Vu que Siriane se sentait redevable et voulait se montrer serviable envers Cyradil, la jeune liche pourrait utiliser son anatomie de sirène à bon escient.
« Si tu arrives, je pense que tes pouvoirs pourraient m’être utiles pour ma forge. Tu voulais te rendre utile pour moi, n’est-ce pas ? Alors si tu t’appliques, je t’enverrais faire quelques petites missions pour moi. »
« Tu peux le faire au même endroit que moi si tu le souhaites. Mais ce n’est pas tellement important parce que peu importe ce que tu choisis, tu n’auras pas besoin de le montrer. Le tatouage se détecte avec un pouvoir sensoriel assez basique. »
Comme promis, l’opération se révéla indolore et Siriane ne dut pas passer très longtemps allongée avant que son tatouage ne soit fini. Il fallait ensuite consigner son nom dans un registre et recueillir son serment d’allégeance mais il s’agissait là de simples formalités qui ne la contraignaient à aucune obligation vis-à-vis de l’empire si ce n’est de se tenir à carreaux, de ne pas commettre d’actes susceptibles d’être reconnus comme de la trahison ou autres délits qui lui vaudraient un séjour dans les geôles reikoises.
« Voilà, tu es officiellement reikoise maintenant. Tu vois ? Ce n’était pas si compliqué. Maintenant tu es sous ma tutelle donc cela veut dire que je suis responsable de ce que tu feras. Je compte sur toi pour ne pas me causer de problèmes, d’accord ? »
Elle lui ébouriffa les cheveux d’un geste doux avant de sortir de l’établissement en sa compagnie. Evidemment, Cyradil n’allait pas laisser Siriane livrée à elle-même et comptait bien l’éduquer de manière à ce qu’aucun incident ne puisse lui causer de torts.
« Pour en revenir à ce que je disais, Aquaria est une cité sous-marine qui a été détruite par le Titan des mers il y a environ cinq millénaires. Les tritons et les sirènes ont du donc quitter leur foyer et se sont dispersés dans le monde, ce qui explique leur présence dans les autres nations du monde. Cependant, le Reike et la République ont investi des fonds pour reconstruire la cité et leurs habitants ont pu regagner leur foyer depuis. Aquaria entretient de très bonnes relations avec les deux puissances mondiales et j’espère qu’elle demeurera neutre. Une chance que celle-ci se situe profondément dans la mer, cela la rend difficile à prendre d’assaut et évite que le Reike ne lorgne là-dessus un jour. »
Bon, il fallait surtout trouver un moyen de naviguer vers cette cité en passant par un détroit qui les feraient passer tout près de Shoumeï et ses horreurs. Ou alors faire le tour en partant de l’Oasis mais le voyage prendrait alors plusieurs mois. Néanmoins, Cyradil était déterminée à aider Siriane dans sa quête des origines.
« Mais d’abord, je vais t’aider à maitriser tes pouvoirs, y compris ta transformation. Comme ça, tu pourras te métamorphoser en sirène sans causer de dommages autour de toi. Tu t’entraineras avec moi et on fera cela dans un environnement contrôlé de manière à ce que si tu te laisses envahir par ta bestialité, je serais la seule que tu pourras attaquer. Ne t’en fais pas, même si tu me blesses, je pourrais toujours te soigner ou te restreindre avec ma magie. De cette manière, jour après jour, tu finiras par te maitriser et utiliser tes pouvoirs comme bon te semble. »
Il y avait même un travail qu’elle pourrait lui confier. Vu que Siriane se sentait redevable et voulait se montrer serviable envers Cyradil, la jeune liche pourrait utiliser son anatomie de sirène à bon escient.
« Si tu arrives, je pense que tes pouvoirs pourraient m’être utiles pour ma forge. Tu voulais te rendre utile pour moi, n’est-ce pas ? Alors si tu t’appliques, je t’enverrais faire quelques petites missions pour moi. »
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Sans aucune hésitation je montre mon bras droit et le tourne poignet face visible devant le tatoueur. Je m'allonge et après une vingtaine de minutes et quelques picotement dans la peau, je suis tatoué comme une vraie reikoise. Je regarde la marque qui n'est pas plus grande qu'une pièce de monnaie et remercie le tatoueur en souriant.
J'ai fais la première étape pour devenir membres de la cité reikoise et je sourie en suivant Cyradil. Nous arrivons au poste administratif et je digne les papier ne essaie en promettant de ne pas trahir et de faire d'écart en vers la cité du Reike.
A présent je suis officiellement reikoise et je saute dan sle sbras de Cyradil en rigolant et souriant. Elle m'ebourrife les cheveux en m'avertissant qu'à présent c'est elle qui sera responsable de moi et je lui sourit.
- Je ne ferais pas d'écart je te le promet. Merci pour tout ça. Je vais enfin vivre ma vie grâce à toi.
En sortant de l'établissement administratif ma tutrice m'explique ce qu'est le royaume d'Aquaria et son histoire. Je l'écoute en marchant à côté d'elle, caressant le tatouage sur ma peau qui ne me fait plus mal. Des questions passent dans ma tête concenan tle royaume et comment s'y rendre mais je les gardes pour moi pour le moment.
Comme me le dit Cyradil, je dois dans un premier temps co troler mes pouvoirs et elle va m'aider à le faire.
- Si tu pense que je peux le faire je réussirais. Je suivrais ton entraînement à la lettre et ferais tout le nécessaire pour contrôler mes pouvoir. Je ne veux plus faire de mal à quiconque. J'espère ne pas te blesser mais si je le fais je sais que tu peut guérir et ça me rassure.Pense tu que l'on pejt commencer avant que tu ne reparte ?
Cyradil me donne une motivation de plus pour que je réussisse cet objectif. Travailler pour elle serait génial et j'hoche la été alors qu'elle me parle de l'aider à la forge en réalisant des missions annexes. Je sautille d'impatience et dit en souriant.
- Je veux réussir pour t'aider oui. Ce serait génial que je t'aide à la forge et que je sois en mission pour toi.
En marchant, nous arrivons à une esplanade avec plusieurs rue qui se rejoignent au centre de celle-ci. Je vois une pancarte avec marqué "Bibliothèque".
- Est ce qu'on peut aller voir la bibliothèque aujourd'hui ? J'aimerais voir s'il y a des livres sur Aquaria ou sur les sirènes.
J'ai fais la première étape pour devenir membres de la cité reikoise et je sourie en suivant Cyradil. Nous arrivons au poste administratif et je digne les papier ne essaie en promettant de ne pas trahir et de faire d'écart en vers la cité du Reike.
A présent je suis officiellement reikoise et je saute dan sle sbras de Cyradil en rigolant et souriant. Elle m'ebourrife les cheveux en m'avertissant qu'à présent c'est elle qui sera responsable de moi et je lui sourit.
- Je ne ferais pas d'écart je te le promet. Merci pour tout ça. Je vais enfin vivre ma vie grâce à toi.
En sortant de l'établissement administratif ma tutrice m'explique ce qu'est le royaume d'Aquaria et son histoire. Je l'écoute en marchant à côté d'elle, caressant le tatouage sur ma peau qui ne me fait plus mal. Des questions passent dans ma tête concenan tle royaume et comment s'y rendre mais je les gardes pour moi pour le moment.
Comme me le dit Cyradil, je dois dans un premier temps co troler mes pouvoirs et elle va m'aider à le faire.
- Si tu pense que je peux le faire je réussirais. Je suivrais ton entraînement à la lettre et ferais tout le nécessaire pour contrôler mes pouvoir. Je ne veux plus faire de mal à quiconque. J'espère ne pas te blesser mais si je le fais je sais que tu peut guérir et ça me rassure.Pense tu que l'on pejt commencer avant que tu ne reparte ?
Cyradil me donne une motivation de plus pour que je réussisse cet objectif. Travailler pour elle serait génial et j'hoche la été alors qu'elle me parle de l'aider à la forge en réalisant des missions annexes. Je sautille d'impatience et dit en souriant.
- Je veux réussir pour t'aider oui. Ce serait génial que je t'aide à la forge et que je sois en mission pour toi.
En marchant, nous arrivons à une esplanade avec plusieurs rue qui se rejoignent au centre de celle-ci. Je vois une pancarte avec marqué "Bibliothèque".
- Est ce qu'on peut aller voir la bibliothèque aujourd'hui ? J'aimerais voir s'il y a des livres sur Aquaria ou sur les sirènes.
Sagesse Réincarnée
Cyradil Ariesvyra
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crédits : 9515
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Siriane semblait si heureuse qu'elle se jeta dans les bras de la liche. On lui demanda de signer quelques documents après quoi la sirène était libre de profiter de ses droits dus à sa nouvelle nationalité. Le récit de Cyradil concernant la cité d'Aquaria avait galvanisé sa protégée qui souhaitait en savoir plus sur ses origines. Elle attira l'attention de sa tutrice sur un établissement qui était une bibliothèque. Le Reike n'était pas tellement connu pour son amour de la littérature mais il offrait tout de même quelques endroits de se type où l'on pouvait acquérir les informations que l'on voulait. Si tant est que ces dernières n'aient pas été modifiées pour convenir mieux à l'histoire du Reike. Fort heureusement, puisque que les relations entre Aquaria et l'empire avaient toujours été positives, la plupart des informations concernant la cité engloutie ne différaient pas entre les différents ouvrages, ce qui permettait de se documenter en étant à peu près sûr qu'il s'agissait de sources fiables reflétant la réalité des faits.
"Bien sûr. J'ai tout mon temps aujourd'hui. J'ai fait en sorte de prendre ma journée pour m'occuper de toi donc on peut faire tout ce que tu as envie."
La jeune parcourut donc les rayons laissant Siriane prendre les bouquins qui l’intéressait. La jeune sirène avait déjà déclaré qu'elle savait lire mais le côté protecteur de Cyradil l'incita à l'accompagner dans sa lecture. On y décrivait principalement les architectures aquariennes et leur ingéniosité quant à l'utilisation des matériaux pour générer un véritable réseau de lumières même sous l'océan. A vrai dire, Cyradil elle-même voulait bien visiter un jour cette cité magique.
On y trouvait également de nombreux ouvrages expliquant les modes de vie des hommes-poissons et comment ces derniers s'étaient adaptés au fil des siècles. Certains vivaient exclusivement dans l'eau tandis que d'autres pouvaient alterner entre des formes terrestres et marines, un peu comme Siriane. Ces différents pouvoirs se voyaient maitrisés lors des premières années, y compris la méthode pour dompter cet instinct primal que Siriane avait manifesté. Là encore, ce n'était pas une caractéristique universelle et dependait de l'individu, à la manière d'un trait de caractère.
"Il semblerait que ta race soit plutôt complexe. Les natifs d'Aquaria semblent être des chasseurs exprimant un certain esprit de liberté. Ils aiment jouer avec les mortels mais ne sont pas forcément maléfiques. Ceux ayant décidé de se mêler aux gens de la surface ont réussi à dompter leurs traits bestiaux mais ces derniers tendent à refaire surface lorsqu'ils reprennent leur apparence d'origine. Cela explique pourquoi tu te mets dans un état second quand tu te transformes."
Il fallait donc creuser de se côté là. Un peu à la manière de Rizka, si Cyradil trouvait un moyen de renforcer l'esprit de sa protégée alors cette dernière pourrait pleinement garder sa conscience pendant sa transformation. C'était donc là-dessus qu'il fallait travailler.
"En tant que liche, c'est un peu compliqué d'organiser ses journées quand on ne dort pas et donc je perds parfois la notion du temps. Je m'efforce, du mieux que je peux de ne pas abuser du travail. Pendant que je suis à Ikusa, j'essaierai de te réserver quelques soirées pour qu'on puisse t'entrainer, ça te va? Mon domaine est grand alors on se mettra dans une des salles d'eau. Et là tu pourras donner libre cours à tes pouvoirs. Ne t'en fais pas, on arrivera à te sortir de ce faux pas."
"Bien sûr. J'ai tout mon temps aujourd'hui. J'ai fait en sorte de prendre ma journée pour m'occuper de toi donc on peut faire tout ce que tu as envie."
La jeune parcourut donc les rayons laissant Siriane prendre les bouquins qui l’intéressait. La jeune sirène avait déjà déclaré qu'elle savait lire mais le côté protecteur de Cyradil l'incita à l'accompagner dans sa lecture. On y décrivait principalement les architectures aquariennes et leur ingéniosité quant à l'utilisation des matériaux pour générer un véritable réseau de lumières même sous l'océan. A vrai dire, Cyradil elle-même voulait bien visiter un jour cette cité magique.
On y trouvait également de nombreux ouvrages expliquant les modes de vie des hommes-poissons et comment ces derniers s'étaient adaptés au fil des siècles. Certains vivaient exclusivement dans l'eau tandis que d'autres pouvaient alterner entre des formes terrestres et marines, un peu comme Siriane. Ces différents pouvoirs se voyaient maitrisés lors des premières années, y compris la méthode pour dompter cet instinct primal que Siriane avait manifesté. Là encore, ce n'était pas une caractéristique universelle et dependait de l'individu, à la manière d'un trait de caractère.
"Il semblerait que ta race soit plutôt complexe. Les natifs d'Aquaria semblent être des chasseurs exprimant un certain esprit de liberté. Ils aiment jouer avec les mortels mais ne sont pas forcément maléfiques. Ceux ayant décidé de se mêler aux gens de la surface ont réussi à dompter leurs traits bestiaux mais ces derniers tendent à refaire surface lorsqu'ils reprennent leur apparence d'origine. Cela explique pourquoi tu te mets dans un état second quand tu te transformes."
Il fallait donc creuser de se côté là. Un peu à la manière de Rizka, si Cyradil trouvait un moyen de renforcer l'esprit de sa protégée alors cette dernière pourrait pleinement garder sa conscience pendant sa transformation. C'était donc là-dessus qu'il fallait travailler.
"En tant que liche, c'est un peu compliqué d'organiser ses journées quand on ne dort pas et donc je perds parfois la notion du temps. Je m'efforce, du mieux que je peux de ne pas abuser du travail. Pendant que je suis à Ikusa, j'essaierai de te réserver quelques soirées pour qu'on puisse t'entrainer, ça te va? Mon domaine est grand alors on se mettra dans une des salles d'eau. Et là tu pourras donner libre cours à tes pouvoirs. Ne t'en fais pas, on arrivera à te sortir de ce faux pas."
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