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Dans quoi s'était-elle embarquée, sérieusement ? Elle n'avait pas prévu de rester dans cette troupe ! Mais, après en avoir éliminé certains membres, disparaître aurait été avouer sa culpabilité. Elle n'avait donc pas d'autre choix que de rester parmi eux. Du moins jusqu'à ce que les choses se tassent. Jusqu'à ce qu'on n'aie plus de raison de la soupçonner. Et surtout, pas avant que toutes les représentations de cette pièce ne soient terminées. Après tout, elle avait le premier rôle féminin... Rha, voilà qu'elle s'était prise au jeu !
Depuis les coulisses, elle soupira. Il n'y avait plus de retour en arrière possible. Elle s'observa d'un oeil critique dans l'un des miroirs de la loge commune derrière la scène. Ce costume ne lui plaisait pas. Pourquoi les dames de bonne famille s'engonçaient-elles dans des robes si peu pratiques ? En cas de problème, elle ne pourrait pas fuir. Ainsi, elle se sentait prisonnière. Elle n'avait plus de choix. Elle devait porter des vêtements qui ne lui correspondaient pas, jouer un rôle de femme parfaite qui ne lui correspondait pas, prononcer des paroles qui ne seraient jamais sorties de sa bouche en temps normal...
Néanmoins, elle avait aussi découvert des points positifs. Lorsque quelqu'un avait un problème avec son rôle, tout le monde venait à son aide. Au sein de la troupe, un véritable esprit de camaraderie régnait. Et elle en profitait d'autant plus depuis qu'elle savait que parmi ses membres, plus personne n'avait d'avis négatif envers les hybrides. D'ailleurs, ils avaient tenté un pari. Ils ne savaient pas qui serait présent dans le public, mais il avait été décidé de ne pas dissimuler ses petites ailes sur sa tête. Après tout, si quelqu'un tenter de se montrer un peu trop fervent, il serait toujours possible de les faire passer pour des accessoires... En conséquence de quoi, son texte avait été légèrement remanié, pour créer quelques situations comique à leur sujet, avec l'accord de la principale concernée, évidemment.
Elle se fit d'ailleurs la réflexion que le texte final, qu'ils allaient jouer ce soir-là, et qui prenait en compte toutes les particularités et demandes expresses de chacun des acteurs, n'avait plus grand-chose à voir avec le texte d'origine. Mais, d'un autre côté, chacun sentait que son texte avait été fait sur mesure et était donc bien plus en mesure de l'interpréter à la perfection que si le directeur avait décidé de camper sur ses positions en gardant l'original inchangé.
Enfin, il était temps.
- Kila !
Elle se retourna, pour croiser le regard de celle qui jouerait la première scène avec elle.
- Pas de stress, ça va bien se passer. Et n'oublie pas : si tu as un trou, on y va à l'impro ! Personne ne nous en voudra, du moment que le public ne se rend pas compte que ce n'était pas prévu ![/color]
Elle hocha la tête. Elle le ferait. Pour ses nouveaux amis. Elle espérait seulement que, dans le public, ne se trouverait personne qui avait déjà requis ses services... Un scandale en pleine représentation, c'était la dernière chose qu'elle voulait.
Depuis les coulisses, elle soupira. Il n'y avait plus de retour en arrière possible. Elle s'observa d'un oeil critique dans l'un des miroirs de la loge commune derrière la scène. Ce costume ne lui plaisait pas. Pourquoi les dames de bonne famille s'engonçaient-elles dans des robes si peu pratiques ? En cas de problème, elle ne pourrait pas fuir. Ainsi, elle se sentait prisonnière. Elle n'avait plus de choix. Elle devait porter des vêtements qui ne lui correspondaient pas, jouer un rôle de femme parfaite qui ne lui correspondait pas, prononcer des paroles qui ne seraient jamais sorties de sa bouche en temps normal...
Néanmoins, elle avait aussi découvert des points positifs. Lorsque quelqu'un avait un problème avec son rôle, tout le monde venait à son aide. Au sein de la troupe, un véritable esprit de camaraderie régnait. Et elle en profitait d'autant plus depuis qu'elle savait que parmi ses membres, plus personne n'avait d'avis négatif envers les hybrides. D'ailleurs, ils avaient tenté un pari. Ils ne savaient pas qui serait présent dans le public, mais il avait été décidé de ne pas dissimuler ses petites ailes sur sa tête. Après tout, si quelqu'un tenter de se montrer un peu trop fervent, il serait toujours possible de les faire passer pour des accessoires... En conséquence de quoi, son texte avait été légèrement remanié, pour créer quelques situations comique à leur sujet, avec l'accord de la principale concernée, évidemment.
Elle se fit d'ailleurs la réflexion que le texte final, qu'ils allaient jouer ce soir-là, et qui prenait en compte toutes les particularités et demandes expresses de chacun des acteurs, n'avait plus grand-chose à voir avec le texte d'origine. Mais, d'un autre côté, chacun sentait que son texte avait été fait sur mesure et était donc bien plus en mesure de l'interpréter à la perfection que si le directeur avait décidé de camper sur ses positions en gardant l'original inchangé.
Enfin, il était temps.
- Kila !
Elle se retourna, pour croiser le regard de celle qui jouerait la première scène avec elle.
- Pas de stress, ça va bien se passer. Et n'oublie pas : si tu as un trou, on y va à l'impro ! Personne ne nous en voudra, du moment que le public ne se rend pas compte que ce n'était pas prévu ![/color]
Elle hocha la tête. Elle le ferait. Pour ses nouveaux amis. Elle espérait seulement que, dans le public, ne se trouverait personne qui avait déjà requis ses services... Un scandale en pleine représentation, c'était la dernière chose qu'elle voulait.
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La ville de Kyouji pouvait passer de temps en temps pour une véritable station de vacances, carrefour obligatoire pour passer du Reike a la Republique, avant ou aprés la rude traversée du desert.
Elia l'avait traversé plusieurs fois désormais, mais souvent de façon brève, pour partir ou revenir de mission. Cette fois elle avait un peu de temps. Elle avait l'optique d'y visiter quelques anciens contacts de sa mere, pour maintenir la relation, et pourquoi pas découvrir la ville un peu plus en profondeur.
Il faisait doux en cette saison, et elle n'avait pas prit la peine de se vêtir de façon discrète, pour une fois, vestige de ses sorties avec Cyradil. Pas de tenue masculin, elle portait, chose si rare chez elle, une jupe avec un haut a manche courte permettant a sa peau de respirer, elle qui avait toujours chaud. Elle avait nouée sa longue chevelure en une natte qui lui tombait au niveau des fesses et portait des chaussures basses légères et pratique pour se balader.
- Qu'est ce que je vais bien pouvoir faire ce soir...
On lui avait parlé de soirée facile a intégrer, des fêtes un peu partout, dedans, dehors. Mais elle était attirée par une toute autre idée, cette fois ci. On lui avait parlé des représentations artistiques qui se faisaient un peu partout dans la ville. C’était un endroit ou un certain choc des cultures se faisait, avec un accès rapide vers la Republique. Alors il était logique de songer qu'on pouvait également trouver des artistes un peu partout.
C’était notamment le cas de pièce de théâtre qui visiblement était a la mode depuis quelques temps. Des représentations programmés en intérieur ou même en plein air devant des petits gradins de bois, avec des troupes plus ou moins célèbres devant des publics parfois bien garnis, parfois désert. C’était aussi l'occasion pour certain de se faire connaître, et pour d'autre d'asseoir une certaine supériorité dans le milieu.
Elle s’était arrêté a une petite échoppe, et avait récupéré une barquette de viandes chaudes ainsi qu'un bâtonnet cuit au feu de bois composé de divers légumes. Elle approcha du premier spot de représentation qu'elle trouva et observa la composition des spectateurs.
Ils étaient assit sur des bancs de bois peu confortable, mais on trouvait tout niveau de la société dans ses membres. De la plus basse classe, jusqu'à quelques personnes aisés voir bourgeoise, venu profiter de la douce soirée qui débutait, et jeter un œil sur les nouveautés du milieu théâtrale.
- Pardon, pardon, excusez moi.
Elle parvint a se frayer un chemin vers un coin un peu tranquille, se retrouvant au deuxième rang, bien en vu de la scene improvisé. Elle entendait et voyait des gens aller et venir, préparant la représentation qui allait bientôt débuter. Elle croqua dans sa brochette de légumes, assez impatiente de voir une vraie pièce de théâtre pour la première fois.
Elia l'avait traversé plusieurs fois désormais, mais souvent de façon brève, pour partir ou revenir de mission. Cette fois elle avait un peu de temps. Elle avait l'optique d'y visiter quelques anciens contacts de sa mere, pour maintenir la relation, et pourquoi pas découvrir la ville un peu plus en profondeur.
Il faisait doux en cette saison, et elle n'avait pas prit la peine de se vêtir de façon discrète, pour une fois, vestige de ses sorties avec Cyradil. Pas de tenue masculin, elle portait, chose si rare chez elle, une jupe avec un haut a manche courte permettant a sa peau de respirer, elle qui avait toujours chaud. Elle avait nouée sa longue chevelure en une natte qui lui tombait au niveau des fesses et portait des chaussures basses légères et pratique pour se balader.
- Qu'est ce que je vais bien pouvoir faire ce soir...
On lui avait parlé de soirée facile a intégrer, des fêtes un peu partout, dedans, dehors. Mais elle était attirée par une toute autre idée, cette fois ci. On lui avait parlé des représentations artistiques qui se faisaient un peu partout dans la ville. C’était un endroit ou un certain choc des cultures se faisait, avec un accès rapide vers la Republique. Alors il était logique de songer qu'on pouvait également trouver des artistes un peu partout.
C’était notamment le cas de pièce de théâtre qui visiblement était a la mode depuis quelques temps. Des représentations programmés en intérieur ou même en plein air devant des petits gradins de bois, avec des troupes plus ou moins célèbres devant des publics parfois bien garnis, parfois désert. C’était aussi l'occasion pour certain de se faire connaître, et pour d'autre d'asseoir une certaine supériorité dans le milieu.
Elle s’était arrêté a une petite échoppe, et avait récupéré une barquette de viandes chaudes ainsi qu'un bâtonnet cuit au feu de bois composé de divers légumes. Elle approcha du premier spot de représentation qu'elle trouva et observa la composition des spectateurs.
Ils étaient assit sur des bancs de bois peu confortable, mais on trouvait tout niveau de la société dans ses membres. De la plus basse classe, jusqu'à quelques personnes aisés voir bourgeoise, venu profiter de la douce soirée qui débutait, et jeter un œil sur les nouveautés du milieu théâtrale.
- Pardon, pardon, excusez moi.
Elle parvint a se frayer un chemin vers un coin un peu tranquille, se retrouvant au deuxième rang, bien en vu de la scene improvisé. Elle entendait et voyait des gens aller et venir, préparant la représentation qui allait bientôt débuter. Elle croqua dans sa brochette de légumes, assez impatiente de voir une vraie pièce de théâtre pour la première fois.
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Tandis que les autres installaient les décors de la première scène, Kilanna et sa première partenaire révisaient leur texte. Enfin, plutôt, la rousse stressait et la brune tentait de la rassurer... Avec plus ou moins de succès. Néanmoins, fatalement, vint le moment d'entrer sur scène. Les lumières n'étant pas encore allumées, puisque la pièce devait s'ouvrir avec les deux femmes déjà en place, Kilanna retrouvait étrangement les sensations de ses missions d'assassin. Enfin... Lors de ses missions, elle portait quand même des tenues plus pratiques, qui ne manquaient pas de la faire trébucher à chaque pas. Décidemment, comment faisaient celles qui ne portaient que ce type de robes ? D'un autre côté... Leur mode de vie ne leur demandait pas trop de bouger, peut-être la raison se trouvait-elle là.
Lorsque les lumières s'allumèrent, elles révélèrent la moitié d'une chambre respirant le luxe. Les murs de gauche et du fond étaient matérialisés par des panneaux peints, alors que le mur de droite restait nu, menant directement aux coulisses, pour donner l'illusion que la pièce se poursuivait au-delà de la scène. Sur le devant de la scène, séparant les acteurs des spectaturs, une simple barre horizontale figurait le rebord d'une fenêtre.
Au milieu de la scène, une coiffeuse, devant laquelle Kilanna était assise, sa collègue, arborant les traits d'une servante, était censée la coiffer. En réalité, elle jouait plus avec ses cheveux qu'elle ne les arrangeait. Mais cette action était censée durer depuis longtemps et la demoiselle n'avait pas côtoyé la noblesse. De plus, sa coiffure était déjà faite avant de monter sur scène. Mais ce qui comptait, c'était l'illusion.
- Voilà, Mademoiselle, qu'en pensez-vous ?
Kilanna fit mine de s'observer dans le miroir, puis sourit :
- Tu es bien créative, aujourd'hui, très chère.
- Oh... Vous n'aimez pas ?
- Bien sûr que si ! Bon, qu'allons-nous faire aujourd'hui ?
Elle se leva pour s'approcher de la "fenêtre", et donc du public. Dès qu'elle fut debout, sa partenaire s'empressa d'aller arranger les plis de sa robe. Arrivée près de la barre, Kilanna s'arrêta :
- Qu'est-ce que...
Visiblement contrite, la servante s'approcha.
- Oui... On m'avait interdit de vous le dire, mais... Dehors, c'est la guerre. Vous devez impérativement rester ici.
Kilanna se retourna vers elle, sans pour autant tourner le dos au public. C'était l'une des premières règles qu'elle avait intégrées : ne jamais tourner le dos au public.
- Et tu crois que je vais rester là, les bras croisés, à regarder mon peuple se faire détruire ? Je suis leur princesse ! S'il faut un sacrifice, il faut que ce soit moi, pas des innocents !
L'autre baissa la tête. Visiblement, elle savait que telle serait la réponse. Mais elle devait obéir aux ordres. Kilanna l'observa durement pendant un moment, suffisamment pour créer une sensation de gêne chez le public, puis, sans un mot, s'approcha de la porte représentée sur le mur de gauche, visiblement bien décidée à aller exposer sa façon de penser à ses parents... Lorsque ladite porte vola en éclats. Feignant de son mieux la surprise, Kilanna fit quelques pas en arrière, pendant que sa "servante" s'interposait :
- Qui va là ? N'approchez pas !
Lorsque les lumières s'allumèrent, elles révélèrent la moitié d'une chambre respirant le luxe. Les murs de gauche et du fond étaient matérialisés par des panneaux peints, alors que le mur de droite restait nu, menant directement aux coulisses, pour donner l'illusion que la pièce se poursuivait au-delà de la scène. Sur le devant de la scène, séparant les acteurs des spectaturs, une simple barre horizontale figurait le rebord d'une fenêtre.
Au milieu de la scène, une coiffeuse, devant laquelle Kilanna était assise, sa collègue, arborant les traits d'une servante, était censée la coiffer. En réalité, elle jouait plus avec ses cheveux qu'elle ne les arrangeait. Mais cette action était censée durer depuis longtemps et la demoiselle n'avait pas côtoyé la noblesse. De plus, sa coiffure était déjà faite avant de monter sur scène. Mais ce qui comptait, c'était l'illusion.
- Voilà, Mademoiselle, qu'en pensez-vous ?
Kilanna fit mine de s'observer dans le miroir, puis sourit :
- Tu es bien créative, aujourd'hui, très chère.
- Oh... Vous n'aimez pas ?
- Bien sûr que si ! Bon, qu'allons-nous faire aujourd'hui ?
Elle se leva pour s'approcher de la "fenêtre", et donc du public. Dès qu'elle fut debout, sa partenaire s'empressa d'aller arranger les plis de sa robe. Arrivée près de la barre, Kilanna s'arrêta :
- Qu'est-ce que...
Visiblement contrite, la servante s'approcha.
- Oui... On m'avait interdit de vous le dire, mais... Dehors, c'est la guerre. Vous devez impérativement rester ici.
Kilanna se retourna vers elle, sans pour autant tourner le dos au public. C'était l'une des premières règles qu'elle avait intégrées : ne jamais tourner le dos au public.
- Et tu crois que je vais rester là, les bras croisés, à regarder mon peuple se faire détruire ? Je suis leur princesse ! S'il faut un sacrifice, il faut que ce soit moi, pas des innocents !
L'autre baissa la tête. Visiblement, elle savait que telle serait la réponse. Mais elle devait obéir aux ordres. Kilanna l'observa durement pendant un moment, suffisamment pour créer une sensation de gêne chez le public, puis, sans un mot, s'approcha de la porte représentée sur le mur de gauche, visiblement bien décidée à aller exposer sa façon de penser à ses parents... Lorsque ladite porte vola en éclats. Feignant de son mieux la surprise, Kilanna fit quelques pas en arrière, pendant que sa "servante" s'interposait :
- Qui va là ? N'approchez pas !
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de l'autre coté de la porte, dans le noir total, des bruits de combat se font de plus en plus présent. Et quand le battant s'ouvre à toute volée, ce sont deux hommes qui font irruption dans la pièce, l'intrus de noir armuré épinglant violemment son adversaire, armuré au couleurs de la princesse, au sol. Pendant un moment, il est carrément à genoux sur le vaincu, plantant son arme le plus profondément possible, laissant au public le loisir de l'admirer.
Halewyn s'insurge intérieurement, trouvant que ca fait une pause inacceptable dans le script mais bon, il faut aussi savoir faire quelques concessions. Supposément que c'est pour bien marquer l'entrée du personnage principal.
Grand, le soldat l'est assurément quand il se relève et déloge sa lance à la lame rougie pour se placer au garde à vous, les prunelles noires commes la nuit visibles au travers des trous du casque happent les spectateurs sans même qu'il n'ait à balayer le regard dans l'assistance tandis que deux autres soldats, sensiblement plus petits, arrivent en trombe pour mettre les femmes à genoux. de la pointe de leur épées. Une musique martiale se fit alors entendre, annoncant l'arrivée du méchant de la pièce qui, en roulant des mécaniques, fit irruption sur scène, Campé par un humain(que votre succube trouvait fichtrement sexy et qui avait participé à quelques échanges de bons procédés, mais bon, Halewyn s'égare. Focus!!! Il faut être professionnel!) qui arborait des cornes de Drakyn sur la tête pour souligner l'importance des ailes sur la tête de la princesse, il s'arrêta dans un claquement de cape impérieux
. Soldats! Repos
La formation se brisa, les lances se levèrent et les deux compagnons d'armes du soldat initial reprirent leur place. Le sourire du colosse, plein de dents blanche, illumina la scèene d'une lueur sinistre,
Alors ma chère Mathilde! Tonna t'il d'une voix de baryton N'aviez vous pas dit que vous ne seriez jamais ma femme? Regrettez vous en ce moment un tant soit peu que votre choix de vie de repousser ma main, moi l'empereur de votre royaume désormais? Pour vous, dame, j'ai fait couler le sang tout le long du chemin qui mène de mon coeur au vôtre. N'y êtes vos point insensible?
En arrière plan, Brisant l'immobiité soudaine de la scène dont le slumières s'éteignent, ne laissant que celle braquée sur le premier soldat qui s'avance en devant des protagonistes.
-Non, il n'a jamais levé ne serais-ce qu'une épée de sa vie... Ses mains sont blanches, son égo dmesuré et sa langue est de venin. ... J'ai tué par devoir et il en récolte toute la gloire. Je pensais que c'était pour mon Royaume.... Non, ce n'était que pour venir ici...
D'un geste brusque, il arracha son casque qu'il envoya valdinguer bruyamment en coulisse, signifiant dramatiquement sa rage. L'opuente chevelure carmine tressée àa la facon des guerriers se dévoila aux regards, tranchant magnifiquement sur l'armure noire.
Voyez!!!! Voyez comment des années de guerre m'a changé! Mon coeur est aussi noir que cette armure, ma peau blanche de ne pouvoir sentir la caresse du vent et du soleil sur ma peau. Ma chevelure a trempé milles fois dans le sang d'innombrables ennemis. Je l'ai fait par devoir!!! Non, je ne regrette rien, je ne comprend juste pas pourquoi j'ai agréé à ce plan insensé!! Mais qui suis-je?Moi, Cassius? Oh madame!!!
S'exclama t'il en allant vers Mathilde, immobile,
Je vous en prie, ployez l'échine, que je puisse égoistement gagner le droit au repos... Je suis las, tellement las de tuer et trop lâche pour ne serais ce qu'au moins m'enfoncer une épée dans le coeur pour mettre fin à ce déshonneur.
Le coeur et le pas lourd, le soldat à la tresse repris place entre ses deux compagnons d'armes et s'immobilisa.
.
Halewyn s'insurge intérieurement, trouvant que ca fait une pause inacceptable dans le script mais bon, il faut aussi savoir faire quelques concessions. Supposément que c'est pour bien marquer l'entrée du personnage principal.
Grand, le soldat l'est assurément quand il se relève et déloge sa lance à la lame rougie pour se placer au garde à vous, les prunelles noires commes la nuit visibles au travers des trous du casque happent les spectateurs sans même qu'il n'ait à balayer le regard dans l'assistance tandis que deux autres soldats, sensiblement plus petits, arrivent en trombe pour mettre les femmes à genoux. de la pointe de leur épées. Une musique martiale se fit alors entendre, annoncant l'arrivée du méchant de la pièce qui, en roulant des mécaniques, fit irruption sur scène, Campé par un humain(que votre succube trouvait fichtrement sexy et qui avait participé à quelques échanges de bons procédés, mais bon, Halewyn s'égare. Focus!!! Il faut être professionnel!) qui arborait des cornes de Drakyn sur la tête pour souligner l'importance des ailes sur la tête de la princesse, il s'arrêta dans un claquement de cape impérieux
. Soldats! Repos
La formation se brisa, les lances se levèrent et les deux compagnons d'armes du soldat initial reprirent leur place. Le sourire du colosse, plein de dents blanche, illumina la scèene d'une lueur sinistre,
Alors ma chère Mathilde! Tonna t'il d'une voix de baryton N'aviez vous pas dit que vous ne seriez jamais ma femme? Regrettez vous en ce moment un tant soit peu que votre choix de vie de repousser ma main, moi l'empereur de votre royaume désormais? Pour vous, dame, j'ai fait couler le sang tout le long du chemin qui mène de mon coeur au vôtre. N'y êtes vos point insensible?
En arrière plan, Brisant l'immobiité soudaine de la scène dont le slumières s'éteignent, ne laissant que celle braquée sur le premier soldat qui s'avance en devant des protagonistes.
-Non, il n'a jamais levé ne serais-ce qu'une épée de sa vie... Ses mains sont blanches, son égo dmesuré et sa langue est de venin. ... J'ai tué par devoir et il en récolte toute la gloire. Je pensais que c'était pour mon Royaume.... Non, ce n'était que pour venir ici...
D'un geste brusque, il arracha son casque qu'il envoya valdinguer bruyamment en coulisse, signifiant dramatiquement sa rage. L'opuente chevelure carmine tressée àa la facon des guerriers se dévoila aux regards, tranchant magnifiquement sur l'armure noire.
Voyez!!!! Voyez comment des années de guerre m'a changé! Mon coeur est aussi noir que cette armure, ma peau blanche de ne pouvoir sentir la caresse du vent et du soleil sur ma peau. Ma chevelure a trempé milles fois dans le sang d'innombrables ennemis. Je l'ai fait par devoir!!! Non, je ne regrette rien, je ne comprend juste pas pourquoi j'ai agréé à ce plan insensé!! Mais qui suis-je?Moi, Cassius? Oh madame!!!
S'exclama t'il en allant vers Mathilde, immobile,
Je vous en prie, ployez l'échine, que je puisse égoistement gagner le droit au repos... Je suis las, tellement las de tuer et trop lâche pour ne serais ce qu'au moins m'enfoncer une épée dans le coeur pour mettre fin à ce déshonneur.
Le coeur et le pas lourd, le soldat à la tresse repris place entre ses deux compagnons d'armes et s'immobilisa.
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Elia grignotait tranquillement sa brochette, la tête appuyée sur sa main d'un air ennuyée. Ils etaient un peu en retard, et elle avait envie de voir d'autres endroit aussi. Elle espérait donc que cela ne traine pas trop. Mais finalement, les alentours tombèrent dans la pénombre, profitant de la descente du soleil. Ça semblait être sur le point de commencer et il y eu plusieurs applaudissements des habitués. Visiblement, c’était de cette manière qu'on accueillait les acteurs. Soit.
Elle applaudit donc, de sa main libre, avant de revenir s'occuper des derniers bouts de viande, tandis qu'elle entendait clairement les pas venir sur scène, détails que d'autres autour pouvaient avoir raté, avec une ouie moins développé que celle de la reikoise.
Les lumières s’allumèrent enfin, détaillant la jeune femme en plein milieu de sa préparation. C’était une noble ? Elle n’était pas sur du thème de la pièce, mais a priori c’était le cas. Elle se pencha un peu avant, pour bien voir tous les détails.
Elle n'etait pas très étonnée du theme de la guerre, le Reike y etant quasiment abonné, mais elle resta attentive, alors que la « princesse » se mettait a faire plusieurs exclamations un peu forcée. Elle n'avait pas spécialement l'air d’être douée ? C’était peut être une nouvelle ? Elle s'etait attendue a des gens jouant parfaitement la comédie.
Elle tourna la tete devant l'arrivée des nouveaux personnages. Des hommes, des guerriers se battant. Elle plongea soudainement un peu plus dans l'histoire, le méchant arrivait. Il la voulait pour femme ! Elle ne pu s’empêcher de repenser a la partie d'echec avec Cyradil. Si les divers personnages étaient les pions, la princesse était en mauvaise posture.
Elle ne pouvait s’empêcher de s'énervée devant l'attitude de ce male. Comme tous les autres, c'etait encore une histoire d'appropriation d'une jeune femme. Très Reikois, mais ce n'etait pas pour autant qu'elle pouvait rester calme devant ça. Ils auraient du l'engager, elle aurait adoré le massacrer.
Les phrases s’enchaînèrent, un brin mélodramatique, mais c'etait son truc. Elle lisait toujours des romans a l'eau de rose, et le méchant roi essayant de prendre de force la princesse comme épouse. C'est un gimmick assez classique dont elle etait finalement assez sensible, sauf que la plupart du temps, elle modifiait certain personnages mentalement. Il n'y avait pas encore besoin, cette fois.
Sans vraiment s'en rendre compte, elle commença a plonger de plus en plus. Elle entendit un soupir d'ennuie et se retourna assez vivement.
- Chuuuut, vous allez vous taire oui ?
Elle n'attendit pas la réponse, détachant son attention pour revenir sur la scene. Les lumieres baissaient encore, les personnes etaient désormais immobiles, c'etait sans doute la fin de la premiere scene.
Le souffla un peu moins actif, elle mordit dans un légume rapidement, sans détourner les yeux pour ne pas en rater une miette.
Elle applaudit donc, de sa main libre, avant de revenir s'occuper des derniers bouts de viande, tandis qu'elle entendait clairement les pas venir sur scène, détails que d'autres autour pouvaient avoir raté, avec une ouie moins développé que celle de la reikoise.
Les lumières s’allumèrent enfin, détaillant la jeune femme en plein milieu de sa préparation. C’était une noble ? Elle n’était pas sur du thème de la pièce, mais a priori c’était le cas. Elle se pencha un peu avant, pour bien voir tous les détails.
Elle n'etait pas très étonnée du theme de la guerre, le Reike y etant quasiment abonné, mais elle resta attentive, alors que la « princesse » se mettait a faire plusieurs exclamations un peu forcée. Elle n'avait pas spécialement l'air d’être douée ? C’était peut être une nouvelle ? Elle s'etait attendue a des gens jouant parfaitement la comédie.
Elle tourna la tete devant l'arrivée des nouveaux personnages. Des hommes, des guerriers se battant. Elle plongea soudainement un peu plus dans l'histoire, le méchant arrivait. Il la voulait pour femme ! Elle ne pu s’empêcher de repenser a la partie d'echec avec Cyradil. Si les divers personnages étaient les pions, la princesse était en mauvaise posture.
Elle ne pouvait s’empêcher de s'énervée devant l'attitude de ce male. Comme tous les autres, c'etait encore une histoire d'appropriation d'une jeune femme. Très Reikois, mais ce n'etait pas pour autant qu'elle pouvait rester calme devant ça. Ils auraient du l'engager, elle aurait adoré le massacrer.
Les phrases s’enchaînèrent, un brin mélodramatique, mais c'etait son truc. Elle lisait toujours des romans a l'eau de rose, et le méchant roi essayant de prendre de force la princesse comme épouse. C'est un gimmick assez classique dont elle etait finalement assez sensible, sauf que la plupart du temps, elle modifiait certain personnages mentalement. Il n'y avait pas encore besoin, cette fois.
Sans vraiment s'en rendre compte, elle commença a plonger de plus en plus. Elle entendit un soupir d'ennuie et se retourna assez vivement.
- Chuuuut, vous allez vous taire oui ?
Elle n'attendit pas la réponse, détachant son attention pour revenir sur la scene. Les lumieres baissaient encore, les personnes etaient désormais immobiles, c'etait sans doute la fin de la premiere scene.
Le souffla un peu moins actif, elle mordit dans un légume rapidement, sans détourner les yeux pour ne pas en rater une miette.
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Le conquérant regarda Mathilde, victorieux, attendant sa réponse tandis que, discrètement, le soldat lançait un regard en coin à la jeune femme.
La demoiselle mit un moment à répondre, ménageant ses effets, alors que, discrètement, elle faisait signe à la servante de quitter les lieux. Qu'elle, au moins, puisse s'en sortir.
Au mouvement de la dame de compagnie, les trois soldats se mouvèrent en une parfaite harmonie que n'aurait pas renié la garde impériale en personne, les trois lances se pointant sur la poitrine de cette dernière
- Insensible ? Bien sûr que je le suis. Vous n'êtes pas des miens, je ne vous connais pas, allez donc vous chercher une épouse chez vous ! Elles vous correspondront probablement bien mieux.
Ce fut à ce moment qu'elle réalisa les actes des gardes.
- Je peux savoir ce que vous comptez faire ?
D'un claquement de doigt, l'empereur fit un signe silencieux, ordonnant aux deux gardes d'emmener la soubrette. Le soldat à tresse resta impassible.
Elle n'en croyait pas ses yeux. Sérieusement ? La rage se voyait sur ses traits lorsqu'elle s'avança vers l'empereur, au mépris de la déférence dont il devait bénéficier :
- Très bien. Vous avez choisi. Je ne vous accepterai jamais ! On ne vous a pas dit que mon peuple est tout pour moi ?
Un sourire retors éclaira le visage, un autre claquement de doigt et ce fut le dernier soldat qui bondit devant lui pour couper la voie. Impassible, le tyran la regardait.
- Résistez-moi et je massacrerai hommes, femmes et enfants, j'engraisserai cette terre de leurs cadavres pour nourrir les miens. Vous, madame, êtes chanceuse... Je vous somme de venir me voir dans sept jours. Attentez à votre vie, et pour chaque goutte de votre sang versé, je tuerai des centaines que j'empalerai comme haie d'honneur... Vous ne voulez pas vous marier ? D'accord. Mais vous engendrerez mon fils...
- ... Vous n'êtes qu'un monstre. Seul mon père peut décider de mon avenir.
... Et si elle-même était d'accord. Mais, évidemment, elle ne prendrait pas la peine de le dire à ce monstre aux traits humains.
Un autre claquement de doigts, et deux têtes roulèrent aux pieds de la demoiselle tandis qu'il tournait les talons dans un claquement de cape, la laissant seule avec le soldat pour pleurer ses parents.
Elle recula avec un cri. Quel malade mental lui avait-on encore refourgué ?
- 7 JOURS.... clama le narrateur alors que le bruit d'une horloge se faisait entendre, et que la lumière baissait le temps que le décor se réorganise.
La demoiselle mit un moment à répondre, ménageant ses effets, alors que, discrètement, elle faisait signe à la servante de quitter les lieux. Qu'elle, au moins, puisse s'en sortir.
Au mouvement de la dame de compagnie, les trois soldats se mouvèrent en une parfaite harmonie que n'aurait pas renié la garde impériale en personne, les trois lances se pointant sur la poitrine de cette dernière
- Insensible ? Bien sûr que je le suis. Vous n'êtes pas des miens, je ne vous connais pas, allez donc vous chercher une épouse chez vous ! Elles vous correspondront probablement bien mieux.
Ce fut à ce moment qu'elle réalisa les actes des gardes.
- Je peux savoir ce que vous comptez faire ?
D'un claquement de doigt, l'empereur fit un signe silencieux, ordonnant aux deux gardes d'emmener la soubrette. Le soldat à tresse resta impassible.
Elle n'en croyait pas ses yeux. Sérieusement ? La rage se voyait sur ses traits lorsqu'elle s'avança vers l'empereur, au mépris de la déférence dont il devait bénéficier :
- Très bien. Vous avez choisi. Je ne vous accepterai jamais ! On ne vous a pas dit que mon peuple est tout pour moi ?
Un sourire retors éclaira le visage, un autre claquement de doigt et ce fut le dernier soldat qui bondit devant lui pour couper la voie. Impassible, le tyran la regardait.
- Résistez-moi et je massacrerai hommes, femmes et enfants, j'engraisserai cette terre de leurs cadavres pour nourrir les miens. Vous, madame, êtes chanceuse... Je vous somme de venir me voir dans sept jours. Attentez à votre vie, et pour chaque goutte de votre sang versé, je tuerai des centaines que j'empalerai comme haie d'honneur... Vous ne voulez pas vous marier ? D'accord. Mais vous engendrerez mon fils...
- ... Vous n'êtes qu'un monstre. Seul mon père peut décider de mon avenir.
... Et si elle-même était d'accord. Mais, évidemment, elle ne prendrait pas la peine de le dire à ce monstre aux traits humains.
Un autre claquement de doigts, et deux têtes roulèrent aux pieds de la demoiselle tandis qu'il tournait les talons dans un claquement de cape, la laissant seule avec le soldat pour pleurer ses parents.
Elle recula avec un cri. Quel malade mental lui avait-on encore refourgué ?
- 7 JOURS.... clama le narrateur alors que le bruit d'une horloge se faisait entendre, et que la lumière baissait le temps que le décor se réorganise.
Invité
Invité
Plusieurs scénettes rapides se succédèrent, détaillant les diverses réflexions et tourments de la demoiselle sous le regard de plus en plus perplexe de son garde chiourme. On voyait très bien le duel entre ses principes et son coeur. Mais elle ne pouvait se résoudre à accepter le marché.
IĿ n'y avait plus personne dans le chateau, nul autre qu'elle et le soldat. Bien sûr qu'il y avait des envahisseurs dans la ville dont on entendait des cris à intervalles régulier.... Il y eut la scènette cocasse d'usage quand elle dut se changer, elle qui n'avait jamais rien fait seule, l'autre ou il du lui donner à manger de ses rations. Le but de l'Emprereur était clait, l'isoler, l'affamer et garnir les jardins de cadavres empalés pour qu'elle cède, elle en pleura longuement, repoussant l'initiative fort timide de l'homme qui essaya de nouer un contact maladroit pour la réconforter, essayant delui vanter les mérites de son maitre. Soyons franc, il n'y en n'avais aucun. Ce ne fut qu'à l'aube le lendemain que l'occasion de s'évader se présenta enfin, le lendemain quand le soldat qui la gardait s'endormit pendant qu'il surveillait son sommeil. Debout, la joue sur la hampe de sa lance, il somnolait sous les huées des Reikois qui trouvaient cela inadmissible.
Un guerrier ca ne devait pas dormir ni manger ni uriner en guerre voyons... Ce soldat là était faible,
permettant à la demoiselle de s'échapper par un passage secret. Néanmoins, elle prit soin, avant de partir, d'installer le soldat plus confortablement, comme une sorte de cadeau d'adieu, pour le remercier de ses bons traitements. Puis, visiblement prise d'une idée soudaine, elle prit le risque de passer un peu plus de temps pour lui écrire une note à l'arrache, qu'elle lui plaça ensuite dans la main. Ainsi, elle ne serait pas partie sans dire au revoir ni le remercier...
Sauf qu'il ne dormait pas, pas vraiment, c'est connu que les vétérans ne dorment que d'un oeil. Ceux qui doutait de Cassius laissèrent échapper un ricanement. øh le roublard!!!!! aussitôt partie, Cassius s'asseya et lu la note à haute voix sur un fond de musique douce.
''Monsieur,
Je suis désolée de ne pas pouvoir vous le dire en personne, mais sachez que vos bons traitements m'ont touchée. Ce n'est pas convenable pour votre ennemie de l'admettre, aussi, ne laissez personne lire cette lettre. Pardonnez-moi de ne pas pouvoir être présente à votre réveil, mais je ne peux pas rester. J'espère que vous comprendrez. Mon seul regret aura été de ne pas connaître votre nom."
Il leva la tête d'incrédulité en froissant le papier.
-Je l'ai touchée? moi? simple chien de guerre? Comment a t'elle bien pu être traitée par son propre peuple pour qu'elle soit touchée par une ordure en mon genre? En me laissant comme ca, en rond de flanc?
S'exclama t'il, outré, arrachant les spallières de son armure noire, s'exclamant avec émotion vibrante, plein de colère, de résignation et de désespoir..
Et si elle fuit,..., si elle se fait tuer, sait elle les années de tourments qui m'attendent? Pense t'elle réellement qu'elle m'a sauvé la vie? L'Empereur a déjà tué d'un congé mal pris...
Il se prit la tête à deux mains, laissant tomber sa lance.
-En s'enfuyant elle m'a marqué du sceau de l'échec ignominieuse!!! Qu'elle le veuille ou non, ma vie est liée à la sienne désormais. ije dois la ramener.... .
et qu'il lui emboita le pas lors de sa fuite. Ainsi se termina le deuxième acte sur la question suivante, court t'il après pour elle ou pour la ramener auprès de son souverain?
Les rideaux se fermèrent et le narrateur s'exclama,
ENTRACTE!!! 15 MINUTES!
IĿ n'y avait plus personne dans le chateau, nul autre qu'elle et le soldat. Bien sûr qu'il y avait des envahisseurs dans la ville dont on entendait des cris à intervalles régulier.... Il y eut la scènette cocasse d'usage quand elle dut se changer, elle qui n'avait jamais rien fait seule, l'autre ou il du lui donner à manger de ses rations. Le but de l'Emprereur était clait, l'isoler, l'affamer et garnir les jardins de cadavres empalés pour qu'elle cède, elle en pleura longuement, repoussant l'initiative fort timide de l'homme qui essaya de nouer un contact maladroit pour la réconforter, essayant delui vanter les mérites de son maitre. Soyons franc, il n'y en n'avais aucun. Ce ne fut qu'à l'aube le lendemain que l'occasion de s'évader se présenta enfin, le lendemain quand le soldat qui la gardait s'endormit pendant qu'il surveillait son sommeil. Debout, la joue sur la hampe de sa lance, il somnolait sous les huées des Reikois qui trouvaient cela inadmissible.
Un guerrier ca ne devait pas dormir ni manger ni uriner en guerre voyons... Ce soldat là était faible,
permettant à la demoiselle de s'échapper par un passage secret. Néanmoins, elle prit soin, avant de partir, d'installer le soldat plus confortablement, comme une sorte de cadeau d'adieu, pour le remercier de ses bons traitements. Puis, visiblement prise d'une idée soudaine, elle prit le risque de passer un peu plus de temps pour lui écrire une note à l'arrache, qu'elle lui plaça ensuite dans la main. Ainsi, elle ne serait pas partie sans dire au revoir ni le remercier...
Sauf qu'il ne dormait pas, pas vraiment, c'est connu que les vétérans ne dorment que d'un oeil. Ceux qui doutait de Cassius laissèrent échapper un ricanement. øh le roublard!!!!! aussitôt partie, Cassius s'asseya et lu la note à haute voix sur un fond de musique douce.
''Monsieur,
Je suis désolée de ne pas pouvoir vous le dire en personne, mais sachez que vos bons traitements m'ont touchée. Ce n'est pas convenable pour votre ennemie de l'admettre, aussi, ne laissez personne lire cette lettre. Pardonnez-moi de ne pas pouvoir être présente à votre réveil, mais je ne peux pas rester. J'espère que vous comprendrez. Mon seul regret aura été de ne pas connaître votre nom."
Il leva la tête d'incrédulité en froissant le papier.
-Je l'ai touchée? moi? simple chien de guerre? Comment a t'elle bien pu être traitée par son propre peuple pour qu'elle soit touchée par une ordure en mon genre? En me laissant comme ca, en rond de flanc?
S'exclama t'il, outré, arrachant les spallières de son armure noire, s'exclamant avec émotion vibrante, plein de colère, de résignation et de désespoir..
Et si elle fuit,..., si elle se fait tuer, sait elle les années de tourments qui m'attendent? Pense t'elle réellement qu'elle m'a sauvé la vie? L'Empereur a déjà tué d'un congé mal pris...
Il se prit la tête à deux mains, laissant tomber sa lance.
-En s'enfuyant elle m'a marqué du sceau de l'échec ignominieuse!!! Qu'elle le veuille ou non, ma vie est liée à la sienne désormais. ije dois la ramener.... .
et qu'il lui emboita le pas lors de sa fuite. Ainsi se termina le deuxième acte sur la question suivante, court t'il après pour elle ou pour la ramener auprès de son souverain?
Les rideaux se fermèrent et le narrateur s'exclama,
ENTRACTE!!! 15 MINUTES!
Invité
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Elle s'etait peu a peu légérement surprise a trouver cela assez faux. C’était son regard de professionnelle peut etre qui lui donnait l'impression que tou etait un peu surjoué ? L'histoire etait agréable a suivre, bien qu'un peu ridicule sur certain passage. De son point de vu, elle ne voyait pas comment assassiner les parents de la fille allait la convaincre de quoi que ce soit. Pourquoi ne pas les avoir gardés comme otage et torturé ? Un doigt de sa mere aurait eu plus d'impact.
Elle tourna la tete, surprise par le public étonnamment vocal. La plupart etaitent des gens sans beaucoup d'éducations, peut être même qu'une partie ne savait pas lire. Elle se souvint que la première fois qu'elle avait lu un livre un peu nian nian, elle n'avait vu aucun défaut, et avait été émerveillée par l'histoire, tenue en haleine. Cette fois, elle avait surtout peur que l'heroine finisse avec le garde, heureuse avec beaucoup d'enfants.
Elle aurait préféré un second personnage féminin, une idylle interdite, ou une chevalière réformée aurait essayée de sauver la princesse pour l'emmener loin. Mais ça, c’était ses goûts a elle, déformée par sa propre expérience. Encore un homme. Elle soupira.
Il fallait avouer que la princesse était plutot jolie, l'actrice en tout cas. Elle sentait un brin de stresse dans sa voix, prouvant qu'elle n’était pas encore habituée, et tout au long de l'acte, cela se confirma a ses yeux. En revanche, celui qui sembla très investit dans son rôle. Il était plutôt bel homme, et ca lui faisait mal de le dire. Elle trouvait un petit quelque chose de doux dans ses traits qu'elle ne voyait jamais chez d'autres, c’était un peu étrange.
Elle se leva et s'étira, quand on annonça la pause. Ca tombait bien elle avait soif. La fin de son repas lui avait donné envie de s'hydrater, mais elle avait aussi envie d'un petit dessert. Elle se demanda si elle pourrait trouver une échoppe pas loin de la.
Elle sortit de la rangée d’où elle se trouvait, observant les gens aller et venir, la plupart souriant grandement, stimulé par l'histoire qui se jouait devant eux. En commençant a chercher, elle se demanda si c’était la troupe qui avait écrit la pièce, ou si c’était une récupération d'une ancienne œuvre ou une réécriture. Elle aurait bien demandé a un acteur, alors elle essayerait peut être d'en rencontrer une a la fin, juste par curiosité.
Elle tomba effectivement sur un petit vendeur de gaufre, qui profitait de la foule et de la piece pour faire son chiffre. Il y avait un peu la queue et elle s'impatienta. Il y avait uniquement quinze minutes de pause après tout.
Sa gourde pleine de thé froid, et sa gaufre nappée de confiture dans la main, elle fit demi tour, longeant le coté de la scène. Il y avait peu de monde d'encore debout. Alors elle se fit discrete, comme elle savait faire.
Si elle rencontrait quelqu'un, elle s'arreterait, sinon, elle retournerait simplement a sa place pour voir la suite de la piece.
Elle tourna la tete, surprise par le public étonnamment vocal. La plupart etaitent des gens sans beaucoup d'éducations, peut être même qu'une partie ne savait pas lire. Elle se souvint que la première fois qu'elle avait lu un livre un peu nian nian, elle n'avait vu aucun défaut, et avait été émerveillée par l'histoire, tenue en haleine. Cette fois, elle avait surtout peur que l'heroine finisse avec le garde, heureuse avec beaucoup d'enfants.
Elle aurait préféré un second personnage féminin, une idylle interdite, ou une chevalière réformée aurait essayée de sauver la princesse pour l'emmener loin. Mais ça, c’était ses goûts a elle, déformée par sa propre expérience. Encore un homme. Elle soupira.
Il fallait avouer que la princesse était plutot jolie, l'actrice en tout cas. Elle sentait un brin de stresse dans sa voix, prouvant qu'elle n’était pas encore habituée, et tout au long de l'acte, cela se confirma a ses yeux. En revanche, celui qui sembla très investit dans son rôle. Il était plutôt bel homme, et ca lui faisait mal de le dire. Elle trouvait un petit quelque chose de doux dans ses traits qu'elle ne voyait jamais chez d'autres, c’était un peu étrange.
Elle se leva et s'étira, quand on annonça la pause. Ca tombait bien elle avait soif. La fin de son repas lui avait donné envie de s'hydrater, mais elle avait aussi envie d'un petit dessert. Elle se demanda si elle pourrait trouver une échoppe pas loin de la.
Elle sortit de la rangée d’où elle se trouvait, observant les gens aller et venir, la plupart souriant grandement, stimulé par l'histoire qui se jouait devant eux. En commençant a chercher, elle se demanda si c’était la troupe qui avait écrit la pièce, ou si c’était une récupération d'une ancienne œuvre ou une réécriture. Elle aurait bien demandé a un acteur, alors elle essayerait peut être d'en rencontrer une a la fin, juste par curiosité.
Elle tomba effectivement sur un petit vendeur de gaufre, qui profitait de la foule et de la piece pour faire son chiffre. Il y avait un peu la queue et elle s'impatienta. Il y avait uniquement quinze minutes de pause après tout.
Sa gourde pleine de thé froid, et sa gaufre nappée de confiture dans la main, elle fit demi tour, longeant le coté de la scène. Il y avait peu de monde d'encore debout. Alors elle se fit discrete, comme elle savait faire.
Si elle rencontrait quelqu'un, elle s'arreterait, sinon, elle retournerait simplement a sa place pour voir la suite de la piece.
Invité
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Dès son retour en coulisses, elle soupira. La moitié était faite. Décidemment, jouer la comédie, ce n'était pas pour elle. Elle préférait rester en retrait, cachée en attendant son heure, puis repartir sans se faire voir une fois la mission accomplie, plutôt que de raconter une histoire fausse et, surtout, en pleine lumière. Être le centre de l'attention, ce n'était clairement pas pour elle. Mais il y avait autre chose, quelque chose qui n'était pas visible depuis le public.
- Kila !
Elle sourit alors que sa partenaire du premier acte l'"attaquait" d'un câlin. Oui, cette chose, c'était la camaraderie. Ici, elle avait trouvé, pour la première fois, de vrais amis. Elle se sentait prête à confier sa vie sans héster à n'importe quel membre de cette troupe réduite.
- Je n'étais pas trop mauvaise, ça va ?
- Non mais tu plaisantes ?! C'était parfait ! Bon, c'est vrai que l'apprentissage du texte, c'était pas trop ça, mais tu te rappelles ? Si ça ne dérange pas le public, tout est parfait !
Kilanna se laissa aller à un petit rire :
- J'ai hâte de voir le directeur, d'ailleurs. Il s'est donné du mal pour réécrire, et on lui a encore tout cassé...
- Oh, oublie-le. Pensons à quelqu'un d'autre. Tu sais de qui je parle. À moi, tu peux le dire, non ? Vous vous connaissiez depuis le début, non ? C'est ton copain ?
- PARDON ?!
La jeune actrice partit d'un rire cristallin, alors qu'elle poursuivait sa taquinerie :
- Ouh, on dirait que j'ai touché un point sensible !
Kilanna soupira.
- Ouais, si tu veux. Mais toutes ces histoires dont vous les artistes, semblez être friandes... Je n'en vois simplement pas l'intérêt. Pourquoi s'enchaîner à quelqu'un qui, par définition, vous empêchera de contrôler votre vie ?
- Rho, tu n'es pas drôle. Et puis, je te ferais remarquer que maintenant, toi aussi, tu es une artiste. Laisse-toi aller ! Rêve, un peu. Et puis... Si tu laisses ton imagination s'exprimer, tu joueras bien mieux. Tu dois croire toi-même que ton personnage, c'est toi. Au moins jusqu'à ce que tu quittes la scène. Plus tu y croieras toi-même, plus le public aussi y croiera, et plus la pièce sera réussie.
Cela la fit réfléchir. Vraiment ? Ce qu'on attendait d'elle était donc bien plus que de réciter un texte en portant des vêtements extravagants... Elle aurait besoin d'un moment d'introspection. Qu'elle s'accorda. Après tout, ils étaient en pause, non ? Et sa camarade sembla la comprendre, car elle respecta sa volonté de solitude virtuelle en cessant ses bavardages. Jusqu'à ce qu'une légère tape sur son épaule attire son attention. Après avoir capté son regard, sa cadette lui indiqua une direction. Les yeux de Kilanna suivirent l'indication... Et elle soupira. Ah. Elle reconnaîtrait cette chevelure entre mille. Pourquoi arrivait-il ? Que voulait-il ?
- Kila !
Elle sourit alors que sa partenaire du premier acte l'"attaquait" d'un câlin. Oui, cette chose, c'était la camaraderie. Ici, elle avait trouvé, pour la première fois, de vrais amis. Elle se sentait prête à confier sa vie sans héster à n'importe quel membre de cette troupe réduite.
- Je n'étais pas trop mauvaise, ça va ?
- Non mais tu plaisantes ?! C'était parfait ! Bon, c'est vrai que l'apprentissage du texte, c'était pas trop ça, mais tu te rappelles ? Si ça ne dérange pas le public, tout est parfait !
Kilanna se laissa aller à un petit rire :
- J'ai hâte de voir le directeur, d'ailleurs. Il s'est donné du mal pour réécrire, et on lui a encore tout cassé...
- Oh, oublie-le. Pensons à quelqu'un d'autre. Tu sais de qui je parle. À moi, tu peux le dire, non ? Vous vous connaissiez depuis le début, non ? C'est ton copain ?
- PARDON ?!
La jeune actrice partit d'un rire cristallin, alors qu'elle poursuivait sa taquinerie :
- Ouh, on dirait que j'ai touché un point sensible !
Kilanna soupira.
- Ouais, si tu veux. Mais toutes ces histoires dont vous les artistes, semblez être friandes... Je n'en vois simplement pas l'intérêt. Pourquoi s'enchaîner à quelqu'un qui, par définition, vous empêchera de contrôler votre vie ?
- Rho, tu n'es pas drôle. Et puis, je te ferais remarquer que maintenant, toi aussi, tu es une artiste. Laisse-toi aller ! Rêve, un peu. Et puis... Si tu laisses ton imagination s'exprimer, tu joueras bien mieux. Tu dois croire toi-même que ton personnage, c'est toi. Au moins jusqu'à ce que tu quittes la scène. Plus tu y croieras toi-même, plus le public aussi y croiera, et plus la pièce sera réussie.
Cela la fit réfléchir. Vraiment ? Ce qu'on attendait d'elle était donc bien plus que de réciter un texte en portant des vêtements extravagants... Elle aurait besoin d'un moment d'introspection. Qu'elle s'accorda. Après tout, ils étaient en pause, non ? Et sa camarade sembla la comprendre, car elle respecta sa volonté de solitude virtuelle en cessant ses bavardages. Jusqu'à ce qu'une légère tape sur son épaule attire son attention. Après avoir capté son regard, sa cadette lui indiqua une direction. Les yeux de Kilanna suivirent l'indication... Et elle soupira. Ah. Elle reconnaîtrait cette chevelure entre mille. Pourquoi arrivait-il ? Que voulait-il ?
Invité
Invité
-Elles sont ou les collations?
-Mais je les ai faites venir!!!
-DIRECCCCCTEUUUUURRRR!!!! on n'a pas de collations! Et le banquet est pas arrivé!!!
-Comment ca ???
-Il est arrivé DIRECCCTEUUUR!!!!
Les accessoiristes et le directeur son en train de s'arracher proprement les cheveux dans la salle... Les aliments factices du banquet n'ont pas été livrés, ont été perdus, égarés ou... *toussotement discret* Rangés soigneusement là ou aucun mortel ne pourrait décemment les trouver et oubliés sans vergogne. Bien quoi? faut arrêter de laisser trainer des caisses partout !!!!
Et c'est en cet instant précis que fromage en main et bouche bien pleine, Halewyn appparait dans la pièce.
-Kechkisspass? Demande iel succube alors que tout le monde se tourne vers lui pendant qu'il déglutit. -Bah quoi? Je me suis amené mon propre casse dalle, vous vous plaignez tout le temps que je mange les vôtres!!!
Concert de protestation et les acteurs et actrices se mettent tous à parler en même temps, se tournant instinctivement vers Halewyn qui, tout au long des répétitions, a toujours réussis à régler avec un pragmatisme déconcertant leurs menus problèmes. Notamment, en cet instant précis, le manque de nourriture réelle et factice. Enfournant un raisin, iel succube flanque son butin dans les mains du directeur avant de se retourner et d'aggripper le peignoir de Mathilde qui servait de décor au premier acte.
-Ce n'est pas comme si personne ne vendait de la nourriture dehors. Je reviens, je met ca sur votre ardoise Directeur.
Ce dernier eut un gémissement de détresse tandis que, la tresse rouge dans son sillage telle la queue d'une comète et peignoir ouvert, iel passa a côté de Kilanna et Herzebel.
-Je vais à la chasse aux aliments!!! Ils ne trouvent plus le ''buffet'' Des bras supplémentaires ne seraient pas de refus sinon je me débrouillerai!!!
Annonce t'iel jovialement tandis qu'il ouvre la porte de la loge et fait trois pas sans regarder, percutant Elia et se recevant une tartine pleine de confiture sur le torse nu ou elle y resta collée tandis q'avec une sveltesse et une présence d'esprit indéniable, il fait basculer la malheureuse juste assez pour la retenir de s'étaler lamentablement au sol. La ourde tresse rouge glisse soyeusement, caressant la joue de la jeune fille tandis que deux prunelles noires et douces captent son champ de vision.
-Et bien, il est rare que je puisse dire que ca colle entre moi et une dame si rapidement... Enchanté, '' mademoiselle''
D'un geste gracieux, l'acteur la remis sur ses pieds, toujours aussi jovial, ignorant la tartine encore collée sur sa peau d'albâtre.
-Pardonnez ma maladresse...
-Mais je les ai faites venir!!!
-DIRECCCCCTEUUUUURRRR!!!! on n'a pas de collations! Et le banquet est pas arrivé!!!
-Comment ca ???
-Il est arrivé DIRECCCTEUUUR!!!!
Les accessoiristes et le directeur son en train de s'arracher proprement les cheveux dans la salle... Les aliments factices du banquet n'ont pas été livrés, ont été perdus, égarés ou... *toussotement discret* Rangés soigneusement là ou aucun mortel ne pourrait décemment les trouver et oubliés sans vergogne. Bien quoi? faut arrêter de laisser trainer des caisses partout !!!!
Et c'est en cet instant précis que fromage en main et bouche bien pleine, Halewyn appparait dans la pièce.
-Kechkisspass? Demande iel succube alors que tout le monde se tourne vers lui pendant qu'il déglutit. -Bah quoi? Je me suis amené mon propre casse dalle, vous vous plaignez tout le temps que je mange les vôtres!!!
Concert de protestation et les acteurs et actrices se mettent tous à parler en même temps, se tournant instinctivement vers Halewyn qui, tout au long des répétitions, a toujours réussis à régler avec un pragmatisme déconcertant leurs menus problèmes. Notamment, en cet instant précis, le manque de nourriture réelle et factice. Enfournant un raisin, iel succube flanque son butin dans les mains du directeur avant de se retourner et d'aggripper le peignoir de Mathilde qui servait de décor au premier acte.
-Ce n'est pas comme si personne ne vendait de la nourriture dehors. Je reviens, je met ca sur votre ardoise Directeur.
Ce dernier eut un gémissement de détresse tandis que, la tresse rouge dans son sillage telle la queue d'une comète et peignoir ouvert, iel passa a côté de Kilanna et Herzebel.
-Je vais à la chasse aux aliments!!! Ils ne trouvent plus le ''buffet'' Des bras supplémentaires ne seraient pas de refus sinon je me débrouillerai!!!
Annonce t'iel jovialement tandis qu'il ouvre la porte de la loge et fait trois pas sans regarder, percutant Elia et se recevant une tartine pleine de confiture sur le torse nu ou elle y resta collée tandis q'avec une sveltesse et une présence d'esprit indéniable, il fait basculer la malheureuse juste assez pour la retenir de s'étaler lamentablement au sol. La ourde tresse rouge glisse soyeusement, caressant la joue de la jeune fille tandis que deux prunelles noires et douces captent son champ de vision.
-Et bien, il est rare que je puisse dire que ca colle entre moi et une dame si rapidement... Enchanté, '' mademoiselle''
D'un geste gracieux, l'acteur la remis sur ses pieds, toujours aussi jovial, ignorant la tartine encore collée sur sa peau d'albâtre.
-Pardonnez ma maladresse...
Invité
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Elle l'avait entendu avant de le voir. Ses sens captant naturellement tout ce qui allait et venait autour d'elle, dans une sorte de bulle imaginaire l'entourant a trois cent soixante degrés. Il etait difficile de la prendre par surprise. Dés que quelque chose entrait dans ce périmètre, elle le sentait. Et comme elle etait toujours sur ses gardes, naturellement, c’était peu probable de vraiment la prendre a défaut.
Il apparut depuis le coté qu'elle attendait, mais un brin plus rapidement que prévu. Elle pouvait se le prendre, ou l'esquivait avec une certaine agilité, mais avec autant de monde aux alentours, ca aurait été un peu trop visiblement qu'elle fasse une sorte de roulade ou un spin au millimètre, comme pour éviter une lame. C'etait un lieu de fete, autant en profiter.
Elle amortit le choc avec l'épaule, mimant d’être hébété avec une perfection surnaturelle. Non. C'etait le réalisme. Elle reproduisait la réalité. Elle le sentit la retenir, l'observer, et elle perdit calme un bref instant. Il avait le meme air que sur scene, et pourtant, son coté masculin la révulsa si fortement qu'elle manqua de vraiment se défendre. Elle avait déjà le chemin tout tracé jusqu'à sa carotide en visuel. Heureusement, il ne la retint pas trop longtemps et elle recula aussitôt dans une posture un poil trop défensive a son goût, quand elle s'en rendit compte.
- Hum, désolé messire....oh, vous êtes...
Elle fit comme si elle venait juste de se rendre compte de son identité. Elle mima la gène avec aisance, et laissa son visage rosir légèrement, avant de tourner les yeux vers les voix juste dans la direction d’où provenait l'acteur. Elle entendait distinctement chaque personne qui ouvrait et fermait la bouche, les différentes odeurs de stresse et d'excitation. La sueur. Le trouble.
- Je n'aurais pas du passer par ici, je me suis trompée pour retrouver ma place.
Elle posa les yeux sur sa tartine et soupira. Il n'etait absolument pas question qu'elle repose le moindre doigt dessus, maintenant que ce...personnage, l'avait salit de son existence. Beurk.
- … ?
Elle le fixa soudainement. Les sons et odeurs qui émanaient de lui été...différents. Il n’était définitivement pas humain, de cela elle aurait pu immédiatement jurer. Elle détourna le regard après dix bonnes secondes, histoire de ne pas paraître trop insistante, et fit un pas de coté.
- Je ne voulais pas vous déranger ainsi durant la représentation. C'est assez nouveau pour moi. Pardon, si je vous ai déconcentré.
Elle n’était pas a l'aise. Par son regard, sa présence. Elle avait envie de s'éloigner. Aussi, elle s'inclina dans une petite courbette volontairement maladroite, les yeux vers le sol, comme un signe de soumission devant une personne d'un rang plus élevé.
- B...bonne chance pour la suite de la piece. J'ai hate de la voir.
Elle le dépassa et s'éloigna d'un pas presque trop vif pour être totalement discret. Elle n'etait qu'une jeune femme normale ici, et pourtant, les muscles de ses jambes l'avaient trop vivement porté pour que ce soit une maladroite. Elle avait très clairement une dextérité dans la forme de sa silhouette disparaissant vers les gradins.
Gradins qu'elle fut soulagée de retrouver. Elle hésita meme a partir tout court, mais une certaine forme de curiosité la prit. Sans doute que la deuxieme partie de la piece parviendrait a la convaincre de ne pas trainer plus longtemps ensuite...
Il apparut depuis le coté qu'elle attendait, mais un brin plus rapidement que prévu. Elle pouvait se le prendre, ou l'esquivait avec une certaine agilité, mais avec autant de monde aux alentours, ca aurait été un peu trop visiblement qu'elle fasse une sorte de roulade ou un spin au millimètre, comme pour éviter une lame. C'etait un lieu de fete, autant en profiter.
Elle amortit le choc avec l'épaule, mimant d’être hébété avec une perfection surnaturelle. Non. C'etait le réalisme. Elle reproduisait la réalité. Elle le sentit la retenir, l'observer, et elle perdit calme un bref instant. Il avait le meme air que sur scene, et pourtant, son coté masculin la révulsa si fortement qu'elle manqua de vraiment se défendre. Elle avait déjà le chemin tout tracé jusqu'à sa carotide en visuel. Heureusement, il ne la retint pas trop longtemps et elle recula aussitôt dans une posture un poil trop défensive a son goût, quand elle s'en rendit compte.
- Hum, désolé messire....oh, vous êtes...
Elle fit comme si elle venait juste de se rendre compte de son identité. Elle mima la gène avec aisance, et laissa son visage rosir légèrement, avant de tourner les yeux vers les voix juste dans la direction d’où provenait l'acteur. Elle entendait distinctement chaque personne qui ouvrait et fermait la bouche, les différentes odeurs de stresse et d'excitation. La sueur. Le trouble.
- Je n'aurais pas du passer par ici, je me suis trompée pour retrouver ma place.
Elle posa les yeux sur sa tartine et soupira. Il n'etait absolument pas question qu'elle repose le moindre doigt dessus, maintenant que ce...personnage, l'avait salit de son existence. Beurk.
- … ?
Elle le fixa soudainement. Les sons et odeurs qui émanaient de lui été...différents. Il n’était définitivement pas humain, de cela elle aurait pu immédiatement jurer. Elle détourna le regard après dix bonnes secondes, histoire de ne pas paraître trop insistante, et fit un pas de coté.
- Je ne voulais pas vous déranger ainsi durant la représentation. C'est assez nouveau pour moi. Pardon, si je vous ai déconcentré.
Elle n’était pas a l'aise. Par son regard, sa présence. Elle avait envie de s'éloigner. Aussi, elle s'inclina dans une petite courbette volontairement maladroite, les yeux vers le sol, comme un signe de soumission devant une personne d'un rang plus élevé.
- B...bonne chance pour la suite de la piece. J'ai hate de la voir.
Elle le dépassa et s'éloigna d'un pas presque trop vif pour être totalement discret. Elle n'etait qu'une jeune femme normale ici, et pourtant, les muscles de ses jambes l'avaient trop vivement porté pour que ce soit une maladroite. Elle avait très clairement une dextérité dans la forme de sa silhouette disparaissant vers les gradins.
Gradins qu'elle fut soulagée de retrouver. Elle hésita meme a partir tout court, mais une certaine forme de curiosité la prit. Sans doute que la deuxieme partie de la piece parviendrait a la convaincre de ne pas trainer plus longtemps ensuite...
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Ah. Une histoire de nourriture... Elle se souciait plus de la fausse que de la vraie, pour être honnête. Le métier qui rentrait ? Avec un signe de tête silencieux à sa camarade, elle se leva. L'actrice préféra s'éloigner... Kilanna soupira. Elle allait probablement encore aller répandre des ragots. Ou juste se faire des films toute seule. Honnêtement, Kila préfèrerait le deuxième scénario. Enfn. Quoi qu'il en soit, elle serait la seule assistante.
- OK, j'arrive.
Néanmoins, au moment de le rejoindre, elle faillit lui rentrer dedans. Il s'était arrêté sans prévenir.
- Qu'est-ce que...
Puis elle vit l'inconnue. Ah. Voilà donc la cause des perturbations. Prenant un peu de recul, elle assista silencieusement à l'échange, sans les interrompre. Halewyn ne pouvait pas ignorer sa présence, puisqu'elle l'avait presque percuté, mais si la jeune femme, elle, ne laissait pas la présence de l'hybride la déranger, ce serait toujours cela de gagné.
Néanmoins, lorsque la demoiselle se fut éloignée, Kilanna revint. Arrachant ce qui restait de la tartine, elle la tendit à son complice :
- J'imagine que tu as gagné ça, au moins. Et pour le reste... J'ai un truc à régler avant.
Elle partit donc à la poursuite de l'inconnue. D'accord, en temps normal, ce que son public faisait pendant sa pause n'aurait eu absolument aucune importance pour elle. Mais, dans ce cas précis, une interaction avec un autre membre de la troupe risquait d'avoir entaché son expérience. Et tous les membres étaient associés les uns aux autres... Ce fut donc par pur égoïsme qu'elle alla s'assurer que la spectatrice n'avait pas été secouée. Ou se cherchait-elle des excuses ? Je vous mets au défi d'essayer de le savoir !
Elle la rejoignit, surprise que le reste du public la laisse passer, puis, d'un signe discret, attira son attention.
- Bonjour. Excusez-moi, mais j'ai vu ce qui vient de se passer... Tout va bien ? Je vous assure, il ne voulait pas vous embarrasser. Il est... Il ne se rend pas compte qu'il peut avoir un comportement inapproprié. Je m'excuse à sa place.
- OK, j'arrive.
Néanmoins, au moment de le rejoindre, elle faillit lui rentrer dedans. Il s'était arrêté sans prévenir.
- Qu'est-ce que...
Puis elle vit l'inconnue. Ah. Voilà donc la cause des perturbations. Prenant un peu de recul, elle assista silencieusement à l'échange, sans les interrompre. Halewyn ne pouvait pas ignorer sa présence, puisqu'elle l'avait presque percuté, mais si la jeune femme, elle, ne laissait pas la présence de l'hybride la déranger, ce serait toujours cela de gagné.
Néanmoins, lorsque la demoiselle se fut éloignée, Kilanna revint. Arrachant ce qui restait de la tartine, elle la tendit à son complice :
- J'imagine que tu as gagné ça, au moins. Et pour le reste... J'ai un truc à régler avant.
Elle partit donc à la poursuite de l'inconnue. D'accord, en temps normal, ce que son public faisait pendant sa pause n'aurait eu absolument aucune importance pour elle. Mais, dans ce cas précis, une interaction avec un autre membre de la troupe risquait d'avoir entaché son expérience. Et tous les membres étaient associés les uns aux autres... Ce fut donc par pur égoïsme qu'elle alla s'assurer que la spectatrice n'avait pas été secouée. Ou se cherchait-elle des excuses ? Je vous mets au défi d'essayer de le savoir !
Elle la rejoignit, surprise que le reste du public la laisse passer, puis, d'un signe discret, attira son attention.
- Bonjour. Excusez-moi, mais j'ai vu ce qui vient de se passer... Tout va bien ? Je vous assure, il ne voulait pas vous embarrasser. Il est... Il ne se rend pas compte qu'il peut avoir un comportement inapproprié. Je m'excuse à sa place.
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Encore un peu sous tension suite au petit instant de battement qu'elle venait de vivre, elle songea qu'elle aurait du garder d'avantage son sang froid. Elle n'avait bien sur rien laissé paraître, mais c’était suffisant d'avoir sentit sa tension pour avoir envie de se reprendre. Non. Elle devait être d'avantage maîtresse d'elle même, surtout avec ce qui l'attendait.
Après son retour de Mael, elle avait rapidement repris la direction de Liberty pour reprendre sa dernière mission, avec quelques liens déjà fait, mais également beaucoup a gagner. Si elle voulait etre performante, elle devait etre une arme effilé, sans doute, sans crainte, avec un contrôle parfait de son corps et de ses émotions.
Elle aperçut l'actrice approcher avant même qu'elle ne commence a faire s'écarter le public pour braver l'estrade. Elle posa les yeux sur elle négligemment, en se rendant vite compte qu'elle venait dans sa direction. Elle la regarda d'un air interrogatif, alors qu'elle lui faisait signe d'approcher. Elle glissa sur le banc, pour s'approcher un peu, et se redressa, toujours assise.
- Bonjour ?
C'etait bien l'actrice qu'elle avait trouvée un peu hésitante, surtout au début. Elle etait assez jolie, avec ses cheveux longs, son air légèrement ingénue, et son regard assez marqué. Elia lui répondit d'un de ses sourires mignon, plus intense que celui qu'elle avait fait, totalement faux, a l'homme qu'elle avait heurté précédemment.
- Vous etes venue juste pour ça ? C'est moi qui n'a pas regardé ou j'allais, il n'y a pas de soucis.
Si ca avait été Cyradil, elle lui aurait caressé la joue gentiment comme pour la rassurer et qu'il n'y avait pas a s'en faire, mais en l’occurrence, elle inclina simplement la tete comme pour accepter que l'affaire etait entendu. Elle releva ses grands yeux noirs sur le visage devant elle.
- Alors ne perdez pas votre temps avec cette histoire. Vous avez encore un spectacle a assurer, n'est ce pas ? Je ne voudrais pas avoir ruiné la fete.
Et se souvenant encore une fois de l'impression d'un manque d'assurance venant d'elle, sans doute a l'idée de se représenter devant une foule aussi importante, avec la pression d'une équipe derriere elle. Quelque chose qu'Elia, elle ne pouvait pas connaître. C'etait ça de travailler en solo.
- Prenez une grande respiration et continuez comme tout a l'heure, vous etiez très bien, et je suis sur que la suite sera encore meilleure, j'ai hate de vous voir.
Et en reculant un peu, pour lui montrer qu'elle n'avait pas besoin de perdre plus son temps en excuse alors qu'il n'y avait pas de soucis, elle acheva par une derniere phrase, simplement, pour clore le sujet.
- ...Dites lui que je ne lui en veux pas, qu'il vous offre la meilleure replique, pour vous embélir encore plus.
D'un dernier sourire, elle ajusta sa place, prete a répondre, ou bien a retourner son attention sur la scene aprés son départ, quand elle serait parti pour reprendre le second acte.
Après son retour de Mael, elle avait rapidement repris la direction de Liberty pour reprendre sa dernière mission, avec quelques liens déjà fait, mais également beaucoup a gagner. Si elle voulait etre performante, elle devait etre une arme effilé, sans doute, sans crainte, avec un contrôle parfait de son corps et de ses émotions.
Elle aperçut l'actrice approcher avant même qu'elle ne commence a faire s'écarter le public pour braver l'estrade. Elle posa les yeux sur elle négligemment, en se rendant vite compte qu'elle venait dans sa direction. Elle la regarda d'un air interrogatif, alors qu'elle lui faisait signe d'approcher. Elle glissa sur le banc, pour s'approcher un peu, et se redressa, toujours assise.
- Bonjour ?
C'etait bien l'actrice qu'elle avait trouvée un peu hésitante, surtout au début. Elle etait assez jolie, avec ses cheveux longs, son air légèrement ingénue, et son regard assez marqué. Elia lui répondit d'un de ses sourires mignon, plus intense que celui qu'elle avait fait, totalement faux, a l'homme qu'elle avait heurté précédemment.
- Vous etes venue juste pour ça ? C'est moi qui n'a pas regardé ou j'allais, il n'y a pas de soucis.
Si ca avait été Cyradil, elle lui aurait caressé la joue gentiment comme pour la rassurer et qu'il n'y avait pas a s'en faire, mais en l’occurrence, elle inclina simplement la tete comme pour accepter que l'affaire etait entendu. Elle releva ses grands yeux noirs sur le visage devant elle.
- Alors ne perdez pas votre temps avec cette histoire. Vous avez encore un spectacle a assurer, n'est ce pas ? Je ne voudrais pas avoir ruiné la fete.
Et se souvenant encore une fois de l'impression d'un manque d'assurance venant d'elle, sans doute a l'idée de se représenter devant une foule aussi importante, avec la pression d'une équipe derriere elle. Quelque chose qu'Elia, elle ne pouvait pas connaître. C'etait ça de travailler en solo.
- Prenez une grande respiration et continuez comme tout a l'heure, vous etiez très bien, et je suis sur que la suite sera encore meilleure, j'ai hate de vous voir.
Et en reculant un peu, pour lui montrer qu'elle n'avait pas besoin de perdre plus son temps en excuse alors qu'il n'y avait pas de soucis, elle acheva par une derniere phrase, simplement, pour clore le sujet.
- ...Dites lui que je ne lui en veux pas, qu'il vous offre la meilleure replique, pour vous embélir encore plus.
D'un dernier sourire, elle ajusta sa place, prete a répondre, ou bien a retourner son attention sur la scene aprés son départ, quand elle serait parti pour reprendre le second acte.
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Le décalage entre les gestes et le regard de l'inconnue est tellement flagrant qu'Halewyn hausse un sourcil, une vague chaleur remontant dans sa poitrine. Mais ce n'est pas sa faute,le regard dévie sur la tartine. Ah? Mais elle n'aura pas de poils voyons, il est glabre. L'acteur va pour le lui dire, mais l'inconnue lui tourne le dos en prenant les jambes à son cou. pourquoi elle s'esquive comme ca? Le démon n'a pas le temps de réféchir à la question que Kilanna apparait soudainement à côté de lui.
Halewyn sursaute quand elle lui arrache l'aliment du torse.
Mais je n'ai rien fait!!! Se défend t'il avant de croquer carrément dans cette dernière, machouillant penseivement tout en ayant une idée du diable.
*******
Au moment ou la dernière phrase d'Elia traverse l'air, Halewyn apparait sur la scène en bas, tartine toujours à la main. Portant la main à son front, il regarde alors les gradins, cherchant manifestement quelqu'un...
Ah non... Ah... Eurk, ils pourraient se trouver une chambre' quoique.... Non, mais qu'est ce qu'un gamin peut bien foutre ici? En espérant qu'ils ne jouent pas la finale numéro cinq par les Abysses!!!! Mais oèu sont elles???
AH!
La grande bouche s'étire en un large sourire tandis qu'il pointe Kılanna et Elia du doigt, enfournant de manière surnaturellement classe le reste entier de sa tartine!
Il y a une exclamation près des femmes quand une préposée aux stands, une gamine à peine dans la fleur de l'âge, se faufile dans les gradins avec des saucisses briochées sur un plateau fixé à son cou et èa sa taille.
-Mademoiselle, pour vous, en compensation de cette délicieuse tartine. Vous êtes aussi invitées dans les coulisses post représentation pour que l'équipe puisse se faire pardonner leur maladresse. Kılanna, vous en voulez une aussi?
Halewyn sursaute quand elle lui arrache l'aliment du torse.
Mais je n'ai rien fait!!! Se défend t'il avant de croquer carrément dans cette dernière, machouillant penseivement tout en ayant une idée du diable.
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Au moment ou la dernière phrase d'Elia traverse l'air, Halewyn apparait sur la scène en bas, tartine toujours à la main. Portant la main à son front, il regarde alors les gradins, cherchant manifestement quelqu'un...
Ah non... Ah... Eurk, ils pourraient se trouver une chambre' quoique.... Non, mais qu'est ce qu'un gamin peut bien foutre ici? En espérant qu'ils ne jouent pas la finale numéro cinq par les Abysses!!!! Mais oèu sont elles???
AH!
La grande bouche s'étire en un large sourire tandis qu'il pointe Kılanna et Elia du doigt, enfournant de manière surnaturellement classe le reste entier de sa tartine!
Il y a une exclamation près des femmes quand une préposée aux stands, une gamine à peine dans la fleur de l'âge, se faufile dans les gradins avec des saucisses briochées sur un plateau fixé à son cou et èa sa taille.
-Mademoiselle, pour vous, en compensation de cette délicieuse tartine. Vous êtes aussi invitées dans les coulisses post représentation pour que l'équipe puisse se faire pardonner leur maladresse. Kılanna, vous en voulez une aussi?
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Ah, alors, elle s'était donné cette peine pour rien ? Elle s'était faite remarquer pour rien ? Et même, elle n'avait pas pris le temps de s'expliquer face à Halewyn POUR RIEN ?! Non, ça n'allait pas se passer comme ça ! Elle avait une fierté, non mais !
- Vous n'avez rien gâché, c'est moi qui suis venue.
Elles n'eurent pas le temps d'argumenter plus longtemps que la fameuse cause de l'incident refit des siennes. Pourquoi les désignait... Ah.
- Hum, vous avez appris un texte, non ? J'en connais un qui serait parfaitement capable de parler comme ça...
Néanmoins, elle n'avait toujours pas répondu. Et elle ne comptait pas le faire. Ou du moins, pas tout de suite. Elle attendrait d'abord que sa compagne improvisée parle. Ensuite, elle aviserait. Elle l'accompagnerait, ou pas, suivant comment elle interprèterait son attitude. Elle ferait ce qu'elle penserait que la demoiselle préférerait.
- Vous n'avez rien gâché, c'est moi qui suis venue.
Elles n'eurent pas le temps d'argumenter plus longtemps que la fameuse cause de l'incident refit des siennes. Pourquoi les désignait... Ah.
- Hum, vous avez appris un texte, non ? J'en connais un qui serait parfaitement capable de parler comme ça...
Néanmoins, elle n'avait toujours pas répondu. Et elle ne comptait pas le faire. Ou du moins, pas tout de suite. Elle attendrait d'abord que sa compagne improvisée parle. Ensuite, elle aviserait. Elle l'accompagnerait, ou pas, suivant comment elle interprèterait son attitude. Elle ferait ce qu'elle penserait que la demoiselle préférerait.
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