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    Thylie Wildfire | La Flamme Éternelle [Terminé] JvNj4PH
    Gazette des cendres
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    Invité
    Invité
    Anonymous
  • Mar 26 Juil - 12:48
    nom du personnage
    Race : Onie
    Sexe : Féminin
    Âge : 25 ans
    Métier : Mercenaire
    Taille & poids : 2m03 | 100 kgs
    Alignement : Neutre
    Faction : Citoyenne du monde
    Rang : D - Vagabond
    Religion : Faya’Edei | La Voie du Feu
    Avatar : Jeska MTG

    Pouvoirs et objets

    Vocation - Guerrier - Combattant

    Force surhumaine | Palier 3 : 3500 pts

    Renforcement de la constitution physique | Palier 1 : 500 pts

    Prouesse d’armes | peut enflammer une arme grâce à sa magie du feu : 500 pts

    Régénération | Palier 1 : 250 pts

    Odorat augmenté | Palier 2 : 450 pts

    Vue augmentée | Palier 2 : 450 pts

    Ouïe augmentée | Palier 2 : 450 pts

    Hors vocation

    Communication avec les animaux | Palier 1 : 500 pts

    Magie du feu | Palier 1 : 300 pts

    TOTAL : 4900 pts

    OBJETS

    Potion Soins intermédiaires


    Firetongue :
    l’épée de mon clan ramassée auprès du cadavre de mon père. Cette lame étrange est crénelée et courte mais combinée avec la magie du feu, elle peut s’enflammer pour en faire une arme mortelle.

    Le sceptre de flammes :
    ce sceptre taillé dans le bois noir d’un bouleau frappé par la foudre est le symbole sacré de la Faya’Edei, la voie du feu, une ancienne croyance venue du fond des âges. Porté par la Faya’Shila, il atteste de sa prééminence sur les flammes et aujourd’hui je suis la seule à pouvoir encore le brandir.

    Description physique et mentale

    - Hey, Jens qu’est c’qu’est arrivé à ton œil ?
    - Bah c’la Thylie…
    - C’te brute sauvage ? T’es ben bête de t’y frotter dis donc. Tu t’souviens pas de comment elle a rossé une dizaine de soudards reikois parce qu’ils l’avaient traitée d’grande cornue à la taverne ?
    - Si, si ben sûr qu’j’me souviens.
    - Alors t’es plus bête que j’le pensais. Qu’est c’qui t’a pris d’te frotter à elle ?
    - …
    - Beh alors dis moi.
    - Ben j’l’ai vu toute nue.
    - Ah ouais ?
    - Vrai d’vrai j’t’assure. Tous les jours elle va la rivière pour s’laver. J’peux t’dire qu’elle est pas farouche et pas prude la donzelle, et c’est pas qu’une grande brutasse.
    - Comment ça ?
    - Ben j’veux dire qu’c’est un joli brin d’fille dans son genre. L’a pas un pet de graisse et s’dégage d’elle une force qui peut pas t’laisser indifférent. J’ai jamais vu une femme aussi impressionnante. Ah pis elle a des dessins partout sur l’corps. Mais des trucs qui s’effacent pas comme ses peintures d’guerre qu’elle se barbouille sur le visage avant de partir à la bataille. Et ses cheveux, quand elle les détache on dirait une langue de flammes qui lui tombe jusqu’au milieu du dos. P’tain j’te jure qu’elle est belle et pas si effrayante que ça finalement.
    - Mouais enfin la dernière fois qu’on s’est battu contre les adorateurs de titans, elle est r’venue couverte d’sang et d’viscères. Mais ça explique pas c’qu’est arrivé à ton œil.
    - Ben elle m’a vu quand elle est sortie de l’eau. J’crois qu’en fait elle en avait rien à foutre d’moi. Mais bon j’me suis dit que p’t’être. J’me suis approché alors qu’elle se rhabillait et j’l’ai touché…
    - Mazette tu lui a touché quoi.
    - Ben l’fessier pardi sauf qu’elle m’a mis une beigne qu’j’ai cru qu’ma tête allait s’decoller d’mon col. Le temps que j’reprenne mes esprits elle était partie.
    - P’tain t’sais qu’elle aurait pu t’tuer !
    - Ouais mais j’peux t’jurer qu’j’ai jamais touché quelque chose d’aussi ferme…

    ********************

    Vous voulez que je vous parle de Thylie ? La première fois que je l’ai vu, je dois dire qu’elle m’a fait un peu peur. Elle est impressionnante, mais pas uniquement à cause de son physique. Et puis ça n’était pas la première fois que je croisais un oni. Certains sont même bien plus massifs qu’elle mais elle dégage une forme de puissance intimidante et quand elle pose son regard noir comme le charbon sur vous… vous détournez les yeux.

    Comme beaucoup de personnes j’ai pensé que c’était une sauvage, une de ces barbares vivant en marge de la civilisation. Il faut dire qu’elle ne connaît pas vraiment les bonnes manières Thylie, elle agit avec une forme d’insouciance innocente vis à vis des règles de bienséance. C’est un peu perturbant je dois dire pour des personnes qui se considèrent civilisées.

    Quand est-ce que j’ai changé d’avis ? Lorsque cet ivrogne a commencé à me peloter avec insistance. Je l’ai repoussé mais il a insisté, encouragé par les rires gras de ses amis. Alors il m’a jeté au sol et je crois qu’il m’aurait frappé si elle n’était pas intervenue. Elle l’a envoyé valdinguer de l’autre côté de la salle comme s’il s’agissait d’un vulgaire fétu de paille et personne n’a osé soutenir son regard. Elle m’a attrapé par le bras pour m’aider à me relever et là, elle m’a souri. C’était… tellement imprévu que j’en suis restée bouche bée avant de bredouiller un merci maladroit.

    J’ai passé la nuit avec elle et c’était vraiment magique. Quand vous êtes dans ses bras, vous avez réellement l’impression que rien ne peut vous arriver. Elle est tellement… forte, mais aussi incroyablement tendre dans l’intimité. Je n’ai jamais pris autant de plaisir à caresser un corps étranger, à tracer du bout des doigts les formes délicates de ses muscles déliés et souples. Même ses cornes sont fines, lisses et élégantes. Elle porte aussi d’étranges dessins sombres sur sa peau pâle, tout en courbes complexes et finement tracés. Elle m’a dit qu’ils symbolisaient la force, la pureté et l’éternité. Moi je trouvais qu’ils étaient juste beaux.

    Elle a une relation étrange avec le feu. Parfois elle s’abandonnait dans la contemplation des flammes de l’âtre. Elle leur parlait. Je sais, cela peut paraître étrange mais je suis sure qu’elle leur parlait dans une langue inconnue semblable au crépitement du bois qui se consume et les flammes lui répondaient, dansant au rythme de sa voix.

    Elle est restée près de moi une semaine. J’aurai voulu la garder plus longtemps, essayer de comprendre pourquoi elle était parfois si mélancolique et si secrète sur ses origines. Mais je crois que personne ne peut la retenir, elle est libre comme le vent, profitant de l’instant présent comme si c’était le dernier et refusant de s’attacher trop longtemps. Comme si elle craignait de perdre à nouveau quelque chose…

    Je n’ai fait qu’effleurer ce qu’elle est vraiment mais elle est bien plus complexe que vous pouvez l’imaginer. Elle peut être brutale et violente, mais aussi tendre et touchante. Un feu étrange brûle en elle, qui peut se déchaîner pour tout consumer sur son passage, mais aussi qui réchauffe et qui rassure.

    Je crois que je ne l’oublierai jamais…

    Histoire ou test-rp

    Je suis née au sein d’un tribu nomade onie vivant dans les étendues sauvages situées au nord de Sancta dans la principauté de Shoumeï. En été nous suivions les troupeaux dans les pâturages et les forêts tandis qu’en hiver nous nous installions sur les côtes à l’abri des fjords dans lesquels nous pêchions de quoi subsister. C’était une vie dure mais simple loin des turpitudes d’un monde trop souvent ravagé par la guerre.

    Et j’étais simplement heureuse.

    ********************

    Je crache sur le sol sablonneux un mélange au goût de fer de salive et de sang mêlés. Je peux sentir sa présence imposante au-dessus de moi alors qu’il me toise, me jauge, me juge. Lui, c’est mon père, le chef de notre clan, celui qui guide la destinée des nôtres depuis qu’il a vaincu son prédécesseur en combat singulier.

    Je me relève prestement, me jetant sur lui en écartant les bras pour le saisir à la taille. Il est si puissant, si fort et moi si frêle du haut de mes douze ans et pourtant je pousse de toutes mes forces pour essayer de le faire tomber. Il a vacillé, j’en suis presque sure, mais je n’ai pas le temps de savourer cette petite victoire que mes pieds quittent le sol alors qu’il me soulève comme un vulgaire fétu de paille. Je retombe lourdement sur le sable, retenant un gémissement, le regard brouillé par des larmes de douleur. J’essaie de me relever, mais un coup de pied dans le flanc m’envoie valdinguer au loin, me coupant la respiration. J’ai les jambes en coton, l’esprit embrumé et les bras en feu. Je tente pourtant de me remettre debout une nouvelle fois, mais j’ai l’impression que mes muscles ont abdiqué, qu’ils ne veulent plus répondre aux ordres impérieux de ma volonté.

    Et j’entends les pas lourds de mon père qui s’éloigne sans un mot.

    Je parviens à rouler sur le sol, bras en croix, observant la frondaison des grands arbres. Chaque respiration est un supplice, ce qui signifie sans nul doute qu’il m’a cassé quelques côtes au passage. Est-ce que je lui en veux d’être aussi dur avec moi ? Non, car je sais qu’il fait çà pour une seule et unique raison, pour que je sois forte et inflexible comme lui, pour que je puisse toujours marcher la tête haute sans craindre le danger…

    ******************

    Je sens la main de ma mère sur mon avant-bras, légère comme une plume.

    Thylie, ne cherche pas à forcer.

    Je perçois un sourire qui illumine son visage.

    Tu es comme ton père, impétueuse et impatiente, irréfléchie parfois, mais tu dois apprendre à te maîtriser.

    Je plonge de nouveau mon regard dans les flammes du brasier incandescent qui nous fait face. Ma mère est la Faya’Shila de mon clan, elle parle aux flammes et lit dans le feu, perpétuant une des croyances ancestrales des miens, le Faya’Edei, la voie du feu. Mes mains sont si proches des flammes que j’ai l’impression qu’elles vont me consumer, mais je les baisse en soupirant, agacée par mes échecs répétés à leur imposer ma volonté.

    Ma mère approche sa main, et les flammes s’apaisent comme par magie, comme s’il s’agissait d’un simple animal apprivoisé et docile. Cela ne fait qu’augmenter ma frustration et ma colère. Colère envers moi-même et mon incapacité à faire quelque chose qui semble si simple.

    De nouveau sa voix rassurante qui s’élève.

    Tu es comme beaucoup d’autres Thylie. Tu crois que le feu n’est qu’une force destructrice qu’il faut plier à sa volonté. Mais c’est faux. Le feu nous éclaire quand nous sommes plongés dans le noir, le feu nous réchauffe lorsque le froid nous engourdit, le feu purifie ce qui doit l’être.

    Elle me force à la regarder et caresse mon visage.

    J’ai lu dans les flammes Thylie.

    Son sourire s’efface brusquement, et son ton devient étrangement grave.

    Tu es la flamme éternelle de notre clan…

    Ce jour-là je n’ai pas compris ce qu’elle voulait dire.

    Et je m’en veux aujourd’hui de ne pas avoir su interpréter ses paroles.

    ********************

    Je tends mon bras, serrant le manche du javelot, prête à la projeter sur le grand cerf qui broute une touffe d’herbe fraîche. Il ne m’a pas entendu approcher et je me suis placée sous le vent, mais le javelot est resté dans ma main.

    Je lève le visage vers le ciel en même temps qu’il hume l’air de son museau. Il le sent autant que moi, le danger qui fait remonter un frisson glacé le long de mon échine alors qu’un silence pesant s’installe brusquement. Une peur primale se fait jour dans mon cœur venant du fond des âges, d’un temps où nous étions proies et pas prédateurs. Soudain le ciel s’obscurcit, une ombre immense se lève et cache le soleil. Mon cœur s’emballe et je dois me maîtriser pour ne pas paniquer. Quelque chose approche, j’entends le bruit d’un pas lourd dans le lointain, un pas qui détruit tout sur son passage, mais ce sont les cris qui me tirent de la paralysie qui s’est emparée de moi.

    Des cris qui proviennent du campement installé près de Sancta pour y troquer le produit de nos chasses.

    Je cours, je crois que je n’ai jamais couru aussi vite de toute ma vie en direction de là où se trouvent les miens. Plus je me rapproche, plus j’entends les cris de terreur, un bruit diffus de bataille et le tonnerre qui gronde alors qu’aucun nuage ne vient troubler l’azur. Je sens les larmes me monter aux yeux, j’accélère encore sans me soucier des branches qui me fouettent le visage et des ronces qui entaillent ma peau.

    Tout d’un coup je chute, me repliant instinctivement sur moi-même pour rouler-bouler jusqu’en bas d’un petit escarpement. Je me relève en grimaçant et mon regard se perd sur un spectacle de désolation qui me brise le cœur à jamais. Une cicatrice béante a coupé la forêt en deux alors que je vois une silhouette immense disparaître dans le lointain ne laissant que mort et désolation dans son sillage. Sa route a traversé notre camp et des créatures abjectes achèvent les mourants et se repaissent des défunts, charognards immondes suivant la mort en marche. Je serre les poings, j’ai mal, tellement mal, mais une rage insatiable chasse soudain ma tristesse et ma stupeur. Je prends un javelot dans chaque main et je me jette sur ceux qui dévorent les miens. Je ne suis plus que fureur et je tue jusqu’à que je sois le seul être encore debout au milieu d’un champ de ruines. J’erre alors comme une âme en peine, des larmes amères se mêlant au sang qui souille mon visage.

    Jusqu’à ce que je les trouve.

    Papa, maman. Je tombe à genoux sur le sol et mon cri retentit longtemps dans le lointain. Ils sont tombés, côte à côte, victimes de la mort en marche en tentant de protéger les nôtres. Je croyais pourtant qu’ils étaient invincibles mais je me trompais.

    Je ne sais plus combien de temps je suis resté prostrée près de leur cadavre. J’ai allumé un immense brasier et j’ai traîné les corps de tous ceux de mon clan, hommes, femmes, enfants pour les offrir aux flammes, pour que leurs âmes rejoignent le royaume du feu pour y être purifiées. Je suis restée longuement à regarder les flammes, humant l’odeur âcre et insupportable de la fumée des corps embrasés. J’ai songé à me jeter dans le feu rageur, pour les rejoindre, soulager ma peine et ma souffrance. Mais je ne l’ai pas fait, car le souffle froid de la vengeance a ranimé mon cœur meurtri et j’ai juré devant le brasier que je vengerai les miens.

    Au moins la piste serait aisée à suivre. J’ai pris l’épée de mon père et le bâton de Faya’Shila de ma mère, les signes d’autorité d’un clan qui n’existait plus qu’à travers mon unique personne. Et je suis partie en courant à la poursuite de ceux qui avaient massacré les miens.

    ********************

    J’ai pris la route du sud, suivant la cicatrice béante laissée par le titan et ses sbires. Tout n’était que mort et désolation sur son sillage, rien ne survivait à son appétit sans limite. Je voulais le rattraper, mue par une rage indicible, pour venger les miens ou, plus prosaïquement pour mourir et les rejoindre tous. Je n’ai jamais réussi et je me suis retrouvée mêlée au flot des réfugiés qui fuyait Sancta. J’étais épuisée et affamée, couverte de sang et de viscères, comme privée de toute volonté propre. J’aurai surement rejoint la masse de ceux qui moururent sur le bord de la route si le destin n’en avait pas décidé autrement…

    Destin joueur qui a mis sur ma route Gerda Grisepierre, une marchande ambulante naine qui, parfois, venait jusqu’aux terres de mon clan pour commercer. J’aimais particulièrement ses bijoux de cornes et j’étais souvent la première à me précipiter pour l’accueillir. Ce jour-là, je ne l’ai pas reconnu, mais elle m’a prise sous son aile, chargée tant bien que mal dans sa cariole. J’étais vide, l’impression que l’on m’avait tout ôté, que je n’avais plus rien et que la vie ne valait plus la peine d’être vécue. La nuit suivante j’ai pleuré. J’ai pleuré si longtemps qu’au petit matin mon corps était incapable de produire de nouvelles larmes.

    J’ai compris alors. J’ai compris pourquoi mon père était si dur avec moi, pourquoi il m’entrainait avec acharnement jusqu’à ce que je ne sois plus capable de tenir sur mes jambes. Il l’a fait car seul les forts peuvent survivre dans ce monde où la faucheuse rôde à chaque coin de rue. Ma mère savait, elle avait vu dans les flammes ce qui allait se produire. Elle savait que je serai la seule survivante de notre clan, endossant la lourde responsabilité de porter sur mes épaules le poids de traditions séculaires et la mémoire de tout un clan. C’est pour cela qu’elle m’avait appelé un jour la Flamme Éternelle, mais j’étais trop aveuglée par le bonheur d’une vie simple pour pouvoir interpréter ses paroles prémonitoires.

    Mais j’ai surtout compris que je n’avais pas le droit de mourir sans me battre, car avec moi disparaitrait le souvenir de mon clan.

    ********************

    Lorsque les forces armées luttant contre les titans et leurs sbires ont été démobilisées alors que la lassitude d’une guerre trop longue avait mené à un statuquo précaire, je me suis retrouvée à la rue. Les titans avaient été repoussés mais pour moi ils n’avaient pas payé pour leurs crimes. Le brasier de la vengeance ravageait toujours mon cœur et mon âme, menaçant de me faire sombrer dans la folie. Mais que pouvais-je faire seule contre des forces qui me dépassaient ?

    Je suis devenue une mercenaire, une épée à louer, enchaînant les escortes de caravanes marchandes avec la protection rapprochée de voyageurs fortunés. Mais j’étais surtout une formidable traqueuse, une chasseresse émérite dont les talents étaient précieux pour ceux qui pouvaient se les offrir. Pourtant je refusais de tuer mes proies, me contentant de les traîner devant mes commanditaires sans me soucier de ce qu’ils deviendraient par la suite. Car je n’avais plus vraiment de but dans une vie dénuée de sens, plus d’avenir radieux et mes nuits sont toujours hantés par le souvenir des cadavres grimaçants des miens dépecés par la haine des titans.

    Je suis la dernière de mon clan, la mémoire des miens, une flamme éternelle qui s’éteint cependant petit à petit.

    Groupes d'intérêts


    Lutte contre les titans : Xo’Rath le titan a massacre les siens et Thylie voue une haine tenace envers ces êtres divins. Elle a combattu auprès de ceux qui les ont repoussé, mettant sa lame à leur service. Mais alors qu’elle avait espéré que les titans seraient effacés de la surface du monde le statuquo qui s’est installé a définitivement brisé ses rêves de vengeance. Malgré tout elle est prête aujourd’hui à rejoindre tout ceux qui luttent encore contre les titans et leur engeance.

    La pègre : Thylie est une épée à louer et bien que les activités criminelles ne soient pas sa tasse de thé elle a collaboré parfois avec des organisations dites « louches » dans certaines parties du monde lorsqu’elle considérait que la cause était acceptable. Voler aux riches pour donner au pauvres ou lutter contre l’influence d’un tyran sont tout à fait compatibles avec son éthique moral.

    Société des Sept Gardiens : fournisseur régulier de travail, que ce soit pour escorter une caravane ou servir de protection rapprochée lors de négociations tendues.

    derrière l'écran

    Pseudo : Soléa
    Comment avez-vous connu le forum ? Par une amie
    Avis sur le forum : C’est bô
    Fréquence de connexion : Régulière
    Invité
    Invité
    Anonymous
  • Mar 2 Aoû - 16:34
    Voilà j’ai terminé ma fichette. Thylie Wildfire | La Flamme Éternelle [Terminé] 1f60a
    Citoyen du monde
    Citoyen du monde
    Louise Aubépine
    Louise Aubépine
    Messages : 477
    crédits : 5884

    Info personnage
    Race: Démon
    Vocation: Mage - Elémentaliste
    Alignement: Neutre Bon
    Rang: S
    qui suis-je ?:
    https://www.rp-cendres.com/t183-louise-aubepine-protectrice-du-sekaihttps://www.rp-cendres.com/t257-amities-sinceres-louise-aubepine#859https://www.rp-cendres.com/t256-les-enseignements-du-passe-louise-aubepine#857
  • Mar 2 Aoû - 19:27
    Bonjour et bienvenue Thylie, dernière représentante de son clan. Tu as tout perdu à l'exception de ta propre vie et comme tu l'as si bien souligné dans ta fiche, il est important que tu la préserve. Dans le cas contraire, ton clan en deviendrait officiellement éteint pour de bon. Puisses tu trouver ta voie dans ce monde en peine. Pour la mémoire de ton clan.

    Sinon, je n'ai rien trouvé de dérangeant dans ta fiche. Par conséquent, tu es désormais validée !
    Permission de ce forum:

    Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum