3 participants

Que sa volonté soit faite
Mise en contexte
CHALLENGE : FACTION - LUTTE CONTRE LES TITANS
PARTICIPANTS : @Tagar Reys @Halewyn G. Sampiero
Tout commença lors d'une rencontre habituelle entre les deux amis dans la somptueuse ville de Maël.
Les rayons dorés du soleil caressaient doucement les rues pavées, témoins silencieux de la complicité indéfectible qui liait Tagar Reys, le ministre des Finances du Reike, et Halewyn, son acolyte démoniaque.
Malheureusement, ce qui aurait dû être un simple moment de camaraderie se mua en un sombre complot ourdi par des agents des titans. Les deux amis se retrouvèrent victimes d'une manigance perfide, proies d'une attaque sournoise et des plus fourbes. Un rire malsain, une fumée envoutante, scella leur destin funeste. Un hasardeux manque de prudence, une sécurité défaillante, et les voilà maintenant pris au piège.
Sous l'emprise insidieuse des drogues insufflées dans leurs poumons, Tagar et Halewyn furent irrémédiablement entraînés au sein d'un abîme ténébreux, échappant à la conscience et à la maîtrise de ce qui allait se passer par la suite. Tout semblait être planifié au millimètre près. Après tout, capturer le Coeur du Reike, un haut fonctionnaire de la nation ennemie, s'avérait être une occasion à ne pas manquer.
Les yeux de nos protagonistes émergèrent enfin de l'abysse hypnotique, révélant un décor oppressant et inhospitalier. Captifs des rocheuses majestueuses de Shoumei, leurs corps désorientés s'animèrent, tentant de se frayer un chemin parmi l'obscurité confinée de cette grotte oubliée du Sekai. Des murmures lointains de rituels sacrilèges emplissaient l'air, tandis que les chaînes impitoyables retenaient la liberté des détenus.
Prisonniers malheureux d'un culte fanatique dévoué à l'entité lugubre nommée Puantrus, Tagar et Halewyn étaient destinés à servir de pions sacrificiels pour une danse macabre orchestrée par ces adorateurs dévoyés. En ce jour fatidique, la fierté de notre duo avait été piétinée et leurs esprits insultés par des apôtres des titans. Réduits à devenir les misérables victimes de cette dévotion pervertie.
La suite se dessinait désormais d'une clarté cruelle : pour survivre, il fallait échapper à l'emprise des ténèbres et émerger victorieux de ce sinistre sanctuaire souterrain. L'humiliation qui les enserrait comme un étau devait être surpassée, parce que seule la volonté farouche de reprendre leur liberté pouvait les guider vers la surface.
En ce monde, n'oubliez jamais que nul n'est réellement en sécurité... Mortel comme immortel.
Objectifs : Affronter les adorateurs de Puantrus et sortir vivants de cette grotte sombre.
![[Challenge] Que sa volonté soit faite 674bfa4b92968fd0c9c413e46746f83a](https://i.pinimg.com/564x/67/4b/fa/674bfa4b92968fd0c9c413e46746f83a.jpg)
- Note:
- Hello,
Voici le contexte de base pour ce challenge ! Vous êtes libres de narrer l'histoire comme vous le désirez, tout en vous basant sur cette mise en situation. Je rappelle qu'il n'y aura pas d'intervention MJ sur ce rp. Have fun !
CENDRES

Noble du Reike
Tagar Reys

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Info personnage
Race: Humain
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Si ce n’est pas baroque, c’est du toc.
C’est par ses paroles que je conduis Hale à une exposition d’architecture. Je sors d’une réunion épuisante avec les chefs des services de l’administration de Maël dépendant de mon autorité. J’ai passé la moitié de la journée à échafauder à leurs côtés différents scénarios selon la décision que va prendre le couple impérial sur la ville de l’Ex-Shoumeï et si nous sommes prêts, cela n’a pas été sans mal.
Maintenant, place à la détente et toujours accompagnés de ma troupe de gardes du corps, nous passons juste en dessous d’un petit pont. C’est à ce moment précis que je sens une fumée envoûtante et j’entends un rire malsain. Je n’arrive pas à faire un pas de plus et je m’écroule d’un coup sur le sol, ayant juste le temps de murmurer, croyant ma dernière heure arrivée :
Monde de merde.
Je me réveille, la tête dans le pâté et je vois que je suis dans une sorte de grotte. J’ai des menottes aux mains et aux pieds, solidement fixé aux murs. J’essaye d’activer mon pouvoir de nyctalopie, mais c’est peine perdue, mes liens devant être d’une nature m’empêchant de lancer des sorts. La luminosité est assurée par une simple bougie et je me rends compte que je suis tout nu !
Vraiment ! Ils n’auraient pas pu se contenter de prendre mon épée ? Il va falloir que je la retrouve, c’est une véritable relique familiale, transmis de génération en génération. Mais avant cela, il faut sortir d’ici et je vois avec surprise qu’une autre personne est présente ! Je m’approche et je découvre Hale ! Qui a en plus gardé tous ses vêtements ! Elle est aussi bien moins enchaînée que moi, nos geôliers ont dû penser qu’elle était plus inoffensive que ma personne.
Je lui prends donc la main, comme je peux, vu comment je suis entravé et je lui demande, d’une voix inquiète :
Hale, Hale, tu vas bien ?
C’est par ses paroles que je conduis Hale à une exposition d’architecture. Je sors d’une réunion épuisante avec les chefs des services de l’administration de Maël dépendant de mon autorité. J’ai passé la moitié de la journée à échafauder à leurs côtés différents scénarios selon la décision que va prendre le couple impérial sur la ville de l’Ex-Shoumeï et si nous sommes prêts, cela n’a pas été sans mal.
Maintenant, place à la détente et toujours accompagnés de ma troupe de gardes du corps, nous passons juste en dessous d’un petit pont. C’est à ce moment précis que je sens une fumée envoûtante et j’entends un rire malsain. Je n’arrive pas à faire un pas de plus et je m’écroule d’un coup sur le sol, ayant juste le temps de murmurer, croyant ma dernière heure arrivée :
Monde de merde.
Je me réveille, la tête dans le pâté et je vois que je suis dans une sorte de grotte. J’ai des menottes aux mains et aux pieds, solidement fixé aux murs. J’essaye d’activer mon pouvoir de nyctalopie, mais c’est peine perdue, mes liens devant être d’une nature m’empêchant de lancer des sorts. La luminosité est assurée par une simple bougie et je me rends compte que je suis tout nu !
Vraiment ! Ils n’auraient pas pu se contenter de prendre mon épée ? Il va falloir que je la retrouve, c’est une véritable relique familiale, transmis de génération en génération. Mais avant cela, il faut sortir d’ici et je vois avec surprise qu’une autre personne est présente ! Je m’approche et je découvre Hale ! Qui a en plus gardé tous ses vêtements ! Elle est aussi bien moins enchaînée que moi, nos geôliers ont dû penser qu’elle était plus inoffensive que ma personne.
Je lui prends donc la main, comme je peux, vu comment je suis entravé et je lui demande, d’une voix inquiète :
Hale, Hale, tu vas bien ?

Citoyen de La République
Halewyn G. Sampiero

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C'tait une belle journée comme les autres et Tagar l'avait invoquée lors d'une de ses journée de congé rarrissime. Ca en devenait presque tellement récurrent qu'Halewyn pensait peut-être s'acheter un pied à terre avec concierges dans la capitale pour des raisons de commodité pour quand Tagar l'appelle parce que, soyons franc, ca coute une blinde d'hotel et mpeme si elle est confortable, Halewyn n'aime pastrop dilapider à tout vent, un compte en banque en croissance étant le synonyme du confort à long terme. Cependant, l'idée de devoir se faire marquer l'épiderme la mettait dans une fureur noire. Du coup, il lui fallait une alternative à laquelle elleréfléchissait encore.
Mais aujourd,hui ils sont à µael, toujours aussi blanche droite et ennuyeuse. Elle passa quand même un agréable après midi à admirer l'architecture somme toute fort conservatrice en léchant une glace au chocolat pas mal, mais il pourrait y avoir de l'Innovation... D'ailleurs, ce soir ils en repareront, il y a un projet qui lui tient à coeur et elle aimerait faire vérifier ses chiffres et son plan d'affaire par le Reikois. Soyons franc, malgré son innocence et son ingénuité à toute épreuve il savait manier les chiffres. AĿors pour l'instant ils opposaient leurs idées, chacun défendant son style de colonnades favoris en dépassant quelques badaus, rien pour alarmer le démon. De plus, ils sont entourés de gardes, que pourrait il leur arriver?
Le rire malsain hérisse soudainement la nuque de Hale au même moment ou le parfum lui parvient au nez. Une odeur de musc... de bois de santal... de...de....
....
....
Hale, Hale, tu vas bien ?
S'agitant un peu, la démone grogne en se tournant de côté
Ce n'est pas le moment... il est trop tôt... En plus tu ne m'a pas donné de chocolat...
Le sol, humide et poisseux se rappelle à son bon souvenir, au même moment ou un bruit de chaine se faufile dans son esprit. Ouvrant deux prunelles de chat dans la pénombre, iel succube inspire subitement l'odeur de renfermé humide... minéral. Ca lui rappelle la grotte d'avec Rêves. Péniblement, les derniers événements se faufilent dans son esprit alors qu'elle s'asseoit péniblement avec un bruit de chaines, ce qui ne la perturbe pas du tout.
Joli la suite... Dis, Tagar, tu ne m'en voudra pas si je dis que tes gardes sont de vrais incompétents non? D'ailleurs, je me demande si ils sont avec nous, que je puisse les étrangler de mes propres mains tout de suite. Elle se recroquevilla un peu sur elle-même, nu pieds et en chemise carrément ouverte et pantalons, redingote enlevée et éventail absent.... Et... Une légèreté sur la poitrine et les poignets lui fit rater un battement de coeur. Il lui manquait quelque chose.
Mais aujourd,hui ils sont à µael, toujours aussi blanche droite et ennuyeuse. Elle passa quand même un agréable après midi à admirer l'architecture somme toute fort conservatrice en léchant une glace au chocolat pas mal, mais il pourrait y avoir de l'Innovation... D'ailleurs, ce soir ils en repareront, il y a un projet qui lui tient à coeur et elle aimerait faire vérifier ses chiffres et son plan d'affaire par le Reikois. Soyons franc, malgré son innocence et son ingénuité à toute épreuve il savait manier les chiffres. AĿors pour l'instant ils opposaient leurs idées, chacun défendant son style de colonnades favoris en dépassant quelques badaus, rien pour alarmer le démon. De plus, ils sont entourés de gardes, que pourrait il leur arriver?
Le rire malsain hérisse soudainement la nuque de Hale au même moment ou le parfum lui parvient au nez. Une odeur de musc... de bois de santal... de...de....
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Hale, Hale, tu vas bien ?
S'agitant un peu, la démone grogne en se tournant de côté
Ce n'est pas le moment... il est trop tôt... En plus tu ne m'a pas donné de chocolat...
Le sol, humide et poisseux se rappelle à son bon souvenir, au même moment ou un bruit de chaine se faufile dans son esprit. Ouvrant deux prunelles de chat dans la pénombre, iel succube inspire subitement l'odeur de renfermé humide... minéral. Ca lui rappelle la grotte d'avec Rêves. Péniblement, les derniers événements se faufilent dans son esprit alors qu'elle s'asseoit péniblement avec un bruit de chaines, ce qui ne la perturbe pas du tout.
Joli la suite... Dis, Tagar, tu ne m'en voudra pas si je dis que tes gardes sont de vrais incompétents non? D'ailleurs, je me demande si ils sont avec nous, que je puisse les étrangler de mes propres mains tout de suite. Elle se recroquevilla un peu sur elle-même, nu pieds et en chemise carrément ouverte et pantalons, redingote enlevée et éventail absent.... Et... Une légèreté sur la poitrine et les poignets lui fit rater un battement de coeur. Il lui manquait quelque chose.

Noble du Reike
Tagar Reys

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La démone met un peu de temps pour sortir du sommeil, mais ses paroles m’indique qu’elle va bien. Elle utilise ensuite son sens de l’humour et je lui dis :
Personne n’est parfait. Je te raconterai un jour l’histoire ou un téléporteur m’a envoyé dans une salle pleine de bandits, armés jusqu’aux dents.
Ce sera en effet plus tard, car actuellement, nous avons bien autre chose à faire. Je me rassois tout d’abord, de manière un peu plus confortable lui indiquant :
Il semble que ta chance ne t’ait pas abandonné. Tu as gardé tes vêtements, pour ma part, ils m’ont mis tout nu et enchaîné au mur, je peux à peine me déplacer.
Au cas où, j’essaye de tirer sur mes liens, mais ils sont solidement accrochés à la pierre. Si j’étais aussi fort que Brak, j’aurai pu certainement me libérer, mais c’est très loin d’être le cas. Finalement, j’aurais dû aller plus souvent à la salle de musculation. Mais comme il ne sert à rien de remuer le passé, car il ne peut être changé, je me lève avec difficulté et je m’aperçois que ma chaîne fait environ un mètre et que je peux à peine me tenir debout. Maintenant, que mes yeux se sont habitués à l’obscurité, j’aperçois deux bols remplis d’une sorte de bouillie grise, un seau déjà malodorant et dont j’imagine très bien la fonction. J’avoue que j’ai du mal à garder le moral, en voyant tout ceci et dans ces cas-là, je me tourne vers mon amie, lui demandant :
Si tu as une idée, je suis preneur. Je ne doute pas de l’hospitalité de nos hôtes, mais je dois te racheter une glace au chocolat, tu n’as pas eu le temps de finir la dernière.
Puis plus sérieusement :
Je suis désolé de t’avoir mise dans cette situation.
Personne n’est parfait. Je te raconterai un jour l’histoire ou un téléporteur m’a envoyé dans une salle pleine de bandits, armés jusqu’aux dents.
Ce sera en effet plus tard, car actuellement, nous avons bien autre chose à faire. Je me rassois tout d’abord, de manière un peu plus confortable lui indiquant :
Il semble que ta chance ne t’ait pas abandonné. Tu as gardé tes vêtements, pour ma part, ils m’ont mis tout nu et enchaîné au mur, je peux à peine me déplacer.
Au cas où, j’essaye de tirer sur mes liens, mais ils sont solidement accrochés à la pierre. Si j’étais aussi fort que Brak, j’aurai pu certainement me libérer, mais c’est très loin d’être le cas. Finalement, j’aurais dû aller plus souvent à la salle de musculation. Mais comme il ne sert à rien de remuer le passé, car il ne peut être changé, je me lève avec difficulté et je m’aperçois que ma chaîne fait environ un mètre et que je peux à peine me tenir debout. Maintenant, que mes yeux se sont habitués à l’obscurité, j’aperçois deux bols remplis d’une sorte de bouillie grise, un seau déjà malodorant et dont j’imagine très bien la fonction. J’avoue que j’ai du mal à garder le moral, en voyant tout ceci et dans ces cas-là, je me tourne vers mon amie, lui demandant :
Si tu as une idée, je suis preneur. Je ne doute pas de l’hospitalité de nos hôtes, mais je dois te racheter une glace au chocolat, tu n’as pas eu le temps de finir la dernière.
Puis plus sérieusement :
Je suis désolé de t’avoir mise dans cette situation.

Citoyen de La République
Halewyn G. Sampiero

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Etrangement silencieux, Halewyn était recroquevillé sur iel-même en tentant d'évaluer la situation. Ses bijoux de naissance sur sa poitrine et ses poignets étaient absents. Depuis sa naissance qu'elle les avaient, ils étaient empli du pouvoir des âmes... De ses fidèles, de ses pactes, des prières qui ont bercés sa conscience lors de la gestation qui a duré des siècles. Ces bijoux, mine de rien, c'est iel, son histoire. De toute façon, il n'y a qu'Halewyn qui peut les utiliser convenablement. Probablement qu'ils n'ont vu que le précieux butin de guerre... Par chance, il y a ses barrettes soigneusement incorporées dans sa chevelure encore tressée et son collier de taille qui lui avait pris la fantaisie d'arborer sous ses pantalons. . Du coup le démon sait qu'iel a encore de la marge de manoeuvre. En cent ans, aucunes chaines n'a réussit à la retenir, ce n'est pas aujourd'hui que ca va commencer.
Halewyn se considère gentil, magnanime et modeste. Il y a certaines choses avec lesquelles iel ne rigole pas. Son intégrité physique, son immortalité, ses bijoux de naissance et ses Mortels et pas nécessairement dans cet ordre précis tels que les rps précédents nous l'ont déjà appris.
Et, en cet instant, dans sa zone, elle ressentait le contrôleur royal... et les petites âmes des rats regroupés dans ce qui doit être autour de leur repas.... De l'extérieur, la longue tresse serpentant autour d'elle, elle pouvait voir l'air démunie et découragée, en fait, derrière ses paupières closes luisaient le rubis de la trahison et de la folie. Elle allait tous les exterminer, jusqu'au dernier, et festoyer du coeur palpitant de leur chef.... non mais il y en avait marre à la fin, qu'ils lâchent son mortel favori... Ceci dit, c'était une occasion en or peut-être de pouvoir laisser libre court à sa fureur.
Tagar, aujourd'hui... Finit par dire une voix de soupir aux intonations polaires sans qu'elle ne bouge d'un iota -Tu va découvrir le pire de ma personne.. Promet moi de ne pas m'en tenir rigueur
Réfléchir, réfléchir... en ce moment, Halewyn, purement androgyne évalue els options soupesant leur impacts tandis que ses fidèles décédés l'appelaient à l'aide par bijou interposé... Ils lui appartenaient. Patience mes chers, cela vaudra la peine.
Halewyn se considère gentil, magnanime et modeste. Il y a certaines choses avec lesquelles iel ne rigole pas. Son intégrité physique, son immortalité, ses bijoux de naissance et ses Mortels et pas nécessairement dans cet ordre précis tels que les rps précédents nous l'ont déjà appris.
Et, en cet instant, dans sa zone, elle ressentait le contrôleur royal... et les petites âmes des rats regroupés dans ce qui doit être autour de leur repas.... De l'extérieur, la longue tresse serpentant autour d'elle, elle pouvait voir l'air démunie et découragée, en fait, derrière ses paupières closes luisaient le rubis de la trahison et de la folie. Elle allait tous les exterminer, jusqu'au dernier, et festoyer du coeur palpitant de leur chef.... non mais il y en avait marre à la fin, qu'ils lâchent son mortel favori... Ceci dit, c'était une occasion en or peut-être de pouvoir laisser libre court à sa fureur.
Tagar, aujourd'hui... Finit par dire une voix de soupir aux intonations polaires sans qu'elle ne bouge d'un iota -Tu va découvrir le pire de ma personne.. Promet moi de ne pas m'en tenir rigueur
Réfléchir, réfléchir... en ce moment, Halewyn, purement androgyne évalue els options soupesant leur impacts tandis que ses fidèles décédés l'appelaient à l'aide par bijou interposé... Ils lui appartenaient. Patience mes chers, cela vaudra la peine.

Noble du Reike
Tagar Reys

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Hale ne répond pas à ma question et préfère m’en poser une nouvelle, à laquelle j’indique d’un ton léger :
Tu veux dire pire que ce que tu as fait à la pirate prisonnière ?
Qui, je le rappelle à ceux qui ne lisent pas tous les RP (ce qui est dommageable, ils sont tous excellents, parole de scout), à finis la tête brouillée, à cause d’un simple interrogatoire mené par la démone. Finalement, je soupire et je lui dis :
Oui, je te promets de ne pas t’en tenir rigueur, nous en sommes réduits à de la survie, c’est eux ou nous. Pas de prisonnier, pas de compromis, je ne veux pas mourir puceau.
Nous patientons ainsi quelques minutes dans l’obscurité, jusqu’à ce que j’entende un bruit de clé dans la serrure. Une silhouette habillée avec une longue robe en bure et portant un simple bougeoir ouvre la porte, restant sur le seuil et nous observe sans rien dire pendant une dizaine de secondes. C’est assez impressionnant, surtout que sa capuche est descendue et je ne vois pas son visage. Passé ce délai, c’est avec une grande surprise que j’entends une voix juvénile me demander :
C’est vous alors, c’est vraiment vous ?
Elle rabat sa capuche et je vois une jeune gobeline d’une vingtaine d’année tout au plus, qui bat de manière très enfantine des mains:
Ça alors, quand notre grand-prêtre nous l’a annoncé, je n’y croyais pas et je voulais absolument le constater par moi-même. Le ministre des Finances du draken dégénéré en personne ! L’homme qui pense être le guerrier le plus fort du Sekaï alors qu’il n’est qu’une fourmi face à la grandeur du titan Puantrus, notre maître à tous !
Je regarde Hale, nous sommes bel et bien tomber chez les dingos et l’avenir s’annonce sombre.
Tu veux dire pire que ce que tu as fait à la pirate prisonnière ?
Qui, je le rappelle à ceux qui ne lisent pas tous les RP (ce qui est dommageable, ils sont tous excellents, parole de scout), à finis la tête brouillée, à cause d’un simple interrogatoire mené par la démone. Finalement, je soupire et je lui dis :
Oui, je te promets de ne pas t’en tenir rigueur, nous en sommes réduits à de la survie, c’est eux ou nous. Pas de prisonnier, pas de compromis, je ne veux pas mourir puceau.
Nous patientons ainsi quelques minutes dans l’obscurité, jusqu’à ce que j’entende un bruit de clé dans la serrure. Une silhouette habillée avec une longue robe en bure et portant un simple bougeoir ouvre la porte, restant sur le seuil et nous observe sans rien dire pendant une dizaine de secondes. C’est assez impressionnant, surtout que sa capuche est descendue et je ne vois pas son visage. Passé ce délai, c’est avec une grande surprise que j’entends une voix juvénile me demander :
C’est vous alors, c’est vraiment vous ?
Elle rabat sa capuche et je vois une jeune gobeline d’une vingtaine d’année tout au plus, qui bat de manière très enfantine des mains:
Ça alors, quand notre grand-prêtre nous l’a annoncé, je n’y croyais pas et je voulais absolument le constater par moi-même. Le ministre des Finances du draken dégénéré en personne ! L’homme qui pense être le guerrier le plus fort du Sekaï alors qu’il n’est qu’une fourmi face à la grandeur du titan Puantrus, notre maître à tous !
Je regarde Hale, nous sommes bel et bien tomber chez les dingos et l’avenir s’annonce sombre.

Citoyen de La République
Halewyn G. Sampiero

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C'est proprement stellaire. On s'entend qu'ils sont pris dans une caverne insalubre avec des rats. Enchainés et la seule chose qu'il pense est de ne pas mourir puceau?
-Ca n'aurait pas été le cas si tu avais su y voir avant aujourd'hui. Si nous sortons d'ici, tu pourras me le redemander si tu veux. Dit iel d'un ton sec. A force d'attendre l'occasion, on finit par se lécher le fion. Termine Halewyn mentalement. ayant encore un self control conséquent sur sa personne. Il y a du nouveau. Parfait, pense t'iel en sentant une nouvelle âme s'immiscer dans la zone de dix mètres. Parfait, Halewyn n'aura pas a user de son joker tout de suite
Une gobeline... Evidemment, ca explique pourquoi ils n'ont pas fini de le dénuder quand ils ont vu ses bijoux. Et pendant qu'elle parle à Tagar, en une logorrhée pénible, iel succube ne bouge pas. Ca explique aussi pourquoi ils sont partis avec, ils ont flairé la bonne affaire. La bonne nouvelle du jour, c'est que ils sont des amasseurs compulsifs, du coup iel n'aura pas à réinvoquer un à un chaque petite perle de rubis, saphir, d'os et d'acier. Il suffit de trouver la voûte ou le blasphémateur.
Ensuite, Puantrus. Un autre titan... Un culte pour une ordure immortelle, ni plus ni moins. Les dents de démon se referment alors sans pitié sur l'âme de la gobeline, innocente dans sa perversion. A coup de pieds mentaux, sans aucune délicatesse ni fausse douceur, elle martyrise la mortelle, y passant toute sa rage accumulé, ne laissant qu'une infime étincelle primaire avant d'occuper le corp.
Extérieurement, sous la violence de l'OPA hostile, la jeune verte s'immobilise, les yeux devenant vitreux. Une nausée monstre la prend, la faisant se plier en deux et se prendre la tête à deux mains en se pliant en deux, grincant atrocement des dents. Elle résistait, mais sa jeune âme ne faisait pas le poid face à la fureur immortelle.
Puis elle se redressa comme si rien de tout cela ne s'était jamais produit avant de fouiller dans ses poches avec frénésie, laissant tomber au sol divers objets hétéroclites. Une fronde, quelques pierres précieuses, un récépissé, un talisman à l'effigie du titan,. impitoyablement foulé du pied avec une hargne sans nom. Un petit couteau qui fut tendu sans cérémonie au Reikois.
-Prend ca, ca pourrait être utile... Voyons, ou sont ces foutues clef... Ce mouchoir est dégoutant. Ils ne connaissent vraiment pas l'hygiène la plus élémentaire ici.
S'éloignant, la gobeline vit le trousseau se balancant doucement à la serrure. Et avec un petit rire s,en empara au moment ou des pieds se firent entendre dans le corridor. Sans faire ni une ni deux, elle balanca le tout au beau blond tout nu avant de refermer derrière lui.
-Je te gagne du temps... Dépêche toi et ne m'oublie pas mon cher, je ne pense pas que tu va les terrasser à l'hélicobite. Recouche toi et fait l'endormi surtout.
-Ca n'aurait pas été le cas si tu avais su y voir avant aujourd'hui. Si nous sortons d'ici, tu pourras me le redemander si tu veux. Dit iel d'un ton sec. A force d'attendre l'occasion, on finit par se lécher le fion. Termine Halewyn mentalement. ayant encore un self control conséquent sur sa personne. Il y a du nouveau. Parfait, pense t'iel en sentant une nouvelle âme s'immiscer dans la zone de dix mètres. Parfait, Halewyn n'aura pas a user de son joker tout de suite
Une gobeline... Evidemment, ca explique pourquoi ils n'ont pas fini de le dénuder quand ils ont vu ses bijoux. Et pendant qu'elle parle à Tagar, en une logorrhée pénible, iel succube ne bouge pas. Ca explique aussi pourquoi ils sont partis avec, ils ont flairé la bonne affaire. La bonne nouvelle du jour, c'est que ils sont des amasseurs compulsifs, du coup iel n'aura pas à réinvoquer un à un chaque petite perle de rubis, saphir, d'os et d'acier. Il suffit de trouver la voûte ou le blasphémateur.
Ensuite, Puantrus. Un autre titan... Un culte pour une ordure immortelle, ni plus ni moins. Les dents de démon se referment alors sans pitié sur l'âme de la gobeline, innocente dans sa perversion. A coup de pieds mentaux, sans aucune délicatesse ni fausse douceur, elle martyrise la mortelle, y passant toute sa rage accumulé, ne laissant qu'une infime étincelle primaire avant d'occuper le corp.
Extérieurement, sous la violence de l'OPA hostile, la jeune verte s'immobilise, les yeux devenant vitreux. Une nausée monstre la prend, la faisant se plier en deux et se prendre la tête à deux mains en se pliant en deux, grincant atrocement des dents. Elle résistait, mais sa jeune âme ne faisait pas le poid face à la fureur immortelle.
Puis elle se redressa comme si rien de tout cela ne s'était jamais produit avant de fouiller dans ses poches avec frénésie, laissant tomber au sol divers objets hétéroclites. Une fronde, quelques pierres précieuses, un récépissé, un talisman à l'effigie du titan,. impitoyablement foulé du pied avec une hargne sans nom. Un petit couteau qui fut tendu sans cérémonie au Reikois.
-Prend ca, ca pourrait être utile... Voyons, ou sont ces foutues clef... Ce mouchoir est dégoutant. Ils ne connaissent vraiment pas l'hygiène la plus élémentaire ici.
S'éloignant, la gobeline vit le trousseau se balancant doucement à la serrure. Et avec un petit rire s,en empara au moment ou des pieds se firent entendre dans le corridor. Sans faire ni une ni deux, elle balanca le tout au beau blond tout nu avant de refermer derrière lui.
-Je te gagne du temps... Dépêche toi et ne m'oublie pas mon cher, je ne pense pas que tu va les terrasser à l'hélicobite. Recouche toi et fait l'endormi surtout.

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Tagar Reys

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Vocation: Mage Elementiste
Alignement: Loyal Neutre
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Hale me parle à nouveau de faire la bête à deux dos ensemble, mais j’avoue que nu, transis de froid, menotté, je n’en ai guère envie, il y a temps pour tout. Mais je n’ai guère le temps d’y penser, car la gobeline, comme prise d’un mal de crâne carabiné, se plie en deux, se prenant la tête avec ses deux mains. Je suis compatissant, une migraine, cela fait super mal, comme quoi, même les adeptes des Titans ont des soucis de santé.
Mais soudainement elle s’arrête et fouille dans ses poches, cherchant sans doute un médicament pour se soigner, sauf qu’à la place d’une pilule, elle sort un couteau. Je me recroqueville comme je peux, sauf qu’au lieu de m’attaquer avec, elle me le donne ! Voilà qui est surprenant et dans ses paroles, je crois entendre le phrasé d’Hale ! Mon amie est vraiment pleine de surprise et c’est un euphémisme de le dire.
Elle me lance d’ailleurs les clés et je me dépêche d’ouvrir mes menottes, aussi bien aux mains qu’aux pieds, étant persuadé qu’ils vont m’emmener quelque part et donc enlever la chaîne qui m’empêche de faire plus d’un mètre. Je les laisse en place, faisant croire que mes liens sont toujours en place et fermé à clefs. Une fois, ceci fait, je donne les clés du bonheur à la démone, pour qu’elle se libère également.
Mon humeur va maintenant beaucoup mieux, il suffit que je pousse un peu les menottes, pour qu’elles tombent et que je puisse à la fois bouger complètement et surtout pouvoir lancer des sorts. Mais il faut faire attention, j’ignore leur nombre exact. Ils pourraient être aussi bien moins d’une dizaine que plus d’une centaine. En plus, je connais les cultistes, les ayant combattus à de nombreuses reprises et je sais qu’ils combattront jusqu’au dernier, ce qui me convient très bien, ne comptant pas faire de prisonnier.
Mais soudainement elle s’arrête et fouille dans ses poches, cherchant sans doute un médicament pour se soigner, sauf qu’à la place d’une pilule, elle sort un couteau. Je me recroqueville comme je peux, sauf qu’au lieu de m’attaquer avec, elle me le donne ! Voilà qui est surprenant et dans ses paroles, je crois entendre le phrasé d’Hale ! Mon amie est vraiment pleine de surprise et c’est un euphémisme de le dire.
Elle me lance d’ailleurs les clés et je me dépêche d’ouvrir mes menottes, aussi bien aux mains qu’aux pieds, étant persuadé qu’ils vont m’emmener quelque part et donc enlever la chaîne qui m’empêche de faire plus d’un mètre. Je les laisse en place, faisant croire que mes liens sont toujours en place et fermé à clefs. Une fois, ceci fait, je donne les clés du bonheur à la démone, pour qu’elle se libère également.
Mon humeur va maintenant beaucoup mieux, il suffit que je pousse un peu les menottes, pour qu’elles tombent et que je puisse à la fois bouger complètement et surtout pouvoir lancer des sorts. Mais il faut faire attention, j’ignore leur nombre exact. Ils pourraient être aussi bien moins d’une dizaine que plus d’une centaine. En plus, je connais les cultistes, les ayant combattus à de nombreuses reprises et je sais qu’ils combattront jusqu’au dernier, ce qui me convient très bien, ne comptant pas faire de prisonnier.

Citoyen de La République
Halewyn G. Sampiero

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Les clefs tombent sur le sol à côté d'Halewyn qui, toujours en position foetale, ne réagit nullement. Les pas s'arrêtent, il y a des exclamations et une bonne engueulade, avant que ces derniers ne s'éloignent sur un fond de protestation et de cris féminins.
Halewyn lui a fait gagner du temps, mais son corp inanimé ne marque qu'une lente respiration pour signifier qu'iel est encore en vie.
*******
De son côté, la gobeline marche le long du petit corridor jusqu'à la grotte rapidement, jusqu'à tomber nez à nez avec un grand... Enfin grand c'est toujours relatif, ... gobelin tout ce qu'il y a de plus moche... Avec un gros truc derrière, pleins de poils noirs et dégingandé. Dans la forme générale, elle reconnait un lycantrope. Et par chance, il semble mal nourrit et malingre. Du coup, c'est pour ca qu'ils l'ont ramenée avec Tagar? Pour qu'elle serve de menu?
La lueur d'une torche lui est balancée au visage d'un côté tandis qu'une baffe retentissante de l'autre l'envoie sur le mur avant que le démon ne réussisse quoi que ce soit. Les oreilles lui tintent, le front percute la paroie et ce qu'elle entend entre deux bourdonnement ressemble à :'' je tai dit milles fois de ne pas venir ici''
Avant qu'elle ne se fasse prendre par les cheveux et trainer impitoyablement au sol vers la sortie par ... qui au juste? Se débattant, savourant la douleur interposée maltraitant tout es follicules de son cuir chevelu. Et évidemment qu'elle se débat, c'est pour la mise en scène. Si il peut juste la lâcher un peu, qu'elle puisse aller foutre le feu un peu partout, histoire de distraire les autorités. Eh bien, les gobelins ne sont vraiment pas des choupinous heins? Surtout les dégénérés de Puantrus.
Halewyn lui a fait gagner du temps, mais son corp inanimé ne marque qu'une lente respiration pour signifier qu'iel est encore en vie.
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De son côté, la gobeline marche le long du petit corridor jusqu'à la grotte rapidement, jusqu'à tomber nez à nez avec un grand... Enfin grand c'est toujours relatif, ... gobelin tout ce qu'il y a de plus moche... Avec un gros truc derrière, pleins de poils noirs et dégingandé. Dans la forme générale, elle reconnait un lycantrope. Et par chance, il semble mal nourrit et malingre. Du coup, c'est pour ca qu'ils l'ont ramenée avec Tagar? Pour qu'elle serve de menu?
La lueur d'une torche lui est balancée au visage d'un côté tandis qu'une baffe retentissante de l'autre l'envoie sur le mur avant que le démon ne réussisse quoi que ce soit. Les oreilles lui tintent, le front percute la paroie et ce qu'elle entend entre deux bourdonnement ressemble à :'' je tai dit milles fois de ne pas venir ici''
Avant qu'elle ne se fasse prendre par les cheveux et trainer impitoyablement au sol vers la sortie par ... qui au juste? Se débattant, savourant la douleur interposée maltraitant tout es follicules de son cuir chevelu. Et évidemment qu'elle se débat, c'est pour la mise en scène. Si il peut juste la lâcher un peu, qu'elle puisse aller foutre le feu un peu partout, histoire de distraire les autorités. Eh bien, les gobelins ne sont vraiment pas des choupinous heins? Surtout les dégénérés de Puantrus.

Noble du Reike
Tagar Reys

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Info personnage
Race: Humain
Vocation: Mage Elementiste
Alignement: Loyal Neutre
Rang: B - Coeur
Mince, Hale ne prend pas les clés et je me traite intérieurement d’idiot ! J’ai pourtant étudié la magie avec mon mentor pendant mon enfance et prendre le corps de quelqu’un implique qu’il faut laisser son propre corps derrière. Je reprends rapidement les clés et j’arrive à lui délier ses menottes, les laissant en place pour faire croire qu’elle est toujours entravée. Maintenant, je ne sais pas quoi faire avec les clés. Je sais que certains prisonniers cachent des choses dans leurs fondements, mais j’avoue que je n’ai aucune envie d’expérimenter la chose. Finalement, je fais la chose la plus sensée et je balance la clé dans le bol de nourriture, que ne touche même pas les rats. Je n’ai plus qu’à souffler la bougie et l’illusion est ainsi parfaite. La porte s’ouvre alors et j’entends une sorte de grognement accompagné de paroles :
Cette petite conne n’a même pas fermé la porte à clé. Je te jure, que si elle continue comme cela, elle sera le prochain sacrifice à notre maître.
Mon oreille se dresse quand il parle de sacrifice, je comprends maintenant pourquoi ils nous gardent en vie. Un nouveau gobelin rentre et je me demande s’il est de la même famille que la première que j’ai vu. Il semble, en tout cas, très suffisant et constate que la jolie rousse est toujours inconsciente, il me demande alors :
Elle n’est toujours pas réveillée, la moche ?
Je suis outré par ses paroles et je viens à son secours :
D’une part, elle est très loin d’être laide et d’autre part, vous devriez la libérer, elle n’a rien à voir avec moi.
Je le vois éclaté de rire et il m’indique :
J’ai mon ami poilu qui la trouve parfaitement à son goût, littéralement !
Je ne comprends pas sa blague et il semble déçu. Il s’approche donc de moi, me libérant de la chaîne accrochée au mur et me dit :
Maintenant, lève-toi et marche.
Pour faire bonne mesure, il me met un vigoureux coup de pieds dans le ventre, et j’ai mal, très mal. Mais je n’ai pas le choix et je me lève ankyloser par ma précédente position, le suivant pendant qu’il tient ma chaîne, frissonnant à cause de la sensation du froid sur ma peau nue.
Cette petite conne n’a même pas fermé la porte à clé. Je te jure, que si elle continue comme cela, elle sera le prochain sacrifice à notre maître.
Mon oreille se dresse quand il parle de sacrifice, je comprends maintenant pourquoi ils nous gardent en vie. Un nouveau gobelin rentre et je me demande s’il est de la même famille que la première que j’ai vu. Il semble, en tout cas, très suffisant et constate que la jolie rousse est toujours inconsciente, il me demande alors :
Elle n’est toujours pas réveillée, la moche ?
Je suis outré par ses paroles et je viens à son secours :
D’une part, elle est très loin d’être laide et d’autre part, vous devriez la libérer, elle n’a rien à voir avec moi.
Je le vois éclaté de rire et il m’indique :
J’ai mon ami poilu qui la trouve parfaitement à son goût, littéralement !
Je ne comprends pas sa blague et il semble déçu. Il s’approche donc de moi, me libérant de la chaîne accrochée au mur et me dit :
Maintenant, lève-toi et marche.
Pour faire bonne mesure, il me met un vigoureux coup de pieds dans le ventre, et j’ai mal, très mal. Mais je n’ai pas le choix et je me lève ankyloser par ma précédente position, le suivant pendant qu’il tient ma chaîne, frissonnant à cause de la sensation du froid sur ma peau nue.

Citoyen de La République
Halewyn G. Sampiero

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Trainée on ne peut plus loin, les portes de ce qui semble être une cuisine s'ouvrent et la Gobeline est balancée violemment aux pieds d'une autre, plantureuse, qui est en train de cravacher quelque malheureux esclave.
-Surveille ta fille. Si on la chope encore aux cachots, elle finira en ragoût je te le dit.
S'ensuit une dispute tandis que la mégère passe par dessus a gamine en chassant les intrus à coup de fouets. Pendant ce temps, Halewyn se redresse en se frottant le cuir chevelu endolori et prend un couteau de cuisine...
Avant de se mettre à couper laborieusement un aliment non identiifié en reniflant comme si elle était en détresse pure et simple.
Du moins jusqu'à ce que l'autre gobeline arrive pour lui fracasser le front proprement sur le comptoir pour la punir.
Sauf que... Elle ne se rendra jamais. Sous les yeux ahuris des esclaves, la cuisinière s'arrête, un grand couteau de cuisine lui traversant la gorge. En elle-même, l'esprit de la mortelle possédée exulte. Cette génitrice, elle la haissait de tout son coeur.
Fière, le faciès vert déformé par un rictus qui ne lui appartenait pas, la petite avait un regard sauvage.
-Je déteste tuer de mes mains, c'est atrocement vulgaire ... Bon... Se penchant, elle ramassa les clefs des chaines des esclaves et entreprit de les libérer. -Nous avons l'intention de réduire cet endroit en cendres, donc soit vous vous battez pour sortir, soit vous mourrez ici. Prenez les clefs et libérez les autres.
Sous cet acte désintéressé, il y avait le calcul simple d'une diversion. þendant un moment, ils la regardèrent comme si elle était une extra terrestre, avant de se précipiter. Ici il prit le fouet, là quelque couteau de boucher.
Que fit la gobeline pendant ce temps? Elle ferma la clef permettant l'aération des feux de cuisines, avant de prendre les amphores d'huiles pour les répandre un peu partout. Et comme touche finale, d'en fracasser sur les portes de sorties, sur elle-même.
MÆrquand une pause, elle balanca alors le dernier carafon dans les flammes ou il explosa , envoyant des étincelles partout qui se mirent à courir le lopng du combustible... Jusqu'à elle. Elle sentit ses vêtements prendre feu, la chaleur s'approcher pour attaquer son visage.... La douleur, magnifique et atroce. Et le hurlement d'agonie de son hôtesse quand elle se retira, laissant la gobeline réaiser toute l,horreur de la situation.
*****
Le corp d'Halewyn frémit de plaisir mais resta immobile.
-Surveille ta fille. Si on la chope encore aux cachots, elle finira en ragoût je te le dit.
S'ensuit une dispute tandis que la mégère passe par dessus a gamine en chassant les intrus à coup de fouets. Pendant ce temps, Halewyn se redresse en se frottant le cuir chevelu endolori et prend un couteau de cuisine...
Avant de se mettre à couper laborieusement un aliment non identiifié en reniflant comme si elle était en détresse pure et simple.
Du moins jusqu'à ce que l'autre gobeline arrive pour lui fracasser le front proprement sur le comptoir pour la punir.
Sauf que... Elle ne se rendra jamais. Sous les yeux ahuris des esclaves, la cuisinière s'arrête, un grand couteau de cuisine lui traversant la gorge. En elle-même, l'esprit de la mortelle possédée exulte. Cette génitrice, elle la haissait de tout son coeur.
Fière, le faciès vert déformé par un rictus qui ne lui appartenait pas, la petite avait un regard sauvage.
-Je déteste tuer de mes mains, c'est atrocement vulgaire ... Bon... Se penchant, elle ramassa les clefs des chaines des esclaves et entreprit de les libérer. -Nous avons l'intention de réduire cet endroit en cendres, donc soit vous vous battez pour sortir, soit vous mourrez ici. Prenez les clefs et libérez les autres.
Sous cet acte désintéressé, il y avait le calcul simple d'une diversion. þendant un moment, ils la regardèrent comme si elle était une extra terrestre, avant de se précipiter. Ici il prit le fouet, là quelque couteau de boucher.
Que fit la gobeline pendant ce temps? Elle ferma la clef permettant l'aération des feux de cuisines, avant de prendre les amphores d'huiles pour les répandre un peu partout. Et comme touche finale, d'en fracasser sur les portes de sorties, sur elle-même.
MÆrquand une pause, elle balanca alors le dernier carafon dans les flammes ou il explosa , envoyant des étincelles partout qui se mirent à courir le lopng du combustible... Jusqu'à elle. Elle sentit ses vêtements prendre feu, la chaleur s'approcher pour attaquer son visage.... La douleur, magnifique et atroce. Et le hurlement d'agonie de son hôtesse quand elle se retira, laissant la gobeline réaiser toute l,horreur de la situation.
*****
Le corp d'Halewyn frémit de plaisir mais resta immobile.

Noble du Reike
Tagar Reys

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Info personnage
Race: Humain
Vocation: Mage Elementiste
Alignement: Loyal Neutre
Rang: B - Coeur
Une fois sortit de la salle, un énorme loup au poil noir et marchant sur deux jambes, un lycanthrope, je suppose, à moins qu'il ne soit un monstre issu d'une malédiction des Titans, entre dans la pièce. Je le vois s'approcher de Hale et je me tiens prêt à intervenir s'il lui fait du mal. Peu importe si je réduis ainsi nos chances de nous enfuir, je ne pourrais pas laisser mon amie souffrir. Mais il se contente de la lâcher avec sa langue râpeuse et baveuse son visage et il se tourne vers le gobelin, en grognant. Ce dernier semble comprendre son dialogue car il lui annonce :
Oui, tu peux l’emmener. Mais tu pourras la manger après la cérémonie, il nous faut le sang d’une vierge.
Sur ses dernières paroles, nous prenons la route. Tout semble avoir été creusé depuis plusieurs siècles et le boyau est étroit, j’ai même de la peine à me tenir debout. Il fait très sombre, humide, ça pue et je n’ose même pas imaginer ce que j’écrase avec mes pieds nus. Bref, je ne suis pas à la fête, surtout que j’ai l’impression de descendre encore plus, ce qui n’est jamais bon signe.
J’ai peur de ne jamais revoir la lumière du jour, engloutis par les profondeurs de la terre. Finalement, au bout d’un certain temps que je suis incapable d’évaluer, mon cerveau fonctionnant au ralenti, nous arrivons dans un grand amphithéâtre, cette fois-ci éclairé par de nombreux braseros. Le plafond se perd dans l’obscurité et de nombreuses statues représentant les Titans, parsèment l’endroit.
Il y a près d’une centaine de personnes ainsi rassemblé, la plupart assis sur des gradins et au milieu de tout cela, une table en pierre, couverte de sang séché et je me dis que les choses s’annoncent mal, très mal. D’ailleurs, ils hurlent en me voyant arrivé, criant sans cesse :
Mort au Reike ! Mort au Reike…
Oui, tu peux l’emmener. Mais tu pourras la manger après la cérémonie, il nous faut le sang d’une vierge.
Sur ses dernières paroles, nous prenons la route. Tout semble avoir été creusé depuis plusieurs siècles et le boyau est étroit, j’ai même de la peine à me tenir debout. Il fait très sombre, humide, ça pue et je n’ose même pas imaginer ce que j’écrase avec mes pieds nus. Bref, je ne suis pas à la fête, surtout que j’ai l’impression de descendre encore plus, ce qui n’est jamais bon signe.
J’ai peur de ne jamais revoir la lumière du jour, engloutis par les profondeurs de la terre. Finalement, au bout d’un certain temps que je suis incapable d’évaluer, mon cerveau fonctionnant au ralenti, nous arrivons dans un grand amphithéâtre, cette fois-ci éclairé par de nombreux braseros. Le plafond se perd dans l’obscurité et de nombreuses statues représentant les Titans, parsèment l’endroit.
Il y a près d’une centaine de personnes ainsi rassemblé, la plupart assis sur des gradins et au milieu de tout cela, une table en pierre, couverte de sang séché et je me dis que les choses s’annoncent mal, très mal. D’ailleurs, ils hurlent en me voyant arrivé, criant sans cesse :
Mort au Reike ! Mort au Reike…
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