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Citoyen de La République
Takhys Suladran

Messages : 154
crédits : 1287
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Info personnage
Race: Sirène
Vocation: Mage élémentaliste
Alignement: Chaotique Neutre
Rang: C
Takhys terminait de nettoyer ses chopes. Ses clients du matin avaient à peine eu le temps de savourer leur première gorgée qu'ils ont dû partir précipitamment. Les malheureux, ils avaient payé leur consommation pour rien. S'étaient-ils confondu en excuses avant de tout laisser sur leur tablée. Tous les matins, avant d'entamer leur journée sur les quais du port, ils venaient à trois ou quatre se prendre une bonne petite bière pour accompagner un solide petit déjeuner, que la tenancière avait appris à faire d'avance pour eux. Là, outre l'abandon de leur boisson matinale, elle n'avait pas eu le temps de faire cuire l'œuf sur le plat et les deux tranches de jambons bien grasses que chacun d'entre eux appréciait dévorer. Tant pis pour la bière, elle leur préparera leur repas à leur retour alors. S'ils revenaient...
Elle posa sa seconde chope séchée avec son essuie de lin et regarda par l'une des fenêtres du Marsouin Blanc. Le temps était fort obscure, pour un début de matinée. Bien qu'on était à la fin de l'été, le ciel était sombrement nuageux et le vent soufflait avec force et par intermittence. Une petite tempête s'était approchée des côtes un peu plus rapidement qu'observé par la capitainerie, prenant un peu tout le monde de court. Pour cela que ses trois ouvriers portuaires de ce matin n'avaient pas eu le temps d'engloutir leur bière bien mousseuse. Avec cette colère maritime, ils avaient pris la décision de se rendre utile, pour protéger les possibles marchandises qui avaient été débarqués à l'aube, ou à l'inverse, de charger au plus vite celles qui devaient l'être, pour être à couvert dans les cales des navires ventrues venus faire commerce. Chose certaine était qu'aucun navire ne ferait voile au-delà du port. Sauf les plus audacieux... ou les plus fous.
Elle cligna des yeux, quand un flash blanc illumina l'extérieur. Ah... l'orage maintenant. Le noyau de la tempête se rapprochait. Le tonnerre éclata non loin. Peut être devrait-elle préparer quelques spiritueux réchauffant pour les terrestres qui entreront ici pour se réfugier de la furie des éléments. Elle sourit en étant ébloui une seconde fois par un autre éclair, qui tonna plus proche. Oui, quelques potentiels clients pourraient se précipiter dans sa taverne pour se mettre sous la protection d'un solide toit, car si la pluie se mettait à .... tomber... qu'elle était forte pour deviner la suite. Une forte pluie se mettre à tomber, au point qu'on ne voyait plus rien par la fenêtre. Ça lavera au moins le port, qui puait un peu trop le poisson pourri cette dernière semaine. Elle termina de faire sécher sa troisième chope. Satisfaite, elle la posa à côté de ses deux autres soeurs, dans une ligne parfaite. Autant les laisser sur le comptoir, ne sait-on jamais.
Elle posa sa seconde chope séchée avec son essuie de lin et regarda par l'une des fenêtres du Marsouin Blanc. Le temps était fort obscure, pour un début de matinée. Bien qu'on était à la fin de l'été, le ciel était sombrement nuageux et le vent soufflait avec force et par intermittence. Une petite tempête s'était approchée des côtes un peu plus rapidement qu'observé par la capitainerie, prenant un peu tout le monde de court. Pour cela que ses trois ouvriers portuaires de ce matin n'avaient pas eu le temps d'engloutir leur bière bien mousseuse. Avec cette colère maritime, ils avaient pris la décision de se rendre utile, pour protéger les possibles marchandises qui avaient été débarqués à l'aube, ou à l'inverse, de charger au plus vite celles qui devaient l'être, pour être à couvert dans les cales des navires ventrues venus faire commerce. Chose certaine était qu'aucun navire ne ferait voile au-delà du port. Sauf les plus audacieux... ou les plus fous.
Elle cligna des yeux, quand un flash blanc illumina l'extérieur. Ah... l'orage maintenant. Le noyau de la tempête se rapprochait. Le tonnerre éclata non loin. Peut être devrait-elle préparer quelques spiritueux réchauffant pour les terrestres qui entreront ici pour se réfugier de la furie des éléments. Elle sourit en étant ébloui une seconde fois par un autre éclair, qui tonna plus proche. Oui, quelques potentiels clients pourraient se précipiter dans sa taverne pour se mettre sous la protection d'un solide toit, car si la pluie se mettait à .... tomber... qu'elle était forte pour deviner la suite. Une forte pluie se mettre à tomber, au point qu'on ne voyait plus rien par la fenêtre. Ça lavera au moins le port, qui puait un peu trop le poisson pourri cette dernière semaine. Elle termina de faire sécher sa troisième chope. Satisfaite, elle la posa à côté de ses deux autres soeurs, dans une ligne parfaite. Autant les laisser sur le comptoir, ne sait-on jamais.

Noble de La République
Leonora de Hengebach

Messages : 34
crédits : 216
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Info personnage
Race: Humaine
Vocation: Guerrier assassin
Alignement: Loyale neutre
Rang: B
Le port était un endroit bruyant et animé, avec des marchands qui criaient leurs offres, des pêcheurs réparaient leurs filets et des marins racontaient des histoires de leurs voyages lointains. Les odeurs de poissons frais ou plus ou moins, d'épices et de bois flottèrent dans l'air, créant une atmosphère unique et vivante. Léonora était en visite dans le port de Courage et comptait bien s’enfoncer dans la ville pour poursuivre sa découverte.
Le port était équipé de quais en bois solides pour le déchargement des marchandises en provenance des navires. Des entrepôts en pierre étaient disséminés le long des quais pour le stockage des marchandises, notamment des tonneaux de vin, des sacs de céréales, des textiles et d'autres produits. Des marchés locaux étaient organisés près du port, là où les habitants venaient acheter des produits frais et des marchandises plus exotiques. Léonora s’y attarda un peu. Une vieille commerçante leva le nez vers le ciel et conseilla à la jeune brune de rentrer rapidement, que le temps était à l’orage, qu’une tempête approchait. Le port abritait une variété de navires, allant des modestes bateaux de pêche aux imposants navires marchands. Certains de ces navires arboraient les couleurs et les emblèmes de la ville de Courage, renforçant ainsi le sentiment d'identité et de fierté locale. La mer s’agitait peu à peu, faisant danser chaque navire sous ses vagues naissantes.
Le ciel, autrefois serein et bleu, commença à se transformer. Des nuages sombres, épais et menaçants s'accumulèrent rapidement à l'horizon, obscurcissant la lumière du soleil. Le vent, autrefois doux et apaisant, commençait à souffler avec une intensité croissante, agitant violemment les drapeaux et les cordages des navires amarrés et les cheveux de Léonora fouettèrent son visage. Les premières gouttes de pluie tombèrent, lourdes et froides, créant des éclaboussures sur les pavés du port. Le bruit de la pluie sur les toits rouges des maisons, sur les entrepôts et des bâtiments portuaires était semblable au martèlement incessant de petits outils. Les bateaux dans le port commencèrent à se balancer dangereusement sur les vagues qui grossissaient rapidement. Les marins s'affairaient frénétiquement à sécuriser leurs navires, enroulant les voiles avec précipitation et serrant les amarres avec force. Le cri des mouettes, prit une note plus aiguë, témoignant de l'approche imminente de la tempête.
Le grondement sourd du tonnerre résonnait à l'horizon, annonçant l'arrivée prochaine de l'orage. Les éclairs zébraient le ciel maintenant noir, illuminant brièvement le port et la mer agitée. Le roulement des vagues se transforma en un rugissement déchaîné. Les arbres ployaient sous la force du vent, leurs feuilles tourbillonnèrent dans les airs comme des milliers de papillons emportés par la tempête. L'air était chargé d'électricité et une tension palpable régnait parmi les marins et les habitants du port. Ils se savaient à la merci des éléments, impuissants face à la furie de la nature. Dans ce tumulte, le port était transformé en un véritable chaos de mouvements frénétiques, de bruits assourdissants alors que la tempête s'abattait avec une violence inouïe, laissant les âmes du port dans l'attente anxieuse de son passage.
Léonora souleva ses jupes et se mit à courir en s’enfonçant dans la ville, empruntant la ruelle la plus proche. Ce n’était qu’une enfilade de maisons et Léonora désespérait de trouver un refuge, le temps que la tempête ne se calme. Il tombait maintenant des trombes d’eau, on n’y voyait pas à plus d’une dizaine de mètres. On se serait cru en pleine apocalypse. Quand soudain, la jeune noble aperçut l’enseigne du Marsouin Blanc, c’est en cet endroit qu’elle décida de se mettre à l’abri.
Elle entra en trombe dans la taverne pour refermer la porte derrière elle, essoufflée est dégoulinante, laissant sous elle une flaque qui ne cessait de s’étendre sur le sol. Léonora n’osait plus bouger, confuse, elle leva les yeux sur la tenancière qui essuyait des choppes.
- Pardonnez-moi, je voulais m’abriter mais je crois que c’est une mauvaise idée… Tout en désignant le sol détrempé. Elle n'était pas du genre à se lamenter, mais elle faisait vraiment peine à voir.
Le port était équipé de quais en bois solides pour le déchargement des marchandises en provenance des navires. Des entrepôts en pierre étaient disséminés le long des quais pour le stockage des marchandises, notamment des tonneaux de vin, des sacs de céréales, des textiles et d'autres produits. Des marchés locaux étaient organisés près du port, là où les habitants venaient acheter des produits frais et des marchandises plus exotiques. Léonora s’y attarda un peu. Une vieille commerçante leva le nez vers le ciel et conseilla à la jeune brune de rentrer rapidement, que le temps était à l’orage, qu’une tempête approchait. Le port abritait une variété de navires, allant des modestes bateaux de pêche aux imposants navires marchands. Certains de ces navires arboraient les couleurs et les emblèmes de la ville de Courage, renforçant ainsi le sentiment d'identité et de fierté locale. La mer s’agitait peu à peu, faisant danser chaque navire sous ses vagues naissantes.
Le ciel, autrefois serein et bleu, commença à se transformer. Des nuages sombres, épais et menaçants s'accumulèrent rapidement à l'horizon, obscurcissant la lumière du soleil. Le vent, autrefois doux et apaisant, commençait à souffler avec une intensité croissante, agitant violemment les drapeaux et les cordages des navires amarrés et les cheveux de Léonora fouettèrent son visage. Les premières gouttes de pluie tombèrent, lourdes et froides, créant des éclaboussures sur les pavés du port. Le bruit de la pluie sur les toits rouges des maisons, sur les entrepôts et des bâtiments portuaires était semblable au martèlement incessant de petits outils. Les bateaux dans le port commencèrent à se balancer dangereusement sur les vagues qui grossissaient rapidement. Les marins s'affairaient frénétiquement à sécuriser leurs navires, enroulant les voiles avec précipitation et serrant les amarres avec force. Le cri des mouettes, prit une note plus aiguë, témoignant de l'approche imminente de la tempête.
Le grondement sourd du tonnerre résonnait à l'horizon, annonçant l'arrivée prochaine de l'orage. Les éclairs zébraient le ciel maintenant noir, illuminant brièvement le port et la mer agitée. Le roulement des vagues se transforma en un rugissement déchaîné. Les arbres ployaient sous la force du vent, leurs feuilles tourbillonnèrent dans les airs comme des milliers de papillons emportés par la tempête. L'air était chargé d'électricité et une tension palpable régnait parmi les marins et les habitants du port. Ils se savaient à la merci des éléments, impuissants face à la furie de la nature. Dans ce tumulte, le port était transformé en un véritable chaos de mouvements frénétiques, de bruits assourdissants alors que la tempête s'abattait avec une violence inouïe, laissant les âmes du port dans l'attente anxieuse de son passage.
Léonora souleva ses jupes et se mit à courir en s’enfonçant dans la ville, empruntant la ruelle la plus proche. Ce n’était qu’une enfilade de maisons et Léonora désespérait de trouver un refuge, le temps que la tempête ne se calme. Il tombait maintenant des trombes d’eau, on n’y voyait pas à plus d’une dizaine de mètres. On se serait cru en pleine apocalypse. Quand soudain, la jeune noble aperçut l’enseigne du Marsouin Blanc, c’est en cet endroit qu’elle décida de se mettre à l’abri.
Elle entra en trombe dans la taverne pour refermer la porte derrière elle, essoufflée est dégoulinante, laissant sous elle une flaque qui ne cessait de s’étendre sur le sol. Léonora n’osait plus bouger, confuse, elle leva les yeux sur la tenancière qui essuyait des choppes.
- Pardonnez-moi, je voulais m’abriter mais je crois que c’est une mauvaise idée… Tout en désignant le sol détrempé. Elle n'était pas du genre à se lamenter, mais elle faisait vraiment peine à voir.

Citoyen de La République
Takhys Suladran

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crédits : 1287
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Info personnage
Race: Sirène
Vocation: Mage élémentaliste
Alignement: Chaotique Neutre
Rang: C
La pluie s'était intensifiée à un point que la Sirène se demandait si la ville de Courage ne s'était pas téléportée vers les régions plus chaudes et plus humides, là où les trombes d'eau étaient tout aussi conséquentes. Ça ressemblait à la mousson, où l'eau tombait tellement en volume sur le sol qu'elle l'inondait, qu'elle poussait les rivières à envahir les terres. Normalement, vu la géographie de la cité portuaire, l'eau tombée du ciel ne pourra que s'écouler que vers la mer. Restait à voir à quelle vitesse elle dévalera les rues. Un instant, elle regarda par la fenêtre. Elle ne voyait presque plus rien. Eh bien, pensa-t-elle, les cieux étaient déchaînés aujourd'hui. Elle prit une nouvelle chope, afin de rallonger la ligne formée par les trois qu'elle avait lavées et essuyées pour se tenir prête à l'arrivée en urgence de possibles clients dégoulinants de flotte. Mais personne n'entra dans sa petite taverne. Et les gouttes tombaient toujours en masse, avec une redoutable intensité. Ce ne sera pas dans l'heure et dans l'heure prochaine qu'elle aura de la clientèle. Il y aura sûrement des dégâts, des caves et des cales de navire inondées, des toitures fuitant... Hum... peut-être qu'elle devra aller voir une fois la météo redevenue plus sereine les possibles dégâts des tuiles du toit. Il suffisait d'un rien pour que ça trouve une fuite et que cela détrempe tout.
Elle regarda sa quatrième chope toute propre. Elle lâcha un petit soupir. La surface était vraiment fragile. Une tempête passait et bonjour les dégâts. Sous l'eau, hormis les récifs et les faibles profondeurs qui étaient touchés, le reste était totalement à l'abri. Il suffisait de s'enfoncer un peu pour échapper au remous des vagues furieuses, d'être malmenées par les bourrasques puissantes et des éclairs aveuglants. Ici, sur la terre ferme, elle avait beau être sous un toit, elle se retrouvait à commencer à s'inquiéter des frais à débourser si le toit de sa taverne venait à céder face aux intempéries d'une belle et rare violence pour ce mois-ci. Elle sursauta quand la porte s'ouvrit d'un coup, dans un sourd claquement. S'attendant presque à ce que ce soit un coup de vent, elle découvrit une jeune femme plus que détrempée qui était entrée, qui termina de batailler à fermer la porte pour repousser l'air venteux qui cherchait à entrer à son tour. Takhys cligna plusieurs fois de ses paupières, pour s'assurer qu'elle n'était pas victime d'une hallucination. Non, elle ne rêvait pas, elle avait bien en face une potentielle cliente
Elle eut un léger sourire, déposa sa chope désormais propre dans la ligne des autres parfaitement alignées et regarda la nouvelle venue de la tête aux pieds. Elle haussa un sourcil en voyant la petite mare d'eau sous ses pieds. Puis, elle remonta ses yeux bruns pailletés d'ambre sur la jeune femme encore ruisselante d'eau.
''Pourquoi serait-ce une si mauvaise idée ? Il pleut averse dehors... a moins que vous ne souhaitiez vous métamorphoser en poisson. Malgré cette inondation qui a pris place sous vos semelles, bienvenue au sein du Marsouin Blanc. Je ne m'attendais pas à avoir du monde ce matin, avec cette tempête qui sévit. "
Son sourire s'étendit un peu, toute joviale
''Faudra me nettoyer cette flaque. Le bois du plancher ne va pas apprécier… "fit-elle, avant de laisser quelques secondes de silence planer, permettant d'écouter le martèlement sourd d'une forte pluie qui ne perdait pas en intensité.
''Je plaisante voyons. Essayez de vous essorer un maximum, asseyez-vous où vous le souhaitez. Je vais chercher de quoi vous aider à vous sécher. "
Elle quitta son comptoir pour pénétrer dans sa salle d'eau jusqu'à côté, et en ressorti avec deux serviettes de lin doux, pour rejoindre son invitée surprise en mode éponge à essorer.
"Tenez. Et frottez-vous bien. Si besoin, j'ai une tenue féminine à vous prêter si vous le souhaiter. "
Elle en profita pour observer cette humaine. Jeune, d'une petite taille, mais assez jolie et avec une allure qui faisait d'elle une femme en bonne forme physique. Un petit lot agréable pour un homme en somme. Heureusement, aucun ne traînait dans les parages. Et elle ne devait pas être du coin. Mais elle était loin d'être une ouvrière ou une femme de caste manuelle.
''Je me demande ce que vous faisiez dehors par un temps pareil. "
Elle regarda sa quatrième chope toute propre. Elle lâcha un petit soupir. La surface était vraiment fragile. Une tempête passait et bonjour les dégâts. Sous l'eau, hormis les récifs et les faibles profondeurs qui étaient touchés, le reste était totalement à l'abri. Il suffisait de s'enfoncer un peu pour échapper au remous des vagues furieuses, d'être malmenées par les bourrasques puissantes et des éclairs aveuglants. Ici, sur la terre ferme, elle avait beau être sous un toit, elle se retrouvait à commencer à s'inquiéter des frais à débourser si le toit de sa taverne venait à céder face aux intempéries d'une belle et rare violence pour ce mois-ci. Elle sursauta quand la porte s'ouvrit d'un coup, dans un sourd claquement. S'attendant presque à ce que ce soit un coup de vent, elle découvrit une jeune femme plus que détrempée qui était entrée, qui termina de batailler à fermer la porte pour repousser l'air venteux qui cherchait à entrer à son tour. Takhys cligna plusieurs fois de ses paupières, pour s'assurer qu'elle n'était pas victime d'une hallucination. Non, elle ne rêvait pas, elle avait bien en face une potentielle cliente
Elle eut un léger sourire, déposa sa chope désormais propre dans la ligne des autres parfaitement alignées et regarda la nouvelle venue de la tête aux pieds. Elle haussa un sourcil en voyant la petite mare d'eau sous ses pieds. Puis, elle remonta ses yeux bruns pailletés d'ambre sur la jeune femme encore ruisselante d'eau.
''Pourquoi serait-ce une si mauvaise idée ? Il pleut averse dehors... a moins que vous ne souhaitiez vous métamorphoser en poisson. Malgré cette inondation qui a pris place sous vos semelles, bienvenue au sein du Marsouin Blanc. Je ne m'attendais pas à avoir du monde ce matin, avec cette tempête qui sévit. "
Son sourire s'étendit un peu, toute joviale
''Faudra me nettoyer cette flaque. Le bois du plancher ne va pas apprécier… "fit-elle, avant de laisser quelques secondes de silence planer, permettant d'écouter le martèlement sourd d'une forte pluie qui ne perdait pas en intensité.
''Je plaisante voyons. Essayez de vous essorer un maximum, asseyez-vous où vous le souhaitez. Je vais chercher de quoi vous aider à vous sécher. "
Elle quitta son comptoir pour pénétrer dans sa salle d'eau jusqu'à côté, et en ressorti avec deux serviettes de lin doux, pour rejoindre son invitée surprise en mode éponge à essorer.
"Tenez. Et frottez-vous bien. Si besoin, j'ai une tenue féminine à vous prêter si vous le souhaiter. "
Elle en profita pour observer cette humaine. Jeune, d'une petite taille, mais assez jolie et avec une allure qui faisait d'elle une femme en bonne forme physique. Un petit lot agréable pour un homme en somme. Heureusement, aucun ne traînait dans les parages. Et elle ne devait pas être du coin. Mais elle était loin d'être une ouvrière ou une femme de caste manuelle.
''Je me demande ce que vous faisiez dehors par un temps pareil. "

Noble de La République
Leonora de Hengebach

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Info personnage
Race: Humaine
Vocation: Guerrier assassin
Alignement: Loyale neutre
Rang: B
La taverne était rendue plus sombre, les éclairs déchiraient le ciel obscurci par d'épais nuages noirs. La tempête faisait rage à l'extérieur de la taverne, secouant les les volets battants des habitations voisines. La pluie, aussi torrentielle que la colère des Titans, tombait en trombes, transformait les rues en rivières.
Au milieu de ce chaos naturel, la jeune femme qui avait trouvé refuge, portait une robe autrefois élégante, faite de soie et de fine dentelle, maintenant lourdement trempée et collée à sa peau, semblait porter la pluie qui tombait sans relâche. Ses cheveux d'ordinaire bien coiffés étaient devenus des mèches emmêlées, collées à son visage pâle et inondé. Ses chaussures élégantes étaient maintenant des réservoirs d'eau, faisant chaque pas difficile et inconfortable. L'eau dégoulinait de sa silhouette, créant une flaque autour d'elle. Le regard surpris de la tenancière se leva vers cette vision incongrue et une Léonora tremblante de froid, l'eau dégoulinait, créant une flaque autour d’elle qui ne faisait que grossir. Elle était un contraste saisissant avec l'atmosphère chaleureuse de la taverne, mais son arrivée imprévue ne faisait que renforcer le caractère dramatique de la scène dans cet abri providentiel. Des gouttes de pluie s'accrochaient à ses cils et glissaient sur ses joues, créant un éclat particulier dans son regard, un mélange de fausse fragilité et de résilience.
La femme qui se tenait là à essuyer les chopes lui suggéra de nettoyer le sol noyé par sa faute. La de Hengebach baissa les yeux sur le plancher noyé par sa faute et répondit, le sourire contrit.
Oui, biensûr… Je nettoierai s’il le faut.
Il était normal après tout de ne pas laisser derrière soit un bazar sans nom. C'est alors que la femme chaleureuse et bienveillante, la tenancière de l'auberge, s'avança vers elle avec un sourire accueillant. Ses yeux ambrés pétillaient d'amabilité alors qu'elle tendait d’une main secourable des serviettes pour se sécher et lui proposa même une tenue. Léonora s’était essorée, ce qui avait fait couler l’eau bien plus qu’à son arrivée et prit place à une table non loin. Elle s’essuya le visage puis commença par à se frictionner les cheveux en retirant au préalable, la « pince » qui lui soutenait les cheveux.
Je vous remercie beaucoup. Je me promenais sur le port, quand le temps a changé subitement, je me suis laissée surprendre. Dans la précipitation, j’ai emprunté une rue au hasard et me voici.
Quant à la proposition d’une tenue sèche était très tentante, sachant qu’elle commençait à se refroidir un peu plus, elle hésitait…
Je ne voudrais pas abuser de votre gentillesse ni vous déposséder d’une robe.
Lui proposait-elle une de ses propres robes ? Sans doute pas. La femme se tenant près d’elle était bien plus grande et opulente qu’elle. De beaux arguments que Léonora ne pouvait rater tant ils étaient parfaitement mis en valeur. Elle continua de s’essuyer la nuque puis le léger décolleté de changer de serviette tout en laissant échapper un grand frisson.
Cependant, je prendrais bien quelque chose de chaud. Une soupe ou un repas et une boisson, s’il vous plait.
La taverne était vide, le temps n’était pas favorable à la fréquentation contrairement à ce que la jeune brune aurait pu penser et pour la remercier, elle ferait tourner un peu le commerce.
La clientèle se fait-elle toujours aussi rare par mauvais temps ?
Au milieu de ce chaos naturel, la jeune femme qui avait trouvé refuge, portait une robe autrefois élégante, faite de soie et de fine dentelle, maintenant lourdement trempée et collée à sa peau, semblait porter la pluie qui tombait sans relâche. Ses cheveux d'ordinaire bien coiffés étaient devenus des mèches emmêlées, collées à son visage pâle et inondé. Ses chaussures élégantes étaient maintenant des réservoirs d'eau, faisant chaque pas difficile et inconfortable. L'eau dégoulinait de sa silhouette, créant une flaque autour d'elle. Le regard surpris de la tenancière se leva vers cette vision incongrue et une Léonora tremblante de froid, l'eau dégoulinait, créant une flaque autour d’elle qui ne faisait que grossir. Elle était un contraste saisissant avec l'atmosphère chaleureuse de la taverne, mais son arrivée imprévue ne faisait que renforcer le caractère dramatique de la scène dans cet abri providentiel. Des gouttes de pluie s'accrochaient à ses cils et glissaient sur ses joues, créant un éclat particulier dans son regard, un mélange de fausse fragilité et de résilience.
La femme qui se tenait là à essuyer les chopes lui suggéra de nettoyer le sol noyé par sa faute. La de Hengebach baissa les yeux sur le plancher noyé par sa faute et répondit, le sourire contrit.
Oui, biensûr… Je nettoierai s’il le faut.
Il était normal après tout de ne pas laisser derrière soit un bazar sans nom. C'est alors que la femme chaleureuse et bienveillante, la tenancière de l'auberge, s'avança vers elle avec un sourire accueillant. Ses yeux ambrés pétillaient d'amabilité alors qu'elle tendait d’une main secourable des serviettes pour se sécher et lui proposa même une tenue. Léonora s’était essorée, ce qui avait fait couler l’eau bien plus qu’à son arrivée et prit place à une table non loin. Elle s’essuya le visage puis commença par à se frictionner les cheveux en retirant au préalable, la « pince » qui lui soutenait les cheveux.
Je vous remercie beaucoup. Je me promenais sur le port, quand le temps a changé subitement, je me suis laissée surprendre. Dans la précipitation, j’ai emprunté une rue au hasard et me voici.
Quant à la proposition d’une tenue sèche était très tentante, sachant qu’elle commençait à se refroidir un peu plus, elle hésitait…
Je ne voudrais pas abuser de votre gentillesse ni vous déposséder d’une robe.
Lui proposait-elle une de ses propres robes ? Sans doute pas. La femme se tenant près d’elle était bien plus grande et opulente qu’elle. De beaux arguments que Léonora ne pouvait rater tant ils étaient parfaitement mis en valeur. Elle continua de s’essuyer la nuque puis le léger décolleté de changer de serviette tout en laissant échapper un grand frisson.
Cependant, je prendrais bien quelque chose de chaud. Une soupe ou un repas et une boisson, s’il vous plait.
La taverne était vide, le temps n’était pas favorable à la fréquentation contrairement à ce que la jeune brune aurait pu penser et pour la remercier, elle ferait tourner un peu le commerce.
La clientèle se fait-elle toujours aussi rare par mauvais temps ?
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