DiscordDiscord  
  • AccueilAccueil  
  • CalendrierCalendrier  
  • FAQFAQ  
  • RechercherRechercher  
  • MembresMembres  
  • GroupesGroupes  
  • S'enregistrerS'enregistrer  
  • ConnexionConnexion  
  • bienvenue
    ×
    navigation rapide
    lore
    général
    systèmes
    jeu

    menu
    Top-sites
    Votez!
    top sitetop sitetop sitetop site

    Derniers messages

    Avatar du membre du mois
    Membre du mois
    Seraphin

    Prédéfinis

    PrédéfiniPrédéfiniPrédéfini
    La Prison Ecarlate InRH1Ti
    Gazette des cendres
    Printemps 2024
    Lire le journal
    #6
    RP coup de coeurCoeur

    RP coup de coeur

    Le Lever de Lune
    Derniers sujets
    Le Lever de LuneHier à 23:36Orion Yamveil
    RP Spéciaux de Stadzank - REIKEHier à 22:43Tensai Ryssen
    RP Spéciaux : BoucherHier à 22:42Tensai Ryssen
    RPS spéciaux Qwellaana Hier à 22:40Tensai Ryssen
    RP spéciaux de Mégère - ReikeHier à 22:39Tensai Ryssen
    [TERMINEE] Gwynneth De EveluneHier à 22:02Tensai Ryssen
    [Terminée] Galen TorvaldsHier à 21:53Tensai Ryssen
    [Recenser son pouvoir inventé]Hier à 20:13Alasker Crudelis
    Le Conclave du CrimeHier à 19:17Carl Sorince
    2 participants
    Aller en bas
    Citoyen du Reike
    Citoyen du Reike
    Le Boucher
    Le Boucher
    Messages : 102
    crédits : 590

    Info personnage
    Race: Drakyn
    Vocation: Guerrier combattant
    Alignement: Chaotique Mauvais
    Rang: C
    qui suis-je ?:
    https://www.rp-cendres.com/t3419-le-boucher-termine
  • Mar 27 Fév - 22:49
    La Prison Écarlate
    Feat. Alasker (Dieu)
    Assis sur la planche métallique aussi rouillée qu’ancienne lui servant de couche, le colosse écarlate voyait son regard rivé sur les chaînes l’attachant à un mur, comme un chien, condamné à errer perpétuellement dans les limbes de l’emprisonnement éternel. Enfermé entre ces quatre murs imbaisables, pour des crimes odieux dont il n’était pas même prouvé qu’il en était véritablement l’auteur, le Drakyn ne prit même plus la peine d’essayer de penser, de réfléchir, non, il ne prit plus la peine d’essayer de demeurer. Sachant qu’il ne fût probablement jamais relâché, la bête cornue voulut à tout prix trouver un moyen de mettre fin à son existence minable, oiseuse. Inutile de vivre entravé. De vivre enchaîné. Même se donner la mort, il ne le pouvait pas. Complexe, lorsque l’on fut enchaîné de la tête au pied, à longueur de temps, depuis une décennie tout entière. Pas un fracas pour le distraire un minimum, si ce n’étaient les gouttes d’eau provoquées par l’humidité persistante, frappant d’une faible onde le sol pierreux de la prison. Pas une présence vivante, si ce n’est les quelques rongeurs qui, parfois, avaient le courage de venir mordiller les écailles du mastodonte. Seuls les courants d’air inconfortables, parfois glacial, parfois ardent, venaient effleurer son épaisse cuirasse, le faisant vrombir.

    Dix minutes. C’était le temps qui lui était accordé pour inhaler autre chose que la moiteur agressive de sa geôle, qui venait, à chaque instant de sa vie, léser ses poumons. Inhabitué face aux faisceaux du soleil, il les sentait comme des lames ardentes lorsque ces derniers venaient caresser sa peau. Inhabitué face à la luminosité de l’astre divin, la lumière perçante lui crevait ses prunelles, d’une couleur bien sombre. Le colosse écarlate profitait dès lors de ces dix minutes de liberté, si l’on pouvait appeler cela comme ça, pour s’infliger diverses douleurs. Par exemple, il usait d’une pierre tranchante qu’il trouvât sur le sol graveleux de la cour du pénitencier afin de forer son épaisse carapace, à la recherche d’un filament bleu empli de ce précieux liquide écarlate qu’il affectionnât tant. Mais, ce n’était pas tout. Avec ce tranchant morceau de roc, le fou tentait de pénétrer sa gorge, cette cavité qu’il appréciait tant sur autrui, de manière à faire jaillir son essence hors de son pitoyable corps. Toutefois, il était difficile de mettre à terre un être tel que le Drakyn à l’aide d’une simple roche, d’un objet de la nature n’ayant pas pour vocation d’être un assassin. Même lors de ce faible moment de liberté, le Drakyn ne pouvait pas tenter de se libérer de son entrave éternelle, de son enveloppe charnelle.

    Contrairement à ce qui avait été dit plus tôt, le colosse écarlate était bien loin de vouloir mettre véritablement fin à son existence entravée par des chaînes imbrisable. Il se plaisait à s’infliger toutes ces souffrances pour un simple et bonne raison. Laissant la tranchante pierre faire son œuvre, la guidant à l’aide de son imposante main droite, le Drakyn trouvait un certain plaisir à libérer les ports composant l’intérieur de son bras gauche. Laissant un large sillon écarlate sur ce dernier, la bête cornue poussa un léger rugissement de plaisir, s’imaginant à l’œuvre sur la gorge de l’une de ces femmes qu’il avait pris plaisir à décapiter puis, à violer. N’ayant aucun être vivant à portée de bras, si ce n’étaient les rongeurs vivant dans l’enceinte de la prison écarlate, le colosse était obligé de se satisfaire sur lui-même. Se promenant dans la cour librement, ou presque, le Drakyn cherchait d’autres objets capables de faire le mal, soulevant, de ses pas lourds, la poussière rocailleuse du sol. À la fin de ces dix minutes de liberté quotidienne, le colosse était redirigé dans sa geôle, tel un esclave. Sans nul doute, il aurait préféré mener une vie d’esclave, plutôt qu’une vie de prisonnier.

    De nouveaux enchaînés de la tête aux pieds, le regard du Drakyn se porta naturellement face à lui. Ne laissant aucune expression transparaître sur son visage ingrat, la bête cornue tentait tant bien que mal de ne pas succomber à la folie. Pourquoi la folie ? Était-ce ces chaînes rouillées qui le poussaient à bout ? Non, nullement. C’était bien pire que cela. Une goutte d’eau. Oui, une simple goutte d’eau, tombant à répétition entre les prunelles du Drakyn, d’un rythme régulier. Cette simple onde aquatique pouvait, à elle seule, faire sombrer n’importe quel être dans la folie, même le plus courageux et le plus brave. Ne pouvant point entrouvrir les lèvres pour pousser un cri, le colosse écarlate était condamné à vivre sous les violentes pressions de la goutte d’eau jusqu’au lendemain. Cependant, un brave gardien de prison vint jusqu’à lui, alors que l’astre lunaire brillait de mille feux au-dessus du pénitencier. Une faible lueur parvenait à passer en travers des multiples barreaux de la lucarne servant de fenêtre. L’étincelle d’une torche vint toutefois apporter un peu plus de lumière à ce lieu peu chaleureux, alors que la voix d’un homme résonna dans l’immense vide de la geôle du prisonnier.

    - Hé, le monstre. Il y a un gars qui veut te voir. Un gars important. Je crois que ton heure est venue. Tu vas enfin crever comme la raclure de fond de chiotte que t’es. T’as pas idée d’à quel point je vais me délecter de la scène, de ton exécution. Enfant de pute.

    Les chaînes retenant les monstres cornus cédèrent sous la pression des débattements instables du colosse. D’un mouvement aussi rapide qu’imprévisible, le Boucher fonda sur le geôlier, passant son imposant bras écailleux au travers des barreaux d’acier censés être imbrisables. La main imposante du colosse écarlate enlaça le cou chétif de sa victime, alors qu’il ramena son bras jusqu’à lui, bloquant le visage dessinant une expression de surprise contre les barreaux. Habituellement impassible, les traits du visage du Drakyn dansèrent à un rythme irrégulier, accentuant un manque de contrôle certain, le rendant d’autant plus terrifiant. Ses prunelles écarlates, perçant les ténèbres, ne quittèrent pas une seule seconde le pauvre homme qui était en train de se débattre comme un vulgaire insecte, face à l’imposant mastodonte. La voix grave et roque de ce dernier résonna dans toute la prison, alarmant aussitôt d’autres gardes qui ne tarderaient pas à arriver.

    - Je vais t’étriper sur place, sale fils de pute. Imagine tes boyaux ressortir de ton misérable cadavre, dans lequel je plongerai volontiers mes mains à la recherche d’un organe pour nourrir mon appétit carnassier. L’étau mortel se resserra autour du cou du gardien. Je vais t’éviscérer lentement. Et après je te promènerai jusqu’à chez toi, avant de décapiter ta femme et de la violer comme la petite pute qu’elle est. La violer dans tes entrailles. T’imagines la scène ? Cédant sous la force impressionnante du colosse, la tête du garde finit par exploser. Le sang gicla de toute part, couvrant d’une nappe écarlate le visage du Boucher. La langue de ce dernier se promena brièvement sur son visage, venant se délecter de ce précieux liquide. Exquis.

    CENDRES
    Citoyen du Reike
    Citoyen du Reike
    Alasker Crudelis
    Alasker Crudelis
    Messages : 201
    crédits : 3563

    Info personnage
    Race: Loup-Garou
    Vocation: Guerrier combattant
    Alignement: Loyal Mauvais
    Rang: B
    qui suis-je ?:
    https://www.rp-cendres.com/t889-alasker-crudelis-iratus-termine
  • Jeu 18 Avr - 21:46
    “-Quel putain de tordu.”
    C'était toujours la même rengaine, lorsque l'heure venait de laisser au Boucher le droit de sentir un semblant d'air frais. Les gars jouaient à la courte paille pour savoir qui allait devoir s'en approcher le plus, mais aussi pour déterminer qui allait devoir le surveiller pendant sa petite promenade. Manque de bol, Hughie avait dû, aujourd'hui, rejoindre la deuxième catégorie de malchanceux, en compagnie de Sleyvas, le Drakyn borgne. Ce dernier, en se replaçant sur le tabouret trop petit qui soutenait avec difficulté son poids, laissa un soupir blasé s'extirper de sa gueule à demi-ouverte.
    “-Je ne sais même pas pourquoi tu regardes.”
    Hughie ne chercha pas à rétorquer quelque chose de censé du style “c'est mon boulot”, parce que tout le monde était tombé d'accord sur le fait que si, par mégarde, ce gigantesque bâtard se décidait à s'ouvrir la gorge ou à faire une quelconque stupidité du genre, personne n'allait entrer dans la cour pour l'empêcher de claquer. A la place, il posa ses yeux fatigués sur l’épaisse silhouette du sadique et s’apitoya sur son propre sort :
    “-Y’a rien de mieux à faire.
    -Tout est mieux que le regarder, lui. Il me colle la gerbe. Jamais vu quelqu’un sourire autant en souffrant.”
    On pouvait difficilement donner tort à son camarade d’infortune sur ce coup-là. Dès qu'il le pouvait, ce dégueulasse faisait couler son propre sang avec une satisfaction si manifeste qu'elle en venait à défier la décence. Ça n'avait rien d'étonnant vu ce qu'on savait de lui. Vu les accusations lui ayant valu sa petite chambre, à l'ombre, Hughie se félicitait de n'avoir jamais encore eu l'occasion de le raccompagner à sa foutue cellule.
    Ses deux gantelets fermement refermés sur la hampe de la lance sur laquelle il s'appuyait sans cesser de surveiller le géant et ses facéties, le garde de prison grimaça.
    “-Quel genre de malade voudrait volontairement lui rendre visite?”
    Un rire accueillit sa réponse. Dépourvu de joie. Dépourvu d'humour. Le Drakyn a l'origine de cette manifestation de mauvaise humeur se fendit d'un sourire avant de se lever de son siège:
    “-Le même genre que lui.”

    Le fracas métallique de ses solerets heurtant la pierre tiède du sol de la prison se répercutait dans les couloirs, avertissant les rebuts dans leurs cellules comme les lâches chargés de les surveiller qu'il s'en venait vers eux. Les chaînes entourant son plastron d'airain cliquetaient à chacune de ses lourdes respirations, rappelant aux détenus leur sort et leur sombre futur. La hache qui pendait dans son dos, quant à elle, les incitait au respect et à la crainte.
    Iratus préférait qu'on lui témoigne la seconde. Elle était plus naturelle, pour la bête. Un loup, au milieu d'un troupeau de brebis, n'avait que faire du respect des agneaux. Mais les hommes d'armes de tout bord, maintenant, s'enorgueillissaient de devoir se tenir au garde à vous et à saluer timidement son arrivée.
    Même dans ce trou à rat, les foutus gardes lui donnaient du “Tovyr” et du “Sire”.
    Derrière-lui, une chose faite de sueur et de trop longues paroles s'efforçait de suivre le rythme de ses gargantuesques enjambées. Un homme, dans la trentaine mais aux tempes déjà grisonnantes, qui portait sur son armure trop brillante les distinctions insipides que sa carrière sans surprise lui avait permis d'acquérir.
    “-Par sûreté, nous le tenons à l'écart des autres prisonniers.”
    Alasker rit et s'arrêta face à un croisement de plus. Pourquoi toutes les prisons avaient des prétentions labyrinthiques?
    “-C'est à gauche, Tovyr.” Hésita stupidement son guide.
    Le géant d'airain se remit en marche.
    “-Il ne parle pas?
    -Non sire.
    -Et vous avez essayé de lui parler, au moins?
    Court silence. Un rictus né de son amusement demeura au coin de ses lèvres.
    Il faisait chaud en ce jour. C'était presque toujours le cas à Taisen. La poussière, les maisons entassées, la population excessive et la chaleur assommante faisaient partie des principaux défauts de ce trou à rat. Ses petites prisons puaient la sueur des détenus comme des mâtons. Il y avait peu d'entrées de lumière naturelle mais le soleil du désert n'avait hélas jamais eu besoin de pénétrer dans un lieu pour le rendre irrespirable. Il lui suffisait de calciner un toit pour transformer une baraque de pierre en four.
    Les ténèbres insondables siégeant dans ses yeux isolèrent une forme, au bout du couloir que son accompagnateur imbécile et lui-même remontaient. Un vieil homme, sec comme un coup de trique, debout au milieu des cellules, le menton haut, fier et défiant, malgré la crainte que son visiteur lui inspirait. Alasker connaissait son nom et son grade. Lorsqu’on ne pouvait pas simplement se débarrasser d’un obstacle en lui sortant les poumons par la poitrine, se renseigner sur ses rôles et fonctions restaient, hélas, la marche à suivre.
    “-Tovyr Crudelis.” Bougonna le vieil homme en pointant son menton aussi aiguisé qu’une lame dans sa direction. Avant d’atterrir ici, il avait été un Akkelanak du berceau. Addict aux hurlements des prisonniers, l’ancêtre souhaitait maintenant passer son honorable retraite à superviser cet antre de la pourriture-ci jusqu’à ce que les gardiens l’accueillent dans leur domaine.
    “-Sire Blücher.” Rétorqua le géant, tandis que son ombre venait recouvrir la frêle carcasse du vieux.
    Aucune poignée de main, aucun salut d’aucune sorte ne furent échangés. L’inimitié fut ainsi marquée, silencieusement, de même qu’un certain respect mutuel.
    “-Il nous reste quelques menus détails à régler avant que vous ne puissiez rendre visite à notre ami commun.”
    Alasker accepta cet état de fait d’un hochement de tête, puis emboîta le pas du vieux Blücher, tandis qu’il ouvrait la porte de son bureau.

    ***

    Son entrée dans la cellule du Boucher ne fut accompagnée d’aucune torche, puisque le loup comme l’homme qui se partageaient la carcasse bosselée d’Iratus voyaient mieux encore dans la nuit que dans le jour. Les gardes s’étaient retirés, dès son arrivée. Peut-être trouvaient-ils immoral qu’on puisse faire ce qu’il s’apprêtait à faire. Ou peut-être craignaient-ils simplement que leur croquemitaine personnel puisse trouver le moyen de s’enfuir, en se faufilant à travers la porte, dès le premier loquet déverrouillé. Le loup pénétra dans le capharnaüm, lieu de domicile d’un fou, et grimaça en percevant les effluves pestilentielles inhérentes à l’abandon de toute humanité, de toute retenue. Une antre de bête enragée. Une de plus. Tant mieux.
    Il n’était, après tout, pas venu pour converser.
    Trop de paroles. Le vieux était un habile salopard, son existence incroyablement longue lui avait permis d’acquérir un savoir certain sur les règles d’emprisonnement, sur les droits, et sur les passes-droits que pouvaient s’accorder sans trop de problème la hiérarchie. Un tourbillon de palabre avait été jeté au visage du belliqueux Père des Dévoreurs, qui y avait répondu en s’efforçant de conserver -dans un premier temps du moins- son calme. La situation, quoiqu’on en pensait, demandait à son principal instigateur d’être exemplaire, au moins dans son approche initiale.
    Alors ils avaient parlé. Longtemps. Trop longtemps.
    Le loup s’était montré plus endurant. Au mépris de ses propres tics nerveux ou du voile sanglant menaçant d’engloutir sa vision en déchirant au passage son visage d’un flot de douleurs insoutenables. Le front de l’ancêtre s’était plissé, de plus en plus, au fur et à mesure que les arguments de la brute venaient le frapper et mettre à bas sa rhétorique. Un exercice que l’aura de peur qui l’entourait avait facilité, bien sûr. Un tueur pathologique présidait rarement un débat, mais un général ayant déjà pris la tête de deux fils de dieu pouvait se découvrir des talents cachés pour l’éloquence.
    Ou faire croire aux autres qu’il en possédait.
    Bien sûr, l’objectif du vieux n’avait jamais été de le stopper ou de le dissuader. Seulement de lui rendre l’exercice de sa visite aussi pénible qu’il l’était pour lui. En cela, son succès restait modéré.
    Puisqu’il n’avait pas su le faire sortir de ses gonds.
    Maintenant, sa rage bouillonnante menaçait de crever la surface. Ses yeux pétillaient de malice alors qu’ils détaillaient la masse enchaînée au mur face à lui, dans ce trou à rat puant la sueur rance et le sang.
    Les gantelets griffus attrapèrent les hachettes qui pendaient à sa ceinture pour les jeter, lames en avant, sur les entraves du monstre.
    Le boucan du fer fracassant la rouille raisonna dans la pièce humide. Et puis la voix du libérateur tonna tandis qu’il faisait craquer ses articulations.
    “-Debout.


    La Prison Ecarlate V2j7YdS
    Permission de ce forum:

    Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum