Stadzank reçoit l’ordre de faire parler un agent des titans récalcitrant, Mégère, qui est soupçonné de détenir des informations importantes. Coupable de crimes de masse au Reike, la vieille fae est dans de sales draps. Le gobelin compte bien arriver à ses fins et recrute pour l’occasion un pro de la découpe chez les Dévoreurs en la personne du “Boucher” pour faire chanter les prisonniers d’à côté (et surtout pas notre précieuse Mégère) ainsi que d’une FMR, Dame Qwellaana, afin de perpétuer des sévices à l’infini.

Au premier jour, l’épée-lige se rend bien compte que Mégère est une coriace et qu’il faudra utiliser toutes les ressources à sa disposition pour la faire parler. Pourtant il met déjà en place un rituel de questionnement et bat à coups de chaines la vieille femme puisque bien sûr elle ne répond pas.

Au deuxième jour, le gobelin, sous les traits du “barde”, inflige une douleur inimaginable à Mégère grâce à un chevalet, rompant ainsi ses ligaments. Puis il la fait se maintenir en l’air en l’obligeant à chanter avec lui : lorsque cette dernière se met fredonner l’air de la chanson, elle tombe dans les pommes et le gobelin est alors obligé d’appeler le médecin en urgence. Ce dernier fait tellement bien son travail qu’à peine consciente, l’agent des titans lui saute à la gorge et tente lui sectionner la carotide avec les dents.

Au troisième jour, la punition est radicale. Le gobelin fait arracher toutes les dents de la vieille folle. Sa captive étant entre la vie et la mort, il est à nouveau obligé d’appeler la FMR. Cette dernière la soigne puis s'interpose entre les victimes du Boucher et leur bourreau. Bien sûr le Dévoreur balaye la pauvre médecin et en profite pour aller faire un coucou au fruit défendu, Mégère. Stadzank est obligé d’intervenir et d’obliger le Boucher de relâcher sa proie en invoquant d’une part un Laconda d’ombre et d’autre part le courroux d’Alasker. Le Dévoreur revient à la raison et lâche l’agent des titans, la laissant aux mains du gobelin. Ne laissant aucun répit à sa captive, il envoie alors les doigts de pieds de cette dernière dans la cage d’un rat affamé qui lui cisaille tout ce qui passe à travers les barreaux.

S’en est trop pour la fae, elle finit par cracher le morceau. Et quel morceau ! Le gobelin consigne alors toutes les informations dans son rapport à destination du Couple Impérial et de Zéphyr tout en éprouvant quelques remords au traitement infligé à Mégère. Même s’il sait au fond de lui que c’était la seule solution pour obtenir rapidement des aveux.