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19 septembre an 3
Le lion se dandinait joyeusement. Il fit de nouveau halte pour regarder de ses petits yeux noirs l’orage qui faisait rage à l’extérieur de sa demeure.
-Je jurerais entendre quelques choses, moi, ô grand lion roi de ces terres! s’exclama le félin de sa voix graisseuse.
L’orage s’était tut de peur, laissant le lion reprendre son chemin. Arrivé devant une énorme tasse, il s’apprêta à y sauter pour y prendre un bain lorsqu’une silhouette apparue derrière celle-ci : une forme longue et élégante, celle d’une oie donc le bec contrastait avec la blancheur de ses plumes collées.
-Mais que diantre fait un piaf à bec dans mon humble tanière! s’écria de peur le lion en reculant jusqu’aux murs opposés à l’oiseau.
- Piaf à bec? Je ne suis pas un piaf à bec…N’est-ce pas? demanda l’oie offusqué à la fenêtre, n’obtenant qu’une réponse chaotique de la part du tonnerre. Je n’ai que faire, laisser-moi parler! MOI, « piaf à bec » à voler de mes longues et petites ailes jusqu’à votre grandiose demeure pour vous avertir d’un terrible, d’un omniprésent, d’un exécrable, d’un grave danger!
-Un grave danger?
-Un grave danger.
Le soleil s’était de nouveau levé sur la république, illuminant la capitale de Liberty de ses rayons chaleureux. Sa place publique, en après-midi, pouvait être comparée à une souricière enflammée : un trop-plein de vie, un brouillon d’individus vacants à leurs occupations, insouciants des autres. Colorés de ces mille draps et de ces articles exotiques, nombreuses boutiques et échoppes s’y étaient installés pour y faire affaire, tous entourant une large et prestigieuse fontaine qui faisait fi de cœur à cet endroit.
Nul ne pouvait y trouver un immobilisme et un calme en ce lieu, hormis devant un étrange spectacle qui avait lieu. Une foule s’y était installé, majoritairement enfant, pour observer un petit stand qui faisait office de scène à deux petites marionnettes confectionnées de coutures et de plumes. Il suffisait que d’un bref regard pour apercevoir la supercherie, de l’homme, dissimulé par de petits draps, qui brandissait les deux créatures et usait de sa voix pour animer et narrer. Qui pouvait bien user de son précieux temps pour de tels enfantillages?
Un large sourire s’était greffé sur le visage de Valdis. La petite scénette était née dans l’un des recoins de son imaginaire et y avait grandi jusqu’à en devenir une pensée quotidienne qu’il se devait de mettre en œuvre. La confection des marionnettes lui avait été difficile, mais il avait réussi, croyait-il, à créer des apparences enfantines et agréables à ses mascottes.
Tout en gesticulant et parlant dans des voix gutturales les faits et dires de ses marionnettes, le jeune homme gardait un œil vigilant, observant au travers d’un petit tissu noir qu’il avait installé pour l’aider à sa tâche. Tout ceci n’était qu’une autre de ses ruses, un passe-temps lucratif qu’il s’apprêtait à mettre en place.
Après avoir écouté la détestable oie narrer pendant quelques instants les menaces que des « colosses gigantesques et imposants » posaient sur ces terres, le lion prit de nouveau la parole.
-Terrible malheur! Ce grave danger menace donc bel et bien mon royaume! Qui donc pourrait se porter à ma rescousse, moi, ô grand, ô puissant lion roi!
-MOI! s’écria fièrement l’oie en s’élevant dans les airs, dévoilant un fragment de secondes la main de son maître avant de retomber au sol, forcé par une gravité imaginaire.
-Non. Ça ne peut être toi, piaf à bec, je ne peux être sauvé par une canaille de la sorte. Le héros, le véritable justicier, se trouve ici, devant toi!
Le minuscule regard du lion observait désormais la foule, cherchant un héros parmi-ceux-ci d’un regard inquisiteur, quoi qu’amusant.
-Je jurerais entendre quelques choses, moi, ô grand lion roi de ces terres! s’exclama le félin de sa voix graisseuse.
L’orage s’était tut de peur, laissant le lion reprendre son chemin. Arrivé devant une énorme tasse, il s’apprêta à y sauter pour y prendre un bain lorsqu’une silhouette apparue derrière celle-ci : une forme longue et élégante, celle d’une oie donc le bec contrastait avec la blancheur de ses plumes collées.
-Mais que diantre fait un piaf à bec dans mon humble tanière! s’écria de peur le lion en reculant jusqu’aux murs opposés à l’oiseau.
- Piaf à bec? Je ne suis pas un piaf à bec…N’est-ce pas? demanda l’oie offusqué à la fenêtre, n’obtenant qu’une réponse chaotique de la part du tonnerre. Je n’ai que faire, laisser-moi parler! MOI, « piaf à bec » à voler de mes longues et petites ailes jusqu’à votre grandiose demeure pour vous avertir d’un terrible, d’un omniprésent, d’un exécrable, d’un grave danger!
-Un grave danger?
-Un grave danger.
Le soleil s’était de nouveau levé sur la république, illuminant la capitale de Liberty de ses rayons chaleureux. Sa place publique, en après-midi, pouvait être comparée à une souricière enflammée : un trop-plein de vie, un brouillon d’individus vacants à leurs occupations, insouciants des autres. Colorés de ces mille draps et de ces articles exotiques, nombreuses boutiques et échoppes s’y étaient installés pour y faire affaire, tous entourant une large et prestigieuse fontaine qui faisait fi de cœur à cet endroit.
Nul ne pouvait y trouver un immobilisme et un calme en ce lieu, hormis devant un étrange spectacle qui avait lieu. Une foule s’y était installé, majoritairement enfant, pour observer un petit stand qui faisait office de scène à deux petites marionnettes confectionnées de coutures et de plumes. Il suffisait que d’un bref regard pour apercevoir la supercherie, de l’homme, dissimulé par de petits draps, qui brandissait les deux créatures et usait de sa voix pour animer et narrer. Qui pouvait bien user de son précieux temps pour de tels enfantillages?
Un large sourire s’était greffé sur le visage de Valdis. La petite scénette était née dans l’un des recoins de son imaginaire et y avait grandi jusqu’à en devenir une pensée quotidienne qu’il se devait de mettre en œuvre. La confection des marionnettes lui avait été difficile, mais il avait réussi, croyait-il, à créer des apparences enfantines et agréables à ses mascottes.
Tout en gesticulant et parlant dans des voix gutturales les faits et dires de ses marionnettes, le jeune homme gardait un œil vigilant, observant au travers d’un petit tissu noir qu’il avait installé pour l’aider à sa tâche. Tout ceci n’était qu’une autre de ses ruses, un passe-temps lucratif qu’il s’apprêtait à mettre en place.
Après avoir écouté la détestable oie narrer pendant quelques instants les menaces que des « colosses gigantesques et imposants » posaient sur ces terres, le lion prit de nouveau la parole.
-Terrible malheur! Ce grave danger menace donc bel et bien mon royaume! Qui donc pourrait se porter à ma rescousse, moi, ô grand, ô puissant lion roi!
-MOI! s’écria fièrement l’oie en s’élevant dans les airs, dévoilant un fragment de secondes la main de son maître avant de retomber au sol, forcé par une gravité imaginaire.
-Non. Ça ne peut être toi, piaf à bec, je ne peux être sauvé par une canaille de la sorte. Le héros, le véritable justicier, se trouve ici, devant toi!
Le minuscule regard du lion observait désormais la foule, cherchant un héros parmi-ceux-ci d’un regard inquisiteur, quoi qu’amusant.
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Xera
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Cela faisait maintenant 3 jours qu’elle était arrivée à Liberty et Xera commençait un peu à s’habituer à la densité de la foule urbaine, mais là en ce bel début d’après-midi, elle s’était égaré sur une grand-place autour d’une fontaine large et imposante surmontée d’une statue représentant Liberty incarnée. Tout le tour de la place était presque exclusivement occupé par des échoppes colorées. La rousse devait bien se rendre à l’évidence, elle s'était encore une fois perdu dans les méandres des artères bondées de la cité. Fatigué de lutter contre le reflux et reflux des déplacements de la foule, la jeune demi-Fae s'était approché du seul banc d’individus stagnant en surplace dans ce chaos de mouvement.
Ce petit bout d'immobilité s'était aggloméré devant un petit stand se dénotant par son manque de clinquant habituel des marchands de la place. Ce n’était pas le plus intrigant concernant l’installation, non loin de là, le plus étrange, c’était que la foule de spectateurs était en majorité composée d'enfants et des quelques parents les accompagnant. Ici, aucune marchandise n’était proposée, ici un spectacle de marionnettes était joué. Finalement, cela rappelait à Xera les quelques passages de spectacle de marionnettes et autres, artistes de rue qui passaient par Nareim. Les enfants, concentrés sur les deux personnages, n'avaient pas encore été attirés par la présence de la Fae d'apparence humaine.
Tout changea quand les enfants suivirent le regard du lion qui semblait pointer dans sa direction. Elle n’avait pourtant rien d’un héros de légende, pas de grande épée, pas d’armure rutilante, pas de cheval blanc, pas même de bâton et chapeau imposant de sorcier de légende.
Ce petit bout d'immobilité s'était aggloméré devant un petit stand se dénotant par son manque de clinquant habituel des marchands de la place. Ce n’était pas le plus intrigant concernant l’installation, non loin de là, le plus étrange, c’était que la foule de spectateurs était en majorité composée d'enfants et des quelques parents les accompagnant. Ici, aucune marchandise n’était proposée, ici un spectacle de marionnettes était joué. Finalement, cela rappelait à Xera les quelques passages de spectacle de marionnettes et autres, artistes de rue qui passaient par Nareim. Les enfants, concentrés sur les deux personnages, n'avaient pas encore été attirés par la présence de la Fae d'apparence humaine.
Tout changea quand les enfants suivirent le regard du lion qui semblait pointer dans sa direction. Elle n’avait pourtant rien d’un héros de légende, pas de grande épée, pas d’armure rutilante, pas de cheval blanc, pas même de bâton et chapeau imposant de sorcier de légende.
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-Vous! Oui vous! La jeune dame aux cheveux de feu accoutré de vert! grogna le lion.
Valdis avait observé l’arrivé de la citoyenne quelques instants plus tôt. Rapidement, il avait remarqué ses yeux égarés et sa lenteur à traverser la place publique : elle était visiblement perdue et cherchait désespérément une sortie ou une logique à la folie du cœur de Liberty. Figée tel une statue, elle sortait du lot très facilement.
Une cible facile
-Approcher et vener, ô si vous avez un cœur en or, me porter aide dans cette terrible épreuve qui mets en péril mon royaume, mon bien-aimé royaume!
L’attention de la foule se braqua contre la jeune femme, laissant à Valdis un moment pour observer aux alentours la présence de quelconques gardes ou individus louches. Pour l’instant, la voie était libre. Quelques gardes patrouillaient des échoppes éloignées, ne portant point leur attention sur la scène qui se déroulait.
Pourtant, il devait se dépêcher. La ruse était facilement visible d’un œil extérieur et il ne tarderait avant qu’une patrouille arrive dans les environs. Son cœur hurlait, tentant de sortir de sa cage thoracique : un symptôme fréquent pour Valdis lorsqu’il exécutait un nouveau larcin. Le nombre important de témoins indiquaient une grande probabilité que cette opération soit un échec et que son visage se retrouve sur toutes les panneaux de la ville comme étant recherché. Il devait se hâter.
Le roi lion, de sa petite patte de tissu rembourrée, fit signe à la jeune dame de s’approcher, tentant de lui hâter le pas et de gagner de précieuses secondes au jeune voleur.
Valdis avait observé l’arrivé de la citoyenne quelques instants plus tôt. Rapidement, il avait remarqué ses yeux égarés et sa lenteur à traverser la place publique : elle était visiblement perdue et cherchait désespérément une sortie ou une logique à la folie du cœur de Liberty. Figée tel une statue, elle sortait du lot très facilement.
Une cible facile
-Approcher et vener, ô si vous avez un cœur en or, me porter aide dans cette terrible épreuve qui mets en péril mon royaume, mon bien-aimé royaume!
L’attention de la foule se braqua contre la jeune femme, laissant à Valdis un moment pour observer aux alentours la présence de quelconques gardes ou individus louches. Pour l’instant, la voie était libre. Quelques gardes patrouillaient des échoppes éloignées, ne portant point leur attention sur la scène qui se déroulait.
Pourtant, il devait se dépêcher. La ruse était facilement visible d’un œil extérieur et il ne tarderait avant qu’une patrouille arrive dans les environs. Son cœur hurlait, tentant de sortir de sa cage thoracique : un symptôme fréquent pour Valdis lorsqu’il exécutait un nouveau larcin. Le nombre important de témoins indiquaient une grande probabilité que cette opération soit un échec et que son visage se retrouve sur toutes les panneaux de la ville comme étant recherché. Il devait se hâter.
Le roi lion, de sa petite patte de tissu rembourrée, fit signe à la jeune dame de s’approcher, tentant de lui hâter le pas et de gagner de précieuses secondes au jeune voleur.
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Xera
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En plus de pointer son regard de marionnette dans sa direction, le lion, enfin l’homme derrière le rideau, interpelle Xera en la décrivant sommairement, mais suffisamment pour qu’il n’y ait aucun doute qu’il parlait bien d’elle. Maintenant, que tous les regards des spectateurs étaient tournés vers elle, la demi-Fae pouvait difficilement s'extirper de la situation.
Néanmoins quelque peu déconcertée, la rousse avait tous les symptômes de la personne qui hésite et ne sait pas trop quoi faire. Les enfants à côté d’elle ne lui laissent pas le choix la priant de venir en aide au roi lion.
- Madame ! Il faut aider le roi Lion, il faut sauver son royaume, s’il vous plaît Madame.
Xera, comprenant qu’elle ne pouvait pas se débiner, se rapproche du lion et de l’oie, les enfants l’applaudissent pour l’encourager, et se prenant au jeu s'étonnent elle-même en faisant entendre le son de sa voix déclamer.
- o Roi des rois, je ne suis ni une terrible guerrière, ni une puissante magicienne, mais aussi ordinaire que je suis, je vous apporte mon humble aide.
Maintenant seule entre la foule de spectateurs derrière elle et les deux marionnettes devant, la rouquine exécute une révérence exagérer avant de poser un genou à terre devant le lion roi.
Néanmoins quelque peu déconcertée, la rousse avait tous les symptômes de la personne qui hésite et ne sait pas trop quoi faire. Les enfants à côté d’elle ne lui laissent pas le choix la priant de venir en aide au roi lion.
- Madame ! Il faut aider le roi Lion, il faut sauver son royaume, s’il vous plaît Madame.
Xera, comprenant qu’elle ne pouvait pas se débiner, se rapproche du lion et de l’oie, les enfants l’applaudissent pour l’encourager, et se prenant au jeu s'étonnent elle-même en faisant entendre le son de sa voix déclamer.
- o Roi des rois, je ne suis ni une terrible guerrière, ni une puissante magicienne, mais aussi ordinaire que je suis, je vous apporte mon humble aide.
Maintenant seule entre la foule de spectateurs derrière elle et les deux marionnettes devant, la rouquine exécute une révérence exagérer avant de poser un genou à terre devant le lion roi.
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Elle jouait au jeu. Son parlée était net et précis, d’un ton et d’une cadence digne des pièces de théâtres que le jeune voleur, autrefois enfant, s’amusait à regarder lors de ces maigres sortis. Pour une citoyenne qui semblait faire tache dans le paysage, elle s’en était désormais imprégner.
Impressionnant
Il fallait désormais exécuter le plan, faire du héros une victime de la dure réalité. Cela n’enchantait point Valdis, mais il fallait qu’il mange et, pour cela, il devait user de son talent.
-Elle ne sait même pas faire de la magie! MOI, je sais en faire. Je sais illuminer le ciel et faire disparaître les enfants! hurla l’oie avec une voix qui se voulait agressante pour le jeune publique devant-elle.
-Nul besoin de tes services pitoyables, sale créature ailée! L’héros qui se tient devant moi est inconsciente de la magie qui l’habite.
Valdis prit un moment pour respirer et créer un suspense. Lorsqu’il était petit, ces moments étaient ses préférés : ces moments qui s’éternisaient dans le temps, qui tuaient par leurs suspenses.
-Oui, cher publique. Vous m’avez bel et bien attendue : la jeune femme qui se tient devant vous est dotée de magie, rugit le lion. Mais celle-ci ne peut se dévoiler sans un catalyseur, un objet magique!
Valdis n’avait aucune idée si la magie se manipulait de la sorte, mais dans sa tête, le tout semblait logique et classe. Le roi disparut avant d’apparaître de nouveau armé d’un morceau de papier qui simulait une épée.
-Cette arme légendaire appartenait à mon père et, désormais, elle est vôtre.
Le lion de tissu tendit l’artefact à la jeune dame, mais avant que celle-ci ne puisse se l’emparer, l’artefact se vit usurper dans le bec de l'oie.
-Diantre! Cette oie s’est emparée de mon épée! Héro, emparez-vous de celle-ci, saisissez de son bec l’arme de mon père, ordonna le lion en disparaissant de la vue du public, permettant à Valdis de se concentrer à la course-poursuite qu’il voulait débuter autour du stand.
Bien sûr, tout cela faisait partis de la scène. Lorsque la jeune femme, espérait-il, allait tenter de poursuivre l’oie, celle-ci se retirait derrière le stand, exigeant à femme de la poursuivre. Si celle-ci répondait à sa demande, Valdis aurait une fenêtre pour détrousser ses poches, détournant l’attention sur l’oie. Une opération compliquée, mais celle-ci lui permettait de se prétendre artiste durant un bref moment au moins, ce qui n’était pas si mal.
Impressionnant
Il fallait désormais exécuter le plan, faire du héros une victime de la dure réalité. Cela n’enchantait point Valdis, mais il fallait qu’il mange et, pour cela, il devait user de son talent.
-Elle ne sait même pas faire de la magie! MOI, je sais en faire. Je sais illuminer le ciel et faire disparaître les enfants! hurla l’oie avec une voix qui se voulait agressante pour le jeune publique devant-elle.
-Nul besoin de tes services pitoyables, sale créature ailée! L’héros qui se tient devant moi est inconsciente de la magie qui l’habite.
Valdis prit un moment pour respirer et créer un suspense. Lorsqu’il était petit, ces moments étaient ses préférés : ces moments qui s’éternisaient dans le temps, qui tuaient par leurs suspenses.
-Oui, cher publique. Vous m’avez bel et bien attendue : la jeune femme qui se tient devant vous est dotée de magie, rugit le lion. Mais celle-ci ne peut se dévoiler sans un catalyseur, un objet magique!
Valdis n’avait aucune idée si la magie se manipulait de la sorte, mais dans sa tête, le tout semblait logique et classe. Le roi disparut avant d’apparaître de nouveau armé d’un morceau de papier qui simulait une épée.
-Cette arme légendaire appartenait à mon père et, désormais, elle est vôtre.
Le lion de tissu tendit l’artefact à la jeune dame, mais avant que celle-ci ne puisse se l’emparer, l’artefact se vit usurper dans le bec de l'oie.
-Diantre! Cette oie s’est emparée de mon épée! Héro, emparez-vous de celle-ci, saisissez de son bec l’arme de mon père, ordonna le lion en disparaissant de la vue du public, permettant à Valdis de se concentrer à la course-poursuite qu’il voulait débuter autour du stand.
Bien sûr, tout cela faisait partis de la scène. Lorsque la jeune femme, espérait-il, allait tenter de poursuivre l’oie, celle-ci se retirait derrière le stand, exigeant à femme de la poursuivre. Si celle-ci répondait à sa demande, Valdis aurait une fenêtre pour détrousser ses poches, détournant l’attention sur l’oie. Une opération compliquée, mais celle-ci lui permettait de se prétendre artiste durant un bref moment au moins, ce qui n’était pas si mal.
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Le spectacle reprit son cours, Xera attendait la prochaine invitation du démiurge derrière le rideau de la scène pour intervenir de nouveau. Elle se surprit à retenir son propre souffle quand le marionnettiste créa un moment de suspense avec une pause dans son discours juste avant de révéler la magie cachée de l'héroïne.
- j’en serai digne mon roi, je vous en fais le serment solennel !
La rousse tendit la main vers l’arme légendaire, mais l’oie fut la plus prompte et s’en empara avant de disparaître. Le jeune public cria à l'oie de rendre l’épée, mais cette dernière avait bel et bien décampé. Le Lion indiqua ce qu’il attendait de Xera pour la suite en lui ordonnant de poursuivre l’oie voleuse et traîtresse. La jeune femme prise au jeu n’hésita pas une seconde et contourna le stand pour se retourner derrière s’attendant à découvrir le marionnettiste qui l’attendait avec une épée de bois factice et les instructions pour la suite. L’artiste arborant un masque évoquant une oie anthropomorphe, lui demanda de le poursuivre autour du stand.
Xera acquiesça et le duo commença son simulacre de course-poursuite autour de la scène, provoquant l'hilarité du public et en particulier celui des enfants.
- Arrête-toi l’oie, arrête toi et donne moi l'épée pour que je puisse sauver les enfants du royaume !
L’herboriste était loin alors de s’imaginer futur victime d’un voleur à l'âme d’artiste saltimbanque.
- j’en serai digne mon roi, je vous en fais le serment solennel !
La rousse tendit la main vers l’arme légendaire, mais l’oie fut la plus prompte et s’en empara avant de disparaître. Le jeune public cria à l'oie de rendre l’épée, mais cette dernière avait bel et bien décampé. Le Lion indiqua ce qu’il attendait de Xera pour la suite en lui ordonnant de poursuivre l’oie voleuse et traîtresse. La jeune femme prise au jeu n’hésita pas une seconde et contourna le stand pour se retourner derrière s’attendant à découvrir le marionnettiste qui l’attendait avec une épée de bois factice et les instructions pour la suite. L’artiste arborant un masque évoquant une oie anthropomorphe, lui demanda de le poursuivre autour du stand.
Xera acquiesça et le duo commença son simulacre de course-poursuite autour de la scène, provoquant l'hilarité du public et en particulier celui des enfants.
- Arrête-toi l’oie, arrête toi et donne moi l'épée pour que je puisse sauver les enfants du royaume !
L’herboriste était loin alors de s’imaginer futur victime d’un voleur à l'âme d’artiste saltimbanque.
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Avec une élégance théâtrale, l’artiste fit un grand saut vers l’avant, mais fut déstabilisé à l’atterrissage et fut chuta vers l’arrière, se percutant contre l’héroïne et profitant de cette maladresse pour y porter un regard à l’intérieur de son sac. Une grande tristesse prit possession de lui. L’intérieur de son sac n’était qu’outils d’ermite et un nécessaire pour la survie en forêt. Valdis s’était trompé en jugeant qu’elle n’était pas dans son environnement par manque de connaissance du quartier : elle était tout simplement un inconnu des villes à en juger son attirail et le contenu de son sac. Il atterrit durement sur le sol, sans avoir tenter la moindre chose.
Voler était en soi mal, mais le jeune homme trouvait que le vol devenait une zone grise lorsqu’il était visé vers un fortuné. Pour nombreux, la vie était un lourd fardeau, une épreuve qui ne se devait point d’être aggraver par un imbécile aux mauvaises manies de voler. Pour ceux que la vie sourit, il en était différent. Elle ne faisait pas partie de cette dernière catégorie, elle voyageait et découvrait le monde tel que lui. Voler cette jeune dame constituerait un véritable crime.
Il sourit, il avait laissé l’épée de bois tomber à ses pieds. Le publique s’était définitivement aperçue de cela puisque ces derniers criaient désormais, entraîner par la course-poursuite qui venait de se clore. Après s’être relevé, il glissa derrière le stand subtilement, laissant à la jeune femme le devant de la scène.
-C’est à vous, susurras-t-il.
Voler était en soi mal, mais le jeune homme trouvait que le vol devenait une zone grise lorsqu’il était visé vers un fortuné. Pour nombreux, la vie était un lourd fardeau, une épreuve qui ne se devait point d’être aggraver par un imbécile aux mauvaises manies de voler. Pour ceux que la vie sourit, il en était différent. Elle ne faisait pas partie de cette dernière catégorie, elle voyageait et découvrait le monde tel que lui. Voler cette jeune dame constituerait un véritable crime.
Il sourit, il avait laissé l’épée de bois tomber à ses pieds. Le publique s’était définitivement aperçue de cela puisque ces derniers criaient désormais, entraîner par la course-poursuite qui venait de se clore. Après s’être relevé, il glissa derrière le stand subtilement, laissant à la jeune femme le devant de la scène.
-C’est à vous, susurras-t-il.
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L’oie fit un grand bond en avant, mais chuta vers l’arrière en glissant sur sa réception. Elle percuta Xera fort heureusement sans douleur ni fracas, mais se retrouva le bec dans son sac. Le saltimbanque des rues se releva rapidement et disparut prestement et souplement derrière son stand. La rousse ne put s'interroger sur cette étrange coïncidence de tomber la tête la première dans l’ouverture de son sac, les enfants criant à tue-tête.
- l’épée ! L’épée ! Là ! Là ! Madame ramassée là !!!
La Demi-Fae secoua la tête de façon exagérée comme pour chasser les dernières étoiles qui lui tournaient autour de la tête, et plaça sa main en visière en scrutant le sol autour d’elle. Elle affiche un air surpris en pointant du doigt l’épée de bois. En s’approchant de l’épée d’un geste rapide, elle décrocha l’attache de son vêtement.
- l’oie a pris la fuite, mais elle a oublié l’épée ! Je vais pouvoir sauver les enfants du royaume !!!
La campagnarde ramassa l’épée, la brandit bien haut devant les jeunes spectateurs tout sourire, et laissa choir sa cape au sol.
- épée oh puissante épée, prête moi ta magie pour sauver les enfants du royaume de notre bon souverain, donne moi le pouvoir de voler au secours de ceux qui en ont besoin !
En même temps qu'elle invoquait la puissance imaginaire de l'accessoire de spectacle, Xera infusa de sa mana dans ses ailes les faisant ainsi apparaître devant les yeux admiratif des enfants. Rien de mieux qu’une Fae, même de sang-mêlé, pour attirer le regard de plus jeunes.
- Des ailes, j’ai des ailes, voilà donc la magie de l’épée !
La jeune femme commença à battre des ailes et se souleva d’un demi-mètre du sol avant de projeter une gerbe d’eau au-dessus de sa tête qui monta bien haut, et qu’elle fit retomber dans une fine bruine suffisante pour diffracter les rayons du soleil afin de créer un mini arc-en-ciel.
Une fois toute l’eau retombée, Xera s’incline devant le public, ses ailes ont disparu, redevenu invisible, et elle appelle le marionnettiste, rapidement rejointe par le chœur des enfants. Si ce dernier compte récupérer quelques pièces, c'est le moment pour lui de son montrer, même derrière son masque.
- l’épée ! L’épée ! Là ! Là ! Madame ramassée là !!!
La Demi-Fae secoua la tête de façon exagérée comme pour chasser les dernières étoiles qui lui tournaient autour de la tête, et plaça sa main en visière en scrutant le sol autour d’elle. Elle affiche un air surpris en pointant du doigt l’épée de bois. En s’approchant de l’épée d’un geste rapide, elle décrocha l’attache de son vêtement.
- l’oie a pris la fuite, mais elle a oublié l’épée ! Je vais pouvoir sauver les enfants du royaume !!!
La campagnarde ramassa l’épée, la brandit bien haut devant les jeunes spectateurs tout sourire, et laissa choir sa cape au sol.
- épée oh puissante épée, prête moi ta magie pour sauver les enfants du royaume de notre bon souverain, donne moi le pouvoir de voler au secours de ceux qui en ont besoin !
En même temps qu'elle invoquait la puissance imaginaire de l'accessoire de spectacle, Xera infusa de sa mana dans ses ailes les faisant ainsi apparaître devant les yeux admiratif des enfants. Rien de mieux qu’une Fae, même de sang-mêlé, pour attirer le regard de plus jeunes.
- Des ailes, j’ai des ailes, voilà donc la magie de l’épée !
La jeune femme commença à battre des ailes et se souleva d’un demi-mètre du sol avant de projeter une gerbe d’eau au-dessus de sa tête qui monta bien haut, et qu’elle fit retomber dans une fine bruine suffisante pour diffracter les rayons du soleil afin de créer un mini arc-en-ciel.
Une fois toute l’eau retombée, Xera s’incline devant le public, ses ailes ont disparu, redevenu invisible, et elle appelle le marionnettiste, rapidement rejointe par le chœur des enfants. Si ce dernier compte récupérer quelques pièces, c'est le moment pour lui de son montrer, même derrière son masque.
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Dissimulé derrière le stand, Valdis observa, d’un regard baillis, la bouche grande ouverte comme le ferait un enfant émerveillé, l’aventurière déployer des ailes, comme le ferait un ange dans un conte. Pourtant, ses ailes ne semblaient guère divines, mais plutôt rassemblement à ceux d’un papillon, d’un insecte de nuit. Sous son envol, un trait multicolore qui illumina la peau blanchâtre du voleur.
Ce spectacle, qui ne se voulait qu’imaginatif et bien basique, avait prit une ampleur magistrale. Sous un torrent d’applaudissement, l’héros brandit l’épée de bois et, doucement, revint au sol, bercé par ses deux ailes qui, subitement, disparues. Désormais, bien plus que le publique observait le devant du stand, attendant d’observer si un autre évènement hors du commun allait se produire. Valdis se frotta les mains. Il avait un tour à dévoiler pour alimenter et clore cette petite scène, mais avant même de se lever et de sortir de sa cachette, son regard se figea outre le publique, proche de la fontaine.
Deux gardes—un laid et l’autre atrocement laid—scrutaient la scène d’un regard malfaisant, ayant déjà rencontrer auparavant le marionnettiste lors de l’une de ses malchances précédentes, prit la main dans le sac. Les deux hommes n’avaient pas oublié la mine du jeune voleur. Mains reposantes sur leurs matraques, ils attendaient vicieusement le moment pour intervenir.
Intéressant.
Surgissant de sa cachette tel le ferait un maître de cirque, Valdis salua la foule, armée d’un large sourire imprégné d’orgueil. Après avoir rejoint d’un pas agile les côtés de la jeune demoiselle au pouvoir surprenant, il salua la foule tel le ferait un artiste. Lorsqu’il se redressa, il fut surpris de voir que les deux invités surpris avaient avancés, traversant désormais la foule d’enfant.
Le jeune voleur déposa sa main sur l’épaule de l’héroïne et approcha ses lèvres de son oreille, tout en gardant un œil ouvert et alerte en direction des deux gardes.
-Vous étiez formidable, susurra-t-il.
Il fit un pas vers les deux hommes, pointant ses deux paumes en leur direction. Il se devait de clore le spectacle bien qu’il ne possédait pas de capacité autant prestigieuse que d’invoquer des ailes. Invoquant un résidu de ce qu’il détenait autrefois, il sentit une vive chaleur animer ses mains et ses bras. Soudain, une lumière blanche et aveuglante apparue, dessinant deux traits en direction des hommes.
-Au plaisir de vous revoir! S’écria Valdis tendis que la lumière divine percuta les yeux des hommes, les aveuglants.
Il se détourna et hocha de la tête en direction de la jeune femme, fière d’avoir réussit à invoquer de nouveau ce don qu’il croyait disparue. Sans attendre, il débuta à fuir, courant dans la direction inverse du stand, examinant de ce fait même son entourage à la recherche d’autres hommes de la capitale qui aurait aperçu ce qui venait de se dérouler.
Ce spectacle, qui ne se voulait qu’imaginatif et bien basique, avait prit une ampleur magistrale. Sous un torrent d’applaudissement, l’héros brandit l’épée de bois et, doucement, revint au sol, bercé par ses deux ailes qui, subitement, disparues. Désormais, bien plus que le publique observait le devant du stand, attendant d’observer si un autre évènement hors du commun allait se produire. Valdis se frotta les mains. Il avait un tour à dévoiler pour alimenter et clore cette petite scène, mais avant même de se lever et de sortir de sa cachette, son regard se figea outre le publique, proche de la fontaine.
Deux gardes—un laid et l’autre atrocement laid—scrutaient la scène d’un regard malfaisant, ayant déjà rencontrer auparavant le marionnettiste lors de l’une de ses malchances précédentes, prit la main dans le sac. Les deux hommes n’avaient pas oublié la mine du jeune voleur. Mains reposantes sur leurs matraques, ils attendaient vicieusement le moment pour intervenir.
Intéressant.
Surgissant de sa cachette tel le ferait un maître de cirque, Valdis salua la foule, armée d’un large sourire imprégné d’orgueil. Après avoir rejoint d’un pas agile les côtés de la jeune demoiselle au pouvoir surprenant, il salua la foule tel le ferait un artiste. Lorsqu’il se redressa, il fut surpris de voir que les deux invités surpris avaient avancés, traversant désormais la foule d’enfant.
Le jeune voleur déposa sa main sur l’épaule de l’héroïne et approcha ses lèvres de son oreille, tout en gardant un œil ouvert et alerte en direction des deux gardes.
-Vous étiez formidable, susurra-t-il.
Il fit un pas vers les deux hommes, pointant ses deux paumes en leur direction. Il se devait de clore le spectacle bien qu’il ne possédait pas de capacité autant prestigieuse que d’invoquer des ailes. Invoquant un résidu de ce qu’il détenait autrefois, il sentit une vive chaleur animer ses mains et ses bras. Soudain, une lumière blanche et aveuglante apparue, dessinant deux traits en direction des hommes.
-Au plaisir de vous revoir! S’écria Valdis tendis que la lumière divine percuta les yeux des hommes, les aveuglants.
Il se détourna et hocha de la tête en direction de la jeune femme, fière d’avoir réussit à invoquer de nouveau ce don qu’il croyait disparue. Sans attendre, il débuta à fuir, courant dans la direction inverse du stand, examinant de ce fait même son entourage à la recherche d’autres hommes de la capitale qui aurait aperçu ce qui venait de se dérouler.
Citoyen de La République
Xera
Messages : 183
crédits : 598
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Info personnage
Race: Fae (Mi-humaine)
Vocation: Mage soutien
Alignement: Loyal Neutre
Rang: C
Le Marionnettiste répondit à son appel et fit son apparition tête découverte. Son visage affichait un large sourire, il rejoignit Xera prestement avant de saluer le public dignement. Puis il posa sa main sur l’épaule de la rousse et approcha sa bouche de son oreille pour la féliciter, cela était bien nécessaire sous les vivats des enfants.
- Merci, c’est gentil.
Elle eut à peine le temps de le remercier qu’elle le vit faire un pas dans la direction de deux hommes auxquels elle n'avait pas prêté attention jusque-là. Puis le saltimbanque pointa ses paumes vers eux et projette deux rayons de lumière blanche vers les 2 gardes. Les 2 individus en furent éblouis au même moment où Xera réalisait qu’il s’agissait là de garde de la ville. c’est un visage éberlué qu’elle tourne vers le malfrat jouant jusque-là à l'artiste quand il lui fait ses adieux avant de prendre la poudre d’escampette. Les enfants continuent à rire de plus belles, mais pas les parents et autres adultes qui les accompagnent, comprenant que le marionnettiste est connu de la maréchaussée.
Dans d’autres circonstances Xera aurait laissé le fuyard tenté sa chance sans intervenir, mais là, il était hors de question pour elle de se retrouver arrêter et de devoir perdre du temps à se justifier. Elle posa ses mains au sol et injecta de sa mana pour entrer en lien avec l’élément terre afin de modifier le sol sur le parcours de l’homme. Elle créa un trou sous les pieds du faux marionnettiste pour le faire chuter et le ralentir. La demi-Fae ne quitte pas sa position au cas où le trou ne serait pas suffisant...
- Merci, c’est gentil.
Elle eut à peine le temps de le remercier qu’elle le vit faire un pas dans la direction de deux hommes auxquels elle n'avait pas prêté attention jusque-là. Puis le saltimbanque pointa ses paumes vers eux et projette deux rayons de lumière blanche vers les 2 gardes. Les 2 individus en furent éblouis au même moment où Xera réalisait qu’il s’agissait là de garde de la ville. c’est un visage éberlué qu’elle tourne vers le malfrat jouant jusque-là à l'artiste quand il lui fait ses adieux avant de prendre la poudre d’escampette. Les enfants continuent à rire de plus belles, mais pas les parents et autres adultes qui les accompagnent, comprenant que le marionnettiste est connu de la maréchaussée.
Dans d’autres circonstances Xera aurait laissé le fuyard tenté sa chance sans intervenir, mais là, il était hors de question pour elle de se retrouver arrêter et de devoir perdre du temps à se justifier. Elle posa ses mains au sol et injecta de sa mana pour entrer en lien avec l’élément terre afin de modifier le sol sur le parcours de l’homme. Elle créa un trou sous les pieds du faux marionnettiste pour le faire chuter et le ralentir. La demi-Fae ne quitte pas sa position au cas où le trou ne serait pas suffisant...
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