DiscordDiscord  
  • AccueilAccueil  
  • CalendrierCalendrier  
  • FAQFAQ  
  • RechercherRechercher  
  • MembresMembres  
  • GroupesGroupes  
  • S'enregistrerS'enregistrer  
  • ConnexionConnexion  
  • bienvenue
    ×
    navigation rapide
    lore
    général
    systèmes
    jeu

    menu
    Top-sites
    Votez!
    top sitetop sitetop sitetop site

    Derniers messages

    Avatar du membre du mois
    Membre du mois
    Siame

    Prédéfinis

    PrédéfiniPrédéfiniPrédéfini
    Une chambre pour trois - Page 2 JvNj4PH
    Gazette des cendres
    Été 2024
    Lire le journal
    #7
    RP coup de coeurCoeur

    RP coup de coeur

    Le Coeur de Melorn
    Derniers sujets
    Aller en bas
    Invité
    Invité
    Anonymous
  • Jeu 19 Jan - 23:10
    Il fronça un peu les sourcils. Encore une fois elle ne voulait rien dire. Mais c’était normal aprés tout. Chacun était libre d'avoir ses secrets. En l’occurrence ca le dérangeait plus si c’était quelque chose qu'elle n'osait pas dire. La volonté et la capacité était deux choses différentes. Mais soit. Il espérait juste que ce n’était rien de grave.

    - Je n'aurais pas parié la dessus, hier soir. Que tu sois la, encore, ce soir, avec moi. Parfois les surprises sont...plus qu'agréable.

    Il avait osé lui proposé cette idée de rester proche même dans en prenant le bain. Une proximité physique, lui dans le couloir, elle se détendant dans l'eau. L'idée lui plaisait bien. Plus ce serait...inconvenant pour elle, n'est ce pas ? Il se gratta légèrement la joue, un peu gêné.

    Mais elle ne le repoussa pas. Elle demanda simplement confirmation. Oui, le bassin était bel et bien libre. Elle pouvait y aller. Et quand ils furent plus face a face, elle combla l'espace entre eux pour l'embrasser très légèrement. Elle voulait qu'il vienne. Elle voulait dire...dans la salle de bain directement ? Du genre...a coté d'elle ?

    Sans articuler un seul mot, il se laissa tirer vers la porte, assez docile, n’émettant aucune résistance. Il n'allait pas s'en plaindre ? Il pouvait être honnête avec lui même pour une fois. Si il avait proposé ça, était ce tout a fait par hasard ? Bien sur que non. Il avait voulu...espéré ce résultat. Il l'avait provoqué, avec sa proposition détourné. Faire machine arrière aurait été une honte envers ses propres émotions, et de mauvais goût vis a vis d'elle.

    - … ?

    Avec...elle... ? Dans le sens...ensemble dans le bain ? Il n’était tout a coup plus aussi sur qu'il n'aurait pas du rester dans la chambre. C’était une vraie invitation ? Elle le tira par la main pour traverser le couloir vers la porte juste en face, qu'elle poussa. Il faisait chaud a l'intérieur, très chaud. L'eau bouillante avait laissé la vapeur engloutir la salle, et le tissu se colla rapidement a la peau de Shan. L'endroit n’était pas fait pour s'y trouver habiller.

    - Tu...tu es certaine ?

    Le bassin était assez grand pour accueillir aisément trois personnes. A la base, c’était un étage ou certaine population assez riche qui aimait bien s'amuser le soir avec des amants ou amantes réservaient. Puis un jour, on avait dit a Shan qu'il n'avait pas besoin de rester dans sa petite chambre des sous-sols, et qu'il pouvait utiliser tout l'étage comme il voulait. Et voilà qu'il s'y trouvait avec Rowena, qui semblait bien décidée a profiter de l'endroit avec lui.

    - Je...je crois pas que...je n'ai pas dis que je ne voulais pas ! Pas du tout ! C'est juste que...je ne voudrais pas que tu ai l'impression...que tous ce que je t'ai dis, ce que j'ai fais...ne...

    Il s’arrêta. Il s’était promis a peine quelques minutes de ne pas chercher a se justifier de quoi que ce soit auprès d'elle. Mais il voulait vraiment qu'elle soit en confiance, et surtout, mais alors surtout pas, qu'elle ai l'impression d’être tombé sur un homme qui n'en avait qu’après son corps. Il la voulait toute entière. Et en plus, il aurait voulu qu'il n'y ai vraiment que eux. Il n'etait pas vraiment certain qu'elle avait la meme vision des choses.

    Il ne lui lacha pas la main, mais resta planté devant la porte de la salle de bain fermé. Il y avait encore une petite barriere. Un manque de certitude. Qu'elle voulait vraiment ce qu'il croyait avoir compris ? Si il commençait a se déshabiller alors que ce n'etait pas ce qu'elle avait en tete...ce serait une sacrée honte...
    Invité
    Invité
    Anonymous
  • Ven 20 Jan - 1:54
    Le main encore sur la poignée de la porte close, Rowena a un moment d'arrêt.

    - Certaine ?

    Elle regarde Shan'aël comme s'il venait de lui pousser une deuxième tête pendant deux bonnes secondes. Il venait sérieusement de lui poser cette question à elle ? C'était... Tellement à l'antipode de ses propres craintes... Tellement absurde ! Elle éclata de rire. Un vrai rire. Un rire heureux.

    Ils avaient la même question, la même attention. La même importance pour ce que l'autre en pensait, en disait, en vivait.

    - Shan...

    Elle vint près de lui, rayonnante, reconnaissante qu'il la respecte malgré les meurs dont il devait se douter. Il était si... Doux. Sans jamais rien exigé d'elle. Sans jamais la pousser à être mieux, à être plus ci ou moins ça.

    - J'avais plutôt peur que tu penses l'inverse... Que c'était moi qui te mettait la pression... Les femmes sont souvent plus porter sur la chose.

    Si se justifier de ne pas être attiré surtout par son corps était important pour lui, elle lui devait la vérité. Parce qu'il était encore temps de trouver la bonne distance entre eux. Le bon temps pour dire et le bon temps pour faire. Elle ne voulait pas se demander si elle faisait bien ou avoir l'impression de lui mentir... Avec sa timidité, elle s'attendait a devoir patienter de longues semaines et ils abordaient déjà ce sujet alors les grandes questions qu'elle se posait sur les restrictions qu'elle s'imposeraient n'avaient pas lieu finalement.

    Elle ne s'attendait pas à ce qu'il soit déjà important à ce point. Trois mois, et il avait une place à part dans son monde. Quelques semaines et en s'enfonçant dans la forêt de ses yeux verts, elle sentait son cœur battre malgré elle... Ce n'était pas le cas la veille, ou préférait-elle simplement ne pas l'entendre ? C'était le cas la veille ou le simple fait de reconnaitre l'importance qu'il avait pour elle la tendait d'une façon qu'elle avait encore du mal à appréhender. Depuis le matin, elle était à la fois moins confortable avec lui et plus proche qu'elle ne l'avait jamais été. C'était une impression complexe.

    Une main dans la sienne l'autre sur son cou, elle commença par des mots qui pour être était simples qu'elle avait déjà prononcé bien des fois au détour d'une soirée pour s'assurer que son compagnon n'était pas trop engagé.

    - Ca ne me dérangerait pas si tu... " Elle s'interrompit brusquement et soupira en se passant une main sur le front. Mais qu'est-ce qu'elle allait dire ? C'était Shan, pas n'importe qui. Elle se redressa un peu. Dans son regard, il pouvait voir qu'elle cherchait moins les beaux mots et plus à exprimer ce qui importait. Elle était moins dans sa tête. Elle le regardait lui. Elle était pleinement avec lui. " Écoute. Je ne vais sûrement pas être à la hauteur de tes attentes, mais je vais faire en sorte de couper au plus clair. Ce qui compte le plus pour moi, c'est la franchise. La confiance. Et comme je veux être honnête, je dois te le dire clairement. Les sentiments et le désir physique ne sont pas forcément liés pour moi. Ils s'aiguisent l'un l'autre, s'intensifient l'un l'autre. Mais ils peuvent exister l'un sans l'autre. Je trouverai toujours d'autres personnes belles. J'aurai probablement toujours envie de coucher avec d'autres hommes que toi. Sans sentiments, par simple désir. Ca veut pas dire que je le ferai, seulement que j'en aurai envie.

    Elle eut un petit sourire d'excuse. Elle était ainsi et elle ne pourrait pas changé ce point, c'était une certitude. Jusque là, personne ne l'avait faite changer. Les femmes étaient ainsi de toute façon, plus volage que les hommes. Ses a priori sur la question n'étaient jamais vraiment tombés. Ses doigts calleux caressèrent une longue mèche sombre pour jouer un peu avec son extrémité, la peignant pensivement quelques instant avant de retrouver les yeux de Shan'aël, infiniment douce, mais sans plus la moindre marque de repentir.

    - Je te connais assez pour me douter que ce n'est pas comme ça que tu vois une relation. ... Un couple. " osa-t-elle prononcer en détournant les yeux vers sa propre main posée sur lui. " Je ne te dis pas ça pour te rendre malheureux ou te mettre au pied du mur. Je ne ferai pas non plus le coup de te demander de réfléchir à ce que tu veux ou pas m'autoriser, comme si tu pouvais m'imposer des choses que je ne veux pas. Je veux seulement que tu saches que la philosophie libertine me plait, que j'ai eu beaucoup d'amants, que j'aime le plaisir des sens sous beaucoup de formes et que c'est normal que nous n'ayons pas les mêmes limites. Et aussi qu'avec tout ça...

    Sa main était doucement passé des cheveux au col du jeune homme. A travers le tissu croisé, elle caressait sa clavicule, son trapèze, redescendait sur ses pectoraux, légère. Elle s'immobilisa légèrement sur la gauche de son torse, au-dessus de son cœur.

    - Je suis toute à toi. A partir de ce soir et jusqu'à ce que nous en décidions autrement, tous les deux. Je ne me donnerai à personne d'autre que toi, parce que c'est toi que je... C'est toi...  C'est toi que je choisi...

    S'approchant un peu plus, elle avait posé son front contre le sien, cherchant sa proximité la plus intime, sans pousser au delà de ce qu'il lui avait déjà accordé cet après-midi. Elle en avait les yeux humide, le cœur gros. Égoïstement, elle avait envie d'oublier Elzéar pour ne plus sentir la culpabilité des mots qu'elle venait de prononcer, des morts qui l'observaient, alors qu'elle était certaine de ne plus jamais pouvoir aimer après lui. Alors qu'elle ne voulait plus jamais aimer après lui. * Pardon... * Cet aveu... Ce choix, était plus douloureux que ce qu'elle voulait bien le laisser paraitre. Bien plus terrifiant... Et pourtant une planche de salut pour eux deux, même si cela prendrait du temps à prendre véritablement racine.

    Alors qu'elle était au bord du gouffre et que chaque jour la faisait un peu plus douter de trouver une solution, elle choisissait de s'autoriser à entrevoir une quête de vie là ou elle avait surtout poursuivi une quête de mort. Sa mort. Celle qui lui permettrait de rejoindre ses proches tombés au combat a défaut de continuer de profiter seule... De plus en plus seule.

    Mais pas lorsqu'elle était avec lui.

    Sa voix fluide, au timbre riche et aux harmonies mélodieuses, flirtait avec la limite du surnaturel, coulant en un flot clair et continue, aussi évident que le cours d'une rivière paisible. L'émotion qui en débordait ne la rompait pas. Elle avait baissé de deux tons, ne parlant plus que pour lui dans cette bulle qui n'appartient qu'à eux, les yeux fermés pour qu'il ne la voit pas retenir ses larmes d'émotion, pensait-elle. Sur son torse, la main pâle de Rowena est pressée entre leurs deux corps. Ses doigts s’accrochèrent au tissus de sa veste.

    - J'ai envie de toucher ta peau. Tu es un homme très attirant et j'en avais déjà envie avant notre départ de République... J'ai envie de découvrir ton corps, millimètre par millimètre jusqu'à en connaitre par cœur chaque chemin, chaque geste qui te fera soupirer de plaisir et chaque contact qui te déplaira pour ne jamais le reproduire. J'ai envie de t'aider à découvrir ton corps d'une nouvelle façon et de partager avec toi chaque frisson de passion, chaque tendresse... Mais avant tout j'ai envie... non j'ai même besoin que toi tu en aies envie.

    Elle voulait qu'il sache, parce qu'elle ne savait pas bien ou elle mettait les pieds. Parce qu'elle se sentait faillible... vulnérable avec lui. Elle se laissait plus aller qu'avec n'importe qui d'autre malgré les approximations d'aujourd'hui et les tensions qui l'empêchait d'agir à l'instinct...

    Elle aurait physiquement souffert de l'égratigner, même un peu et elle se serait détester de le pousser à quoi que ce soit dont il ne voulait pas. Trois siècles de célibat contre une après-midi de dessin... Les choses ne pouvaient surement pas être si simples. Et elle ne pouvait pas changer si vite non plus, même pour lui. Même dans ce galop échevelé qu'elle vivait depuis hier soir. Quoi qu'elle en dise et quelle que soit son envie, elle venait de passer à peu près un an, sans sexe. Elle n'en était pas dépendante et il y avait bien plus en jeux ce soir. C'était pour ça qu'elle l'avait dit, pour ça et parce qu'ils avaient la même attention à l'autre.

    Elle s'éloigna un peu de lui pour pouvoir l'observer et conclue, ramenant sa main libre sur sa joue, caressant ses lèvres du bout du pouce.

    - Je veux qu'on fasse ça bien, même si je ne suis pas certaine de savoir comment... Au moins tu dois savoir que tu n'as pas à aller plus vite ou plus loin que tu en as envie. Le temps que ça prend n'est pas important. Toi, tu es important. Avec toi je... Je ne contrôle pas toujours tout... Je n'ai pas les mots j'ai... J'ai confiance en toi. J'ai envie de m'étendre dans l'eau avec toi, peau contre peau. Mais tu n'as qu'un geste à faire pour que je reste à côté pendant que tu te baignes. J'en serai toute aussi heureuse.

    Elle l'aimait... Mais à ce point chamboulée, fébrile d'un trop plein d'émotions qui - quoi qu'elle en dise - avaient bien plus de mal à s'exprimer par les mots que par les gestes, le redire maintenant lui paraissait bien plus difficile que durant l'après-midi. C'est finalement soulagée d'avoir oser dire sa vérité et remplie de l'envie simple de l'enlacer sans le moindre mot, qu'elle le regardait au fond des yeux. Enivrée de lui, et plus fragile qu'elle n'aurait aimé.
    Invité
    Invité
    Anonymous
  • Sam 21 Jan - 1:54
    A chaque fois qu'elle commençait une tirade par son prénom, il sentait ses entrailles se nouer. Il savait qu'elle allait dire quelque chose d'important. Mais vu qu'elle avait rigolé juste avant, il osa penser que cela ne devait pas être si grave. Il aimait bien la voir rire. C’était chantant. Doux et soyeux dans l'air. Comme une vague. Ça la représentait bien.

    La suite, il ne su pas trop comment l'appréhender. Un flot de paroles tombèrent sur lui, qui le laisserent silencieux. Mais pas comme d'habitude. Il avait les yeux un peu plus ouvert. La bouche entrouverte, presque...choqué ? Éberlué ? Sur les premières phrases, il avait eu envie de répondre. Pas a hauteur de ses attentes ? Alors qu'elle etait bien plus que tout ce qu'il avait pu imaginé au cœur de sa solitude ?

    Le fait de trouver des gens beaux, ce n’était pas vraiment un problème non ? Il songea que ca devait etre le cas de beaucoup de personne. C’était impossible de ne plus rien trouver d'autres agréable a l’œil. Et il n'imaginait pas qu'il allait soudainement détester l'apparence féminine qu'il pouvait croiser dans la rue. Il ne pouvait pas lui en vouloir.

    Il ne voulait pas la partager. En revanche, ca, elle l'avait bien compris. Et ce n'etait meme pas, dans un premier temps, par jalousie ou par orgueil. Il avait tout simplement déjà du mal a comprendre et a évaluer la relation avec elle, alors si d'autres personnes, connues ou non, entraient dans l'équation, il aurait tout simplement était perdu, dans l'incompréhension la plus totale. La jalousie serait venu ensuite sans doute, et dans tous les cas, si elle lui avait dit qu'elle continuerait ses habitudes, il aurait préféré lui dire de ne pas essayer une relation qui n'avait pas d'avenir pour lui.

    Mais c'est tous le contraire qu'elle évoqua, et c'est a partir de la qu'il n'essaya même plus de répondre. Ce qu'elle était en train de dire, ca le submergea et le retourna sur le sable, allongé sans force sous le soleil brûlant de la ville. Il n'avait plus eu les mêmes doutes qui l'avaient accompagnés durant des semaines, mais il y avait pourtant toujours cette incertitude. Qu'elle venait de briser en éclat.

    Juste lui. Avec tout ce qu'elle etait, ce qu'elle pouvait avoir, elle l'avait choisit. Toute a lui. Elle s'offrait. Elle l'aimait vraiment. Il cligna un peu des yeux a plusieurs reprises, comme ressentant une faiblesse au niveau du visage, et une contraction au niveau des joues, de chaque coté du nez, remontant jusque sous les yeux. Retenant quelques choses d'étranges.

    A ses yeux, elle faisait un sacrifice pour lui. Et ce qu'elle ajouta après. Il revoyait son propre reflet qu'il avait pu observé dans chaque miroir, chaque rivière. Ce monstre se déplaçant, a peine en vie. C'etait ainsi qu'elle le voyait ? Il frissonna en sentant la main sur son torse, baissant les yeux timidement dessus. Et la contraction qui s'intensifiait.

    Il avait tellement espéré, puis tellement abandonné l'idée de pouvoir avoir la moindre chance de fonder cette famille dont il avait toujours rêvé. Et jusque la, il n'avait jamais eu l'impression d'entrouvrir du moindre millimètre la porte pouvant le faire accéder a ce bonheur insensé pour lui. Elle venait de mettre un violent coup de pied dans cette porte, l'ouvrant avec fracas. Son cœur si fermé, si difficile a atteindre, si plat, ne pu pas en supporter plus.

    Une ligne humide roula sur sa joue, la sensation de pression se relâchant légèrement, alors qu'une seconde suivait. Puis une troisième. Que dire après tout ça ? Qu'il mourrait d'envie de la voir nue ? De sentir chaque parcelle de sa peau, de ses formes entre ses mains ? De la déshabiller lui même ? De la contempler durant des heures ? De l'avoir collé contre lui jusqu'à la fin des temps ?

    - …

    Et quand elle recula, ayant l'air d'avoir enfin terminé, le flot aqueux s’était accentué. Même sans avoir le moindre sanglot, il n'avait sans doute pas pleuré comme ça depuis fort longtemps. Lors du contrat, il avait eu une ou deux larmes. La c’était plus que ça. L'émotion était trop forte, même pour lui. Ou bien peut être qu'il n’était pas si dur que ça a l'intérieur.

    - Je suis a toi.

    Il avait bredouillé ça pour seule réponse a tout ce qu'elle venait de dire. Cependant, pour peut être la première fois, dans une situation pareille, il n'avait pas rougit du tout. Il avait déjà dépassé ce stade depuis longtemps. Il y aurait du travail. Elle devrait lui apprendre, comme elle lui avait dit. Mais une fois qu'elle serait soigné, du temps, ils en auraient autant qu'ils voudrait non ?

    Il leva sa main et la passa sur ses joues, sans que cela n'ai un très gros impact sur les larmes qui continuaient a rouler. Il venait de s'en rendre compte et aurait bien voulu que ça cesse. Mais c’était impossible. Il souffla, détourna un peu le regard, puis murmura très bas un «je t'aime tellement ». Puis la passa dans ses cheveux, les retournant dans des positions un peu étrange en fonction de la partie qu'on regardait, puis il jeta un œil au bassin.

    - ..Baignons nous ensemble.

    Être ainsi collé peau contre peau serait déjà une bonne avancée pour la fin de journée. Et alors qu'il commençait a lever les mains vers sa tunique...il s'arreta. Il avait tellement de choses qu'il voulait lui dire. A quel point il s'etait toujours trouvé horrible, ridicule, et que ce qu'elle venait de dire avait frappé directement la ou ca lui faisait le plus mal. La remercier, lui dire a quel point il voulait l'aimer et la chérir. Mais la seule chose qu'il parvint a articuler fut tout doucement une seule phrase supplémentaire.

    - Est ce que tu...ça te dérange si...je te déshabille ?

    Il n'y avait pas besoin d'une très bonne ouie pour entendre le bruit des battements de son cœur.
    Invité
    Invité
    Anonymous
  • Sam 21 Jan - 2:45
    Elle l'avait déjà vu pleurer. Une fois. Face aux morts dans la fausse près de son village natale. Face aux personnes qu'il estimait ne pas avoir sauvées. Et il lui semblait qu'à ce moment, dans l'odeur de cendre et de graisse brûlée, il n'avait pas été si choqué. Démunie, elle avait murmuré son prénom, venant caresse ses joues humides du bout des doigts tout en cherchant dans ses yeux ce qu'elle avait dit pour le mettre dans cet état. Elle ne voulait pas le chambouler comme ça...

    - Je suis désolée...

    Mais bien loin de lui reprocher quoi que ce soit, il ne prononça que quelques mots d'amour en séchant maladroitement les larmes qui continuaient à couler en silence, sans sanglot, sans retenue. Elle sourit, rassurée... Et touchée. Elle vint capturer une larme d'un baiser sur la pommette qu'il venait d'éponger d'un revers. Ses lèvres s'y attardèrent avant qu'il ne rende son verdict.

    Elle n'aurait pas cru que quelques mots et quelques larmes puissent lui faire ressentir autant de choses. A l'intérieur de sa poitrine, de son corps, elle avait l'impression qu'une tension se liquéfiait, la laissant incapable de toute agressivité. Elle n'avait pas menti, elle voulait vraiment faire les choses bien. Que ça marche, et si elle savait qu'il était attaché à elle depuis un moment déjà, elle voyait sur son visage clair à quel point c'était le cas... Et ça lui retournait les entrailles. Un peu de peur toujours, mais surtout, l'impression d'être aimée pour la première fois à ce point. Et elle ne pouvait qu'accueillir cette impression en espérant que Shan ne se trompait pas lui-même... Qu'elle ne fermait pas les yeux sur ce qui avait été dans l'espoir vin de vivre à nouveau.

    Si proche, elle sentait chaque pulsation du cœur de son compagnon, la devinait plutôt au battement précipité sur son cou. Au son ténu qu'elle avait l'impression de percevoir. La question la fit sourire un peu, et l'envie qu'elle évoquait un peu plus tôt sans le regarder prenait un peu plus de place dans ses prunelles caressantes.

    Elle ne fit pas mine d'ouvrir la bouche, mais elle vint chercher les mains du jeune homme. Paume à paume, elle glissait sut sur leur revers pour les saisir et les amener finalement plus haut. Sur elle. L'une sur les lacets qui serraient sa large ceinture sur le côté. L'autre sur a courbe de son sein, la paume sur le tissus qui en couvrait le haut, les doigts sur la peau dénudée de son décolleté. Elle le regardait droit dans les yeux, un léger sourire aux lèvres, la pommette un peu rose. Avait-il besoin qu'elle mette en mot ce qu'elle l'invitait ainsi à faire ? Bien sûr qu'il pouvait la déshabiller.

    Dès que les doigts de Shan'aël furent relâchés, les mains de la jeune femme se posèrent sur sa veste bleue. La même question qu'il venait de poser se trouvait dans le regard bleu sombre. Revenant sur le col, le laissant la découvrir, elle vint flirter avec son col, commençant à tirer dessus pour le désajusté et le faire glisser vers les épaules du guerrier. Son visage était rester tout proche de celui de l'elfe. Ses lèvres posaient des baisers légers aux coins de celles de son son amant, le laissant choisir s'il tournait la tête pour plus ou non.
    Invité
    Invité
    Anonymous
  • Sam 21 Jan - 3:15
    Il n’était plus tétanisé comme l’après-midi. Il etait surtout inquiet de ne pas faire les choses biens. Il n'avait pas eu envie de lui dire de ne pas s'excuser encore. Ah non, c’était l'inverse. C’était lui qui s'excusait d'habitude. Même ça il avait perdu le fil. Et quand elle lui prit les mains, il la laissa faire. Il avait totalement confiance dans ce qu'elle voulait faire, lui montrer. Il combla l'espace qu'elle avait crée en reculant légèrement. Moins pratique pour retirer des vêtements, mais il se sentit aussitôt plus serein. Comme une bulle les entourant.

    Il accueillit le contact du tissu sous ses mains avec un frémissement. Tout semblait plus vivant dés qu'elle faisait parti de l'équation. Il avait touché des femmes. Vivantes. Mortes aussi. Au fil de ses années, pour diverse raison. Mais jamais par désir ou amour comme actuellement. C’était sans doute ça la différence. Quand il sentit le contour de son sein, il ne put s’empêcher, par envie ou par réflexe, de façonner le tissu un peu plus contre sa peau, comme pour marquer l'endroit. Et son autre main tira fébrilement le lacet, maladroitement. Il tremblait très légèrement, d'anticipation, d'envie aussi. De la voir.

    Quand elle lui embrassa la commissure des lèvres, il ne tourna pas la tête pour être contre ses lèvres. Il s'éloigna plutôt. Glissant son visage contre le sien, jusqu'à avoir sa joue contre la sienne qu'il frotta légèrement dans une caresse assez adroite. Tous le coté de son visage etait contre le sien, de la tempe au menton, et il ferma les yeux, restant un instant ainsi, sans bouger ses mains.

    - Je t'aime.

    Il avait murmuré ça dans son oreille. Il avait souvent entendu, au milieu de conversation, des gens dire que c'etait un mot difficile a prononcer. Qu'on ne savait pas si on le ressentait vraiment avant d'avoir vécue avec la personne. Il avait eu du mal a le prononcé, certes. Mais désormais, c'etait le mot le plus logique qu'il avait envie de lui dire quand il pensait a elle.

    Il recula un peu son visage a nouveau, pour lui refaire bien face maintenant, son nez venant gentiment caresser le sien, leurs lévres séparés d'une petite envergure, avant qu'il recule cette fois vraiment le visage pour pouvoir reprendre sa besogne, et elle la sienne. En baissant les yeux, il pouvait voir le creux de sa poitrine, la limite du tissu masquant a peine la chair la plus légère de ses seins. Et sa main qui en englobait un tourna très légèrement, tout doucement, la laissant ressentir une brève et tendre caresse maladroite a travers le tissu de sa robe.

    N'ayant fait aucun geste précisément pour lui proposer la chose inverse, il redressa un instant le cou, comme pour lui permettre de bien détaché ce qui maintenait sa tunique fermé en haut, qu'il avait soigneusement attaché avant d'aller manger, comme elle l'avait sans doute remarqué.

    Quand elle eu terminé, il reprit sa tache de tirer sur la ceinture, relâchant toute la robe qui etait fait pour etre tenue solidement par ce lien, et qui sans ce support, tombait facilement au moindre mouvement. Mais tant qu'il ne faisait rien, elle n'allait pas tomber, n'est ce pas ? Il retira donc la main qui bloquait encore le tissu, et du bout du doigt, la fit glissé d'une épaule, puis de l'autre, pour qu'elle tombe du haut de son corps, et glisse sur le sol entièrement.

    - …

    Il semblait moyennement a l'aise. Pas a cause de la nudité de la sirène, plutôt par anticipation de tout ce que cela pouvait avoir comme signification. Et une fois la robe au sol, il ne baissa pas les yeux de son visage, comme effrayé de bien pouvoir voir ce qu'elle portait en dessous.

    Le bain les attendait.
    Invité
    Invité
    Anonymous
  • Sam 21 Jan - 13:20
    Il vint se loger contre sa joue, contre sa tempe, comme un animal frotte sa tête contre une personne qu'il aime. Le contact rêche de sa barbe la fit frissonner et sourire. Elle fermait les yeux au moment où il répétait ces mots qui avaient tant de sens et qu'on employait si peu. Il prenait sa place, son rythme, faisant fondre un peu plus le cœur aguerrit de la Limier. Leurs souffles se caressèrent quelques instants puis il recula un peu, la caressant plus bas.

    Les yeux à peine entrouverts, elle souriait en défaisant l'attache sur le cou du demi-elfe. Elle souriait encore lorsque cette dernière tomba dans un léger claquement sur le sol, ratant de peu l'assise d'une chaise qui sommeillait dans un coin de la pièce et sur laquelle elle avait voulu la poser de loin. Elle souriait toujours lorsque le tissus bleu qui entourait le torse du jeune homme se détendit, créant ce léger espace en v par lequel il laissait si souvent deviner les prémices de son torse, la présence d'une légère toison pectorale. Elle souriait, point. Seulement quelque chose de doux, de tendre. Elle n'avait pas besoin de penser à quoi que ce soit d'autre qu'eux. Que cet instant. Elle était heureuse, malgré la retenue qu'elle faisait son possible pour garder en tête.

    Il ne la laissa cependant pas aller plus loin, pour cela, il aurait du la lâcher elle et il n'y était pas prêt visiblement. Le lacet sur son flanc n'était pas si facile à défaire et pourtant, il s débrouilla d'une main. La ceinture tomba avec un brut mat, le tissus lourd et raide libérant sa taille. S'il observait avec attention ses propres mouvements sur le corps de la sirène, elle l'observait lui tout en caressant doucement la haut de son torse. Puis elle sentit l'ongle de son indexe remonté le long du bord du tissu, le poussant de son épaule. Les mains caleuses de la mage de guerre s'éloignait du demi elfe pour laisser docilement ses bras le long de son corps. La robe glissa à terre dans un tressaillement de soie et elle se retrouva là, devant lui, avec rien pour cacher son inspiration profonde et le vague de chair de poule qui envahissait sa peau étrangement consciente de la caresse de l'air, plus qu'elle ne l'avait été de celle du tissus.

    Elle se trouvait là avec rien d'autre que l'ombre du sourire qui trainait sur ses traits, dans ses yeux dépareillés. Rien pour minimiser la toile de craquelures noires qui prenait la moitié de son visage, courait sous ses cheveux blancs, sur son cou, s'échouait à l'avant sur sa clavicule et descendait en cape sur la moitié gauche de son dos. Elle la couvrait d'une gaze fine, comme celle que les femmes de république portent parfois devant le visage au moment du deuil, rendant moins impressionnante la brulure ronde sur son épaule, et les autres marque de brûlure sur son flanc en dessous, descendant en lambeaux déchirés et inégaux jusqu'à ses reins.

    Yeux dans les yeux, Rowena leva les deux bras pour défaire elle même d'un geste gracieux le ruban doré qui maintenait ses cheveux relevés. Une crinière ondulée par le tressage retomba en crinière sauvage autour de son visage. Il n'y avait pas un seul nœud, comme si ses cheveux étaient incapables d'en faire, et ils retrouvaient leur aspect lisse et fluide à vue d’œil pour venir effleurer les épaules de la belle. En comparaison avec le blanc réellement immaculé de sa chevelure, on se rendait mieux compte à quel point elle était livide. Les nobles shoumeïennes si avides de prouver qu'elles n'avaient pas à travailler de leurs mains sous le soleil lui auraient sans doute envié un teint de lys pareil. Sur elle cela faisait d'autant plus ressortir les quelques notes de couleur. Les trois tatouages à ses chevilles. Une ecchymose violacée qui marbrait ses côtes depuis la bagarre de la veille et qu'elle n'avait pas soignée contrairement à la marque de main sur son bras. Le brun rosé de la pointe de ses seins. Le pastel de ses lèvres. Et son œil d'un bleu à la fois saturé et sombre, attrapant la lumière aussi surement qu'un saphir.

    Alors qu'elle laissait ses bras redescendre doucement le long de sa silhouette, on pouvait voir sa musculature roulée fluidement sous sa peau. Depuis la guerre, et même depuis qu'elle avait rencontré Shan, sa silhouette avait changée. Elle ne s'entrainait plus tous les jours et ne combattait plus non plus quotidiennement. Toujours en très bonne forme, la ligne de ses abdominaux, ses cuisses épaisses, ses fesses galbées et les tracés de son dos laissaient toujours percevoir une musculature athlétique, mais ses bras n'étaient plus aussi épais, sa poitrine avait repris en volume, son ventre n'était plus aussi ciselé et ses épaules de guerrières étaient moins impressionnantes qu'autrefois. Étrangement, il y avait très peu de cicatrice sur ce corps qui avait pourtant été brisé à de nombreuses reprises. Sa peau était lisse, sans même le moindre duvet, trahissant ses origines aquatiques. Lorsqu'on l'avait reconstruite après Sancta, elles avaient été toutes effacées à l'exception des brûlures sur son dos et des impactes de phantacier qu'aucune magie n'avait réussie à faire disparaitre.

    La seule chose qu'elle portait sous sa robe était un dessous de soie claire qui se posait sur ses hanches sans les serrer et venait mourir sur le haut de ses cuisses, décorée de quelques dentelles. Elle profita de l'immobilité de Shan'aël pour faire tomber sa veste de ses épaules, révélant le torse qu'elle avait déjà vu bien des fois. Puis, les mains hésitante du jeune homme dans les yeux duquel elle se pelotonnait, elle les posa elles aussi sur ses hanches. Léger comme une plume, un baiser chatouilla la joue du demi-elfe alors que sur son torse, il sentait de façon toute aussi légère le sommet de la poitrine de la jeune femme le flatter pour la première fois. Espiègles, deux mains habiles en avaient profiter pour lui ôter sa ceinture, laissant tomber d'un coup le poids de la veste bleu.

    Puis elle recula d'un pas. Un pas qui suffisait à avoir beaucoup plus de mal à ne voir que le visage de son vis à vis. Et toujours le sourire tendre, doux, mais un peu polisson, qui invitait à se laisser aller à ses envies. Qui semblait lui demander s'il aimait ce qu'il avait sous les yeux tout en connaissant déjà la réponse. Qui embrassait sa silhouette à lui avec affection.

    Le bain était encore à deux pas derrière elle, sa surface fumante leur tendant les bras. Mais elle n'était pas pressée. Il le fallait bien, si elle avait commencé à l'être, elle aurait sévèrement dérapé.
    Invité
    Invité
    Anonymous
  • Dim 22 Jan - 0:23
    Sa tension tourna a la fascination hypnotique quand elle se retrouva quasiment nue. Il n'y avait enfin plus rien être eux, plus qu'une parcelle de tissu de chaque coté. Et elle, son être a l’état pur était sous ses doigts. Elle était belle, musclée, gracieuse, élégante. Vivante, femme. Il n'osa pas baisser les yeux immédiatement. Pas baisser les yeux tout court. Alors il retira ses mains pour chercher a faire quelque chose d'utilise, et les posa...sur ses deux seins.

    -  !

    Il sembla ne pas avoir réalisé directement ce qu'il faisait, étant donné qu'il les retira aussitôt. La sensation sous ses mains, aussi bien de force et de douceur que de forme et de volupté venait de lui donnait un coup ample au niveau de l'esprit. Il n'aurait jamais cru que cette simple sensation physique puis lui donner une telle décharge d’électricité, telle qu'il se sentait soudainement un peu engoncé face a elle.

    En retombant sur son visage...Elle souriait. Elle recula même d'un pas, comme pour qu'il puisse la regarder de haut en bas. Elle n'avait plus que sa culotte, lui encore son pantalon et l’espèce de sous vêtements fais a la main, plus pensé pour être utile en combat que dans une optique d’être a la mode ou dans une quelque intimité. Il n'y avait de toute façon jamais réfléchit.

    Elle était si...patiente, ouverte, enjouée, douce. Avec des yeux encourageants. Des yeux aimants. Après tous ce qu'elle avait dit, elle ne pouvait pas la laisser tous faire tout seul. Il devait la choyer, la combler, être pro-actif. Il s'approcha donc a nouveau, posant les yeux brièvement sur ecchymose. Elle n'avait pas prit le temps de se soigner comme il fallait. Ce passage tranquille et agréable pouvait être le bon moment.

    Il fléchit les genoux, sa tête descendant devant ses seins, puis son ventre, puis plus bas encore, sous son nombril, vers son pubis, dissimulé encore par le tissu. Dans cette position, il passa les pouces dans au niveau de ses hanches, contre sa peau, sous les liens de sa dernière peau artificielle, et la fit descendre doucement le long de ses cuisses, gardant néanmoins les yeux baissés pour ne pas trop voir. Il baissa ainsi jusqu'à atteindre ses pieds, puis encore en dessous, passant délicatement sa main autour de sa cheville, entre l'utilité et la caresse, pour la lui retirer définitivement.

    Il se redressa doucement, redessinant du regard la totalité de son corps désormais nu. Il déposa doucement ses lèvres sur son nombril. Il effleura plus qu'il ne l'embrassa, et il continua de remonter, l'embrassant juste sous les seins...puis de la même façon juste au dessus, a l’orée du creux de sa poitrine. Dans son cou. Puis son menton. Puis délicatement sur ses lèvres, en lui caressant la joue. Il etait cramoisie. Il prenait fort sur lui pour faire des choses. Pour qu'elle soit vraiment heureuse.

    - Je t'aime.

    Il semblait ne plus avoir que ce mot la a la bouche. Et autre chose qu'elle remarqua peut être moins, c’était qu’après remonté la totalité de son corps, aussi proche, son nez avait agrippé son odeur avec plus de force que le commun des mortels. Il était tellement aiguisé, que l'odeur de la sirène lui fit l'effet d'un trouble mental pendant un bref instant, et la tete lui tourna un peu. Après une telle journée, son odeur en était encore renforcé, et ca avait un effet presque abrutissant sur ses sens.

    Pour ne pas trop lui laisser voir, il posa son front sur son épaule un bref instant, les yeux clos, en soufflant, et en la maudissant intérieurement d'avoir une si bonne odeur. Tout etait définitivement parfait chez elle. Aprés une petite poignée de secondes de retour au calme, elle sentit une main courir dans son dos, descendre vers ses fesses et les dépasser sans les toucher, pour passer sous la pliure de ses genoux. Il la souleva ainsi avec l'autre main dans le dos, avec douceur. Elle se retrouva a l'horizontale au dessus du sol, telle une princesse de roman d'amour ou de conte.

    - Soignons l’ecchymose. Tu n'as pas besoin de moi mais, si tu veux éviter la magie, j'ai des pommades de ma conception.

    Il s'approcha du bassin et la déposa avec sa grande douceur habituelle dans l'eau, avant de rester debout a coté du bassin, l'observant avec une étincelle d'envie et une vague d'amour cumulé. Mais il semblait ne pas savoir comment procéder vraiment, maintenant.
    Invité
    Invité
    Anonymous
  • Dim 22 Jan - 4:23
    Érotisme:
    Invité
    Invité
    Anonymous
  • Dim 22 Jan - 14:14
    ptit bain:
    Invité
    Invité
    Anonymous
  • Dim 22 Jan - 15:35
    suite du bain:
    Invité
    Invité
    Anonymous
  • Dim 22 Jan - 16:23
    Plouf:
    Invité
    Invité
    Anonymous
  • Dim 22 Jan - 19:25
    Plouf ? :
    Invité
    Invité
    Anonymous
  • Dim 22 Jan - 19:59
    O_O:
    Invité
    Invité
    Anonymous
  • Dim 22 Jan - 21:50
    Câlin:
    Invité
    Invité
    Anonymous
  • Lun 23 Jan - 0:05
    O_________O:
    Permission de ce forum:

    Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum