Interrompant son geste, Halewyn regarde Tagar directement dans les yeux,

Non Tagar, si je vois juste, nous allons faire de la gravure sur viande vivante... De Mortels, humain probablement.

Il y a un moment de flottement tandis que pour une fois, elle cherche les bons termes.

Tu te rappelle la cave quand tu m'a laissé terminer seule? C'est ce genre d'activités. Et il paraîtrait que dame ta mère s'y adonne régulièrement, elle est une habituée ici. Je me demande si tu as bien fait d'investiguer, si nous continuons, cela pourra impacter durablement limage que tu te fais d'elle. Est ce que tu veux continuer?

Mince, je me suis trompé ? J’étais persuadé d’avoir raison. Elle me rappelle ensuite un déplaisant souvenir, un interrogatoire auquel je n’avais pas assisté, m’indiquant que Mère faisait de la torture !
Personnellement, je n’y crois pas et je lui carrément :

Je pense que tu surréagis mon amie, je sais que tu n’apprécies pas ma mère, mais ce n’est pas une meurtrière, j’en suis convaincu.

Je pousse donc résolument la porte et je trouve dans une sorte de donjon, recouvert de pierre et sans aucune fenêtre, ce qui n’est pas étonnant, car nous sommes au sous-sol. L’éclairage étant assuré par des torches accrochées aux murs. À part nous, il y a deux autres personnes, un homme et une femme, tous les deux attachés nues à une table et qui nous souris en nous voyant arriver. La femme me dit même :

Bienvenue maîtresse !

Juste à côté se trouve différents instruments que j’ai du mal à distinguer, à cause de l’obscurité ambiante et je me tourne vers Hale, pour lui dire, d’un ton désemparé :

Je ne comprends pas.

Halewyn passa le long de la table, caressant du bout du doigt les divers instruments, les repoussant ensuite . Elle n,en n'a pas besoin pour torturer quelqu'un, elle a déj
tout ce qu'il faut à la maison en fait. Et en pas mal plus propre. La Tailleuse adorant ce genre de jeu.

Continuant avec grâce, elle donna un coup de talon sur une pédale au pied d'une des deux tables, faisant basculer l'homme à la verticale dans un ingénieux système.

-Taisez vous. Ordonna t'elle aux deux Soumis, caressant d'un doigt suave les cicatrices de fouets et de couteaux, les traces de dents et les brûlures diverses sur le corp offert. -Nous allons jouer à un jeu, mais avant je veux savoir si vous êtes payés pour souffrir ou si vous recherchez réellement la douleur comme source de plaisir.

Hale ne répond pas à mes questions et je la suis, l’esprit en ébullition. Elle semble savoir exactement ce qu’elle fait, vu comment elle manie la table, à l’aide d’une pédale que je n’avais pas vu et pose une question à un des deux prisonniers, ce dernier la regarde en souriant, lui indiquant d’un ton soumis :

Maitresse, nous sommes des accros à la douleur et nous aimons voir l’autre souffrir.

La jeune femme tordant le cou confirme :

Cela me rend toute chose.

Tout cela est bien joli, mais je pose une nouvelle question à Hale :

Tu crois vraiment que Mère est déjà venue ici ?

Pour moi, il ne peut s’agir que d’une erreur.

D'un geste sûr, Halewyn détacha l'homme.

Si je le savais Jasmine... Vous deux, si vous êtes si accrocs à la douleur et aimez voir l'autre souffrir.... Toi, attends ici et ne bouge pas.

Et alla détacher la femme à son tour.

Reste couchée...Lui murmura t'elle en se mettant à lui caresser le cou... Je veux que tu pense à tes meilleures séances et à tes clients réguliers. Les pires et ceux que tu affectionne le plus. Fais moi ce plaisir... Puis elle releva la tête vers Tagar, les prunelles noires luisant doucement. dans la lumière tamisée. Je crois que tu ferais mieux de au moins tourner le dos si tu en veux pas quitter.  

Puis elle reporta son attention sur la femme, surfant sur ses pensées légères. L'homme incertain ne sachant pas trop comment agir.

-MMM... Non. Echange de place avec monsieur.

Perplexe, les deux échangèrent tel qu'ordonné. Pourquoi iraient t'ils contre une maitresse? Elle réitéra l'opération dans un silence de plomb.

-Ah... Je veux que tu raconte celui là... Et toi, tu fais exactement ce qu'il raconte. Je veux revivre cet épisode dans son exactitude. Et faites attention, je suis allergique aux mensonges,

L'homme se mit à raconter comment sa cliente favorite, une dame qui ne mettait pas de masque et qui correspondait à la description de madame Reys, aimait passer régulièrement. Elle aimait fort de faire appeler madame la Ministre-mère d'ailleurs. Cette maitresse se contentait de donner des instructions pointues et d'observer quelqu'un d'autre faire le sale travail. Nous passerons outre, chers lecteurs, les détails sordides des exactions commises en sa présence. Parfois elle se touchait, parfois non. Les divers instruments s'activaient, recréant les sévices.

Et Halewyn, sans un mot, pris une  Jasmine tres choquée  par le bras et elles  quittèrent  le couple qui se laissait emporter lenteent mais sûrement. Sans en rajouter , elle paya le double et elles quittèrent.

Ce ne fut que deux rues plus loin, dans un salon de thé privé, que la Shoumeienne asseya Tagar et lui offrit une tasse de thé très fort.  

-Ce n'était pas ce que je pensais.

Dit elle simplement, ne s'excusant nullement. Martha était une tarée certes, et en d'autres circonstances elles auraient pu d'entendre, mais non. Elle espérait secrètement que Martha avait une rupture d'anévrisme en ce moment.

Hale me répond et je comprends qu’elle va chercher auprès des deux cobayes, des éléments de réponse. Elle commence d’ailleurs par relâcher ses deux derniers avant de me prévenir et je lui dis en souriant :

Tu sais que je n’aime pas la violence, alors je vais t’attendre dans la première salle.

J’avoue que l’attente n’est pas facile et quand mon amie revient enfin, je suis à la fois soulagé, car je connaîtrai bientôt la vérité et inquiet de ses futures déclarations. Nous quittons les lieux pour rejoindre un salon de thé et la jolie rousse m’annonce enfin ce qu’il en est. Je suis immédiatement soulagé, je savais bien que Mère n’était pas une meurtrière ! C’est donc avec un grand sourire que je bois ma tasse et comme il est très fort, je commence à tousser.
Comme si c’était un signal, deux jeunes hommes habillés comme des nobles et juste à côtés de nous se lèvent et me tendant chacun leur mouchoir, me demandant :

Vous allez bien, mademoiselle ?

Je prends celui de gauche, au hasard et je lui réponds de ma petite voix d’idiote :

Oui, je suis désolé pour le dérangement.

Il me sourit et nous demande :

Ce n’est rien, pouvons-nous nous joindre à vous ?

Je regarde Hale, incertain de la conduite à tenir.

Agacée par les mâles inopportuns, elle était. Dans un autre sens, ils arriaient à point nommé. Non pas parce qu'ils interrompaient une discussion importante, mais parce que se faisant, ils donnaient invonlontairement l'illusion que la belle aux cheveux rouges et au décolleté audacieux cherchaient à esquiver le sujet. Ce qui était totalement faux. Toute vérité a son lieu et son heure cependant. Halewyn savourait intérieurement la fermentation de celui-ci, sachant qu'iel ne devait pas le retenir trop longtemps, Tagar allant complètement oublier et se cantonner à ses perceptions erronées.

Sa mère n'est pas une meurtrière. Dans les faits non, ses blanches mains sont pure. Dans son coeur si, elle a commandé des tortures si poussées que le démon ne serait pas étonné qu'il y ait eu des morts.

L'oeil noir se posa sur le plus jeune des deux, un benêt malingre à peine sorti de la puberté et ce qui ressemble à son grand frère, tout aussi rouquin mais pas mal plus baraqué. Etrangement, l'innocence du premier était plus rafraichissante. Leur teint comme leur cheveu indiquaient plus qu'un phare qu'ils n'étaient pas de la ville. Penchant la tête légèrement de côté, a courtisane sourit agréablement en lancant un regard soulagé à Jasmine comme si elle échappait à un sujet épineux.

Messieurs messieurs. Des hommes tels que vous n'auraient pas de fiancées? J'espère juste que nous ne serons pas la cause de quelque désagrément à ce niveau. Mais faites, prenez place un moment. Une telle prévenance mérite bien une tasse de thé. Es ce que cela t'agrée Jasmine? Si tu préfère, nous pouvons rester entre nous aussi, sois bien à l'aise

Hale semble soulagé de les voir arrivé, sans doute pour ne pas m’avouer qu’elle s’est trompée. Il y a des gens qui ont toujours du mal à avouer qu’ils ont fait fausse route. Ce n’est bien évidemment pas mon cas et de toute façon, je me trompe très rarement, voir jamais. Elle les invite donc pour faire diversion, et comme je ne veux pas la mettre encore plus dans l’embarras, car c’est mon amie malgré sa mauvaise foi, j’indique aux deux jeunes hommes :

Bien sûr !

Le plus baraqué se met juste devant moi, tandis que le second, plus jeune se met devant la jolie rousse, la tête baissée, comme intimidé. L’ainé fait donc les présentations :

Je suis Jasper et voilà Henry, de la famille De la Batte. Nous ne sommes pas fiancés, mais comme nos parents viennent de rejoindre les ancêtres, nous disposons d’une belle situation et nous sommes là pour nous amuser.

Voilà ce qui est direct et je lui dis à mon tour :

Je suis Jasmine Jardin.

Je laisse Hale se présenter, ne sachant pas si elle va utiliser son vrai nom.

Oh vos parents viennent de rejoindre les ancêtres. Mes condoléances messieurs.

Répond la belle aux cheveux rouge en leur faisant signe de l'éventail de prendre place. Des nouveaux légataire qui cherchent leur part  de plaisir. En avoir l'envie , elle les prendrait les deux à la fois. Peut-être les plumer comme des pigeons. Pousser au fratricide et au suicide par amour. Peut-être....  Tant de possibilité. De La Batte, sérieusement n'a t'on jamais entendu nom de famille si ridicule

Cette facon de demander aussi si elles sont prostituées est amusante. La Shoumeienne décide alors de s'amuser un peu à leur dépend. Parce que est ce que c'est ce qu'elle est? Peut-être est ce son décelotté qui les a induits en erreur? Cette tranquille assurance? Les a t'elle invité à partager son lit, aguiché?

La réponse à toutes ces questions sont nom. A part peut-être le décolleté qui n'est quand même pas si audacieux.

Vous amuser ... Quelle charmante facon de  pleurer ses parents, n'est ce pas Jasmine? J'ai connu quelqu'un qui a fait cela avant que toutes les formalités administratives inhérentes au décès ne soient réglées. Malheureusement, je l'ai perdue de vue suite à un revers de fortune... Je n'en suis pas certaine, mais je pense que ses parents n'étaient pas tout à fait morts... Ou les taxes et impots inhérentes au décès n'avaient pas été réglées. L'un dans l'autre...

Elle ferma l'instrument qu'elle posa avec respect sur son coeur, mettant en avant son décolleté. Regarde Ŧagar, regarde comment les femmes sont traitées.

Je vous prie de m'excuser de mon emportement. Des gens aussi bien que vous ne doivent pas se faire remuer le couteau dans la plaie.

Presque pas...

Hale est vraiment une bonne personne, elle est très attentionnée, même envers les personnes qu’elle ne connaît que depuis quelques minutes et adresse ses condoléances aux deux hommes. Je hoche la tête pour montrer que je compatis également, mais je suis bientôt pris à témoin et je lui réponds d’un ton prudent :

Chaque personne fait son deuil à sa manière.

Pour moi, à la mort de mon père, je me suis lancé dans le travail. En-tout-cas, les deux hommes le prennent assez mal, surtout l’ainé et il lui demande d’un ton peu amène :

Comment osez-vous ? Des femelles n’ont pas à nous parler ainsi. Dites-nous votre prix et je vais prendre un malin plaisir à m’occuper de vous.

Je regarde, surpris mon amie, lui demandant :

On a un prix ?

J’avoue que je suis un peu largué, là.

Il semblerait, Jasmine, que ces messieurs se méprennent sur notre compte, évaluant la vertu d'une dame à la profondeur de son décolleté.  ʼnØus ayant prise pour des prostituées...  Tu veux un peu de thé?

Se penchant, la belle dame aux cheveux carmins oblige la belle blonde.

Par malchance pour vous,, je ne suis pas ce que vous qualifiez de femelle. Mon prix, ce sont vos deux âmes et cela n'est que moi. Mon amie ici présente vous couterait bien plus.   Marquant une pause,  Halewyn sourit adorablement. -Pour vous amuser, en toute gentillesse, je vous suggère d'aller vous faire embaucher au Bonheur des dames. Vous serez même payés pour faire plaisir aux dames de qualité.

Tranquillement, la courtisane hèle d'un mouvenent d'éventail aérien le serveur, faisant une savante torsion pour indiquer que les deux hommes les importune tandis qu'elle continue de montrer une part du venin dont elle est capable.  

Mais  si vous ne voulez absolument qu'une femelle, je vous conseille en toute amitié de retourner dans votre ville et de prendre quelque truie locale. Cela serait peut être plus économique pour votre bourse. þrenez juste vos précaution pour épargner le Sekai de quelque hybride porcin

Oh !

C’est le bruit que je fais quand Hale m’indique que nos deux interlocuteurs m’ont pris pour une prostituée. Pourtant, dans le miroir, j’avais cru être habillé normalement. À moins qu’il s’agisse d’un établissement réputé pour ses escortes-girls. C’est d’ailleurs la seule explication qui tient debout.

Mon amie, visiblement énervée, lui propose un marché concernant leurs âmes et des cochons, j’avoue que je suis tellement surpris, que je n’ai pas tout compris. En-tout-cas, la réponse ne se fait pas attendre, car l’homme lève la main pour la frapper. Comme il a pas mal de bague, j’utilise ma magie de métal pour la contrôler et il se baffe lui-même. Le coup est fort, très fort, car il était bien lancé.

Il crache du sang, ainsi que deux dents et nous regarde d’un air apeuré pendant que son petit frère, lui en profite pour se lever et essayer de se barrer en courant, le courage ne semblant pas être sa qualité première.

Halewyn ne bouge pas, fixant le mortel droit dans les yeux, aussi digne qu'une impératrice tandis que l'employé vient expulser les importuns. Soudainement, dans le salon de thé, il y a une suspension dans l'air. De La Batte, humilié en public n'a que la réponse des brutes à offrir. Sous les regards horrifiés des autres clients de l'établissement, la main lourdement baguée se lève et le démon, toute amabilité disparue, fixe l'impudent qui prend son élan.

Les yeux dans les yeux le noir dans le marron, elle attend qu'il ose seulement essayer, les longs doigts fins se refermant sur un éventail noir fermé et posé sur ses genoux, un éclat rouge fugace passant dans les ténèbres obscures des iris de la belle. Elle est prête, il ne saura même pas ce qui se passe... Du moins c'était son intention, le malotru se baffant tout seul, envoyant une légère pluie de gouttelettes écarlates sur la joue blanche d'Halewyn qui recoit sur sa jupe deux dents... Magnifique...

Les prunelles en amande légèrement ourlées de Khol sarrondissent légèrement en reprenant leur éclat d'origine, les lueurs de la  victoire dansant dans celles ci.  Avec bonne humeur, elle receuille les précieux bouts d'ivoire qui orneront ses colliers.

C'est accepté très cher. Au revoir...

Répond t'elle simplement, les faisant disparaitre dans sa manche avant de reprendre sa tasse de thé comme si de rien n'était, oublieuse de ce dernier comme si il était indigne de sa présence. D'ailleurs il n'a pas le temps de rajouter autre chose que l'employéle chope parle collet et le traine comme un chiot perdu vers la sortie.  D'un autre côté, la directrice de l'établissement arrive, visiblement énervée et se confond en excuses pendant que la Shoumeienne essaye de terminer son thé tranquillement.

-Nous vous prions d'accepter nos plus sincères excuses. Je vous assure que c'est la première fois que cela se produit.

Les prunelles noires interrogent le bleu clair par dessus le rebord de la tasse, la joue de la belle parsemée de quelques minuscules gouttelettes du même carmin que ses cheveux.. Doivent ils les accepter?

Le malotru ayant perdu deux dents dans l’affaire se fait promptement sortir par la sécurité de l’établissement. Hale, comme d’habitude est resté très calme, ce qui n’est pas mon cas, alors que j’allais parler, la patronne arrive et commence par s’excuser. Pour ma part, je lui réponds en souriant :

Pas de problème, entre femmes, on doit se tenir les coudes.

Je laisse mon amie faire la même chose si elle en a envie, puis une fois que l’humaine est partie, je demande à la jeune femme aux cheveux aussi rouge que les gouttes de sang sur son visage :

C’est toujours comme cela d’être une femme ?

J’en profite également pour prendre un mouchoir et lui essuyer le visage. Une fois ceci fait, je lui fais une autre demande, d'un ton très sérieux :

Il y a vraiment des avantages à rester sous cette forme ?

J’avoue que je suis sceptique, être une fille, c’est nul.

Les yeux noirs de biche se retournèrent vers la paatronne et Halewyn sourit comme si rien ne s'était passé, l'incarnation de l'innocence même.

Madame, j'aimerais juste quelque chose pour me rafraichir le visage. Pour le reste n'en parlons plus. Vous n'êtes pas responsable de leur actes

Puis attendit que la dame se retire, n'affichant aucun malaise là ou la majorité des dames se seraient évanouies. D'ailleurs cela fit forte impression dans le salon, une représentante du sexe féminin, choquée, s'évanouissant plus loin dans la salle. Petite nature. Quelques murmures se firent et la démone tiqua légèrement.

Non, je te mentirais si je t'avais dit que si. Nous sommes juste tombés de Charybde en Scylla aujourd'hui. Moi qui voulais te faire passer un moment agréable, il nous a fallu rencontrer l'échantillonnage mysogynique parfait aujourd'hui. Soit rassurée mon amie, c'est un trait Reikois dont l'extrême  qui nous a été présenté aujourd'hui  a tendance à tomber en déséuétude de nos jours.. Par contre être une femme inclus. Maquillage, coiffure, corsets plus ou moins serrés, la jupe doit être longue mais pas trop, la cuisse ne doit se voir que dans quelques corconstance définies. Il faut rire sans montrer les dents, soumise mais impétueuse, prude mais audacieuse... Sans compter les rimpératifs biologiques. Le fait est que beaucoup d'entre elles, surtout les plus riches, envient les hommes et leur liberté parce que de naissance, cette liberté leur est refusée. As tu entendu parler récemment d'une dame qui aurait choisi son époux d'amour? Non... ŀes femmes et leur fertilité ma chère, sont traitées comme des biens de valeurs, échangeable et répudiable si il n'y a pas d'héritier mâles. Et pourtant, une alchimiste que j'ai connu m'a assuré que ce sont les hommes, par leur semence, qui décident du sexe de leur descendant. Je me plais à penser ceci dit que si toutes les sociétés étaient matriarcales, les guerres seraient en net déclin.

Elle lui sourit, un léger sourire simplement content.

Effectivement qu'il y a des avantages. Si elles tombent sur un bon mari. Si leur père les éduque à penser autrement... J'ai bon espoir que ca sera le cas pour toi.  Je ne trouve pas ca naturel de limiter ses perspectives d'existence à l'espoir d'un mariage. Je crois que... Tes parents, c'était un mariage d'amour ou arrangé?